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lundi, 17 décembre 2007

Premier Jour du Hadj à la Mecque

Des pèlerins musulmans qui vont participer au Hadj, leur grand pèlerinage annuel. Les autorités saoudiennes ont promis de tout faire pour assurer leur sécurité. Elles craignent notamment des attentats d'islamistes hostiles à la famille royale. Ce pélerin britannique se veut plus optimiste. ''L'Islam c'est la paix. Notre religion prône l'union des musulmans et des non-musulmans. Et même quand nous faisons la guerre, elle nous dit de respecter tout le monde , les femmes, les enfants et même la nature.''
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500 000 personnes sont encore attendues sur place. Parmi elles 7 500 Palestiniens qui ont obtenu l'autorisation de traverser Israël pour s'y rendre. Le pèlerinage va durer 5 jours.

L'an dernier la Mecque avait connu son plus grave accident en 16 années. L'effondrement d'un pont avait causé la mort de 326 personnes. 50 000 membres des forces de l'ordre ont été mobilisées pour assurer la sécurité des pèlerins.

Kouchner bientôt en Colombie pour oeuvrer pour Ingrid Betancourt

PARIS (Reuters) - Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, déclare qu'il se rendra prochainement en Colombie pour tenter d'aider à la libération de l'otage franco-colombienne Ingrid Betancourt.

"Bientôt je me rendrai en Colombie", a-t-il dit sur Europe 1.

Le Premier ministre, François Fillon, a pu constater lors de sa visite en Argentine qu'"il y a un intérêt puissant et une convergence des actions" des responsables sud-américains, a ajouté Bernard Kouchner, "j'espère que cela sera efficace".

"En tous cas, le président de la République y travaille tous les jours", a encore déclaré le ministre des Affaires

Bruni la nouvelle compagne de Sarkozy: pas de commentaire de l'Elysée !

PARIS - L'Elysée n'a pas souhaité dimanche soir faire de commentaire sur des photos de presse montrant, selon le site Internet de "L'Express", le président Nicolas Sarkozy en compagnie de la chanteuse et ancien mannequin Carla Bruni la veille à Disneyland Paris.
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"Pas de commentaire", a simplement déclaré l'Elysée, interrogé par l'Associated Press.

Sur son site Internet, le magazine "L'Express" a publié dimanche soir un article dans lequel il affirme que ces clichés devraient "faire, cette semaine, la couverture de trois magazines people, 'Point de vue', 'Paris Match' et 'Closer'".

Le site "lexpress.fr" accompagne son article d'une photographie de la "une" de l'hebdomadaire "Point de vue" à paraître mercredi. Sur cette couverture du magazine people, on peut voir une vignette montrant Nicolas Sarkozy et Carla Bruni côte-à-côte, sous le titre "Carla Bruni, la dame de coeur du président", avec cette légende: "Carla Bruni et Nicolas Sarkozy en famille à Disneyland le samedi 15 décembre".

Interrogé par la chaîne LCI, Christophe Barbier, directeur de la rédaction de "L'Express", a déclaré avoir obtenu confirmation de l'information "par Carla Bruni elle-même qui est une amie". Et d'ajouter: "et visiblement le président de la République, depuis quelque temps, songeait à la rendre publique ou, en tout cas, comme le dit 'Point de vue', à ne plus se cacher".

Le site "lexpress.fr" ajoute que la promenade à Disneyland a été "immortalisée" par "une dizaine de photographes professionnels présents sur les lieux et travaillant (au flash) sans se dissimuler". Sur les clichés, selon le site de l'hebdomadaire, on peut voir "un homme, souriant et détendu, Nicolas Sarkozy, déambulant tranquillement, sous les flashs des photographes, dans les allées de Disneyland Paris, en compagnie d'une jeune et jolie femme, Carla Bruni".

Toujours selon le site Internet de l'hebdomadaire, "il y a une semaine, déjà, le couple -qui se serait rencontré lors d'un dîner chez le publicitaire Jacques Séguéla- avait été aperçu par ces mêmes photographes se promenant dans les jardins du château de Versailles, en compagnie de la mère de la jeune femme".

Dans son édition publiée lundi, "Le Figaro" publie à la "une" une photo d'archive de Carla Bruni, seule, avec comme légende: "Carla Bruni, l'amie du président", a appris dimanche l'Associated Press auprès de la rédaction en chef du quotidien.

Le 18 octobre dernier, l'Elysée avait annoncé le divorce de Nicolas et Cécilia Sarkozy. AP

dimanche, 16 décembre 2007

Franck Ribéry élu meilleur footballeur français 2007

196a2152899d1dab5221b1f5837fbb62.jpgSurnom : Ti Franck, Scarface, Ferraribéry
Nationalité : française
Naissance : 01 Avril 1983
Age : 24 ans
Sélection nationale : Equipe de France
Club actuel : FC Bayern Munich
Poste : Milieu offensif
Taille : 1m70
Poids : 62 kg
Pied : Droitier

Alizée couronnée Miss Belgique 2008

Alizée Poulicek, 20 ans et originaire de Huy, a été couronnée, samedi soir, Miss Belgique 2008. Sa première dauphine est Fabienne Kabeya (18 ans) de Bruxelles et la seconde dauphine est Jade Van De Walle, une jeune Flamande de 19 ans originaire d’Aalter.
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Alizée est une jeune Wallonne ayant des origines tchèques et provenant de Huy en province de Liège. Elle étudie les langues romanes. Elle succède à Annelien Coorevits, Miss Belgique 2007.

La nouvelle miss qui devrait être normalement bilingue a eu quelques difficultés à répondre aux questions lors de l’interview personnalisée.

Interrogée en néerlandais par Ann Van Elsen, elle a demandé qu’on lui reformule la question en français ce qui lui a valu quelques huées du public du Lotto Arena d’Anvers.

Cette année, six jeunes femmes d’origine africaine participaient au concours. La jeune Fabienne Kabey était l’une des favorites du jury mais a dû s’incliner face à la blonde Alizée.

Le spectacle était animé par de nombreuses chorégraphies et par les représentations musicales de Kelly Clarkson et du Colombien Juanes.

(d’après Belga)

Ducarme : « Vive la Belgique française ! »

L'« ASSOCIATION » avec la France : c'est le plan-choc du libéral, si la Flandre poursuit ses obstructions. Détails…
« Alors quoi, pour les francophones, c’est un giflage à tour de bras ! BHV, bourgmestres, écoles francophones… Ça suffit maintenant ! Il faut arrêter de reculer, mais avancer ! ». © D.R.
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La crise dure, les tacticiens s'égarent, l'on manque de stratèges ?… En retrait de la politique de première ligne depuis quelques années, néanmoins responsable du MR section « international », Daniel Ducarme s'extrait de la mêlée et ponctue le débat inaudible d'un tonitruant « Vive la Belgique française ! » Un projet choc. Franc-tireur, le libéral-réformateur n'est certainement pas isolé, ni dans son parti ni dans son pays, quand il nous confie (et au quotidien français Libération), anticipant son discours de ce samedi à Bruxelles à l'assemblée du MCC (le Mouvement des citoyens pour le changement), composante du Mouvement réformateur : « Alors quoi, pour les francophones, c'est un giflage à tour de bras ! Ça suffit maintenant ! Il faut arrêter de reculer et avancer ! » On sort d'en prendre trois, en effet : le vote BHV à la Chambre le 7 novembre, l'invalidation des bourgmestres de la périphérie bruxelloise, le vote au parlement flamand du décret sur l'inspection pédagogique dans les écoles des communes à facilités…

Des agressions restées sans réplique graduée, politiquement. Daniel Ducarme en a tramé une.

Comme la Polynésie française
Prenant acte que « la Belgique est en panne sèche », et que « le vote du 7 novembre, rupture de la loyauté fédérale, représente un tournant irrémédiable », il est urgent, en premier, dit-il, « après six mois de négociations, de tergiversation et d'ajournements », de constituer un gouvernement et, selon l'expression de Didier Reynders, son président, d'« arrêter le compteur de la crise ». Comme une pause utile. Avant de s'attaquer au gros œuvre : « Anticiper l'avenir francophone ».

Daniel Ducarme est sans illusions, il cite François Perin : « La Belgique est à bout. »

C'est l'heure pour les francophones de se montrer proactifs. Positifs d'abord : « Plaidons une nouvelle architecture institutionnelle fondée sur un rôle renforcé des Régions. » Et de Bruxelles, en l'occurrence, Région inachevée que Daniel Ducarme veut doter de l'autonomie constitutive, pousser à une « autodétermination décomplexée et assumée », notamment financièrement. Cette émancipation, croit-il, est une clé pour l'avenir du pays, pour « un nouveau pacte des Belges ». Et si ce n'est cela, alors ce sera… « la Belgique française ».

Car dans l'hypothèse où la Flandre freinerait ce dessein régional, et continuerait à faire se dégrader les rapports Nord-Sud, alors, « je militerai en faveur de la création d'un système d'association avec la France », solution intermédiaire entre le micro-Etat francophone au milieu du Vieux Continent et le rattachement corps et âme à l'Hexagone. Ici l'on mettrait en commun certaines matières « régaliennes », comme les Affaires étrangères ou la Défense nationale, en préservant « une identité propre et la pleine autonomie dans la gestion de certaines compétences ». Ainsi que nos symboles : le drapeau, l'hymne et, « il faut oser le dire, la famille royale ». La Constitution de la République française désigne des « collectivités territoriales », explique Daniel Ducarme. La Polynésie française vit sous ce régime. Lui s'en inspire.

Y croit-il ? « Tous les schémas sont ouverts, absolument tous. »

Et Bruxelles, sa population flamande ? Daniel Ducarme parle de « Bruxellois flamands » qui prendront part à l'aventure. Puis bondit : « Et, s'il le faut, on ne va pas se gêner !… Pourquoi pas un vote au parlement bruxellois pour leur offrir toutes les garanties mais où nous, francophones, majoritaires !, choisirons seuls notre voie ! »

samedi, 15 décembre 2007

Pakistan: Musharraf lève l'état d'urgence à trois semaines des législatives

ISLAMABAD (AFP) - Le président du Pakistan Pervez Musharraf a levé samedi, comme il l'avait promis, l'état d'urgence décrété il y a un mois et demi, tentant ainsi de dissiper les doutes sur la régularité des élections législatives et provinciales prévues le 8 janvier

Mais l'opposition, comme une frange de la communauté internationale, estime que cette abrogation n'empêchera pas le camp Musharraf de manipuler le scrutin, parce qu'il a pris soin de proscrire par avance tout recours en justice contre les mesures définitives prises sous ce régime d'exception, notamment l'éviction des plus hauts magistrats du pays, qui lui étaient hostiles.

"Le président Musharraf a signé le décret d'abrogation de l'état d'urgence", a annoncé à la mi-journée à l'AFP Anwar Mahmood, l'un des porte-paroles du gouvernement.

Pervez Musharraf, qui a pris le pouvoir il y a plus de huit ans par un coup d'Etat militaire sans effusion de sang, avait décrété cette loi d'exception le 3 novembre au Pakistan, République islamique et puissance nucléaire de 160 millions d'habitants.

Mais il avait promis, trois semaines plus tard, de la lever avant le 16 décembre, début de la campagne officielle des élections.

Sous l'état d'urgence, les autorités avaient donc pu, hors du contrôle de la justice, arrêter plus de 5.000 opposants --libérés depuis à l'exception d'une trentaine--, et imposer aux médias une certaine censure même si celle-ci ne s'est finalement pas révélée vraiment contraignante et efficace.

Surtout, M. Musharraf a installé, à la faveur de l'état d'urgence, un ordre judiciaire plus docile et un gouvernement intérimaire fidèle, chargé de préparer le scrutin.

Coopération franco-espagnole renforcée contre l'ETA

C'est le projet que le président français et le chef du gouvernement espagnol ont concrétisé en marge du sommet Union européenne-Afrique. José Luis Rodriguez Zapatero a détaillé ce projet dimanche : "Nous sommes convenus de mettre en place une équipe conjointe d'enquête permanente contre le terrorisme et contre l'ETA dans les deux pays. Elle complétera et étendra notre collaboration actuelle dans le cadre légal de l'Union européenne. Jusqu'à présent, on l'avait seulement fait pour des délits particuliers".

C'est l'assassinat de deux gardes civils espagnols le 1er décembre dernier dans le sud-ouest de la France qui a provoqué cette rapide décision. Deux membres de l'ETA, arrêtés en milieu de semaine sur le territoire français et soupçonnés d'être impliqués dans cette affaire, ont été présentés à la justice ce dimanche

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L'ETA revendique la responsabilité du double meurtre de gardes civils espagnols en France

MADRID - L'ETA a revendiqué la responsabilité du double meurtre de gardes civils espagnols commis à Capbreton (Landes) au début du mois, et elle a prévenu qu'elle attaquerait les forces de sécurité espagnoles où qu'elles soient, a rapporté vendredi un journal basque.

Dans un communiqué, l'ETA a revendiqué ce qu'elle a qualifié d'"exécution" des deux gardes civils le 1er décembre dans le sud-ouest de la France, une action décrite comme une "confrontation armée", a précisé le quotidien indépendantiste pro-basque "Gara" sur son site Internet.

Le mouvement armé a ajouté qu'il "agirait contre les forces répressives et l'appareil de l'Etat espagnol où qu'ils se trouvent", a ajouté "Gara". AP

Conférence sur le climat: accord pour lancer de nouvelles négociations

BALI - Les participants de la conférence de l'ONU sur le climat sont convenus samedi à Bali de lancer les négociations en vue de conclure, d'ici 2009, un nouvel accord sur la lutte contre le réchauffement climatique, succèdant au Protocole de Kyoto de 1997.

Le compromis adopté samedi, qui intervient à l'issue de longues séances de discussions, ne fait aucune référence à des objectifs chiffrés de réduction des gaz à effet de serre. Il renvoie au rapport des experts du Groupe d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), qui suggèrent eux un niveau de réductions des émissions.

Peu auparavant, les Etats-Unis avaient levé leurs objections à un projet de compromis général, après avoir soulevé l'indignation générale en annonçant leur intention de le refuser.

Les Etats-Unis, le Japon et plusieurs gouvernements s'opposaient à ce que le document final contienne une proposition de baisse des émissions de GES des pays industrialisés de 25% à 40% en 2020. A leurs yeux, des objectifs spécifiques limiteraient la portée de discussions futures.

A l'inverse, l'UE et d'autres estimaient que les objectifs chiffrés reflètent les mesures jugées nécessaires par les scientifiques pour ralentir le réchauffement global et limiter l'élévation du niveau des océans, l'aggravation des inondations et des sécheresses, et l'extinction d'espèces animales et végétales. Finalement, l'UE a accepté que le compromis final ne fasse pas mention d'objectifs chiffrés.

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon avait mis toute son influence dans la balance, se déclarant "déçu" par le manque de progrès des discussions. Les participants de la conférence de Bali se sont mis d'accord en définitive -sous les applaudissements- pour lancer le processus de négociations en vue de donner suite au protocole de Kyoto, qui expire en 2012.

Le protocole de Kyoto, que les Etats-Unis n'ont pas ratifié, contraint 36 pays industrialisés à réduire d'ici 2012 leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) de 5% en moyenne par rapport aux niveaux de 1990. L'Australie a annoncé début décembre son intention de ratifier le traité. Les Etats-Unis vont ainsi devenir la seule grande puissance économique à s'y refuser.

Mais aujourd'hui, certains experts estiment que la Chine est désormais le premier pollueur de la planète et l'Inde suscite des préoccupations grandissantes. Ces circonstances devraient peser sur les négociations d'un nouveau traité, censé entré en vigueur en 2012. Les discussions porteront notamment sur l'aide aux pays en voie de développement, avec des transferts de technologie destinés à limiter les émissions de gaz à effet de serre.

Greenpeace France, le Réseau Action Climat-France et la Fondation Nicolas Hulot ont réagi en estimant dans un communiqué que le résultat de la conférence "n'est pas à la hauteur des attentes concrètes de l'opinion publique et de l'alerte lancée par les scientifiques".

Les ONG "dénoncent le sabotage mené par l'administration Bush" et déplorent la "disparition d'engagements chiffrés qui auraient fait la réussite de Bali", comme "l'objectif de maintenir l'augmentation globale des températures en dessous de 2°C d'ici la fin du siècle" et la "nécessité de diviser par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) d'ici à 2050". AP

vendredi, 14 décembre 2007

Zidane: un retour au Real Madrid "pas impossible", mais auprès des jeunes

MADRID (AFP) - Le Français Zinedine Zidane a estimé qu'il n'était "pas impossible" qu'il revienne au Real Madrid, mais pour s'occuper des équipes de jeunes, jeudi à Madrid, où il se trouvait pour une publicité avec son ancien partenaire Raul et l'attaquant argentin du Barça Lionel Messi.
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"Je n'ai rien prévu, mais peut-être que ça deviendra réalité. Dans le futur, ce n'est pas impossible", a déclaré Zidane, interrogé sur un éventuel retour au Real, le dernier club de sa carrière de joueur professionnel avant de prendre sa retraite, à l'issue de la saison 2005-2006, sur un titre de vice-champion du monde.

"Je ne me vois pas dans un bureau, et comme entraîneur je ne crois pas non plus. Pour l'instant, ce que j'ai à faire, surtout, c'est profiter de tout ce dont je n'ai pas pu profiter jusqu'à aujourd'hui. Le moment venu, ça me plairait d'être avec les enfants et de rendre au football ce que j'ai appris", a précisé l'ancien capitaine de l'équipe de France.

"Je ne regrette pas d'être parti du Real Madrid parce que, si ça se trouve, il n'aurait pas gagné la Liga avec moi. Je suis content pour le Real Madrid et d'avoir pris la décision d'arrêter le football à ce moment-là", a-t-il ajouté.

"Je fais beaucoup de choses, mais surtout je suis avec ma famille parce que quand je jouais, j'étais rarement à la maison. Maintenant j'y suis beaucoup plus et je profite de mes enfants, mon quatrième n'a que deux ans. Je me consacre aussi à mes cours et à mes engagements, je profite de la vie", a-t-il précisé sur sa vie de retraité.

Un belge entretenait 17 épouses à Dakar

Cela n'existe nulle part ailleurs qu'au Sénégal, pays de Téranga et de tolérance, mais aussi de tourisme sexuel débridé. Car, comment expliquer le comportement de ce ressortissant belge bon teint qui a épousé 17 filles sénégalaises qu'il entretient régulièrement dans un même foyer ? Et ce n'est pas une histoire belge ! Eh bien, cette pratique n'est rien d'autre que celle d'un "saï-saï' toubab désirant cacher son industrie sexuelle sous une couverture de "polygamie" légale.

Encore que l'Islam, qui est la religion qui fait la faveur à ses fidèles de prendre plusieurs épouses, limite ce nombre à... quatre. Alertés, les éléments de la Brigade de recherches de la gendarmerie sont allés briser ce ménage polygame aux allures d'un réseau de prostitution et de proxénétisme. Arrêté et déféré, le sieur E. N, de nationalité belge, a pu échapper à la "charia" à la suite d'une levée de boucfters sans précédent. Si c'était un Sénégalais ou un Africain, on aurait pu tolérer puisque la polygamie fait partie de nos us et coutumes. Un célèbre commerçant sénégalais qui a fait faillite n'entretenait-il pas jusqu'à 57 épouses légitimes dans sa concession à Guédiawaye ? Sans oublier certains "marabouts" et autres chasseurs de sexe dont le toit conjugal abrite pas moins de 10 épouses légitimes, si elles ne sont pas des "nékkalés" (concubines). Mais...mais un toubab européen ou un blanc de souche qui convole en plusieurs noces avec dix-sept de nos jeunes filles devant Dieu et les hommes, cette polygamie ne peut-être considérée que comme de la prostitution et du proxénétisme. Ce qui est scandaleux et dramatique, c'est que monsieur E. N, le toubab, a emprunté la voie légale ou le chemin de la mosquée, histoire de se mettre à l'abri. Car, nous dit-on, la plupart de ces mariages d'intérêt sexuel et financier ont été scellés dans nos différentes mosquées. Et dès que l'imam prononçait le « Al Khayri » fatidique, l'heureuse élue rejoignait le domicile conjugal à Nord Foire. Dans le but de respecter la pure tradition sénégalaise, notre toubab polygame entretenait sexuellement et financièrement ses dix-sept femmes à tour de rôle. Il arrivait même parfois où, nous révèle-t-on, le drôle de mari offrait des parties de jambes en l'air à ses invités.

Inutile de vous dire les co-épouses s'en donnaient à cœur joie. C'est regrettable de le dire, mais cette histoire de Nord-Foire est un exemple qui montre la erte de valeur marchande de la belle femme sénégalaise. Même si la pauvreté peut pousser à certaines pratiques, rien ne peut justifier d'être une "niarel" ou "diouromél" sous le toit d'un toubab puisqu'un tel rang est synonyme de concubinage ou de prostitution déguisée. D'ailleurs, il y a de quoi faire rire les voisins lorsqu'on 'est la "niarel" d'un-toubab. En tout cas, le tourisme sexuel au Sénégal est en passe de devenir une nouvelle forme de domination d'impérialisme, d'exploitation des plus faibles par les plus forts. À preuve, sur la Petite Cote ou au Cap-Skiring, le constat est accablant : un véritable "marché" d'enfants, garçons et filles, très jeunes s'est développé pour répondre à la demande de cette clientèle pédophile au porte-monnaie bien garni et aux mœurs spéciales.

"Spéciales" puisque nombreux sont ces toubabs chassés, recherchés, acculés et surveillés par la police de leur propre pays et qui ont trouvé refuge dans ce Sénégal à la Téranga légendaire. En attendant, notre Belge, qui se dit vendeur de véhicules d'occasion, serait sous contrôlé judiciaire. Nous y reviendrons.

Source: Le Temoin

Le MR reste disponible pour un gouvernementvendredi

Didier Reynders a répété, vendredi après la réunion de l’intergroupe parlementaire du MR, que son parti reste disponible pour participer à un gouvernement qui développe un projet qui lui convient. Et d’insister sur le fait que l’important pour le MR n’est pas de savoir avec qui gouverner mais pour quoi faire. C’est le message que le MR a fait passer à Guy Verhofstadt. Il a aussi noté qu’il n’y a actuellement aucun projet concret de coalition en discussion. Toutes les formules dont on a parlé jusqu’à présent sont des spéculations, a encore déclaré le président du MR.

Les belges voyagent de plus en plus

2007 a été une année record pour les organisateurs belges de voyages. Sur l’année, le marché enregistre une croissance de 4,8 pc par rapport à l’année dernière, correspondant à plus de 3 millions de passagers, selon une enquête de l’Association of Belgian Tour Operators (ABDO) présentée vendredi matin lors du Brussels Travel Expo sur le site de Tours & Taxis à Bruxelles. La France, qui a connu une augmentation de 6,2 pc, reprend à l’Espagne le leadership du marché. La Turquie suit avec une augmentation de 19,7 pc. Les vacances d’été en 2007 ont progressé de 4 pc, à plus de 2,3 millions de vacances. L’Espagne reste la destination préférée des Belges pour l’été suivi de la France, de la Turquie et de la Grèce

Les Vingt-Sept devraient demeurer prudents sur le Kosovo

BRUXELLES (Reuters) - Les dirigeants européens réunis vendredi à Bruxelles devraient proposer à la Serbie d'accélérer la procédure pour sa candidature à l'Union et s'engager à intensifier les préparatifs pour l'envoi d'une mission de police au Kosovo, selon un projet de déclaration.

Le texte, que Reuters a pu consulter quelques heures avant le début du sommet européen, indique que les négociations sur le statut de la province sécessionniste serbe ont échoué, que le statu quo est intenable et qu'une solution concernant le statut final du Kosovo doit être trouvée pour garantir la stabilité de la région.

Concernant la Serbie, les Vingt-Sept devraient déclarer qu'une fois que Belgrade aura rempli les conditions requises, la procédure pourra être accélérée concernant notamment l'octroi du statut de candidat à l'UE.

Cette déclaration, élaborée par la présidence portugaise de l'UE après les discussions, lundi, entre les ministres européens des Affaires étrangères sur le Kosovo, peut encore être amendée pendant le sommet.

Dans le projet de déclaration, les dirigeants européens n'expriment pas leur soutien à une déclaration d'indépendance du Kosovo car il reste des réticences chez certains pays européens comme la Grève, la Slovaquie, la Roumanie ou Chypre, hostiles à une reconnaissance de l'indépendance de la province sans une résolution de l'Onu.

"CAS UNIQUE"

Le texte précise toutefois : "Le Conseil européen estime comme le secrétaire général de l'Onu que le statu quo n'est pas tenable et insiste donc sur la nécessité de parvenir à un accord sur le Kosovo qui est essentiel pour la stabilité régionale".

Le Kosovo est un cas unique et ne peut donc constituer un précédent, souligne le texte.

"Le Conseil européen souligne que l'UE se tient prête à jouer un rôle moteur dans le renforcement de la stabilité dans la région et dans la mise en oeuvre d'un accord définissant le statut futur du Kosovo", peut-on lire dans le projet de déclaration.

Les Vingt-Sept sont décidés à envoyer dans la province serbe peuplée en large majorité d'albanophones une force de police de 1.600 hommes afin d'y garantir la stabilité.

Le Premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt a déclaré jeudi qu'il s'attendait à ce que la question du statut du Kosovo soit réglée après l'élection présidentielle en Serbie, fixée au 20 janvier.

Ingrid Melander, version française par Gwénaelle Barzic

jeudi, 13 décembre 2007

Le procès de l'Arche de Zoé débutera le 21 décembre à N'Djamena

N'DJAMENA (Reuters) - Le procès des six Français membres de l'ONG L'Arche de Zoé s'ouvrira le 21 décembre à N'Djamena, en conséquence d'une accélération de la procédure, a-t-on rapporté de sources judiciaires.
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Les six humanitaires, qui protestent de leur innocence, sont accusés d'avoir tenté d'évacuer vers l'Europe 103 enfants africains, qu'ils présentaient comme des orphelins du Darfour.

Détenus depuis fin octobre, ils sont notamment poursuivis pour tentative d'enlèvement et fraude, et sont passibles de peines de travaux forcés.

Ils ont entamé vendredi une grève de la faim à la prison centrale de N'Djamena, refusant de manger mais continuant à boire de l'eau. Ils se sont déclarés abandonnés par le gouvernement français.

Trois Tchadiens accusés de complicité comparaîtront également.

Les charges ont en revanche été abandonnées pour les onze autres personnes mêlées à cette affaire et qui ont été relâchées depuis, dont trois journalistes français qui couvraient l'opération et l'équipage espagnol de l'avion affrété pour évacuer les prétendus orphelins du Darfour.

Des avocats des accusés se sont dits surpris par la brièveté du délai dans lequel est prévu le procès, moins de deux mois après l'arrestation des six.

"C'est le comble de la rapidité. Tout est accéléré", a déclaré à Reuters l'avocat Jean-Bernard Padaré en notant que la défense avait d'autant moins de temps pour préparer son dossier.

Cette rapidité a fait penser dans les deux pays que les six ressortissants français pourraient être rapatriés dans le cadre d'un accord entre le président tchadien Idriss Déby et son homologue français Nicolas Sarkozy.

Les six ont été arrêtés le 25 octobre à Abéché, dans l'est du pays, alors qu'ils s'apprêtaient à acheminer par avion en Europe 103 enfants âgés de un à dix ans présentés comme des orphelins du Darfour.

L'affaire, qui a ouvert une crise dans les relations tchado-françaises, avait incité le président Sarkozy à effectuer un voyage éclair début novembre à N'Djamena pour obtenir la libération de l'équipage de l'avion espagnol ainsi que des trois reporters français.

Paris a condamné sans équivoque l'initiative de l'ONG, qui est intervenue quelques semaines avant le déploiement prévu dans l'est du Tchad d'une force européenne Eufor à forte composante française chargée de protéger les réfugiés et les humanitaires opérant au Darfour voisin.

version française Henri-Pierre André et Philippe Bas-Rabérin

12-12-07:Tout sur La ligue des champions

Outre Lyon, qualifié grâce à sa victoire à Glasgow, sur la pelouse des Rangers (3-0), Fenerbahçe a également validé son billet, le dernier en jeu, pour les huitièmes de finale. L'ancienne équipe de Nicolas Anelka a remporté une victoire finalement inutile face au CSKA Moscou (3-1, groupe G) puisque le PSV Eindhoven s'est de son côté incliné face à l'Inter Milan (0-1). C'est la première fois, depuis le retour dans la compétition des huitièmes de finale, en 2003, qu'une équipe turque y accède.
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Alex

La soirée a pourtant bien mal commencé pour Fenerbahçe après l'ouverture du score, en faveur des visiteurs, signée Dracena (30e)... contre son camp. A peine le temps de cogiter que l'inévitable Alex (Photo Reuters) a remis les deux équipes à égalité d'une frappe superbe en pleine lucarne. Les équipiers de l'ancien Bordelais Deivid ont alors fait la différence grâce à un doublé de Boral Ugur (45e, 90e). Grâce à cette victoire, les Turcs peuvent se dire qu'ils ne doivent rien à personne, mais même une défaite les aurait qualifiés puisque, dans le même temps, le PSV Eindhoven s'est incliné à domicile face à l'Inter Milan (0-1). Réduits à dix dès la 33e minute suite à l'expulsion de l'Equatorien Edison Mendez, les protégés de Jan Wouters n'ont rien pu faire face à la puissance milanaise, illustrée par le but de Julio Cruz (61e). Le PSV, qui restait sur trois huitièmes de finale consécutifs, se consolera avec la Coupe de l'UEFA.


Même si le Barcelone - Stuttgart (3-1) n'avait que l'honneur pour enjeu, les Catalans étant certains de terminer à la première place du groupe E, les Allemands étant éliminés de tout, ce match a permis à l'international camerounais Samuel Eto'o d'inscrire son tout premier but de la saison (57e). Blessé à la cuisse au mois d'août, le joueur n'a fait son retour que dimanche, contre le Depor (2-1). A noter également, le bon match de Ronaldinho, passeur sur le premier but de Giovani (36e), puis buteur lui-même à la 67e minute. De quoi faire taire ses très nombreux détracteurs.
Dans le groupe H, la victoire d'Arsenal contre le Steaua Bucarest (2-1), avec notamment un but du jeune international français Abou Diaby, s'est révélée insuffisante pour offrir aux Gunners la première place du groupe. Celle-ci revient au FC Séville, également vainqueur sur la pelouse du Slavia Prague (3-0) avec un but de Kanoute et un autre de Fabiano, l'ancien Rennais. En revanche, l'AS Roma et Manchester United, qui présentaient chacune une équipe largement remaniée, n'ont pas pu se départager (1-1). Les Mancuniens terminent en tête du groupe F devant les Romains. Le Sporting, facile vainqueur (3-0) d'un Dynamo Kiev plus mauvais élève de la compétition (6 matches, 6 défaites), jouera l'UEFA. - B. Ro.

LES 16 QUALIFIÉS POUR LES HUITIEMES :
AC Milan, Arsenal, AS Rome, Barcelone, Celtic Glasgow, Chelsea, FC Séville, Fenerbahçe, Inter Milan, Liverpool, Lyon, Manchester United, Olympiakos, Porto, Real Madrid, Schalke 04.


LES 8 QUALIFIÉS POUR LA COUPE DE L'UEFA :

Benfica, Glasgow Rangers, Marseille, PSV Eindhoven, Rosenborg, Slavia Prague, Sporting Portugal, Werder Brême.

ÉLIMINÉS :

Besiktas, Chakhtior Donetsk, CSKA Moscou, Dynamo Kiev, Lazio Rome, Steaua Bucarest, Stuttgart, Valence.

Bruxelles:Le « non » du MR au plan Verhofstadt

Le plan sur lequel travaille Guy Verhofstadt d’un « 4+2 » ouvrait la voie à un gouvernement interimaire. Mais le MR n’en veut pas. Par ailleurs, on apprend que le Premier ministre n’est pas candidat à sa propre succession. Il est également prêt à renoncer à toute fonction de ministre si c’est nécessaire.
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Tout le monde en convient : ça ne peut plus durer, « il faut un gouvernement pour Noël ». Il s’agit bien là de l’exécutif « intérimaire », d’« affaires urgentes » appelé de ses vœux par le Palais royal, sachant que le vrai, le définitif, lui, suivrait, dans trois, quatre mois, on verrait…

A la manœuvre, Guy Verhofstadt souffre. Premier en affaires courantes en mission d’« informateur » depuis dix jours, il est tenu pourtant à une obligation de résultat. Pour lundi, ou mardi prochain, estime-t-on. Sinon ? Sinon qui d’autre pourra jamais plus dénouer la crise ?… Qui d’autre après lui ?… Il est le dernier recours. Si Guy Verhofstadt n’y arrive pas ? Ce sera les élections. Un scénario-catastrophe.

Alors, l’informateur consulte sans relâche. Et travaille depuis 48 heures prioritairement à cette équation à une inconnue : 2N = 3F + X.

2N ? Deux partis néerlandophones sont partants pour composer une majorité temporaire, il s’agit du cartel CD&V/N-VA et du VLD. 3F ? Trois francophones se disent prêts à se hisser sans tarder au gouvernement, PS, CDH et Ecolo, et ceux-ci veulent une quadripartite au sud, réalisant l’« unité » francophone, disent-ils, face à la Flandre et en vue des négociations institutionnelles. C’est bien là le « X ». Le MR, si vous préférez. Dans « Le Soir » hier, nous rendions compte de cette équation. Elle reste vraie. Même si les libéraux francophones freinent à fond.

Ils ont un argument majeur. Et tiennent leur réplique.

Leur argument majeur : il est paradoxal, au moins, de constater que l’on demande aux partis francophones de fournir, à quatre, la majorité des deux tiers nécessaires à une réforme de l’Etat dont ils ont toujours dit qu’ils ne voulaient pas… Un gouvernement 4 + 2 a typiquement un profil « institutionnel », alors que ce qui importe, c’est le socio-économique. CQFD ?

Leur réplique, enfin : nous sommes disponibles, disent-ils, pour un gouvernement pleinement d’Union nationale, comme l’avait expliqué Didier Reynders lundi en conférence de presse – tous dedans, au sud comme au Nord –, mais en tout état de cause, c’est pour le voir appliquer notre programme socio-économique, au prorata de notre puissance électorale du 10 juin : baisser l’impôt des sociétés, la fiscalité sur les bas revenus, sur les revenus moyens, conforter le statut des indépendants, limiter le recrutement de fonctionnaires, etc., etc.

Oui, mais : pour évoquer tout ceci, pour négocier un compromis, ne faut-il pas commencer par accepter de s’asseoir à une table de négociation avec des partenaires potentiels ? Là, au MR, on vous répète, en boucle : au préalable, nous voulons des engagements sur notre programme… Nous en sommes là.

Entendu au MR toujours : et pourquoi pas continuer le gouvernement intérimaire avec la Violette ? Ou ceci : et pourquoi pas négocier d’emblée un gouvernement à part entière, sans passer par le provisoire ? Ou ceci encore : et pourquoi pas aller dans l’opposition ? Et ce n’est pas une blague…

Inutile de dire que les détracteurs des libéraux-réformateurs se déchaînent. On vous passe les commentaires au PS, au CDH, comme chez Ecolo. En résumé : de la difficulté pour le MR d’« atterrir » après sa victoire du 10 juin, et après six mois de foi dans l’Orange bleue, cette coalition de prédilection qui devait lui garantir un rôle de tout premier plan, et des portefeuilles ministériels en série…

Plus rien de tel ici, dans l’hypothèse de la quadripartite francophone, où il faudra vivre chichement, partager le pain, cohabiter avec le PS d’Elio Di Rupo, le CDH de Joëlle Milquet, la « vice-présidente socialiste », comme la désigne maintenant un dirigeant libéral… Un cauchemar bleu.

Verhofstadt, rapportait-on hier, la trouve limite. Le Standaard du matin donnait Reynders au « 16 » à sa place durant l’intérim… Le libéral francophone y verrait une compensation à la coalition 4+2… Mais voilà : Verhofstadt a les faveurs de tous, au Nord et au Sud, et en véritable « intérimaire », lui s’effacerait après trois ou quatre mois, vraisemblablement pour Leterme. Correct. Pas pour tout le monde.

Le Premier ministre en affaires courantes s’envolait ce matin pour Lisbonne et la signature du traité européen. Sans certitude. Comme disait Reynders l’autre jour : qui va « arrêter le compteur de la crise » ?

Belgique:Verhofstadt ne souhaite pas rempiler

186 jours sans gouvernement. Guy Verhofstadt n’est pas candidat à sa propre succession au poste de Premier ministre dans un gouvernement intérimaire. Par ailleurs, le SP.A s’est dit prêt à entrer dans un nouveau gouvernement, mais lie cette entrée à six conditions. Les points les plus importants sont du domaine socio-économique.
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Le Premier ministre sortant Guy Verhofstadt n’est pas candidat pour devenir Premier ministre du gouvernement intérimaire qu’il tente de mettre sur pied pour sortir de l’impasse politique.

C’est ce qu’ont appris les rédactions de la Gazet Van Antwerpen et du Belang Van Limburg mercredi dans les milieux proches de M. Verhofstadt et des responsables de l’Open Vld.

Guy Verhofstadt est aussi prêt à renoncer à toute fonction de ministre ou à tout ce qui sera nécessaire, si cela peut aider. Le fait qu’il ne voulait pas devenir Premier ministre ou ministre dans le gouvernement définitif qui devra être mis sur pied était déjà connu.

Actuellement la situation reste bloquée côté francophone mais M. Verhofstadt serait quant à lui pratiquement prêt avec une liste de dossiers urgents à traîter par le gouvernement intérimaire et avec un cadre pour une réforme de l’Etat.

SP.A : oui, si
Les socialistes flamands ont posé six conditions pour entrer dans un nouveau gouvernement. Ils veulent notamment une augmentation des pensions. Celles-ci (les pensions) sont beaucoup trop basses », affirme la présidente Caroline Gennez. C’est ce qu’annoncent ce jeudi les médias flamands.

Les socialistes exigent encore que les allocations familiales pour le premier enfant soient augmentées et que le congé parental soit rallongé à un an par enfant.

Ils demandent encore que les factures d’hôpital soient diminuées. « Une assurance hospitalisation devrait en fait être un luxe superflu », estime la présidente du sp.a. Cela est possible si la facture d’hospitalisation reste payable ».

Le SP.A veut aussi augmenter le pouvoir d’achat en comprimant les prix. « Ces derniers mois, des augmentations injustifiées de prix ont eu lieu notamment du gaz, de l’électricité et des produits de base », estime Mme Gennez.

« Nous voulons contrôler cela un petit peu en mettant au point un mécanisme : si les prix sont injustifiés, la commisison des prix doit pouvoir intervenir et contrôler les prix ».

Enfin, les socialistes flamands demandent que la loi sur la sortie du nucléaire soit effectivement appliquée et que toutes les centrales nucléaires soient fermées vers 2025.

(D’après Belga)

09:46 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Belgique |  del.icio.us |  Facebook | | |