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lundi, 18 février 2008

Attentats en Afghanistan: plus de 137 morts en deux jours

KANDAHAR, Afghanistan - Un kamikaze qui visait un convoi militaire canadien a fait exploser sa voiture piégée sur un marché très fréquenté du sud de l'Afghanistan lundi, tuant 37 civils, selon les autorités.

La veille, l'Afghanistan avait connu dans la même région son attentat-suicide le plus meurtrier depuis le renversement du régime taliban fin 2001. L'attaque commise dans une foule de plusieurs centaines de personnes, dont des chefs de milices, a fait plus de 100 morts, a déclaré lundi le gouverneur de Kandahar, Asadullah Khalid, alors que le précédent bilan officiel s'élevait à 80 morts.

Ces deux jours ont été les plus meurtriers pour les civils afghans depuis la chute des fondamentalistes.

L'explosion de lundi, qui s'est produite à Spin Boldak, près de la frontière pakistanaise, a par ailleurs blessé une trentaine de personnes, a précisé le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Zemeri Bashary. Trois soldats canadiens ont été légèrement atteints, d'après le gouverneur Khalid. Un porte-parole de la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) de l'OTAN dans le sud de l'Afghanistan, Peter Darling, a déclaré qu'aucun soldat de l'OTAN n'avait été tué.

L'attentat a été revendiqué par le porte-parole des talibans Qari Yousef Ahmadi, selon qui le kamikaze s'appelait Abdul Rahman et venait de Kandahar. Il a affirmé que dix soldats étrangers et "un grand nombre de policiers" avaient été tués, ce que les autorités n'ont pas confirmé.

Ces attentats pourraient signaler un changement de tactique de l'insurrection car elle évite généralement de tuer des civils innocents. Le pays a connu un niveau de violence record en 2007, et analystes et militaires s'attendent à une année 2008 encore plus sanglante. AP

Dakar:CONTACT AVEC LES AMBASSADES DES PAYS MEMBRES DE L’OCI : L’Imam Mbaye Niang va guerre contre l’homosexualité et l’Etat du Sénégal

C’est un Imam Mbaye Niang très amer qui a fait face à la presse samedi 16 février au siège du Mouvement de la réforme et pour le développement social (Mrds) sis à la Scat-urbam. Il rumine encore la marche qui, selon lui, avait été autorisée avant d’être interdite, a été réprimée durement vendredi dernier. Le député du Mrds ne désarme pas et compte dénoncer davantage l’homosexualité au Sénégal.

Imam Mbaye Niang veut aller se plaindre auprès des représentations diplomatiques des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique. « Après la sensibilisation des guides religieux et des populations. Dès lundi, nous allons élaborer et commencer à dérouler un autre plan d’actions dont les points saillants sont des contacts avec les ambassades des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique (Oci) établies au Sénégal », a lancé le secrétaire général du Mrds. Les responsables de ce parti ont estimé qu’on ne peut pas comprendre qu’un gouvernement qui va organiser d’ici trois à quatre semaines un sommet, qui doit regrouper presque tous les musulmans du monde et qui se permet d’offenser la religion pour laquelle cette rencontre est organisée. « On ne peut pas non plus comprendre que le gouvernement profane des lieux de cultes. Les forces de l’ordre étaient bel et bien dans l’enceinte de la mosquée », s’est offusqué Imam Mbaye Niang. Il a ajouté qu’il y a eu des échanges de pierres et de gaz lacrymogène, c’est ce qui a, selon lui, peut être poussé les policiers à défoncer les barrières pour entrer dans la cour de la mosquée et à frapper les gens. « C’est la deuxième fois que cela se produit. La première fois, c’était à la cathédrale de Dakar avec l’affaire Jean Paul Dias qui allait être arrêté à l’intérieur même du lieu de culte et cette fois à la grande mosquée de Dakar. Les Sénégalais l’avaient à l’unanimité condamnés », a-t-il rappelé.

Le député en veut aux homosexuels. Il a pensé que les peines prévues par le droit pénal sénégalais contre l’homosexualité, ne sont pas suffisamment répressives. C’est pour cette raison qu’il a prévu de déposer une proposition de loi à l’Assemblée nationale pour corser davantage ces peines. Pour rappel, le droit pénal sénégalais prévoit des sanctions contre l’homosexualité allant de 5 ans d’emprisonnement et de 10 000 à 1 500 000 FCfa d’amende. Le leader du Mrds est revenu largement sur les conditions d’organisation de la marche et la manifestation en tant que telle. « La marche du vendredi a été belle et bien autorisée par le préfet de Dakar. Je persiste et je signe. Nous avons obtenu de lui un consentement verbal ce que nous pouvions attendre de lui. Nous lui avons demandé : est ce que nous pouvons continuer nos activités, notre préparation de la marche ? Il a répondu oui », a-t-il expliqué. Et de déplorer que « dans notre pays, la démocratie et l’Etat de droit dont on parle tant sont toujours violés par les pouvoirs publics ».

Imam Mbaye Niang a expliqué qu’il avait été décidé en réunion de coordination que si la marche n’était pas autorisée, elle allait être annulée et en lieu et place : une conférence de presse allait être organisée. « Il faut toutefois que reconnaître que cette interdiction que nous avons apprise aux alentours de 11heures, nous a vraiment prise au dépourvu et c’est pour cette raison qu’on a été débordé. Au moment de notre rassemblement à l’intérieur de la grande mosquée, il y a des gens qui sortaient parce qu’ils n’étaient pas au courant de l’interdiction de la marche. Arrivés vers la Rts, les éléments de la police ont commencé à charger. J’ai suivi la foule jusqu’à ce niveau et j’ai aussi reçu une grenade lacrymogène », a-t-il indiqué.

Le secrétaire général du Mrds a affirmé que « les pouvoirs publics sont en train d’agresser les musulmans dans leur foi, dans leur croyance. C’est un manque de respect vis-à-vis de la religion musulmane parce que l’homosexualité est dénoncée, condamnée par l’Islam. Quelque soit les fait les pressions, qu’ils peuvent recevoir de l’extérieur, il n’y a absolument rien qui peut primer sur la volonté populaire. Libérer les homosexuels c’est les protéger. Les Sénégalais sont déterminés à combattre l’homosexualité et toutes les dépravations. Il faut que les pouvoir publics le sachent ».

Rappelons que c’est suite à la libération des homosexuels du pseudo mariage gay à Petit Mbao dans la banlieue de la capitale que le député Imam Mbaye Niang avait entrepris de dénoncer l’homosexualité au Sénégal soutenu en cela des dignitaires religieux du pays.

Auteur: Ibrahima Lissa FAYE

Indépendance du KOSOVO

Kosovo : le Conseil de sécurité constate à nouveau sa division

Le Conseil de sécurité de l’ONU a de nouveau constaté son désaccord sur le Kosovo, entre la Russie, opposée à sa proclamation d’indépendance, et les pays occidentaux qui l’acceptent, selon les déclarations des diplomates. « Les différences d’opinion que nous connaissions déjà sont restées fondamentalement les mêmes », a déclaré à la presse l’ambassadeur du Panama, Ricardo Alberto Arias, président du Conseil pour février, à l’issue d’une réunion d’urgence convoquée à la demande de la Russie. « Aucun pays n’a soutenu la demande de la Russie d’annuler la proclamation d’indépendance du Kosovo », a déclaré pour sa part l’ambassadeur de Grande-Bretagne, John Sawers.

Heurts entre policiers et militants à Belgrade

Des incidents ont éclaté dimanche soir dans la capitale serbe, Belgrade, où des échauffourées ont opposé plusieurs centaines de militants ultra-nationalistes aux policiers anti-émeutes, notamment devant l'ambassade des Etats-Unis, quelques heures après la proclamation d'indépendance du Kosovo. Une trentaine de personnes, dont une quinzaine de policiers, ont été blessées, selon des responsables hospitaliers. Les vitres de deux restaurants McDonald's du centre-ville ont été brisées par les protestataires, présentés par les autorités comme des hooligans. La police anti-émeutes a tiré des balles en caoutchouc, lancé des grenades lacrymogènes et donné des charges à coup de matraque pour disperser les manifestants. Les émeutiers ont également lancé des pierres sur l'ambassade de Slovénie, pays qui exerce actuellement la présidence tournante de l'Union européenne.

Pédophilie:L’avocat de Julie et Melissa inculpé

L'avocat liégeois Me Victor Hissel a été inculpé de détention de matériel photo et vidéo à caractère pédo-pornographique, annoncent lundi matin Vivacité et la Première. Me Victor Hissel avait défendu les familles Russo et Lejeune ainsi que les Comités blancs lors de l'éclatement de l'affaire Dutroux en 1996. Son inculpation intervient dans la foulée de l'opération internationale Koala qui prend sa source en Australie et qui a conduit chez nous à l'arrestation d'un père de famille brugeois. Ce dernier mettait sur la toile la mise en scène des relations sexuelles qu'il imposait à ses propres filles de 6, 8 et 10 ans. L'opération a permis d'identifier une liste d'adresses informatiques qui ont été passées au crible. L'avocat liégeois se trouvait derrière l'une d'elles.

Ligue 1 - L'OM plane, Paris abdique

Mené 1-0, Marseille a eu raison du PSG (2-1) grâce à des buts de Niang et Taiwo. L'OM, qui a affiché de grosses ressources mentales dimanche, est désormais à trois points de Nancy, 3e. Paris reste scotché à la 16e place, à trois points du premier relégable à l'issue de la 25e journée de Ligue
d478149b299ed34c5e68f7cd32835764.jpgLA DECLARATION : Eric Gerets (entraîneur Marseille)

"Il faut savoir gagner un match où on n'est pas à son meilleur niveau, ce qui était le cas ce soir. Mais je dois dire que cette victoire est méritée après ce que l'équipe a montré suite au but parisien. Elle a décidé de ne pas se laisser faire. Il y a eu du suspense jusqu'à la fin, même si on ne peut pas dire que l'on ait souffert. (Sur son premier OM-PSG) C'est spécial, surtout avant le match. Derrière le but, c'était beau. C'est une semaine de rêve, maintenant il faut voir les dégâts. Il y a eu beaucoup de bobos."
Alix DULAC / Eurosport

Sarkozy dans toutes les sauces sauf au pouvoir d'achat des français:Hollande demande à Sarkozy de retirer son projet sur la Shoah

PARIS (Reuters) - François Hollande a souhaité dimanche que Nicolas Sarkozy retire son projet sur la mémoire de la Shoah, qu'il avait dans un premier temps salué, et soumette au débat une nouvelle proposition à même de favoriser un consensus.

"Je constate qu'il y a aujourd'hui du dissensus, de la polémique là où il devrait y avoir rassemblement. Quand on fait ce constat-là, le mieux (...) c'est de retirer la proposition telle qu'elle a été énoncée et de mettre en débat une autre initiative", a dit le premier secrétaire du Parti socialiste au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro.

"Ce que j'ai découvert, c'est qu'il n'y avait eu aucune préparation, aucune discussion, aucune délibération. Avant de lancer une initiative comme celle qu'a prise Nicolas Sarkozy, il eut fallu entendre, comprendre, faire une proposition", a-t-il estimé.

"La proposition n'a pas été suffisamment réfléchie, pensée, l'initiative n'a pas été préparée, elle a été improvisée. A partir de là, il faut la retirer et éviter qu'il y ait des risques de troubles", a-t-il répété.

"Le devoir de mémoire, il faut le permettre, le favoriser (...), mais il faut que les conditions qui puissent être réunies sur une initiative comme celle de Nicolas Sarkozy soient débattues, discutées, préparées", a-t-il expliqué.

"Les conditions, c'est d'abord que les juifs eux-mêmes, et notamment la Fondation pour la mémoire de la Shoah dont Mme Simone Veil est la présidente d'honneur, puisse exprimer un souhait et une implication. De la même manière, il faut que les enseignants puissent être associés à une telle initiative", a précisé François Hollande.

Dans un entretien au Journal du Dimanche, Emmanuelle Mignon, directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy, déclare que l'Elysée est déterminé à mener à bien son projet de parrainage d'enfants victimes du nazisme par des élèves de CM2.

Dans un infléchissement, elle précise toutefois que la mémoire d'un enfant victime de la Shoah pourrait être confiée à une classe entière.

Sophie Louet

France:Villiers-le-Bel: plus d'un millier de policiers mobilisés pour identifier les tireurs des émeutes de novembre

VILLIERS-LE-BEL - Plus d'un millier de policiers ont investi lundi matin différentes cités de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) et des communes environnantes dans le cadre de l'enquête sur les émeutes qui avaient eu lieu les 25 et 26 novembre dernier, a-t-on appris de source policière.
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Des CRS mais également des enquêteurs de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles, de la Sécurité publique du Val-d'Oise et de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) devaient interpeller une quarantaine de suspects, déjà connus pour la plupart des services de police.

Certains sont soupçonnés d'avoir tiré sur des policiers lors des affrontements qui avaient suivi la mort de deux adolescents percutés par un véhicule de police. Dix fonctionnaires avaient été blessés par des plombs tirés par des fusils de chasse ou fusils à pompe notamment lors de la seconde nuit d'émeutes.

Deux chefs de bandes âgés d'une trentaine d'années sont particulièrement visés. "Ils ont organisé les émeutes et indiqué aux jeunes comment se placer, comment tirer sur les forces de l'ordre qui étaient attirés dans des endroits ou très éclairés ou très sombres", indique-t-on de source policière. "C'était une organisation quasi-militaire. Ils voulaient clairement se faire du flic".

Agissant dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "tentative d'homicide volontaire", les enquêteurs ont interrogé près de 145 CRS mobilisés pour les opérations de maintien de l'ordre afin d'identifier des suspects. Des "tuyaux" ont également été donnés par les Renseignements Généraux. Un appel à témoins assorti d'une récompense avait été lancé par la Brigade criminelle de la DRPJ de Versailles qui promettait une récompense pour toute information permettant d'identifier les responsables de ces exactions. "Cela a été fructueux et a permis de confirmer des doutes au sujet de certaines personnes", précise t-on de source policière.

Des écoutes téléphoniques ont également permis de cibler plusieurs personnes soupçonnées d'avoir commis d'autres délits. Ce qui pourrait amener le parquet à ouvrir des procédures incidentes pour différentes infractions dont "escroquerie, infractions à la législation sur les stupéfiants, trafic de faux documents administratifs, etc".

Cent-trente policiers avaient été blessés durant les émeutes urbaines survenues dans cette ville du Val-d'Oise. Nicolas Sarkozy avait ensuite dénoncé les actes commis par la "voyoucratie" et promis les assises aux responsables de ces "tentatives d'assassinat".

Après l'accident qui avait coûté la vie à deux jeunes de Villiers-le-Bel qui circulaient sans casque sur une moto non autorisée à circuler sur la voie publique, une information judiciaire pour "homicide involontaire" avait été ouverte peu après. Les policiers à bord du véhicule accidenté avaient été rapidement mis hors de cause par l'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

Le procureur de la République de Pontoise devait tenir une conférence de presse lundi à 9h30 pour donner les grandes lignes de cette vaste opération policière. AP

xveg/ma

dimanche, 17 février 2008

Le vrai Lion Indomptable Muhammed Ali

LEGISLATION ANTIHOMOSEXUALITE AU SENEGAL: L'Imam Mbaye Niang veut durcir la loi

Le député et secrétaire général du Mouvement de la réforme pour le développement social (Mrds), Imam Mbaye Niang n'entend baisser les bras après l'interdiction de la marche qu'il avait initiée pour ce vendredi à Dakar contre l'homosexualité et la libération des gays arrêtés il y a quelques jours.


LEGISLATION ANTIHOMOSEXUALITE: L'Imam Mbaye Niang veut durcir la loi
M. Niang revient à la charge dans sa croisade anti-gay en annonçant qu'il va déposer une proposition de loi à l'assemblée nationale pour durcir les peines contre l'homosexualité, rapporte ce samedi la radio futurs médias (Rfm). Le Droit pénal sénégalais prévoit des sanctions contre l'homosexualité passible de 5 ans d'emprisonnement et de 10 000 à 1 500 000 fcfa d'amende. Par ailleurs, les personnes interpellées le vendredi à la suite d'une marche improvisée et des manifestations anti-gay ont été libérées. Après la prière musulmane de 14 heures du vendredi à la grande mosquée de Dakar, des gens ont voulu passer outre la mesure d'interdiction par le préfet de la capitale de la marche. Les manifestants ser sont heurtés à la police qui a usé de lacrymogène pour les disperser.

Rappelons que c'est suite à la libération des homosexuels du fameux "mariage" gay à Petit Mbao (environ 20 km de Dakar) que le député Imam Mbaye Niang avait entrepris des démarches pour dénoncer l'homosexualité au Sénégal soutenu en cela des dignitaires religieux du pays.

Source: Nettali

Yves Leterme quitte les soins intensifs

Yves Leterme, toujours hospitalisé à l’hôpital universitaire de Louvain, a quitté les soins intensifs ce matin, a annoncé son porte-parole. Il n’y a encore aucune précision sur le moment où le vice-premier ministre pourra quitter l’hôpital.

Le vice-premier ministre CD&V Yves Leterme, toujours hospitalisé à l’hôpital universitaire Gasthuisberg de Louvain, a quitté les soins intensifs dimanche matin, a annoncé son porte-parole. Il y a été admis jeudi matin, à la suite d’une hémorragie interne du système gastro-intestinal

L’équipe médicale qui suit Yves Leterme a décidé ce dimanche qu’il n’était plus nécessaire de le maintenir aux soins intensifs. Le vice-premier ministre a été transféré dans une chambre normale. Toutefois, pour lui garantir un repos indispensable, les visites restent limitées, précise le porte-parole dans un communiqué.

Il n’y a pas encore de précisions sur le moment où M. Leterme pourra quitter l’hôpital.

(D’après Belga)

Kenya: le pouvoir rejette toute ingérence avant la visite de Mme de Rice

NAIROBI (AFP) - Le gouvernement kényan a réitéré dimanche son refus de toute ingérence extérieure dans le règlement de la crise post-électorale, dans une allusion voilée à la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice qui vient lundi à Nairobi prôner un partage du pouvoir.

"Nous encourageons nos amis à nous soutenir, à nous encourager, mais pas à faire l'erreur de pointer un pistolet sur la tempe de quelqu'un et de dire +c'est ça ou rien+, parce que ça ne peut pas marcher", a déclaré le ministre kényan des Affaires étrangères, Moses Wetangula.

Le ministre est membre de la délégation du camp présidentiel aux pourparlers gouvernement-opposition organisés sous la médiation l'ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan.

Mme Rice est attendue lundi dans la capitale kényane où elle doit notamment s'entretenir avec le président réélu Mwai Kibaki et l'opposant Raila Odinga.

M. Odinga accuse le chef de l'Etat d'avoir fraudé pour lui voler la victoire à la présidentielle du 27 décembre. Les violences qui ont suivi le scrutin ont fait un millier de morts.

Mme Rice, dêpéchée à Nairobi par le président George W. Bush, entend faire pression sur les rivaux kényans pour qu'ils acceptent un accord de partage du pouvoir, également recommandé par le médiateur de l'UA, M. Annan.

Dimanche, M. Bush a toutefois assuré qu'il voulait pas "imposer" une solution au Kenya, après s'être entendu à Dar es Salaam avec son homologue tanzanien Jakaya Kikwete, qui assure la présidence tournante de l'Union africaine (UA).

Affrontements dans la Bande de Gaza: quatre morts et huit blessés

GAZA, Bande de Gaza - Des affrontements entre des soldats israéliens, appuyés par des avions et des chars, et des Palestiniens armés ont fait quatre morts et huit blessés dimanche dans le sud de la Bande de Gaza, selon un représentant des services sanitaires.

Par ailleurs, un activiste du Hamas, touché lors d'un raid aérien de Tsahal la semaine dernière, est décédé des suites de ses blessures.

L'armée israélienne a précisé que l'opération de dimanche visait des militants qui procèdent régulièrement à des tirs de roquettes et d'obus de mortier en direction du sud d'Israël. Elle a confirmé que des raids aériens avaient été menés mais n'a pas fourni plus de détails.

Selon le Hamas, les affrontements ont éclaté vers 1h locales après l'entrée d'unités israéliennes dans des maisons à l'est de la ville de Rafah. Des chars et des bulldozers ont apporté un soutien aux militaires, et des avions israéliens ont mené deux raids, d'après le Mouvement de la résistance islamique qui a fait état d'au moins 25 arrestations.

Le Dr. Moaiya Hassanain du ministère de la Santé de la Bande de Gaza a expliqué qu'un militant du Jihad islamique avait été tué et que huit autres activistes armés de ce groupe et du Hamas avaient été blessés dans les tirs et les raids aériens de Tsahal. Trois militants du Mouvement de la résistance islamique sont également morts. AP

samedi, 16 février 2008

Répression contre la marche des anti GUY à Dakar

Les obsèques d'Henri Salvador auront lieu ce matin

Les obsèques d’Henri Salvador se dérouleront ce matin à 11 heures à l’église de la Madeleine, à Paris. De nombreuses personnalités du monde de la musique et de la politique sont attendues pour la cérémonie religieuse. Le président Nicolas Sarkozy devrait être présent.

Henri Salvador, doyen des artistes français, est mort à son domicile parisien d'une rupture d'anévrisme le 13 février dernier. Né en 1917 en Guyane, il avait eu 90 ans le 18 juillet dernier. Henri Salvador était connu et apprécié des français pour ses chansons populaires qui restent fredonnées par des générations de Français (Syracuse, Le loup, la biche et le chevalier, Le Lion est mort …).

Nicolas Sarkozy, qui revenait justement de Guyane, la terre natale d'Henri Salvador, avait exprimé son « infinie tristesse ». Pour le chef de l’état, « il a incarné avec humour et élégance, pendant plus d'un demi-siècle, l'art de l

Cécilia et Richard Attias : un diner en ville avec Rachida Dati

af8db48f05361f99cce26474c33d5bb6.jpgJeudi soir, chez Dessirier, le restaurant de poissons du 17e arrondissement de Paris, les clients ont eu la surprise de voir prendre place autour d' une même table un trio étonnant. L'ex Cécilia Sarkozy était accompagnée de Richard Attias, son nouveau compagnon, et leur invitée n'était autre que Rachida Dati, rapporte Le Parisien.

Cécilia ex Sarkozy et Richard Attias : la date et le lieu de leur mariage se précisent...

Ils vivent aujourd’hui leur amour au grand jour et s’apprêteraient même à convoler en justes noces…

On croise souvent Cécilia Ciganer-Albeniz, ex épouse de Nicolas Sarkozy, et Richard Attias en ce moment à Paris. Après leur dîner au Plaza Athénée et leur voyage à Fès (voir news), ils ont été vus à La grande armée et d' autres restaurants chics de la capitale. Leur emploi du temps ? Ils font leurs courses à Neuilly sur Seine, rue de Chartres, puis regagnent leur appartement du XVIIe en toute quiétude. Leur mariage serait programmé, en famille, à New York, début mars.

Cécilia avait déclaré au magazine Elle : " J'ai pris mes pinceaux pour peindre une nouvelle histoire..."

Elle ne va utiliser que des tons pastels.

Plus d'infos et voir les photos sur Purepeople.com

vendredi, 15 février 2008

Burkinafaso chante le Premier Migrant français:Nicolas Sarkozy

USA 2008 to Barack, Yes We Can

KARIM WADE, JEAN SARKOZY: Ces fils de princes qui nous pompent l'air.

Karim Wade, Jean Sarkozy. Qu'ont-ils en commun. Apparemment rien. Sauf un certain cordon ombilical avec le pays de Marianne ; d'être les fils de pères président de la République et, d'avoir, dit-on, des ambitions, avouées ou cachées, de suivre les pas de leurs paternels. Mais en politique, sous les cieux de vraies Républiques ou de Républiques tropicales, le hasard est une donnée improbable et hasardeuse. L'un a 21 ans (Jean Sarkozy, l'autre flirte avec la quarantaine. L'un est, nous dit on, banquier, l'autre, étudiant en droit et apprenti comédien. Des fonctions facilement reliables par un petit filet d'unités de valeur dans une quelconque faculté parisienne ou londonienne.
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Le père de l'un, Me Wade, galéra longtemps et connut les affres de l'opposant tropical. L'autre fit irruption dans la politique à la vitesse supersonique dans les années 80 et sous le magistère du gaulliste Chirac. Gaullisme qu'il méprisa et, à la hussarde, saborda le Rpr chiraco-gaullien pour créer une machine de guerre de pouvoir, Ump. Socialiste d'origine, Me Wade claqua la porte de ce dernier, avatar du passé socialiste du président poète Senghor pour , dit il, tropicaliser le libéralisme anglo- saxon sans pour autant jamais couper les ponts avec la matrice fondatrice. Cet amour-haine, rupture-connexion trouva refuge dans un parti dit de « contribution ».


Le père de l'autre, Nicholas Sarkozy, tout aussi pressé que son clone tropical, gravit les marches du pouvoir en parsemant son parcours de trahisons et de coups tordus en guise de bornes kilométriques. Il terrorisa la France des droits de l'homme pour déboulonner de ses prairies racistes le facho Lepen ; améliora les charters de Chirac et de Mitterrand, assassina le nationalo-gaullisme pour un atlantisme américain des plus soumis au mirage de la puissance du texan Bush. Et la France, fatiguée des socialistes sans Mitterrand et du gaullisme mou d'un Chirac à bout de souffle, choisit l'homme pressé nommé Sarkozy. Huit ans plutôt, à six milles kilomètres de là, des « goorgoorlu » fatigués d'un socialisme « cadavéré », choisirent un « Pape » aux sermons démagogiques. Le jeune franco-hongrois voit sa trajectoire supersonique décliner depuis quelques semaines dans les sondages.


Les français, semble t-il, commencent à se fatiguer d'un président-people aux accointances et aux amours par trop exhibitionnistes. A « sunugaal » aussi, un certain président, arrivé sur le tard au pouvoir, décline dangereusement dans le cœur de ceux qui l'adulaient hier. Même si aucun sondage ne peut l'attester puisqu'interdit en son royaume libéralo-autoritaire. Les fils alors. Le nôtre est présent partout par la grâce de son père de président amenuisant chaque jour davantage notre oxygène vital par les vents de poussière de « ses » chantiers « concrets » en route vers la mégalomanie. « Tonitruyamment » discret il est de toutes les sauces nationales, accusé par ses ennemis intimes de faire et de défaire des carrières et des ambitions du seul fait de sa filiation génético-républicaino-dynastique. (ne surtout pas chercher dans le dico, ce machin n'est pas agréé par la communauté des Savants).


On dit, (sans doute abusivement puisque lui est motus bouche cousue) qu'il rêve tous les matins en contemplant sa calvitie héréditaire devant la glace, comme l'homologue de son père il y a quelques mois, de régner un jour pas lointain, sur le trône de son père, notre président à tous. Malgré nous. Comme tous les fils de rois, on lui attribue de desseins maléfiques et obscurs ; de pouvoirs supra-humains ; de manigances souterraines quotidiennes ; et , comme tous les intrigants, d'irriguer les rares espaces républicains qui restent encore, de ligues mafieuses chargées le jour (pas si lointain) venu, d'aller à l'assaut d'un trône laissé vacant par un père vaincu par l'âge et/ou par une de ces nombreuses maladies dites de vieillesse.


Son clone outre atlantique, là-bas, dans la France des gaulois rancis, un certain Jean –De Nicholas-Sarkozy Junior, suivant en cela les pas d'un pater tout d'intrigues fait, a fait la « Une » d'une France qui s'endormait, anesthésiée par une « love story » de son Don Juan de père : pour arriver demain sur le trône de Sarkozy premier, il tenta une Opa sur la très bourgeoise Neuilly, canton parisien qui fut le marche pied de son père dans la voie qui le mena à l'Elysée. Notre Karim national, pour sa part, on lui attribue (comme d'habitude) de vouloir faire main basse sur « Dakar-le –Sénégal ». Pour se faire la main avant la conquête du Palais. S'il survit bien sûr à la réussite ou à l'échec de « ses » grands chantiers. Les chantiers de son père je veux dire. « Alors seulement, je dirai à ton peuple, que tu as bien travaillé et, que tu es le Souverain qu'ils attendent ». Amen !

Source: African Global News