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jeudi, 24 avril 2014

Le "Vieux" Abdoulaye Wade manipule par Jean Claude M.

Je rappelle que les sénégalais doivent être très vigilants sur les manipulations de wade. En effet de sources sûres, depuis l'interdiction de la marche et du meeting, wade, sachant que la foule ne sera pas au rendez-vous, à fait un détours à Casablanca, histoire d'y rester un moment pour voir les choses évoluer à Dakar, avant de te décoller pour Dakar. Alors, comme il suit en direct les événements à Dakar et qu'il s'est rendu compte de l'absence de foule comme en 1999, il cherche des subterfuges en tentant un autre coup, celui de mettre en mal le régime actuel au pouvoir au Sénégal en faisait distiller des rumeurs sellons lesquels le maroc ou le Sénégal ne veulent lui donner une autorisation de décoller du maroc ou de d'atterrir à Dakar. Tout ceci est un montage minutieux qui n'a aucun but que de semer la confusion, inciter les populations à la réaction, la violence, et semer le discrédit sur Macky sall.
Je tins à rappeler que tout ceci n'est que cirque et théâtre de sa part car ni le royaume chérifien encore moins le gouvernement sénégalais ne lui ont refusé quoi que ce soit.je parle en connaissance de cause car je suis au cœur des dispositifs de cet événement.
Abdoulaye wade ne voulant plus aller à Dakar faute de trouver sur place une vraie mobilisation, serait tenté de trouver des raisons sur le dos des gens qui ignorent totalement son voyage. Je reviendrai tout à l'heure sur d'autres éléments pour vous éclairer.
Prudence, prudence,...

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mercredi, 23 avril 2014

Mon voyage de rêve

mardi, 22 avril 2014

Lettre ouverte à monsieur Idrissa SECK

Nous ne sommes pas surpris, et personne ne l’est d’ailleurs quant à votre dernière mise en scène. Et même si nous l’étions monsieur SECK, vous avez révélé encore une fois votre aptitude à vociférer des méchancetés à l’endroit du président Macky Sall que le peuple sénégalais a choisi en vous disqualifiant dès le premier tour des élections de 2012.

Vous avez révélé en plus votre nature pitoyable à accepter difficilement la volonté divine et celle émise par le peuple sénégalais le 25 Mars 2012.

Idrissa le tortueux, Idrissa le populiste ; que ne feriez-vous pas pour être un jour président de tous les sénégalais ? Ce rêve que vous avez toujours nourri : « Born to be a president », « IDY 4 President » tarde à se réaliser.

Votre aigreur et votre mélancolie ont fait de vous un haineux au point de prendre les dignes fils de ce pays pour des demeurés sous l’emprise d’une amnésie totale.

Comment confier la tête de notre cher Sénégal à quelqu’un qui n’est même pas capable de gérer lui-même une mairie ?

Quelqu’un qui s’est comporté en criminel économique avec nos deniers publics et qui de surcroit nous nargue depuis des années.

Acteur habile est inégalable dans ce grand théâtre de la politique pour les nuls, monsieur SECK assimile et excelle dans son rôle de tartuffe dans la scène politique sénégalaise.

Jamais vous ne ratez l’occasion de nous faire oublier le préjudice financier que vous nous avez fait subir. Ce butin digne d’Ali Baba et les quarante voleurs vous permet aujourd’hui de voyager tout frais payer par l’argent du contribuable, de dignes fils de ce pays.

Votre conscience n’est pas tranquille et ne saurait l’être, je le sais et vous le savez, même si vous faites abstraction de votre état d’esprit : les faits sont têtus.

Non Monsieur Seck, votre seule et unique maladie n’est pas le quotidien des Sénégalais mais le vôtre. Votre état psychologique hanté partout et tout le temps par cet acte ignoble, cette forfaiture qui vous a valu un séjour carcéral et que votre non-lieu ne peut effacer dans la conscience des Sénégalais.

Oui votre retour est souhaité par vous-même et vos acolytes et répond à une stratégie d’être au pays avant Maître WADE pour ne pas se faire oublier. Bien vu mais les Sénégalais vous voient tous les deux comme les marionnettes d’un cirque qui a connu son épilogue le 25 Mars 2012.

Retrouvaille pour retrouvaille, ce sera du déjà vécu avec vous deux mais la vérité triomphe toujours. Le simulacre de vérité auquel vous voulez nous faire adhérez sera vain.

Nous vous invitons au travail pour vous faire pardonnez par ce vaillant peuple sénégalais à qui vous devez votre existence actuelle inespérée.

 

IBRAHIMA MBODJI

Le monde des Affaires en Rhone-Alpes

lundi, 21 avril 2014

Vote des femmes françaises:Après les Américaines, les Britanniques ou les Turques

Ce droit, conquis de haute lutte par les Françaises, des décennies après les Américaines, les Britanniques ou les Turques, n'est plus contesté. Seuls quelques organes de presse anticléricaux publient encore des caricatures d'électrices confondant l'urne avec un bénitier, raillant la prétendue soumission des femmes aux ordres du clergé.

Si le droit de vote "est un honneur pour la femme, ses souffrances de guerre, ses mérites dans la lutte pour le pain familial, pour la concorde humaine, la liberté, la libération de la France", font qu'"elle l'a bien mérité", écrit, à l'époque, "La Voix des communes".

Ce 29 avril, les Françaises se sont déplacées en masse. On enregistre dans plusieurs villes de France, des taux de participation féminine identiques à ceux des hommes. Ce ne sera plus le cas par la suite, les femmes étant plus tentées par l'abstention que les hommes jusqu'aux années 1960. Des politologues expliquent le pic de 1945 en faisant valoir que nombre d'hommes n'étant pas revenus des camps de prisonniers, la participation masculine était réduite d'autant.

Dès cette première consultation, plusieurs femmes sont élues. Certaines sont très jeunes. Beaucoup sont issues de la Résistance ainsi que du Parti communiste. Odette Roux, 28 ans, est élue maire des Sables d'Olonne en Vendée, Pierrette Petitot à Villetaneuse en région parisienne et exercera sa fonction jusqu'en 1977. Dans la petite commune d'Echigey (Côte-d'Or), la maire et tous les membres du conseil municipal sont des femmes. Mais ces cas restent anecdotiques. On estime à 3% le nombre de femmes conseillères municipales en 1945. Neuf font leur entrée au Conseil de Paris... sur 90 élus.

En 1993, elles ne sont ainsi que 5,7% à siéger au Parlement, à peine plus qu'au sortir de la deuxième Guerre mondiale. "On a assisté entre 1945 et les années 1990 à une baisse permanente du nombre de femmes élues à l'Assemblée nationale", relève aussi Françoise Picq, spécialiste de l'histoire du féminisme.

"La persistance de la sous-représentation des femmes en politique a alors été interprétée comme le signe que des blocages structurels perduraient", souligne Réjane Sénac.

Pour contrer cette tendance, la France est le premier pays à adopter une législation se fondant sur le principe de parité. La Constitution est révisée et une première loi, en 2000, contraint les partis politiques à présenter un nombre égal de femmes et d'hommes lors des scrutins de liste. Depuis, de nombreuses législations, de plus en plus contraignantes, sont venues réformer les scrutins.

Il faudra attendre 70 ans avant que la capitale ne soit dirigée par une femme.

mardi, 15 avril 2014

Dakar "oh" du Karim Wade

Libération ‘’Karim Wade mal barré’’, affiche Libération sur le même sujet,

sauf que ce journal parle plutôt 45 milliards découverts par une commission

rogatoire mandatée la Commission d’instruction (CI) de la Cour de répression

de l’enrichissement illicite (CREI), dans un compte qui appartiendrait à,

l’ancien ministre d’Etat. ‘’À la date du 26 avril 2013, le solde du compte était

de 93.726.204 millions de dollars US (…), le compte a été alimenté à hauteur

de 25n millions de dollars par Dubaï Ceramic, une filiale de… Dubaï World qui

explicite le terminal à conteneurs du Port (de Dakar)’’, renseigne le quotidien

‘’Parmi les bénéficiaires de ce compte, la commission rogatoire cite Pape

Pouye, Bibo Bourgi, mais aussi…Tahibou Ndiaye (l’ancien directeur du Cadastre,

également mis en cause dans la traque des biens présumés mal acquis) qui a

reçu un virement d’un milliard de FCFA’’, écrit-t-il.

Enquête ‘’Une énigme à 45 milliards’’, souligne également Enquête à sa Une.

Le journal note que la société titulaire de ce compte a été enregistré aux

Iles Vierges Britanniques, ‘’exactement le 7 décembre 2011, à quatre mois

de l’élection présidentielle de 2012’’, qui a vu le président Wade quitter le

 Cela dit, les quotidiens ne s’accordent pas sur le même chiffre,

La Tribune, à son tour, évoque un compte de 35 milliards, le fond de l’affaire

restant cependant le même

Quotidien. ‘’Singapour livre Karim Wade à quelques jours de la décision de la

Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite’’,

écrit le journal en allusion à la fin de l’instruction du dossier de Karim Wade.

Selon ce journal, ces ‘’éléments nouveaux’’ ont été notifiés aux avocats de

Karim Wade qui demandent l’annulation de la procédure vidant leur client.

Le Quotidien Ils viennent ‘’corser le dossier pour lequel, et entre autres raisons,

Abdoulaye Wade est annoncé à Dakar le 23 avril prochain’’, annonce Le

 Le Populaire ‘’Attendu à Dakar le 23 avril, Wade attendu de pied ferme’’,

relève Le Populaire, annonçant que le Parti démocratique sénégalais (PDS), sa

formation politique, sonne la mobilisation.

Siweul qui annonce à son tour Wade-père à Dakar, le 23 avril.

vendredi, 11 avril 2014

Dakar:Conférence de Presse de Latif Coulabaly

mardi, 08 avril 2014

Rwanda: l'histoire d'un génocide

L’UE MISE EN CAUSE DANS UNE PERSPECTIVE GLOBALE

Peu de journalistes, encore moins d’historiens ont analysé le génocide rwandais dans la

perspective géopolitique globale de la déstabilisation de la région des Grands Lacs et de sa

recolonisation rampante.

Mettre en rapport le génocide rwandais – élément déclencheur qui a permis l’arrivée au

pouvoir de Kagame -, la crise du Congo, le régime Kabila, la crise de la région des grand

lacs, et le régime Kagame qui en est l’acteur majeur, avec ses complicités dans l’UE et en

Occident : c’est ce que fait le livre de Charles Onana, journaliste d’investigation franco-
camerounais. Dont nous partageons les analyses.

« Je ne comprenais pas pourquoi l’Europe, qui prône la défense des droits humains et de

la démocratie, s’accommode tant du trucage des élections au Rwanda et en RDC et de la

violation des droits de la personne dans ces deux pays, dit-il. Je m’étonnais aussi du silence

persistant en Europe sur le harcèlement des militants des droits humains et leur assassinat tant

au Rwanda qu’en RDC. J’ai donc décidé d’enquêter dans « l’arrière-cuisine » de la diplomatie

européenne ».

A partir des notes internes du Conseil de l’Europe, des rapports restreints de la Commission

Européenne et des confidences de diplomates et de hauts fonctionnaires européens, Charles

Onana dans son livre EUROPE, CRIMES ET CENSURE AU CONGO (Editions Duboiris)

(1) apporte de nombreuses preuves sur la bienveillance des institutions européennes à l’égard

du régime de Paul Kagame dans ses actions criminelles en RDCongo.

Dans ce livre riche en révélations et documents inédits, on découvre notamment :

· Comment Joseph Kabila a été imposé à la tête de la République Démocratique du Congo

(RDC) en 2006 par George Bush et de Jacques Chirac au moyen d’élections truquées et

financées par l’Union Européenne (UE) ;

· que la condition exigée à Joseph Kabila pour rester au pouvoir était qu’il se taise sur les

incursions rwandaises à l’Est de la RDC et sur les atrocités commises par les hommes de

Kagame ;

· que malgré la multiplication des rapports internes attestant clairement de la présence des

soldats rwandais à l’Est de la RDC, l’UE nie officiellement l’invasion du Congo par le

Rwanda et censure tout discours mettant en cause Paul Kagame et ses hommes ;

· que l’Union Européenne a dépensé plusieurs millions d’ euros pour bâtir une armée

congolaise avec des truands, des violeurs et des criminels contre l’Humanité, malgré les

inquiétudes de certains hauts fonctionnaires sur ce « brassage » périlleux.

Au terme de cette enquête délicate et dérangeante, qui nous mène des bureaux feutrés de

Bruxelles, où l’on étouffe surtout les scrupules, aux dangereuses forêts de l’Est du Congo

peuplées de réfugiés, de tortionnaires, d’enfants-soldats et de chercheurs de coltan, en passant

par les salles de réunion de l’ONU, on mesure à quel point l’écart est grand entre les valeurs

proclamées par l’Union Européenne et la réalité de ses interventions sur le terrain. Un tableau

terrifiant qui met à mal le prestige des institutions européennes, qui pose questions sur

l’idéologie de l’UE et qui peut légitimement inquiéter le contribuable européen quant au bien-
fondé et aux véritables objectifs de la diplomatie de Bruxelles en Afrique et au Congo.

KAGAME, OMBRE ET LUMIERE

Côté lumière, le président Kagame est largement crédité de la spectaculaire transformation

du pays depuis 20 ans avec une incontestable réussite économique et la forte éradication

de la corruption. Dévasté et traumatisé lorsque les rebelles du FPR prirent le pouvoir en

1994, mettant fin à un génocide qui venait de faire environ 800.000 morts essentiellement

dans la minorité tutsi, le Rwanda a enregistré ces dernières années la croissance la plus forte

d'Afrique de l'Est.

Mais détracteurs du régime et observateurs dénoncent un monopartisme de fait - bien que

onze partis soient enregistrés officiellement - et l'absence de liberté d'expression.

Côté ombre, les critiques visent la démocratie de façade, mais aussi et surtout la politique

extérieure du régime Kagame et ses interventions chez ses voisins. Et particulièrement le rôle

du Rwanda dans la crise congolaise.

Ainsi Charles Onana met en cause à la fois l’interventionnisme déstabilisateur du Rwanda

dans la région des Grands Lacs et singulièrement au Congo (RDC), mais aussi son rôle

comme agent des multinationales …

Grands Lacs:Charles Onana accuse Bruxelles

« Pour les dirigeants de Bruxelles, les millions de morts du Congo ont nécessairement moins

d’importance que les « 800.000 » victimes tutsi du Rwanda. Ces victimes congolaises ont

d’autant moins d’importance que leurs bourreaux sont précisément des rebelles tutsi du

Rwanda. C’est ce parti pris obscène qui choque aussi les Congolais. Une victime quelle que

soit son origine ethnique, son appartenance religieuse ou sa couleur mérite d’être considérée

et respectée. Ce n’est pas le cas actuellement dans les Grands Lacs. Les victimes congolaises

et hutu ne sont pas traitées à égalité avec les victimes tutsi, et ce, depuis bientôt vingt ans.

Cela est inacceptable, pervers et dangereux pour l’avenir et pour l’histoire. Le comportement

des dirigeants européens et celui des organisations internationales est, dans cette tragédie,

contraire aux principes d’équité, d’impartialité et d’égalité de traitement »

 

- Charles Onana.

jeudi, 27 mars 2014

Coupe de France - Entre Monaco et Lens, il y a un monde d'écart

Large vainqueur du RC Lens (6-0), Monaco s'est facilement qualifié pour les demi-finales de la Coupe de France, mercredi, au Stade Louis II. L'ASM affrontera Guingamp pour une place en finale.

monaco.jpg

Mercredi, cela s'est vu sur la pelouse du Stade Louis-II. Le duel entre les deux nouveaux riches du football français a largement tourné en faveur de l'ASM qui s'est nettement imposée (6-0)  pour filer en demi-finale, où l'attend Guingamp au Roudourou. Un score lourd mais logique vu les forces en présence et le réalisme des Monégasques. Alors que la place de dauphin leur est promise en Ligue 1, la Coupe de France constitue leur seule chance de remporter un titre cette saison. D'autant plus que le PSG a été stoppé dès les seizièmes de finale par Montpellier (1-2). Le RCL, lui, va retourner à son premier objectif : retrouver la Ligue 1. Mais il vient de mesurer tout le chemin qu'il lui reste à parcourir.

Mourinho sur les1/4

mardi, 18 février 2014

Immigration marocaine et si on se disait tout

 

 

 

 

 

 

 

 

Les 50 ans de l’immigration marocaine marchent sur des oeufs.

Trop de non-dits, de susceptibilités qui pourraient dégénérer

© Image Globe

Pour les quarante ans de la convention belgo-marocaine sur le recrutement de

travailleurs marocains, en 2004, Le Vif/L’Express avait interviewé un jeune

politologue liégeois, chargé d’orchestrer les commémorations officielles:

Hassan Bousetta. À l’époque, il était peu connu. Mais pour les jeunes

progressistes francophones d’origine marocaine, c’était déjà lui l’emblème de

leur génération. Depuis, il a fait comme beaucoup de talents en Communauté

française. Après avoir débrouillé une affaire compliquée relative au culte

musulman (l’organisation d’élections) à la demande de la ministre de la Justice

de l’époque, Laurette Onkelinx (PS), il est entré en politique, devenant

successivement conseiller communal socialiste à Liège, puis sénateur, tout en

conservant sa charge d’enseignant à l’ULg.

Politologue assidu des colloques et de la Fondation Roi Baudouin, il tenait

alors des positions centrées sur le groupe marocain, son sentiment de

victimisation après les attentats du 11 Septembre et son besoin de

reconnaissance « culturelle », c’est-à-dire la prise en compte de son identité

musulmane. « Après les attentats du 11 Septembre, on a voulu se

repositionner en tant que fils de travailleurs, inscrits dans l’histoire socioéconomique

du pays », précise-t-il. Il n’a pas changé de ligne : à côté de

l’insertion par les droits socio-économique, il faut la reconnaissance.

Dix ans plus tard, les envolées lyriques sur le 50e anniversaire de

l’immigration marocaine lui laissent un goût de trop peu. Certes, la société

accepte mieux la diversité de ses membres. Certes, comme lui, les élites

marocaines se sont fondues dans la société, revendiquant sans complexe leur

belgitude. « Mais c’est l’arbre qui cache la forêt, regrette Hassan Bousetta. On

ne parle pas assez des difficultés très sérieuses qui subsistent: discrimination

massive, méfiance à l’égard de l’islam, expulsion de Marocains, départ des

jeunes combattants en SyrieLa communauté est débordée par ceux qui

prétendent détenir le monopole du « vrai islam » et en même temps, elle a

besoin d’être reconnue dans son identité religieuse. Quant au Maroc, ses

retards de développement et ses difficultés avec les droits de l’homme restent

préoccupants. » Le discours d’autocélébration tombe donc à côté de la plaque.

Prises entre deux radicalismes, les autorités ne veulent surtout pas rallumer

les sujets qui fâchent, à l’instar de la Ville de Verviers qui fête ses immigrés,

mais qui a relégué en sous-titre le « Bienvenue en Belgique » qui devait faire

la Une.

Non, toutes les choses ne se déroulent pas merveilleusement au sein de la

communauté marocaine et en dehors de celle-ci. Les discriminations élèvent

un mur derrière lequel beaucoup de Marocains se replient. Les torts ne sont

pas d’un seul côté. Les autorités belges, qui se distinguaient par la pseudogénérosité

de leurs politiques d’accueil, ont raté le principal : donner une

formation et un emploi à tous. Aujourd’hui, elles rament, malgré les restrictions

à l’asile et au regroupement familial qui, quoi qu’en disent les clichés faciles

sur les « emplois dont les Belges ne voulaient plus », a été le principal vecteur

de l’immigration marocaine. Cela n’enlève rien au courage de ceux qui, en

1964 et plus tard, ont fait leur vie en Belgique avec énergie et créativité,

brûlant, comme tout migrant, de « rendre » quelque chose de positif...

Si les 50 ans de l’immigration marocaine devaient porter un projet à dix ans,

ce serait, pour Hassan Bousetta, dans le domaine des arts, de la culture, des

sciences et des techniques. « Je crois aux petites initiatives qui rapprochent

les deux bords de la Méditerranée », dit-il. Moins de discours, mais des actes

sous le sceau de la réciprocité.

Sénégal:Revue de Presse

 

La presse quotidienne sénégalaise rapporte lundi les critiques de responsables de l’Alliance pour la République (APR), le parti au pouvoir, suite à la publication du contenu du rapport de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI) dirigée par Amadou Mahtar Mbow.

 

L’As fait part des réserves du président de la République, Macky Sall, par ailleurs commanditaire dudit rapport. ‘’Opposé à tout référendum et contre certains articles proposés par Mbow et compagnie, Macky déchire le projet de constitution’’, soutient le journal. 

 


Enquête de son côté, qui retrace ‘’les lignes de fracture’’ qui expliquent la ‘’douche froide collective’’ subie, depuis jeudi soir, par le texte de proposition de réforme des institutions de la République du Sénégal. Le journal qualifie précisément de ‘’volée de bois vert des apéristes’’ la réaction de membres influents de l’APR, dont les attentes seraient déçues par le compte rendu de la CNRI, qui est composée de personnalités indépendantes.

 

Rewmi-Quotidien Le porte-parole de ce parti, ‘’Seydou Guèye censure Mahtar Mbow’’, écrit le journal.

 

 tandis que L’Observateur constate à son tour que ‘’l’APR a déchiré la constitution de Mbow’’, ancien ministre sénégalais et ex-Directeur général de l’UNESCO. 

 

Selon les protestataires, les membres de la CNRI en ont fait plus qu’il ne leur a été demandé en produisant un avant-projet de constitution à la place de simples propositions de réformes institutionnelles à soumettre au chef de l'Etat pour améliorer la gouvernance politique. ‘’Amadou Mahtar Mbow et compagnie ont outrepassé leur mission’’, rapporte L’Observateur citant Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire de la majorité, qui aurait ‘’tiré’’ sur les membres de la CNRI, à l’instar de ses camarades parti Mor Ngom (ministre) et Thérèse Diouf Faye. 

 

Dans les mêmes colonnes, Thierno Alassane Sall, coordonnateur de la Convergence des cadres républicains (CCC) réfléchit, à haute voix, sur l’opportunité et la pertinence de certaines propositions comme celle relative à l’incompatibilité des fonctions de chef d’Etat et chef de parti politique. M. Sall la ‘’rejette à cause du contexte actuel’’, écrit L’Observateur. Il compare le chef de leur parti à ‘’un pôle de stabilisation’’ pour une jeune formation, créée à peine trois ans avant son accession au pouvoir. 

 

Macky Sall a créé l’APR en fin 2008 et a été élu président de la République en mars 2012. Pour justifier le cumul des deux charges, celle de l’Etat avec celle partisane, d’autres responsables de l'APR ruent dans les brancards.

 

 Sud Quotidien retient la position du ministre Oumar Youm et rappelle la réserve du député Moustapha Diakhaté. ‘’Youm et de Diakhaté optent pour le parti’’, note-t-il.

 

Le Quotidien. Le professeur Ismaïla Madior Fall ‘’corrige’’ la copie de la CNRI’’, renchérit Le journal qui affiche, en appels à sa Une, des extraits de son entretien avec ce juriste et par ailleurs conseiller du président de la République, Macky Sall. 

 

‘’La Commission a outrepassé ses attributions’’, selon le Pr Fall, cité par le journal qui ajoute d’autres citations du constitutionnaliste : ‘’L’avant-projet (de constitution) contient des projets irrecevables’’ et ‘’Interdire au président d’être chef de son parti ne paraît pas pertinent’’.SAB

 

 

 

A la une de la presse africaine

 

« Jusqu’à présent, note Le Républicain à Bamako, les négociations entre le gouvernement malien et les groupes armés du Nord peinaient à démarrer. Face à cet état de fait, la Mission des Nations unies au Mali (Minusma), a pris le taureau par les cornes ». Et c’est ainsi que « des pourparlers ont débuté jeudi dernier. La rencontre visait essentiellement à déclencher le processus de cantonnement des groupes armés […]. Et les différentes parties ont semblé accorder leurs violons, se félicite Le Républicain, car à l’issue de la rencontre, une douzaine de sites de cantonnement ont été identifiés dans les trois régions du Nord. Cantonnement des groupes armés qui pourrait débuter entre le 25 février et le début du mois de mars. »

 

C’est donc un premier pas dans le processus de réconciliation au Mali. Un processus très attendu. En effet, « il y a urgence », s’exclame La Nouvelle République, autre périodique malien. « Après son élection, le président de la République, IBK, avait fait de la réconciliation et du retour de la paix, la pierre angulaire de tout son programme. Mais force est de reconnaître que les choses ne sont pas allées au rythme souhaité. […] Le retour de la violence armée et le spectre des enlèvements prouvent qu’il y a urgence, poursuit La Nouvelle République. Il faut cravacher et aller vite. Parce que chaque minute de perdue est à mettre au bénéfice de ceux qui œuvrent pour le pourrissement de la situation. »

 

« Pour le bonheur et la prospérité des Maliens, IBK doit donc négocier avec les groupes armés », affirme de son côté le journal Mutation. « Espérons, implore-t-il, que le bon sens puisse guider le président de la République, les groupes armés et la communauté internationale pour que le Mali retrouve son lustre d’antan. »

 

Avancées notables ?

 

Le quotidien Le Pays au Burkina voit dans les pourparlers de ces derniers jours des « avancées notables : […] en prélude au processus de DDR (Désarmement, démobilisation, réinsertion), une douzaine de sites de cantonnement ont été identifiés dans les trois régions du Mali, relève le quotidien burkinabè, à savoir Kidal, Gao et Tombouctou. Des critères d’éligibilité au cantonnement ont même été définis et acceptés par toutes les parties prenantes. Et cerise sur le gâteau, les groupes armés disent reconnaître l’intégrité du territoire malien et acceptent désormais que les négociations se tiennent à Bamako sous l’égide des facilitateurs. Le moins que l’on puisse dire, poursuit Le Pays, c’est que ces avancées considérables, qui méritent d’être saluées à leur juste valeur, constituent, pour ainsi dire, une victoire d’étape pour le président malien Ibrahim Boubacar Keita pour qui, il n’est plus question de dialoguer avec les groupes armés en dehors du territoire malien. Reste maintenant à savoir, tempère le quotidien burkinabè, si ces négociations qui débuteront bientôt, permettront véritablement une sortie de crise définitive au Nord-Mali, aujourd’hui considéré comme une zone de non-droit où narcotrafiquants et autres contrebandiers font la pluie et le beau temps. »

 

L’armée déminée

 

Autre dossier dans lequel on note également des avancées : le coup de balai au sein de l’armée malienne. L’Observateur Paalga, toujours au Burkina, se félicite de « l’implacable traque des membres de l’ex-junte militaire impliqués dans l’affaire dite 'des bérets rouges', du nom de ces soldats fidèles au président déchu ATT et soupçonnés de tentative de contrecoup d’Etat en 2012. Plusieurs d’entre eux avaient été arrêtés et certains torturés à mort. » IBK s’est donc appliqué à « nettoyer les écuries du capitaine Sanogo, chef de l’ex-junte bombardé général quatre étoiles. […] Le général d’opérette est derrière les barreaux depuis novembre dernier » rappelle le quotidien burkinabé. Et récemment, « d’autres anciens putschistes ont rejoint leur mentor en prison pour 'complicité d’enlèvement ou complicité d’assassinat'. Parmi les nouveaux embastillés, l’ancien ministre de la Défense et chef d’état-major particulier d’IBK, le général Yamoussa Camara. Comme quoi, relève L’Observateur Paalga, même à l’ombre du chef, on reste exposé à la justice, comme le citoyen lambda. Marque de fabrique des véritables Etats de droit. »

 

Mêmes hommes, même gestion ?

 

Des avancées donc, mais pas certain qu’un vrai changement s’opère au Mali… C’est l’analyse de l’historien et spécialiste du Mali, Charles Grémont, interrogé par le quotidien français Libération : « devant la non-action du pouvoir à Bamako, la France et la communauté internationale ont mis un coup de pression », constate-t-il, mais « le pouvoir malien n’a pas les moyens de sa politique, l’armée est encore faible, en voie d’être purgée de ses éléments proches de Sanogo. » De plus, IBK est « un nationaliste, poursuit Charles Grémont, plutôt autoritaire, qui n’est pas favorable à un dialogue avec les groupes séparatistes, qui ont pourtant abandonné l’idée d’indépendance. » Qui plus est, renchérit le chercheur français, « les hommes qui ont trempé dans les complicités sous ATT, ainsi que les grands notables, sont toujours là et siègent à l’Assemblée dans le seul intérêt de se maintenir au pouvoir. Ces gens représentent-ils une alternative crédible pour répondre à la gravité de la situation ? C’est assez atterrant comme constat.

 

Mohamed Moustapha Mbacké

 

samedi, 15 février 2014

Ligue 1 - Monaco ne lâche pas le morceau

Après la victoire du PSG, Monaco a répondu par un succès à Bastia (0-2), samedi lors de la 25e journée. L'ASM, solide deuxième, reste à cinq longueurs du club de la capitale.

Monaco reste le solide dauphin du PSG. Au terme d'un match longtemps fermé, l'ASM a assuré l'essentiel en s'imposant à Bastia (0-2) lors de la 25e journée de Ligue 1. Après deux matches nuls en championnat, les hommes de Claudio Ranieri renouent avec la victoire et parviennent à suivre la cadence imposée par Paris, toujours en ligne de mire à seulement cinq points.

A Furiani, où les Corses s'étaient montrés intraitables depuis le début de l'année (trois victoires toutes compétitions confondues), les Monégasques s'en sont remis à James Rodriguez, auteur de son premier doublé en France. Le Sporting, qui a fait un bond de quatre places cette semaine après sa victoire à Toulouse (3-1) et les trois points attribués par la LFP, reste bloqué à la 8e place. Bordeaux pourrait même le devancer en cas de succès à Reims, samedi soir.

Abidal en tribunes, Cissé mécontent

Malgré la fatigue après la qualification au bout de la prolongation à Nice en Coupe de France (0-1 a.p.) mercredi, Monaco suit le rythme au lendemain de la victoire du PSG face à Valenciennes (3-0). Il a pourtant fallu la patte gauche de Rodriguez pour forcer le verrou bastiais. D'abord sur coup franc juste avant la pause (45e) puis sur une contre-attaque de près de 50 mètres (77e). Le score aurait pu être plus large avec un peu plus de réussite de la part de Rivière (7e, 62e), Kurzawa (20e) ou Germain (51e). Mais le doublé du Colombien suffit amplement au bonheur de l'ASM.

 

Une députée bruxelloise débarquée de force

Bruxelles Dans l'avion, Gisèle Mandaila a pris des photos de deux policiers retenant de force une jeune femme renvoyée à Kinshasa.

GIZEL.jpgGisèle Mandaila a été débarquée de force de l'avion qui devait l'emmener vers Kinshasa ce samedi matin, selon le témoignage courroucé qu'elle nous a livré il y a queqlues minutes, alors qu'elle se trouvait encore pieds nus dans un fourgon de la police. 

La députée bruxelloise du FDF affirme avoir été frappée par un policier alors qu'elle réclamait ses chaussures laissées dans l'avion. À l'origine de l'altercation, l'expulsion d'une jeune femme qui se serait déroulée dans "des conditions inhumaines", confie-t-elle. 

À l'intérieur du même avion, "elle était entourée de deux policiers, retenue par le bras, elle ne pouvait pas bouger. On l'a même menacée de lui mettre un coussin pour la calmer". La situation a provoqué un mouvement d'humeur chez certains passagers ayant assisté à la scène, raconte encore Gisèle Mandaila qui se serait manifestée pour calmer les esprits, non sans prendre des photos à l'aide de son téléphone portable. 

C'est ce qui, d'après elle, a conduit à son débarquement de l'avion par la police, de même que celui de la jeune femme renvoyée à Kinshasa. "Je ne suis pas contre les retours et je ne connais pas le dossier de cette dame, mais dans des conditions pareilles, c'est tout simplement inacceptable". 

Elle annonce qu'elle va porter plainte suite au coup qu'elle aurait reçu dans le fourgon qui l'emmenait au poste de police de l'aéroport de Zaventem.

mercredi, 12 février 2014

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