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lundi, 11 novembre 2013

Dakar - Concours d'écriture : La Direction du livre et de la lecture lance le Prix Aminata Sow Fall

aminata-sow-fall_thumb307_.jpgLa Direction du livre et de la lecture (Dll) veut susciter le goût de la créativité et faire la promotion et l’accompagnement des jeunes créateurs dans le domaine de la littérature. A cet effet, elle lance le concours national d’écriture en langue française avec le Prix Aminata Sow Fall pour la créativité doté d’1 million de FCfa. Le manuscrit primé sera édité par la Dll et fera l’objet d’une promotion. Selon un document qui donne l’information, l’initiative entre dans le cadre de la 14e Foire internationale du livre et du matériel didactique (Fildak, du 16 au 21 décembre 2103) et découle d’un partenariat entre la Direction du livre et de la lecture et l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif). Le règlement stipule que le concours s’adresse aux jeunes écrivains sénégalais ou aux étrangers résidents au Sénégal et âgés au maximum de 30 ans. « Chaque candidat proposera un seul manuscrit pour participer au concours et qui sera déposé à la Direction du livre et de la lecture au plus tard le 29 novembre 2013 », prévoit l’Article 2 du concours. Aussi, poursuit le document, le manuscrit doit être obligatoirement saisi sur papier A4 Police de 12 et les genres concernés sont : la nouvelle, le roman et la poésie. Toujours selon le règlement, les manuscrits seront évalués en fonction de la qualité de la langue et de la créativité de l’auteur.

A l’arrivée, un jury national composé de professeurs de français, d’écrivains, de la Dll, sélectionnera la meilleure production et la cérémonie de remise du prix se déroulera lors de la Fildak en présence du ministre de la Culture et du Patrimoine, du Dll, des représentants de l’Oif et des partenaires comme l’Association sénégalaise des professeurs de français, l’Association des écrivains du Sénégal.                      

E. M. FAYE

lundi, 30 août 2010

POLEMIQUE - Thilo Sarrazin tient aussi des propos islamophobes...

L’Allemagne est choquée par le livre d’un membre du directoire de la banque centrale. Dans L’Allemagne court à sa perte, Thilo Sarrazin éreinte à la fois les musulmans et les juifs. «Je ne voudrais pas que le pays de mes petits-enfants et arrière-petits-enfants soit en grande partie musulman, qu'on y parle surtout turc et arabe, que les femmes soient voilées et que le rythme de la journée soit déterminé par les appels du muezzin. Si c'est cela que je veux vivre, je peux réserver un voyage pour l'Orient», écrit-il notamment selon Le Monde. Dans son pamphlet, il assure que les Allemands seront bientôt minoritaires en Allemagne et que l’islam «fera la loi», selon Le Figaro.  

Des propos islamophobes qu’il a complétés dimanche par des propos antisémites dans un entretien paru dans la presse. «Tous les juifs partagent un gène particulier, les Basques ont des gènes particuliers qui diffèrent des autres», a-t-il asséné. «C'est un fait», a-t-il réaffirmé lundi à Berlin lors de la présentation de son livre. Il a même cité des études et des articles de presse sur l'existence d'un tel gène.

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POLEMIQUE - Thilo Sarrazin tient aussi des propos islamophobes...

L’Allemagne est choquée par le livre d’un membre du directoire de la banque centrale. Dans L’Allemagne court à sa perte, Thilo Sarrazin éreinte à la fois les musulmans et les juifs. «Je ne voudrais pas que le pays de mes petits-enfants et arrière-petits-enfants soit en grande partie musulman, qu'on y parle surtout turc et arabe, que les femmes soient voilées et que le rythme de la journée soit déterminé par les appels du muezzin. Si c'est cela que je veux vivre, je peux réserver un voyage pour l'Orient», écrit-il notamment selon Le Monde. Dans son pamphlet, il assure que les Allemands seront bientôt minoritaires en Allemagne et que l’islam «fera la loi», selon Le Figaro.  

Des propos islamophobes qu’il a complétés dimanche par des propos antisémites dans un entretien paru dans la presse. «Tous les juifs partagent un gène particulier, les Basques ont des gènes particuliers qui diffèrent des autres», a-t-il asséné. «C'est un fait», a-t-il réaffirmé lundi à Berlin lors de la présentation de son livre. Il a même cité des études et des articles de presse sur l'existence d'un tel gène.

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dimanche, 27 décembre 2009

Alioune DIOP présente Danny De Cock

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mardi, 03 novembre 2009

Marie Ndiaye; trois femmes puissantes

Dans son numéro du 13 août, Le Point consacrait Marie Ndiaye et Frédéric Beigbeder comme les grands gagnants d'une rentrée littéraire placée sous le signe du "blanc et noir" . Aujourd'hui, le microcosme littéraire confirme. Alors que le prix Renaudot 2009 vient d'être attribué à Frédéric Beigbeder pour Un roman français (Grasset), Marie Ndiaye remporte le prix Goncourt 2009 pour Trois femmes puissantes (Gallimard) .

Marie Ndiaye a obtenu le plus prestigieux des prix littéraires de l'automne au 1er tour avec 5 voix contre 2 à Jean-Philippe Toussaint pour La Vérité sur Marie ( lire la critique ) et une voix à Delphine de Vigan pour Les Heures souterraines ( lire la critique ). Marie Ndiaye est la première femme à obtenir le Goncourt depuis 1998. Elle s'est déclarée très contente pour le livre et pour l'éditeur (Gallimard, ndlr). "Je suis très contente d'être une femme qui reçoit le prix Goncourt", a-t-elle expliqué à la presse en arrivant devant le restaurant Drouant, où le prestigieux prix venait de lui être attribué. "Une sorte de miracle s'était déjà produit avec le succès du livre", a-t-elle ajouté, "ce prix est inattendu. C'est aussi le couronnement et la récompense de 25 ans d'écriture et de cette opiniâtreté".

Née le 4 juin 1967 à Pithiviers (Loiret), d'un père d'origine sénégalaise et d'une mère française, Marie NDiaye a grandi en banlieue parisienne. Elevée uniquement en France par sa mère, professeur de sciences naturelles, elle publie à 18 ans son premier roman, Qu ant au riche avenir (1985). Remarquée par Jérôme Lindon des éditions de Minuit, elle abandonne rapidement ses études pour se consacrer à l'écriture et enchaîne depuis romans et recueils de nouvelles. Une vingtaine en 23 ans, parus pour l'essentiel chez Minuit puis chez Gallimard. Comédie classique (1988), La femme changée en bûche (1989), La sorcière (1996)...

Romancière atypique, tour à tour féministe, engagée, elle surprend par l'étrangeté de ses récits, qui parlent des femmes et des rapports compliqués entre les gens. Prix Femina en 2001 pour Rosie Carpe, elle entre en 2003 au répertoire de la Comédie-Française avec Papa doit manger.

Trois femmes puissantes regroupe trois récits dont les héroïnes résistent pour préserver leur dignité, entre la France et l'Afrique.

En 2007, Marie Ndiaye s'est installée à Berlin avec sa famille.

Marie NDiaye, Trois femmes puissantes (Mediapart)
envoyé par Mediapart. - L'info video en direct.

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mercredi, 24 septembre 2008

Wade pour l’enseignement de l’histoire des Tirailleurs en Europe

Le chef de l’Etat sénégalais, Me Abdoulaye Wade, a estimé ce mercredi à Dakar que l’enseignement de l’histoire des tirailleurs sénégalais en Europe et dans le monde permettrait au reste du monde de jeter un regard nouveau sur l’Afrique.

"Très peu de personnes connaissent le rôle des Noirs dans les armées anglaises, françaises", a déploré le président Wade à l’occasion de l’ouverture d’un colloque international sur le thème "Forces noires et autres apports de l’Afrique pendant la Grande guerre", marquant la commémoration de la journée du Tirailleur sénégalais.

"Si l’histoire des tirailleurs sénégalais est enseignée en Afrique et en Europe, de nombreux préjugés tomberaient, des a priori s’estomperaient et un regard nouveau sera porté sur l’Afrique", a martelé le chef de l’Etat sénégalais dans son allocution.

"Les Africains se sont sacrifiés et ont mobilisé toutes leurs ressources non seulement pour nourrir les combattants, mais aussi les populations françaises", a-t-il rappelé.

Le président Wade a annoncé la création prochaine d’une fondation pour veiller à la pérennité du souvenir du Tirailleur sénégalais.

"Le texte portant création est déjà écrit et a été transmis aux autres chefs d’Etats africains pour observation", a-t-il révélé, avant d’indiquer le lancement d’un manuel d’histoire sur les tirailleurs sénégalais.

Invitant les historiens à "rompre avec la vision conformiste de l’histoire africaine", Me Wade a soutenu que l’homme africain "n’a jamais été un homme couché, soumis à des dominateurs".

"Il a toujours résisté et continue de résister aujourd’hui encore face aux nouvelles contraintes", a-t-il martelé.

La journée du Tirailleur sénégalais célébrée chaque année au Sénégal depuis 2005 coïncide cette année avec le centième anniversaire de la création du Régiment des tirailleurs sénégalais (RTS), le 21 juillet 1857 par Napoléon III.

jeudi, 24 avril 2008

Aimé Césaire : l’adieu de la nation et du pays natal

C’est dans le salon VIP de l’aéroport du Lamentin que s’est exprimé Nicolas Sarkozy à son arrivée à Fort-de-France quelques heures avant les obsèques d’Aimé Césaire.«Je veux dire à tous ceux qui nous écoutent que tous les Français se sentent Martiniquais dans leur cœur, que les 7 000 kms qui séparent la métropole de la Martinique n’ont jamais aussi peu compté», a-t-il confié à la presse. Plusieurs milliers de personnes avaient pris place dans les tribunes du stade Dillon où un «hommage culturel» a été rendu au poète de la «négritude». Beaucoup sont venues en famille, vêtues de blanc, pour dire adieu à Aimé Césaire, décédé jeudi à l’âge de 94 ans. «C’est le père, assisté de ses enfants et petits-enfants», soulignaient des Martiniquais.

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Un grand portrait de Césaire, «prototype de la dignité humaine» (selon le mot d’André Breton), ainsi que des extraits de son œuvre, ont été exposés dans le stade, qui vibrait régulièrement aux ovations du public. Une plaque de céramique portant le nom d’«Aimé Césaire (1913-2008)» et les mots «Liberté, identité, responsabilité, fraternité», avait été posée sur le fauteuil destiné au président de la République. Durant l’hommage, des textes d’Aimé Césaire - Et les chiens se taisaient, Calendrier lagunaire… - devaient être dits par des comédiens antillais et africains. De nombreuses personnalités politiques, plusieurs ministres, François Bayrou (Modem) et des responsables du PS, notamment François Hollande, Laurent Fabius, Lionel Jospin et Ségolène Royal étaient présents.

Jeunesse. Mais le seul discours politique que la population réunie au stade devait entendre était celui de Pierre Aliker, compagnon de toujours du poète martiniquais. Il devait rappeler les années d’amitié, de jeunesse, jusqu’au grand âge pour conclure sur un vibrant appel à la nation : «Les spécialistes de l’expression martiniquaise ce sont les Martiniquais.»

Les trombes d’eau qui se sont abattues sur Fort-de-France hier matin n’ont pas arrêté ces derniers. Durant de longues heures, ils étaient encore nombreux à venir saluer leur héros national. Deux jours et deux nuits de veillée où ils se succèdent en file plus ou moins dense mais jamais interrompue, même au plus creux de la nuit, devant le cercueil d’Aimé Césaire. Celui qui voulait éviter le déshonneur de trop d’honneurs aura eu les funérailles nationales des plus grands, après l’hommage des plus petits, ceux qui l’ont accompagné durant cette longue marche dans les rues. Des témoignages écrits aux murs mêmes de la ville, aux grilles de l’ancien hôtel de ville, une litanie de «merci», de souvenirs personnels, de regrets aussi. On brandit une lettre, une photo, réminiscences d’instants, cent soixante ans après l’abolition de l’esclavage, cinquante-deux ans après la départementalisation qui instituait la continuité territoriale et l’égalité citoyenne.

Si toutes les voix clament que l’ancien maire et député appartient à la communauté humaine sans distinction, c’est à la nation martiniquaise et à ses frères de sang de la mère Afrique qu’auront été réservées les prises de parole publique.

Négociations. La mairie a négocié pied à pied avec la famille qui souhaitait que l’ensemble de l’hommage reste intime. Dans les communes, des bus gratuits ont permis à la population de rendre hommage.
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On dit la Martinique souffrant d’incertitude identitaire. Elle a prouvé depuis jeudi 17 avril, le jour du décès d’Aimé Césaire, que les graines de responsabilité, d’autonomie identitaire semées avec ténacité par son père spirituel peuvent donner des pousses vives.

jeudi, 24 janvier 2008

Claire Chazal : elle a assisté à la der de Valentino

C'était hier la der de Valentino à Paris. A 75 ans, le célèbre couturier qui a décidé de passer la main a fait un dernier show sous une imposante tente dressée dans les jardins du musée Rodin. De nombreuses stars dont claire Chazal, Uma Thurman et Dita Von Teese l'ont ovationné avec 700 personnes qui pour rien au monde n'auraient manqué les bouleversants adieux de ce prince. 45 ans de création, ça crée des liens...

"C'est bien de partir en beauté", a confié Jean-Paul Gaultier. "S'arrêter ne veut pas dire que l'on meurt surtout quand on est un créatif".

Le groupe Valentino, a été racheté en mai dernier par le fonds d'investissement britannique Permira. Alesandra Facchinetti, ancienne directrice artistique chez Gucci, aura la délicate mission de rajeunir la griffe.

vendredi, 16 novembre 2007

Khady Koita, Prix de la Citoyenneté 2007

Le Prix de la Citoyenneté 2007 de la Fondation P&V a été décerné à Khady Koita, la présidente du réseau européen pour la prévention et l’éradication des mutilations génitales féminines et auteur du livre « Mutilée ». Le Prix de la Citoyenneté de la Fondation P&V est attribué chaque année depuis 2005 à des personnes, des initiatives ou des organisations belges ou étrangères qui s’investissent dans une société ouverte, démocratique et tolérante. Il a été décerné auparavant à Fadéla Amara, alors présidente de l’organisation « Ni Putes Ni Soumises », au maire d’Amsterdam Job Cohen, au chanteur écrivain et artiste plasticien Wannes Van de Velde et au duo de réalisateurs Jean-Pierre et Luc Dardenne

mardi, 03 avril 2007

L'écrivain marocain Driss Chraibi est mort

RABAT, Maroc (AP) - Driss Chraibi, figure de la littérature marocaine, est mort à l'âge de 80 ans, a annoncé lundi l'agence de presse marocaine. Il était particulièrement connu pour ses écrits sur l'islam, le colonialisme et la condition des femmes au Maroc.

Driss Chraibi s'est éteint dimanche soir dans le sud-ouest de la France, a précisé l'agence MAP.

Il était né en 1926 à El-Djadida, près de Casablanca sur la côte atlantique du Maroc. Il avait déménagé à Paris en 1945 pour y étudier la chimie et demeurait en France depuis lors. Il avait adopté le français comme langue d'écriture.

Driss Chraibi a d'abord travaillé comme ingénieur chimiste, veilleur de nuit et ouvrier avant que sa carrière littéraire ne démarre en 1954 avec la publication de son premier roman, "Passé simple", composition autobiographique critique envers l'islam et la condition des femmes dans une société marocaine pleine de tabous. Il a écrit 18 autres romans, la plupart traitant des problèmes du colonialisme et des souvenirs marocains de l'auteur.

"Il a été le premier écrivain que j'ai lu étant enfant, qui créait des personnages marocains crédibles", a déclaré l'auteure marocaine Laila Lalami, dont le livre "De l'espoir et autres quêtes dangereuses" décrit l'aventure des Marocains qui tentent la périlleuse traversée vers l'Espagne en quête de travail.

Chraibi "était un trésor national et il va beaucoup nous manquer", a-t-elle ajouté.

L'écrivain avait reçu de nombreuses récompenses pour ses ouvrages au Maroc comme à l'étranger. Son corps sera rapatrié au Maroc pour y être enterré. AP

ca/v609

lundi, 09 octobre 2006

Ce que j'ai vraiment dit à Zidane", Materazzi sort un livre de propositions

Après la chanson, les blagues, les jeux vidéos et les publicités, voici un nouvelle déclinaison du coup de tête le plus célèbre de l'histoire du football: le défenseur italien Marco Materazzi s'apprête à sortir un ouvrage intitulé "Ce que j'ai vraiment dit à Zidane".
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"Comme tu vas le comprendre, cher lecteur, je me suis amusé à développer le côté absurde de cette affaire", écrit Materazzi dans l'introduction de son ouvrage, publié par les éditions Mondadori, a révélé dimanche la Gazzetta dello Sport sur son site internet (www.gazzetta.it).

Sur une centaine de pages, le joueur de l'Inter Milan a écrit 249 phrases plus ou moins absurdes, mais parmi lesquelles pourrait pourtant figurer celle qu'il a vraiment prononcé lors de la finale de la Coupe du monde, le 9 juillet à Berlin, et qui a amené le capitaine de l'équipe de France Zinédine Zidane a lui asséner un coup de tête dans la poitrine.

Exemples parmi les 249 propositions:

- "Hé ! Mais il est où exactement le sternum?"

- "Zinédine, qu'est-ce que tu fabriques? Vous n'avez pas encore perdu... et tu t'es déjà arraché les cheveux!"

- "Maintenant je te dis comment se termine (la série télévisée) Lost".

- "Simona Ventura (animatrice de la télévision italienne, ndlr) m'a demandé si tu voulais participer à la prochaine édition de +L'île des célébrités+ (émission de télé-réalité, ndlr)?"

- "Depuis que Foucault est mort, la philosophie française est lamentable".

Selon la Gazzetta, Materazzi versera l'intégralité de ses droits d'auteur à l'Unicef. La sortie de l'ouvrage - dont la couverture, forcément, est une photo du coup de tête - est prévue dans les prochains jours. Le livre devrait être vendu aux alentours de 10 euros