vendredi, 21 septembre 2007
Immigration: François Hollande dénonce la "méthode détestable" et les "objectifs irréalistes" de Nicolas Sarkozy
PARIS - Le premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande a dénoncé vendredi la "méthode détestable" et les "objectifs irréalistes" de Nicolas Sarkozy, qui s'est déclaré favorable jeudi soir à des "quotas" en matière d'immigration "par régions du monde" et par catégories professionnelles.
"Nous n'avons même pas encore écrit la dernière loi sur le sujet qu'il faudrait déjà en préparer une autre?" s'est demandé M. Hollande sur France Info, dénonçant la "mystification" et la "méthode détestable" de Nicolas Sarkozy.
"Ou cette politique à un sens, c'est-à-dire les quotas, et à ce moment, qu'on en parle tout de suite (...)au Parlement, ou elle n'en a pas, (et) elle est simplement dans l'effet d'annonce pour essayer d'impressionner l'opinion", a-t-il dit.
Sur le fond, le député de la Corrèze a considéré que l'on pouvait "regarder" l'idée des quotas, mais a estimé que "fixer à la personne près les mouvements qui vont être autorisés, ça n'a pas de sens".
On peut étudier "le fait qu'il puisse y avoir pour l'immigration un certain nombre de professions qui soient sollicitées, qu'il puisse y avoir des accords avec les pays d'origine, nous l'avons toujours dit, c'est l'immigration partagée", a-t-il déclaré.
Mais "le vrai problème que nous avons, c'est l'immigration clandestine", a estimé François Hollande, pour qui "il faut traiter le problèmes avec les pays d'origine et pas annoncer des chiffres aujourd'hui qui n'auront aucun sens, puisqu'il n'y a aucun texte".
"Méthode détestable -on discute d'un texte et Nicolas Sarkozy parle déjà d'un autre- et objectifs irréalistes parce que ça ne peut pas se faire simplement avec des annonces chiffrées", a conclu François Hollande.
Nicolas Sarkozy a souhaité jeudi soir sur TF1 et France-2 "que nous arrivions à établir chaque année, après un débat au Parlement, un quota avec un chiffre plafond d'étrangers que nous accueillerons sur notre territoire".
Lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, il s'était prononcé à plusieurs reprises pour des quotas en matière d'immigration. Or, le chef de l'Etat a précisé cette fois "qu'à l'intérieur de ce chiffre plafond", il souhaitait qu'on "réfléchisse" à "un quota par régions du monde", en plus de quotas "par professions, par catégories". AP
pf/ll
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Sarkozy fuit ses responsabilités sur la croissance, dit Hollande
PARIS (Reuters) - François Hollande reproche à Nicolas Sarkozy de fuir ses responsabilités sur le rythme de croissance et sur le pouvoir d'achat, thème central de sa campagne présidentielle.
"Nicolas Sarkozy parle toujours de responsabilité, de résultats, mais fuit devant sa responsabilité et il n'essaie pas de regarder ses résultats, par exemple sur la croissance", a dit le Premier secrétaire du Parti socialiste sur France info.
"Il dit: '2007, ce n'est pas moi". Parce que Nicolas Sarkozy n'est pas au pouvoir depuis cinq ans et cinq mois ? 2007, c'est pas lui, 2008, ce n'est pas encore lui (...) et peut-être qu'en 2009, il acceptera de rendre des comptes sur ses résultats économiques", a ajouté François Hollande.
Pour le dirigeant socialiste, il faudra bien que "cette majorité et que Nicolas Sarkozy rendent des comptes dès 2007 sur l'ampleur des déficits (...) et, surtout, sur l'absence d'augmentation du pouvoir d'achat."
"Il a fait toute sa campagne sur le pouvoir d'achat et aujourd'hui, le pouvoir d'achat, il n'en parle plus parce qu'il est en berne", a-t-il ajouté.
Nicolas Sarkozy a estimé jeudi que l'économie française devait avoir un rythme annuel de croissance entre 2,5% et 3% pour parvenir au plein emploi et que la situation actuelle n'était pas de sa responsabilité.
"Il faut que nous ayons une croissance entre 2,5% et 3% pour arriver au plein emploi", a déclaré le président de la République dans un entretien sur TF1 et France 2. "2007, je n'y suis quand même pour rien, 2008 on va essayer de la doper, et 2009 ce sera la mienne", a-t-il dit.
13:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 20 septembre 2007
Face à la Chine, la lenteur européenne
A la veille de la rentrée parlementaire, les autorités congolaises étaient écartelées entre des exigences contradictoires : répondre le plus rapidement possible aux immenses et légitimes aspirations de la population et satisfaire aux conditions posées par les institutions de financement occidentales pour le déboursement de l'aide promise mais trop lentement déboursée. La Chine a mis fin au dilemme : à raison de prêts pour un montant total de cinq milliards de dollars, elle s'est engagée à soutenir les cinq chantiers définis comme prioritaires par le président Kabila. Avec, en contrepartie, des accords de partenariat dans le domaine minier, où la Chine prendra place aux côtés des plus grandes sociétés occidentales. Ces accords passés avec la Chine s'inspirent de l'exemple angolais, où la reconstruction du pays se fait en échange de l'accès au pétrole. Il ne fait aucun doute que cette entrée en force de la Chine sera amèrement critiquée par les Occidentaux, qui estiment, Union européenne en tête, ne pas avoir ménagé efforts financiers et diplomatiques pour mettre fin à la guerre, gérer la transition et placer le pays sur les rails de la démocratie.
Les Occidentaux devraient s'interroger sur leurs propres exigences : dans ce pays où les conflits sont à peine éteints, où il est urgent de payer les militaires et les enseignants, le gouvernement ne dispose que d'un budget de 2,4 milliards de dollars, dont 800 millions consacrés au remboursement d'une dette particulièrement « odieuse », car contractée du temps de la dictature mobutiste. En l'absence de programme avec le Fonds monétaire international, qui, après avoir suspendu ses prêts en mars dernier ne renverra que fin septembre une nouvelle mission à Kinshasa, crédits internationaux et mesures d'allègements de dette demeurent en suspens. Quant aux coopérations européennes, elles sont paralysées par de multiples lenteurs bureaucratiques tandis que les exigences d'appels d'offres internationaux excluent presque automatiquement les entreprises congolaises Assortis de peu de conditions, les prêts chinois ne sont cependant pas sans risques, qu'il s'agisse de la forêt tropicale, de l'environnement et surtout de la gouvernance.
BRAECKMAN,COLETTE
14:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
mardi, 18 septembre 2007
Moscou met en garde l'Occident contre tout usage de la force contre l'Iran
MOSCOU - Le ministre russe par intérim des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a vivement critiqué les sanctions unilatérales imposées à l'Iran sur son programme nucléaire et a mis en garde l'Occident contre tout usage de la force contre Téhéran.
"La multiplication des informations faisant état de l'éventualité de sanctions militaires contre l'Iran inquiète la Russie. Il est difficile d'imaginer que ces sanctions apaisent les tensions dans la région", a souligné Lavrov à l'issue d'un entretien avec son homologue français Bernard Kouchner.
"Nous sommes convaincus qu'aucun problème moderne ne peut avoir de solution militaire et cela s'applique aussi au programme nucléaire iranien", a encore dit le chef de la diplomatie russe. AP
ma/v0/tas
13:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Iran: les propos de Kouchner provoquent une polémique
PARIS - Les propos de Bernard Kouchner envisageant "le pire" dans la crise nucléaire iranienne ont provoqué lundi une polémique en France et dans le monde, obligeant le Premier ministre François Fillon à corriger les déclarations du ministre des Affaires étrangères.
"Tout doit être fait pour éviter la guerre. Le rôle de la France, c'est de conduire vers une solution pacifique", a déclaré M. Fillon à Angoulême, où il visitait le 1er Régiment d'infanterie de Marine (RIMA). "Une confrontation avec l'Iran, c'est la dernière extrémité que n'importe quel responsable politique peut souhaiter."
Le Premier ministre a cependant convenu qu'une "très grande tension" règne actuellement avec Téhéran en raison de la poursuite par les Iraniens de leur programme d'enrichissement de l'uranium.
Dans cette situation, la France est favorable à des "sanctions les plus sévères possibles à l'égard du gouvernement iranien s'il perdure dans son projet". "Je crois que les sanctions n'ont pas encore été jusqu'au bout de ce qu'il est possible de faire", a souligné M. Fillon.
"Il faut se préparer au pire", à savoir "la guerre", a déclaré dimanche soir Bernard Kouchner lors du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. Le ministre des Affaires étrangères a toutefois ajouté que cette issue "n'est pas pour demain".
Ces propos peu diplomatiques ont semé le trouble en France et à l'étranger. L'agence de presse officielle iranienne IRNA a vivement critiqué lundi les "occupants de l'Elysée", devenus des "traducteurs de la politique de la Maison Blanche". Les dirigeants français, selon IRNA qui les accuse d'"extrémisme", ont "adopté un ton encore plus dur, plus enflammé, et plus illogique que celui de Washington".
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Mohammed El-Baradeï a de son côté rappelé qu'il "y a des règles sur la façon d'utiliser la force". "Nous devons rester calmes. Nous ne devons pas dramatiser cette question", souligne-t-il.
En France, la gauche a demandé des explications à Nicolas Sarkozy. Le Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande a réclamé un "vrai débat au Parlement" sur l'Iran. "La déclaration de Bernard Kouchner ne peut pas rester sans précision et sans prolongement", a-t-il estimé.
Pour l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, "il faut éviter de donner de mauvais signaux à l'administration Bush. Elle n'a pas besoin de nous (...) pour être encouragée plus avant vers la guerre". La France, estime-t-il, doit "au contraire", jouer "tout son rôle pour défendre une solution de paix".
Le propos du locataire du Quai d'Orsay "témoigne d'une désinvolture dangereuse", s'est de son indigné Jean-Pierre Chevènement. "La France n'a rien à gagner à épouser docilement les vues les plus agressives de la politique étrangère américaine", a jugé le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC).
Dans un communiqué, le Parti communiste français a condamné "une confirmation dangereuse de la politique atlantiste de Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner".
Quoi qu'il en soit, les déclarations du ministre des Affaires étrangères traduisent le durcissement de ton de la France à l'égard de l'Iran depuis quelques semaines.
Dans son discours le 27 août à la conférence des ambassadeurs, Nicolas Sarkozy a évoqué la possibilité de "sanctions croissantes" si Téhéran ne se conforme pas aux résolutions de l'ONU. "Cette démarche est la seule qui puisse nous permettre d'échapper à une alternative catastrophique: la bombe iranienne ou le bombardement de l'Iran", avait alors estimé le président français.
Paris envisage des sanctions économiques au niveau européen contre Téhéran en dehors du cadre de l'ONU, a confirmé dimanche soir M. Kouchner.
Cette nouvelle attitude française rejoint celle des Etats-Unis, qui n'excluent pas l'éventualité d'un recours à la force contre l'Iran si Téhéran continue de défier le Conseil de sécurité de l'ONU. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates a toutefois déclaré dimanche que l'administration Bush privilégiait "l'approche diplomatique et économique". Une réunion des six pays (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie, Allemagne) impliqués dans les discussions sur le dossier nucléaire iranien est programmée vendredi à Washington. AP
12:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 17 septembre 2007
L'Iran ne suspendra pas l'enrichissement d'uranium mais ne veut pas la bombe, affirme Mahmoud Ahmadinejad
LONDRES - L'Iran ne suspendra pas l'enrichissement d'uranium, malgré la menace de sanctions plus dures de l'ONU, a affirmé mercredi le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, mais il a assuré que Téhéran ne cherchait pas à fabriquer des armes nucléaires.
"Nous ne voulons pas la bombe. Nous sommes contre la bombe. Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles nous sommes contre", a-t-il déclaré lors d'un entretien accordé à la chaîne de télévision britannique Channel 4.
Il a également dit que l'Iran pourrait aider les Etats-Unis en Irak si Washington et Londres arrêtaient d'accuser Téhéran d'armer les insurgés. "Nous pouvons aider à résoudre beaucoup de problèmes en Irak; nous pouvons aider à sécuriser l'Irak; nous pouvons aider à faire sortir les agresseurs et les insurgés d'Irak, si les gouvernements américain et britanniques se corrigent", a souligné M. Ahmadinejad, dont les propos étaient traduits. AP
09:53 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Deux adolescents iraniens condamnés à mort pour viol et meurtre
TEHERAN - Deux adolescents iraniens ont été condamnés à mort pour viol et meurtre, rapporte dimanche le quotidien "Iran Daily".
Le tribunal de Shiraz, à 900km au sud de Téhéran, a condamné les deux adolescents, âgés de 16 et 18 ans, pour avoir violé et tué deux garçons âgés de 9 et 10 en avril dernier. Ils ont également écopé de trois ans de prison et 100 coups de fouet.
Selon le quotidien, publié par l'agence de presse officielle iranienne IRNA, les suspects ont reconnu avoir violé les deux victimes. Ils les ont ensuite attachées et jetées dans une rivière pour les noyer. Deux autres suspects étaient jugés. L'un d'entre eux a été acquitté, tandis que le second était condamné à des coups de fouet.
En juillet et août, l'Iran a pendu des dizaines de personnes accusées de viol, cambriolage et enlèvement, ainsi que trafic de drogue. Ces crimes sont tous passibles de la peine capitale en Iran.
Selon l'organisation de défense des droits de l'Homme, Human Rights Watch, l'Iran a exécuté au moins trois délinquants mineurs en 2004, huit en 2005 et quatre en 2006. En juin, Téhéran affirmait que l'exécution des mineurs était pratiquement suspendue et que le gouvernement s'apprêtait à interdire cette pratique. AP
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samedi, 15 septembre 2007
Irak: Al-Qaïda veut montrer sa puissance après l'assassinat d'Abou Richa
BAGDAD - Après le coup d'éclat de l'assassinat du chef tribal sunnite Abdul-Sattar Abou Richa, Al-Qaïda entend mettre au pas la rébellion irakienne intérieure et avoir les mains libres dans son face à face sanglant avec l'occupant américain. Au lendemain des funérailles du cheikh, un groupe affilié à Al-Qaïda a ainsi annoncé son intention de traquer et de tuer les chefs tribaux sunnites qui coopèrent avec les Etats-Unis et leurs partenaires irakiens dans leur révolte contre le mouvement terroriste.
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Parallèlement, l'organisation Etat islamique en Irak a annoncé dans un communiqué une nouvelle offensive pendant le mois sacré du Ramadan, destinée à rendre hommage à Abou Moussab al-Zarqaoui, le fondateur d'Al-Qaïda en Irak, tué dans un raid aérien américain en juin 2006.
Ces différents communiqués diffusés vendredi et samedi sur des sites Internet islamistes revendiquaient par ailleurs l'assassinat jeudi d'Abdul-Sattar Abou Richa, fer de lance du soulèvement contre Al-Qaïda dans la province d'Anbar, à l'ouest de la capitale irakienne.
L'Etat islamique en Irak ajoute avoir formé "des comités spéciaux de sécurité" chargés de traquer et d'"assassiner les personnalités tribales, les traîtres, qui ont entaché la réputation des vraies tribus en se soumettant aux soldats de la Croisade", et au gouvernement sous domination chiite du Premier ministre Nouri al-Maliki.
Samedi, dans un second communiqué, le chef autoproclamé de l'Etat islamique, Abou Omar al-Bagdadi, s'est dit "honoré d'annoncer" une nouvelle offensive en mémoire du "martyr Abou Moussab al-Zarqaoui au début du Ramadan", qui a commencé jeudi pour les Irakiens sunnites et vendredi pour les chiites.
"Nous sommes aujourd'hui à la veille d'une nouvelle ère, d'un virage pour la région et pour le monde. Aujourd'hui nous sommes témoins de l'échec de la civilisation occidentale et de la renaissance du géant islamique", a déclaré Bagdadi dans un fichier audio d'une demi-heure.
Côté américain, les autorités craignent que l'assassinat d'Abou Richa ne freine le mouvement anti-Al-Qaïda qui a émergé l'an dernier lorsque le cheikh a fédéré des clans sunnites pour combattre le mouvement terroriste, provoquant une spectaculaire volte-face à Ramadi et dans la province d'Anbar en général.
La révolte a gagné des groupes d'insurgés sunnites à Bagdad, dans la province de Diyala et ailleurs. Certains insurgés qui tendaient des embuscades aux troupes américaines il y a encore quelques mois travaillent désormais main dans la main avec les Etats-Unis pour débarrasser leurs communautés d'Al-Qaïda.
Peu après l'assassinat d'Abou Richa, c'est son frère, Ahmed qui a été élu à la tête du Conseil du salut d'Anbar. Une foule de 1.500 personnes a clamé vengeance en accompagnant le cortège funèbre vendredi. Le général Ray Odierno, le No2 des forces américaine en Irak, et plusieurs hauts responsables du gouvernement ont assisté aux funérailles, dont les ministres irakiens de l'Intérieur et de la Défense.
"Nous condamnons l'assassinat d'Abou Richa, mais cela ne nous dissuadera pas d'aider la population d'Anbar, au contraire. Nous les soutiendrons davantage encore qu'avant", a déclaré le conseiller à la sécurité nationale Mouwaffak al-Roubaie. "C'est une catastrophe nationale et une grande perte pour le peuple irakien: Abou Richa était la seule personne à défier Al-Qaïda en Irak".
L'assassinat d'Abou Richa a jeté un voile sur les affirmations de George W. Bush selon lesquelles la situation en Irak connaissait des progrès, en particulier à Anbar, coeur de l'insurrection sunnite jusqu'au spectaculaire revirement des chefs tribaux. Le 3 septembre, lors de sa visite surprise à Bagdad, le président américain avait tenu à rencontrer Abou Richa. AP
Par Sinan Salaheddin
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vendredi, 14 septembre 2007
Cohn-Bendit: Sarkozy "énerve" les Allemands mais pas de "crise"
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Nigeria: la fillette d'un employé pétrolier enlevé par des hommes armés
LAGOS - Une fillette de deux ans a été enlevée mercredi soir par des hommes armés au domicile de son père, un employé local de la compagnie Shell à Port Harcourt, le grand centre pétrolier du Nigeria, a-t-on appris jeudi auprès des services de sécurité et de l'entreprise.
"Nous avons été informés que la fille d'un de nos employés a été enlevée. Nous lançons un appel à la libération rapide de la petite fille", a déclaré à l'AFP le porte-parole de Shell, Precious Oklobo, précisant que l'enfant était âgée de deux ans.
"Il y a eu un incident impliquant des hommes armés la nuit dernière, au cours duquel une fillette a été enlevée. Nous avons ouvert une enquête", a confirmé la porte-parole de la police de l'Etat de Rivers, Ireju Barasua
Les motivations des ravisseurs n'étaient pas connues dans l'immédiat et aucun groupe armé n'a revendiqué jusqu'à présent l'enlèvement, qui intervient après une série de kidnappings touchant des membres de famille de responsables politiques importants dans cette région troublée.
La plupart des otages ont été libérés après quelques jours, parfois après quelques semaines, après semble-t-il, le paiement de rançon, ce que n'ont jamais admis, ni le gouvernement nigérian ni les compagnies pétrolières.
Le Nigeria est le premier producteur de brut en Afrique, et 8e exportateur mondial, avec 2,14 millions de barils par jour, mais sa production a été amputée de 25% depuis 2006 en raison de la situation dans le delta du Niger.
10:42 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 13 septembre 2007
FRANCE- POLITIQUE- IMMIGRATION : Sarkozy s’est aligné sur Rama Yade, selon Le Pen
LIBERATION.FR : Le président du FN, Jean-Marie Le Pen, et sa fille Marine ont tous deux accusé le gouvernement mardi d’avoir finalement adopté la ligne de la secrétaire d’Etat Rama Yade dans l’affaire des squatteurs d’Aubervilliers, après l’avoir dans un premier temps désavouée.
Le dénouement de la crise « montre que la politique du président de la République en la matière est bien celle qui a été exprimée par Rama Yade, ministre des passe-droits de l’homme étranger et hors-la-loi », a déclaré Jean-Marie Le Pen dans un communiqué.
« M. Sarkozy a décidé d’aligner la politique de son gouvernement sur la désastreuse position de Rama Yade et le politiquement correct », a renchéri Marine Le Pen, vice-présidente du parti, dans un autre communiqué. « Les squatteurs immigrés pourront donc continuer de dicter leur loi en toute tranquillité. Mais où est donc la rupture tant annoncée ? », a-t-elle ajouté.
La secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme, Rama Yade, avait rendu une visite controversée aux squatteurs jeudi, qualifiée ensuite de « gaffe » par le Premier ministre François Fillon.
Les 71 familles africaines qui se relayaient jour et nuit sur un parvis d’Aubervilliers depuis le 11 juillet pour demander leur relogement ont levé le camp lundi soir, la préfecture ayant promis de reloger immédiatement cinq familles expulsées fin juin et début juillet et de lancer des enquêtes sociales pour étudier le relogement d’autres familles.
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Le séisme qui a frappé Sumatra a fait au moins 10 morts
Les dommages semblaient moins importants qu'initialement redoutés, jeudi en Indonésie, au lendemain du séisme potentiellement dévastateur au large de l'île de Sumatra qui a fait au moins dix morts et plusieurs dizaines de blessés. "Hier (mercredi), nous nous attendions à des destructions très importantes. Mais, d'après les informations qui nous sont parvenues ce matin, nous sommes heureux de constater que les dégâts ne sont pas aussi importants que nous l'avions pensé", a déclaré le vice-président indonésien Jusuf Kalla. Sur le terrain, des milliers d'Indonésiens ont passé la nuit dehors, hantés par le souvenir du tsunami dévastateur de décembre 2004 qui avait endeuillé la province de Banda Aceh, au nord de Sumatra. Les autorités, confrontées à une remontée problématique de l'information en raison des mauvaises communications, s'efforçaient jeudi d'évaluer l'étendue des dommages. Des équipes médicales faisaient route vers les zones les plus affectées. Une secousse sous-marine d'une magnitude de 8,4, selon l'Institut de géophysique américain (USGS), s'est produite mercredi vers 13h00 (heure belge) à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Bengkulu. Elle a été suivie de plusieurs répliques dont la plus forte a atteint, jeudi matin, 7,8 degrés et provoqué le déclenchement d'une alerte locale au tsunami, la quatrième en moins de 24 heures. Des alertes au tsunami ont été lancées pour la plupart des pays du pourtour de l'océan Indien avant d'être levées tour à tour. (CYA)
© BELGA
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mercredi, 12 septembre 2007
Belgique:Union Africain - Diaspora
Information à l'attention des OSIM belges,
Concerne: Projet de mise en place d'une 6eme Région Africaine représentée par la Diaspora du continent
Objet: La représentation de la Diaspora africaine de Belgique dans le projet
Suite aux informations qu'elle vient de recevoir au sujet du projet de l'Union Africaine d'ériger la diaspora africaine comme 6eme région de l'Afrique, la CGMD entend informer ses membres sur le processus qui a été mis en oeuvre en Belgique pour constituer une représentation de la Diaspora africaine de Belgique dans ce projet.
D'abord, nous tenons à préciser que, selon les informations que la CGMD a reçu à ce sujet, l'UA a choisi les ambassades d'e l'Afrique du Sud à travers le monde pour piloter le projet. Ici en Belgique, le représentant de l'UA et des Pays ACP en poste à Bruxelles joint au téléphone, a informé la CGMD, que son rôle à lui se limite à la coordination du projet. Les décisions étant prises par l'Ambassade d'Afrique du Sud.
Par ailleurs, selon les informations reçues auprès du représentant de l'UA et des Pays ACP, le processus de mise en place du projet a démarré depuis 9 mois maintenant.
Un groupe de quelques personnes (africaines) a été réuni, on ne sait sur base de quel critère? pour représenter la Diaspora africaine de Belgique dans ce projet de l'UA.
Pour les raisons suivantes, la CGMD exprime son étonnement et son inquiètude sur la manière dont le processus a été mise en oeuvre en Belgique. En effet,
1. les OSIM africaines qui se sont investies dans les pratiques de solidarité et de développement avec le continent depuis bien longtemps se retrouvent exclues du processus, alors qu'elles constituent les seules entités de la diaspora africaine qui disposent de l'expérience, du savoir-faire et d'une connaissance approfondie des questions liées à la Migration et au développement.
2. Les personnes et les organisations issues de la Diaspora africaine qui disposent du savoir-faire, de l'expérience et d'une connaissance suffisante du sujet pour :
- mobiliser la diaspora autour du projet,
- soutenir et améliorer la structuration de la diaspora en Belgique,
- défendre les intérêts des acteurs de la diasopra dans le cadre de la solidarité internationale,
- promouvoir la visibilité et la reconnaissance des acteurs de la diaspora en Belgique et sur le plan international,
- sensibiliser et informer les membres de la diaspora sur les méthodes de valorisation de leurs actions ménées en faveur des populations et du développement en Afrique,
- soutenir les Etats africains dans la mise en place et l'opérationalisation de politiques globales de gestion de leurs migrants et des actions qu'ils mènent dans leur pays,
- aider à l'orientation des actions des migrants dans leurs pays d'origine vers des objectifs de développement,
sont mises à l'écart pour être remplacées par des personnes choisies au hazar, et ne disposant souvent d'aucune expérience, ni de connaissance sur la Migration et le Développement.
3. La non implication dans le processus des Ambassades africaines qui auraient pu informer leur diaspora respective en Belgique, pour les faire participer au projet.
4. L'ignorance manisfeste de l'Ambassade d'Afrique du Sud et de la représentation de l'UA en Belgique, par rapport à la dynamique organisationnelle et associative de la diaspora africaine de Belgique
5. L'absence d'un programme d'information de la diaspora africaine de Belgique, qui devrait passer d'abord par le milieu associatif africain et impliquer les représentations diplômatiques disposant d'une diaspora en Belgique.
Tout en saluant l'initiative de l'UA, de s'intéresser à la diaspora africaine et à ses actions pour le développement du continent, la CGMD marque son opposition à la démarche appliquée jusqu'ici, dans le cadre de la mise en place du projet en Belgique.
La CGMD demande aux institutions responsabilisées dans ce projet (Ambassade d'Afrique du Sud et représentation de l'UA et des Pays ACP) d'impliquer le mouvement associatif africain de Belgique.
La CGMD exige la mise en place d'une concertation entre les organisations africaines de Belgique (OSIM), les représentations diplômatiques africaines disposant d'une diaspora en Belgique et des deux institutions responsables du projet (Ambassade d'Afrique du Sud et représentation de l'UA et des Pays ACP) en vue de structurer le projet et de promouvoir son appropriation par la Diaspora Africaine de Belgique.
La CGMD exprime toute sa disponibilité pour collaborer à la mise en place du projet en Belgique pour l'intérêt de l'Afrique et des africains (de la diaspora et ceux restés en Afrique).
La CGMD exige une démarche démocratique, transparente et concertée, réunissant toutes les parties concernées par le projet en Belgique.
Fait à Bruxelles le 12 septembre 2007
Coordination Générale des Migrants pour le Développement
CGMD Axe Belgique-Pays du Sud
Avenue Adolphe Byul 145, 1050 Bruxelles
Site Web: www.cgmd.be
Email: admin@cgmd.be
Tel: +32 2 346 20 65
GSM: +32 484 50 51 36
13:48 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Profanation du cimetière juif d'Herrlisheim: 3 ans ferme requis contre Rist
COLMAR (AFP) - Le ministère public a requis mercredi trois ans de prison ferme à l'encontre d'Emmanuel Rist, accusé d'avoir profané le cimetière juif de Herrlisheim (Haut-Rhin) en avril 2004 avec des inscriptions néonazies et antisémites.
Les trois profanateurs présumés du cimetière juif de Herrlisheim (Haut-Rhin), dont 117 tombes avaient été souillées en avril 2004 par des inscriptions néonazies, avaient fait acte de contrition lundi, premier jour de leur procès devant le tribunal correctionnel de Colmar.
Les trois prévenus, Emmanuel Rist, 37 ans, Laurent Boulanger, 27 ans et Laurent Peterschmitt, 28 ans, comparaissent pour la profanation du cimetière israélite de Herrlisheim, près de Colmar, où des croix gammées et celtiques, des sigles SS ainsi que des slogans antisémites avaient été découverts le 30 avril 2004 sur 117 des 400 pierres tombales.
Mis en examen en janvier 2006, les trois prévenus ont tous reconnu les faits. Ils risquent des peines maximales de cinq ans de prison et de 75.OOO euros d'amende.
10:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe démissionne
TOKYO (Reuters) - Le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a annoncé mercredi qu'il allait démissionner afin de faciliter la prolongation du mandat de la mission navale de son pays en Afghanistan, provoquant l'émoi dans son pays.
Arrivé au pouvoir il y a un an, Abe était en difficulté depuis le cinglant désaveu infligé à sa politique lors des élections sénatoriales de juillet mais l'annonce de sa démission constitue cependant une surprise.
"Je suis arrivé à la conclusion aujourd'hui que je devais démissionner", a déclaré, Abe, les traits tirés, lors d'une conférence de presse. "Nous devons chercher à poursuivre notre mission de lutte contre le terrorisme avec un nouveau Premier ministre", a-t-il ajouté.
Le valeurs japonaises ont terminé en baisse en raison des incertitudes sur la situation politique.
Abe avait prévenu qu'il ne s'accrocherait pas à son poste s'il n'était pas en mesure d'obtenir la prolongation du mandat de la mission navale de son pays, chargée de soutenir les opérations en Afghanistan de la coalition dominée par les Etats-Unis mais personne ne s'attendait à ce qu'il prenne cette décision aussi rapidement.
Les partis de l'opposition, qui se sont assurés le contrôle de la chambre haute du parlement lors des élections de fin juillet, sont en mesure, s'ils le veulent, de retarder la promulgation d'une loi prolongeant le mandat de cette force navale au-delà de sa date d'expiration, le 1er novembre. Il était prévu que le Premier ministre réponde aux questions des parlementaires sur ce sujet mercredi.
"Le choix de la date est étonnant. C'est une énorme surprise. Il avait dit qu'il mettrait son mandat dans la balance pour faire adopter la législation antiterroriste, donc je ne comprends pas pourquoi il démissionne avant même d'avoir commencé", a déclaré Koichi Haji, économiste en chef à l'institut de recherche NLI.
"ENORME SUPRISE"
Abe avait assuré samedi à George Bush, en marge du forum de coopération économique Asie-Pacifique (Apec) à Sydney, qu'il ferait tout son possible pour que la mission navale nippone se poursuive.
Selon un récent sondage, 53% des personnes interrogées au Japon se déclarent hostiles à une prolongation de cette mission, tandis que 35% sont pour.
Le secrétaire général du Parti libéral-démocrate (PLD), Taro Aso, un fidèle allié d'Abe qui partage en grande partie ses vues sur la politique à mener en matière de sécurité, est considéré comme le favori pour prendre la présidence du PLD et donc briguer le poste de Premier ministre.
Abe devrait rester à son poste pour gérer les affaires courantes jusqu'à ce que son successeur soit désigné.
Il avait remanié son gouvernement fin août en faisant appel à de vieux routiers de la vie politique japonaise après la débâcle des sénatoriales. Le précédent cabinet avait fait l'objet de nombreuses critiques, en particulier du fait de l'inexpérience de ses membres, souvent des proches mais aussi à cause de plusieurs scandales dans lesquels certains membres du gouvernement étaient impliqués.
Premier chef du gouvernement à être né après la Seconde Guerre mondiale, Abe s'est beaucoup investi dans la diplomatie, améliorant les relations de son pays avec la Chine et la Corée du Sud mais il a souvent été critiqué pour ses obsessions conservatrices telles que sa volonté de restaurer le patriotisme à l'école ou de réviser la Constitution pacifiste du Japon.
De l'avis de certains analystes, sa démission devrait avoir un impact limité sur la politique économique japonaise.
"L'impact sur l'économie japonaise pourrait être limité car il n'y a pas de dossier urgent qui nécessite d'être soumis au parlement", estime Haji, selon lequel il faut toutefois s'attendre à une certaine fébrilité des marchés financiers en raison des incertitudes sur l'évolution de la situation politique.
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mardi, 11 septembre 2007
Les morts ne sont pas morts-Sémira Adamu est en Belgique
SEMIRA ADAMU 2007
Journée de commémoration le 22 septembre 2007
à 15 heures dans le hall de l’aéroport de Zaventem
9 ans que Semira est décédée, étouffée par le mépris et la violence des politiques inhumaines d'immigration belge et européenne !
Nous vous invitons à venir rendre hommage à cette jeune femme qui s'était réfugiée en Belgique et fuyait un mariage forcé au Nigéria. Son appel à l'aide et le refuge qu'elle est venue chercher en Belgique lui ont été refusés, pire on l'en a punie et humiliée. Elle a été enfermée et a subi de nombreuses vexations, 6 tentatives d'expulsion hors de notre pays vers un pays qui n'était pas le sien. La dernière "tentative" lui fut fatale. Les gendarmes accompagnateurs l'ont étouffée dans l'avion, le sourire aux lèvres.
Semira reste emblématique de la violence faite aux femmes de par le monde tout comme de la violence extrême exercée à l'encontre des étrangers par notre Etat et son bras armé.
APPEL
Depuis la mort de Semira, la situation ne s'est pas améliorée. Nous nous devons de constater que le nombre d'expulsions augmente toujours. Cela risque de ne pas changer car plus que jamais ces hommes, ces femmes et ces enfants sont des chiffres, des quotas.
Dans les notes qui émanent jusqu’à présent des négociations gouvernementales, on semble s’accorder sur un processus limité de régularisation; mais aussi en même temps sur l’accroissement de la capacité de détention d’étrangers, donc du nombre d'expulsions. La machine continue sa marche et la construction d’un nouveau centre fermé, « inaugurée » il y a peu en témoigne.
Ces expulsions se passent dans l'anonymat total, sans aucun contrôle extérieur. Nous récoltons quotidiennement des témoignages de violences graves à l'aéroport sur les personnes qui s'opposent à leur déportation.
Certains partis, syndicats, ainsi que beaucoup d’associations et de citoyens ont signé un moratoire pour réclamer l’arrêt des expulsions tant que la politique gouvernementale en matière de régularisation n’est pas définie. En effet, de nombreuses personnes expulsées aujourd’hui pourraient être dans les conditions d’une régularisation même partielle, si elle se précise !
Des bourgmestres ont appelé à la désobéissance civile. Ils refusent d’encore participer aux arrestations de personnes et familles sans papiers dans leur commune.
Nous exigeons que ce moratoire soit concrétisé et demandons l'arrêt immédiat des expulsions.
Nous appelons chacun à refuser ce non - respect des personnes, cette violence symbolique et physique inacceptable qui s'exerce dans les aéroports et les centres fermés. Nous refusons de collaborer à un système digne d’un régime répressif.
Nous réclamons de notre gouvernement belge à venir et de l’Union européenne dans son ensemble une politique migratoire respectueuse des droits fondamentaux de chacun.
Dès aujourd'hui, faites le choix d'être actif pour la mémoire de Semira et plus largement pour ces revendications: arrêt des expulsions et suppression des centres fermés!
Transmettez, distribuez cet appel à vos proches, vos amis, vos collègues, à votre carnet d'adresses e - mails,…C’est important que tous se souviennent…
Prenez un peu de temps de discuter, d’expliquer s’il le faut…
D'une manière ou d'une autre, vous avez votre place dans cette mobilisation solidaire. Rejoignez-nous !!
HABILLEZ VOUS EN NOIR ET APPORTEZ DES FLEURS, BEAUCOUP DE FLEURS POUR COMMEMORER LA MEMOIRE DE SEMIRA
ce 22 septembre à l’aéroport , là ou elle a été assassinée en 1998 !
Pour ceux dont la signature manque…
signature de soutien à l'appel
- Association ...............................................................................................
- Nom du signataire ......................................................................................
Premiers signataires :
BASTA ! - Anvers
CRER - Coordination Contre les Rafles, les Expulsions et pour la Régularisation - Bruxelles
VAK - Vluchtelingen Aktie Komitee - Gand
CRACPE - Collectif de Résistance aux Centres pour Etrangers - Liége
MOUVEMENT CITOYENS PALESTINE
LDH - Ligue des Droits de l'Homme - Belgique
PTB- PVDA Parti du Travail de Belgique - Riet Dhont
Union des Locataires Marollienne - Dominique Huysmans, Manu Rabouin, Jean-Marie Stroobants
Association est Pateras de la vida Maroc - balga mohamed
RESF - Réseau Education Sans Frontières - Pierre Cordelier - France
UFLED asbl - L'Union des Femmes Libres pour l'Egalité des Droits - Naima Boudida
RESF 57 - Isabelle MIRE - Moselle FRANCE
Femmes Prévoyantes Socialistes - dominique dauby secrétaire des FPS liège
Cercle Interculturel Antonio Gramsci ASBL - Vandormael Raymond administrateur
asbl Barricade - Nicole Van Enis
PARTIJ VAN DE ARBEID
Acteurs de l'Ombre - Roland REUTER
Links Libertair - Koen Zelderloo
Coordination Nationale d'Action pour la Paix et la Démocratie - François Graas - Responsable secteur citoyenneté
Christenen voor het Socialisme
Educatief medewerkster vzw AIF - Diana Zangari
LCR Ligue Communiste Révolutionnaire - Isabelle Ponet
Afrique Autrement / Afrika anders - Lodonou.K. Yves
Formateur Ceppst-FGTB - Fontaine Pascal
Didier Somzé - enseignant Liège
HOLZEM Michèle - photographe
Eva Doumbia, metteur en scène, Marseille
. . . !
LE GEL DES EXPULSIONS
CRER - Coordination pour la regularisation et la libre circulation / Août 2007
L’année passée a été mouvementée et la question de la régularisation a sans cesse été à la une.
Des milliers de Belges ont manifesté aux côté des sans papiers. Des milliers de pétitions ont été signées réclamant une régularisation.
Le monde associatif, culturel, syndical, ect… s’est uni pour exiger une nouvelle loi de régularisation. Le monde politique a répondu à cette demande : plusieurs présidents de partis se sont engagés à mettre la régularisation au programme du prochain gouvernement.
Attendons les élections : les promesses seront tenues et les sans-papiers seront régularisés !
Mais parmi les sans-papiers et leurs amis l’inquiétude monte. Il semble que l’Office des Etrangers entende « vider » la place avant la loi tant attendue. Les exemples de rafles et d’expulsions se multiplient. On va jusqu’à chercher les enfants dans les écoles.
Les sans-papiers et tous leurs soutiens exigent donc des politiques un engagement simple et concret : le gel des arrestations/expulsions jusqu’à la régularisation.
Les Bourgmestres ont un pouvoir sur la police locale, ils peuvent demander à leur police de ne pas intervenir dans des rafles et de ne pas avertir l’Office des Etrangers lors des contrôles. Ils peuvent concrètement geler les expulsions jusqu’à ce que les Présidents de parti aient tenu leurs promesses.
Pour que la régularisation ne soit pas qu’une promesse électorale de plus, nous demandons un geste concret.
CRER / Coordination pour la regularisation et la libre circulation
Tel : 0496 40 33 09 / 0473 62 87 33
Mail ; coordsanspapiersbxl@yahoo.fr
Blog ; http://regularisation.canalblog.com/
Premier signataires :
PS - Parti Socialiste de Belgique
ECOLO - Parti Ecologiste Belge
FGTB-ABVV - Van Daele Daniel - Secrétaire Fédérale
LDH - Ligue des Droits de l'Homme - Belgique
FGTB Liegé - Huy - Waremme - Thierry BODSON - Secrétaire Régional
MRAX - Mouvement contre le Racisme, l'Antisémitisme et la Xenophobie - Belgique
CRER - Coordination Contre les Rafles, les Expulsions et pour la Regularisation - Bruxelles
MOC - Mouvement Ouvrier Chrétien- Véronique Oruba
UDEP - Union pour la defense des Sans Papiers - Mouvement National
ATTAC Mons-Borinage - Alexandre Seron
DROITS DEVANT - Freddy Bouchez
CLEA, Comité pour la Liberté d'Expression et d'Association - Luk Vervaet
LCR - Ligue Communiste Révolutionnaire
PTB- PVDA Parti du Travail de Belgique - Riet Dhont
UPJB - Union des Progressistes Juifs de Belgique - Jacques Ravedovitz, président.
CRACPE - Collectif de Résistance Aux Centres Pour Etrangers - Liège.
Forum Vrij Praten/Comité Tegen Armoede - Stefan Roumen
Comité de Soutien Aux Sans Papiers de la Région du Centre - Freddy Bouchez
LIGUE DES DROITS DE L'ENFANT - Jean-Pierre COENEN president
Collectif de la région de Verviers pour le soutien des Sans-Papiers et pour le respect du droit d'asile - Marie-Noëlle Leloup
LA 5e COUCHE Editions - Xavier Lowenth
ACTEURS DE L'OMBRE - Roland Reuter
CENTRE DES CULTURES asbl.- Tatiana De Barelli, Greta Van Vinckenroy, Benoit Marchal
PARTI COMMUNISTE - Jean Pierre Michiels
COURSE POUR LA PAIX / Vredesloop - Käthe Kollwitz
CAC Club Achille Chavée - Martine Godenir
COLFEN Collectif femmes en noir contre les centres fermés et les expulsions
L'Union des Femmes Libres pour l'Egalité des Droits asbl - Naima Boudida
Marie Nagy - Conseillère communale Ecolo à Bruxelles ville
AS.E.R.B asbl Asociacion de Ecuatorianos Residentes en
De Ketelpatrouille vzw - Frank Cool
Paul-Emile Dupret,juriste au Parlement européen, groupe GUE/NGL
Gerkens Muriel - Députée fédérale Ecolo
Mont K'i ASBL
Jean-Paul Davreux - Oupeye, Belgique
BROUHON Jean-Pierre - Ixelles
DE VILLAR DILLE, Fransi - Cinéaste - Bruxelles
PREVOST - sociologue - Hoeilaert
Marie-Françoise Cordemans - Ixelles
Marisol Palomo
Natacha Dewitte
Nellie EPINAT
Jean Pierre Wilmotte - Louvain-la-Neuve
Lemaire marc Bruxelles
Legeay Chloé
Gérald Hanotiaux
Ruben Dominguez - Etterbeek
Grevisse Cecile et Legrand Libert
Sandra Petrovich artista plástica
Buno Colet - Indepéndant Verviers
... !
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Le PS demande un moratoire sur les expulsions des sans-papiers
Le PS a déposé en 2006 une proposition de loi demandant la régularisation des étrangers sur base de critères clairs et précis ainsi que la mise en place d’une Commission permanente de régularisation.
Concrètement, le PS demande la régularisation :
- des étrangers qui ont introduit une demande d’asile ou de regroupement familial depuis plus de 3 ans (en ce compris le recours auprès du Conseil d’Etat) et qui n’ont toujours pas reçu de réponse définitive ;
- des étrangers qui ont développé des attaches sociales durables en Belgique (il y a présomption d’attaches durables lorsqu’ils séjournent dans notre pays depuis plus de 5 ans) ;
- des étrangers qui sont dans l’impossibilité, pour des raisons indépendantes de leur volonté, de retourner dans leur pays d’origine.
Suite à l’appel des associations en ce sens, le PS demande que les expulsions des personnes rentrant dans ces conditions soient suspendues jusqu’à ce que le Parlement fédéral vote leur régularisation.
Il est en effet inhumain et indigne de notre société démocratique que des familles bien intégrées, dont les enfants vont à l’école, soient expulsées alors qu’elles habitent en Belgique depuis de nombreuses années.
La procédure d’asile a été considérablement réformée en 2006 et est désormais plus rapide. Les demandes d’asile doivent être traitées dans l’année et de nombreux drames humains seront ainsi évités.
En attendant, on estime à environ 100.000 personnes le nombre de sans-papiers actuellement en Belgique. Ignorer leur existence est hypocrite. Pour le PS, l’accord du prochain Gouvernement fédéral doit nécessairement inclure un mécanisme permanent de régularisation sur base de critères objectifs et l’amélioration substantielle de certains aspects de la politique d’immigration (limitation de la durée de détention dans les centres fermés à 2 mois et interdiction de l’enfermement des familles avec mineurs).
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La bourgmestre de "Groen" de Mortsel (Anvers) ne signera plus d'ordre d'expulsions !!
Rébellion contre les expulsions
Mis en ligne le 16/07/2007
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La bourgmestre de Mortsel ne signera plus d'ordre. Guy Verhofstadt ne l'approuve pas.
La bourgmestre de Mortsel, localité située en province d'Anvers, Ingrid Pira (Groen !) a fait fort en déclarant, dans une lettre ouverte adressée au quotidien flamand "De Morgen" et publiée samedi qu'elle n'entendait plus signer d'ordre d'expulsion. Ingrid Pira interpelle dans sa missive le Premier ministre démissionnaire Guy Verhofstadt (Open VLD), lequel a récemment qualifié la stratégie actuelle sur l'immigration d'égoïste et d'inhumaine.
La bourgmestre dit partager cet avis et, liée par un engagement moral, s'estime, à la suite de telles déclarations, dégagée de son obligation de signer et d'envoyer des ordres d'expulsion d'étrangers se trouvant en état d'illégalité sur le territoire belge.
L'action de la bourgmestre de Mortsel ne pose pas immédiatement problème selon l'Office des Etrangers car le service peut signifier lui-même ces ordres d'expulsion ou les faire signifier par la police fédérale. C'est ce qu'a indiqué à la VRT le directeur-général Freddy Rosemont de l'Office des étrangers, en désaccord, on le devine aisément, avec la prise de position de la bourgmestre.
De son côté, le Premier ministre Guy Verhofstadt a estimé que cette dernière confondait, consciemment ou non, la législation sur les demandeurs d'asile avec la problématique de l'immigration.
Immigration légale
Dans un communiqué publié samedi, il a rappelé qu'une législation existe en Belgique et dans les autres pays européens et que cette législation est destinée à empêcher que notre pays accueille tous les pauvres du monde.
Cela dit, M. Verhofstadt continue à considérer que, s'agissant de l'immigration en général, les politiques européenne et américaine sont égoïstes et inhumaines.
Il plaide pour sa part en faveur de davantage de libéralisme et pour une filière d'immigration légale.
Il voudrait que l'Europe applique un système grâce auquel les personnes étrangères viendraient dans nos contrées pour travailler au développement de notre société. Il s'agira d'insérer légalement ces personnes dans notre marché du travail mais aussi sur les plans culturel et sociétal, écrit-il.
En attendant, il estime que la bourgmestre écologiste doit appliquer la loi laquelle a été approuvée par une large majorité démocratique.
(avec Belga)
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Anciaux appelle les bourgmestres à ne plus signer d'arrêtés d'expulsion !!
Le ministre flamand de la Culture et du Sport, Bert Anciaux, a appelé lundi sur son blog tous les bourgmestres à la désobéissance civile. Il leur demande de ne plus signer d'arrêtés d'expulsion.
M. Anciaux, figure de proue de Spirit, soutient de la sorte l'initiative lancée par la bourgmestre de Morstel, Ingrid Pira (Groen!). La mandataire écologiste a annoncé samedi qu'elle ne signerait plus ce genre d'arrêté, après avoir lu une tribune libre écrite par le premier ministre sortant Guy Verhofstadt et dans laquelle il qualifiait d'inhumaine et égoïste la stratégie actuelle en matière d'immigration. L'intéressé a tenu à préciser le jour même que la bourgmestre confondait la législation sur les demandeurs d'asile et la problématique de l'immigration et l'enjoignait à appliquer la loi approuvée, précisait-il, par une large majorité démocratique.
M. Anciaux a félicité quant à lui Mme Pira. "Ingrid, je suis fier de vous! J'appelle tous les bourgmestres à la désobéissance civile. Les riches immigrants dictent la loi, les pauvres diables doivent dégager. Nous devons mettre un terme à cette situation inhumaine", écrit-il sur son blog. Le ministre veillera de son côté à utiliser toutes les compétences
qui sont les siennes pour donner une chance aux illégaux -jeunes, sportifs, artistes ou enfants- de rester ici. "La tolérance envers ceux qui sont venus tenter leur chance ailleurs peut considérablement s'accroître lorsque les déplacements de populations provoquent tant de dégâts et menacent l'homme ainsi que la nature", a-t-il ajouté.
Le président de l'Union flamande des Villes et Communes a rappelé qu'il revenait au ministre de l'Intérieur de refuser à un étranger l'accès au territoire et de lui donner l'ordre de le quitter. La décision est ensuite communiquée par lettre recommandée ou par les personnes désignées dans un arrêté ministériel de 1995: policiers fédéraux, fonctionnaires de l'Office des étrangers ou encore le bourgmestre ou un fonctionnaire
communal.
"Dans la pratique, l'on recourt au bourgmestre ou aux services communaux parce qu'ils savent en général où réside la personne expulsée. Si Ingrid Pira ne veut pas coopérer, la police fédérale ou l'Office des étrangers peuvent toujours agir", a-t-il souligné. Tant au cabinet du ministre flamand des Affaires intérieures, Marino Keulen, qu'au cabinet du ministre fédéral de l'Intérieur, Patrick Dewael, l'on n'a pas souhaité réagir aux propos de M. Anciaux. "Sottises", a-t-on simplement commenté. (belga)
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Bourgmestres et Office des Etrangers opposés au sujet des immigrés
La désobéissance civile des bourgmestres et le manque de collaboration des pouvoirs locaux concernant les expulsions, est tout à fait inacceptable, a indiqué mardi soir l'Office des Etrangers en réaction à la décision de la bourgmestre de Mortsel Ingrid Pira et certains de ses collègues de ne plus signer d'arrêtés d'expulsion.
"C'est l'Office des Etrangers -et non les bourgmestres et les pouvoirs locaux- qui est compétent pour la politique des étrangers", a fait savoir l'Office des Etrangers dans un communiqué. Il précise que les bourgmestres et les pouvoirs locaux doivent appliquer la loi. Lorsqu'un étranger ne peut plus rester en Belgique, l'Office des Etrangers prend une décision administrative et la personne en question reçoit un ordre de quitter le territoire qui doit être signé par le bourgmestre.
Le week-end dernier, Ingrid Pira (Groen!) a annoncé qu'elle ne signerait plus ce genre d'arrêté, après avoir lu une tribune libre écrite par le premier ministre sortant Guy Verhofstadt et dans laquelle il qualifiait d'inhumaine et égoïste la stratégie actuelle en matière d'immigration. Les bourgmestres de Zwijndrecht, Gand, Roulers et Courtrai ont alors suivi son exemple.
(belga)
Plus d'info sur ; http://oscarflores.canalblog.com/
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Le camp pro-Sharif se tourne vers la Cour suprême au Pakistan
ISLAMABAD (Reuters) - Les partisans de l'ancien Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif comptent déposer ce mardi un recours devant la Cour suprême contre l'expulsion la veille de leur leader vers l'Arabie saoudite, quelques heures après son retour d'exil.
Le mois dernier, la plus haute instance judiciaire du pays avait affirmé le droit au retour "inaliénable" de Sharif.
Les relations entre la Cour suprême et le président Pervez Musharraf, dont le retour de Sharif vient troubler le jeu politique, sont très tendues depuis que le chef de l'Etat a tenté de limoger le premier magistrat de la Cour en mars.
Ce dernier a été réintégré en juillet.
Les partisans de Sharif, qui s'étaient eux aussi heurtés à l'institution quand ce dernier était au pouvoir - la Cour avait été mise à sac en 1997 - cherchent maintenant à obtenir son appui.
"Le gouvernement s'est montré coupable de mépris envers la cour et a enlevé le Premier ministre doublement élu du Pakistan. Nous allons contester cette action devant le tribunal", a déclaré Khawaja Mohammad Asif, un haut responsable du parti de Nawaz Sharif.
La presse, qui jouit d'une liberté plus grande sous Musharraf que sous Sharif, a déploré que le gouvernement ignore le jugement de la Cour suprême. Pour le journal anglophone News, "c'est un acte de pur désespoir de la part d'un gouvernement qui semble désormais opérer sous l'emprise de la panique".
"Le pays doit s'attendre à une période troublée dans les prochains jours ou les prochaines semaines."
Un groupe de l'opposition favorable à Sharif a appelé à des manifestations et les avocats, qui sont depuis mars dernier à la pointe pour dénoncer les décisions de Musharraf, ont décidé de boycotter les tribunaux.
L'Union européenne a estimé lundi que le gouvernement pakistanais aurait dû suivre l'avis de la Cour suprême et laisser Nawaz Sharif se défendre dans son pays des poursuites pour corruption dont il fait l'objet.
Les Etats-Unis ont contesté l'expulsion en termes plus mesurés, en soulignant qu'il s'agissait d'une affaire en suspens. Ils sont aussi exhorté Musharraf à trouver des moyens de coopérer avec l'ancienne Premier ministre Benazir Bhutto.
Celle-ci, qui négocie un accord de partage du pouvoir avec l'auteur du coup d'Etat militaire de 1999 qui a chassé du pouvoir Nawaz Sharif, pourrait revenir en octobre au Pakistan.
10:34 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Découverte d'un véhicule bourré d'explosifs dans un garage d'Ankara
ANKARA, Turquie - Le gouverneur d'Ankara a annoncé mardi que des chiens de la police ont découvert un véhicule bourré d'explosifs stationné dans un garage de la capitale turque alors que la police a renforcé les mesures de sécurité par crainte d'attentats coïncidant avec l'anniversaire des attentats du 11 septembre 2001.
Le gouverneur Kemal Onal a précisé qu'une importante quantité d'explosifs était dissimulée dans une fourgonnette portant une fausse plaque minéralogique. Les démineurs sont sur place et les habitations alentours ont été évacuées à titre de précaution. AP
10:33 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Les ravisseurs d'un otage allemand en Irak lancent un ultimatum
DOUBAÏ (Reuters) - Les ravisseurs de l'otage allemand enlevé en Irak en février donnent dix jours à Berlin pour retirer ses troupes d'Afghanistan, faute de quoi ils exécuteront leur prisonnier, ont-ils annoncé dans une vidéo diffusée sur Internet.
Sinan Krause avait été enlevé à Bagdad avec sa mère, Hannelore, le 6 février par un groupe d'insurgés irakiens, le Kitaeb Siham el Hak (Flèches de la vertu).
Hannelore Krause a été libérée le 11 juillet
10:30 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |