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samedi, 14 août 2010

info sénégal

 Effets Du Ramadan : Au Nom Du « Selal », Les Jeunes Filles Changent Leurs Ports Vestimentaires   - Le POPulaire
L'entame du mois béni de Ramadan a toujours pour effet au Sénégal un changement des habitudes. Et c'est au plan du port vestimentaire que se manifeste souvent ce changement. Car l'effet Ramadan fait que l'écrasante majorité des jeunes filles a revu sa manière de s'habiller, même si certaines gardent leurs vieilles habitudes. Mais si certains hommes se réjouissent de ce changement, les vendeurs de pantalons et de body par contre s'en plaignent du fait de la mévente.

 Politique : Serigne Modou Kara Mbacké Se Radicalise   - xibar.net
Serigne Modou Kara a laissé entendre, par la voix de son porte-parole qu’il ne sera pas du côté de Me Wade, ni de celui de son fils Karim. Kara, par ailleurs leader du Parti de la vérité pour le développement et de la « coalition du siècle » semble se radicaliser, de plus en plus. Est-ce pour mieux relever les enchères avec le président Wade, comme ce fut le cas, il y a près de trois ans ? Sidy Diaw Diop, administrateur de société et porte-parole de Serigne Modou Kara s’est longuement entretenu avec le journal Le Quotidien. S’agissant de ce qui sera la position de son président de parti et de leur coalition en direction de l’élection présidentielle prévue en 2012, il n’y est pas allé avec le dos de la cuillère

 Modou Lo/ Baye Mandione : D'importants Dégâts Enregistrés Au Niveau Du Stade   - Le POPulaire
La vague déferlante des supporters de Modou Lô après sa victoire sur Baye Mandione a envahi les policiers. Et à force d'escalader le mur de protection du stade Demba Diop pour communier avec leur lutteur préféré, ils ont . occasionné d'importants dégâts matériels. «Il y a eu énormément de dégâts. Les grilles de protection de la tribune découverte ont cédé aux trois-quarts. Le mur s'est un peu détaché avec les pâtes à scelle. Une partie des virages adultes a été également cassée sans compter les portes d'accès à la pelouse qui ont été arrachées et piétinées.

 Lancement De La Goana 3 : Me Wade Annonce Des Sanctions Contre Les Opérateurs Fraudeurs   - Le Soleil
L’Etat a décidé de porter plainte contre les opérateurs économiques accusés de détournements d’intrants et de matériels agricoles destinés au monde rural. L’annonce a été faite hier par le président de la République, Me Abdoulaye Wade lors de la cérémonie de remise officielle de matériel agricole au Syndicat national des agriculteurs, éleveurs et pêcheurs du Sénégal (Synaep, Japandoo) pour l’An III de la Goana. Le président de la République, Me Abdoulaye Wade, a déclaré, hier à Dakar, que tous les opérateurs économiques fraudeurs qui ont servi d’intermédiaires entre l’Etat et les agriculteurs seront traduits devant la justice.

 Immigration Aux États- Unis : L’administration Obama Refuse De Revenir Sur Le Droit Du Sol   - Le Soleil
WASHINGTON : L’administration du président Barack Obama a catégoriquement rejeté hier l’idée de renoncer au droit du sol inscrit dans la Constitution américaine, comme proposé par certains républicains comme moyen de lutter contre l’immigration illégale. "Je suis pour le moins surprise qu’il existe une discussion sur un amendement de la Constitution des Etats-Unis avant même que nous nous mettions à discuter d’une modification de la politique d’immigration", a déclaré la secrétaire à la Sécurité intérieure Janet Napolitano.

vendredi, 13 août 2010

Sud-Soudan: 23 morts lors de violences dans une région pétrolière

Des hommes armés inconnus ont tué 23 personnes lors d'une embuscade ce week-end contre un camion circulant dans la région pétrolière sud-soudanaise d'Unité, a indiqué mercredi un responsable militaire.

Sud-Soudan: 23 morts lors de violences dans une région pétrolière

"Les assaillants ont attaqué un camion au sud de Bentiu", la capitale de l'Etat sudiste d'Unité, une des principales régions pétrolières du Sud-Soudan, a dit à l'AFP Malaak Ayuen Ajok, porte-parole de l'Armée populaire de libération du Soudan (SPLA), ex-rebelles à la tête aujourd'hui de l'armée du Sud-Soudan semi-autonome. "Selon nos forces sur le terrain, 23 personnes ont été tuées, incluant des officiers de police", a ajouté le responsable précisant que ces violences étaient survenues dimanche dans le district de Koch, à 70 kilomètres au sud-est de la ville de Bentiu. "Huit autres personnes ont été blessées, la situation est désormais sous contrôle", a assuré ce responsable de l'armée sud-soudanaise. L'identité des assaillants n'est pas connue, mais l'armée sudiste pense qu'il pourrait s'agir de vestiges de la "milice" de Galwak Gai, un ancien colonel entré en mutinerie contre le pouvoir sudiste dans l'Etat d'Unité après les élections nationales d'avril, a fait savoir M. Ajok.

Préformateur: pour la N-VA et le CD&V les propositions actuelles sont insuffisantes

Avant la réunion entre le préformateur et les sept partis pressentis pour participer à une réforme de l'Etat, les partis flamands ont déjà convenu de se revoir entre eux demain vendredi, a-t-on appris de bonnes sources.

Les partis flamands (N-VA, CD&V, sp.a et Groen! ) se sont déjà réunis jeudi après-midi, d'abord entre eux puis avec le préformateur Elio Di Rupo. Il est apparu que pour la N-VA et le CD&V les avancées formulées par Elio Di Rupo mercredi soir ne sont pas suffisantes. Au vu du résultat des élections, la N-VA serait d'avis qu'elle est en droit d'obtenir plus même si elle reconnaît qu'elle ne pourra pas réaliser tout son programme. Chacun s'est malgré tout rendu à la réunion plénière convoquée ce jeudi soir mais diverses réunions sont déjà prévues vendredi et notamment une nouvelle réunion des partis flamands. Le moment exact dépendra du résultat de la réunion de ce jeudi soir, disait-on encore à bonne source.

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RDC: 58 morts dans l'accident d'un camion tombé dans le Lac Tanganyika

Au moins 58 personnes sont mortes mercredi dans la chute d'un camion qui transportait des passagers et des marchandises dans le Lac Tanganyika (est de la RDC), a indiqué jeudi à l'AFP une ONG locale.

Le camion qui reliait la localité d'Uvira à celle de Baraka, dans la province du Sud-Kivu, situées le long du Lac Tanganyika, avait à son bord 63 passagers, en plus des marchandises, a affirmé à l'AFP Evariste Mfume, responsable d'une ONG des droits de l'Homme joint au téléphone de Kinshasa.

"Sur les 63 personnes, on n'a retrouvé que 5 survivants (bien 5). Le chauffeur a +cogné+ (heurté) une pierre et le camion est tombé dans le Lac. Lui, il est mort sur le coup", a souligné M. Mfume.

Aucune autre source n'était joignable dans l'immédiat pour confirmer cet accident.

La surcharge du camion serait une des cause du drame, selon la même source.

Les accidents de la route sont fréquents en RDC, en raison du mauvais état des pistes et des véhicules, souvent surchargés, et de l'imprudence de certains chauffeurs.

Il faut en moyenne 8 heures pour un véhicule de type 4X4 pour parcourir les 90 km qui séparent Uvira de Baraka et au moins deux jours aux camions de transport en commun et de marchandises, pour la même distance, ou plus lorsqu'il survient des pannes.

La route est entrecoupée en certains endroits par des ruisseaux et également bordé par le Lac Tanganyika, frontière naturelle entre la RDC et le Burundi.

Début juillet, dans la même province du Sud-Kivu, l'explosion d'un camion-citerne transportant environ 50.000 litres d'essence dans la localité de Sange avait fait 271 morts.

Le drame s'était produit lorsqu'un camion-citerne s'est renversé au centre de Sange, avant d'exploser et de prendre feu dans cette localité d'environ 50.000 âmes, située à 60 km au sud de Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu.

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Rwanda: une opposante appelle au rejet des résultats de la présidentielle

Une opposante rwandaise sous contrôle judiciaire, Victoire Ingabire, a appelé jeudi les bailleurs de fonds du Rwanda à ignorer les résultats de la présidentielle de lundi remportée par le chef de l'Etat sortant Paul Kagame avec 93 % des voix.

Mme Ingabire, qui avait voulu se présenter au scrutin dont l'opposition était de facto exclue, est présidente des Forces démocratiques unifiées (FDU), une formation qui n'est pas encore reconnue par les autorités.

"Nous appelons la communauté internationale, les partenaires bilatéraux et les donateurs à rejeter cette farce électorale et ses résultats", écrit l'opposante dans un communiqué.

Elle a exigé "de nouvelles élections libres, équitables et transparentes".

"Reconnaître les résultats de cette mascarade reviendrait à récompenser la violence comme moyen d'accéder au pouvoir et le maintenir au Rwanda", juge Mme Ingabire, pour qui le président réélu manque de "légitimité politique".

"Le peuple rwandais ne peut pas être otage et privé de ses droits politiques et civils au nom de prétendus miracles économiques", poursuit-elle dans ce communiqué rédigé en anglais.

La présidente des FDU affirme par ailleurs qu'un membre de son parti, Béatrice Uwimana, est portée disparue depuis le 24 juin.

Une autre formation politique non encore agréée, le Parti démocratique vert, a également dénoncé le déroulement du processus électoral, mais sans demander l'annulation du scrutin.

"L'élection a été menée d'une telle façon que beaucoup de Rwandais étaient drapés dans une couverture de peur", écrit le président du parti, Frank Habineza dans un communiqué.

Pour lui, "l'absence d'une réelle opposition demeure une question fondamentale que le gouvernement du Rwanda ne devrait pas tenter d'ignorer".

"Maintenant que les élections sont terminées, nous avons besoin d'une paix durable et d'un développement durable; nous avons besoin de résoudre tous ces problèmes pendants en vue d'aller véritablement de l'avant", poursuit M.Habineza, un transfuge du Front patriotique rwandais (FPR), le parti présidentiel.

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Des centaines de centenaires ont disparu au Japon

Après deux faits divers, l'administration a lancé une grande enquête de recensement pour mettre à jour la liste des vivants. japan.jpg

Les morts-vivants envahissent le Japon, mais l'administration n'entend pas se laisser faire. La disparition de deux centenaires a plongé l'Archipel dans la perplexité et la peur depuis une semaine.

Le ministère de la Santé a d'abord découvert fin juillet le cadavre d'un homme qui se serait enfermé il y a trente ans dans sa chambre. Personne n'ayant déclaré sa mort, il était toujours répertorié parmi les vivants au ministère de la Santé. Sa famille a affirmé aux enquêteurs qu'il s'était cloîtré en observant un jeûne pour devenir un «Bouddha vivant».

Puis il y eut le cas de l'auguste Mme Fusa Furuya: à 113 ans, elle est officiellement la doyenne de l'immense agglomération de Tokyo, et vit avec sa fille; cette dernière en réalité n'a aucune idée d'où elle peut être, et ne l'a pas vue depuis vingt-cinq ans.

 De morts qui touchent des allocations-retraite

Depuis, les fonctionnaires du ministère de la Santé se demandent combien de centenaires sont réellement encore en vie, et combien de morts continuent de toucher des allocations-retraite. Selon les premiers résultats rendus publics jeudi, l'administration a perdu la trace de 200 centenaires. Et elle n'en est qu'au début de son enquête. Le Japon est le pays où l'espérance de vie est la plus élevée.

L'Archipel compte environ 30.000 centenaires sur une population de 127 millions d'habitants. D'ordinaire, l'administration attend de la famille un certificat de décès avant de changer leur statut. Mais la solitude est un phénomène si profond dans la deuxième économie du monde, tant chez les jeunes (on estime parfois à 800.000 le nombre d'ikikomori, ces jeunes reclus qui ne quittent plus leur chambre du tout) que chez les personnes âgées, qu'il lui est difficile de tenir à jour ses fichiers.

 

«L'État est pauvre, les gens sont riches»

 

Beaucoup de Japonais disparaissent de la vue de leurs voisins pendant des années, sans que cela préoccupe quiconque. Les administrations locales et nationales en charge de ces questions sont gênées dans leurs recherches par les reclus eux-mêmes, qui refusent souvent tout contact extérieur, protégés au surplus par une législation sur la vie privée très restrictive. Dans la préfecture de Tochigi (centre du Japon), les fonctionnaires ont requis l'aide d'une entreprise de vendeuses ambulantes pour leurs investigations.

Pour l'administration nippone, c'est une nouvelle humiliation, après la perte il y a deux ans de millions de dossiers de retraites. Demeurée toute-puissante et irresponsable en raison de l'incurie de la classe politique censée la diriger, elle maintient des procédures kafkaïennes et dispose de peu de moyens malgré le très visible dévouement des fonctionnaires dans leurs relations quotidiennes avec leurs administrés. «La collecte de l'impôt est très mal faite au Japon. Conclusion: l'État est pauvre, les gens sont riches», explique le dirigeant d'une grande banque locale.

Tout le pays, en tout cas, attend avec impatience le résultat final de l'enquête du ministère avant le 20 septembre: au Japon, c'est le jour dédié aux personnes âgées.

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lundi, 09 août 2010

Evra répond à Thuram

Après plus d'un mois de silence, Patrice Evra revient en détails sur le fiasco des Bleus en Afrique du Sud dans Le Figaro. L’ex-capitaine tricolore charge une nouvelle fois Raymond Domenech et égratigne au passage Lilian Thuram.

par Rédaction Sport24.com, le 09-08-2010

Après l’élimination catastrophique de l’équipe de France au premier tour de la Coupe du Monde, Patrice Evra avait promis qu’il laverait son linge sale en public. Mais son intervention le 25 juin dernier sur TF1 n’avait pas été très fournie en explications. Depuis, l’ex-capitaine des Bleus avait choisi le silence alors que les anciens de 98 comme Lilian Thuram ou Marcel Desailly lui tiraient dessus à boulets rouges. Au lendemain de la victoire, sans lui, de Manchester United dans le Community Shield, le défenseur des Red Devils se confie dans Le Figaro. «Surpris» de se voir déférer devant la commission de discipline de la FFF (avec Abidal, Ribéry, Toulalan et Anelka), - «Pourquoi nous sanctionner plus que d'autres ? On l'a déjà été. La sanction de ne pas sélectionner les 23 mondialistes pour le match en Norvège est cohérente» - Evra revient plus en détails sur le fiasco sud-africain. S’il charge Raymond Domenech, comme il l’avait fait la semaine dernière devant la Fédération, il en profite surtout pour régler ses comptes avec Lilian Thuram. Morceaux choisis.

L’exclusion d’Anelka
 «Pendant dix minutes (ndlr, à la mi-temps de France-Mexique), le coach n'a pas parlé puis, d'un coup, il a dit à Anelka : «Putain, je te dis de rester en pointe mais tu décroches !» Nico lui a répondu. Il y a eu un échange de mots. Mais pas ceux retranscrits en une de L'Équipe. Je me suis alors levé pour calmer les esprits (…) Après la parution de L'Équipe, le président de la Fédération et le coach m'ont convoqué pour me dire qu'ils étaient dans l'obligation de l'exclure. Je leur ai répondu que ce n'étaient pas ses mots. Tous les joueurs le savaient. Boghossian (l'adjoint de Domenech) a suggéré qu'avec d'autres cadres - Ribéry, Toulalan, Gallas, Henry, Abidal, Govou - on lui demande de présenter des excuses publiques. Nico a accepté de le faire devant le staff et les joueurs mais pas dans les médias puisqu'il souhaitait porter plainte contre L'Équipe

Le boycott de l’entraînement
«Avant de partir, Anelka a fait un discours fataliste. Les joueurs l'ont applaudi et certains ont lancé l'idée de faire quelque chose pour montrer le mal-être du groupe. D'où l'idée du boycott de l'entraînement. Je leur ai demandé s'ils en étaient sûrs. Tout le monde a approuvé. Personne n'a réalisé l'impact que cela pouvait avoir… (…) Tout était prévu la veille. Le coach sentait que quelque chose se tramait. Un joueur venait de lui dire qu'il était dégoûté du football. L'attaché de presse devait transmettre le communiqué aux journalistes. Le coach a tenté de nous en dissuader. J'ai demandé alors plusieurs fois à mes coéquipiers s'ils voulaient descendre du bus. Personne n'a répondu. Domenech voulait qu'on lise le communiqué. Je me suis levé pour le faire. Je serais allé au feu pour mes partenaires. Mais Domenech a alors décidé de le lire lui-même…»

Domenech lâché
 «Quand Claude Onesta et Stéphane Diagana sont venus à Tignes, certains joueurs m'ont dit : «Il fait venir des champions, mais lui n'a rien gagné... » Je recevais des plaintes après chaque entraînement. Les joueurs lui reprochaient son manque de travail tactique et le décalage avec les exercices auxquels ils sont habitués en club. J'ai essayé de faire passer le message à ses adjoints. Sans résultat. Le groupe l'a alors peu à peu lâché. Personne, ainsi, n'a compris qu'il décide de ne pas titulariser Florent Malouda contre l'Uruguay suite à un tacle appuyé à l'entraînement. Quant à Thierry Henry, il s'est aussi senti abandonné. «Titi» me disait : «Regarde, plus personne ne me calcule.» Il était en pleine forme à l'entraînement, mais on ne le faisait pas jouer. Il a fini par rendre les armes. Domenech a également décidé tout seul de couper la tête de Gourcuff avant le match contre le Mexique. Je n'ai cessé de répéter à mes partenaires qu'il fallait continuer de bosser. Mais, à un moment, ce discours ne passe plus (…) Il n'y avait plus de dialogue avec le coach. Il n'y avait aucune structure collective, ni de projet. Avant le match de préparation contre le Costa Rica, quelques joueurs lui ont demandé de s'impliquer plus, de nous donner plus de consignes. Il s'est senti agressé. Il a refusé l'échange. On a fait tous les matchs de préparation avec un système avant d'en changer pour celui d'ouverture du Mondial contre l'Uruguay. Ce n'était pas cohérent.»

Thuram, faux Malcolm X
«Il a sali mon nom sans chercher à savoir ce qui s'était passé. Lilian se prend à la fois pour le nouveau sélectionneur, le président de la Fédération et le président de la République. Il se comporte comme le leader du foot français en mettant son départ dans la balance s'il n'y a pas de sanction (…) Pourquoi remettre de l'huile sur le feu? Ce n'est pas le rôle d'un membre du conseil fédéral. Il est temps que Lilian arrête de jouer un rôle qui n'est pas le sien en disant que les Bleus contribuent à faire augmenter le racisme. Il ne suffit pas de se balader avec des livres sur l'esclavage, des lunettes et un chapeau pour devenir Malcolm X (…) En dépit de ses beaux discours sur l'absence d'états d'âme, Thuram avait refusé de s'échauffer avant le match décisif contre l'Italie lors de l'Euro 2008. Il venait d'apprendre qu'il n'était pas titulaire… À l'époque, il jouait aussi l'amnésique en interpellant certains joueurs uniquement par “oh ! jeune ”.»

Son rôle de capitaine et son avenir en Bleu
«Les joueurs et le staff connaissent la vérité. J'ai été honnête jusqu'au bout avec tout le monde. J'ai tout donné pour remplir mon rôle de capitaine. Certains m'ont chargé sans savoir ce qui s'était passé. J'ai mis tout mon cœur, voilà le résultat ! Domenech m'a même demandé pardon de m'avoir confié le brassard (…) Je ne vois pas mon avenir sans l'équipe de France. C'est mon pays et j'y tiens. La Marseillaise me fait vibrer. J'ai toujours envie de mouiller le maillot bleu.  Je considérais chaque nouvelle sélection comme une chance à saisir. La seule façon de rebondir, ce sont les résultats.»

Retrouvez l'intégralité de l'entretien de Patrice Evra sur le Figaro.fr

samedi, 07 août 2010

Italie: une touriste française de 17 ans violée sur l'île de Capri

C’est un agent d’entretien des rues qui, ce samedi matin a découvert cette jeune touriste française de 17 ans, inanimée, à proximité de la place Piazzetta, sur l’île de Capri, au sud de l’Italie, dans le golfe de Naples.

La jeune fille a été transportée au service des urgences d’un hôpital de l’île.

Les médecins ont constaté que la jeune victime avait été violée.

Selon l’agence de presse italienne Ansa, la jeune fille passait ses vacances avec des amies à Capri.

Les enquêteurs vont analyser les images prises par les caméras de vidéosurveillance pour tenter de retrouver le ou les agresseurs, précise Le Figaro.

Fidel Castro est là

Fidel Castro a mis en garde e samedi Washington sur les conséquences d'une guerre nucléaire contre l'Iran lors de son premier discours prononcé devant le Parlement cubain depuis qu'il a cédé le pouvoir il y a quatre ans.Fidel Castro a mis en garde e samedi Washington sur les conséquences d'une guerre nucléaire contre l'Iran lors de son premier discours prononcé devant le Parlement cubain depuis qu'il a cédé le pouvoir il y a quatre ans.Vêtu d'une chemise kaki, Fidel Castro, qui aura 84 ans vendredi prochain, a été accueilli dans la salle par des applaudissements nourris et des "viva!" de la part des députés, des membres du gouvernement et de son frère et successeur Raul, 79 ans, selon des images transmises en direct par la télévision cubaine.

Connu pour ses discours-fleuve du temps de sa présidence, Fidel Castro a prononcé cette fois un discours d'une dizaine de minutes pour évoquer le danger que le bras de fer entre les Etats-Unis, Israël et l'Iran débouche sur une guerre nucléaire. Il n'a pas évoqué la situation à Cuba.

Le président des Etats-Unis Barack Obama, "du fait de ses nombreuses occupations, ne s'est pas encore rendu compte de cela, mais ses conseillers ont commencé à prendre conscience" de la situation, a déclaré Fidel Castro, debout à la tribune.

C'était la première fois que le "Commandant en chef" s'exprimait en direct à la télévision depuis sa grave maladie qui l'a contraint de céder la présidence le 31 juillet 2006.

Le 26 juillet dernier, le père de la Révolution cubaine, qui reste le Premier secrétaire du Parti communiste, avait déclaré qu'il solliciterait la tenue d'une séance extraordinaire du Parlement afin de mettre en garde contre l'imminence d'un conflit nucléaire.

Dans un billet publié mercredi dernier dans la presse locale, il avait lancé un "appel" à Barack Obama pour qu'il se garde de toute intervention militaire contre l'Iran, qui est dans le collimateur des grandes puissances pour son programme nucléaire controversé.

Depuis un mois, Fidel Castro, qui se consacrait pendant sa convalescence à l'écriture de ses "réflexions" sur l'actualité dans la presse et de ses mémoires

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vendredi, 06 août 2010

TALLA SYLLA AVERTIT : « Quand Wade partira, Karim va cirer les toilettes des chambres de Rebeuss»

 

 

Auteur:
lobservateur    

Le ton n'a pas changé, la cible non plus. En visite hier à Mousdalifa, un quar­tier inondé de la banlieue, Talla Sylla s'est à nouveau appesanti sur ce qu'il appelle les limites objectives de Karim Wade en insistant qu'après le départ imminent de Wade, Karim Wade va vite oublier la banlieue. Et pour cause... 

L'accoutrement kaki qu'il a arboré hier cadre parfaitement avec le ton guerrier. Talla Sylla, pour narguer le directeur de cabinet de Karim Wade, était à nouveau dans la ban­lieue, précisément dans la commune d'ar­rondissement de Djida Thiaroye Kaw. Hier.il n'a pas dérogé à la règle. D'emblée, mépri­sant Bachir Diawara, Talla Sylla a soutenu que jamais il ne parlera de la vie privée de Wade, «parce qu'il ne le mérite pas». Mais cela ne l'empêche pas de donner son point de vue sur ce qui semble être la nouvelle des­tination de Karim : la banlieue.

Une desti­nation que Karim Wade va vite oublier. En effet, Talla estime que lorsque son père «partira en 2012, et que lui Karim Wade va se mettre à cirer les toilettes des chambres de Rebeuss, il va oublier la banlieue». Talla estime qu'au-delà des populations de la ban­lieue, c'est tout le Sénégal qui est méconnu par le fils de Wade. En effet, pour Talla «Karim a toujours pris Kébémer pour une région et Niary Tally pour un département». Fort de ce constat, Talla pense qu'il est du devoir et du droit de chaque Sénégalais de faire le bilan de l'alternance et de constater le gâchis perpétré «par le clan des Wade». «C'est une monumentale escroquerie qui a amené le clan Wade à dilapider le capital politique, le capital espoir et le capital confiance que les Sénégalais ont eu sur l'al­ternance».

Le leader de l'alliance Jëf jël avertit que la génératiop du salut qu'il va mettre en place, va s'opposer au projet de dévolution monar­chique prêté à Wade. Talla estime que «Wade et son clan sont allés trop loin dans l'ingratitude en posant chaque jour des actes tendant à confisquer la souveraineté du peu­ple sénégalais». Pour justifier ce constat, Talla Sylla a cité pêle-mêle le report des élec­tions, la prolongation du mandat des dépu­tés, les tripatouillages de la constitution et le quota de 75% alloué à Wade pour la mise en place en place du Sénat.


 

jeudi, 05 août 2010

Coupe du monde 2010 - Anelka se pose en victime

Nicolas Anelka a attribué, dans un entretien à France-Soir, la responsabilité du fiasco des Bleus au Mondial à Raymond Domenech et au journal l'Equipe qui avait rapporté des insultes contre l'entraîneur, qui lui avaient valu d'être exclu de l'équipe de France.Alors que Laurent Blanc doit communiquer ce jeudi (11h30) sa liste de joueurs convoqués pour le match amical France-Norvège, Nicolas Anelka a, pour sa part, remis les pieds dans le plat. L'attaquant de Chelsea est revenu sur ce qui s'est passé en Afrique du Sud. Encore. Dans un entretien à France-Soir, il a attribué la responsabilité de la débâcle tricolore à Raymond Domenech et au quotidien L'Equipe.

"Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting et je suis le premier à le reconnaître", a-t-il expliqué. Selon lui, Domenech ne l'a jamais utilisé comme il l'aurait dû : "Le coach savait parfaitement où et comment je voulais évoluer. Hélas, ça ne s'est jamais produit. Mon plus gros regret est là: ne pas avoir pu évoluer à mon poste" ajoute-t-il "j'étais condamné à jouer contre nature". Anelka en a profité également pour revenir sur l'incident qui l'a opposé à son sélectionneur le 17 juin, à la mi-temps du match contre le Mexique : "Quand le coach, dans les vestiaires, me dit de rester devant, c'est monté direct au cerveau. Je me suis dit qu'il le faisait exprès, qu'il cherchait un mec pour prendre les coups à sa place".

"Tout est faux !"

"Je marmonne dans mon coin des choses qui resteront dans le secret des vestiaires. Et qui auraient dû y rester. Mais en aucun cas ce ne sont les mots que j'ai pu lire dans L'Equipe", a-t-il rajouté. Aux yeux de l'ancien Parisien, le quotidien sportif a joué un rôle dans son exclusion immédiate de l'équipe de France et porte aussi une responsabilité dans l'élimination prématurée des Bleus. Selon le footballeur, le titre de l'Equipe "est non seulement diffamant mais également "assassin". En faisant ça le journal a détruit les chances de la France et plus accessoirement a cherché à me nuire. Ce titre a créé une guerre entre le coach et les joueurs, puis entre les joueurs et la Fédération. Cet acte est scandaleux". Et de répéter, refusant de s'excuser "pour des mots qui ne sont pas sortis de (sa) bouche" : "Le pire c'est que tout est faux !".

Nicolas Anelka est également revenu sur les supposés différends avec le Bordelais Yohann Gourcuff. "De la pure fiction", selon lui. Dans l'entretien accordé à France-Soir, il en profite également pour rendre hommage à Patrick Evra, "un capitaine exemplaire qui a défendu ses soldats". In fine, Anelka a tenu à réagir aux "propos racistes" d'une "minorité de Français" sur les joueurs de l'équipe de France : "Quand ça se passe mal, on redevient des immigrés noirs (même quand on ne l'est pas!) ou arabe, racaille, caïd banlieusard et musulman".

François-Xavier RALLET (avec AFP) / Eurosport

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mercredi, 04 août 2010

Dits et non-dits de Di Rupo

Modifier les compétences et les institutions fédérées ne signifie pas automatiquement modifier la forme d’organisation de l’Etat. La Belgique post-2010 serait donc toujours un Etat fédéral composé de communautés et de régions. Une opinion de Régis Dandoy, politologue au Cévipol.

Trente juillet 2010, 18h. Salle internationale de la Chambre des Représentants. Le préformateur Elio Di Rupo tient, en néerlandais et en français, une longue conférence de presse après plus d’une semaine de silence quasi complet. De nombreuses informations sur les négociations sont distillées lors de son discours mais une phrase attire l’attention. "Tous les partis autour de la table s’accordent pour dire qu’il est probable qu’il y ait une évolution institutionnelle qui pourrait être équivalente à celles de 1980 ou de 1988-1989".

Extrapolons. Les réformes de l’Etat de 1980 et de 1988-89 ne sont pas les premières que la Belgique ait connues. Ni les dernières. Car la Belgique fédérale telle que nous la connaissons aujourd’hui s’est construite étape par étape.

Petit rappel historique. La préhistoire de ces réformes de l’Etat se situe en 1962 avec la mise en place de la frontière linguistique et en 1963 avec l’instauration de l’unilinguisme régional en Flandre et en Wallonie.

La première réforme eut lieu en 1970 avec la création et la mise en place des communautés culturelles, ancêtres des actuelles communautés. La mise en place des régions wallonne et flamande n’eut lieu que lors de la seconde réforme de l’Etat, celle de 1980. Celles-ci (ainsi que les communautés) reçurent de nombreuses compétences, un parlement et un gWouvernement. En 1989, c’est au tour de la région Bruxelloise d’être installée et d’autres compétences furent prises à l’Etat central pour les donner aux régions et communautés.

 Mais ce n’est que lors de la troisième réforme de l’Etat, celle de 1993, que la véritable révolution copernicienne s’effectua. En effet, la Constitution belge, une nouvelle fois révisée, stipulait désormais dans son article premier que "La Belgique est un Etat fédéral". La Belgique unitaire, même fortement régionalisée, avait vécu. Elle entrait désormais dans le cercle des Etats fédéraux. Qui plus est, il a été décidé d’attribuer la compétence résiduaire aux entités fédérées. En d’autres mots, l’Etat ne dispose plus que des compétences qui sont listées dans la Constitution, les autres compétences appartenant "par défaut" aux régions et communautés.

Mais, faute de pouvoir s’accorder sur le contenu de cette liste, ce pan de la réforme ne fut jamais appliqué. L’article 35 de la Constitution portant sur cette compétence résiduaire attend encore et toujours son entrée en vigueur. Les réformes de l’Etat qui suivirent - 1999 et 2001 - furent comparativement de moindre ampleur et concernèrent principalement l’autonomie fiscale des entités fédérées ainsi que l’acquisition de nouvelles compétences.

Sur base de cet éclairage, les déclarations d’Elio Di Rupo paraissent surprenantes. Faire référence aux réformes de 1980 et 1988-1989, cela signifie attribuer plus de compétences aux communautés et aux régions. Donc, répondre positivement aux demandes des partis flamands. Mais cela signifie également que l’organisation institutionnelle de ces entités fédérées sera revue.

Diverses pistes peuvent être à cet égard envisagées : la fusion de la communauté française et de la région wallonne, l’attribution à Bruxelles d’un statut équivalent aux autres régions, la création d’une quatrième région germanophone, etc.

 

A n’en pas douter, la prochaine réforme de l’Etat devrait ainsi combiner une redéfinition des compétences en faveur des régions et communautés et un redécoupage institutionnel de ces entités fédérées. Mais, dans le discours du préformateur, c’est surtout l’absence de toute mention à la réforme de l’Etat de 1993 qui saute directement aux yeux. On ne se dirigerait pas vers une modification de la structure de l’Etat belge comme on l’a connue en 1993 en passant d’un Etat unitaire à un Etat fédéral.

Exit donc les revendications flamandes en faveur du confédéralisme. Car, modifier les compétences et les institutions fédérées ne signifie pas automatiquement modifier la forme d’organisation de l’Etat. La Belgique post-2010 serait donc toujours un Etat fédéral composé de communautés et de régions.

Reste alors sur la table la question de la compétence résiduaire. Un accord sur cette liste de compétences appartenant au fédéral et l’entrée en vigueur de cet article 35 sera-t-il suffisant pour répondre aux demandes flamandes ? Et quelles seront les éventuelles compensations obtenues par les partis francophones ? S’ils veulent répondre à ces questions, les prochaines semaines ne s’annoncent pas vraiment calmes pour le préformateur et le groupe des 7

Ahmadinejad a échappé à un attentat

pict_248767.jpgM. Ahmadinejad a prononcé peu après un discours retransmis en direct par la télévision iranienne, dans lequel il n'a fait aucune allusion aux faits qui n'ont pas été rapportés immédiatement par les autres médias présents sur place.
Le président Mahmoud Ahmadinejad en déplacement à Hamedan (ouest de l'Iran) a échappé mercredi à une tentative d'attentat, selon le site conservateur Khabaronline.ir qui n'a pas fait état de victimes.

Une grenade a explosé à proximité du convoi du président Ahmadinejad en déplacement à Hamedan (ouest de l'Iran), a indiqué le site.L'engin a explosé à proximité d'un minibus transportant des journalistes, à une centaine de mètres de la voiture transportant le président qui n'a pas été atteint, selon la même source qui ne donne pas d'autre précision.Selon Khabaronline.ir, "l'assaillant a été arrêté" alors que la foule scandait des slogans hostiles aux "hypocrites", les Moudjahidine du peuple, principale organisation de lutte armée contre le régime iranien.

M. Ahmadinejad a prononcé peu après un discours retransmis en direct par la télévision iranienne, dans lequel il n'a fait aucune allusion aux faits qui n'ont pas été rapportés immédiatement par les autres médias présents sur place.

L'Iran dément une tentative d'attentat contre Ahmadinejad

Aucune tentative d'attentat contre le président Mahmoud Ahmadinejad n'a eu lieu mercredi à Hamedan, dans l'ouest de l'Iran, a déclaré à l'AFP un responsable du bureau des médias de la présidence iranienne, démentant une information du site conservateur Khabaronline.

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PROGRAMME DE GOUVERNEMENT DE BENNOO : L’Apr émet des réserves

L’Alliance pour la République (Apr) opte pour un mandat de rupture au cas où l’opposition arrive au pouvoir en 2012. Elle émet des réserves sur le modèle de transition proposé par des partis membres de Bennoo siggil Sénégal.

la banner_maycky_2010.giftransition politique proposée par des partis membres de Bennoo Siggil Sénégal ne semble pas emballer totalement l’Alliance pour la République. Tout en « renouvelant son ouverture pour la discussion », Macky Sall et ses camarades qui se sont réunis avant-hier expriment des réserves sur le sujet. Ils prônent un « un mandat de rupture, avec l’adoption d’une nouvelle Constitution. Selon le texte, celle-ci garantirait « l’équilibre entre les pouvoirs et mettrait fin à la vassalisation des Institutions de la République, et pour une gouvernance concertée ».

Malgré les réserves émises, le directoire de l’Apr se félicite du « consensus établi lors du séminaire de Bennoo siggil Sénégal sur les orientations programmatiques globales, conçues en termes d’un recadrage institutionnel judicieux comme socle des Réformes économiques sociales, articulées à la Charte de Gouvernance démocratique issues des travaux des assises nationales ». Il estime que cette approche exige d’établir un nouvel ordre de priorité dans la gestion du pays. S’agissant du processus de révision des listes électorales, l’Apr estime que celui n’a pas pu être effectif, car « aucune pièce d’identité n’a été délivrée sur la période ». C’est pourquoi l’Apr propose une évaluation sans complaisance du processus. Elle souhaite la délivrance des cartes nationales d’identité à tout citoyen qui en formule la demande et la prolongation de la période de révision afin que tous les Sénégalais puissent exercer, le moment venu, leur droit de choisir en toute liberté ceux qui devront les représenter.

Dans la même optique, l’Apr interpelle formellement la Commission électorale nationale autonome (Cena) pour qu’elle assume pleinement ses responsabilités en mettant en œuvre les prérogatives que la loi lui confère en matière de surveillance et de transparence du processus électoral. Sur un autre point, le directoire politique de l’Apr appelle tous les Sénégalais à se mobiliser pour participer massivement à la marche nationale prévue par Bennoo siggil Sénégal, le 14 août 2010.

S’agissant de la crise qui secoue le domaine des télécommunications, l’Apr estime que l’entrée de « Global Voice » constitue « une grave atteinte ».

Babacar Ndione

11:51 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : macky |  del.icio.us |  Facebook | | |

Talla Sylla attaque : Karim Wade s'énerve

La sortie la semaine dernière du leader du Jëf Jël Talla Sylla a fait sortir Karim Wade de ses gonds, qui selon un communiqué reçu à la rédaction par courriel, a actionné un de ses nègres de service. Lire le communiqué du Jëf Jël

Auteur: sununews

 « La banlieue sera le cimetière des ambitions de Karim Wade». « Quand je discutais avec les parents de Karim, alors opposants, ce dernier jouait dans la piscine».

Ces vérités que j’ai publiquement exprimées dérangent au plus haut point celui qui nourrit l’ambition folle et démesurée de succéder à son père, Wade. Autrement, comment comprendre que Karim, qui était resté discret, quand j’accusais son père d’avoir commandité l’assassinat de Maître Babacar SEYE et la tentative d’assassinat contre ma personne, actionne un de ses nègres de service.

La diversion ne passera pas !

La monstrueuse escroquerie est le fait du clan Wade qui a dilapidé le capital politique, d’espoir et de confiance placé en l’Alternance par le peuple sénégalais.

L’ingratitude patente est l’œuvre de ceux qui, une fois installés au pouvoir par le peuple sénégalais, ont choisi de poser des actes contre la souveraineté de ce même peuple : non respect du calendrier républicain, prorogation du mandat des députés, tripatouillages incessants de la Constitution, un Senat (nommé par Wade) placé au dessus de l’Assemblée nationale (élue par le peuple).

Le stade suprême de l’antipatriotisme est atteint avec le processus de dévolution monarchique en marche au Sénégal et auquel nous entendons faire échec par tous les moyens légitimes.

Nous sommes conscients de la menace que nous représentons pour les partisans du « Krim » contre la République. Les petits apprentis sorciers de la génération dite du concret ne parviendront jamais à hisser leur « petit maître », dont les seuls mérites ont été artificiellement fabriqués à coup de décrets, au rang de leader crédible et respectable. L’arrogance est un défaut majeur qui conduit fatalement à des réussites mineures ; une réussite mineure étant un échec fatal pour un arrogant majeur.

La Génération du Salut, avec les « volontaires du Wallu », a investi la banlieue dans le cadre d’une opération de solidarité active, discrète parce que sincère, aux antipodes d’une exploitation électoraliste de la misère. 

Quand je quittais Grenoble pour Londres en 1995, Karim était encore un jeune étudiant de 27 ans incapable de citer trois (3) régions du Sénégal. Il n’a jamais participé à la moindre manifestation pour l’avènement de  « l’Alternance ». Il est aujourd’hui un membre éminent de cette nébuleuse au pouvoir et qui est pompeusement appelée gouvernement alors que le seul ministère qu’il mériterait de diriger est celui des parcs d’attractions.

Qu’il sache que la Génération du Salut lui barrera la « route vers le sommet » pour que vive la République !

mardi, 03 août 2010

Moussa Dadis camara réside à Sébénicoro au mali depuis trois semaines

dadis_t.jpgLe capitaine Moussa Dadis Camara aurait quitté le Burkina Faso pour la capitale malienne où il se trouverait en ce moment a confié une source gouvernementale officieuse à APA.

L’arrivée annoncée de Blaise Compaoré en Guinée pour une visite de travail, pourrait éclairer l’opinion nationale et internationale sur cette information.

Le chef de la junte qui avait été blessé lors d’une altercation avec son ancien aide de camp, le lieutenant Aboubacar « Toumba » Diakité le 3 décembre 2009, avait été évacué au Maroc pour des soins intensifs.

Après quelques semaines de traitement, Dadis avait été accueilli au Burkina Faso par le médiateur de la crise guinéenne Blaise Compaoré, en janvier dernier.

Celui-ci avait promis de lui accorder l’asile pour sa période de convalescence en attendant que les élections puissent se tenir en Guinée, grâce à la signature d’accords survenus le 15 janvier entre Dadis Camara et le général Sékouba Konaté, qui devait assurer l’intérim de la transition.

Il y a environ trois mois des informations avaient circulé selon lesquelles, Dadis qui commençait à se sentir en pleine forme, avait plaidé pour son transfert au Mali où il se sentirait plus proche de son pays. 

Auteur:
APANEWS  

13:41 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dadis |  del.icio.us |  Facebook | | |

CARTES NATIONALES D'IDENTITÉ : Macky Sall dénonce une distribution « sous table » et soupçonne un sabotage du processus électoral

mackky_1.jpgLe problème des cartes nationales d'identité refait surface. Dépassée la longue période pendant laquelle elles n'ont pas été pro­duites, le président de l'Alliance pour la république (Apr) soupçonne le pouvoir de faire une distribution clientéliste de ces doc­uments d'identification. À l'en croire, "les cartes nationales d'identité sont distribuées sous la table, selon la tête du client". Ce qui, à son avis, est "une volonté manifeste du pouvoir en place de saboter le processus électoral".

Macky Sall a fait cette sortie, avant-hier, à Sicap Mbao, où en meeting, il a enregistré le ralliement de militants du Parti démocratique sénégalais (Pds) de Me Wade, de l'Union pour le renouveau démocratique (Urd) de Djibo Kâ et de l'ex-Rewmi d'Idrissa Seck. Après avoir souhaité la bienvenue aux nou­veaux "apéristes", l'ancien Premier ministre a tenu, dans son discours, à les remercier pour la confiance qu'ils ont placée en sa per­sonne.

Auparavant, les responsables locaux de l'Apr, Ibrahima Lô, Aldiouma Ba, Maïmouna Kane, Hélène Sylva et Aliou Goudiaby entre autres, avaient dit la nécessité de "bouter hors du Palais Abdoulaye Wade et sa famille" qui, selon eux, sont à l'origine des maux et de la misère du peuple sénégalais. " La seule alternative à leurs yeux demeure le président de leur formation politique, l'an­cien Premier ministre Macky Sall. 

 

Auteur:
Baïdy SOW 

Macky Sall en tournée aux Etats Unis

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lundi, 02 août 2010

Youssou Ndour dit merci aux sénégalais du Benelux

Samedi 31 Juillet 2010:Le Président de l'Association des Sénégalais de Bruxelles et Environs Alioune DIOP accompagné par l'entrepreneur Momar DIENG Diallo ont accueilli l'artiste Youssou Ndour qui manifestait une grande joie pour rencontrer ses compatriotes de Belgique à Bruxelles au stade communal d'Ixelles où il y avait de bons matchs de football (Nawétanes) animé par le stratége Emile Turpin avant de terminer sa visite au festival de Sfinks à Anvers qu'il a animé durant deux heures d'horloge. Youssou Ndour y profita encore pour remercier tous les sénégalais d'Europe et leur dédie le dernier morceau Salégne-salégne.

Arrivée de la Star Mondial au Stade Communal d'Ixelles

Allocution de Youssou Ndour