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vendredi, 14 mars 2008

Edward Norton produit un film sur Barack Obama...

Le comédien, réalisateur et producteur Edward Norton, qui soutient activement Barack Obama depuis plusieurs années, produit actuellement un documentaire sur le candidat à l'investiture démocrate.
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La star d'American History X et de La 25ème Heure, que l'on retrouvera dès le 23 juillet à l'affiche de L'Incroyable Hulk, finance ce documentaire via sa société Class 5 Films.
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Lors d'une interview accordée au journal Variety, il revient sur ses motivations : "Nous avons été conquis par le discours de Barack Obama lors de la convention de 2004. Il était excitant de voir quelqu'un de notre génération, et non de celle de nos parents, faire en sorte que sa seule présence nous inspire. Cela m'a rappellé les sensations décrites par mon père quand Kennedy prononça son discours d'inauguration."

Les caméras d'Amy Rice et Alicia Sams suivent Barack Obama depuis environ un an, et continueront de tourner jusqu'à la convention démocrate en août, voire la présidentielle en novembre.

C'est ce qui s'appelle savoir miser sur le bon candidat.

Plus d'infos et voir les photos sur Purepeople.com

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Tibet: violentes manifestations dans la ville historique de Lhassa, des blessés

PEKIN (Reuters) - Des boutiques ont été incendiées vendredi lors de violences à Lhassa, la capitale du Tibet, où des manifestations se succèdent depuis plusieurs jours, rapporte l'agence Chine nouvelle en citant des témoins.
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Des centaines de Tibétains sont également descendus dans les rues, défiant la forte présence policière et la décision prise par les autorités chinoises de fermer plusieurs monastères bouddhistes, rapportent des témoins.

Les revendications d'indépendance du territoire himalayen ont gagné en visibilité à l'approche des Jeux olympiques de Pékin, qui débuteront le 8 août. Le 49e anniversaire de la répression du soulèvement de 1959, à l'origine de la fuite en exil en Inde du dalaï-lama, a amplifié le mouvement.

"La police est partout. Il y a de gros problèmes", a déclaré le propriétaire d'un café de Lhassa joint par téléphone.

Trois monastères ont été fermés par décision administrative, selon International Campaign for Tibet, une organisation basée à Washington, qui cite des voyagistes. "Il y a une atmosphère de peur et de tension accrues dans la capitale du Tibet."

Les manifestations, qui se sont propagées à des provinces chinoises habitées par des Tibétains, ont commencé cette semaine après des marches organisées dans le monde entier pour marquer l'anniversaire du soulèvement manqué contre le pouvoir communiste au Tibet.

Lundi, 500 moines du monastère de Drepung avaient organisé une marche à Lhassa qui a ensuite été suivie par des actions menées par des moines dans les monastères de Sera et Ganden, dans les environs de la capitale tibétaine. Les forces de sécurité ont tiré des gaz lacrymogènes sur une des manifestations au moins, selon les médias.

Radio Free Asia (RFA), radio financée par les Etats-Unis, rapporte que des moines de Sera observent une grève de la faim, réclamant le retrait de membres des forces paramilitaires chinoises du monastère et la libération de moines arrêtés cette semaine. Deux moines de Drepung sont dans un état critique après des tentatives de suicides, a rapporté RFA.

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Le Tchad et le Soudan signent un accord de non-agression

DAKAR (Reuters) - Le président soudanais Omar Hassan al Bachir et son homologue tchadien Idriss Déby ont signé jeudi un accord visant à mettre fin aux attaques transfrontalières menées par des rebelles dans un secteur comprenant notamment le Darfour soudanais, en proie à la guerre.

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La signature du document, à laquelle ont assisté le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon et le président sénégalais Abdoulaye Wade, intervenait après des pourparlers à Dakar visant à raviver une série d'accords bilatéraux qui n'ont pas réussi à faire cesser les combats de part et d'autre de la frontière tchado-soudanaise.

"Nous nous engageons solennellement à interdire toute activité de groupes armés et à empêcher l'utilisation de nos territoires respectifs pour la déstabilisation de l'un ou l'autre de nos Etats", peut-on lire dans l'accord, dont Reuters a pu consulter un exemplaire.

Les deux pays sont convenus de "normaliser" leurs relations et de mettre un "terme définitif" à leurs divergences.

Ils ont accepté en outre de mettre sur pied un "groupe de contact" composé de quelques ministres des Affaires étrangères africains, qui se réunirait une fois par mois pour s'assurer que la "déclaration de Dakar" est bien appliquée.

Selon des diplomates étrangers, des rebelles tchadiens utilisent régulièrement le Darfour comme base arrière pour des incursions au Tchad. Le Soudan a accusé à plusieurs reprises le gouvernement tchadien de soutenir des groupes rebelles du Darfour.

L'est du Tchad abrite un demi-million de déplacés, notamment des Tchadiens fuyant des combats et des réfugiés du Darfour, où des violences politico-ethniques ont fait environ 200.000 morts depuis 2003.

L'instabilité de part et d'autre de la frontière a gêné les efforts internationaux visant à distribuer de l'aide humanitaire dans la région. Elle s'est propagée en outre en République centrafricaine, pays voisin déjà en proie à une rébellion sur son sol.

UN ÉNIÈME ACCORD

Déby et Bachir ont déjà par le passé tenté de régler leurs différends, qui à plusieurs reprises ont failli entraîner des pays voisins dans un conflit ouvert.

Ils sont tombés d'accord pour réitérer leur engagement envers une série de pactes de non-agression signés par le passé, souvent sous l'égide de la Libye mais aussi de l'Arabie saoudite, et qui ont cédé la place à de nouvelles violences.

Le Sénégal accueille actuellement un sommet de deux jours e l'Organisation de la conférence islamique, dont les membres représentent un quart de la population mondiale.

Wade, qui cherche à jouer un rôle de médiateur dans plusieurs conflits africains, a rédigé cet accord signé par Déby et Bachir dans l'espoir de mettre fin aux hostilités, en comptant notamment sur la présence de témoins internationaux pour lui donner du poids.

Le scepticisme prévaut cependant chez les protagonistes.

Les rebelles du Tchad et du Darfour ont déjà rejeté le texte, regrettant qu'ils n'aient pas été consultés et assurant qu'il n'apporterait pas une paix durable.

Bachir lui-même, qui accuse Déby de n'avoir pas respecté de précédents accords, s'est interrogé sur l'utilité d'un nouveau texte.

Quelques heures avant la signature, le Tchad, qui a repoussé le mois dernier une offensive rebelle sur sa capitale, a accusé le Soudan d'avoir envoyé plusieurs colonnes rebelles sur son territoire.

Désignant ces hommes sous le terme de "mercenaires", qu'il utilise généralement pour parler des rebelles tchadiens, le gouvernement tchadien affirme que l'incursion a eu lieu à Moudeina, à sa frontière Est avec le Darfour.

"Je peux vous assurer que c'est faux (...). Nous n'avons pas d'opposition (tchadienne) à l'intérieur du Soudan. Nous avons complètement fermé nos frontières à ces troupes", a déclaré le ministre soudanais chargé des Affaires étrangères, Al Samani al Wasiyla, aux journalistes.

L'incursion n'a pas pu être confirmée auprès d'une source indépendante.

Version française Natacha Crnjanski

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jeudi, 13 mars 2008

OBAMA IS NEW AMERICA

Mahmoud Abbas accuse Israël de "nettoyage ethnique" à Jérusalem

DAKAR - Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a accusé jeudi Israël de mener une politique de "nettoyage ethnique" dans l'est de Jérusalem, majoritairement palestinien.

"Notre peuple à Jérusalem subit une campagne de nettoyage ethnique", a déclaré Mahmoud Abbas lors d'un discours au sommet de l'Organisation de la conférence islamique (OCI), qui s'est ouvert pour deux jours à Dakar. "Il subit une série de décisions telles que des hausses d'impôts et des interdictions de construire".

Le président de l'Autorité palestinienne se trouve à Dakar pour le sommet de l'OCI, qui rassemble 57 pays musulmans. Plus tôt jeudi, il avait appelé les membres de l'OCI à soutenir les Palestiniens à un "moment très difficile" du processus de paix au Proche-Orient. AP

Une proche de Clinton démissionne après ses propos sur Obama

WASHINGTON (Reuters) - Geraldine Ferraro a démissionné de l'équipe de campagne de Hillary Clinton à la suite de la polémique née de ses propos sur Barack Obama, a annoncé un porte-parole de la sénatrice de New York qui brigue l'invstiture démocrate pour l'élection présidentielle de novembre.

Ferrero, qui travaillait au financement de la campagne, a déclaré à un journal californien que Barack Obama ne serait pas en tête des primaires démocrates s'il n'était pas noir.

"Si Obama était un blanc, il ne serait pas dans cette position. Et s'il était une femme il ne serait pas dans cette position. Il a beaucoup de chance d'être ce qu'il est", a déclaré cette ancienne candidate démocrate à la vice-présidence en 1984, unique seule femme à jamais avoir été désignée candidate par l'un des principaux partis à l'un des deux premiers postes de l'Etat.

Le propos a déclenché une controverse.

Hillary Clinton a dit être en désaccord avec sa collaboratrice, dont elle a jugé la sortie "regrettable", mais le camp Obama l'a accusée d'hypocrisie en refusant de la sanctionner.

Obama lui-même les a jugés "ridicules", mais a estimé qu'il n'y avait pas de racisme dans les propos de Ferraro.

Vainqueur mercredi de la primaire du Mississippi, Obama, qui pourrait devenir le premier président métis de l'histoire des Etats-Unis, domine la course à l'investiture démocrate.

Mais ni lui ni Clinton ne devrait atteindre les 2.025 délégués nécessaires pour obtenir la nomination sans intervention des 796 "superdélégués", des responsables du parti libres de choisir qui ils veulent.

La semaine dernière, une des conseillères d'Obama en matière de politique étrangère, Samantha Power, avait dû démissionner après avoir dit à un journal britannique que Clinton était "un monstre prête à toutes les bassesses".

Deborah Charles, version française Natacha Crnjanski et Henri-Pierre André

Hillary Clinton dans la tourmente

Ce mercredi le gouverneur de New York, impliqué dans une affaire de prostitution, démissionnait. Puis un membre de l'équipe de l'ancienne Première dame des Etats-Unis s'est retiré.

Il s'agit de Géraldine Ferraro, chargée du financement, qui a déclaré que Barack Obama ne serait pas là où il est s'il avait été blanc ou s'il avait été une femme.

Ce mercredi Mme Ferraro a souligné : "Il y a un malentendu. On a cru que j'attaquais ses qualifications. Ce n'était pas le cas. J'ai voulu saluer le fait que la communauté noire de ce pays était fière de cette candidature historique et qu'elle le montrait en votant."

Ces explications n'ont pas convaincu le camp d'Hillary Clinton ni le principal intéressé. Barack Obama juge ces commentaires "ridicules". Selon lui Geraldine Ferraro "s'entête. Ses propos ne s'appuient ni sur l'histoire ni sur des faits."

Une affaire qui pourrait compliquer la campagne d'Hillary Clinton, déjà distancée par Barack Obama. Le sénateur de l'Illinois a remporté la primaire du Mississippi et compte plus de délégués que son adversaire.

Attentat près de l'aéroport de Kaboul, six morts

KABOUL (Reuters) - Un attentat suicide qui visait des soldats américains a tué jeudi matin six civils afghans près de l'aéroport de Kaboul, apprend-on de source autorisée.

Quatre militaires américains ont été blessés, ainsi que 13 civils afghans.

L'attentat, revendiqué par les taliban, a été commis en pleine heure de pointe.

Le kamikaze a lancé une voiture bourrée d'explosifs sur le convoi des soldats américains, qui ne faisaient pas partie de l'Isaf (Force internationale d'assistance à la sécurité, sous commandement de l'Otan) mais d'une unité chargée de former l'armée et la police afghanes.

Les quatre GI's blessés sont légèrement atteints, a précisé un porte-parole militaire.

Dans la revendication de cette attaque, le porte-parole des taliban Zabihullah Mujahid dénonce "les forces étrangères d'occupation" et les met en garde contre une recrudescence des attentats suicides "cet été, qui sera pour elles un été de sang".

Bureau de Kaboul et Saeed Ali Achakzai à Spin Boldak, version française Natacha Crnjanski et Guy Kerivel

Coupe de l'UEFA - Un OM sans caractère

Si les Marseillais ont été handicapés par le but encaissé à la fin du match aller, ils ont en grande partie péché au niveau de l'agressivité à Saint-Pétersbourg. Battus 2-0, les Olympiens n'ont jamais contesté la remontée russe. Et peuvent avoir de gros regrets.
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Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Telle est sans doute la moralité de ce huitième de finale de Coupe de l'UEFA qui a vu l'Olympique de Marseille, flamboyant durant les quatre-vingts premières minutes de la double confrontation, se faire remonter trois buts par une équipe du Zenit Saint-Pétersbourg sans génie mais terriblement efficace. A l'arrivée, l'OM a pris la porte et peut se concentrer à plein sur les deux compétitions nationales qui lui restent. A savoir le championnat et la Coupe de France. C'est déjà pas si mal. Mais il y a de quoi enrager.

L'Olympique de Marseille avait tout pour passer l'obstacle. Menant 3-0 après une heure de jeu au match aller, le double finaliste de la C3 (1999, 2004) aurait dû franchir le tour sans encombre. Mais il y a eu cette réduction du score d'Arshavin à la toute fin du match aller et, surtout, ce retour qui a complètement échappé à des Marseillais globalement amorphes et parfois même absents. Sans forcer ni dominer démesurément, les Russes et Pogrebniak, auteur d'un doublé, ont refait leur retard. Un but juste avant la pause (39e), un autre à l'orée des dix dernières minutes (79e) et l'affaire a été pliée sans que l'OM ne le conteste véritablement.

un OM averti n'en vaut pas deux

Depuis deux mois, Marseille avait habitué à mieux. Bien mieux. Mercredi, ça n'a pas voulu sourire. "Nous n'avons pas été capables de produire le jeu habituel de l'OM de ces dernières semaines. Même si au match aller, nous aurions dû inscrire un ou deux buts de plus, nous avons quand même eu des occasions ce soir. Il y a une semaine, nous avions montré que nous étions capables de jouer de très bons matches. Malheureusement, collectivement et individuellement, ce n'était pas le cas au retour. C'est le premier coup dur depuis le 1er janvier. Il faut vivre avec", a relativisé Eric Gerets.

Si le Belge regrette évidemment ce coup de moins bien, il est surtout contrarié par le manque de punch et de pugnacité de ses hommes. "J'ai senti que nous n'avions pas l'agressivité pour gagner le match et mourir sur le terrain comme les autres fois." Une analyse partagée par le président du club, Pape Diouf. "Il nous a manqué l'esprit de guerrier que requiert la Coupe d'Europe. Nous payons cher les étourderies du match aller. Quand on a de l'ambition, on ne peut pas se permettre une telle prestation."

Rendez-vous dimanche

Sur le papier, l'Olympique de Marseille avait pourtant tout pour lui. Mis à part en défense centrale où Julien Rodriguez manque toujours à l'appel, Eric Gerets avait pu aligner son équipe type. Même Mamadou Niang, blessé à l'aller, avait retrouvé sa place sur le flanc gauche de l'attaque. Mis à mal à Moscou au tour précédent après une victoire large à l'aller (3-0, 0-2), le club phocéen était même prévenu. Mais un OM averti n'en vaut toujours pas deux. Des tribunes, il n'a pas fallu longtemps pour le comprendre. Du terrain, les Olympiens ont mis plus de temps. Trop.

"On a pris des buts au moment où l'on ne pensait pas être en danger. C'est un peu désolant, regrette Laurent Bonnart sur le site officiel de l'OM. Le Zenit a montré une autre image et on n'a pas su faire ce qu'il fallait pendant le match au niveau des occasions, qu'elles soient pour ou contre nous. C'est une défaite qui fait mal mais il faut rester optimiste. C'est le football qui veut cela. En ce moment, on joue tout les trois jours, il faut digérer cette défaite et penser dès maintenant au Championnat de France." Dimanche, les Marseillais seront à Lens. Inutile de dire qu'ils seront attendus au tournant.
Maxime DUPUIS / Eurosport

mercredi, 12 mars 2008

NON! l'Amérique n'aime pas ça! le Clan Clinton entre infidélité, banditisme sexuel et prostitution

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3943319267aa6743996e76b50ec4d3e4.jpgBien que très populaire, il est en conflit constant avec le Congrès dominé par les Républicains. Il fait l'objet d’une procédure de destitution qui échoue de très peu, à la suite d’un scandale lié à ses relations sexuelles avec une stagiaire de la Maison Blanche (l'affaire Lewinsky).

USA 2008 : Sen. OBAMA continue sa montée tandis que le Clan Clinton plonge dans le banditisme sexuel et la prostitution

JACKSON, Mississippi - Barack Obama a désormais les yeux rivés sur la Pennsylvanie après s'être imposé mardi dans la primaire démocrate du Mississippi, bénéficiant largement du vote noir dans cet Etat du sud des Etats-Unis.
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Après dépouillement de 92% des circonscriptions, Barack Obama l'a emporté avec 59% des voix contre 39% pour Hillary Clinton. Au total, M. Obama dispose désormais de 1.596 délégués contre 1.484 à la sénatrice de New York, selon un décompte de l'Associated Press. Quelque 2.025 délégués sont nécessaires pour assurer l'investiture à l'un ou l'autre des candidats lors de la convention démocrate de Denver en août prochain.
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Le scrutin du Mississippi était le dernier d'une série de primaires à forte polarisation raciale dans plusieurs Etats du sud du pays. Il s'agissait également du dernier affrontement dans les urnes pour Barack Obama et Hillary Clinton avant le prochain scrutin d'envergure, le mois prochain en Pennsylvanie.

Le sénateur de l'Illinois s'est assuré près de 90% du vote noir selon des sondages de sortie des urnes, mais seulement un tiers environ du vote blanc, reproduisant un modèle qui lui a permis de gagner auparavant les primaires d'autres Etats du sud comme l'Alabama, la Géorgie, la Louisiane ou la Caroline du Sud.

Sa victoire dans le Mississippi devrait permettre à Barack Obama de creuser l'écart avec sa rivale Hillary Clinton en ce qui concerne le nombre de délégués acquis en vue de la convention nationale du Parti de l'âne.

Sur les 33 délégués qui étaient en jeu dans le Mississippi mardi, le sénateur de l'Illinois s'en est déjà assuré 17. Onze autres ont été attribués à Hillary Clinton et cinq restent encore à répartir entre les deux candidats à l'investiture.

"Nous regardons désormais vers la suite de la campagne en Pennsylvanie et ailleurs dans le pays", a déclaré Maggie Williams, directrice de campagne d'Hillary Clinton, dans un communiqué qui félicitait Obama pour sa victoire.

"Je suis persuadé qu'une fois que nous aurons un candidat investi, le parti sera uni derrière lui", a déclaré pour sa part Barack Obama en constatant sa victoire, non sans lancer une pique à l'équipe de campagne adverse pour la façon dont elle s'est récemment comportée à son égard.

"Nous avons été très mesurés dans notre façon d'évoquer la sénatrice Clinton", a-t-il dit. "J'ai tenu à dire que je pensais que la sénatrice Clinton est une personne compétente et que, naturellement, je la soutiendrais si elle devait remporter l'investiture. Je ne suis pas sûr que nous ayons bénéficié de la même approche de la part de l'équipe de campagne de Mme Clinton", a-t-il ajouté sur CNN.

L'issue du scrutin de mardi dans le Mississippi laissant peu de place au suspense avec un Barack Obama donné largement favori, les deux candidats démocrates ont passé une partie de leur journée à faire campagne en Pennsylvanie, prochaine grande étape avec 158 délégués à se partager le 22 avril.

L'amiral William Fallon, commandant US en Irak et Afghanistan, démissionne

WASHINGTON (AFP) - L'amiral William Fallon, le commandant en charge des deux guerres menées par les Etats-Unis en Irak et en Afghanistan, a démissionné mardi après avoir été décrit dans un article de presse comme un farouche opposant à la politique du président George W. Bush face à l'Iran.

Sa démission a immédiatement suscité de nombreuses réactions, notamment de la part des démocrates du Congrès, qui ont laissé entendre que son franc-parler avait pu lui coûter son poste.

Le secrétaire à la Défense Robert Gates a annoncé avoir accepté cette démission "avec réticence et regret", lors d'une conférence de presse surprise au Pentagone.

La démission de l'amiral Fallon intervient quelques jours après la parution d'un article dans le magazine Esquire, affirmant qu'il était en désaccord avec les positions belligérantes de l'administration Bush sur l'Iran.

L'amiral Fallon justifie son départ dans un communiqué en soulignant que "de récents articles de presse suggérant une différence entre mes opinions et les objectifs de la politique menée par le président ont provoqué de la distraction à un moment critique, et ont freiné les efforts du commandement dans la région".

"Je ne crois pas qu'il y ait de différences significatives entre ses vues et celles de l'administration", a commenté M. Gates.

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46 morts dans une série d'attentats et d'affrontements en Irak

BAGDAD (Reuters) - Quarante six personnes, dont 14 membres d'une famille qui revenaient d'un enterrement à bord d'un autocar, ont trouvé la mort mardi en Irak.

Selon le porte-parole des forces britanniques à Bassorah, le car, parti de la ville sainte chiite de Nadjaf, se dirigeait vers Bassorah lorsqu'il a été endommagé par l'explosion d'une bombe de forte puissance, qui, selon des témoins, visait un convoi de l'armée américaine. Le nombre de blessés oscille entre dix et 22, selon les sources.

Des combats entre forces de l'ordre et miliciens de l'"Armée du Mahdi", mouvement fidèle à l'imam chiite Moktada Sadr, ont par ailleurs éclaté à Kout, 170 km au sud-est de Bagdad, vraisemblablement après une tentative d'arrestation d'un milicien.

Le lieutenant-colonel Madjid al Amara, commandant de la force de réaction rapide de la ville, a fait état de 14 morts, dont quatre miliciens, trois enfants et un policier, et de 28 blessés. Le calme semblait revenu à la tombée de la nuit. Des informations contradictoires ont été communiquées au sujet de l'implication éventuelle de l'US Army.

Sadr, dont les hommes se sont soulevés à deux reprises contre l'occupation américaine en 2004, a reconduit en février le cessez-le-feu proclamé pour six mois en août. Dans un communiqué publié ce week-end, l'imam autorise toutefois les miliciens à riposter en cas d'agression.

Un militant palestinien tué par Tsahal en Cisjordanie

TOULKAREM, Cisjordanie (Reuters) - Des soldats israéliens ont tué un militant palestinien du Djihad islamiste lors d'une fusillade mercredi près de la ville de Toulkarem, en Cisjordanie, rapportent des témoins.

Après la mort de Saleh Karkoor, 22 ans, le Djihad islamique a promis de se venger et de frapper "au coeur même de l'entité sioniste".

Une porte-parole de l'armée israélienne a déclaré que le jeune homme avait été pris pour cible après avoir ouvert le feu sur une patrouille de Tsahal qui venait arrêter des activistes palestiniens.

Des armes et des explosifs ont été trouvés sur son cadavre, a-t-elle ajouté.

Une maison a été démolie au cours de l'attaque.

Hazem Blaidy et Mouïn Chadid, version française Guy Kerive

mardi, 11 mars 2008

Wade veut un accord tchado-soudanais mercredi à Dakar

DAKAR (Reuters) - Le Sénégal souhaite que la communauté internationale se porte garante d'un accord de paix tchado-soudanais que le président Abdoulaye Wade voudrait voir signé à la veille du sommet l'Organisation de la Conférence islamique à Dakar.

Dans un entretien accordé à Reuters ce week-end, le chef de l'Etat sénégalais espère que le pacte de Dakar, qui devrait être paraphé mercredi par ses pairs tchadien et soudanais, Idriss Déby et Omar el Béchir, réussisse là où tous les accords précédents ont échoué.

Les deux pays voisins producteurs de pétrole, qui sont à cheval entre l'Afrique arabe et sub-saharienne, s'accusent mutuellement de fomenter des rébellions à leurs frontières, tout particulièrement au Darfour où une guerre civile fait rage depuis 2003.

Le conflit darfourien, accompagné d'exactions à grande échelle qui ont fait plus de 200.000 morts et déraciné 2,5 millions de personnes, déborde largement sur les Etats voisins, dont le Tchad et la Centrafrique, entraînant notamment de vastes mouvements de réfugiés et de déplacés.

Wade, qui fait partie des "sages de l'Afrique" et cherche à jouer les médiateurs dans une série de conflits sur le continent, invite le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, et les chefs d'Etat de l'Union africaine (UA) et de l'Union européenne (UE) à se porter garant du futur accord de paix entre N'Djamena et Khartoum.

"Je les ai impliqués dans le processus de mise en oeuvre ... nous aurons le témoignage, la présence de tiers qui vont garantir la sincérité des uns et des autres", explique-t-il lors d'un entretien accordé au palais présidentiel.

"C'est en cela que je crois que le prochain accord sera un accord définitif".

Le pacte de Dakar devrait être paraphé à la veille de l'ouverture du sommet, jeudi, des 57 pays membres de l'OCI.

Déby et Béchir se sont souvent rencontrés par le passé pour tenter d'aplanir leurs différends qui, à plusieurs reprises, ont failli dégénérer en un conflit armé ouvert.

Mais la série de pactes de non-agression et de promesses de paix signés par le passé par les deux hommes, souvent sous l'égide du Libyen Mouammar Kadhafi ou même de l'Arabie saoudite, ont toujours échoué.

"UN CACHET SOLENNEL"

Déby, dont l'armée vient de repousser in extremis et avec l'aide de la France une offensive de rebelles tchadiens venus de l'Est et qui étaient parvenus jusqu'aux portes de son palais de

N'Djamena, accuse Khartoum de soutenir les insurgés, ce que le Soudan nie.

Selon Wade, le pacte de réconciliation qu'il a préparé comporte non seulement un accord général de non-soutien à des rebelles, mais également des mesures concrètes pour son application.

Il n'a pas fourni de précisions mais a clairement fait comprendre que sa mise en oeuvre engagerait l'UE, l'UA et les Nations unies, qui sont en train de déployer des forces de paix (Eufor et Minuad) de part et d'autre de la frontière tchado-soudanaise pour faire cesser les violences au Darfour et à sa périphérie.

Wade souhaite ainsi "(...) donner au prochain accord, à sa mise en oeuvre, un cachet tout à fait solennel, qui engage même le Conseil de sécurité (de l'Onu), comme cela engage toutes les autres forces qui seront présentes", dit-il à Reuters.

Il reconnaît que l'accord n'implique pas, à ce stade, les rebelles tchadiens qui cherchent à renverser le président Déby, pas plus que les insurgés darfouris qui se battent contre l'armée gouvernementale soudanaise et ses milices arabes alliées.

Wade affirme aussi avoir été sollicité par une partie de l'opposition tchadienne, dont certains rebelles hostiles à Déby, pour favoriser une amorce de dialogue entre eux et le pouvoir sur un accord de partage du pouvoir.

"Le gouvernement du Tchad n'était pas favorable au début, même jusqu'à présent il n'a pas indiqué son accord, mais je pense que nous arriverons à lui faire accepter de discuter pour aboutir à un partage du pouvoir", assure-t-il.

Wade, surnommé par ses compatriotes "Ndiombor" (Le Lièvre, en wolof) en raison de son habilité politique, indique que l'engagement du Tchad et du Soudan à un accord de paix durable n'est que la première étape d'un processus ardu visant à démêler l'écheveau des conflits régionaux à leurs frontières communes.

Version française Jean-Loup Fiévet

Yorongar déterminé à rentrer au Tchad pour affronter Déby

PARIS - L'opposant tchadien Ngarlejy Yorongar a déclaré mardi devant la presse à Paris qu'il rentrerait au Tchad pour poursuivre ses activités politiques. Il s'est dit "très, très inquiet" au sujet d'un autre opposant, Ibni Oumar Mahamat Saleh, porté disparu le 3 février au moment de l'attaque des rebelles à N'Djamena mais qui, contrairement à lui, n'est pas réapparu depuis.

"J'ai de très sérieuses inquiétudes" au sujet de M. Saleh, a expliqué Ngarlejy Yorogar. Selon lui, son collègue a été amené dans la même prison secrète de la capitale mais son arrivée "a été réellement musclée, avec un fleuve de coups de poing, de coups de pied, de coups de crosse". "Soit il est dans un hôpital, tenu au secret, et j'en doute, soit il est mort, soit c'est un miracle."

Le député du Parti fédéraliste a ajouté avoir vu amener dans les mêmes bâtiments "un quatrième chef de parti" mais a refusé de divulguer son identité, disant vouloir vérifier auprès de la famille.

Pour sa part, Ngarlejy Yorongar rapporte avoir été arrêté par "des militaires de la garde présidentielle". "Je connais leur chef de visage. Ils portaient le brassard jaune de la garde présidentielle et de l'armée tchadienne", a-t-il précisé.

"J'ai été enchaîné 24 heures sur 24 pendant 19 jours", après quoi, le 21 février, deux gardes l'auraient emmené dans un cimetière de N'Djamena et auraient tiré "deux coups de feu" qui sont "passés juste à côté" de lui. Il aurait ensuite traversé le fleuve le 22 février sur une pirogue conduite par un paysan et se serait caché pendant plusieurs jours au Cameroun avant de contacter les autorités et d'être transféré à Yaoundé, la capitale, le 2 mars, puis de partir pour la France, où il est arrivé le 6 mars. "Je suis un miraculé plusieurs fois."

"Quatre chefs d'Etat ont intercédé en ma faveur, à ma connaissance", auprès du président tchadien Idriss Déby, a-t-il déclaré: Omar Bongo (Gabon), Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso) et Nicolas Sarkozy (France).

Nicolas Sarkozy assistera mercredi à Bayonne aux obsèques du sergent Polin de l'EUFOR, mort au Soudan

PARIS - Le président Nicolas Sarkozy assistera mercredi aux obsèques du sergent chef Gilles Polin, le soldat français de l'EUFOR mort la semaine dernière lors d'un passage du Tchad en territoire soudanais.

La cérémonie militaire aura lieu à 15h30 à la citadelle de Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques, selon un communiqué de l'Elysée.

Le président sera accompagné par les ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et de la Défense, Hervé Morin. Javier Solana, Haut représentant pour la politique étrangère de l'Union européenne, ainsi que le général Patrick Nash, commandant de l'EUFOR, seront également présents.

A l'issue de la cérémonie, le président de la République rencontrera la famille du défunt, précise le communiqué de l'Elysée.

Membre des forces spéciales, le sergent Polin, qui a été promu au grade d'adjudant à titre posthume, appartenait au premier régiment parachutiste d'infanterie de marine de Bayonne. Déployé dans l'est du Tchad dans le cadre de la force européenne chargée de protéger les réfugiés venant du Darfour, il a été tué lundi après-midi lorsque son véhicule a traversé la frontière avec le Soudan, où il a été pris pour cible. Un adjudant français a également été légèrement blessé dans l'incident.

Le président français avait la semaine dernière "condamné avec la plus grande fermeté l'usage délibéré et disproportionné de la force à l'encontre de soldats de l'EUFOR qui remplissent une mission de protection humanitaire au profit des populations réfugiées du Darfour et des populations tchadiennes déplacées". AP

L’AFRIQUE REPOND A SARKOZY. CONTRE LE DISCOURS DE DAKAR (Editions Philippe Rey, 2008)

Livre présenté ce dimanche 09 mars 2008 à la Foire du Livre de Bruxelles.
Un appel digital pour que cet ouvrage soit publié sous format PDF, et disponible gratuitement sur l’internet !

Une vingtaine d’universitaires, de chercheurs collaborent à une œuvre collective pour répondre au discours officiel tenu par le Président de la république française, le jeudi 26 juillet 2007 à l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar au Sénégal.

Bravo pour ce geste, bravo pour la qualité et la précision des différentes analyses rassemblées dans un ouvrage présenté à Bruxelles, à la Foire du Livre, ce dimanche 9 mars 2008.

Mon propos ne concerne pas le contenu de ce ouvrage, mais son modèle de diffusion.

Je tente ici, en quelques lignes de concentrer cet appel que je lance vers les personnes à la base de cet ouvrage, et à l’éditeur.

* Accessibilité et disponibilité : Accès à l’information, à la réflexion, au savoir collectif, partagé ?

Comment voulez-vous informer cette jeunesse africaine, et mondiale avec un ouvrage qui coûte €19 ?

Quel jeune, étudiant dans une université à Haïti, au Congo ou dans n’importe quel pays ACP est en mesure de payer cet ouvrage ?

Quel enseignant dans un pays ACP peut acheter ce livre et mettre le contenu à la disposition de ses élèves ?

Quel Directeur de Lycée peut acheter quelques exemplaires de cet ouvrage vendu à €19 pour le mettre à la disposition des enseignants de son institution ?

* Traduction / Diffusion / Mondialisation de l’information : Pays ACP + européens + pays d’Asie + l’Australie + le nord et le sud du continent américain, sans oublier nommément les départements et territoires français d’Outre-mer !

A l’heure du digital (mobile) et de toutes les opportunités technologiques associées, publier ce livre sous un format accessible gratuitement serait le meilleur moyen de permettre à la majorité d’accéder à son contenu. De nombreux étudiants et professeurs d’universités peuvent apprécier votre démarche et peuvent contribuer à la traduction de votre réponse (Le livre) dans leur langue officielle, sans avoir à payer de droits de traduction, ni de royalties. Cet ouvrage écrit par des francophones peut être mis à la disposition d’universités. Cet ouvrage peut être traduit dans toutes les langues officielles africaines, et dans toutes les langues de la CEE et plus car le reste du monde peut être concerné !

Nul besoin matériel vous « pousse » à publier un ouvrage collectif vendu à €19, je suis personnellement persuadé que votre démarche n’est mas motivée par une approche mercantile. Différentes formules existent aujourd’hui pour vous permettre de diffuser gratuitement cet ouvrage (Une réponse) sur l’internet en permettant un téléchargement sous format PDF par exemple et avec images d’illustration) en conservant vos droits de propriétés intellectuelles, mais en demandant au reste du monde de participer à la traduction et à la diffusion gratuite de cet ouvrage.

Ce livre a un contenu pédagogique, et pour la première fois dans l’histoire de l’Afrique contemporaine (Corrigez-moi si je me trompe) une vingtaine de chercheurs publient un ouvrage collectif, Bravo !

PS : Dans le cadre de figure de diffusion libre, les personnes qui souhaitent l’imprimer, peuvent le faire et payer du papier recyclé de préférence plus l’encre. Est-il plus économique de payer le livre que d’imprimer 500 pages ?

Est-il plus rentable d’acheter un livre que de le lire (en groupe) sur un écran (Consommation électrique)

Je reste persuadé que la publication libre est socialement plus rentable.

D’autres personnes souhaitent peut-être lire votre réponse sur écran sans impression sur papier !

La diffusion sur l’Internet permet le partage de la bande passante. Tous les sites, les Blogs y compris peuvent partager le téléchargement complet ou par segments. La technologie n’est plus le problème. Les personnes qui ont déjà acheté le livre, peuvent le conserver à titre de collection pour une série très limitée ! A celles et ceux qui possèdent un ordinateur à domicile, la lecture sur écran est possible. Mais, je pense à celles et ceux qui vivent dans des pays économiquement défavorisés. Je n’entre pas dans des considérations qui nous éloignent de cet appel Source Ouverte !

Merci pour votre temps de lecture, et pour une critique bienvenue mais contribuez à la diffusion de ce livre, sous format Source libre !

Veuillez transférer ce courriel à tous les contacts de votre carnet d’adresses !

AFFAIRE KATOUCHA NIANE - Le top model inhumé vendredi prochain à Conakry

NETTALI - Le top model Katoucha Niane sera inhumé vendredi prochain, à Conakry, en terre Guinéene, son pays d’origine. C’est une décision familiale prise de façon consensuelle. Contrairement aux informations diffusées par Associated press (Ap), la dépouille mortelle de la fille de Djibril Tamsir Niane n’a pas encore quitté Paris.
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Les dernières formalités en vue de récupérer la dépouille mortelle de Katoucha Niane sont menées par la famille. L’écrivain Djibril Tamsir Niane et son épouse Aïssata Diallo, parents du défunt top-model sont encore dans la capitale française pour souscrire à ces formalités d’usage.

La dépouille mortelle devra quitter Paris mercredi après autorisation de l’Institut médico-légal de Paris qui a pratiqué l’autopsie. Des investigations sur le corps de la victime ont permis de relancer l’enquête policière. Nettali.com révélait le lundi 3 mars dernier que la thèse de l’homicide volontaire était retenue par la Police judiciaire de Paris, après les premiers éléments du rapport d’autopsie. Outre le visage de l’artiste qui est resté intact, son bassin et ses jambes n’ont pas subi d’altération, confie une source sûre.

Ce qui explique qu’une plainte ait été contre X par la famille du défunt top model. Plainte qui est entre les mains du Doyen des juges d’instruction de Paris. Ce dernier devrait l’imputer à un autre juge d’instruction dans le courant de cette semaine. L’enquête dans le fond devrait aboutir à des inculpations. La Police qui poursuit son enquête a déjà soulevé une piste sérieuse et identifié au moins deux suspects.

Plusieurs artistes ont rendu hommage vendredi passé à la fille de Djibril Tamsir Niane. Parmi elles, Pierre Bergé, Naomi Campbell, Jean-Louis Scherrer, Alexandre Zouari etc. Une forte délégation de la communauté africaine a aussi présenté ses condoléances au couple Niane à Saint-Dénis où il loge.