Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 30 juin 2013

APRES LA VISITE OFFICIELLE DU PRESIDENT BARACK OBAMA AU SENEGAL : REMERCIEMENTS patriotiques DE SON EXCELLENCE MONSIEUR CHEICKH SADIBOU DIALLO AU PEUPLE SENEGALAIS.

cheikh.JPGAprès la visite officielle au Sénégal du Président des Etats-Unis d’Amérique,        M. Barack Obama, en compagnie de son épouse Michèle, de ses deux filles et sa belle-mère, avec une délégation comprenant 400 hommes d’affaires ESF/ASG, j’ai l’immense plaisir de saisir la circonstance agréable qui m’est offerte pour exprimer mes remerciements patriotiques à tous les Sénégalais, sans exclusive aucune qui ont, dans un élan de cohésion nationale, clamé l’enthousiasme et la joie de tout un peuple, pour accueillir le couple présidentiel, dans la sobriété et dans la chaleur de la pure tradition de notre peuple. Cette visite du premier Président des Etats-Unis noir américain au Sénégal, m’apparaît avoir eu un effet bénéfique au niveau de la classe politique. A mon humble avis, il m’a semblé qu’un acquiescement pacifique s’est, comme par enchantement instauré, le temps d’une rose, pour honorer dans l’union républicaine notre hôte de marque, Barack Obama Prix Nobel de la paix, pour ses efforts extraordinaires, en vue de renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples.

Après Roosevelt en 1945, Clinton en 1998 et Bush en 2003, le Sénégal a eu un hôte de marque, M. Barack Hussein Obama. Premier Président des Etats-Unis d’Amérique, qui a des origines africaines. C’est à la fois un honneur et une fierté pour notre pays. C’est surtout un évènement exceptionnel ! Le fait même qu’il ait amené au cours de sa visite au Sénégal sa famille, montre sa véritable marque d’estime pour le peuple sénégalais. Il l’a d’ailleurs exprimé lors de sa conférence de presse conjointe avec le Président Macky Sall au Palais de la République : « Nous avons foi au Sénégal et croyons à son peuple. Je suis très heureux de constater que le renforcement de notre coopération bilatérale est orienté vers les populations et surtout pour la jeunesse »

 

Portant en bandoulière », comme a bien voulu le souligner avec conviction, Mme Badiane, la Coordonnatrice des Femmes de l’APR, « notre téranga sénégalaise, reconnue de par le monde, cette valeur faite de délicatesse, de subtilités, d’attention particulière à l’endroit de son hôte, l’accueil du Président Barack Obama et sa famille, a été parfaitement chaleureuse, à l’image du Sénégal et de son hospitalité coutumière. D’un même élan, unis et rassemblés, les Sénégalais ont rendu l’hommage solennel que mérite le Chef d’Etat américain. C’est un honneur adoubé d’un réel plaisir des yeux d’avoir pu admirer, à travers de si belles images, Michèle Obama tenant par la main sa fille aînée ainsi que son glorieux mari, sourire aux lèvres, tenant aussi sa fille cadette par la main, descendant ensemble la passerelle de l’avion. Ce fut l’extase ! Des souvenirs historiques impérissables. Ce n’est pas tous les jours qu’on a le privilège de voir débarquer le plus puissant Chef d’Etat de la planète à l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor, accompagné de toute sa famille, pour nous rendre une si belle et mémorable visite.

Le choix du Chef de la Maison Blanche de visiter le Sénégal est une option motivée qui ne pouvait advenir sous l’ancien régime, malgré les multiples sollicitations directes et les efforts effrénés de lobbyistes gracieusement rémunérés. Cette alternative concrétisée sous le magistère du Président Mack Sall, est l’expression de valeurs partagées et de convergences de vue sur le management socio-économique de la société. Cette excellente visite, comme l’a fort souligné le Chef de la diplomatie sénégalaise, « doit être lue surtout comme un succès diplomatique du Président Macky Sall qui, en une année seulement, a su recoudre les fils coupés de notre tissu relationnel régional et international et réconcilier le Sénégal avec sa vocation et son rôle de grande puissance diplomatique »  

C’est pour cette raison fondamentale, comme nous le disait le Général de Gaulle : « les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts » que le Sénégal qui a fini de démontrer dans le concert des nations sa capacité à transcender les contradictions sociopolitiques et préserver la démocratie, se doit nécessairement de réclamer sa part de dividendes au Congrès Américain, au bénéfice du peuple sénégalais.     Les Etats-Unis, s’ils veulent rattraper la Chine qui a profité de leur longue absence en Afrique, pour avancer leurs pions à très grande vitesse, ont une carte à jouer : celle de la promotion de la démocratie. Le choix de visiter les trois pays africains,  n’est pas assez anodin, car il est fondé sur le degré des avancées démocratiques. Le discours fondateur d’Accra de Barack Obama n’est certes pas loin et cette tournée se veut le prolongement de la première visite ghanéenne lors de son premier voyage en Afrique en 2009, où il lança cette déclaration : « Le sang de l’Afrique coule dans mes veines, l’histoire de ma famille comprend à la fois les tragédies et les triomphes de l’histoire plus large de l’Afrique ». Fondons l’espoir de l’ouverture d’une nouvelle ère et qu’un retour en grâce est encore possible ».                                                                                                                

 Pour clore ma réflexion, je ne remercierai jamais assez les Sénégalais et Sénégalaises, toutes obédiences confondues  qui, à l’unisson, se sont mobilisés pour accueillir chaleureusement, le Président Barack Obama ainsi que sa famille,  à l’image du Sénégal et de sa légendaire hospitalité et rendre très agréable la visite officielle de trois jours qu’il a effectuée dans notre beau pays. 

Le Président du pays de l’Oncle Sam, Barack Obama est venu en paix chez nous avec sa famille nous rendre visite, nous l’avons accueilli en paix, dans la pure tradition de la téranga sénégalaise… Hier vendredi à 10h44 mn, Barack et Michèle Obama, à la portière  Air force one, leurs mains en signe d’au revoir, sont repartis en paix  dans ce gros volume, considéré comme le moyen de transport le plus sûr au monde, aujourd’hui. Celui-ci a pris les airs, pour la suite de la tournée africaine. Destination l’Afrique du Sud : le pays de Nelson Mandela.

 

Son Excellence Monsieur Cheickh Sadibou DIALLO

Conseiller Spécial du Président de l’APR

Administrateur de la DES APR France

mardi, 25 juin 2013

APPEL AU PEUPLE SENEGALAIS A SOUHAITER CHALEUREUSEMENT

APPEL AU PEUPLE SENEGAL A SOUHHAITER CHALEUREUSEMENT LA BIENVENUE AU PRESIDENT DES ETATS UNIS D'AMERIQUE, SON EXCELLENCE Mr BARACK OBAMA

cheick Sadibou Diallo.jpg

Notre peuple dont c’est la grandeur d’être hospitalière à travers le monde, a quelquefois besoin qu’on l’exhorte. Réconcilié avec lui-même, réuni dans le même combat, consacrant toutes ses forces à défendre sa culture et sa société, il est bienheureux d’observer avec satisfaction, en ce mois de juin de l’An grâce 2013, que les Sénégalais s’apprêtent, avec à leur tête, le plus jeune Président de son histoire, M. Macky Sall, à recevoir un hôte si important et si honorable que le Président des Etats-Unis d’Amérique, M. Barack Obama. C’est, d’une certaine manière, comme l’a si patriotiquement affirmé le Président de l’Assemblée nationale, dans son adresse au peuple, à la fois un respect et un gage majeur : Un hommage que le plus puissant Etat dans le concert des nations rend au Sénégal, sur la base des actes révélateurs et conséquents qui sont en train d’être posés dans notre pays, depuis l’accession de M. Macky Sall à la Présidence de la République.

 

Au nom de l’hospitalité sénégalaise, ce sens inné du bien recevoir son hôte qui est notre exception culturelle, nous allons recevoir très chaleureusement un grand homme d’Etat, comme nous savons si bien le faire, puisque faisant partie intégrante de notre culture socioculturelle. Cela fera date certes, ne l’oublions pas, car c’est un évènement très important dans l’histoire de notre pays. En prenant la décision de visiter trois pays d’Afrique et que le Sénégal soit non seulement parmi ces trois pays qu’il a choisis, mais celui par lequel il va commencer sa tournée politique, le Président Barack Obama exprime par ce fait à notre pays un grand signe d’encouragement, à poursuivre sa consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie; l’un des biais par lequel le Président américain veut construire sa relation avec le continent africain. Dans cet esprit, le Sénégal a toujours été à la pointe du combat démocratique. Pour preuve, la volonté du peuple sénégalais a été déterminante au scrutin présidentiel de 2012 au cours duquel l’ex Président cherchait par tous les moyens à obtenir un troisième mandat.

 

C’est pour cette raison essentielle que je lance un appel patriotique à tous nos concitoyens et concitoyennes, afin que le Président des Etats-Unis d’Amérique    M. Barack Obama qui est aussi un africain, de par son père, reçoivent avec « les pulsions de l’histoire et de la culture africaines », l’hommage solennel qu’il mérite, pour le choix qu’il a fait de venir d’Amérique nous honorer de sa visite officielle. Tous les Sénégalais, sans exclusive aucune, quelques que soient leurs tendances politiques ou religieuses doivent  patriotiquement lui souhaiter, avec  la  chaleur de notre exception socioculturelle, « Bienvenue en paix chez nous,     M. le Président ».

 

 

 

 

 

Son Excellence Monsieur Cheickh Sadibou DIALLO

 

Conseiller Spécial du Président de l’APR

Administrateur de la DES APR France

mardi, 07 août 2012

Macky Sall prochainement reçu par Barack Obama

macky.jpgAbdoulaye Wade aura tout fait pour avoir ses entrées à la maison blanche. Mais en vain. Son successeur sera plus chanceux. En effet, Macky Sall sera reçu par Barack Obama. Hillary Clinton a profité de leur tête-à-tête pour lui annoncer la bonne nouvelle. Une audience dont la date reste à préciser mais qui est une prime à la démocratie sénégalaise. Libération lu par Setal.net rappelle que le président Américain avait convenu avec son homologue français que tout président africain élu ou réélu démocratiquement aurait droit à tous les égards. Ce qui est le cas du chef de l'Etat sénégalais qui a été élu de la belle des manières.

09:27 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : macky, obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 23 juillet 2012

Tuerie d'Aurora: Obama est arrivé au Colorado

Tuerie d'Aurora: Obama est arrivé au Colorado

Tuerie d'Aurora: Obama est arrivé au Colorado
  •                        
(Belga) Le président des Etats-Unis, Barack Obama, est arrivé dimanche après-midi au Colorado (ouest) où il va rencontrer les familles des victimes de la fusillade meurtrière de vendredi dans un cinéma d'Aurora, a constaté un photographe de l'AFP.
L'avion Air Force One transportant M. Obama depuis la région de Washington s'est posé peu après 15H30 locales (23H30 heure belge) sur la piste de la base aérienne de Buckley, mitoyenne d'Aurora où s'est déroulé le drame qui a fait 12 morts et 58 blessés. M. Obama, qui a été accueilli à sa descente d'avion notamment par le gouverneur du Colorado John Hickenlooper et les deux sénateurs de l'Etat, doit passer un peu plus de deux heures sur place pour rencontrer les proches des victimes, ainsi que des responsables des autorités locales. La Maison Blanche n'a pas précisé dans l'immédiat si M. Obama allait s'exprimer en public au cours de cette visite. (SAUL LOEB)

mardi, 20 décembre 2011

Candidature du Chef de l’ État sénégalais: Les USA pas intéressés par les arguments de Wade

wo.jpgPas de missions aux États Unis d’Amérique (USA). Du moins pas pour le moment. En effet, le Président Wade qui avait décidé d’après un communiqué de la présidence d’envoyer des missions à l' Étranger pour rassurer les partenaires du Sénégal quant à la transparence sur les prochaines joutes électorales, va être obligé de sauter l’étape du pays de l’oncle Sam. Car selon le journal" l’Enquête", les États Unis viennent de faire savoir aux autorités sénégalaises qu’ils ne sont pas intéressés par cette tournée..

Arguant d' un calendrier chargé, le Congrès Américain a indiqué qu’il n’était pas dans les dispositions d’accorder du temps aux missionnaires de Wade.


Avec cette réponse diplomatique, les USA semblent affirmer leur position sur la candidature du Président Wade. La même source informe d’ailleurs que les deux chambres ont décidé d’écrire une lettre au Président Wade pour exprimer la même position du Congressman Donald Payne.

mercredi, 02 novembre 2011

Et voilà Obama sur une place symbolique et significative

mercredi, 22 septembre 2010

Le Président Barack Obama

16:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

mercredi, 24 mars 2010

Santé : Obama remporte le vote décisif

« Nous avons prouvé que nous restions un peuple capable de grandes choses ». Par ces mots, Barack Obama a salué dimanche le passage du projet de réforme du système de santé américain auquel il travaillait depuis un an, une réforme qui restera probablement le symbole de sa législature et pour laquelle les démocrates se sont battus pendant un siècle.

Dimanche soir, la Chambre des représentants a approuvé par 219 voix contre 212 le texte adopté le 24 décembre par le Sénat, envoyant ainsi le texte à la Maison Blanche pour promulgation par le président Obama. Il fallait une majorité de 216 voix pour que la réforme passe. Le vote était encore incertain dimanche après-midi. Pendant près de 10 heures de débat, les deux camps se sont affrontés une dernière fois mais les chefs démocrates ont fini par obtenir le ralliement du démocrate anti-avortement Bart Stupak et de ses partisans. Un précieux soutien rendu possible à la suite d'un compromis passé avec le chef de l'Etat américain qui s'est engagé à signer un décret pour réaffirmer l'interdiction des financements fédéraux pour l'avortement.

Certains démocrates ont néanmoins refusé de s'engager pour une réforme que les sondages disent impopulaire. Selon un récent sondage du Wall Street Journal, 36% des Américains jugent la réforme positive, contre 48% des Américains qui la jugent négativement et 15% qui sont sans opinion. Au total, 34 démocrates ont finalement voté contre le projet de loi avec 178 républicains, dont pas un n'a voté pour une réforme jugée trop coûteuse.

» Ecouter l'analyse de Pierre-Yves Dugua, correspondant du Figaro à Washington :

32 millions d'assurés supplémentaires

Le texte adopté dimanche devrait permettre de garantir une couverture santé à 32 millions d'Américains qui en sont dépourvus . L'objectif est de couvrir 95% des citoyens de moins de 65 ans et des handicapés.

09:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

dimanche, 22 novembre 2009

Réforme de la santé : Obama gagne une manche au Sénat

Les sénateurs démocrates ont fait bloc derrière le président américain pour lancer au Sénat le débat sur la réforme du système de santé, lors d'un vote qualifié d'«historique» par la Maison-Blanche.ref.jpg

La réforme du système de santé initiée par Barack Obama poursuit son périple législatif. Samedi soir, dans une ambiance solennelle, les 58 sénateurs démocrates et deux sénateurs indépendants ont voté en faveur de l'ouverture d'un débat dans la chambre haute. Toutes les voix comptaient et pas une seule n'a manqué. Il fallait en effet 60 voix pour que soit franchie cette étape purement procédurale, mais cruciale en vue de la création d'une couverture maladie universelle aux Etats-Unis. En face, sur les 40 sénateurs républicains, 39 ont voté contre et un n'a pas voté.

La réforme de l'assurance maladie devra encore franchir plusieurs étapes après le congé de Thanksgiving, qui sera célébré jeudi prochain aux Etats-Unis. Ce vote ne préjuge donc en rien de l'issue des discussions. Mais il a tout de même donné lieu à de vifs échanges. Le chef de la majorité démocrate Harry Reid a accusé les républicains de vouloir priver le pays d'un débat historique nécessaire. «Imaginez si, au lieu de débattre de l'abolition de l'esclavage, au lieu de débattre du droit de vote des femmes et des minorités, ceux qui s'y opposaient avaient fait taire la discussion et empêché tout vote», a-t-il lancé.

Le sénateur républicain Mitch McConnell, chef de file de l'opposition, a de nouveau affirmé que la réforme allait augmenter les impôts et entraîner un «déficit massif et insoutenable». Son camp s'efforce de prolonger la bataille jusqu'à l'année prochaine, en espérant que la perspective des élections parlementaires de mi-mandat en novembre 2010 amènera les démocrates élus dans des Etats conservateurs à voter contre. Pour rassurer leur électorat, ces derniers aimeraient recevoir l'assurance que les fonds fédéraux ne financeront pas des avortements. Ils voient aussi d'un mauvais œil une éventuelle concurrence de l'Etat avec les assureurs privés.

 

30 millions d'Américains sans assurance maladie

 

Mais samedi soir, cette stratégie n'a pas encore fonctionné. Deux sénatrices démocrates, qui étaient jusqu'alors incertaines, ont finalement indiqué peu avant le vote qu'elles s'aligneraient sur la position de leur parti. Mary Landrieu (Louisiane) et Blanche Lincoln (Arkansas) ont néanmoins indiqué qu'elles pourraient voter contre la loi lors de son vote formel, quand les démocrates n'auront plus besoin que d'une majorité simple. Jeudi un autre démocrate hésitant, le sénateur Ben Nelson (Nebraska), avait lui aussi annoncé qu'il voterait avec son parti.

Le projet de loi de 2.074 pages prévoit l'extension de l'assurance maladie à quelque 30 millions d'Américains qui n'en possèdent pas actuellement en taxant les assureurs et les plus riches. Les assureurs ne pourraient plus refuser de couvrir des personnes présentant des antécédents médicaux ou exclure des assurés qui tomberaient malades. La Chambre des Représentants a adopté sa propre version de la réforme de l'assurance maladie ce mois-ci sur un vote serré de 220 voix pour et 215 contre. Harry Reid souhaite que le Sénat adopte son propre texte d'ici la fin de l'année. Si c'est le cas, le Congrès s'attellera ensuite à la fusion des deux versions, avant de soumettre la loi à la signature du président Obama pour sa promulgation.

13:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 16 novembre 2009

Ce demi-frère qu’Obama va retrouver en Chine

Photo : Même silhouette longiligne et athlétique, Mark Ndesandjo présente aussi de vraies ressemblances dans les traits avec son demi-frère Barack Obama. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

Mark Okoth Obama Ndesandjo, né du même père et d’une autre mère, vit à Shenzhen au sud de la Chine. Il vient de publier un roman autobiographique et sera dimanche à Pékin pour accueillir le président.

En s’aventurant pour la première fois en terre chinoise, dimanche, Barack Obama pourra s’appuyer sur une épaule familiale s’il est pris du vertige du grand dépaysement. Son « frère chinois » devrait être là pour l’accueillir. Resté jusqu’à présent très discret sur sa parenté si intime avec le président américain, Mark Ndesandjo vient de sortir un peu de l’ombre.

Longtemps, l’homme avait tu cette prestigieuse affinité­ lignagère, y compris à ses bons amis, jusqu’à ce que la presse le débusque l’an dernier. Depuis, il avait refusé toutes les sollicitations. Aujourd’hui, c’est cependant fort opportunément que Mark Okoth Obama Ndesandjo sort un livre, à mi-chemin entre le roman et l’autobiographie, à l’aube du voyage du président américain à Pékin. Si pour Barack Obama, le chemin s’est fait de Hawaï à Washington, celui de Mark l’a conduit De Nairobi à Shenzhen, titre de son ouvrage. Le demi-frère de l’homme le plus puissant du monde, comme on le souligne ici, a fait souche depuis sept ans dans la grande ville du sud de la Chine, à un jet de pierre de Hongkong. Une ville qui reste le symbole des réformes lancées par Deng Xiaoping, le temple du capitalisme rouge, pour ne pas perdre tous ses repères américains.

David, le nom du héros du roman, y pose son sac dans le sillage du 11 septembre 2001, après avoir perdu son travail. Il tombe sous le charme de la Chine par l’intermédiaire « d’une femme magnifique et d’un jeune orphelin ». David est le fils d’une mère juive américaine, divorcée de son mari kényan. Dans la vraie vie, Obama père, divorcé en 1964 de la mère de l’actuel président, Stanley Ann Dunham, a ensuite rencontré une autre de ses quatre femmes, la jeune Ruth Nidesand, avec laquelle il est reparti l’année suivante au Kenya, où il a eu six nouveaux enfants. Ce père est au cœur du livre de Mark Ndesandjo, comme il l’était des célèbres Mémoires de Barack Obama, Les Rêves de mon père. Les deux hommes se rejoignent en peignant douloureusement le portrait d’un homme brillant, mais qui n’a jamais pu ou su tenir ses talentueuses promesses ni ses responsabilités familiales. Il disparaît dans la nature quand Barack a 2 ans, et le jeune garçon ne reverra son père que brièvement huit ans plus tard. Obama Senior est mort dans un accident de la route en 1982, à l’âge de 46 ans. Cette absence du père a été la grande blessure du président américain, en quête de cette part fuyante de son identité. Son cadet Mark, qui tait son âge, a connu les mêmes blessures. Il raconte ce père grignoté par l’alcool, battant sa mère, le frappant lui-même. De manière émouvante, il a confié combien l’élection de son demi-frère avait en ce sens transformé sa vie. La fierté ressentie devant ce succès et la liesse de millions d’Américains transfigurés par un nouvel espoir l’ont réconcilié « avec beaucoup de choses, y compris le nom d’Obama ».

Physiquement, il y a du Barack en Mark. Même silhouette longiligne et athlétique, et de vraies ressemblances dans les traits. Avec cependant plus de liberté dans le protocole vestimentaire. Il affectionne les vestes noires, les bandanas aux couleurs vives et porte un petit diamant à l’oreille gauche. Cet ancien diplômé des prestigieuses universités de Stanford et Brown est aujourd’hui « consultant en marketing stratégique », dans le domaine des nouvelles technologies notamment. Mais il se consacre surtout à la musique, « le plus universel des langages ». On l’a vu il y a quelques mois faire une apparition publique en jouant du piano afin de récolter des fonds pour un orphelinat. Ses autres passions sont la calligraphie chinoise, la littérature, l’écriture. Selon la presse chinoise, il a longtemps semblé avoir des revenus très modestes, donnant des leçons de musique pour vivre.

Avalanche de souvenirs familiaux

Le « frère chinois » de Barack Obama avait fait le voyage à Washington pour l’investiture du président. Avant cela, leur dernière rencontre datait de la période électorale, quand il lui avait rendu visite à Austin à la veille d’un débat avec la candidate Hillary Clinton. « Il est venu vers moi, nous nous sommes étreints et je lui ai donné un cadeau, de la calligraphie chinoise », a-t-il raconté. Mark s’apprête à rencontrer son frère de président à Pékin, entre le 15 et le 18 novembre. « Je compte lui présenter ma femme, c’est la plus grande de ses fans », a-t-il confié. Son épouse, comme l’essentiel de sa vie désormais, est chinoise, même s’il reste citoyen américain. « Je me sens comme une personne qui a plusieurs endroits sur terre, qui a les pieds à différents endroits », dit-il. Il se garde de s’aventurer très loin sur le terrain politique. « Je pense que l’équipe de mon frère fait un travail remarquable », estime-t-il, et il ne veut pas créer de confusion. Tout juste a-t-il confié qu’il voulait dire à son aîné combien il y a à apprendre de la culture chinoise, et surtout l’importance que revêt la famille dans son pays d’accueil. Il préparerait aussi une « vraie biographie », plus détaillée. Le « Chinois » de la famille Obama n’est pas le seul à avoir pris la plume. Un autre demi-frère du président américain, George, qui vit au Kenya a écrit des mémoires qui doivent sortir chez Simon and Schuster au début de l’année prochaine. D’autres proches de Barack Obama auraient aussi la main près du plumier. Une demi-sœur, Maya Soetoro-Ng, fille de la mère du président, et Craig Robinson, frère de la première dame. Cette avalanche de souvenirs familiaux dans la famille présidentielle américaine doit étonner les dirigeants chinois actuels, dont on ne sait rien de la vie privée, ou presque. Leurs grandes et petites histoires sont, il est vrai, classées secret d’État.

lefigaro.fr

arton2688.jpg

02:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

dimanche, 08 novembre 2009

Réforme du système de santé: Obama arrache le feu vert de la Chambre des représentants

Victoire serrée, mais victoire tout de même pour Barack Obama. La réforme du système de santé, projet majeur de sa présidence dont il est venu plaider la cause en personne au Capitole, a été adoptée à une majorité de quelques voix seulement à la Chambre des représentants des Etats-Unis. Le projet doit maintenant passer devant le Sénat.

Malgré la défection d'une quarantaine de voix dans le camp démocrate, ce vote, intervenu samedi après 23h heure locale (dimanche 3h GMT) après une ultime séance marathon, constitue déjà une victoire pour le président Obama, qui en a fait un texte pivot de sa mandature. Les Républicains lui ont opposé un front presque uni, à une exception près.

Dans un communiqué, le président Obama a salué le vote de la Chambre des représentants et a immédiatement mis la pression sur le Sénat pour qu'il en fasse de même dans les semaines à venir. "Le Sénat des Etats-Unis doit maintenant en faire autant et adopter sa propre version du projet de loi. J'ai absolument confiance qu'il le fera", a déclaré le chef de la Maison Blanche. "J'ai hâte de promulguer cette loi d'ici la fin de l'année."

Le vote a été serré: 220 voix pour, 215 contre. "Le projet de loi est adopté", a lancé la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, visiblement satisfaite et soulagée de ce passage réussi, après des mois de tractations parlementaires et de lobbying de la Maison Blanche.

Pas moins de 39 voix démocrates ont manqué à l'appel, alors qu'une seule voix républicaine est venue soutenir la réforme, celle du représentant nouvellement élu de Louisiane, Joseph Cao, dont une grande partie de la circonscription est favorable à la réforme.

Le feu vert de la chambre basse va permettre au Sénat d'ouvrir à son tour le débat. Mais les discussions s'annoncent encore plus délicates à la chambre haute du Congrès où l'adoption nécessite une majorité de 60 voix sur 100. D'autant qu'un certain nombre de sénateurs démocrates classés au centre ont déjà exprimé des réserves.

Une Nancy Pelosi triomphante a comparé ce texte phare au tournant historique qu'a constitué l'introduction de la Sécurité sociale en 1935 et celle de Medicare pour les personnes âgées 30 ans plus tard.

Le texte va permettre d'étendre la protection à quelque 36 millions d'Américains jusqu'ici sans couverture sociale et de couvrir au total 96% de la population, a précisé la "speaker" de la Chambre. "Il offre à tous, quels que soient ses revenus ou sa fortune, la tranquillité d'esprit dont ils ont besoin", a souligné pour sa part le représentant du Michigan John Dingell, âgé de 83 ans, qui avait présenté l'assurance santé, année après année, à l'assemblée depuis sa première élection en 1955.

Le texte adopté prévoit d'obliger les grandes entreprises à assurer leurs employés et nécessitera que davantage de personnes soient assurées. Pour ceux qui ne peuvent pas se le permettre, le gouvernement fournira des subventions. Les entreprises qui n'appliqueraient pas la nouvelle mesure risquent des pénalités.

Les refus de dossiers par les assurances privées sont également bannis, et les personnes présentant un risque particulier ne devraient plus payer de cotisations exagérées.

Dans le vote final, les conservateurs des deux partis ont joint leurs voix pour faire adopter un amendement qui interdira la prise en charge des avortements dans le cadre des assurances d'Etat proposé aux particuliers et aux petits groupes, sauf en cas de viol, inceste et risque pour la vie de la mère.

Les Républicains, minoritaires à la Chambre et opposés dans leur quasi-totalité à cette réforme dont le coût est évalué à 1.200 milliards de dollars (808 milliards d'euros) sur 10 ans, ont exprimé pendant des heures de débat leurs objections à ce projet de près de 2.000 pages.

Les Etats-Unis sont le seul pays développé au monde qui ne dispose pas d'un système complet et généralisé de couverture santé. AP

10:52 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

vendredi, 09 octobre 2009

Le NOBEL 2009 à Obama

cata_oba.jpg Le prix Nobel de la paix 2009 a été attribué au président américain Barack Obama "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples", a annoncé le jury du prix à Oslo.

Le nom du président américain avait été mentionné mais beaucoup d’experts considéraient qu’il était trop tôt pour le récompenser. Elu en novembre dernier, Barack Obama a prêté serment en janvier. Depuis le président a effectivement produits de nombreux discours d’intentions. Mais la mise en pratique se fait toujours attendre. Charismatique et médiatique, il semble inspirer à son public un enthousiasme contagieux, mais se trouve confronté à deux conflits ouverts, en Irak et en Afghanistan, où il est à la recherche d’une nouvelle stratégie.

Le comité Nobel a pourtant accordé une importance spéciale à la vision d’Obama d’un monde sans armes nucléaires. Selon le jury le président s’emploie à relancer le processus de paix isralo-palestinien, depuis son investiture en janvier dernier. Il a ’’créé un nouveau climat dans les relations politiques internationales. La diplomatie multilatérale a repris une position centrale, avec l’accent mis sur le rôle que les Nations unies et d’autres institutions internationales peuvent jouer’’, ajoute son communiqué.

Président féru de nouvelles technologies, Barack Obama avait construit un réseau de soutien sur Facebook pendant sa campagne. Son prix suscite forcément de nombreuses réactions sur la toile.

Il n’est pas le premier chef d’Etat ou de gouvernement en exercice à obtenir le Nobel de la paix : ce fut déjà le cas par exemple de Mikhaïl Gorbatchev, alors président soviétique, en 1990. Le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin également avait partagé le Nobel de la paix avec le numéro un palestinien Yasser Arafat, en 1994.

Caroline Caldier avec agences

vendredi, 24 avril 2009

Obama en maillot de bain enflamme Washington

7ab82c6.jpg
| La photo d'Obama simplement vêtu d'un short de bain, publiée en Une du prochain numéro du magazine Washingtonian avec la légende "Notre nouveau voisin est chaud", suscite la polémique.

Cette photo fait partie d'un dossier de l'édition de mai du mensuel, intitulé "26 raisons d'aimer vivre ici". Barack Obama est la raison numéro deux.

La photo, prise à Hawaii peu après l'élection présidentielle, le montre plutôt à son avantage: on y voit le président américain, l'allure athlétique, en train de marcher vêtu d'un maillot de bain rouge, lunettes de soleil sur le nez.

Il n'en fallait pas davantage pour enflammer les Américains. "Entre les courriers électroniques, les coups de téléphones, les commentaires sur les blogs (...) nous avons des réactions par centaines", explique à l'AFP le journaliste politique du magazine, Garrett Graff.

"Les commentaires sont très partagés: un grand nombre de personnes pensent que c'est une chouette photo pour célébrer le président, d'autres ne sont pas d'accord", ajoute-t-il.

Cette couverture n'a pourtant rien de choquant selon M. Graff: "Nous avons essayé de capter (...) ce qu'il y avait de sympa à être ici en ce moment", a-t-il dit. Quant à la légende "Notre nouveau voisin est chaud", c'est du "second degré", dit-il.

Tout le monde ne l'a pas compris comme ça, si on en croit les commentaires publiés sur le site de la revue.

"Les directeurs du Washingtonian devraient avoir honte", s'emporte Kristin. "Il est censé être le président des Etats-Unis, pas une pin-up", lâche Dennis, alors qu'Annon se réjouit d'avoir "annulé (son) abonnement au Washingtonian".

Côté réactions positives, Joyce apprécie et promet d'acheter le magazine dès sa sortie. "Quel homme!", dit l'internaute à propos du président. Krissy avoue pour sa part "adorer" la photo et Pammie la trouve "fantastique".




09:48 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

jeudi, 26 mars 2009

Obama sur les plages du Débarquement le 6 juin, annonce Claude Guéant

Le président américain Barack Obama est attendu sur les plages du Débarquement de Normandie le 6 juin, a annoncé jeudi le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant.

Barack Obama "viendra le 6 juin pour la commémoration du Débarquement de Normandie", a-t-il confirmé sur France-24.

M. Obama et son homologue français Nicolas Sarkozy, qui se connaissent déjà, se rencontreront pour la première fois depuis l'élection américaine à Londres le 2 avril à l'occasion du sommet du G-20 sur la réforme du capitalisme. Ils auront un premier tête-à-tête le lendemain à Strasbourg, en marge du sommet de l'OTAN.

La visite du président américain en juin sera "l'occasion d'entretiens plus longs" que ceux prévus la semaine prochaine, a expliqué Claude Guéant.

Selon lui, l'hypothèse un temps envisagée d'une visite de M. Obama en Normandie vendredi matin a été reportée pour des raisons d'agenda. Il n'aurait pu y passer qu'une heure, a justifié M. Guéant. AP

13:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

jeudi, 05 mars 2009

Barack Obama lance son projet de réforme de la Santé

Le président américain Barack Obama a mis sur les rails son projet de réforme de l'assurance maladie, avec une réunion d'experts et de professionnels de la santé à la Maison blanche.

Obama avait donné rendez-vous à 120 experts - médecins, patients, assureurs et législateurs - pour évoquer les différentes démarches possibles et dégager des convergences en vue de réformer la couverture sociale en matière de santé.

"La réforme du secteur de la santé n'est plus simplement un impératif moral, c'est devenu un impératif fiscal", a estimé Obama. "Si nous voulons créer des emplois et rebâtir notre économie, nous devons nous attaquer aux colossales dépenses de santé cette année, au sein de cette administration".

"Je suis ici aujourd'hui parce que je crois que l'époque est différente. Aujourd'hui, l'appel en faveur des réformes vient de la base, et de l'ensemble du spectre (social) - des médecins, des infirmières et des patients; des syndicats et des entreprises; des hôpitaux, des fournisseurs de soins de santé et des organisations communautaires".

"Aujourd'hui, la question n'est pas de savoir si tous les Américains doivent recevoir des soins médicaux de qualité et d'un coût abordable. La seule question est comment y parvenir".

Le coût des soins de santé a augmenté pour atteindre les 2.500 milliards de dollars par an, et le nombre de personnes non assurées s'élève à 46 millions désormais aux Etats-Unis. Le pays est systématiquement moins bien classé que les autres nations riches en matière de prévention et de traitement de nombreuses maladies comme le diabète.

David Alexander, version française Eric Faye

22:28 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

mardi, 20 janvier 2009

Investiture d'Obama: à "homme exceptionnel", "tâches exceptionnelles", selon Bernard Kouchner

Barack Obama "est un homme exceptionnel", il aura donc "des tâches exceptionnelles", même si le nouveau président américain "n'a pas de baguette magique", a estimé mardi Bernard Kouchner, toutefois optimiste sur les futures relations transatlantiques. arton16017.jpg

Ce nouveau président, "il faut surtout, c'est ça l'espérance, (...) qu'il travaille avec l'Europe, que l'Europe travaille avec les Etats-Unis", a souhaité sur France-Info le ministre français des Affaires étrangères.

"Je partage l'admiration et l'émotion de tout le monde. (...) Mais Barack Obama, le futur président dans quelques heures, n'a pas de baguette magique", a toutefois averti Bernard Kouchner. "Il ne faut pas attendre de lui tout de suite qu'il résolve tous les problèmes, ni tous les problèmes de l'Amérique, ni accessoirement les nôtres."

Selon lui, même si le nouveau chef d'Etat américain, actuellement en "état de grâce mondial", est "un homme exceptionnel, il aura des tâches exceptionnelles", a résumé le chef de la diplomatie française.

A propos des futures relations transatlantiques, M. Kouchner a rappelé que "le président Obama s'est entouré de gens que nous connaissons bien, soit qu'ils aient travaillé dans l'équipe de M. Clinton ou que nous les ayons rencontrés à divers postes", citant Joe Biden ou Hillary Clinton.

Selon M. Kouchner, la future secrétaire du Département d'Etat a déclaré lors d'un discours: "nous n'allons sans doute pas être d'accord sur tout, mais nous allons travailler ensemble". "Ça, c'est formidable", s'est-il enthousiasmé.

Même si "la France et l'Europe vont continuer de jouer leur rôle" dans la crise de Gaza, M. Kouchner a souhaité travailler bientôt avec son homologue américaine. "Mme Hillary Clinton va devoir s'atteler avec nous, au problème du Moyen-Orient, je l'espère très vite", a-t-il souhaité. AP

10:25 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 19 janvier 2009

LES USA CHANTE POUR L'ESPOIR

11:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

Barack Hussein OBAMA

Barack Obama a invoqué l'union des Américains dimanche entouré d'une pléiade de stars, venues célébrer son investiture devant des centaines de milliers de personnes dans un lieu symbolique de Washington: le Lincoln Memorial

0000.jpg
Récession, fermeture de Guantanamo, retrait des troupes d'Irak, renforts en Afghanistan et bien sûr crise au Proche-Orient. Celui qui sera investi mardi 44e président américain, a savouré le début des festivités menant à son investiture, avant d'entamer son mandat au milieu de l'une des pires crises économiques de l'histoire des Etats-Unis.

Vêtu d'un manteau noir, Barack Obama est apparu souriant en haut des marches du Lincoln Memorial, transformé en scène de concert de rock, accompagné de son épouse Michelle, revêtue d'un élégant manteau crème. Face à eux, une foule immense et compacte occupait le Mall, la vaste pelouse qui s'étend jusqu'au pied du Capitole, le siège du Parlement où Barack Obama prêtera serment mardi.

"Ce qui me donne l'espoir par dessus tout, ce ne sont pas les pierres et le marbre qui nous entourent, mais ce qui remplit les interstices. C'est vous, Américains de toutes les races, venus de partout, de toutes conditions, vous qui êtes venus ici parce que vous croyez en ce que ce pays peut être", a souligné le futur président en prenant la parole à la fin du concert gratuit.

10:56 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

dimanche, 18 janvier 2009

LE REVE EST Là



"Je fais un rêve"

12:23 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |