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mercredi, 10 février 2010

Le footballeur Marouane Chamakh sur la liste Modem en Gironde

L'attaquant international marocain de Bordeaux Marouane Chamakh figurera sur la liste "Force aquitaine" du MoDem pour les élections régionales en mars prochain, annonce le parti centriste.

Agé de 26 ans, natif du Lot-et-Garonne, ce pur produit des Girondins de Bordeaux, club champion de France en titre, figurera en 13ème position, place non éligible, sur la liste du département de la Gironde.

Un autre sportif de haut niveau a rejoint le MoDem en Aquitaine. Il s'agit de François Gelez, l'ouvreur agenais de l'équipe de rugby d'Agen (ProD2) qui figurera en troisième position sur la liste en Lot-et-Garonne.

Claude Canellas, édité par Yves Clarisse

Le projet de loi sur les nouvelles délinquances passe mal

La loi "d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure", dite LOPPSI 2, préparée par Michèle Alliot-Marie, alors ministre de l'Intérieur, a été profondément remaniée par son successeur Brice Hortefeux.

Il prévoit de développer la vidéosurveillance, de créer une possibilité de "couvre-feu" préfectoral pour les mineurs de moins de 13 ans avec sanction possible pour les parents, ainsi que des possibilités légales renforcées de surveillance policière et administrative d'internet.

Alors que 9.000 postes de policiers et de gendarmes doivent être supprimés d'ici à 2011, Brice Hortefeux a jugé "totalement inexact de résumer la sécurité à la seule question des effectifs" lors de sa présentation à l'Assemblée nationale.

Mais la gauche dénonce un texte électoraliste à quelques semaines du premier tour du scrutin régional de mars.

"C'est une loi d'orientation qui n'en donne aucune, une loi de programmation qui ne donne aucun moyen. Ce n'est qu'une loi de circonstance électorale, d'instrumentalisation de la sécurité", estime le socialiste Bruno Le Roux.

Le député PS Claude Bartolone a renchéri sur France Info.

"Actuellement, chez le ministre de l'Intérieur, il y a une certaine tentation à essayer d'expliquer qu'on peut faire de la sécurité sans policiers", a-t-il déclaré.

"PROBLÈMES NOUVEAUX"

Le communiste Roland Muzeau a dénoncé pour sa part la "paranoïa sécuritaire" du pouvoir depuis 2002, date à laquelle Nicolas Sarkozy avait pris en main le ministère de l'Intérieur avant d'accéder à l'Elysée en 2007.

"A la veille des élections régionales, on nous ressort à la fois le thème de l'immigration et celui de la sécurité", a-t-il déploré.

Brice Hortefeux a rétorqué que la politique menée depuis 2002 avait donné au contraire des "résultats encourageants", avec une baisse continue de la délinquance.

"Ce projet de loi, nous l'avons construit à partir d'un principe simple: une victime est toujours une victime de trop", a-t-il dit.

"Nous ne nous excuserons jamais de lutter contre la délinquance. Nous vous proposons des mesures concrètes et opérationnelles, des mesures nouvelles à des problèmes nouveaux", a-t-il ajouté devant les députés.

La commission des Lois de l'Assemblée a adopté plusieurs dizaines d'amendements, notamment de son rapporteur, l'UMP Eric Ciotti, visant à durcir le texte.

L'un prévoit d'autoriser à titre expérimental l'installation de scanners corporels dans les aéroports, un autre l'instauration dans les communes d'un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans non accompagnés, un troisième renforce les sanctions contre les vendeurs à la sauvette.

Parmi les nombreux amendements du gouvernement figure notamment celui qui aggrave les sanctions pour les auteurs de cambriolages et de vols visant des personnes âgées.

Cet amendement, qui a provoqué diverses critiques dont celles de la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a été déposé après le meurtre d'un couple de septuagénaires il y a deux semaines dans l'Oise.

L'examen du texte par les députés devrait durer toute la semaine. L'Assemblée se prononcera le mardi 16 février par un vote solennel sur l'ensemble du texte que le Sénat examinera à son tour en avril.

Emile Picy, édité par Yves Clarisse

Un soldat français tué en Afghanistan, le 40e depuis 2001

Un soldat français a été tué dans l'est de l'Afghanistan mardi lors d'un accrochage avec des insurgés, annonce l'Elysée. Il s'agit du quarantième soldat français tué dans ce pays depuis 2001.

Membre du 13e bataillon de chasseurs alpins basé à Chambéry (Savoie), le militaire participait à la protection d'un convoi logistique de l'armée afghane en Kapisa, à l'entrée sud de la vallée d'Alasay, précise l'Elysée dans un communiqué.

Au cours de l'opération, les éléments français ont été pris à partie par les insurgés et "ce soldat a été mortellement touché", précise la présidence de la République.

"Ce soldat a payé de sa vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan", déclare le président Nicolas Sarkozy, qui dit s'associer à la douleur de la famille.

Le Premier ministre, François Fillon, a fait part dans un communiqué de sa "tristesse" à l'annonce du décès du soldat qui "accomplissait sa mission pour le rétablissement de la sécurité et de la paix en Afghanistan". Dans un communiqué, le ministre de la Défense, Hervé Morin, "s'incline devant le sacrifice de ce soldat français décédé dans l'accomplissement de sa mission".

Lors d'un accrochage survenu lundi, un autre soldat appartenant au même bataillon que le défunt a été grièvement blessé par balle dans une fusillade sur une route reliant Bagram à la base française de Nijrab, à une cinquantaine de km au nord-est de Kaboul, a annoncé l'état-major des armées.

Opéré à Kaboul, le militaire était mardi en cours de rapatriement vers la France, a précisé Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major.

La France a constaté ces derniers temps une recrudescence des attaques dans la province de Kapisa "où les insurgés veulent montrer qu'ils ont toujours un pouvoir de nuisance important", a-t-il souligné.

La France a déployé 3.750 hommes en Afghanistan.

Eric Besson Musulman?

Eric Besson partage sa vie depuis quelques mois avec une jeune étudiante tunisienne. Et pour l'épouser, révèle Bakchich, le ministre aurait promis de se convertir... avant de changer d'avis.

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Une jeune femme qui est l'arrière petite-fille de Wassila Bourguiba, la femme de l'ancien président et père de l'indépendance tunisienne Habib Bourguiba, précise Le Figaro.

Dans ce communqué, le ministre de l'immigration et de l'identité nationale "déplore d’avoir à démentir une conversion à une religion pour laquelle j’ai par ailleurs du respect, je suis très attaché au caractère laïc de notre République".

Eric Besson précisant qu'il a chargé son avocat "d'étudier les conditions dans lesquelles des poursuites pourraient être engagées sur le fondement de l’atteinte à la vie privée".

mardi, 09 février 2010

Nicolas Président du Pays de la Racaille

19:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sarko |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 08 février 2010

Ligue 1: l'OM profite de l'aubaine, Saint-Etienne respire

Après Montpellier samedi, Marseille a été l'autre grand bénéficiaire de la 23e journée de L1 qui a vu plusieurs équipes du haut de tableau, dont le leader Bordeaux, faire du surplace ce week-end.

L'OM a mis à profit la réception de Valenciennes dimanche soir au Stade Vélodrome (5-1) en clôture de cette 23e journée pour grappiller quelques places et effectuer un intéressant rapproché sur Lyon.

Avec des buts de Lucho Gonzalez (33e) et Brandao (40e) en première période et de Benoît Cheyrou, Mathieu Valbuena et Mamadou Niang après la pause, les protégés de Didier Deschamps ont raflé trois points précieux qui leur permettent de passer devant Monaco, battu à Saint-Etienne 3-0 dans l'après-midi, et de revenir à une longueur des Lyonnais avec un match en moins.

L'OL a paru bien poussif dimanche sur la pelouse de Toulouse et les deux équipes se sont séparées sur un score de parité (0-0) qui laisse la formation de Claude Puel, réduite à dix après l'expulsion de Jean II Makoun, quatrième derrière Lille.

Les Nordistes n'avaient pas réussi à faire mieux que 1-1 samedi à Nice où les incidents, un temps redoutés, ne se sont pas produits.

Les Lillois accusent quatre points de retard sur les Montpelliérains qui sont allés s'imposer samedi à Boulogne (2-0) pour revenir à trois longueurs de Bordeaux, battu à Rennes (4-2) mais toujours leader avec 48 points.

Cette journée a également été placée sous le signe d'une réaction des mal classés avec une probante victoire de Saint-Etienne sur Monaco, après le carton de Grenoble samedi contre Auxerre (5-0).

Les Verts n'avaient plus gagné à Geoffroy-Guichard en championnat depuis leur succès sur le champion de France Bordeaux le 3 octobre.

Ils se donnent un peu d'air dans le bas du classement, gagnent une place et sont seizièmes, à égalité de points avec Nice (23), mais loin encore du Paris Saint-Germain, qui les précède au classement après sa défaite à domicile contre Lorient (0-3).

Pierre Sérisier

12:44 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : foot l1 |  del.icio.us |  Facebook | | |

Une Chinoise de neuf ans donne naissance à un enfant

Une Chinoise de 9 ans a mis au monde, le 27 janvier dans une clinique de Changchun, dans le nord-est de la Chine, un enfant pesant 2,75 kg , a affirmé un journaliste du journal local Changchun Chengshi Wanbao, confirmant jeudi des informations parues précédemment dans la presse.

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La mère et l'enfant se portent bien, selon le site internet du journal Renmin Ribao. Après une grossesse de 8 mois et demi, les médecins ont mis au monde l'enfant. Celui-ci est né par césarienne. Personne ne sait qui est le père du bébé. La famille a refusé de s'exprimer en public sur cette naissance. (MUA)

Le dépeceur de Mons , une nouvelle piste

Près de treize ans après la découverte des premiers sacs contenant des restes humains, l'enquête sur le dépeceur de Mons subit un nouveau coup d'accélérateur, révèle la presse. Un médecin montois, arrêté le 26 janvier pour l'agression d'une dame, avait été accusé à l'époque d'être l'auteur des meurtres. La cellule « Corpus », mise en place pour traquer le tueur en série, s'intéresse de près à ce notable de 62 ans.

Un fait divers d'apparence banale vient de donner un coup de fouet à l'enquête sur le dépeceur de Mons. Le 26 janvier, à Boussu un homme agresse violemment une jeune femme. Il la harcèle de longue date. Elle a fini par déposer une plainte. Armé, il vient la menacer de mort, la frappe et est maîtrisé de justesse par la police. Au palais de justice de Mons, cet homme n'est pas un inconnu: des lettres signées par un proche l'accusent tout simplement d'être le dépeceur de Mons. Sans apporter de preuve. Mais la violence affichée par le médecin à Boussu impose au moins de se poser des questions. Le parquet de Mons reste très prudent, mais reconnaît que des investigations ont été menées dès la réception des lettres et que « les éléments nouveaux » (l'agression de janvier) déboucheront sur de nouveaux devoirs d'enquête. « On a peut-être enfin une chance d'aboutir », dit-on au parquet, preuve de l'intérêt que suscite cette piste. (FRD)

12:37 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tuerie |  del.icio.us |  Facebook | | |

A 17 ans, il est poignardé en pleine rue

Ce vendredi, en début de soirée, une rixe entre plusieurs individus a eu lieu dans le XVIème arrondissement à Paris, rue Michel-Ange, près de la porte Saint-Cloud et du Parc des Princes.Au cours de la bagarre, un jeune homme de 17 ans a été mortellement blessé à coups de couteau.

La victime est décédée à l'hôpital Georges-Pompidou où elle avait été transportée par les secours.

Cinq personnes auraient pris la fuite après la rixe.

Mais la police a procédé à l'interpellation d'un homme non loin du lieu du drame. Il s'agirait d'un mineur de 17 ans, selon Le Parisien. LCI parle pour sa part d'un "jeune majeur".

Auteur présumé des coups de couteau, il a été entendu durant la nuit par les enquêteurs.

Selon des sources policières, il s'agirait d'une "bagarre entre amis" et pas d'une rixe "entre bandes de banlieue", précise LCI.

Une fusillade A PARIS

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Deux personnes ont été blessées par balles lundi à 5 h 35 en plein centre de Paris. Il s'agirait d'un réglement de comptes entre jeunes de cité. D'après nos informations, deux personnes attendaient en voiture deux jeunes gens à la sortie d'une boîte de nuit, Le Plaza Madeleine , place de la Madeleine, dans le 8e arrondissement de la capitale, suite à un accrochage survenu dans l'enceinte de l'établissement. Un des occupants du véhicule a tiré sur les deux jeunes à cinq ou six reprises avec une arme de poing. L'un a été blessé à la cuisse gauche, l'autre à un genou et au ventre. Selon les premiers témoignages, le tireur, casquette vissée sur la tête, a pris la fuite à pied. L

Ce genre d'affaires est en recrudescence dans le 8e arrondissement de Paris, un quartier chic de la capitale. Un autre établissement nocturne a même été fermé durant six mois dans le même quartier pour avoir vu, en six mois, trois réglements de comptes se dérouler à sa sortie, soit par armes à feu soit par couteaux.

vendredi, 05 février 2010

Liège : des habitants peuvent réintégrer leur logement

Les occupants des immeubles du quartier de la rue Léopold ont commencé à réintégrer petit à petit leurs logements et commerces, depuis jeudi. Vendredi, les rues Grande Tour, Degueldre et de la Violette devraient être rendues totalement accessibles. Ce vendredi à 16h30 aura lieu une cérémonie d'hommage en la cathédrale St-Paul. 
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Au total, 8 zones sur les 14 répertoriées dans le périmètre de sécurité, ont été vérifiées par les services de sécurité, ou le seront dans le courant de la journée de vendredi. Le bourgmestre de Liège Willy Demeyer signe les arrêtés d'habitabilité au fur et à mesure des inspections déclarées positives. Les clefs sont alors rendues aux occupants et le logement, qui avait été placé temporairement sous autorité publique, redevient sous la responsabilité juridique du propriétaire (ou du locataire).

Les immeubles et commerces inspectés sont classés en trois catégories : immédiatement habitables/accessibles, habitables après travaux, et inhabitables à long terme (c'est par exemple le cas des immeubles 7, 9 et 11 de la rue de la Madeleine, derrière les nº 18 et 20 la rue Léopold).

L'objectif des autorités est de terminer l'inspection d'au moins une rue ou une partie de rue chaque jour », ce qui laisse envisager un délai de 5 à 7 jours pour terminer l'ensemble du périmètre.

Les travaux se poursuivront tout le week-end, la seule « pause » étant prévue vendredi dès 16h30 en raison de la cérémonie d'hommage qui a lieu à 17h30 en la cathédrale St-Paul.

(D'après Belga)

13:52 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : liége |  del.icio.us |  Facebook | | |

MAM dérange les Sarko et autres

La garde des Sceaux et le ministre de l'Intérieur ne s'entendent pas et ne manquent pas de le faire savoir. Il n'est pas bon être chiraquienne en sarkozie.

L'échange de tirs entre la ministre de la Jus

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tice, Michèle Alliot-Marie et le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, n'en finit plus. Remis à sa place pour avoir voulu renforcer les peines pour les agresseurs des personnes âgées, Hortefeux a tenté de se défendre en avançant que la garde des Sceaux était "mal informée". Elle rétorque avec une lettre de remontrances au sujet du manque de "célérité" vis-a-vis des hooligans. Un Scud auquel le ministre de l'Intérieur n'a pas manqué de répondre, de nouveau par lettre.

Fin de la séquence? Peut-être, mais cette mésentente entre les deux ministres n'est pas une première. Mieux, MAM n'a jamais été en odeur de sainteté au sein du gouvernement.

Abonnée aux ministères régaliens

Gaulliste et issue de la chiraquie dans un gouvernement qui n'a d'yeux que pour Nicolas Sarkozy, voilà un CV qui détonne. Fière de son enracinement politique, elle a crée l'association Le Chêne afin d'"incarner le courant gaulliste au sein de l'UMP."

L'ancienne présidente du RPR, élue en 1999, reste très populaire à droite. Ce qui explique qu'elle ait siègé dans tous les gouvernements depuis 2002. Elle est la seule dans ce cas, avec le secrétaire d'Etat chargé des Transports, Dominique Bussereau.

Son arrivée à la Justice en 2009 a fait couler beaucoup d'encre. Comment une ministre qui ne fait pas allégeance au chef de l'Etat peut-elle accéder à un poste régalien? Qui plus est, quand on se rappelle qu'elle remplace à ce poste une fidèle des fidèles de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati. Etre la protégée du président ne fait pas tout puisque l'ancienne ministre de la Justice avait récolté les foudres des magistrats, notamment lors de l'annonce de la suppression du juge d'instruction.

L'épisode Edvige

Enchaînant son troisième ministère régalien (Défense, Intérieur, Justice), MAM a été choisi pour calmer le jeu. Cette docteur en droit connaît bien la Justice. Ce qui ne l'a pas empêché de devoir composer, comme Rachida Dati, avec le très puissant Patrick Ouart, le conseiller à la justice de Nicolas Sarkozy. Qualifié de"garde des Sceaux bis" sous l'ère Dati, il a quitté son poste à l'Elysée pour rejoindre LVMH.

On a souvent annoncé les derniers jours de MAM au gouvernement. Notamment après les coups de gueules du président de la République lors de la polémique sur le fichier Edvidge. Celui-ci lui reprochait alors son manque de réactivité lors de la levée de boucliers des militants de la Ligue des Droits de l'homme.

C'est là le reproche principal des sarkozystes à MAM, symbole, selon eux, de la vieille garde "ringarde" et "dépassée". Elle oppose son sérieux et son travail. Chargée de la réforme de la procédure pénale, elle va à nouveau devoir montrer sa capacité à encaisser les coups.

Un job de strip-teaseuse proposée par... Pôle emploi !

Incroyable mais vrai. Une demandeuse d'emploi a trouvé sur le site public " Pôle emploi " une petite annonce pour un job... de strip-teaseuse ! C'est " Le Parisien " qui révèle ce matin l'histoire de cette jeune femme de 29 ans qui est tombée sur cette drôle d'offre d'emploi : " Animations de chats pour adultes (messagerie rose), travail de jour ou de nuit ". " J'ai été surprise mais j'ai quand même postulé, confie la jeune femme au 'Parisien'. Je cherche du travail. Animer un chat, même rose, ne demande pas une grande implication. " Pourquoi pas, se dit-elle. Lorsqu'elle décide alors de postuler, elle n'est pas au bout de ses surprises. En fait de clavier, son interlocuteur lui explique qu'elle aura besoin comme outil de travail d'un téléphone et d'une web-cam... pour des rapports coquins. " La frontière avec la prostitution n'est vraiment pas loin " " Il m'a indiqué qu'il faudrait que je porte une nuisette et que je fasse le genre de trucs qu'on fait pour son petit copain. (...) Comme une strip-teaseuse en fait. " Le tout pour une rémunération oscillant entre 1 400 et 2000 E en CDI. " C'est ultra-choquant. La frontière avec la prostitution n'est vraiment pas loin et cette offre d'emploi se trouve sur le site de l'Etat. La dérive est énorme ", s'indigne la jeune fille dans les colonnes du " Parisien ". Si cette proposition de travail a de quoi surprendre, juridiquement, le site ne peut pas refuser une annonce si elle est légale et non discriminatoire. Légal mais pas très moral. C.H. Le 05/02/2010

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jeudi, 04 février 2010

Explosion d'un dépot de gaz à Nouakchott : Une dizaine de personnes décapitées par la déflagration

L’incident, qui a eu lieu cette semaine au quartier du Ksar, situé dans la banlieue de la capitale mauritanienne, a été horrible. Un dépôt abritant une centaine de bonbonnes de gaz a explosé, aux environs de 12 heures, tuant sur le coup une dizaine de personnes.incendie_t.jpg

(Correspondant permanent à Nouakchott) - L’accident a eu lieu au moment où la ville grouillait de monde. On pouvait entendre le coup de l’explosion à des dizaines de kilomètres. Certains observateurs croyaient que c’était un attentat ; tandis que d’autres avançaient la thèse d’un nouveau coup d’Etat. Et pour en avoir le cœur net, les populations vont prendre d’assaut le vieux quartier Ksar, mais la plupart d’entre elles ont failli prendre leurs jambes à leur cou, en découvrant toutes ces atrocités.

 

 

Selon les témoignages recueillis sur place, le bâtiment qui a explosé faisait office d’un dépôt de bonbonnes de gaz d’acétylène. Face à cette catastrophe, la protection civile, qui peinait à maîtriser les flammes, et la police s’étaient plus évertuées à contenir les curieux. Sous leurs yeux s’offrait une scène horrible, avec notamment le corps d’un homme ensanglanté sans vie sous les gravats. Quelques mètres plus loin, un agent de la protection civile ramassait les restes d’un employé, visiblement emporté par l’explosion. Il y avait de la chair humaine partout, sur le goudron, sur les carrosseries des voitures…

L’explosion était si violente que les deux voitures citernes qui étaient stationnées devant le bâtiment ont été projetées sur une dizaine de mètres plus loin, tuant sur le coup leur passager. Les vitres du magasin de porcelaine, situé de l’autre coté de la rue, ont volé en éclats sous l’effet de la déflagration.

Premier à être sorti des décombres, le gardien d’une bourse d’automobiles, située en face du dépôt de gaz. Les secours vont se frayer un passage pour l’évacuer à bord d’un 4/4 à l’hôpital militaire, mais il succombera à ses blessures en cours de route. Quelques minutes plus loin, les sapeurs-pompiers tentaient de sauver le propriétaire de la bourse d’automobiles en l’acheminant d’urgence à l’hôpital militaire de Nouakchott sous les pleurs de sa femme. A l’intérieur de la bourse, on apercevait, une vingtaine de voitures d’occasions complètement aplaties par l’explosion.

Après une lutte acharnée de deux tours d’horloge entre les hommes de la protection civile et une fumée rebelle et récalcitrante, les soldats du feu réussiront à avoir le dernier mot, sous les vivats des badauds. Prenant leur courage à deux mains, ils parviendront à dégager une deuxième victime, complètement écrabouillée par le bâtiment. Pour le moment, personne ne peut expliquer les causes de l’explosion, car aucun des témoins n’a survécu à la catastrophe.

  Auteur: Mame Seydou DIOP    

Massacre du 28 septembre en Guinée : Dadis Camara absout par la junte

La commission d’enquête instituée par la junte accuse le lieutenant « Toumba » de la tuerie
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Une commission d’enquête mise en place par la junte militaire en Guinée a mis hors de cause le capitaine Moussa Dadis Camara dans le massacre du 28 septembre à Conakry. Présenté mardi au siège de l’Assemblée nationale dissoute, le rapport de la commission accuse le lieutenant Aboubacar « Toumba » Diakité, qui avait tenté de tuer le chef de la junte le 3 décembre dernier, d’être responsable de la tuerie. Des conclusions qui ne convainquent pas beaucoup de monde.

Moussa Dadis Camara innocent, le lieutenant « Toumba » coupable. Le chef de la junte guinéenne a été blanchi mardi par une commission d’enquête sur le massacre du 28 septembre 2009, mise sur pied par les autorités militaires guinéennes. L’enquête impute la responsabilité des crimes commis lors d’un rassemblement pro-démocratique dans un stade à Conakry au lieutenant Aboubacar Chérif Diakité dit « Toumba », l’ex-aide de camp du capitaine Dadis Camara, en fuite depuis sa tentative d’assassinat contre le chef de la junte le 3 décembre. « Le lieutenant “Toumba“ Diakité et un groupe de bérets rouges de la garde présidentielle étaient responsables des viols, meurtres, blessures et disparitions mystérieuses de corps enregistrés le 28 septembre dans le stade », a déclaré le procureur Siriman Kouyate, président de la commission guinéenne.

« Ils n’ont rien fait »

Les conclusions de la commission d’enquête installée par la junte contredisent la version d’une commission de l’ONU qui avait évoqué une « responsabilité pénale individuelle » du capitaine Dadis Camara, du lieutenant « Toumba » et du ministre chargé des services spéciaux, le commandant Tiegboro Camara. Ce dernier est également mis hors de cause par la commission guinéenne. « Ils (le capitaine Camara et le commandant Tiegboro Camara) ne sont responsables de rien, tranche Siriman Kouyate, il est établi que le président n’est jamais venu au stade. »

La commission d’enquête de la junte dénombre en outre 58 décès et 1480 blessés dans la tuerie du 28 septembre, et estime à cinq personnes mortes dans les jours qui ont suivi le massacre. Le bilan dressé par l’Onu évoque quant à lui 156 personnes tuées ou disparues, 109 femmes violées ou soumises à d’autres formes de violence sexuelle, et des centaines de personnes torturées ou victimes de traitements inhumains.

Seul membre de la junte nommément cité pour sa responsabilité dans le massacre du 28 septembre, le rapport de la commission d’enquête réclame des poursuites judicaires contre Aboubacar Chérif Diakité et ses hommes. Des conclusions que rejette l’opposition. On rapporte qu’au siège de l’Assemblée nationale dissoute, le rapport de Siriman Kouyate a été présenté devant une assistance très clairsemée mardi, composée de quelques dizaines de personnes dont la plupart sont des responsables de la junte.

A l’appel d’une Ong guinéenne, la procureure adjointe de la Cour pénale internationale (CPi) devrait de son côté se rendre à Conakry le 15 février pour déterminer si les crimes commis les 28 septembre relèvent de la compétence de la Cour.

Kofi Yamgnane écarté des présidentielles au Togo : « La surprise, c’est qu’il n’y a pas eu de surprise »

La décision de la Cours constitutionnelle togolaise d’invalider, mardi, la candidature de Kofi Yamgnane à l’élection présidentielle du 28 février prochain ne surprend pas grand monde au Togo. Un rejet basé sur « la confusion sur l’identité de la personne », selon le Président de la cour constitutionnelle, Aboudou Assouma.arton18711-12c85.jpg

« Je sais que mon dossier est inattaquable. Les arguments avancés par la Cour constitutionnelle pour rejeter ma candidature sont fallacieux. Le RPT à écarté le candidat le plus gênant afin de s’éterniser à nouveau au pouvoir », a déclaré mardi, le Franco-Togolais Kofi Yamgnane, candidat à l’élection présidentielle prévue le 28 février 2010. Pour M. Yamgnane, le rejet de sa candidature « relève d’une décision purement politique et n’a aucune base juridique ». Un avis largement partagé par la plupart des Togolais.

« La popularité dont jouit depuis un temps M. Yamgnane est trop forte. Le pouvoir en place savait que sa candidature risquait de priver le président Faure de voix précieuses dans le nord du pays, dont les deux hommes sont originaires. Donc, il est l’homme à abattre », estime un acteur de la société civile sous couvert de l’anonymat.

« Vue la façon dont il est rentré au Togo, avec beaucoup de fracas, je me disais que ce Monsieur ne connait pas son pays. Il devenait inquiétant pour le RPT. La surprise serait qu’il ne soit pas écarté », pense Hamidou Souley, conducteur de taxi-moto.

Pour d’autres, M.Yamgnane porte une partie de la responsabilité de la non-retenue de sa candidature. « Je me souviens de ses prises de position après la mort du Président Eyadéma avec qui il entretenait de bonnes relations. Il n’avait pas du tout caressé ses fils qui sont aujourd’hui au pouvoir. Ca a fini par le plomber. C’était prévisible, surtout qu’il a le soutien des médias français », pense Justine Séglah, une proche d’un des parti de l’opposition togolaise. Cette dernière ajoute : « Le RPT sait bien qu’il y a ces incertitudes sur l’état-civil des Africains de la génération de M. Yamgnane ».

L’opposition en ordre dispersé

La France a exprimé, mercredi, son attachement aux « normes constitutionnelles » et au « pluralisme » au Togo, suite à invalidation de la candidature de M. Yamgnane. « Nous sommes attachés au respect des normes constitutionnelles et à la consolidation de la démocratie et du pluralisme au Togo, dans la perspective des élections présidentielles de 2010 », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero, lors d’un point de presse.

La Cour constitutionnelle dit avoir rejeté la candidature de Kofi Yamgnane à cause d’une incertitude concernant sa date de naissance. La Cour a relevé que les documents français de Kofi Yamgnane indiquent le 11 octobre 1945 comme date de naissance, alors que ceux provenant du Togo font mention du 31 décembre 1945. Le candidat débouté entend se battre pour être rétabli dans ses droits. Il n’exclut pas non plus son soutien aux forces politiques de l’opposition, pour une candidature unique qui tarde à voir le jour face au Président sortant Faure Gnassingbé qui part favori.

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mercredi, 03 février 2010

Sénégal Haiti

« L’Anoci, c’est l’agence de la corruption, de l’opacité et de l’incohérence »

NETTALI.NET- C’est parce qu’il est convaincu que le nom de Karim Wade est cité dans tous les scandales de ce pays que le maire de Mermoz- Sacré-Cœur - Baobabs juge que l’Agence nationale pour l’organisation de la conférence islamique (Anoci) est un cadre de corruption et d’opacité. A ses yeux, le fils de Wade est incapable d’apporter des réponses aux différentes critiques sur sa gestion de l’Anoci.arton11847-8e907.jpg
’’Que ce soient pour les Industries chimiques du Sénégal, la Société antfricaine de raffinage, la Senelec, l’Anoci, le nom de Karim Wade revient dans tous les scandales. Il faut s’appeler Karim Meissa Wade pour oser faire ce qu’il a fait. Tout autre sénégalais dormirait au fond d’une cellule. Le cas de l’Anoci est spécial. Je pense qu’il ne faut pas être plus royaliste que le roi. Abdoulaye Wade ne me choque plus. Abdoulaye Wade fera tout pour écarter ceux qui dérange son fils’’, a déclaré Barthélémy Dias au cours de l’émission le Grand Jury de la Rfm.

A ses yeux, tant que l’Anoci n’apportera pas de réponse au livre de Latif Coulibaly, il continuera à penser que c’est l’agence de la corruption, de l’opacité et de l’incohérence.

Barthélémy Dias se demande également comment Karim Wade peut être maintenu à la tête de son ministère, après tous les scandales dans lesquels son nom est cité et après sa défaite aux élections locales de mars 2009.

S’agissant du travail abattu par l’Armp, Barthélémy Dias souhaite qu’une suite soit donnée à ses audits.

’’C’est à eux d’indiquer la voie en expliquant pourquoi il y a eu dysfonctionnement. L’Armp est une bonne trouvaille. Dans chaque pays, il y a des instruments de contrôle. Je salue l’honnêteté intellectuelle de M. Sakho. Il va falloir qu’il nous dise dans quel ordre on va ranger ces différents dysfonctionnements’’, soutient M Dias.

- Par Béatrice -

Révélation d'Ahmet Khalifa Niasse : Wade destine le danger aux autres et les délices à son fils, Karim

XIBAR.NET (Dakar, 03 Février 2010) - Quand Ahmet Khalifa Niasse parle du président Wade, ses avis sont généralement fondés ; parce que connaissant l’homme à fond et lui ressemblant. Or, il s’est épanché dans les colonnes d’un journal de la place, pour avouer que les sentiments de celui qui l’avait nommé ministre de la Ville pour les Sénégalais sont à l’opposé de ceux qu’il nourrit pour son unique fils, Karim. Ses aveux sont lourds de conséquence pour le pays.

Un jour, révèle Ameth Khalifa Niasse, le président Wade lui a dit : « Je vais te donner une mission pour laquelle je n’ai confiance qu’en Karim. Mais, puisque c’est trop dangereux pour lui, je te la confie ». Autrement, il avoue que le président Wade n’a d’égards, de considération et d’estime que pour son fils Karim. Il lui destine tout ce qui est rentable, agréable et facile. Il souhaite qu’il ne lui arrive aucune égratignure. C’est ce qui explique qu’il s’était rué à l’immeuble Tamarro, où il était coincé dans un ascenseur.

Les propos de Khalifa Niasse indiquent clairement qu’aux enfants des autres le président Wade ne souhaite que malheurs et misères. Il n’hésite pas à les envoyer aux charbons. Tant pis, s’ils y laissent la vie ! Car, Karim est le miroir de son père, son unique confident, le moteur de sa vie. Les autres ne sont que ses escaliers, ses sujets, ses chaires à canon et jouets.

Les propos de M. Niasse sont à prendre au sérieux, puisqu’il se réclame co-auteur du Parti démocratique sénégalais. Les deux hommes se fréquentent depuis plus de trente ans. D’ailleurs, Ahmeth Khalifa avait déclaré que si l’autre enfant de Wade, Sindiely, avait été de sexe masculin, il serait son homonyme. Il avoue que Abdoulaye Wade n’est pas dans la peau d’un président. Il agit en vieux père d’un garçon, auquel il ne peut rien refuser. Il s’est exécuté, sans réfléchir, quand Karim a voulu mettre à terre Jean Lefebvre Sénégal, qui employait deux mille Sénégalais, dans le seul but d’atteindre Bara Tall ; qui est pourtant, lui aussi, fils d’un père aussi digne que Wade, sinon plus. Son tort a été de refuser de tremper dans les combines de surfacturation que voulait lui imposer Karim.

Or, un président doit être à égale distance de tous les Sénégalais, être à l’écoute des différentes
attentes des populations. Mais, à la place celles-ci, il n’écoute que sa famille, pour laquelle il est prêt à tout. Il ne ressent rien quand deux mille Sénégalais coulent dans un bateau, quand des jeunes finissent leurs aventures au fond de l’océan ; encore moins quand le panier de la ménagère est vide ou que son mari ne trouve plus la dépense quotidienne.

Pourvu simplement que les Wade dispose de savoureux, variés et abondants mets et qu’ils s’amusent, voyagent en jets privés et dilapident l’argent. Les Sénégalais sont avertis, quand bien même que Wade parvient toujours à trouver des kamikazes, comme Khalifa Niasse et Massaly, qui acceptent d’aller au front pour son fils. 

  Auteur: La Redaction