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vendredi, 24 avril 2009

Van Gaal futur sélectionneur des Diables?

Parmi les autres noms cités par la presse figurent notamment les Belges Hugo Broos, Marc Wilmots et Jean-François De Sart ainsi que le Roumain Laszlo Boloni actuellement au Standard de Liège. pict_174845.jpg
Le Néerlandais Louis Van Gaal, champion des Pays-Bas cette saison avec AZ Alkmaar, a été contacté par la Fédération belge de football (URBSFA) qui cherche un nouveau sélectionneur pour l'équipe nationale après le limogeage de René Vandereycken, selon la presse locale.

D'après le quotidien flamand Het Laatste Nieuws, des dirigeants de l'URBSFA se sont rendu mercredi aux Pays-Bas pour rencontrer Van Gaal. Sous contrat avec AZ jusqu'en juin 2010, Van Gaal pourrait cumuler sa fonction d'entraîneur de club avec celle de sélectionneur. "Ce n'est pas l'idéal, mais pour certains candidats, c'est une option", a affirmé le président de la Fédération belge François De Keersmaecker.

Limogé début avril, après trois saisons en poste, Vandereycken (55 ans) n'était pas parvenu à qualifier la Belgique pour l'Euro-2008 et l'équipe belge, quatrième (avec 7 points sur 18) du groupe 5 des qualifications pour le Mondial-2010 actuellement dominé par l'Espagne, n'a quasiment plus aucune chance de qualification pour la compétition qui se déroulera en Afrique du Sud.

Contacté par l'URBSFA, l'actuel entraîneur de Marseille, Eric Gerets, avait décliné l'offre la semaine dernière. Michel Preud'homme (La Gantoise) a également décliné. Parmi les autres noms cités par la presse belge figurent notamment les Belges Hugo Broos, Marc Wilmots et Jean-François De Sart ainsi que le Roumain Laszlo Boloni actuellement au Standard de Liège.

M. Obama a exprimé la colère des Américains directement auprès de patrons ou de hauts dirigeants d'American Express, Visa, MasterCard, Bank of America, au total de 13 banques et institutions émettrices de cartes de crédit.

Washington -- Le président Barack Obama s'est fait hier le porte-parole des nombreux Américains pris à la gorge par les sociétés de cartes de crédit en soutenant une réforme mettant fin aux abus et protégeant mieux les consommateurs dans un pays où le crédit est roi.
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M. Obama a exprimé la colère des Américains directement auprès de patrons ou de hauts dirigeants d'American Express, Visa, MasterCard, Bank of America, au total de 13 banques et institutions émettrices de cartes de crédit.

Le président a plaidé pour ces gens qui «commencent avec des taux d'intérêt bas et qui, d'un seul coup, se retrouvent avec des taux qui ont doublé, des frais dont ils ignoraient tout et qu'on rajoute soudain sur leurs factures, un manque complet de clarté et de transparence dans les termes» de leurs contrats.

«Il faut des protections fortes et fiables, qui interdisent pour les consommateurs les hausses de taux injustes, les frais et les pénalités abusifs, je pense que le temps des hausses des taux à n'importe quel moment, pour n'importe quelle raison, doit prendre fin», a-t-il dit à l'issue de ces entretiens à la Maison-Blanche avec les représentants d'une industrie hostile à une telle réforme.

«Notre administration va pousser à la réforme», a-t-il dit, se mêlant ainsi à un effort inédit pour réécrire les règles de conduite des sociétés de crédit.

Une commission de la Chambre des représentants a adopté mercredi un texte de loi contre les hausses arbitraires des taux d'intérêt et les pénalités excessives. Le texte pourrait aller devant la Chambre au complet la semaine prochaine. Un autre devrait être débattu au Sénat. Son sort est plus incertain, et il faudra aux deux chambres s'entendre sur une législation commune.

Hier, deux influents sénateurs démocrates, Christopher Dodd et Charles Schumer, ont appelé la banque centrale à imposer un gel immédiat des taux d'intérêt des cartes de crédit.

Grands principes

M. Obama qui, depuis son investiture en janvier, a beaucoup vitupéré au nom des Américains contre l'appât du gain de Wall Street, n'a pas expressément soutenu le texte de la Chambre. Il a indiqué que son gouvernement allait travailler à la réforme avec le Congrès.

Mais il a exposé à ses hôtes les grands principes de nouvelles règles de conduite. Outre la protection des consommateurs, tous les formulaires devront être rédigés de façon compréhensible et lisible: «Finies les clauses de bas de page; finis les termes et les conditions confuses».

Les consommateurs doivent pouvoir faire jouer la concurrence, et les sociétés qui violent la loi doivent sentir «peser tout le poids» de la loi, a-t-il dit.

Avec la crise et la suppression de plus de cinq millions d'emplois depuis le début de la récession en décembre 2007, un nombre record d'Américains sont en retard sur le paiement de leurs factures de carte de crédit, voire incapables de les payer. Pour se protéger, les organismes augmentent les taux d'intérêt jusqu'à près de 30 % et coupent les lignes de crédit. Les organisations de consommateurs s'indignent aussi d'une réécriture permanente des règles.

Mais les sociétés de cartes de crédit font de la résistance. Elles disent que si elles augmentent leurs taux, c'est en raison du risque accru en période de crise. Elles font valoir que si elles ne peuvent pas faire payer les consommateurs à risque, elles devront faire payer tout le monde.

Et au moment où M. Obama tente de relancer la consommation, elles mettent en garde contre toute initiative qui limiterait l'activité de crédit.

Obama en maillot de bain enflamme Washington

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| La photo d'Obama simplement vêtu d'un short de bain, publiée en Une du prochain numéro du magazine Washingtonian avec la légende "Notre nouveau voisin est chaud", suscite la polémique.

Cette photo fait partie d'un dossier de l'édition de mai du mensuel, intitulé "26 raisons d'aimer vivre ici". Barack Obama est la raison numéro deux.

La photo, prise à Hawaii peu après l'élection présidentielle, le montre plutôt à son avantage: on y voit le président américain, l'allure athlétique, en train de marcher vêtu d'un maillot de bain rouge, lunettes de soleil sur le nez.

Il n'en fallait pas davantage pour enflammer les Américains. "Entre les courriers électroniques, les coups de téléphones, les commentaires sur les blogs (...) nous avons des réactions par centaines", explique à l'AFP le journaliste politique du magazine, Garrett Graff.

"Les commentaires sont très partagés: un grand nombre de personnes pensent que c'est une chouette photo pour célébrer le président, d'autres ne sont pas d'accord", ajoute-t-il.

Cette couverture n'a pourtant rien de choquant selon M. Graff: "Nous avons essayé de capter (...) ce qu'il y avait de sympa à être ici en ce moment", a-t-il dit. Quant à la légende "Notre nouveau voisin est chaud", c'est du "second degré", dit-il.

Tout le monde ne l'a pas compris comme ça, si on en croit les commentaires publiés sur le site de la revue.

"Les directeurs du Washingtonian devraient avoir honte", s'emporte Kristin. "Il est censé être le président des Etats-Unis, pas une pin-up", lâche Dennis, alors qu'Annon se réjouit d'avoir "annulé (son) abonnement au Washingtonian".

Côté réactions positives, Joyce apprécie et promet d'acheter le magazine dès sa sortie. "Quel homme!", dit l'internaute à propos du président. Krissy avoue pour sa part "adorer" la photo et Pammie la trouve "fantastique".




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jeudi, 23 avril 2009

Sénégal:TIRANT UN BILAN SATISFAISANT AUX LOCALES ,L’Apr réaffirme son ancrage dans l’opposition

Pour avoir contrôlé 18 Collectivités locales au sortir des élections locales du 22 mars dernier, l’Alliance pour la République a tiré un bilan satisfaisant de sa participation. Elle va continuer sur la voie de l’opposition, selon son porte-parole, Seydou Guèye.
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Après avoir tiré un bilan satisfaisant de sa participation aux élections locales, du 22 mars dernier, l’Alliance pour la République (Apr) de Macky Sall a réaffirmé son ancrage dans l’opposition.

« Le retour à la case départ, c’est l’obstination des journalistes. Chaque fois qu’on a eu l’occasion, nous avons apporté des réponses claires, puisque le projet de l’Apr n’est pas une perspective libérale », a déclaré, hier, lors d’un point de presse le porte-parole Seydou Guèye.

Citant le leader de son parti, M. Guèye insiste : « nous ne regardons pas dans le rétroviseur », soulignant que « l’Apr est un parti qui est porteur de transformations sociales et économiques ».

Les responsables de l’Apr sont manifestement dopés par les résultats du scrutin du 22 mars dernier. Dans le cadre de la coalition Bennoo Siggil Sénégal où elle était présente, l’Apr a, dans son escarcelle, 4 Collectivités locales. Elle contrôle 14 institutions locales à travers la Coalition « Dekkal Ngor » qui a été une « option secondaire » pour sa participation aux élections.

C’est pour cette raison que le porte-parole estime que le poids de l’Apr ne peut pas se résumer aux résultats de Dekkal Ngor. Et Seydou Guèye d’ajouter que l’Apr et l’effet Macky Sall ont été des facteurs-clé de succès dans ces résultats. Ce fut le cas à Fatick et Matam.

« Sur 8 collectivités locales où nous étions présentes, nous avons remporté les 6 ». M. Guèye pense que les résultats sont « un bon point d’appui pour continuer le travail d’implantation de l’Apr au niveau national ». S’agissant des contestations au sein de la Coalition Bss, Seydou Guèye minimise. « Ce sont des choses ordinaires qui arrivent. C’est le propre des coalitions. Il y a toujours des difficultés à gérer de façon concertée un pouvoir qui a été conquis », a-t-il dit. Toutefois, il tient à rassurer : « des évaluations seront faites afin d’apporter les rectifications puisque Bennoo était un cadre stratégique pour aller à la conquête des suffrages ».



Auteur: Babacar DIONE


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Belgique:Le racisme, plus répandu qu’on le croit et souvent impuni

Une large enquête européenne démontre que le racisme et les discriminations sont très réels dans l’UE, mais les victimes ne portent pas plainte. Par résignation ou par peur. En Belgique, le Centre pour l’égalité des chances confirme et déplore un manque de confiance dans les services de police, mais aussi dans les institutions en général. aa.jpg
« L’enquête révèle que la discrimination, le harcèlement et les violences à caractère racial sont beaucoup plus répandus que ce que les statistiques officielles indiquent », a souligné Morten Kjaerum, directeur de l’Agence des droits fondamentaux de l’UE, en présentant cette étude.

Cette étude est la première enquête qualitative à grande échelle réalisée sur le sujet, permettant des résultats comparables entre les 27 Etats membres. L’enquête a été menée dans les 27 états membres auprès de 23.500 personnes des minorités et des groupes d’immigrés. En Belgique, les communautés turques et marocaines ont été interrogées.

« Il y a un problème de racisme dans toute l’UE et nous présentons des preuves à ceux des pays qui le nient », a abondé Joanna Goodey, une autre responsable de cette agence créée en 2007.

« En outre, 5.000 personnes des populations majoritaires vivant dans les mêmes régions que des minorités ont été interrogées dans dix pays européens pour permettre la comparaison de certains résultats », a précisé Mme Goodey.

« Ses résultats seront soumis à la Commission européenne. Ils visent à lancer le débat et à permettre l’adoption de mesures », a expliqué M. Kjaerum.

« Mais les discriminations et les violences raciales sont rarement signalées et celles qui le sont sont la pointe de l’iceberg », a souligné M. Kjaerum. « Les victimes ont expliqué au cours de l’enquête que porter plainte ne changerait rien, que cela arrivait tout le temps et que porter plainte pourrait leur nuire », a-t-il poursuivi. « Beaucoup évitent de se rendre dans certains endroits par peur d’être victimes d’agressions racistes, ce qui ne va pas dans le sens de l’intégration des minorités et des migrants prônée dans l’UE », a-t-il souligné.

La discrimination est très répandue en Belgique
Plus des trois quarts (76 %) des Nord-Africains de Belgique estiment que la discrimination sur base de l’origine ethnique est très répandue. En Italie (94 %) et en France (88 %), ce sentiment est plus élevé encore. Il l’est par contre un peu moins aux Pays-Bas (66 %) et en Espagne (54 %).

Au sein de la communauté turque, 69 % des personnes établies en Belgique trouvent que la discrimination est très répandue, soit davantage que dans tous les autres pays européens où cette communauté est importante. Cette perception se retrouve à 61 % aux Pays-Bas, à 58 % au Danemark, à 52 % en Allemagne, à 32 % en Autriche et à peine 15 % en Bulgarie, pays voisin de la Turquie.

La minorité Rom déplore l’ostracisme dont elle est victime en Hongrie, en République Tchèque, en Slovaquie, en Grèce et en Pologne.

Les Roumains, pourtant citoyens de l’UE depuis 2004, ne se sentent pas acceptés en Italie, et les Brésiliens se disent mal aimés au Portugal.

(afp, belga)

Belgique:Parachutes dorés : un nouvel avant-projet de loi

Le ministre de la Justice Stefaan De Clerck a indiqué, en réponse à des questions en Commission de la Chambre, avoir ficelé un nouvel avant-projet de loi relatif aux parachutes dorés. Un précédent projet avait été recalé par le Conseil d’Etat.

Cette fois, l’avant-projet – qui doit encore être débattu au sein du gouvernement – renvoie à la responsabilisation des actionnaires, d’une part, et à l’application du Code belge de gouvernance d’entreprise, qui a été approuvé et publié le 12 mars dernier.

La nouvelle version du Code prévoit de limiter, en principe, les indemnités de départ des dirigeants de sociétés cotées à 12 mois de rémunération, en prenant en compte dans le calcul les bonus et rémunérations variables.

Le ministre de la Justice a admis que dans le cadre de l’application de ce code, continuait à prévaloir le principe du « comply or explain » en vertu duquel une entreprise est invitée à expliquer pourquoi elle s’écarte du Code de bonne gouvernance.

le directeur financier se suicide

David Kellermann, le directeur financier du groupe de crédit immobilier semi-public Freddie Mac, a été retrouvé mort mercredi à son domicile, confirme la police.
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La thèse du suicide, avancée par les médias américains, n'a pas été officiellement commentée par les autorités locales mais confirmée de source policière.

Le corps de Kellermann, 41 ans, a été découvert avant l'aube à son domicile de Reston, en Virginie. La police du comté de Fairfax a été alertée peu avant 05h00 (09h00 GMT).

D'après des médias locaux, c'est l'épouse de Kellermann qui a averti la police, indiquant que son mari avait mis fin à ses jours. La police de Fairfax a refusé de commenter ces informations.

David Kellermann travaillait depuis plus de 16 ans pour Freddie Mac, dont il avait été nommé directeur financier par intérim en septembre dernier.

L'administration fédérale était intervenue l'année dernière pour prendre le contrôle de Freddie Mac et de Fannie Mae, autre société de financement du crédit immobilier, toutes deux menacées par l'effondrement du marché de l'immobilier et la crise des "subprimes", ces prêts à risque qui ont précipité la crise mondiale.

Ces deux compagnies soutenues par le gouvernement étaient impliquées dans la moitié environ de la totalité du marché américain du crédit immobilier.

D'après l'organigramme de Freddie Mac accessible sur son site internet, David Kellermann était responsable du contrôle financier et de l'information financière de la compagnie. Il était aussi chargé de la surveillances fiscale et de la conformité aux règles de comptabilité.

A l'annonce de sa mort, les actions Freddie Mac ont perdu 9,3% à 78 cents.

Deborah Zabarenko, version française Wilfrid Exbrayat et Henri-Pierre André

mercredi, 22 avril 2009

Mahmoud Ahmadinejad assume, persiste et signe

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé l'Etat d'Israël d'"actes de cruauté" et de "nettoyage ethnique" aux dépens des Palestiniens, deux jours après son discours enflammé de la conférence des Nations unies contre le racisme. ahmad2.jpg

Les "criminels israéliens", a-t-il déclaré, "doivent rendre compte de toutes leurs brutalités". Le chef de l'Etat, qui s'exprimait devant des juristes du monde arabo-musulman dans le cadre d'une conférence sur "le génocide et les crimes de guerre" de la bande de Gaza, a indiqué que Téhéran avait demandé à Interpol d'émettre des mandats d'arrêt à l'encontre de 25 "criminels de guerre sionistes".

"La République islamique d'Iran (...) attend de cette organisation qu'elle remplisse ses obligations légales", a-t-il souligné. Les autorités iraniennes avaient déjà entrepris de telles démarches auprès d'Interpol.

Les propos tenus mardi par Ahmadinejad, qui a qualifié l'Etat d'Israël de "régime raciste le plus cruel et le plus répressif" à la tribune du Palais des Nations, à Genève, ont entraîné le départ des délégués européens dont les pays avaient choisi de ne pas boycotter l'événement, mais lui ont valu les applaudissements des représentants du monde musulman.

Fredrik Dahl, version française Jean-Philippe Lefief

Malines en finale pour la coupe de Belgique

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Affaire Dutroux: Indemnisation de Georges Zicot

Georges Zicot avait été arrêté par le juge d'instruction Connerotte. pict_174446.jpg
La cour de cassation a accordé au commissaire Georges Zicot, mis en cause à tort dans l'affaire Dutroux, d'importants dommages et intérêts pour les 35 jours de détention préventive subis entre le 24 août 1996 et le 27 septembre 1996, écrivent mercredi La Dernière Heure et De Standaard. Le montant de l'indemnisation, qui n'a pas été divulgué par l'avocate de de M. Zicot, est quinze fois supérieur à celui que le ministre de la Justice était d'avis de lui accorder.

Dans son arrêt, la cour de cassation dit que le policier, qui a été acquitté à Nivelles de toutes les préventions liées à l'affaire Dutroux, "fut arrêté dans des conditions particulièrement traumatisantes pour lui-même et ses proches". Elle souligne "le caractère inhumain du traitement dont (Georges Zicot) présumé innocent fit l'objet". Elle dit qu'il "a subi des interrogatoires prolongés dans des conditions très éprouvantes". La Cour de cassation a ordonné que cette décision soit publiée au Moniteur Belge.

Georges Zicot avait été arrêté par le juge d'instruction Connerotte. Il avait alors été présenté comme le protecteur de Marc Dutroux. Il a été acquitté de toutes les préventions en 2005 par le tribunal correctionnel de Nivelles

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La Belgique bloque pour la 1ère fois un site web

Dix-sept fournisseurs internet belges ont reçu vendredi l'ordre de bloquer quatre sites web. pict_174463.jpg
Le site web controversé Stopkinderporno n'est plus accessible depuis la Belgique. Il s'agit d'une première: jamais encore un site web n'avait été bloqué à la demande du parquet fédéral, indiquent mercredi les journaux néerlandophones De Standaard, Het Nieuwsblad, De Morgen et Het Laatste Nieuws.

Quatre adresses différentes du site Stopkinderporno, dont www.stopkinderporno.com, sont actuellement bloquées. Les internautes tapant l'adresse de ce site, sont, dans certains cas, redirigés vers un message d'avertissement de la Federal Computer Crime Unit, expliquant le contenu proposé par le site est jugé illégal par la législation belge.

Dix-sept fournisseurs internet belges ont reçu vendredi l'ordre de bloquer quatre sites web. Une telle demande est "très, très exceptionnelle", explique Stefan Coenjaerts, porte-parole de Telenet

Le discours d'Ahmadinejad provoque le départ des Européens

Dans son allocution, attendue - et redoutée par certains - comme l'un des moments forts de ce sommet, Ahmadinejad a dénoncé la création d'un "gouvernement raciste" au Proche-Orient en faisant clairement référence à Israël, sans toutefois citer ouvertement le nom de l'Etat hébreu.
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Le chef de l'Etat iranien, qui par le passé avait souhaité qu'Israël soit "rayé de la carte", a affirmé que "la souffrance des Juifs" avait servi, après la Seconde Guerre mondiale, de prétexte "à des agressions militaires qui ont créé une nation de sans-abri".

"Les Etats-Unis et d'autres régions du monde ont envoyé des immigrants venant d'Europe pour établir un gouvernement totalement raciste dans la Palestine occupée", a-t-il poursuivi. "Cela s'est fait en compensation des affreuses conséquences du racisme en Europe."

Avant même la fin du discours, les représentants de l'Union européenne ont quitté la conférence, comme la France avait menacé de le faire si le président iranien se livrait à des dérapages ou des provocations.

Le président français Nicolas Sarkozy a dénoncé ce qu'il a qualifié d'"appel intolérable à la haine raciste", justifiant le départ de la délégation française.

DISCOURS DÉPLACÉ

Le discours du président iranien "bafoue les idéaux et les valeurs inscrites dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme", déclare le chef de l'Etat français dans un communiqué.

La France était représentée à la conférence de "Durban II" par son ambassadeur auprès des Nations unies à Genève, Jean-Baptiste Mattei qui a été un des premiers à quitter la salle.

"Il est dommage que M. Ahmadinejad tente de prendre cette conférence en otage", a-t-il déclaré à sa sortie. "Nous sommes prêts à des discussions sérieuses mais ce qui vient de se passer dépasse ce que nous redoutions."

"De telles remarques insultantes et antisémites n'ont pas leur place dans un forum de l'Onu consacré à la lutte contre le racisme", a déclaré l'ambassadeur britannique à Genève, Peter Gooderham.

"Nous déplorons vivement le langage employé par le président de l'Iran", a renchéri Rupert Colville, porte-parole du haut commissariat aux droits de l'Homme. "De notre point de vue, ce discours est totalement déplacé dans une conférence destinée à promouvoir la diversité et la tolérance."

Le ministre norvégien des Affaires étrangères Jonas Gahr Store a dit que son pays ne pouvait pas accepter qu'un des intervenants détourne de la sorte les efforts collectifs consentis par de nombreux autres Etats.

Malgré le départ des délégués de huit pays occidentaux, d'autres délégations ont écouté le discours dans son intégralité et l'ont applaudi.

LE VATICAN SE DÉFEND

L'Australie, l'Allemagne, la Pologne, l'Italie et les Pays-Bas avaient rejoint les Etats-Unis et Israël dans leur refus de participer à un sommet qualifié, avant le début de ses travaux, "d'hypocrite et de contre-productif" par le président Barack Obama.

Américains et Israéliens faisaient valoir que la conférence de Genève, baptisée Durban II, risquait de se transformer en un prétoire visant à faire le procès de l'Etat hébreu comme cela avait été le cas en 2001 en Afrique du Sud.

A l'époque, Américains et Israéliens avaient quitté la conférence après que le sionisme eut été assimilé au racisme par des Etats arabes.

Plusieurs pays, qui avaient finalement accepté de se rendre à cette conférence, ont dépêché des délégations de second rang, à l'instar de la Grande-Bretagne et de la République tchèque, qui assure la présidence tournante de l'Union européenne.

Ce discours d'Ahmadinejad a donc sapé les efforts du secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, qui a tenté, un temps, de sauver ce qui pouvait l'être, affirmant que le texte servant de base aux discussions avait été "soigneusement élaboré".

La présence de délégués du Vatican a été mal accueillie par les associations juives qui y ont vu "une nouvelle mesure imprudente" du pape Benoît XVI après la levée de l'excommunication de l'évêque britannique, Mgr Richard Williamson, accusé de négationnisme.

"Par sa participation, le Saint-Siège entérine ce qui se trame (à Genève) contre Israël", a déclaré à La Stampa le grand rabbin de Rome, Riccardo Di Segni.

Le porte-parole du pape, le père Federico Lombardi, a quant à lui défendu la présence du Vatican à "Durban II" et affirmé que l'avant-projet de déclaration avait été amélioré ces dernières semaines.

Version française Pierre Sérisier et Jean-Loup Fiévet

Des salariés de Continental saccagent une sous-préfecture

Dans la soirée, le gouvernement, tout en condamnant "des actes injustifiables", a proposé une médiation.

"Les salariés ont saccagé la sous-préfecture de Compiègne où ils attendaient la décision", a déclaré à Reuters Ralph Blindauer. Un bâtiment de l'usine a été également endommagé, a-t-on précisé de source syndicale.

Xavier Mathieu, délégué syndical CGT, qui était présent sur place, a confirmé que des salariés de cette usine de la filiale française du fabricant allemand de pneumatiques avaient mis à sac en un temps éclair le bâtiment public à l'annonce du jugement, ainsi que le pavillon d'accueil de l'usine de Clairoix.

"Ce sont des gens en colère, pas du tout des voyous", a-t-il dit à Reuters.

Selon Xavier Mathieu, les salariés s'attendaient à obtenir gain de cause devant le tribunal et s'étaient rendus à la sous-préfecture de Compiègne dans l'attente du jugement.

"Aujourd'hui, les gens ont voulu montrer qu'on ne se laissera pas faire, les gentils 'Conti' sont devenus des lions", a-t-il dit par la suite sur LCI.

Le secrétaire d'Etat à l'Industrie, Luc Chatel, a dénoncé "avec la plus grande fermeté le saccage de la sous-préfecture de Compiègne", pour laquelle, a-t-il dit, le préfet de l'Oise a déposé plainte.

LES "CONTIS" JEUDI À HANOVRE

Sur le dossier de Continental, Luc Chatel a offert la médiation des pouvoirs publics pour le retour du dialogue entre les salariés et la direction.

"Ce soir, j'ai proposé que l'Etat, que le gouvernement se mette à la disposition des deux parties pour organiser une médiation sur un accord de méthode", a-t-il dit. Il propose que des représentants des deux parties soient reçus à Bercy par son directeur de cabinet adjoint à partir de mercredi.

"Sur les questions de restructuration industrielle, le rôle de l'Etat, c'est d'être un médiateur, un facilitateur", a-t-il souligné.

Le fabricant allemand de pneumatiques a annoncé le 11 mars son intention de fermer les sites français de Clairoix et allemand de Hanovre qui emploient respectivement 1.120 et 780 personnes, pour réduire sa production de pneus en Europe.

Les salariés de Clairoix ont prévu de se rendre jeudi à Hanovre au moment où se déroulera une assemblée générale des actionnaires du groupe pour manifester en compagnie de leurs collègues allemands.

Ils ont réservé 1.100 places de train mercredi soir, a-t-on précisé de source syndicale.

Les syndicats contestent l'argumentation de la direction qui argue de la crise et de la chute des marchés qui entraîne une surcapacité de production et donc de compétitivité.

"On est face à un problème d'effondrement du marché qui place Continental dans une situation de surcapacité de production", a précisé un porte-parole du groupe à Reuters.

"En Europe, on est passé de 7,5 millions à 15 millions de pneus en surcapacité entre décembre et mars", a-t-il ajouté.

Etudiants français tués à Londres : les meurtriers présumés enfin jugés

En juin 2008, Laurent Bonomo (en photo ci-contre) et Gabriel Ferez, deux étudiants français âgés de 23 ans, avaient été sauvagement assassinés dans leur studio londonien. Ils avaient été retrouvés ligotés, bâillonnés et lacérés de plus de 240 coups de couteau, avant l'incendie de leur appartement, vraisemblablement pour tenter d'effacer des preuves. Le procès des deux Britanniques accusés de ce meurtre sanguinaire s'ouvre aujourd'hui à Londres. Les familles des victimes espèrent que ce procès permettra d'en savoir plus sur les motifs des prévenus. Nigel Edward Farmer, 34 ans, et Daniel Sonnex, 23 ans, comparaîtront pendant un mois devant un jury de douze personnes. En novembre dernier, ils ont tous les deux plaidé non coupables à tous les chefs d'accusation : meurtre, séquestration, incendie volontaire et cambriolage. F.B

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mardi, 21 avril 2009

Dominique de Villepin : l'ex-Premier ministre a craqué pour la Socialiste

La politique a ses raisons que l'amour ignore...royal45.jpg Toujours prompt à voler au secours de la royale diva du PS, le chevalier servant de Villepin se cachait jusque-là sous le masque de l'ouverture d'esprit et du dépassement des clivages politiques...

Co-signataires d'un appel publié dans l'hebdomadaire Marianne, réclamant une «vigilance républicaine» contre une «dérive» du pouvoir présidentiel, Dom et Ségo partagaient, à nos yeux, une détestation cordiale du locataire de l'Elysée. Mais ce n'est pas la seule opposition à Nicolas Sarkozy qui unit nos deux protagonistes. Issus de la même promotion Voltaire à l'ENA, Ségolène Royal et Dominique de Villepin se sont rapprochés à l'aube des années 80' et ont partagé plus que les exposés et les études de cas... Nos élites en herbe ont roucoulé sur les bancs de l'école de la gouvernance. C'est un Dominique de Villepin visiblement fier et décomplexé qui l'a révélé hier dans le confessionnal de Canal.

Venu évoqué sur le plateau de Michel Denisot, le «risque révolutionnaire», la «colère sociale» et le «désespoir», le preux Villepin a laissé ses chevaux de bataille à l'entrée de la Boîte à Questions. À l'aise dans son fauteuil, notre athlète d'1m93 a lâché les armes pour révéler son côté sentimental. À ce jeu de la vérité et de la spontanéité où des requêtes parfois indiscrètes sont posées par les téléspectateurs, notre politicien au regard acier a fait sauter l'armure. Plutôt que de «buzzer» ou de botter en touche, notre romantique s'est laissé aller à la confidence. Celui à qui l'on déjà prêté une relation avec Ingrid Betancourt, son élève à Sciences-Po, a avoué une autre conquête très peopolitique. A la question: «Le film de Canal + sur L'ENA suggère que vous avez eu une petite amourette avec Ségolène Royal. C'est vrai?», le ministre de Chirac, la toison immaculée et le sourire ultra bright a acquiescé: «Elle le mérite, elle était belle et elle le reste...»

Homme public amoureux et gentleman courageux, donc. Car cette

Dieudonné : l'humoriste a contourné l'arrêté qui visait à interdire sa venue à La Rochelle

C'était le vendredi 17 avril que Dieudonné devait se produire dans une salle de La Rochelle. Mais le maire socialiste de le ville de Charente Maritime, Maxime Bono, ne voulait pas voir ça et ne l'entendait pas de cette oreille. Le premier magistrat de la commune de Poitou-Charentes a estimé qu'il y avait, avec ce show très chaud idéologiquement, une réelle menace de trouble à l'ordre public. Mais l'arrêté adopté le 30 mars par l'officier d'état civil n'a pas découragé Dieudonné. L'humoriste a pris l'option bus. diuedo.jpg

Une cinquantaine de personnes ont pris place vers 20H00 dans le car, dont les rideaux avaient été tirés. L'engin qui a pris ses passagers devant la salle où était prévu à l'origine le spectacle, est ensuite parti se garer sur un parking à proximité.

Une douzaine de personnes, à l'appel de deux associations de déportés, s'étaient rassemblées pacifiquement au départ du bus pour exprimer leur mécontentement. Dieudonné, dont le spectacle a été interdit dans plusieurs autres villes en raison de menace de trouble à l'ordre public, a déjà utilisé ce système de bus dans une dizaine de villes, selon les productions de la Plume, organisateur de la tournée. Une nouvelle manière pour le comique de faire parler de lui

Royal : "Tant que Sarkozy continuera, je continuerai"

persiste et signe. Elle s'est justifée lundi soir sur France 2 en expliquant pourquoi elle avait présenté "ses excuses" à José Luis Zapatero après des propos prêtés à Nicolas Sarkozy sur le chef du gouvernement espagnol. L'ancienne candidate à la présidentielle a jugé que le président de la 452539783-segolene-royal-denonce-une-republique-affaiblie-par-nicolas-sarkozy.jpgRépublique était "récidiviste dans toutes les formes d'agressivité verbale, de dénigrement". Elle a rappelé notamment à cet égard le "Salon de l'agriculture" en 2008 où le président de la République avait pris à parti un visiteur ou lorsqu'"il s'en prend à Barack Obama, à Angela Merkel, à d'autres dirigeants du monde". "Chaque fois qu'il y aura un manquement à cette éthique du respect, je prendrai la parole pour défendre les valeurs auxquelles je crois", a-t-elle promis

Pour la présidente de la région Poitou-Charentes, "ce qui est en cause, c'est la réputation de la France, sur la scène internationale". Elle a cité à ce propos le général de Gaulle, François Mitterrand et Dominique de Villepin défendant devant l'ONU l'opposition de la France à la guerre en Irak. "On était fier d'être français, même si on ne partageait pas les mêmes opinions politiques", a-t-elle poursuivi. "Aujourd'hui, lorsqu'on lit la presse internationale, on a honte. (...) Nicolas Sarkozy, qui reçoit les journaux étrangers (...) aurait dû dire tout de suite que si ces propos avaient été mal interprétés, il s'en excusait". Elle a assuré avoir écrit à José Luis Zapatero parce que c'était "naturel" pour elle, et que José Luis Zapatero est "un ami".

Royal dénonce "l'arrogance" et "l'impolitesse" de Sarkozy

Par ailleurs, dans une interview au Parisien/Aujourd'hui en France de mardi, Ségolène Royal a dénoncé "l'arrogance" et l"impolitesse" du locataire de l'Élysée. "Il faut que cela s'arrête. Le jour où Nicolas Sarkozy changera de mode d'expression, apprendra à respecter les autres, je n'aurai plus l'occasion de m'excuser, de demander pardon", a-t-elle martelé. "Tant qu'il continuera,...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr

Les points d'arrêt de la SNCB sont minables

Trop peu de places de parking, pas de toilettes ou des toilettes sales et trop peu d'information en temps réel. Ce sont les principaux points faibles des 282 gares et points d'arrêt flamands. pict_174331.jpg
Deux gares sur cinq n'ont pas réussi le test que les reporters du Nieuwsblad sont allés effectuer sur place. Ce sont surtout les points d'arrêt qui réalisent un mauvais score. Les résultats sont repris mardi dans le Nieuwsblad et dans De Standaard.

Trop peu de places de parking, pas de toilettes ou des toilettes sales et trop peu d'information en temps réel. Ce sont les principaux points faibles des 282 gares et points d'arrêt flamands. Dans chaque province, les reporters sont allés vérifier dans les gares le confort et la ponctualité des trains. La différence est notable entre les scores des grandes gares et des petits points d'arrêt. Les gares font mieux à tous les niveaux que les points d'arrêt, caractérisés par l'absence de guichets.

A la SNCB Holding, l'entreprise qui gère les 37 plus grandes gares, on est content des scores des grandes gares. "Le score général n'est pas bon, mais les grandes gares font beaucoup mieux que les petites", souligne la porte-parole Leen Uyterhoeven. "C'est bien, car nous concentrons nos investissements sur elles. Ces grandes gares représentent également deux tiers des clients. Cela ne signifie cependant pas qu'il ne faut pas faire attention aux plus petites gares."

la cellulite est l'ennemie jurée des femmes

Que l'on ait ou non des kilos en trop, la cellulite est l'ennemie jurée des femmes. Qu'elle soit très localisée au niveau des hanches ou étendue aux fesses et aux cuisses, la cellulite est inesthétique et atteint notre image. Quelles sont les solutions efficaces contre la cellulite ? tat.jpg
Cellulite : 90% des femmes, 2% des hommes !


Cette inégalité entre hommes et femmes est due aux hormones. Ensuite, de nombreux facteurs interviennent et expliquent pourquoi certaines femmes ont plus de cellulite que d'autres : la finesse de la peau augmente la capacité de l'organisme à produire de la cellulite, la qualité de la circulation sanguine, l'hygiène de vie, l'alimentation et la génétique. Encore des inégalités contre lesquelles on ne peut pas toujours lutter.

Alors que faire contre la cellulite qui se concentre principalement sur les hanches, les fesses, les cuisses et parfois aussi sur le ventre ?

Si un rééquilibrage alimentaire est souvent nécessaire, nous ne disposons réellement que de deux armes. Et encore, leur utilisation nécessite temps et persévérance !

11:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme |  del.icio.us |  Facebook | | |