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samedi, 28 juin 2014

Michael Jackson apparait au Congo

mardi, 05 octobre 2010

Vieux Bin [Mossi] Aux Gueulards MENDE & Cie: Animalité du MOBUTisme dans les assassinats de 5000000 des Zairois...

Mon cher Mosssi,

Je te demande de bien vouloir informer certains cyberpoliticiens congolais, que la real politique et la cyberpolitique ne se font pas avec de médisances et de calomnies, surtout que la tolérance et le respect des positions des autres est une règle de convenance sociale universelle.

Axel L. n'a pas pu contrôler sa plume (ce qui est souvent un exercice difficile), compte tenu de ce que certains cyberpoliticiens, certains cyberanalystes politiques congolais affichent sur le Net. Axel a confondu LAMBERT MENDE et RENE MENDE, alors qu'il n'y a qu'une simple homonymie du seul nom. Je porte aussi le nom de Shungu, nom porté par les femmes au Zimbabwe. Le nom Ngandu se trouve au cameroun, au kasaïet au Maniema.

Pour lever l'équivoque:
René Mende est un ancien Lovaniard (Université Lovanium), un ancien milicien enrôlé de force dans l'armée, informaticien formé en Roumanie et à Louvain-la-Neuve (Belgique).

René Mende vit en Europe, sans interruption depuis 1973/74 et père des filles et fils, diplômés universitaires. René Mende avait quitté le Zaïre par la grande salle de l'aéroport international de Ndjili, avec un passeport officiel, en tant que boursier: c'était l'époque où même les foetus, les maccabés et les morts étaient membres du MPR. Tout Congolais jusqu'au 17 mai 1997 était membre du MPR.

René Mende a le droit d'avoir ses opnions et de les exprimer sur le Net. Mais on a le droit de combattre ses idées avec des autres idées, mais le droit de s'en prendre à sa personalité, à son intégrité morale (et physique).

Ses préférences politiques sont une affaire privée.

Tundanonga

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vendredi, 18 juin 2010

Le retrait des casques bleus met l’armée congolaise face à ses responsabilités

La formation des militaires congolais reste indispensable

Le départ, dès la fin du mois, du premier groupe des quelque 2000 Casques bleus de la Mission de l’ONU en République démocratique du Congo (MONUC), a été annoncé mercredi. Une absence qui, à terme, fera peser de plus lourdes responsabilités sur une armée congolaise, hétéroclite, ayant de grandes difficultés de structuration. Le Sénat a voté début juin une loi portant sur le statut des militaires. Une loi qui comporte plusieurs innovations. Elle insiste en particulier sur la formation des officiers, sous officiers et militaires de rangsNotre correspondant en RDC

Alain Likota, porte-parole de la Mission de l’ONU en République démocratique du Congo (MONUC), a annoncé mercredi que 230 casques bleus sénégalais avaient quitté ou devaient quitter le territoire mercredi. La MONUC, qui constitue la plus importante opération de maintien de la paix des Nations unies, a accédé à la requête du président congolais Joseph Kabila de renvoyer chez eux quelque 2 000 Casques bleus avant le 30 juin, date du 50e anniversaire de l’indépendance du Congo-Kinshasa.

La mission de l’ONU se poursuivra jusqu’à la mi-2011 avec quelque 21 000 hommes -militaires, policiers et observateurs, avant de s’en aller. Le secrétaire général adjoint des Nations unies aux Affaires humanitaires, John Holmes, a néanmoins exprimé son inquiétude, estimant que la violence pourrait échapper à tout contrôle en cas de départ de l’ensemble des casques bleus.

Un nouveau statut pour l’armée congolaise

Les autorités congolaises tâchent de répondre à l’enjeu du retrait des troupes de la MONUC. En mai-juin, le sénat a voté une loi portant sur le statut des militaires. Sur les 326 articles qu’elle compte, 172 ont été adoptés le 31 mai et 154 le 1er juin. Plusieurs innovations y figurent. Parmi elles, on peut citer la signature d’un contrat de travail de 7 ans renouvelable une fois pour les soldats de rangs. Ces derniers doivent être célibataires et sans enfants. « Nous voudrions que ces soldats servent la nation sans partage et pendant cette période nous voudrions qu’ils n’aient pas d’autres obligations. C’est pourquoi nous avons voulu qu’ils soient célibataires », a précisé Raymond Omba, président de la commission défense et sécurité au sénat congolais. Ces jeunes militaires doivent avoir étudié au moins 4 ans après le primaire. Apres ces 14 ans passés au service de la nation, ces militaires pourront être reversés dans d’autres secteurs de la vie civile.

Les officiers ne sont pas oubliés. Ce nouveau statut leur offre la possibilité de faire une carrière dans l’armée jusqu’à la retraite en jouissant des plusieurs avantages. « Nous avons prévu énormément de garanties, par exemple l’avantage d’avoir un salaire indexé à la vie chère, que l’on n’a pas dans la vie courante. Ces militaires auront aussi l’avantage d’avoir des crédits voiture, des crédits logement, ce que l’on ne fait pas avec les autres. Tout ceci pour que la carrière soit intéressante » a ajouté le sénateur Omba.

Une armée aux multiples généraux issus des groupes armés

Les Forces armées de la RDC (FARDC), très hétéroclites, sont constituées actuellement de militaires issus d’anciens et divers groupes armés. On y trouve aussi une multitude de généraux dont la plupart n’ont pas suivi de formation adéquate. Sera-t-il possible de convaincre tous ces généraux de revenir à la formation ? Selon le sénateur Jacques Djoli, membre de la commission défense et sécurité, « l’armée moderne n’est pas savoir tirer des flèches, ou l’armée de fétiches, ou celle où on sert dans sa colline ou dans sa forêt ! Quand on a décidé de servir comme général dans une armée républicaine, on doit accepter de passer par une formation ». Il a martelé que la formation pour les officiers est plus qu’une obligation. Mais ce statut ne pourra entrer en vigueur qu’après sa promulgation par le chef de l’Etat.

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vendredi, 04 juin 2010

Une vision de Lambert.O sur le Congo

La mise en valeur intégrale du territoire congolais passe, entre autres, par le désenclavement d'un de ses plus beaux écosystèmes que constitue la Cuvette centrale. Enclavé, il constitue un hinterland malgré ses voies d'eau potentielement navigables. La stragraphie révèle des gîtes minières et des ressources énergétiques fossiles.

La mise en valeur de la Cuvette centrale marquera une volonté nette de transformer le cadre physique de la RDC, en l'engageant dans la voie du progrès. Ce vaste écosystème constitue produits de denrhées agricoles. Ses parcs nationaux et ses stations touristiques hébergent des espèces rares comme l'Okapi et le Bonobo. Il peut, seul, produire plus d'essences forestières que tout le continent africain, avec un potentiel classé en seconde position après celui de l'Amazonie au Brésil. Elle compte de ressources humaines nombreuses et dynamiques et ingénieuses. 

Non traversé par une route ou une voie ferrée, n'habritant aucun aéroport, ni un port répondant adéquatement aux besoins de son économie, moins encore une centrale hydroélectrique, cet hinterland des espaces de marchés, constitue du fait de son état actuel, une apesanteur à l'intégration interrégionale des échanges au Congo alors qu'il dispose d'un potentiel qui le prédispose à devenir le coeur du Congo économique.

Voilà pour quoi l'Hinterland entreprend de sensibiliser des acteurs publics, privés et collectifs congolais  sur le rôle moteur que pourrait jouer l'ouverture des économies de la Cuvette centrale au reste de la nation.
N.B.: Seuls les Rédacteurs diffusent vos textes jugés être des contributions substantiels à l'objet social de cet organe.
Rédaction de l'Hinterland.
Lambert Opula (514) 814-9059

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mardi, 14 octobre 2008

RD Congo : l’UA et l’ONU à la rescousse

Le conflit dans l’est du pays mobilise la communauté internationale
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Après les violents affrontements qui ont opposé, jeudi, les rebelles du CNDP et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), le président de la Commission de l’Union Africaine, Jean Ping, s’est rendu à Kinshasa ou il a rencontré les autorités du pays. Objectif : « s’impliquer davantage dans la résolution de la crise ». Vendredi, Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’Onu, a lancé un appel au cessez-le-feu immédiat. L’Ong MSF, pour sa part, parle d’un échec de la communauté internationale dans la résolution du conflit dans cette région.

Kinshasa accuse, depuis quelques temps, Kigali de soutenir les rebelles du CNDP de Laurent Nkunda. En fin de semaine passée, la tension est encore montée après de violents affrontements ayant opposé les hommes du CNDP et les Forces armées de la RDC. Le Congo a saisi le Conseil de sécurité des Nations Unies, accusant le Rwanda d’être à l’origine de ces attaques et de planifier de nouvelles agressions.

Hier à Kinshasa, au terme d’un séjour de trois jours dans la capitale congolaise, le président de la Commission de l’UA, Jean Ping, a indiqué que l’Organisation « a l’intention de s’impliquer davantage dans la recherche de solution à la crise que l’on connaît maintenant », au Nord-Kivu, où l’armée congolaise affronte depuis fin août la rébellion de Laurent Nkunda.

Pendant son séjour, M. Ping a aussi rencontré plusieurs autres personnalités, notamment le chef de la Mission de l’ONU en RDC (Monuc), la délégation de l’Union européenne ainsi que les ambassadeurs des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de la France et des pays africains. Il estime que tous ces pays cherchent une solution pour une paix durable dans le Kivu. Seulement, ils ont « des perceptions différentes. »

Echec de la communauté internationale, selon MSF

Vendredi déjà, Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations Unies, appelait les rebelles et les forces gouvernementales, au « cessez-le-feu immédiat », demandant aux deux parties de coopérer les casques bleus de l’ONU. Il a également demandé à « tous les pays de la région », d’éviter l’utilisation de leur territoire et de leurs ressortissants pour soutenir les groupes armés à l’Est de la RD Congo. Ce conflit« aggrave les souffrances des populations civiles et les risques d’explosion du conflit à l’échelle de la région », a affirmé le secrétaire général des Nations Unies.

Selon Médecin sans frontière, la communauté internationale n’a pas fait du conflit du Nord Kivu une de ses priorités. « Bien que la Monuc (Mission des Nations Unies en RDC) soit la force de maintien de la paix la plus importante actuellement déployée, elle ne remplit manifestement pas son mandat de protection des populations civiles », indique l’Ong dans un communiqué. MSF dénonce « un système d’aide inefficace » dans les régions les plus frappées par le conflit dans le Nord Kivu où la violence a atteint son niveau le plus élevé depuis des années. Des centaines de milliers de personnes ont dû fuir depuis que la reprise de la guerre fin août.

En République démocratique du Congo, l’armée régulière est confrontée à plusieurs groupes rebelles à travers tout le pays. Jeudi, par exemple, alors qu’elle combattait les troupes de Laurent Nkunda près de Goma, le Front populaire pour la justice au Congo, une autre faction rebelle, s’est emparé de la localité de Songolo à une quarantaine de kilomètres au sud de Bunia. Cette dernière ville est la capitale de la province de l’Ituri et constitue une des plus importantes bases des casques bleus.