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mardi, 05 octobre 2010

Bolivie: quand le président se prend pour Zidane

Evo Morales, le président de la Bolivie, est un homme au sang chaud. Malgré la retenue que doit lui conférer sa fonction, Morales a parfois du mal à garder ses nerfs. Illustration sur un terrain de football où il s'est fait justice en portant un coup vraiment très bas à un adversaire...

En politique comme en sport, il faut savoir maîtriser ses nerfs malgré les coups bas. Zinedine Zidane en sait quelque chose, exclu en finale de Coupe du monde après avoir violemment réagi à une insulte de l'Italien Marco Materazzi. Plus de quatre ans après les faits, Zizou continue à faire des émules. Mais cette fois, c'est au plus haut sommet de l'état bolivien que cela s'est passé. Numéro 10 sur le dos, Evo Morales, le président de la Bolivie et grand amateur de football, a disputé lundi un match de football avec son équipe présidentielle contre la mairie de la Paz, d'un bord politique différent. Victime d'une semelle non sanctionnée par l'arbitre, Morales a donc décidé de sévir lui même en adressant un violent coup de genou dans l'entrejambe de son opposant politique... Un incident qui a provoqué une échauffourée, conclue par l'expulsion du défenseur fautif et d'un garde du corps présidentiel. "J'ai passé le ballon et j'ai reçu d'un coup une semelle, et ce n'est pas la première fois que cela se produit", a déclaré Morales à l'issue d'un match houleux (4 expulsions). Mais à l'inverse de Zidane, Morales n'a pas pris de carton rouge. Peut-être une nouvelle sorte d'immunité présidentielle.

 En tout cas, en France, on préfère encore voir à l'oeuvre Valéry Giscard d'Estaing, transformant un penalty. En 1973, celui qui n'était pas encore président de la République mais seulement ministre des Finances avait montré l'étendue de son talent balle au pied dans un contexte beaucoup moins hostile... 

La Belgique « cliniquement morte »

La situation politique apparaît plus confuse que jamais au lendemain de la décision de la N-VA de décréter la fin des négociations à sept nées du résultat des élections du 13 juin. Pour le député flamand Eric Van Rompuy, frère du président du Conseil européen Herman Van Rompuy, la Belgique est cliniquement morte. Laurette Onkelinx ranime l’idée d’un plan B. Les médiateurs sont attendus chez le Roi à 17 heures.

Le président de la N-VA, Bart De Wever, a lancé lundi un appel à « tous les partis » pour repartir de zéro dans une discussion devant mener à une réforme de l’État et à la formation d’un gouvernement.

Cet appel a relancé les spéculations sur un éventuel retour des libéraux, écartés jusqu’ici des discussions. Mais l’enthousiasme n’y est pas dans le camp des trois partis francophones engagés jusqu’ici dans les discussions institutionnelles, le PS, le CDH et Ecolo. C’est un euphémisme. Les présidents des trois partis ont rappelé dès lundi que « l’offre de service » faite, dans le vif des discussions institutionnelles, par le MR à la N-VA lors d’un déjeuner dans un restaurant de la capitale avait rendu la situation plus compliquée encore.

« Emmener Bart De Wever au restaurant pour calmer son appétit institutionnel n’était pas la meilleure des idées », a commenté Jean-Michel Javaux (Ecolo) sur RTL-TVI.

Dimanche encore, le président du MR, Didier Reynders, indiquait que les négociateurs s’étaient trompés de méthode à propos de la loi de financement. Selon lui, il fallait d’abord se demander ce qu’on veut encore faire ensemble et comment le financer. Après, il n’y a plus aucun problème à parler d’autonomie fiscale, faisait-il valoir.

Ce mardi sur La Première (RTBF), la présidente du CDH Joëlle Milquet a confirmé que le MR et les autres partis francophones n’étaient pas sur la même longueur d’onde à cet égard. « Ce n’est pas le choix que nous avons fait », a-t-elle fait observer. Selon elle, l’échec des négociations n’est pas dû à un problème de méthode mais à l’absence de volonté d’un partenaire d’évoluer vers un compromis. Ecolo est du même avis. Pour Joëlle Milquet, « il reste des alternatives, des capacités, prenons-les. » Le PS ne voit pas comment l’arrivée des libéraux pourrait améliorer la situation. Mais à ce stade, c’est surtout l’attitude de la N-VA qui le fait sortir de ses gonds. Le président des nationalistes flamands, Bart De Wever, a suggéré lundi que les francophones étaient revenus sur certains acquis relatifs au transfert de compétences. « Si monsieur De Wever dit cela, alors il ment », a asséné lundi soir le ministre Paul Magnette (PS) sur Terzake (VRT). « Et ce n’est pas un mot que j’ai l’habitude de prononcer », a-t-il précisé.

La situation apparaît plus paralysée que jamais, la vice-première ministre Laurette Onkelinx (PS) réévoquant la nécessité, « plus que jamais », de réfléchir à un plan B pour les francophones.

Au CD&V, le pessimisme semble également l’emporter. « La Belgique est dans le coma. Le patient est en (état de) mort clinique », a constaté le député flamand Eric Van Rompuy (CD&V). S’exprimant mardi sur Bel-RTL, ce dernier a regretté l’échange de petites phrases émanant tantôt de la N-VA, tantôt du PS et l’absence de discrétion de la nouvelle génération politique qui rendent le climat détestable. Il a également critiqué l’unilatéralisme de la N-VA qui a débranché la prise sans concertation préalable. L’élu CD&V a estimé qu’il revenait maintenant « à Bart De Wever à prendre ses responsabilités. » Les deux médiateurs, André Flahaut (PS) et Danny Pieters (N-VA), respectivement présidents de la Chambre et du Sénat, se rendront mardi à 17 heures chez le roi. Ils demanderont au chef de l’État d’être déchargés de leur mission.

(D’après Belga)

Vieux Bin [Mossi] Aux Gueulards MENDE & Cie: Animalité du MOBUTisme dans les assassinats de 5000000 des Zairois...

Mon cher Mosssi,

Je te demande de bien vouloir informer certains cyberpoliticiens congolais, que la real politique et la cyberpolitique ne se font pas avec de médisances et de calomnies, surtout que la tolérance et le respect des positions des autres est une règle de convenance sociale universelle.

Axel L. n'a pas pu contrôler sa plume (ce qui est souvent un exercice difficile), compte tenu de ce que certains cyberpoliticiens, certains cyberanalystes politiques congolais affichent sur le Net. Axel a confondu LAMBERT MENDE et RENE MENDE, alors qu'il n'y a qu'une simple homonymie du seul nom. Je porte aussi le nom de Shungu, nom porté par les femmes au Zimbabwe. Le nom Ngandu se trouve au cameroun, au kasaïet au Maniema.

Pour lever l'équivoque:
René Mende est un ancien Lovaniard (Université Lovanium), un ancien milicien enrôlé de force dans l'armée, informaticien formé en Roumanie et à Louvain-la-Neuve (Belgique).

René Mende vit en Europe, sans interruption depuis 1973/74 et père des filles et fils, diplômés universitaires. René Mende avait quitté le Zaïre par la grande salle de l'aéroport international de Ndjili, avec un passeport officiel, en tant que boursier: c'était l'époque où même les foetus, les maccabés et les morts étaient membres du MPR. Tout Congolais jusqu'au 17 mai 1997 était membre du MPR.

René Mende a le droit d'avoir ses opnions et de les exprimer sur le Net. Mais on a le droit de combattre ses idées avec des autres idées, mais le droit de s'en prendre à sa personalité, à son intégrité morale (et physique).

Ses préférences politiques sont une affaire privée.

Tundanonga

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COMMUNIQUE DE PRESSE N°046/RDC/VSV/CD/2010

La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) est vivement choquée par l’exécution sommaire et extrajudiciaire dont a fait l’objet, monsieur Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, dans la nuit du vendredi 01 au samedi 02 octobre 2010.

 M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, ressortissant RDCongolais vivant en Europe, a été appréhendé, mercredi 29 septembre 2010, par les militaires de la Garde Républicaine (GR) suite au jet de pierres sur le cortège présidentiel, particulièrement sur le véhicule conduit par monsieur Joseph KABILA, Président de la RDCongo, sur l’avenue de la Libération, à la hauteur de la Maison Schengen, Kinshasa/Lingwala.

 M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, a été immédiatement maîtrisé par des militaires de la GR qui l’ont soumis à une violence  sans précédent avant de l’embarquer à bord d’un des véhicules du cortège présidentiel pour une destination inconnue.

 Des informations parvenues à la VSV font état de la poursuite de la torture, traitements cruels, inhumains et dégradants dont a fait l’objet la victime jusqu’à son décès.

 Dans tous les lieux de détention où M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU est passé, des traitements atroces et sévices corporels lui y auraient été infligés pendant des interrogatoires.

 Contrairement au communiqué du Procureur Général de la République rendu public sur la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), samedi 02 octobre 2010, faisant état du décès par « suicide » à l’aide d’un fil d’oreiller, le décès de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU serait consécutif à la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants auxquels la victime a été soumise.

 Nul n’est besoin de rappeler les conditions généralement infrahumaines dans les lieux de détention en RDCongo.

…/… Disposer d’un oreiller relève d’un luxe non accessible à tout détenu surtout lorsqu’on s’en tient à la nature des actes répréhensibles commis par le précité.

 L’exécution sommaire et extrajudiciaire de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU vient allonger la liste macabre après l’assassinat de monsieur Floribert CHEBEYA BAHIZIRE et la disparition forcée de monsieur Fidèle BAZANA EDADI par les services de l’ordre public et de sécurité et constitue une preuve de plus que le gouvernement RDCongolais ne garantit pas à la population RDCongolaise la jouissance des droits humains notamment le droit à la vie, le droit à ne pas être soumis à la torture ou autres traitements cruels, inhumains et dégradants…

 Tout en exprimant sa vive désapprobation contre le jet de pierres sur le cortège présidentiel, la VSV estime en principe que M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU devait être déféré devant une juridiction compétente garantissant son droit à la défense pour répondre de ses actes devant la loi.  
La VSV constate malheureusement la persistance de la  culture de la mort et la banalisation de la vie humaine par le pouvoir en place qui s’arroge le droit de vie et/ou de mort sur des individus en lieu et place de les protéger conformément à la Constitution de la RDCongo et aux instruments juridiques internationaux ratifiés par la RDCongo.

 Somme toute, la VSV exige :

-         Une autopsie objective susceptible de déterminer la cause exacte de la mort de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU ; 

-         Une enquête indépendante pour faire toute la lumière sur la mort de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU en vue de poursuites et sanctions contre les coupables, à l’issue d’un procès juste et équitable ;

-         L’indemnisation et le dédommagement de la famille biologique de la victime.    

 

         Fait à Kinshasa, le 04 octobre 2010.

Exclu: Ali Bedredine, suspendu 91 ans, témoigne

La rédaction de Chronofoot est allée à la rencontre d'Ali Bedredine. Suspendu 91 ans par la FFF pour avoir deux licences de futsal, il raconte le calvaire qu'il vit depuis plus d'un an.AL.jpg

"Tout cela part d'une erreur de la Fédé". Voici à quoi pourrait se résumer le calvaire d'Ali Bedredine. Suspendu 91 ans pour évoluer au sein de deux clubs (dont l'un se trouve à Champs-sur-Marne en région parisienne), Ali Bedredine, est privé de foot depuis plus d'un an. Problème, les deux clubs appartiennent à deux instances différentes. En effet, le Futsal est représenté en France par la FFF (Fédération Française de Football) et l'UNCFs (Union Nationale des Clubs de Futsal). Ali possède une licence dans chacune des deux associations. Depuis plus d'un an, sa vie est devenue un cauchemar. Pour Chronofoot, Ali détaille: "C'est du jamais vu. Quand je vois des joueurs comme Hadji qui a failli taper un arbitre, qui prend 6 mois de suspension, puis qui fait appel et qui s'en sort avec 6 matches... J'ai rien fait de mal. Je représente la France (il est international français de futsal, ndlr), et je suis sanctionné 91 ans".

"Suspendu jusqu'au 31 décembre 2099. C'est impensable"

Bien entendu, cette sanction n'est pas arrivée du jour au lendemain. Un véritable imbroglio juridique est la source du conflit qui oppose Ali à la FFF. Un règlement de compte entre deux instances qui prend en otage un licencié: "Ils ont envoyé un courrier au club me demandant de choisir entre mes deux licences. Sauf qu'au mois d'août (2009, ndlr) le club est fermé. Si j'avais su, j'aurais fait mon choix et puis ce se serait vite terminé". Finalement, c'est une lettre recommandée à son domicile qui a permis à Ali de découvrir son triste sort. Il est suspendu et ne peut jouer dans aucun des deux clubs: "J'avais 10 jours pour faire appel, mais c'était trop tard. J'ai vu que j'étais suspendu jusqu'au 31 décembre 2099. C'est impensable. Si on voulait me priver de football, il fallait le dire. Je suis amateur, j'ai 31 ans, je voulais encore jouer une ou deux années maximum, puis devenir éducateur. Je ne peux plus rien faire, je ne peux plus m'asseoir sur un banc ou participer à un entraînement". S'il avoue faire partie des entraînements de temps à autre, il sait que s'il lui arrivait quelque chose, il ne serait pas assuré. Mais la passion est trop forte.

La FFF a même poussé le bouchon jusqu'à réclamer 3 000 euros à Ali Bedredine. Cependant, ce que la Fédé n'avait pas prévu, c'est l'engouement médiatique que cette affaire prendrait. Après un an de procédure, et un verdict confirmé, Ali Bedredine, a fait appel à l'unique quotidien sportif de France pour conter son histoire. Les journalistes de L'Equipe ont passé quelques coups de fil et il semblerait que l'affaire soit en passe d'être réglée. L'instance française a accepté de revoir son jugement en échange d'une attestation sur l'honneur de monsieur Bedredine expliquant qu'il ne jouerait plus que pour une seule association. Cette lettre a été envoyée depuis déjà 10 jours sans aucune réponse: "Pour le moment on me dit d'attendre, que mon cas sera bientôt étudié... Je veux juste ma licence. Tout s'arrangera le jour où je l'aurai récupérée".

"Anelka et moi ce n'est pas comparable"

Cette affaire de sanction fait étrangement écho à celle des Bleus. La sanction de Nicolas Anelka, qui le prive de 18 matches en équipe de France

10:31 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fff |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 04 octobre 2010

Attentat sur Hatem Ben Arfa, qui sera absent 6 mois des terrains...

Décidément, à l'instar de Franck Ribéry, c'est une année noire pour le jeune talent du football français Hatem Ben Arfa. Lire la suite l'article

BENARFA.jpgEn effet, l'ancien Lyonnais, 23 ans, était parvenu à rejoindre l'équipe de Newcastle, en Angleterre, au terme d'un bras de fer estival avec l'Olympique de Marseille. Dès sa première titularisation avec les Magpies, le brillant joueur français marquait un but exceptionnel et donnait la victoire aux siens.

Dès lors, le public et la presse britannique l'avaient porté aux nues, voyant en lui un nouveau David Ginola - un autre joueur français qui avait fait les beaux jours de Saint James Park (le stade de Newcastle) à la fin des années 90.

Mais voilà, hier, sur la pelouse de Manchester, où les Magpies étaient venus affronter la redoutable armada de Manchester City, le joueur hollandais Nigel de Jong, portant les couleurs mancuniennes, s'est dit que les débuts d'Hatem était peut-être trop réussis.

Le joueur batave, alias "Le Boucher", avait déjà fracassé la poitrine de l'Espagnol Xavi Alonso lors de la finale de la Coupe du Monde en Afrique du Sud (voir la photo ci-dessus). Cette fois, il n'y est pas allé par quatre chemins et a réalisé un véritable attentat sur le joueur tricolore (voir la vidéo ci-dessus), dès la troisième minute de jeu.

Des images très dures et d'une violence rare sur un terrain de foot. Résultat : double fracture tibia-péroné de la jambe gauche, pour le talentueux gaucher. Hatem, après des débuts prometteurs, se retrouve donc indisponible pour au moins six mois.

Pour l'anecdote, Nigel de Jong n'a reçu aucun avertissement (même une fois que l'arbitre s'est rendu compte de la gravité de la blessure... Scandaleux !), et les Citizen ont fini par s'imposer 2 buts à 1, s'emparant de la deuxième place de la Premier League.

Souhaitons-lui le meilleur rétablissement possible.

Silvio Berlusconi : "On veut me renvoyer à la maison, mais où ? J'en ai vingt"

Le chef de gouvernement italien Silvio Berlusconi, très critiqué ces derniers jours pour le goût parfois douteux de ses plaisanteries, a ironisé dimanche à Milan sur la gauche qui veut le renvoyer à la maison, affirmant ne savoir où aller, vu qu'il en a une vingtaine. Lire la suite l'article

"La gauche ne cesse de me dire que je dois rentrer à la maison, mais elle me met ainsi dans l'embarras, parce que, moi, j'ai vingt maisons et je ne saurais pas laquelle choisir", a plaisanté Silvio Berlusconi, qui s'exprimait à la clôture de la fête de son parti, le Peuple de la liberté (PDL). Cette nouvelle blague a déclenché les rires et les applaudissements de ses supporters. Silvio Berlusconi s'était attiré samedi les foudres du Vatican et de la communauté juive après avoir raconté une blague d'un goût douteux sur les juifs et une autre où il utilisait un terme blasphématoire insultant le nom de Dieu. Il avait notamment raconté l'histoire d'une famille juive qui cache un autre juif en lui faisant payer une énorme mensualité, sans lui dire que la guerre est finie.

L'Osservatore romano, quotidien du Vatican, avait qualifié de "déplorables" "les plaisanteries du chef du gouvernement, qui offensent indistinctement les sentiments des croyants et la mémoire des six millions de victimes de la Shoah". Le principal dirigeant de l'opposition, le secrétaire du Parti démocrate (PD, gauche), Pier Luigi Bersani, s'est lui aussi emporté dimanche contre le chef du gouvernement : "Ça suffit les plaisanteries, ce qu'il faut, ce sont des règles, de l'honnêteté et de la légalité", a-t-il déclaré lors d'une réunion à Cortone (centre).

Le président de Groen! critique l'attitude de la N-VA

Le président de Groen! Wouter Van Besien s'interroge à propos de l'attitude de la N-VA. Le parti de Bart De Wever a adressé dimanche un ultimatum aux francophones, une initiative pas très heureuse, selon le patron des Verts flamands. Ce dernier était l'invité lundi de Radio 1 (VRT). Groen! est sur la même longueur d'onde que les autres partis flamands pour considérer qu'il y a lieu d'offrir aux Régions la possibilité de prélever une partie de l'impôt sur les personnes physiques. Les Verts estiment cependant que l'idée d'un ultimatum n'est pas bonne. "La N-VA refuse de faire des concessions aux francophones par la voie des médias mais elle attend d'eux qu'ils en fassent. Avec cet ultimatum, elle leur intime d'"aller se déshabiller préalablement faute de quoi elle leur refusera un ticket d'entrée à la table des négociations'". Le type de questions que pose la N-VA relève de la table des négociations pas de la scène médiatique, a-t-il expliqué. Wouter Van Besien a par ailleurs insisté sur la nécessité d'assurer la viabilité de l'Etat fédéral. Enfin, les Verts jettent au rayon des mauvaises idées la régionalisation de l'impôt des sociétés qui créerait une "concurrence entre Régions" ce qui ne serait pas bon économiquement. En dépit du "soap" post-électoral qui se joue depuis une centaine de jours, Wouter Van Besien n'ose imaginer un retour aux urnes. Ce serait "se moquer de l'électeur", a-t-il dit.

(VIM)

© BELGA

10:22 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : groen nva |  del.icio.us |  Facebook | | |

La N-VA pourrait (finalement) débrancher la prise

NVA.jpgC’est l’hallali. La phase finale de la chasse à courre a été lancée dans ce qu’il convient désormais d’appeler une non-formation gouvernementale. Reste encore à déterminer qui - de la N-VA ou des trois partis francophones - est la proie et qui est le chasseur. L’état-major de la N-VA se réunit aujourd’hui. Il doit répondre à la question stop ou encore ? Mais la réponse ne fait plus guère de doute. Ce sera stop. La N-VA attend un seul chiffre : quel pourcentage de l’impôt des personnes physiques les francophones sont-ils prêts à accorder aux Régions ?

Les nationalistes flamands sont arc-boutés autour de leur position : 40 à 50 % de l’IPP tombant dans l’escarcelle des entités fédérées afin d’enregistrer un changement "systémique" du mode de fonctionnement de la Belgique Mais, au vrai, la N-VA ne croit plus guère à un accord avec les francophones. Et l’analyse a été faite par l’état-major du parti : c’est maintenant qu’il s’agit de mettre un terme à, disent-ils, "cette mascarade politique". Après 25 jours de blocage total quasiment sans contact entre le PS et la N-VA, après 15 jours de "High Level Group" qui n’ont abouti qu’à un catalogue de principes sans conclusion unanime, les nationalistes flamands apparaissent prêts à débrancher la prise de cette non-formation gouvernementale moribonde. Mieux : ils sont convaincus qu’ils pourront expliquer cette décision devant l’opinion publique flamande sans trop de problème. Et engranger des points supplémentaires. Attendre davantage écornerait leur image

Ajoutez à cela que du côté des sociaux- chrétiens flamands du CD&V, la décision a été prise de ne pas lâcher d’une semelle la N-VA si celle-ci quitte la table de négociation, et vous aurez compris que les chances de reprise d’une négociation sont proches de zéro. "Nous savons pertinemment bien que, sur le contenu, la N-VA a raison : il nous faut 50 % de l’IPP pour les Régions", dit-on au CD&V.

 

Au vrai, on a assisté à un passionnant jeu de ping-pong dimanche après midi. L’ultimatum de la N-VA faisait suite aux déclarations des partis francophones engagés dans les négociations, sur les plateaux des traditionnels débats dominicaux. A l’émission "Mise au point" (RTBF), Jean-Marc Nollet, le membre Ecolo du high level group chargé de négocier une modification de la loi de financement, a dit que "la balle est clairement dans le camp de la N-VA". Cette dernière l’a donc rapidement renvoyée dans le jardin des francophones. Lesquels à leur tour l’ont reprise de volée pour la rejeter de l’autre côté du mur.

Dans un communiqué commun (c’est plutôt rare), PS, CDH et Ecolo ont répliqué à la mise en demeure flamande. A mots feutrés, ils avertissent la N-VA qu’ils n’iront pas plus loin. "Les éléments sont sur la table pour conclure un compromis équilibré dans tous les sujets évoqués", peut-on lire dans leur communiqué, "en ce compris, sur la base des conclusions du rapport du groupe de haut niveau, sur la loi de financement." Ils répètent leur optimisme. "Un accord équilibré est possible et indispensable pour les citoyens belges qui attendent une stabilisation du pays", professent PS, CDH et Ecolo. Qui pointent un doigt menaçant en direction de la N-VA : "Chaque parti et chaque communauté doivent pouvoir intégrer les demandes des autres. Aucun parti ne peut obtenir 100 de son programme. Il est aussi urgent de s’attaquer aux problèmes budgétaires et socio-économiques". Une façon de redire avec diplomatie ce que le secrétaire d’Etat au Budget Melchior Wathelet (CDH) déclarait le midi: "On n’arrivera pas à un accord si tout le monde dit : je veux un accord mais pour cela il faut être d’accord avec ce que je propose."

 

Les francophones exigent une réunion des présidents des 7 partis pour faire le point "à l’issue des consultations menées par les 2 médiateurs et des premiers travaux du groupe de haut niveau en ce qui concerne la réforme de la loi de financement". Sans doute veulent-ils aussi entendre les voix fluettes du CD&V et du SP.A. Pas sûr que ces deux-là soient tout à fait sur la même longueur d’onde que la N-VA. Le social-chrétien flamand Ludwig Caluwé n’a-t-il pas affirmé sur les ondes de la RTBF qu’un accord restait à portée de main avec ce qui était sur la table ? SP.A et CD&V ne sont-ils pas chacun venus avec des propositions d’une régionalisation de l’IPP nettement plus raisonnable que celles de la N-VA ? A vérifier.

Quoi qu’il en soit, le but du communiqué est de remettre la pression sur la N-VA. Et si les nationalistes flamands ne se laissaient pas impressionner ? Si, malgré l’enjeu, ils décidaient quand même d’arrêter les frais ? "Je ne sais pas ce qui se passera dans un tel cas de figure, commente un négociateur francophone. Mais ce qui est sûr, c’est que la N-VA pourra dire adieu à la plus grande réforme de l’Etat jamais imaginée. Et gare à la réaction des marchés. Un échec pourrait coûter aux finances publiques."

Note : la N-VA a indiqué qu’elle ne prendrait pas part à que réunion des sept partis si elle n’était pas certaine d’en ressortir avec un accord sous le bras. Autant dire.

Sur le fond en tout cas, rien n’a changé. La Flandre juge que les Régions ne doivent pas seulement être compétentes pour leurs dépenses; elles doivent aussi l’être pour leurs recettes. Les francophones se disent ouverts pour une régionalisation de l’impôt des personnes physiques. Mais jusqu’à un certain point (entre 10 et 20 % de l’impôt aux Régions). Ils refusent notamment que l’on touche à la progressivité de l’impôt - ils craignent que la Flandre utilise sa force budgétaire pour alléger l’impôt sur les hauts revenus, provoquant une évasion fiscale en leur défaveur. Ils veulent aussi que l’Etat fédéral garde une marge de manœuvre importante pour financer le vieillissement de la population. "Or, commente un francophone, si on va jusqu’ à régionaliser 50 % de l’IPP, on touchera forcément à la progressivité de l’impôt et l’on prive l’Etat fédéral d’une bonne partie de ses recettes."

V.R. et M.Bu.

10:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nv-a |  del.icio.us |  Facebook | | |

Elections présidentielles: Dilma Rouseff contrainte à un second tour

DILMA.jpgDilma Rousseff, la candidate du président Luiz Inacio Lula da Silva, était bien placée à l'issue du premier tour pour remporter l'élection présidentielle au Brésil fin octobre, dont l'arbitre sera l'inattendue candidate écologiste.

L'ancienne chef de gouvernement de Lula, 62 ans, a remporté le premier tour avec 46,9% des voix, devant l'ex-gouverneur de Sao Paulo, José Serra, 68 ans, qui a recueilli 32,6% des suffrages, selon les résultats officiels portant sur 99,8% des votes transmis par le Tribunal électoral supérieur (TSE).

Cet écart confortable --il lui manque à peine plus de trois points pour atteindre la barre des 50% des voix-- devrait suffire à lui donner la victoire le 31 octobre pour devenir la première femme à diriger le Brésil.

"Je fais face à ce second tour avec beaucoup de courage et d'énergie car j'aurai l'occasion de mieux détailler mes propositions et mes projets", a dit Dilma Rousseff dimanche soir au siège de son comité de campagne à Brasilia, alors que les sondages la donnaient gagnante dès le premier tour."Nous sommes habitués aux défis.

Traditionnellement nous avons un bon résultat au second tour des élections", a ajouté Dilma Rousseff, une ex-guérillera qui a lutté contre la dictature militaire (1964-1985).

Lula, qui quittera le pouvoir le 1er janvier, avait dû lui aussi faire face à un deuxième tour en 2002 et en 2006 pour sa réélection.

Dans la nuit, José Serra a lancé un appel à la mobilisation des électeurs. "J'en appelle aux partis, aux hommes politiques et aux Brésiliens de bonne volonté: nous allons construire un pays meilleur, parce que le Brésil pourrait être bien meilleur qu'il n'est", a-t-il dit."En route pour la victoire à la présidence", a-t-il lancé à ses partisans réunis à Sao Paulo.Mais plus que José Serra, un ancien ministre de la Santé connu pour sa lutte en faveur des médicaments génériques, celle qui apparait comme la vraie surprise du premier tour est la chef de file des Verts et défenseur de l'Amazonie Marina Silva, 52 ans. Avec 19,35% des voix, elle s'est imposée comme une troisième force dans le paysage politique brésilien.

En dépit d'une apparence fragile, séquelle de diverses maladies tropicales, cette ancienne ministre de l'Environnement de Lula est une habituée des combats difficiles. Issue d'une famille pauvre, elle a toute une histoire de luttes, notamment aux côtés du défenseur et martyr de l'Amazonie, Chico Mendes, assassiné en 1988.

"Nous avons défendu une idée victorieuse et le Brésil a entendu notre appel", a dit Marina Silva d'une voie éraillée au siège du Parti Vert à Sao Paulo.

"Ce n'est pas le point final. C'est le début d'un processus qui ouvre une nouvelle politique avec les idées que nous défendons", a-t-elle ajouté.Les analystes tentaient d'expliquer dimanche soir ce que les sondages n'avaient pas prévu. "Je pense qu'il s'agit d'un vote de protestation d'une partie de l'électorat qui n'était convaincue ni par Dilma (Rousseff) ni par (José) Serra", a expliqué à l'AFP le politologue Carlos Alberto de Melo.

Pour l'analyste André Pereira César, du consultant CAC, les voix de Marina "valent de l'or" et elle "a les cartes en main pour les trois prochaines semaines de campagne".La chef de file des Verts n'a donné aucune indication sur sa position au second tour mais a laissé entendre que, quel que soit le candidat qu'elle soutiendra, il devra adopter certaines de ses propositions.

Quelque 136 millions de Brésiliens étaient appelés aux urnes pour élire non seulement le président mais aussi les gouverneurs et députés des 27 Etats fédérés, renouveler l'Assemblée nationale et les deux-tiers du Sénat

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Mergault et Zemmour dans "On n'est pas couché"

Isabelle Mergault et Daniel Auteuil ont voulu faire de l’humour en empêchant Eric Zemmour et Eric Naulleau de faire leurs critiques.

Gros clash entre Mergault, Zemmour et Naulleau dans "On n’est pas couché" samedi soir sur France 2. La comédienne et Daniel Auteuil étaient les invités de l’émission à l’occasion de la sortie du film "Donnant donnant".

Le duo de chroniqueurs n’a pas apprécié le comportement des deux acteurs sur le plateau. Isabelle Mergault et Daniel Auteuil ont, en effet, voulu faire de l’humour en empêchant Eric Zemmour et Eric Naulleau de faire leurs critiques. Ce qui les a beaucoup énervés !

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Le Standard étrille Anderlecht 5-1 !

Leye, Tchité (deux fois), Bokanga et Carcela ont humilié les champions de Belgique. Boussoufa a sauvé l'honneur pour Anderlecht où les choses vont mal puisque les supporteurs ont bloqué le car de leur équipe, le prenant pour cible. Ils réclament la démission d'Ariel Jacobs. Van Holsbeeck a même été blessé par un projectile. Cinq buts à un, un score quelque peu exagéré, sans doute, mais qui témoigne d'un festival offensif des Rouches, bien plus réalistes que leurs adversaires du soir.

Après un début de match en boulet de canon, sur un but de Leye pour sa centième en D1, le match s'est équilibré. Précisons d'ailleurs que ce but était hors-jeu. Il y avait donc des choses à redire à la pause, avec cet avantage léger mais pas forcément immérité au vu de la physionomie du match.

Anderlecht a eu du répondant dans cette première mi-temps, laissant filer l'une ou l'autre belle opportunité d'égaliser. Mais des occasions, le Standard en a eues également via Leye (une frappe sur la barre) ou Tchite, battu dans son duel par Proto. En deuxième période, les Liégeois n'allaient pas tarder à faire le break, par l'intermédiaire de Meme Tchite. Le premier but fut offert par un très bon Carcela, le second mystifiait Proto sur une frappe enroulée dans la lucarne.

Les mauves restaient toutefois dans la partie grâce à Boussoufa qui reprenait un bon ballon de Lukaku pour l'envoyer, de volée, dans la lucarne d'un excellent Bolat. Entre la 66e et la 85e, les choses se compliquaient pour le Standard qui subissait un peu mais continuait à se montrer dangereux dans les contres. Finalement, c'est Bokanga, à peine monté au jeu, qui mettait les siens définitivement à l'abri d'une frappe des 20 mètres. Dans les arrêts de jeu, Carcela fixait la marque à 5-1 d'un très beau tir croisé du droit.

De ce match, on retiendra le très beau jeu du Standard qui s'est réconcilié définitivement avec ses supporteurs. L'inefficacité d'Anderlecht devant le but est quant à elle assez inquiétante, tout comme les lacunes défensives de Mazuch et d'autres. Une chose est certaine, la place d'Ariel Jacobs est plus que jamais remise en question et le championnat plus relancé que jamais puisque le Standard, nouveau troisième, est revenu à un petit point d'Anderlecht.

Enfin, on notera que le jeu a pris le dessus sur la tension, malgré quelques mauvais gestes dus à la frustration des Anderlechtois. Conceiçao et Boussoufa auraient eu une altercation dans les vestiaires, à la mi-temps, mais malgré tout la rencontre est restée fair-play jusqu'au bout et le niveau de jeu proposé fut bien au dessus de la moyenne de notre championnat, ce qui n'est pas toujours le cas dans les matches à enjeu.

Violences : la démission de Jacobs demandée

Les supporteurs mauves sont furieux après la sévère défaite (5-1) des leurs à Sclessin, chez l'ennemi. ils sont des dizaines à avoir bloqué le car des joueurs à la sortie de Sclessin.

Ils clament tous la même chose : "Jacobs démission" et auraient même lancé des projectiles, blessant Herman Van Holsbeeck. Toutes les images de cette altercation sont dans notre galerie photos du match.

vendredi, 01 octobre 2010

Oscar va suivre les étrangers à la trace

Une empreinte digitale comme caution. Ce matin commence officiellement le fichage biométrique des étrangers voulant toucher l'aide au retour volontaire dans leur pays d'origine.

Remise au goût du jour cet été par les démantèlements de campements illicites, l'aide au retour de la France (entre 300 et 2.000 ) a bénéficié à plus de 15.000 personnes l'an dernier. Un chiffre qui aurait été multiplié par quatre en trois ans. Aujourd'hui, il aurait profité pour les deux tiers à des ressortissants roumains et bulgares.

Lille et Cergy déjà équipées de capteurs

Ce sont justement ceux-là que les autorités soupçonnent d'effectuer des allers-retours vers la France pour bénéficier plusieurs fois de l'aide. «Ils donnent un nouveau nom ou présentent le passeport d'un copain», raconte une source proche de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii), qui a consacré 9 millions d'euros l'an dernier à ce dispositif. «Mais on ne peut pas verser de l'argent comme ça indéfiniment.»

Ce ne sera plus le cas. A partir de ce matin, tout étranger qui voudra bénéficier de l'aide au retour devra laisser son identité, sa photo et ses empreintes digitales en guise de souvenir aux autorités françaises.

L'ensemble sera consigné dans le fichier Oscar (outil simplifié de contrôle des aides au retour). Selon nos informations, les directions de l'Ofii de Lille et Cergy-Pontoise ont même déjà reçu le capteur permettant de scanner les empreintes.

«Un déni de citoyenneté» pour la Ligue des droits de l'homme

Si Oscar débute à peine son travail, il est vivement critiqué depuis plus d'un mois maintenant. Trois associations, parmi lesquelles la Ligue des droits de l'homme (LDH), ont en effet déposé un recours devant le Conseil d'Etat pour en contester la validité.

«Le fichage biométrique des Roms, qui prend un relief particulier dans le contexte actuel, constitue un déni inacceptable de leur citoyenneté européenne», lâche ainsi la LDH.

Un Belge inculpé de meurtre en Espagne: Daniel Imandt reste muré dans son silence

Daniel Imandt, ce Belge suspecté d'avoir tué et dépecé sa compagne en Espagne, a comparu jeudi devant le juge d'instruction à Figueres (Gérone). Il se refuse toujours à toute déclaration. Il serait par ailleurs, selon son avocat, en mauvaise santé.

Le journal catalan El Punt a publié les résultats de l'autopsie de la victime. Les enquêteurs ont conclu, mercredi, que la victime a été tuée à l'arme blanche, avant d'être dépecée. Ce qui exclut un décès par mort naturelle, écrit El Punt. Le juge d'instruction de Figueres avait préféré attendre les résultats de l'autopsie de la victime avant d'entendre le suspect qui a donc comparu ce jeudi. Le juge a également décidé que les auditions seront frappées du secret de l'instruction. Interrogé par l'Agence Belga, le cabinet de l'avocat qui assure la défense de Daniel Imandt, Me Carles Monguilod, a précise que l'homme est détenu..... La victime, Sabrina Tverbouss-Twerby, 38 ans, originaire de Braine-l'Alleud, entretenait une relation mouvementée avec l'accusé depuis environ un an. Elle avait déjà porté plainte en Belgique pour coups et blessures contre lui, a annoncé un autre quotidien local, le Diario de Girona. Daniel Imandt devrait bientôt comparaître à nouveau devant le juge d'instruction, une fois que son état de santé se sera amélioré.

14:26 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : belge |  del.icio.us |  Facebook | | |

Quatre lauréats pour les Awards du commerce équitable

Fairytale, ACP, Fair Trade South et UGPPK/S-Z ont remporté jeudi les quatre 'Be Fair & Sustainable Awards', d'une valeur totale de 20.000 euros, récompensant les meilleures initiatives de commerce équitable et durable avec les pays en voie de développement, et organisés dans le cadre de la semaine équitable qui se tient jusqu'au 9 octobre.

Fairytale, active dans les emballages de dragées et cadeaux d'artisanat équitable, a décroché le 'Be Fair Award' de la meilleure entreprise belge de commerce équitable. ACP, active dans les vêtements de travail et promotionnels en chanvre, bambou et coton bio, s'est vue attribuer le 'Be Sustainable Award' de la meilleure entreprise de commerce durable. Fair Trade South Africa, la coupole du commerce équitable en Afrique du Sud, a reçu le 'Be Fair Award' de la meilleure organisation de commerce équitable Sud-Sud. L'UGPPK/S-Z, l'Union des Groupements de Productrices de produits de karité au Burkina Faso, s'est vue décerner le 'Be Fair Award' de la meilleure organisation équitable de producteurs composée majoritairement de femmes. Les quatre meilleures initiatives ont reçu chacune un prix de 5.000 euros et peuvent désormais utiliser le logo représentant l'Award dans leur communication. La cérémonie de remise des 'Be Fair & Sustainable Awards' était organisée par le Trade for Development Centre de la CTB (Agence belge de développement).

14:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : acp |  del.icio.us |  Facebook | | |

Des activistes, dont plusieurs du Camp No Border, ont porté plainte, vendredi, à la suite des arrestations illégales menées lors de l'euro-manifestation de mercredi à Bruxelles. Trois cents participants du Camp auraient été arrêtés préventivement, selon l

Des activistes, dont plusieurs du Camp No Border, ont porté plainte, vendredi, à la suite des arrestations illégales menées lors de l'euro-manifestation de mercredi à Bruxelles. Trois cents participants du Camp auraient été arrêtés préventivement, selon les estimations des activistes.

Euromanif: plainte d'activistes à la suite d'arrestations illégales

Les participants, qui se rendaient à la manifestation, ont été arrêtés à plusieurs endroits de Bruxelles. Une plainte a été déposée par les activistes qui souhaitent que la liberté d'expression soit respectée comme un droit démocratique dans le futur. Des personnes ont été arrêtées arbitrairement sur base de caractéristiques extérieures non conformes au code vestimentaire de la manifestation mobilisée par les syndicats européens, indique un communiqué des activistes. Par ailleurs, une violence excessive aurait été utilisée par les forces de l'ordre lors de ces arrestations, précise le communiqué des activistes. La Ligue des droits de l'Homme et Bruxelles Laïque ont également été "alarmées" par les informations concernant des arrestations musclées lors de la manifestation syndicale. Les deux ASBL s'inquiètent de "ces dérapages sécuritaires qui confirment leur crainte d'une démocratie qui a de plus en plus tendance à intimider, décourager ou réprimer certaines formes d'expression citoyenne." "Si une réaction policière proportionnée est légitime à l'encontre de manifestants violents, il est inacceptable que les forces de police recourent à des intimidations et à des arrestations à l'encontre de manifestants pacifiques", indique un communiqué de la Ligue des droits de l'Homme et de Bruxelles Laïque.

Cameroun-otages: Jan De Nul confirme la libération

Jan De Nul Group confirme la libération et la bonne santé des deux membres d'équipage de la drague suceuse Amerigo Vespucci au Cameroun, indique-t-il vendredi dans un communiqué. Les otages avaient été enlevés le 12 septembre dernier par une bande armée dans le port de Douala au Cameroun. La BBC, sur base de déclarations gouvernementales, avait dans un premier temps indiqué qu'il y avait six otages.

Après plusieurs jours de négociations, les deux membres d'équipage, le Croate Klaudio et le Philippin Wilson, ont été libérés sains et saufs le 30 septembre, se réjouit le Jan De Nul Group. L'état-major de crise de Jan De Nul Group a également permis de libérer les quatre Ukrainiens qui ont été enlevés le même jour sur un autre navire, indique-t-il. Selon la BBC, ces quatre otages avaient également été enlevés sur le navire de Jan De Nul. "Cette prise d'otages a pu se terminer grâce à la collaboration étroite avec les autorités camerounaises et luxembourgeoises", précise le Jan De Nul Group. "On a également agi en concertation avec les autres autorités concernées, telles que les autorités belges, croates, philippines et ukrainiennes." Des représentants de l'état-major de crise de Jan De Nul Group et les autorités camerounaises et philippines ont accueilli les membres d'équipage à leur mise en liberté au Cameroun. Les deux hommes ont déjà eu contact avec leur famille et sont actuellement en route vers l'aéroport pour rentrer dans leur pays d'origine.

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jeudi, 30 septembre 2010

Des images des otages enlevés au Niger

Les images sont tirées d'un enregistrement montrant plusieurs personnes répondant à tour de rôle à des questions posées en français par un inconnu, indique Al-Jazira. pict_260790.jpg

La chaîne Al-Jazira a diffusé jeudi des images des sept otages, dont cinq Français, enlevés au Niger il y a deux semaines par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

Sept personnes sont montrées assises à même le sol, sur un terrain sablonneux, et des hommes en armes se tiennent derrière elles, selon les images diffusées par la chaîne basée au Qatar.Au moins quatre otages, présentés comme des Français, sont notamment interrogés sur leur état civil et les circonstances de leur enlèvement, a indiqué à l'AFP une source de la rédaction d'Al-Jazira qui a visionné l'enregistrement.

Sept personnes, dont un cadre d'Areva et son épouse, tous deux de nationalité française, et cinq employés de Satom (trois Français, un Malgache et un Togolais) ont été enlevés à leur domicile à Arlit dans la nuit du 15 au 16 septembre.

Leur enlèvement a été revendiqué par Aqmi.Selon une source malienne, les otages sont "détenus entre les déserts malien et algérien", dans la zone du Timétrine, une région de collines désertiques dans le nord-est du Mali, à une centaine de kilomètres de la frontière algérienne.

"Signe encourageant" pour la France

La photographie diffusée jeudi et montrant sept personnes, dont 5 Français, détenues au Sahel par Aqmi "a été authentifiée" et "constitue un signe encourageant dans la mesure où elle montre tous les otages en vie", a déclaré le ministère français des Affaires étrangères."Cette photographie a été authentifiée. Même si nous ne savons pas à quelle date elle a été réalisée, elle constitue un signe encourageant dans la mesure où elle montre tous les otages en vie", a affirmé dans un communiqué le porte-parole du ministère, Bernard Valero."Les services de l'Etat restent pleinement mobilisés et mettent tout en oeuvre afin d'obtenir leur libération. Nous sommes en liaison constante avec leurs familles", a-t-il ajouté.

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mercredi, 29 septembre 2010

Khalid Askri: Auteur d'une bourde, il rentre au vestiaire

Après sa faute de main insolite sur un penalty, Khalid Askri a récidivé ce week-end en championnat. Sauf que cette fois-ci, il a décidé de se sanctionner lui-même.

Il y a quelques semaines, Khalid Askri était inconnu du grand public. Auteur d'une bourde monumentale lors d'une séance de tirs au but en Coupe du Trône, le gardien du FAR de Rabat s'est une nouvelle fois fait remarquer ce week-end. Lors d'un match de championnat face à Kénitra, il a encore fauté, en commettant une erreur permettant à l'équipe adverse de prendre l'avantage.

Furieux d'avoir commis cette nouvelle bévue, le gardien marocain a tout simplement décidé de retirer son maillot, ses gants, et de quitter le terrain en rentrant au vestiaire. Ses coéquipiers tenteront bien de l'en dissuader, en vain. Il sera finalement remplacé par le gardien numéro 2, Mustapha Chadil. Sûrement perturbé par cette sortie insolite, les joueurs du FAR de Rabat ne parviendront jamais à revenir au score (0-1).

Voir la vidéo de Khalid Askri qui quitte le terrain après sa bourde