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lundi, 27 septembre 2010

Belgique/Peeters: le français et le néerlandais doivent rester les langues principales à l'école

pict_259941.jpgLe parti chrétien-démocrate a aussi déploré la sortie médiatique de M. Smet, qui ne s'intègre pas selon lui dans une vision cohérente Le néerlandais et le français doivent rester les langues principales à l'école, a affirmé lundi le ministre-président flamand, Kris Peeters, en réaction à la proposition controversée de son ministre de l'Enseignement, Pascal Smet, de faire de l'anglais la seconde langue enseignée dans le secondaire.

"L'anglais devient de plus en plus la langue véhiculaire, c'est clair, mais il ne doit pas remplacer le français. Nous devons examiner comment il peut trouver sa place à côté du néerlandais et du français dans notre enseignement", a-t-il dit.

M. Peeters a précisé que la proposition de Pascal Smet ne faisait pas l'objet d'un accord au gouvernement flamand. Le ministre n'a fait qu'ouvrir le débat, a recadré Kris Peeters.

Du côté des partis, la Lijst Dedecker (LDD) a exprimé son soutien à l'idée de M. Smet. Pour les députés flamands Lode Vereeck et Boudewijn Bouckaert, "ce n'est plus la Belgique, mais le monde qui est désormais le cadre de référence en ce qui concerne les opportunités d'emploi des jeunes". L'importance accordée au français ne constitue dès lors qu'un "reliquat du cadre belge dépassé".

Le CD&V est plus critique. Pour la spécialiste de l'enseignement Kathleen Helsen, le multilinguisme est une richesse, mais "l'objectif ne peut pas être de moins investir dans l'apprentissage de notre deuxième langue nationale".

Le parti chrétien-démocrate a aussi déploré la sortie médiatique de M. Smet, qui ne s'intègre pas selon lui dans une vision cohérente

vendredi, 24 septembre 2010

Gand-Flandre: Youssou Ndour revendique le talent de la diaspora pour l'Afrique à travers "New Africa"

Ahmadinejad provoque un tollé à l'ONU en évoquant un complot américain dans les attentats du 11-septembre

Bis repetita. Comme lors de la précédente Assemblée générale de l'ONU, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a réussi à provoquer le départ des délégations des Etats-Unis et de l'Union européenne de la salle, jeudi, pendant son discours.

Evoquant les attentats du 11-Septembre qui ont fait quelque 3.000 morts en 2001, il a lâché: «Quelques éléments à l'intérieur du gouvernement américain ont orchestré l'attentat pour inverser le déclin de l'économie américaine et son emprise sur le Moyen-Orient de manière à sauver le régime sioniste. La majorité du peuple américain de même que d'autres nations et des politiciens sont d'accord avec ce point de vue».

Parlant d'une autre théorie sur l'attentat, le président iranien a ajouté qu'il avait «été mené par un groupe terroriste mais le gouvernement américain l'a soutenu et a pris avantage de cette situation».

Il a cité une troisième théorie: «Un groupe terroriste très puissant et complexe, capable de passer au travers avec succès de toutes les couches de systèmes de renseignement et de sécurité américains, ont perpétré l'attentat. C'est le principal point de vue mis en avant par les dirigeants américains».

«Propos détestables»

«Plutôt que de représenter les aspirations et la bonne volonté du peuple iranien, M. Ahmadinejad a de nouveau choisi de dégoiser sur des théories viles de complot et des propos antisémites qui sont détestables et délirants», a souligné Mark Kornblau, porte-parole de la mission américaine à l'ONU.

Un diplomate européen a expliqué que les délégations européennes avaient quitté la salle en signe de solidarité avec les Etats-Unis. Les propos de M. Ahmadinejad constituent «un affront à l'Assemblée générale et à la vérité», a indiqué un diplomate français à l'AFP.

Le chef de la diplomatie canadienne Lawrence Cannon a estimé pour sa part que les propos du président iranien étaient «inacceptables» et qu'ils «représent une menace déstabilisatrice pour la région et pour le monde». La délégation canadienne a aussi quitté la salle au moment du discours du président Ahmadinejad.

«Il a été dit que quelque 3.000 personnes ont été tuées le 11-Septembre et nous en sommes tous très peinés. Cependant, jusqu'à maintenant, en Afghanistan et en Irak des centaines de milliers de personnes ont été tuées, des millions blessées et déplacées et le conflit est encore en train de s'étendre», a encore ajouté le leader iranien.

Reprises des négociations sur le nucléaire?

Ironie de l'affaire, ces propos interviennent alors que Barack Obama avait tendu à l'Iran, et que les diplomates notaient «des progrès» en vue de la réouverture des négociations entre Téhéran et l'Occident sur le dossier du nucléaire, après les sanctions de l'été.

Le dirigeant iranien a affirmé un peu plus tôt à la chaîne japonaise TBS que les discussions sur le nucléaire «sont en préparation» et qu'elles «se tiendront probablement en octobre» avec les Six, les grandes puissances qui soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de la bombe nucléaire sous couvert d'un programme

Teresa Lewis exécutée à 41 ans aux USA

Teresa Lewis, une Américaine de 41 ans condamnée à mort pour un double meurtre, a été exécutée jeudi par injection mortelle, a annoncé un responsable pénitentiaire, ce qui fait d'elle la première femme a être exécutée en Virginie depuis 1912.

Le décès de Lewis a été prononcé à 21H13 locales (03H13 HB vendredi) à la prison de Greensville, à Jarratt, a indiqué Larry Traylor, porte-parole des autorités pénitentiaires. Elle est seulement la 12e femme exécutée aux Etats-Unis depuis le rétablissement de la peine de mort en 1976. Dans le même temps, 1.215 hommes ont été mis à mort dans le pays, dont 107 en Virginie, Etat le plus actif en la matière après le Texas. La déficience mentale dont souffre Teresa Lewis en a fait un symbole de la lutte contre la peine de mort pour les abolitionnistes, dont une trentaine ont prié devant la prison durant son exécution. Elle avait été condamnée à mort en 2003 pour avoir commandité le double meurtre de son mari et du fils de celui-ci pour empocher leurs assurances-vie. Les deux auteurs des meurtres avaient eux été condamnés à la prison à vie.

Mélissa Theuriau, bientôt marocaine

jamel.jpgDans le journal Le Parisien, Mélissa Theuriau dément les propos qui lui ont été attribué par le magazine marocain Hola ! concernant un éventuel changement de nationalité.

En effet, la femme de Jamel Debbouze n’a jamais entrepris la moindre démarche dans ce sens :

« À la suite de cet entretien, ce magazine a trouvé cette accroche. C’est une non-information et je ne comprends pas qu’elle fasse autant de bruit », explique-t-elle.

Ceci dit, la demoiselle souhaitant monter prochainement une association au Maroc, il est fort possible qu’elle pose une demande dans le futur car, comme elle le précise, « si l’on est marocain, cela va plus vite ».

Delarue ne sera pas à la rue

DELARUE.jpgInterviewé par laVoix du Nord, Rémy Pflimlin, le patron de France Télévisions, a déclaré qu’il était prêt à donner une deuxième chance à Jean-Luc Delarue. Cependant, avant de pouvoir reprendre les commandes de Toute une histoire, « il doit pouvoir d’abord se soigner, se reposer et se ressourcer ». Il a également mentionné les raisons pour lesquelles le présentateur avait été suspendu :

« Ce n’est pas conforme avec l’exemplarité que doit avoir le service public. On ne peut pas avoir des pratiques addictives et délictueuses et être tous les jours à l’antenne, partager des émotions, donner des leçons aux gens », a-t-il expliqué, ne niant pas le grand professionnalisme de Delarue. Mais ceci dit, selon lui, « pour le moment, Jean-Luc Delarue est dans une spirale qui ne correspond plus à ce que doit être un animateur de la télévision publique ».

Il ne nous reste donc plus qu’à souhaiter à JLD un bon et prompt rétablissement et d’ici là, c’est devant Le grenier de Sébastien qu’il faudra se divertir les après-midis…
 

Update: Bonne nouvelle pour les fans de Toute une histoire, France 2 vient d'annoncer dans un communiqué que l'émission reprendrait sa place dans la grille-horaire dès le 27 septembre... mais présentée par Sophie Davant, « le temps nécessaire à Jean-Luc Delarue de mener son combat jusqu'à la guérison ».

jeudi, 23 septembre 2010

Quand l'espoir renait

mercredi, 22 septembre 2010

Gand:Youssou Ndour explique l'objectif du millénaire

Le Président Barack Obama

16:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

Etats-Unis : le sursis d'une condamnée à mort a été rejeté

Teresa Lewis, une femme blanche de 41 ans, sera exécutée jeudi en Virginie pour avoir commandité les meurtres de son mari et du fils de celui-ci. Le gouverneur conservateur de Virginie, Bob McDonnell, a de nouveau refusé, mardi 21 septembre, d'accorder sa grâce, et le dernier recours de la condamnée a été rejeté également dans la journée par la Cour suprême des Etats-Unis. Mais les abolitionnistes citent un cas d'école montrant l'injustice de la peine de mort. Aux Etats-Unis où soixante condamnées attendent dans le 'couloir de la mort' contre 3 200 condamnés l'exécution d'une femme est un fait rare. Seules onze femmes ont été mises à mort depuis le rétablissement de la peine capitale en 1976, pour 1 215 hommes. L

Teresa Lewis a avoué avoir laissé ouverte en octobre 2002 la porte de la caravane où elle vivait pour que deux complices, respectivement âgés de 19 et 22 ans, y pénètrent et tuent par balles son mari et le fils de celui-ci, un militaire âgé de 25 ans. L'objectif était d'empocher les assurances-vie des deux hommes. Teresa Lewis avait rencontré ses complices au supermarché, l'un d'entre eux était devenu son amant et elle avait encouragé sa fille de 16 ans à engager une relation avec le plus jeune.

'LA TÊTE DU SERPENT'

Tous trois ont plaidé coupable du double meurtre. Les deux auteurs ont écopé d'une peine de prison à vie, mais Teresa Lewis qui avait renoncé à un procès en bonne et due forme considérée par son juge comme l'instigatrice des meurtres, 'la tête du serpent', avait-il estimé, a été condamnée à la mort. Les soutiens de cette mère de famille et grand-mère n'ont eu de cesse depuis de rappeler qu'avec un quotient intellectuel (QI) de 72, elle se situait à la frange de la maladie mentale, la rendant incapable de concevoir un tel plan. Son amant, en revanche, qui voulait devenir tueur à gages, était doué d'une intelligence au-dessus de la moyenne et avouait dans une lettre adressée en 2003 à une amie avoir pensé les meurtres. Elle était 'exactement ce que je recherchais, une salope qui s'était mariée pour l'argent à qui j'allais faire facilement tourner la tête', avait-il écrit à propos de Teresa Lewis. L'homme s'est depuis suicidé en prison.

mardi, 21 septembre 2010

La version d'Ingrid Betancourt

betan14.jpgDeux ans après sa libération, l'ex-otage des Farc raconte sa détention qu'elle a enduré de 2002 à 2008. Un récit qui paraît alors que son image est bien ternie.

"Peur d'être seule. Peur d'avoir peur. Peur de mourir". C'est ainsi qu'Ingrid Betancourt résume ses six ans et demi de captivité dans Même le silence a une fin (Gallimard). Le livre, dont le titre est emprunté à un vers de Pablo Neruda, paraît ce mardi en France et dans une dizaine de pays, dont la Colombie et les Etats-Unis.

Dix-huit mois, c'est le temps qu'il aura fallu à l'ancienne candidate à la présidence colombienne pour rédiger un récit intime de 700 pages. La Franco-colombienne a choisi d'écrire son histoire en français afin de "garder une distance", tout en faisant remonter à la surface des émotions de l'époque.

Un long délai qui a laissé le temps aux compagnons de détention d'Ingrid Betancourt de ternir son image par leurs témoignages. Et à son ex-mari de raconter sa version des faits. En janvier Juan Carlos Lecompte, publiait Ingrid et moi, une liberté douce-amère, dans lequel il livrait un portrait très contrasté de son ex-épouse.

Demande d'indemnisation

Pourtant dans ce récit, l'ex-candidate à la présidentielle colombienne ne semble pas régler ses comptes. Ingrid Betancourt tente surtout d'apporter un nouvel éclairage sur l'organisation des Farc et sur les conséquences de la détention sur chaque individu.

Et livre les détails les plus durs de sa détention. Enchaînée, violentée et abusée sexuellement, Ingrid Betancourt écrit: "Je me sentais prise d'assaut, partant en convulsions (...) Mon corps et mon coeur restèrent gelés pendant le court espace d'une éternité." "Mais je survivais", dit-elle.

Mais Ingrid Betancourt ne s'épargne pas non plus les sujets de controverse. A propos de sa demande d'indemnisation, elle explique tout simplement que c'est un droit, qu'une loi existe en Colombie et en France qui permet aux victimes du terrorisme de demander ré... Lire la suite sur LEXPRESS.fr

lundi, 20 septembre 2010

La rencontre Di Rupo-De Wever prévue à 14 heures

pict_258320.jpgDimanche, sur le plateau des débats télévisés, le PS a évoqué, par la voix de Paul Magnette, le problème de confiance qui se posait avec la N-VA, encline à ne pas respecter la parole donnée dès qu'un accord était en vue.Les médiateurs royaux André Flahaut et Danny Pieters rencontrent ce lundi après-midi les présidents du PS Elio Di Rupo et de la N-VA Bart De Wever pour voir "s'il est possible de passer à une nouvelle phase de négociation", selon les termes du communiqué diffusé par les médiateurs mercredi soir. La rencontre devrait débuter à 14 heures.

Dimanche, sur le plateau des débats télévisés, le PS a évoqué, par la voix de Paul Magnette, le problème de confiance qui se posait avec la N-VA, encline à ne pas respecter la parole donnée dès qu'un accord était en vue. Selon lui, la N-VA doit dire maintenant si elle est prête ou non à avancer, les partis francophones s'étant montrés à chaque fois conciliants jusqu'à présent.

Quant au secrétaire d'Etat cdH Melchior Wathelet, il a souligné lundi à la radio publique flamande Radio 1 que son parti est ouvert à la responsabilisation des entités et même demandeur sur ce plan. Il attend lui aussi un "signe de confiance" de la part des nationalistes flamands.

Les choses sont claires: la N-VA est-elle prête à négocier ou va-t-elle trouver un énième argument pour freiner le processus de négociation? a demandé le chef de groupe Ecolo-Groen! à la Chambre Olivier Deleuze sur les antennes de Bel-RTL. "Franchement, il faut un plan A maintenant, point final", a-t-il ajouté.

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Picqué: "Les nationalistes peuvent devenir des ennemis politiques"

D'adversaires politiques, les nationalistes peuvent devenir des ennemis politiques, a commenté lundi matin sur les antennes de La Première radio de la RTBF le ministre-président bruxellois Charles Picqué à propos de la N-VA.

A quelques heures de la rencontre entre l'ex-préformateur PS Elio Di Rupo et le président de la N-VA, il a confirmé la nécessité d'étudier un "plan B" au cas où la survie de la Belgique ne serait plus possible que grâce à la soumission des Francophones.

Pour M. Picqué, le président de la N-VA ne peut pas exiger une reddition en rase campagne de la part des Francophones et il doit à son tour faire des concessions, alors que les propositions de M. Di Rupo sont en mesure de satisfaire la N-VA sur nombre de chapitres.

Il doit cesser d'être toujours en campagne électorale et de vouloir "faire du shopping dans un magasin Belgique qu'on va fermer", a-t-il averti.

Les nationalistes peuvent être des adversaires politiques lorsqu'on joue dans un périmètre où existent des règles mais s'ils recherchent la supériorité d'un groupe voire même la destruction de l'autre, ils se transforment en ennemis politiques, a-t-il affirmé.

Plusieurs éléments ont fait que les choses s'accélèrent: on veut paralyser Bruxelles faute de financement, on veut diviser les Bruxellois et on met sur la table la loi de financement, a encore dit le ministre-président socialiste. Il fait toutefois négocier jusqu'au bout, même si les Francophones ne peuvent plus faire de concessions qu'à la marge, estime-t-il.

La guerre PS - NV-A

A la guerre comme à la guerre. Au jeu du Stratego, c’est l’éclaireur Magnette qui s’est coltiné, ce dimanche, la dure besogne du Parti socialiste : mettre les troupes nationalistes flamandes sous pression maximale avant la réunion cruciale de ce lundi après-midi entre Bart De Wever et Elio Di Rupo.

Rappel : lors de cette réunion placée sous l’égide du duo Flahaut/Pieters, les deux présidents de parti devront indiquer si des négociations à sept (PS, N-VA, CD&V, SP.A, Groen !, Ecolo et CDH) peuvent être relancées - 100 jours, ou presque, après le scrutin du 13 juin. Paul Magnette est ainsi descendu sur le plateau de la chaîne publique flamande, au "Zevende Dag", pour dérouler son message : à la N-VA de montrer qu’elle peut, qu’elle veut faire un accord. "Bart De Wever n’a encore rien montré, à part qu’il peut aller déjeuner dans des restaurants très chics", a pointé l’éclaireur socialiste. Et de pousser le curseur : "la N-VA a plusieurs fois renié ses engagements et sa parole". Rien n’avait été laissé au hasard; la sortie de Magnette avait reçu le blanc-seing du président Di Rupo, et elle s’est prolongée sur le plateau de la RTBF quelques minutes plus tard.

En filigrane, il est clair que le PS balaye d’un revers de la main les conditions que les nationalistes flamands posent pour une reprise des pourparlers. Primo, le Parti socialiste n’acceptera pas de définir ce lundi la marge de l’autonomie fiscale qui sera - peut-être - laissée aux entités fédérées au bout de la négociation. "Faut quand même pas nous prendre pour des cinglés !, se fâche-t-on même au PS. On ne va pas aller offrir un symbole à De Wever avant d’avoir commencé à discuter". Secundo, Elio Di Rupo l’a répété samedi à Namur, les négociations se dérouleront à 7 et non à 2, comme le souhaite la N-VA. Tertio, fait valoir le Parti socialiste, 6 partis sur 7 ont marqué leur accord avec la méthodologie proposée (6 à 8 semaines de négociation, budget et loi de financement négociés en parallèle, ) puisque le CD&V a marqué son accord sur cette marche à suivre.

Côté nationaliste flamand, dimanche, on a vécu le raid de l’éclaireur Magnette comme un uppercut. Mais on s’est bien gardé de réagir officiellement : "On prend acte des insultes et du fait que l’on nous traite tous les jours de menteurs pour nous mettre sous pression, indique-t-on à la N-VA. Si on pense que c’est de cette manière qu’on va relancer des négociations, c’est de la débilité".

C’est une guerre de tranchées, donc, dans laquelle s’enferrent les deux partis mammouths. Alors, où est la porte de sortie (EXIT) ?

 

Personne ne veut endosser la responsabilité de l’échec, personne ne veut prendre la responsabilité de débrancher la prise de cette négociation moribonde. Et abréger cette agonie politique. Eric Defoort, un proche de Bart De Wever, a pronostiqué dimanche que la négociation ne reprendrait pas. Mais, au vrai, aucune décision n’a encore été arrêtée par la N-VA. Stop ou encore ? Une réunion capitale des hauts gradés du parti doit avoir lieu ce lundi matin, quelques heures avant que la rencontre De Wever/Di Rupo ait lieu. Le suspense devrait, donc, demeurer entier jusqu’à la dernière minute. Dans la foulée de cette rencontre au sommet, les deux médiateurs royaux, André Flahaut et Danny Pieters, en selle depuis 16 jours, devraient remettre leur rapport définitif au souverain.

 Si les deux protagonistes principaux de cette mauvaise pièce politique, Di Rupo et De Wever, n’ont qu’une envie, ne plus jamais se revoir, l’absence d’alternative pourrait les pousser à prolonger cette aventure. C’est que "celui qui dit "stop" en premier, il est mort : il risque de perdre les éventuelles élections", place un observateur de premier plan. Une drôle de guerre. Qui n’amuse plus grand-monde.

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jeudi, 16 septembre 2010

Gand : Youssou Ndour lance le consortium ‘’ New Africa’’

Samedi 11.11.10 : Youssou Ndour a été l’invité principal de l’ONG 11.11.11 et de la ville de Gand au cœur de la Flandre en Belgique pour le sujet affairant et intitulé ‘’ Objectifs du Millénaire pour le Développement’’ ou l’objectif 2015.

Youssou Ndour est l’une des éminentes personnalités coptées pour faire campagne et pour booster les décideurs pour la radiation de la faim à travers le monde en 2015.

Par ailleurs, la Star mondiale, accompagnée par Alioune DIOP, Momar Dieng Diallo et de Doudou Sarr son manager y profita pour rencontrer les sénégalais et sympathisants de la ville de Gand réunis au tour de l’association Sénégal Bantamba présidée par l’éminent Khalifa Diaby soutenu par Adama Cissé.

C’est de cette rencontre après celle de Bruxelles que Youssou Ndour a choisi pour lancer le Consortium ‘’New Africa’’ qui sera une grande coordination de mouvements citoyens qui œuvrent pour une Afrique prospère au profit des africains, des mouvements citoyens qui voient le monde autrement, autrement que les politiciens et soucieux de les résoudre autrement.

En fin Youssou Ndour lance un appel aux talents africains de la diaspora pour qu’ils s’investissent d’avantage pour l’Afrique.

mercredi, 15 septembre 2010

Togo - Bahreïn: Le scandale des faux joueurs

Incroyable mais vrai. De faux joueurs ont évolué durant la rencontre amicale entre le Togo et Bahreïn. La FIFA et la fédération togolaise ont ouvert une enquête pour statuer sur la supercherie.

Décidément le football réserve des surprises. Le match amical entre la République du Togo et le Royaume de Bahreïn restera dans les mémoires. A priori rien d'exceptionnel dans cette rencontre qui oppose deux formations très moyennes de la sphère footballistique, Bahreïn étant positionné à la 75e place du classement FIFA et le Togo à la 87e. Et pourtant, ce match a fait beaucoup de bruit. En effet, les joueurs bahreinis se sont étonnés de l'étrange facilité avec laquelle ils sont sortis vainqueur de la rencontre (3-0). L'explication? En face, il n'y avait pas la véritable équipe du Togo!

Ministredes Sports togolais: "Ces joueurs nous sont inconnus"

L'information parait aussi surréaliste qu'elle est sérieuse. Le président de la fédération togolaise, Seiyi Memene, a révélé à l'agence de presse américaine Associated Press, que l'équipe envoyée était "totalement fausse". "Nous ne pouvons pas envoyer de joueurs sans l'approbation de la FIFA. Les joueurs qui ont disputé ce match n'étaient pas de 'vrais joueurs'. Nous n'avons pas envoyé d'équipe au Bahreïn. Ces joueurs nous sont inconnus".

Du côté de l'état togolais on prend l'affaire très au sérieux. Le Ministre des Sports du pays, Christophe Tchao, a expliqué au site jeuneafrique.com vouloir faire la lumière au plus vite sur cette affaire: "Personne n'a jamais été informé d'un tel match. Nous allons mener les enquêtes pour démasquer tous ceux qui sont impliqués".  Un autre membre du ministère des sports, Nabine Gnonh, explique au journal canadien La Presse que l'affaire reste encore très floue: "Nous n'avons pas de détails précis actuellement. Nous n'avons toujours pas reçu la liste des joueurs qui ont disputé cette rencontre et nous devons toujours vérifier s'ils sont membres de l'équipe nationale".

Un faux agent serait impliqué

Les premières informations qui ont filtrées font état d'un match arrangé par un agent de joueurs. Afin de récolter un petit pécule, l'organisateur de cette supercherie aurait trouvé des "faux-joueurs", qui pourraient ne pas être de nationalité togolaise

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mardi, 14 septembre 2010

La Folle Laurette Onkelinx: "Il faut se préparer à la fin de la Belgique"

"Il faut se préparer à la fin de la Belgique", déclare Laurette Onkelinx dans un entretien au journal La Dernière Heure paru dimanche. La socialiste wallonne se demande également si la N-VA est capable d'un accord.

Selon Laurette Onkelinx, il faut envisager la scission. "On ne peut plus ignorer que parmi une grande partie de la population flamande, c'est un voeu. Donc, oui, il faut se préparer à la fin de la Belgique. Sans quoi on risque d'être les dindons de la farce. Quand je vois les courriers que je reçois... Enormément de personnes imaginent que cela est possible. Les politiques doivent donc s'y préparer. Ne pas l'espérer. Mais s'y préparer", explique-t-elle. La représentante du PS se demande également si le parti nationaliste flamand est capable d'un accord. "Je me pose une question: la N-VA est-elle en mesure d'accepter un compromis? Elle se réfugie derrière le refinancement de Bruxelles. Mais je crois que c'est beaucoup plus fondamental que ça", souligne-t-elle. "Les thèmes de désaccord étaient plus nombreux. Bart de Wever a peut-être eu peur, réellement, d'aller dans un compromis. Qui dit compromis, dit mécontenter certains. Négocier, c'est toujours un risque", poursuit Laurette Onkelinx. Le CD&V serait l'une des clés pour sortir de l'impasse, selon la vice-première ministre. "Ce n'est pas pour rien que le Roi a d'abord vu, dès vendredi, le CD&V qui n'est pourtant pas le plus grand parti. Oui, l'une des clés réside là", conclut-elle.

11:12 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : folle |  del.icio.us |  Facebook | | |

Belgique: Un Etat Wallonie-Bruxelles serait viable

Le quotidien L'Echo a testé auprès d'universitaires le scénario d'un Etat Wallonie-Bruxelles né de la fin de la Belgique et il en ressort que "la plupart des indicateurs socio-économiques s'inscrivent en vert". En fait, une Belgique sans la Flandre "aurait le chômage comme principal handicap économique".

Par rapport aux régions de tradition industrielle, la Wallonie affiche "un niveau de productivité supérieur tout en étant plus innovante". Au niveau des pensions, Bruxelles et la Wallonie ont l'avantage de disposer d'une population plus jeune, tandis qu'en matière de soins de santé, "les transferts Nord-Sud sont presqu'inexistants". Il resterait dans un tel scénario à évoquer la dette. Sa répartition dépendrait des rapports de force présidant aux négociations. L'Echo a interrogé le professeur Michel Mignolet des Facultés Notre-Dame de la Paix de Namur et Michel Quévit de l'UCL. Même s'ils souhaitent le maintien d'une Belgique modernisée, les partis francophones préparent le scénario de la scission du pays si d'aventure celui-ci devait s'imposer comme le seul possible. Ils ont formé le groupe 4P3U (quatre présidents, trois universitaires), qui a déjà eu l'occasion de tester divers modèles.

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Médiateurs: plus de contacts entre Bart De Wever et Elio Di Rupo

Aucun contact n'est intervenu entre Bart De Wever et Elio Di Rupo depuis le jour où ce dernier a rendu sa démission en tant que préformateur, rapportent mardi les journaux du groupe Concentra (Het Belang Van Limburg et Gazet Van Antwerpen). La N-VA s'interroge quant à l'attitude du Parti socialiste.

Médiateurs: plus de contacts entre Bart De Wever et Elio Di Rupo

Selon les journaux flamands, la mission des médiateurs royaux André Flahaut et Danny Pieters ne masque aucune négociation secrète. MM. De Wever et Di Rupo ne se seraient pas vus depuis dix jours. "Hallucinant", juge-t-on du côté de la N-VA. Dans les rangs du parti nationaliste, on ne voit pas l'intérêt de poursuivre la mission de médiation si le PS refuse de négocier.

11:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ps nva |  del.icio.us |  Facebook | | |