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mardi, 02 août 2011

N’en déplaise à Laurent blanc, ses acolytes et ceux qui pensent comme lui.

 

Nous considérons que la communauté sénégalaise de l’extérieur comme une région à part entière du Sénégal, cette considération est d’autant plus réelles que les sénégalais de l’extérieur participent activement à la vie politique, économique, socio-culturelle et sportive du Sénégal.

Il est tout à fait normal et naturel que nos jeunes talents aillent porter les couleurs du Sénégal s’ils le désirent et que le Sénégal les appelle.

Laurent Blanc sort sa pile par ce qu’il coach une équipe aux talents modestes. Ce n’est plus la grande France des Henry, Trézéguet, Anelka, Wiltord,Turam, Marcel Desailly , ces jeunes extrêmement doués aux football qui jouaient  pour la France et qui avaient sans rancune la bénédiction des africains pour avoir choisi l’équipe de France.

Je ne vois pas aujourd’hui parmi ces grands noms du football celui qui a été honoré par la fédération française de football.

Si l’équipe de France est composée actuellement de footballeurs aux talents modestes, le Sénégal regorge d’excellents footballeurs  qui cartonnent partout où ils sont en Europe. Ces jeunes ont choisi le Sénégal, ils en ont le droit et nul n’a le droit de critiquer leur choix.

Le complot que voulait officialiser Laurent Blanc existait déjà dans beaucoup de domaines au-delà du football mais force est de noter que si un jeune porte le maillot de France c’est par ce qu’il ne s’est pas fait de cadeau pour le mériter.

Le signal est donné. C’est a nous de la diaspora de redoubler d’effort dans la formation des jeunes, de créer des structures additionnelles pour faire émerger nos jeunes . Que nos coachs se forment partout, en Espagne, Portugal, Belgique et même au Brésil.

mercredi, 02 juin 2010

Gallas fait problème

galas.jpgLe défenseur central d'Arsenal semble poser problème au sein du groupe des 23 pour le Mondial.

Il a toujours eu une attitude marginale. Déjà chez les Gunners, nombre de ses coéquipiers, à l'instar de Samir Nasri, ont déjà critiqué son comportement. Selon RMC, il existe un problème William Gallas en équipe de France. Plusieurs facteurs semblent rentrer en ligne de compte.

D'abord, l'ancien Marseillais n'aurait pas digéré la perte du brassard de capitaine au profit de Patrice Evra, qui a tenu ce rôle durant les deux derniers matches amicaux des Bleus. Ensuite, le défenseur central se tiendrait dans un relatif isolement au sein des 23. Il ne fait pas partie du groupe Ribéry, ni du groupe Henry, et n'est pas proche des jeunes ou des remplaçants. Si l'ambiance semble au beau fixe parmi les joueurs, Gallas resterait quelque peu à l'écart du reste du groupe. Le joueur en fin de contrat avec Arsenal est également perturbé par le flou qui entoure son avenir. Gallas n'a toujours pas de piste concrète.

Enfin, sur le terrain, il ne respecterait pas les consignes de Raymond Domenech. A tel point que Thierry Henry et Franck Ribéry sont venus s'entretenir avec lui à ce sujet dimanche soir après la rencontre Tunisie-France (1-1). Pour l'instant, le sélectionneur n'est pas encore intervenu mais si le problème persiste, il faudra vraisemblablement qu'il le fasse. Gallas a pourtant été sauvé par Domenech. Le coach l'a sélectionné alors qu'il n'était pas certain de sa condition physique.   

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samedi, 06 mars 2010

France 0 Espagne 2

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jeudi, 18 février 2010

Porto 2 Arsenal 1

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vendredi, 13 novembre 2009

Un but en deux secondes

Connaissez-vous Nawal Al-Abed? Pourtant, ce joueur qui évolue à Al Hilal, le club entraîné par Éric Gerets a marqué le but le plus rapide de l'histoire.

Éric Gerets ne s'amuse pas tous les jours depuis qu'il a quitté Marseille. Mais l'ancien entraîneur phocéen voit des buts magnifiques. L'un de ses joueurs le saoudien  Nawal Al-Abed a marqué dès le coup d'envoi lors d'une rencontre de coupe opposant Al Hilal à Al Shoala. L'arbitre n'avait même pas fini de siffler le coup d'envoi que déjà les filets étaient en train de trembler.

Le gardien est battu mais l'attaquant de Gerets n'est pas prêt de l'être. Difficile d'imaginer but plus rapide que celui-là. Avant le match Irlande-France de samedi soir, cette action pourrait done des idées aux irlandais. Espérons qu'Hugo Lloris, probable gardien de l'équipe de France soit bien sur sa ligne de but au coup d'envoi.

Regardez la vidéo, c'est pas long, ça dure deux secondes

 

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lundi, 09 novembre 2009

Football - Ligue 1:Bordeaux revient sur terre

Cinq jours après s'être imposé à Munich, Bordeaux s'est incliné à Lille (2-0), lors de la 13e journée de Ligue 1. Malgré ce revers, le troisième en cinq journées, les Girondins conservent la tête du Championnat de France, devant Lyon. Un moindre mal...bord.jpg

LILLE - BORDEAUX : 2-0
Buts : Cabaye (70e) et Balmont (87e, sp) pour le LOSC

Saint-Etienne, Auxerre et maintenant, Lille... Pour la troisième fois consécutive, les Girondins de Bordeaux ont baissé pavillon loin de leurs bases. Un nouveau revers inquiétant pour les champions de France en titre, qui peinent à enchainer prestations de haut vol en Coupe d'Europe et joutes nationales. Heureusement, l'OL et l'OM ont eu la bonne idée de se neutraliser (5-5). Et Bordeaux reste en tête.

A la suite de la réception du Maccabi Haïfa en Ligue des Champions, Laurent Blanc avait décidé de largement faire tourner son effectif. Une tactique sage pour l'intégrité physique de ses joueurs mais qui s'était soldée par une sévère défaite à Saint-Etienne (3-1). Soucieux de ne pas revivre pareille mésaventure, l'homme fort des Girondins avait prôné la stabilité pour le déplacement à Lille, faisant confiance quasiment au même groupe que celui avait réussi au cours de la semaine à décrocher sa qualification pour les huitièmes de finale de la C1 sur la pelouse du Bayern Munich. Si ce n'est Jussiê, préféré à Plasil, les Bordelais ont donc attaqué la 13e journée avec leur équipe-type. Un choix qui a semblé judicieux au cours de la première période.

Bordeaux craque physiquement

Un temps gêné par le pressing exercé par la triplette Mavuba-Balmont-Cabaye en milieu de terrain, les Aquitains ont rapidement réussi à se défaire de l'emprise adverse pour mettre le pied sur le ballon. Supérieurs sur le plan technique, les champions de France en titre se sont efforcés tout au long des 45 premières minutes de faire tourner, de se montrer appliqués et patients mais il leur a manqué le coup de rein nécessaire pour prendre à défaut une arrière-garde lilloise parfaitement en place. Malgré le monopole du ballon, une belle occasion en faveur de Chamakh, les Bordelais n'ont finalement réussi qu'en de très rares occasions à s'approcher de la cage de Landreau. C'est même le LOSC, en fin de première période, qui trouvait les moyens de mettre le nez à la fenêtre en faisant preuve d'une plus grande mobilité et vivacité dans la transmission de balle.

Contrairement à son homologue girondin, Rudi Garcia avait, lui, pris le risque de tout changer après la défaite enregistrée en Europa Ligue jeudi face au Genoa (3-2). Seuls deux joueurs à avoir disputé l'intégralité du match face à la formation italienne étaient ainsi présents sur la pelouse. Souvent dépassés par la maitrise technique des Aquitains lors du premier acte, les pensionnaires du Stadium-Nord de Villeneuve d'Ascq ont après la pause pris la direction des opérations pour ne plus jamais la lâcher. Alors que le onze bordelais donnait des signes de fatigue et le sentiment de payer les efforts consentis en Coupe d'Europe, le LOSC trouvait, lui, les moyens d'appuyer sur l'accélérateur. Plus vifs avec Gervinho insaisissable sur le front de l'attaque, plus tranchants dans les duels avec Cabaye et Balmont au four et au moulin, les Lillois se sont installés dans la moitié de terrain adverse et profité de l'apathie coupable de l'arrière-garde girondine pour trouver à deux reprises le chemin des filets. Planus totalement dépassé par Gervinho, Ciani, pris de vitesse par Touré,... Les deux tours de contrôle de la meilleure défense du championnat vacillaient... Cabaye (70e) et Balmont (87e, sp) en ont profité pour offrir un succès qui pourrait enfin lancer la saison d'une formation qu'on prédisait capable de venir titiller Bordeaux, l'OM et l'OL en tête de la Ligue 1.

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Deschamps : "L'OM a perdu deux points"

Après l'hallucinant Lyon-Marseille (5-5), Didier Deschamps ne pouvait pas s'estimer comblé, même si son équipe a arraché l'égalisation. Pour l'entraîneur phocéen, l'OM aurait dû s'imposer sans une trop grande passivité défensive. Et il annonce qu'il pourrait y avoir du changement.DESCHAMPS.jpg

DESCHAMPS, quel match incroyable...

D.D. : Oui, il y a eu beaucoup de rebondissements. C'est un scénario improbable, invraisemblable. Je pense que les spectateurs et les téléspectateurs se sont régalés. En tant qu'entraîneur, je n'ai apprécié qu'une partie : le fait que mon équipe ait marqué cinq buts (sourires). Pour le reste, et au-delà de la qualité de l'adversaire, je trouve que nous avons fait preuve de passivité sur quelques buts. Lyon a du talent, d'accord, mais j'ai l'impression qu'une belle autoroute sans péage s'est ouverte. Je doute également que Claude Puel ait complètement apprécié le spectacle.

C'est bien sûr rageant de marquer cinq buts à l'extérieur sans gagner le match...

D.D. : S'il faut marquer six buts pour gagner, surtout à l'extérieur, ça va être compliqué, on ne va pas gagner beaucoup de matchs. À 4-2 en notre faveur à dix minutes de la fin, nous avons peut-être pensé que la rencontre était finie et nous avons été menés 5-4. Heureusement, l'énergie du désespoir nous a permis d'arracher ce match nul. Mais je suis convaincu que l'OM a perdu deux points. On reprend un point sur Bordeaux mais cela aurait pu être mieux

Quels enseignements tirez-vous de cette rencontre ?

D.D. : Il y a pas mal de choses à revoir, tant individuellement que collectivement. Je ne vais pas m'entêter, il est peut-être temps de changer. On a été déficitaire dans les duels, les courses. Il y a eu beaucoup d'erreurs de commises. On a été défaillant dans le combat physique. En deuxième période, on est placé idéalement mais on prend trois buts en dix minutes. C'est un scénario invraisemblable et ni l'une ni l'autre des équipes n'a pu maîtriser le match. A la fin, l'énergie du désespoir récompense les bonnes choses de notre part.

Aviez-vous déjà connu un tel scénario?

 

D.D. : J'ai vécu un 8-3 avec Monaco contre la Corogne. Un 5-5? Non, je ne crois pas mais, après un tel match, j'ai la mémoire qui est un peu défaillante...

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mercredi, 04 novembre 2009

Ligue des champions

bay.jpgLe choc de la soirée aura tenu toutes ses promesses. Si Milan et le Real se quittent dos-à-dos (1-1), les deux équipes auront soigné le spectacle avec de nombreuses occasions et de beaux gestes techniques. Benzema a ouvert le score pour le Real à la 29e minute. 6 minutes plus tard, Ronaldinho l'imitait suite à un penalty. L'AC Milan a globalement dominé la rencontre, et Pato est souvent passé très près de donner l'avantage aux Rossoneri.

> Tous les buts en vidéo  Splendide vainqueur du Bayern à Munich (2-0), Bordeaux décroche son ticket pour les 8e de finale tandis que Marseille se relance en réalisant le carton de la soirée face à Zurich (6-1), mardi à l'issue de la 4e journée de la Ligue des champions. Dans le groupe D, Chelsea et Porto se qualifient également tandis que, dans la poule B, Manchester, accroché à domicile par Moscou (3-3), l'est virtuellement.

Groupe A

Bayern Munich - Bordeaux (0-2): Dominé et timoré, Bordeaux, sauvé par Carrasso, a fait étalage de sa nouvelle expérience pour ouvrir la marque sur sa 1re occasion, grâce à Gourcuff. Le but de Chamakh en fin de match enfonce ensuite un peu plus un ex-grand d'Europe que l'entrée de Robben n'a pas transformé. Cela vaut aux Girondins d'être qualifié pour les 8e de finale. Quant au Bayern, il est bien placé... pour l'Europa League.

Maccabi Haïfa - Juventus Turin (0-1): Un petit but de Camoranesi en fin de 1re période a suffi pour une Juventus opportuniste et réaliste à Haïfa, désormais éliminé. Toujours 2e à deux points de Bordeaux, les Italiens sont au chaud avec quatre points d'avance sur le Bayern.

 Groupe B

Manchester United - CSKA Moscou (3-3): MU est passé tout prêt de sa première défaite à Old Trafford en Ligue des champions depuis le 23 février 2005 et la venue du Milan (0-1). Menés 1-3 après des buts de Dzagoev (son 3e but), de Krasic et de Berezutski, les Red Devils ont égalisé à la dernière seconde par Valencia. Les autres buts sont signées Owen et Scholes. Si ce nul sauve l'honneur des Mancuniens, il est insuffisant pour leur permettre d'être mathématiquement qualifié.

Besiktas - VfL Wolfsburg (0-3): En l'emportant sur le terrain du Besiktas, Wolfsburg sécurise sa 2e place du groupe devant le CSKA. Avant de tuer le suspens en fin de match (Gentner, Dzeko), Misimovic (14e) avait mis son équipe dans une situation confortable. S'ils parviennent à contenir en Russie les Moscovites le 25 novembre, les Allemands conserveront toutes leurs chances de finir à leur place actuelle.

 Groupe C

AC Milan - Real Madrid (1-1): Un but de Ronaldinho sur penalty a permis à Milan de revenir à hauteur de Madrid qui avait un peu plus tôt viré en tête grâce à Benzema. Les deux équipes restent en tête et comptent un petit point d'avance sur Marseille.

Marseille - FC Zürich (6-1): Rapidement devant grâce aux coups francs d'Abriel, l'OM s'est encore fait peur face à Zurich avant d'inscrire quatre buts en 2e période. Avant de se déplacer à Milan puis de recevoir le Real, l'OM comptent un point de retard sur ces deux équipes, et trois d'avance sur les Suisses qui devront affronter les mêmes adversaires. Cela pourrait être suffisant pour se qualifier pour l'Europa League mais également un peu court pour devancer l'un des deux ogres.

 Groupe D

Atletico Madrid - Chelsea (2-2): Nettement supérieur et donc en confiance, Chelsea a tremblé à cause d'un doublé d'Aguëro, s'en remettant une nouvelle fois à Drogba (82, 88) qui lui offre son ticket pour les 8e de finale. L'Atletico double l'Apoël et se rendra à Nicosie sans pouvoir briguer autre chose que la 3e place.

Apoël Nicosie - FC Porto (0-1): Sans gloire, Porto imite Chelsea grâce à un but de Falcao en fin de match. Les Portugais sont en 8e, tandis que les Chypriotes sont désormais derniers de la poule.

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mercredi, 21 octobre 2009

Le Standard de Liege a les moyens de se qualifier

Les Standardmen se sont créé les meilleures occasions. Mais, deux erreurs de Bolat ont rendu vaine l’ouverture du score par Igor De pict_199302.jpgCamargo.

| 2 | 1 |

Après avoir été le premier à marquer cette saison au stade Karaiskakis, le Standard pouvait plus que jamais nourrir l’ambition d’atteindre les 8es de finale de la C1. Une erreur défensive permettant l’égalisation et un effondrement dans les dix dernières minutes plus tard, la mission s’annonce beaucoup plus compliquée.

Mais avec deux matches à domicile contre les concurrents directs et un déplacement à Arsenal, qui ne sera sans doute pas encore qualifié, la 2e place n’est pas encore à oublier. Et la 3e reste plus qu’accessible.

Le Standard est passé à deux doigts d’entamer la rencontre aussi bien que contre Arsenal. Après une minute, sur un dégagement de Bolat effleuré par De Camargo, il échut à Mbokani une superbe opportunité. Poussé légèrement par Papadopoulos, il manqua la cible.

Les Liégeois laissaient les Grecs manœuvrer trop aisément sur les flancs - cinq corners en 13 minutes ! - mais ils se créaient aussi les occasions les plus concrètes avec, à chaque fois, un excellent Mbokani.

À la 16e, il accéléra sur le flanc droit, mais sa frappe trouva Maresca. À la 23e, il se joua de Galletti et de Zewlakow sur le flanc gauche avant de servir De Camargo. Le Diable se loupa au profit de. Dalmat, trop hésitant à prendre ses responsabilités. Quatre minutes plus tard, le Congolais trouvait encore Dalmat au second poteau, mais le centre en retrait du Français ne trouvait que Mellberg.

Seules quelques frappes lointaines, dont une étonnante de Galletti sur le poteau, avaient inquiété Bolat jusqu’au but de De Camargo, à la réception d’un mouvement amorcé dans l’axe par Witsel et Jovanovic.

L’avance, méritée, fut de courte durée. Sur un coup franc a priori sans danger, Mitroglou profita de la liberté offerte par Felipe pour tromper un Bolat trop vite sorti de son but.

Ce but, juste avant la mi-temps, ne freina pas le Standard. Juste après la reprise, Jovanovic se glissa entre quatre défenseurs pour obliger Nikopolidis à la parade. Le Serbe toucha encore la latte (70e) sur une frappe de l’entrée du rectangle alors que Witsel avait balancé, dix minutes plus tôt, un centre non-exploité.

Le Standard avait laissé passer sa chance. À partir de la 80e, il paniqua et céda le jeu. Bolat sauva quatre fois la mise, Sarr une fois. Mais sur le dernier ballon, Stoltidis était trop seul.

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mardi, 20 octobre 2009

Le Standard de Liege chez les grecs

David De Myttenaere Envoyé spécial à Athènes pict_199092.jpg

Oublier le revers à Westerlo et se concentrer sur l’Olympiakos car la défaite est interdite à Athènes. Tel était le mot d’ordre au sein de la délégation liégeoise, hier matin à Bierset au moment de décoller vers la capitale grecque. "Après la pluie, le beau temps Le soleil ne brille peut-être pas en Belgique mais bien en Grèce", sourit Milan Jovanovic, optimiste à l’approche de ce troisième match de Ligue des Champions.

 

Comme à l’AZ, il y a 15 jours, le Standard n’a pas le droit de perdre, ce soir pour son deuxième déplacement de la phase de poules. Pour encore viser la deuxième place qualificative pour les huitièmes de finale, les Liégeois doivent prendre un point minimum. "Chaque échéance qui passe rend le match suivant plus important", souligne Laszlo Bölöni. "Mais je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est décisif. Et si on perd ? (il touche du bois) C’est hypothétique, je ne sais pas répondre "

 

Le coach sait pertinemment bien que son équipe n’est pas favorite ce soir. "On sait qu’on est le "Petit Poucet" du groupe : on était dans le quatrième chapeau et c’est notre première participation en "C1" . Je dirais que les chances de se qualifier sont de 100 % pour Arsenal, 60 % pour l’Olympiakos et 15 % pour l’AZ et nous. Mais je sais aussi que le foot garde une chance pour tout le monde. On va la jouer à fond. Notre principal atout ? La surprise fait partie de nos capacités. Et la jeunesse aussi."

La jeunesse peut aussi être un désavantage face à un adversaire expérimenté comme l’Olympiakos et dans un stade très chaud. "Je vais préparer mes joueurs à cette ambiance. Mais j’ajouterais ceci : l’Olympiakos a un bon public mais le nôtre est meilleur. On est habitués à une chaude ambiance. Il faudra jouer avec courage et éviter les erreurs. Car un schéma tactique mis en place peut être balayé par une faute "

A quel schéma tactique l’entraîneur fait-il allusion ? Mystère. Va-t-il à nouveau être prudent, comme à l’AZ, ou reviendra-t-il à son habituel 4-2-3-1 ? "Je serai prudent", assure-t-il. "L’expérience de l’Olympiakos lui permet de gagner des matches mais aussi de gérer les moments difficiles. Il faudra tenir Dudu et Zairi à l’œil "

Espérons que Laszlo Bölöni ait bluffé et qu’il opte pour un retour au 4-2-3-1 qui a fait le bonheur des Rouches la saison passée en Coupe UEFA

D.D.M.

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mercredi, 08 avril 2009

Football: la Belgique limoge son sélectionneur

La fédération belge de football a limogé son sélectionneur René Vandereycken après deux défaites en éliminatoires de la Coupe du monde.

La Belgique a perdu ses deux dernières rencontres face à la Bosnie-Herzégovine, 4-2 à domicile et 2-1 à l'extérieur.

Les Belges accusent un retard de 11 points sur le leader de leur groupe, l'Espagne. Ils pointent à cinq longueurs des Bosniaques, qui sont deuxièmes et peuvent prétendre à une place en barrages.

"Ce sont deux résultats qui nous ont particulièrement déçus", a déclaré le chef de la fédération belge, François De Keersmaecker. "Nous voulions un niveau de résultats qui n'a pas été atteint."

Sous la houlette de Vandereycken, les Belges ont remporté 10 matches, ont été battu 13 fois et ont fait match nul à 7 reprises.

Vandereycken avait été engagé en 2005. Il n'a pas réussi à qualifier son équipe pour l'Euro 2008 mais son contrat avait été prolongé jusqu'en 2010. Il a été averti de la décision par téléphone, a précisé la fédération, qui a entamé des recherches pour lui trouver un remplaçant.

Selon les médias locaux, ils chercheraient à enrôler l'entraîneur de Marseille Eric Gerets. Les autres successeurs possibles incluent l'entraîneur des moins de 21 ans Jean-François De Sart, l'ancien international belge Marc Wilmots ou le Néerlandais Dick Advocaat, entraîneur du Zénith Saint-Pétersbourg.

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mardi, 10 février 2009

Luiz Felipe Scolari limogé à Chelsea

scola4.jpg

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lundi, 15 décembre 2008

France : Lyon accroché, championnat relancé

18e journée Le leader lyonnais a subi une nouvelle contre-performance en étant accroché par Marseille (0-0) lors du choc du championnat de France, un résultat qui relance le suspense en tête au lendemain des victoires de Bordeaux (1-3 au Mans) et du PSG (1-2 à Auxerre)..

benarfa.jpg

L’affiche tant attendue entre l’OL et l’OM n’a pas tenu ses promesses mais qu’importe pour les Marseillais, qui conservent la 2e place à 3 petits points d’un OL qui apparaît en déclin. Les Lyonnais, déjà corrigés à domicile mercredi par le Bayern Munich en Ligue des champions (3-2), accumulent, en effet, les déboires et n’ont plus gagné en L1 depuis le 16 novembre alors que le championnat leur semblait acquis il y a tout juste quelques semaines. Le retour de suspension de Juninho n’a pas permis de relancer une équipe qui n’est plus que l’ombre de celle qui a dominé la L1 durant les sept dernières saisons. Désormais, Lyon n’est à l’abri de personne puisque seulement six longueurs le séparent de la 8e place occupée par Nice.

Outre le dauphin marseillais, l’OL doit se méfier du retour en force de Bordeaux (3e) et de Paris (4e).

Les Girondins, que l’on croyait habitués à l’inconstance, se sont replongés avec sérieux dans le championnat, quatre jours après leur piteuse prestation à Rome (défaite 2-0) et leur élimination de la C1. Vainqueurs au Mans (3-1), ils en ont également profité pour soigner leur attaque (la 2e de la L1 derrière Marseille avec 27 buts) avec notamment la 10e réalisation de Cavenaghi, qui rejoint Hoarau et Gignac, auteur d’un doublé avec Toulouse contre Saint-Etienne (3-1), en tête du classement des buteurs.

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jeudi, 04 décembre 2008

Standard - Sampdoria 3-0

Troisième succès en autant de matches pour les Rouches en Coupe de l’UEFA. Sans devoir craindre le dernier match, les "Standardmen" verront les 1/16e de finales. Dans l’autre match, Séville a battu le Partizan 3-0.
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Le Standard savait qu’il lui suffisait de prendre un point contre la Sampdoria, hier soir à Sclessin. Mais les Rouches ont tenu parole: ils ont joué pour la victoire. Et ils l’ont obtenue au prix d’un nouvel exploit, même si la "Samp" laissait plusieurs titulaires sur le banc (dont Cassano) en vue du derby génois programmé dimanche Les champions de Belgique, eux, sont assurés de passer l’hiver européen au chaud, ce qu’ils n’avaient plus fait depuis la saison 1981-82, année de leur seule finale!

Les Liégeois débutaient la partie le couteau entre les dents. Cela aurait pu (dû) être 2-0 dès la 10e minute de jeu! A la 3e, après une superbe possession de balle, Marcos adressait un centre parfait à De Camargo mais le Brésilien, esseulé, croisait trop sa tête. A la 10e, Goreux débordait. Son centre en retrait trouvait Jovanovic qui, du plat du pied, plaçait au-dessus

Deux penalties non sifflés plus tard (sur Jovanovic puis sur De Camargo), le Standard était finalement récompensé à la 23e. "Jova" faisait son show côté gauche, adressait un centre lobé à De Camargo, démarqué au deuxième poteau. Cette fois, le coup de tête d’Igor filait au fond des filets (1-0).

Les Rouches enchaînaient: le tir lointain de Goreux mettait en difficulté Castellazzi, Jovanovic suivait mais son tir était dévié in extremis par un défenseur. Sur le corner qui suivait, Defour trouvait Onyewu, qui sautait plus haut que ses adversaires pour placer un heading victorieux au ras du poteau (2-0). Et l’Américain de courir fêter son but dans les bras de Laszlo Bölöni Insatiables, les Liégeois acceptaient la demande de leurs supporters qui scandaient le célèbre "Et 1, et 2, et 3-0!". La longue transversale de Goreux lançait Jovanovic.

Vif, le Serbe s’en allait faire 3-0. Seule la mi-temps, sifflée sous les acclamations du public, parvenait à stopper la marée rouche.

La deuxième mi-temps se résumait à une gestion du Standard, qui aurait pu soigner sa différence de buts sur l’une ou l’autre occasion.


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vendredi, 24 octobre 2008

Coupe de l'UEFA - Les Verts du bon pied

Buts : Santin (60e sur penalty) pour Copenhague - Gomis (3e), Perrin (37e) et Payet (65e) pour Saint-Etienne
stetienne.jpg
Dans un Parken en rénovation, les Verts ont entamé leur mutation. Devant des tribunes en trompe l'oeil, bercés par l'air frais de la Baltique, les Stéphanois ont réussi leur meilleure prestation à l'extérieur de la saison. Du même coup, ils effacent cette triste tendance à perdre leur allant loin du Forez et une série d'échecs successifs à peine entrecoupée de leur seule éclaircie à Tel Aviv (1-2). Naïfs dans leur marquage et maladroits dans la finition face à Nantes (1-0), les hommes de Laurent Roussey ont été clairvoyants dans leurs ouvertures, soudés dans leur pressing et brillants jusqu'à la pointe de nonchalance face à la "bête danoise" ragaillardie par cinq victoires de rang dans son championnat.

Après avoir permuté avec Machado, Payet offre une passe lumineuse à Gomis qui marque de la tête sur son premier ballon (0-1, 3e). Le ton est donné. Même sans Ilan et Landrin, les Verts trouvent leur buteur, qui, par ses inspirations, tire les siens d'un mauvais pas. Sur un débordement côté droit, il offre à Perrin le soin de mettre Saint-Etienne à l'abri d'une mauvaise surprise (0-2, 37e). Ils en ont bien besoin.

Le coup de génie de Payet

Une faute de Varrault sur Santin avait offert aux Danois un premier penalty. Manqué par Nordstrand (3e). Un retard de Tavlaridis sur l'attaquant brésilien en donnera un second, transformé celui-ci par Santin (1-2, 60e). Payet commence à regretter son tête à tête manqué avec Christiansen (55e) ou sa frappe à peine trop enlevée (40e). Mais une passe de Dernis lui fait oublier ses doutes. L'ex-nantais, après avoir effacé Hutchinson d'un double passement de jambe, place un piqué victorieux (1-3, 65e). Comme aux plus beaux jours.

Inexpérimentés sur la scène européenne, les Verts ont eu le bon ton de ne pas reculer, ni se relâcher. Leurs nombreux mouvements fluides et rapides, délibérément portés vers l'avant, sont tout près d'offrir à Gomis (78e) et Matuidi (83e) matière à plus large sanction. Qu'importe. Là où les Sang et Or avaient chuté l'an passé, les Verts se sont découverts une nouvelle dimension. Taille patron.

Julien BIGORNE / Eurosport

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mercredi, 25 juin 2008

Football: Fenerbahçe annonce l'arrivée de Luis Aragone

ISTANBUL (Reuters) - L'actuel sélectionneur de l'Espagne, Luis Aragones, a trouvé un accord avec Fenerbahçe, où il devrait s'engager après l'Euro pour une durée de deux ans, annonce le club turc.

Aragones remplacera le Brésilien Zico à la tête du club quart de finaliste de la dernière Ligue des Champions.

Fenerbahçe précise sur son site internet que le technicien espagnol arrivera à la tête d'une équipe de quatre entraîneurs qu'il aura choisis.

"Notre club a élaboré un contrat préliminaire de deux ans avec Luis Aragones, qui est actuellement le directeur technique de l'équipe nationale espagnole, pour qu'il devienne notre entraîneur à partir de la saison prochaine", peut-on lire sur le site du club stambouliote.

Le contrat doit être signé à la fin de l'Euro. L'Espagne affronte la Russie, jeudi à Vienne, en demi-finale de la compétition.

Lundi, Aragones avait démenti les rumeurs selon lesquelles il pourrait rester à la tête de la sélection nationale en cas de victoire finale de l'Espagne.

Aragones, qui fêtera ses 70 ans en juillet prochain, est le premier sélectionneur espagnol à mener la Roja dans le dernier carré d'un tournoi majeur depuis 24 ans.

Daren Butler, version française Clément Dossin

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jeudi, 22 mai 2008

Ligue des Champions - Manchester l'a refait

Au terme d'une finale intense et globalement dominée par Chelsea, Manchester United a remporté la troisième Ligue des Champions de son histoire, mercredi à Moscou. Cinquante ans après le crash de Munich, les Red Devils ont battu les Blues aux tirs au but (1-1, 6 tab à 5).

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Buts : Cristiano Ronaldo (27e) pour Manchester - Lampard (45e) pour Chelsea

Le stade Loujniki de Moscou est entré mercredi 21 mai 2008 dans l'histoire de la Ligue des Champions. Pas pour son architecture ou pour sa pelouse, toute neuve et vite glissante pour les vingt-deux acteurs engagés sur le pré. Non, tout simplement parce que l'enceinte russe a assisté à une véritable bataille, digne de celle qu'avait imaginé la presse internationale. Avec du suspense. De la tension. Des pleurs et de la joie. De l'injustice aussi mais au final un seul vainqueur. Quarante ans après son premier sacre et neuf ans après son deuxième titre en C1, Manchester United a remis le couvert. Dans la douleur mais avec hargne et abnégation.

Car c'est bien là le lot des grandes finales, des grands matches, de l'histoire du football en général. Il ne suffit pas de dominer pour être heureux. Le ballon rond ne récompense pas le vainqueur aux points. Pis, les futurs héros d'un soir ne sont pas forcément ceux que l'on pouvait imaginer. En effet, difficile de concevoir une montée des marches vers la Coupe aux grandes oreilles sans voir le maillot des Blues de Chelsea flotter dans le vent russe. Compliqué en effet lorsque l'on se penche sur le film du match, sur ces 120 minutes de combat livrées sur le pré par les protégés d'Avram Grant. Essien, impliqué dans l'égalisation de Lampard (45e), Drogba, initiateur de la mainmise londonienne en seconde période ou encore Terry, sauveur décisif sur une frappe à bout portant de Giggs (101e), avaient tous la possibilité de se hisser au rang de légendes, marquant de leurs crampons souillés et mouillés l'histoire de Chelsea.

Manchester au coeur

Au lieu de cela, ces Blues-là devront se contenter de voir leurs adversaires aller soulever le trophée encore si proches d'eux lorsque Drogba (79e) et Lampard (96e) faisaient vibrer quelques instants plus tôt les montants du but de Van der Sar. En guise d'apothéose, c'est la pluie mêlée aux larmes ininterrompues de Terry qui raccompagnera le capitaine londonien, si grand au moment d'enlever ce but tout fait à Giggs, si petit au moment de glisser sur son tir au but décisif. L'international anglais, tout comme Nicolas Anelka d'ailleurs, devra-t-il pour autant se flageller à vie pour avoir failli ? Non. Vu la mainmise de leurs petits camarades, il serait injuste d'imputer la faute à ces deux joueurs-là. Le coaching peu réactif de Grant, pourtant conscient de la domination insolente des siens en seconde période, sera un des axes d'étude sur lequel les dirigeants londoniens pourront se pencher pour analyser ce cruel coup du sort.

Cruel oui car Chelsea a eu les munitions dans le jeu et dans les situations de vérité (Essien, 57e, Drogba, 111e) pour prendre son destin en main. Et ceci en dépit d'un manque de soutien arbitral sur certaines phases de jeu (Malouda, 77e). Inconcevable, non. Manchester, certes dominé passé les quarante-cinq premières minutes, a eu le mérite de s'accrocher à son rêve, conscient des quelques opportunités que pourrait lui laisser son adversaire au fil des minutes. Même lorsque Cech et Terry, tous deux sur leur ligne de but, y allèrent de leur petit exploit. Rester en vie a donc été salutaire pour les Red Devils, bien mieux lors de la prolongation mais incapable d'exploiter l'expulsion pour geste d'humeur de Drogba (116e). Le mental mancunien a été le plus fort et pourtant, il aurait très bien pu craquer suite au tir au but manqué de Cristiano Ronaldo lors de la loterie finale. Au lieu de cela, on a vu des Diables Rouges toujours concentrés, proches de leur prodige portugais, consolant ce dernier au bord des larmes. Nicolas Anelka aurait probablement aimé avoir un tel soutien après avoir failli dans sa tâche.

C'est isolé, dans son coin sur la pelouse russe que l'international français verra MU filer vers le doublé. Cinquante ans après le crash de Munich. Neuf ans surtout après son deuxième titre en C1, finalement assez similaire sur le plan du jeu. Comme quoi, il y a des lois que même le mérite ou l'argent en football ne peuvent régir. Celle du coeur et de la rage. Deux notions qui ont permis à Manchester de rafler l'essentiel cette saison (Premier League et Ligue des Champions). En attendant le sacre doré et individuel annoncé de sa pépite lusitanienne dans quelques mois...

LA DECLA : Avram Grant (entraîneur de Chelsea)

"C'est vraiment très difficile de perdre aux tirs au but. Je ne sais quoi dire, surtout après avoir dominé le match, sauf dans la première demi-heure. Nous avons frappé sur un poteau, sur la transversale, nous avons plus tiré au but qu'eux. Même aux tirs au but, nous avions la victoire en mains mais elle nous échappe. La différence entre la joie et la tristesse tient parfois à un tir au but. John (Terry) n'a rien dit. Il était très triste, a pleuré, mais il est aussi celui qui nous a conduit ici. Il a toujours été présent en vrai capitaine, et a pris la responsabilité de frapper le tir au but."
Alix DULAC / Eurosport

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mercredi, 02 janvier 2008

ANELKA, DIRECTION CHELSEA

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Nicolas Anelka, est actuellement en pourparlers avec Chelsea et pourrait rejoindre le club de Londres d'ici à la fin de la semaine prochaine, selon The Times. En recrutant un autre attaquant de pointe, Chelsea cherche avant tout à pallier l'absence de son buteur-vedette Didier Drogba, retenu pour disputer la CAN en janvier avec la Côte d'Ivoire. Selon le très sérieux quotidien britannique, Roman Abramovich, aurait confié à l'entraîneur des Blues, Avram Grant, que l'argent nécessaire pour le transfert d'Anelka était disponible. Par ailleurs, le directeur général de Chelsea, Peter Kenyon, serait en contact avec le président de Bolton, Phil Gartside, et les négociations, qui porteraient sur un montant évalué à environ 10 millions de livres (13,6 millions d'euros), se poursuivent. Anelka semblait également intéresser Manchester United, mais Alex Ferguson préférerait s'assurer les services de l'attaquant de Tottenham, Dimitar Berbatov.

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jeudi, 13 décembre 2007

12-12-07:Tout sur La ligue des champions

Outre Lyon, qualifié grâce à sa victoire à Glasgow, sur la pelouse des Rangers (3-0), Fenerbahçe a également validé son billet, le dernier en jeu, pour les huitièmes de finale. L'ancienne équipe de Nicolas Anelka a remporté une victoire finalement inutile face au CSKA Moscou (3-1, groupe G) puisque le PSV Eindhoven s'est de son côté incliné face à l'Inter Milan (0-1). C'est la première fois, depuis le retour dans la compétition des huitièmes de finale, en 2003, qu'une équipe turque y accède.
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Alex

La soirée a pourtant bien mal commencé pour Fenerbahçe après l'ouverture du score, en faveur des visiteurs, signée Dracena (30e)... contre son camp. A peine le temps de cogiter que l'inévitable Alex (Photo Reuters) a remis les deux équipes à égalité d'une frappe superbe en pleine lucarne. Les équipiers de l'ancien Bordelais Deivid ont alors fait la différence grâce à un doublé de Boral Ugur (45e, 90e). Grâce à cette victoire, les Turcs peuvent se dire qu'ils ne doivent rien à personne, mais même une défaite les aurait qualifiés puisque, dans le même temps, le PSV Eindhoven s'est incliné à domicile face à l'Inter Milan (0-1). Réduits à dix dès la 33e minute suite à l'expulsion de l'Equatorien Edison Mendez, les protégés de Jan Wouters n'ont rien pu faire face à la puissance milanaise, illustrée par le but de Julio Cruz (61e). Le PSV, qui restait sur trois huitièmes de finale consécutifs, se consolera avec la Coupe de l'UEFA.


Même si le Barcelone - Stuttgart (3-1) n'avait que l'honneur pour enjeu, les Catalans étant certains de terminer à la première place du groupe E, les Allemands étant éliminés de tout, ce match a permis à l'international camerounais Samuel Eto'o d'inscrire son tout premier but de la saison (57e). Blessé à la cuisse au mois d'août, le joueur n'a fait son retour que dimanche, contre le Depor (2-1). A noter également, le bon match de Ronaldinho, passeur sur le premier but de Giovani (36e), puis buteur lui-même à la 67e minute. De quoi faire taire ses très nombreux détracteurs.
Dans le groupe H, la victoire d'Arsenal contre le Steaua Bucarest (2-1), avec notamment un but du jeune international français Abou Diaby, s'est révélée insuffisante pour offrir aux Gunners la première place du groupe. Celle-ci revient au FC Séville, également vainqueur sur la pelouse du Slavia Prague (3-0) avec un but de Kanoute et un autre de Fabiano, l'ancien Rennais. En revanche, l'AS Roma et Manchester United, qui présentaient chacune une équipe largement remaniée, n'ont pas pu se départager (1-1). Les Mancuniens terminent en tête du groupe F devant les Romains. Le Sporting, facile vainqueur (3-0) d'un Dynamo Kiev plus mauvais élève de la compétition (6 matches, 6 défaites), jouera l'UEFA. - B. Ro.

LES 16 QUALIFIÉS POUR LES HUITIEMES :
AC Milan, Arsenal, AS Rome, Barcelone, Celtic Glasgow, Chelsea, FC Séville, Fenerbahçe, Inter Milan, Liverpool, Lyon, Manchester United, Olympiakos, Porto, Real Madrid, Schalke 04.


LES 8 QUALIFIÉS POUR LA COUPE DE L'UEFA :

Benfica, Glasgow Rangers, Marseille, PSV Eindhoven, Rosenborg, Slavia Prague, Sporting Portugal, Werder Brême.

ÉLIMINÉS :

Besiktas, Chakhtior Donetsk, CSKA Moscou, Dynamo Kiev, Lazio Rome, Steaua Bucarest, Stuttgart, Valence.