Selon une porte-parole d'Infrabel, l'incident a été constaté vers 18H20. "Il est apparu que c'était un train qui déclenchait la caténaire, qui se mettait dès lors en mode alarme. Il faut désormais enlever ce train", a-t-elle expliqué. La circulation se déroule actuellement sur une seule voie entre les gares de Bruxelles-Luxembourg et Groenendaal, ce qui provoque des retards d'une trentaine de minutes. "Le trafic a repris sur cette ligne. Les retards devraient se résorber dans les prochaines heures mais il pourrait y en avoir jusqu'à la fin du service ce mercredi", ajoute la porte-parole. (VAD)
mardi, 27 septembre 2011
Election RDC: des Cris depuis Bruxelles
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samedi, 10 septembre 2011
Bruxelles: Manifestation contre Abdoulaye Wade
renseignements: 0032484944941
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12:22 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bruxelles, wade | del.icio.us | Facebook | | |
vendredi, 12 août 2011
Youssou Ndour vers le stade d'Ixelles à Bruxelles.
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mercredi, 14 avril 2010
Bruxelles, ville coupe-gorge? Pas plus aujourd’hui qu’hier
Bruxelles est-elle une ville coupe-gorge ? Y court-on, davantage qu’il y a 5 ou 10 ans, le risque de se faire dépouiller en pleine rue, de se faire car-jacker ou cambrioler ?
Les statistiques de criminalité traitées par la police fédérale permettent d’ébaucher prudemment quelques réponses. Les données de base de ce "baromètre de la criminalité" sont les procès-verbaux (PV) initiaux établis par les différents services de police, qu’il s’agisse d’un délit accompli ou d’une tentative. Autrement dit : ces chiffres sont davantage le reflet de l’activité policière que de la criminalité réelle en tant que telle. Ainsi, des tendances apparentes (davantage de déclarations de vols dans les voitures ou d’actes de pédophilie) sont parfois le résultat d’actions policières de prévention ou de répression, qui entraînent un plus grand nombre de signalements des faits constituant une infraction, ce qui ne signifie pas forcément une augmentation des faits eux-mêmes.
Autre précision : des faits qui se sont bel et bien produits ne sont pas toujours rapportés à la police, parce que les justiciables eux-mêmes ne les jugent pas graves, parce qu’ils ont peur de les dénoncer, parce qu’ils se disent que ça ne sert à rien, qu’il n’y aura de toute façon pas d’enquête Ce "dark number" ("chiffre noir") ne figure forcément pas dans les statistiques.
Ces réserves faites, que constate-t-on, pour la région de Bruxelles-capitale ? S’agissant des infractions contre l’intégrité physique des personnes, l’augmentation est légère et (à peu près) constante entre 2000 et 2008 (voir infographie ci-dessus). Un PV a été établi pour 11 990 faits en 2008 (derniers chiffres disponibles), contre 9 171 faits en 2000.
Première observation : si on rapporte le total d’infractions contre l’intégrité physique au nombre total de faits dénoncés à la police (179 339 en 2008), cela veut dire que cette catégorie de délits - les plus frappants, les plus inquiétants - représente 6,5 % de l’ensemble des délits (qui vont de l’ivresse sur la voie publique au homicides, en passant par les vols de vélos).
On peut affiner l’analyse en précisant que cette catégorie représente, dans 85 % des cas, des "coups et blessures". A cette aune, la sous-catégorie des "meurtres et assassinats" représente environ 1 % de ces atteintes à l’intégrité physique. En 2008, 144 meurtres et assassinats (tentés ou réussis) été commis à Bruxelles. On peut ici considérer que le nombre de faits déclarés correspond quasi parfaitement à la réalité : il est difficile de ne pas signaler ou constater un homicide
Difficile pourtant de conclure qu’il y a une tendance nette à la hausse et, partant, une croissance exponentielle de la criminalité violente contre les personnes. Ainsi, il n’y avait "que" 115 meurtres et assassinats déclarés en 2000 contre 144 en 2008, mais il y en avait eu 156 en 2006 et 169 en 2005. On le voit, les statistiques empruntent ici plutôt un parcours en dents de scie. Il faut en outre préciser que, dans de nombreux cas, liés à des drames familiaux, agresseur et victime(s) se connaissent.
Le baromètre de la criminalité à Bruxelles établit aussi le lieu où les faits ont été commis (infographies ci-contre).
S’agissant des infractions contre l’intégrité physique, c’est sur la voie publique (4 672 faits déclarés, soit 39 % du total) qu’on court le plus de risques. Dans un tiers des cas (33 %), ces faits ont lieu dans l’habitation privée. Les hôtels, restaurants et cafés suivent, avec 6 % des faits commis.
Pour les vols (avec ou sans circonstances aggravantes) et les extorsions, c’est aussi, sans surprise, sur la voie publique (37 % des cas) que les faits sont le plus commis, avant la voiture (14 %, qui englobent les carjackings, etc.) et les magasins (6,5 %).
S’agissant de la criminalité contre les biens, en particulier les cambriolages (infographie ci-dessus), le nombre de faits déclarés commis à Bruxelles dans des entreprises ou des commerces serait plutôt en diminution (3 750 en 2008, contre 4 174 en 2000). Mais ces chiffres ne vont pas au-delà de 2008 et ne disent rien quant aux faits commis en particulier dans des bijouteries.
Selon la police fédérale, ceux-ci seraient en recrudescence, pour l’ensemble de la Belgique : 30 en 2007, 22 en 2008, 33 en 2009 et déjà 20 depuis le début 2010, dont la moitié auraient été perpétrés dans la capitale.
Cet article génère un nombre très important de commentaires qui doivent être tous revus en raison du sujet abordé. Il ne nous est matériellement pas possible d’assumer cette charge additionnelle. En conséquence, cet article ne sera pas ouvert aux commentaires. Veuillez nous en excuser. Merci de votre compréhension. La modération.
14:03 Publié dans Science et Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bruxelles | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 11 février 2010
une caténaire perturbe le trafic de la ligne 161 Bruxelles-Namur
Des retards d'une trentaine de minutes étaient constatés mercredi, vers 19H30, sur la ligne 161 Bruxelles Nord-Namur à la suite d'un incident technique à une caténaire, a-t-on appris auprès d'Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire. Le trafic est limité à une voie sur une partie du tronçon, ce qui engendre les retards.
10:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bruxelles | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 13 décembre 2007
Bruxelles:Le « non » du MR au plan Verhofstadt
Le plan sur lequel travaille Guy Verhofstadt d’un « 4+2 » ouvrait la voie à un gouvernement interimaire. Mais le MR n’en veut pas. Par ailleurs, on apprend que le Premier ministre n’est pas candidat à sa propre succession. Il est également prêt à renoncer à toute fonction de ministre si c’est nécessaire.
Tout le monde en convient : ça ne peut plus durer, « il faut un gouvernement pour Noël ». Il s’agit bien là de l’exécutif « intérimaire », d’« affaires urgentes » appelé de ses vœux par le Palais royal, sachant que le vrai, le définitif, lui, suivrait, dans trois, quatre mois, on verrait…
A la manœuvre, Guy Verhofstadt souffre. Premier en affaires courantes en mission d’« informateur » depuis dix jours, il est tenu pourtant à une obligation de résultat. Pour lundi, ou mardi prochain, estime-t-on. Sinon ? Sinon qui d’autre pourra jamais plus dénouer la crise ?… Qui d’autre après lui ?… Il est le dernier recours. Si Guy Verhofstadt n’y arrive pas ? Ce sera les élections. Un scénario-catastrophe.
Alors, l’informateur consulte sans relâche. Et travaille depuis 48 heures prioritairement à cette équation à une inconnue : 2N = 3F + X.
2N ? Deux partis néerlandophones sont partants pour composer une majorité temporaire, il s’agit du cartel CD&V/N-VA et du VLD. 3F ? Trois francophones se disent prêts à se hisser sans tarder au gouvernement, PS, CDH et Ecolo, et ceux-ci veulent une quadripartite au sud, réalisant l’« unité » francophone, disent-ils, face à la Flandre et en vue des négociations institutionnelles. C’est bien là le « X ». Le MR, si vous préférez. Dans « Le Soir » hier, nous rendions compte de cette équation. Elle reste vraie. Même si les libéraux francophones freinent à fond.
Ils ont un argument majeur. Et tiennent leur réplique.
Leur argument majeur : il est paradoxal, au moins, de constater que l’on demande aux partis francophones de fournir, à quatre, la majorité des deux tiers nécessaires à une réforme de l’Etat dont ils ont toujours dit qu’ils ne voulaient pas… Un gouvernement 4 + 2 a typiquement un profil « institutionnel », alors que ce qui importe, c’est le socio-économique. CQFD ?
Leur réplique, enfin : nous sommes disponibles, disent-ils, pour un gouvernement pleinement d’Union nationale, comme l’avait expliqué Didier Reynders lundi en conférence de presse – tous dedans, au sud comme au Nord –, mais en tout état de cause, c’est pour le voir appliquer notre programme socio-économique, au prorata de notre puissance électorale du 10 juin : baisser l’impôt des sociétés, la fiscalité sur les bas revenus, sur les revenus moyens, conforter le statut des indépendants, limiter le recrutement de fonctionnaires, etc., etc.
Oui, mais : pour évoquer tout ceci, pour négocier un compromis, ne faut-il pas commencer par accepter de s’asseoir à une table de négociation avec des partenaires potentiels ? Là, au MR, on vous répète, en boucle : au préalable, nous voulons des engagements sur notre programme… Nous en sommes là.
Entendu au MR toujours : et pourquoi pas continuer le gouvernement intérimaire avec la Violette ? Ou ceci : et pourquoi pas négocier d’emblée un gouvernement à part entière, sans passer par le provisoire ? Ou ceci encore : et pourquoi pas aller dans l’opposition ? Et ce n’est pas une blague…
Inutile de dire que les détracteurs des libéraux-réformateurs se déchaînent. On vous passe les commentaires au PS, au CDH, comme chez Ecolo. En résumé : de la difficulté pour le MR d’« atterrir » après sa victoire du 10 juin, et après six mois de foi dans l’Orange bleue, cette coalition de prédilection qui devait lui garantir un rôle de tout premier plan, et des portefeuilles ministériels en série…
Plus rien de tel ici, dans l’hypothèse de la quadripartite francophone, où il faudra vivre chichement, partager le pain, cohabiter avec le PS d’Elio Di Rupo, le CDH de Joëlle Milquet, la « vice-présidente socialiste », comme la désigne maintenant un dirigeant libéral… Un cauchemar bleu.
Verhofstadt, rapportait-on hier, la trouve limite. Le Standaard du matin donnait Reynders au « 16 » à sa place durant l’intérim… Le libéral francophone y verrait une compensation à la coalition 4+2… Mais voilà : Verhofstadt a les faveurs de tous, au Nord et au Sud, et en véritable « intérimaire », lui s’effacerait après trois ou quatre mois, vraisemblablement pour Leterme. Correct. Pas pour tout le monde.
Le Premier ministre en affaires courantes s’envolait ce matin pour Lisbonne et la signature du traité européen. Sans certitude. Comme disait Reynders l’autre jour : qui va « arrêter le compteur de la crise » ?
09:53 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Belgique, Bruxelles, Europe | del.icio.us | Facebook | | |