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lundi, 05 mai 2014

Nous allons nous marier en Suisse

22:22 Publié dans Loisirs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour |  del.icio.us |  Facebook | | |

Tout à fait d'accord avec le Sénateur-Maire de Lyon sur ces Pseudo-journalistes

badara1.jpgMICHEL COLLON : J'ai eu la chance de participer la semaine dernière à un débat assez extraordinaire. Avec un vieil ami Bernard Hennebert, dont j'apprécie depuis longtemps le travail pour la démocratisation et l'accès de tous à la culture. Mais aussi, et c'était nouveau, et même exceptionnel, avec une journaliste qui a travaillé 19 ans à RTL-TVI (équivalent belge de TF1). 

 

Avec un courage et une franchise remarquables, Nadia Bouria a témoigné sur base de son vécu (à partir de 29') : comment fonctionne la désinformation, quelles sont les cibles, journalistes sans formation, infos non vérifiées, bâclage des sources, info-marchandise : " Le but n'est pas de vous informer, mais de faire de l'argent". Elle a aussi parlé des "relations quasi-incestueuses" entre le monde politique et les médias dans les reportages de guerre.

 

J'ai été particulièrement ému d'entendre ce témoignage courageux. Nous nous rejoignons très fort, il me semble, Nadia qui a travaillé dans le système, et moi qui travaille hors de ce système pour développer une info indépendante. Même diagnostic en général : c'est un système dont la plupart des journalistes ne sont même pas conscients. Mais un système qui fait grand tort aux citoyens.

 

Mon exposé (à partir de 47'15") rebondit sur cette analyse exceptionelle de Nadia Bouria, en recherchant les causes des médiamensonge sur les guerres et du refus de tout débat et autocritique (exemples récents : Ukraine, Syrie dans la presse occidentale), et fait appel à... Albert Einstein pour expliquer le système médiatique et politique.

 

Dans le dialogue qui a suivi, nous avons répondu à une jeune étudiante (le débat était organisé par une école de communication bruxelloise) demandant s'il était encore possible d'être journaliste, nous avons tous deux répondu que c'était un métier magnifique, mais à condition de pouvoir l'exercer de façon vraiment indépendante, et que là était le problème...

Une Europe ouverte sur le monde n°59

Ces deux derniers mois, de nombreux dossiers concernant les relations de l’Europe avec le Sud ont connu divers développements, parfois souhaitables, parfois moins heureux. Saluons ainsi le rapport intéressant du Parlement européen sur la cohérence des politiques en faveur du développement et son souhait de faire de 2015 l’année de ce dernier. Réjouissons-nous aussi de l’impulsion donnée par la Commission aux délégations de l’UE pour qu’elles bâtissent des feuilles de route dynamisant leurs contacts avec la société civile. Reconnaissons que le Sommet UE-Afrique a relancé une certaine dynamique de dialogue entre les deux continents, même si tant la société civile que les organisations de migrants restent grandement sur leur faim.

 

Quant à la programmation de l’aide européenne, elle se poursuit. Les priorités du FED apparaissent peu à peu mais en général le débat autour des lignes de financement thématiques soulève encore des interrogations. Quant aux Accords de Partenariat Economique, ils poursuivent un parcours chaotiques que les pressions de l’UE continuent à compliquer. Une attitude décevante de l’UE que l’on retrouve dans le domaine des changements climatiques.

 Ces thématiques et d’autres se retrouvent à l’agenda de ce numéro : 

 Au rayon de la cooperation

 v  Des feuilles de route pour les délégations européennes

v  L’Europe rate le rendez-vous des changements climatiques

v  EU-Afrique : un sommet de Bruxelles, mi-figue, mi-raisin

v  Le Parlement européen se prononce sur la cohérence des politiques

v  Le Parlement européen fait de 2015 l’année du développement

v  Programmation de l’aide européenne : programmes thématiques et société civile

Au rayon des accords bilatéraux

 v  Cotonou : quelles priorités pour le 11ème FED ?

v  Cotonou : le point sur les Accords de Partenariat Economique

v  Cotonou : les APE passent le cap du Sommet

Au rayon des mobilisations

 v  Cotonou : la société civile interpelle l’assemblée parlementaire UE-ACP

v  UE-Afrique : ONG et organisations de migrants déçues par les résultats du Sommet

v  Consultation sur la politique de voisinage

dimanche, 04 mai 2014

Journée de la presse: Du bon ou mauvais usage de l’information

Vous est-il déjà arrive d’avoir le sentiment que vous avez été injustement attaque, ad hominem, dans un article de presse? Quand les adjectifs en tous genre, surtout les plus nauséabonds, sont alignes dans un effort destine a assassiner votre personnalité….Ne vous êtes vous pas senti, un jour, impuissant face a une série de tirs nourris contre votre honorabilité sans pouvoir réagir dans la presse parce que proches et amis vous disent de ne pas tomber trop bas pour répondre a un lâche ou un moins que rien. A moins que vous découvriez soudain que malgré la floraison de titres de presse et d’organes de radios-télévisions il est presque impossible de trouver quelque recours crédible de la profession ou du droit ou vous pouvez vous plaindre avec une chance réelle d’obtenir réparation du préjudice subi? La peur d’être soupçonné voire accuse d’œuvrer a la restriction de la liberté d’expression en faisant appel a la justice pour qu’elle sanctionne le fautif ou d’être considéré comme incapable d’accepter la critique quand en réalité vous faites face a des insultes et non a quelque analyse rationnelle ou procédant d’une volonté de contribuer a la vie, nécessaire, d’un débat sain et vigoureux. Plus généralement, combien de fois ne voit-on pas dans les medias sénégalais des contributions diffamatoires ou calomnies, insultes et jugements de valeur sont alignes sans peur qu’une instance de régulation n’intervienne pour mettre le holà et rappeler les principes qui doivent accompagner la liberté de penser et d’écrire? Dans cette optique, ne vous est-il pas arrive de penser que certains directeurs de publications, véreux et comploteurs, sont prompts a ignorer les règles les plus élémentaires de leur profession, pour, dans un acte honteux de conspiration, ouvrir les colonnes de leurs journaux ou les tribunes de leurs radios, telles, a des tireurs d’élites, qui n’ont d’autre souci que de voir gicler le sang d’innocentes personnes dont le seul tort est de ne pas être de leur bord politique ou de ne pas se soumettre a la doxa de l’heure? Qui, parmi celles et ceux qui font l’opinion, n’a pas eu la crainte de voir son nom, ceux de ses proches et parents être courageusement trucides dans les sites Internet ou par des articles anonymes ou certains se plaisent a verser dans la littérature de caniveau pour ‘descendre’ ennemis, amis, parents ou quiconque pourrait se trouver sur la route de leurs ambitions crypto-personnelles?

A l’ère de la révolution du numérique, au moment ou explosent les medias et l’information en ligne, alors que la libéralisation de la presse et des organes audiovisuels semblaient annoncer une nouvelle page, dynamique, pour la distribution de l’information, d’une information de qualité, force est, a la lumière des questionnements qui précèdent, de se demander si excès de biens ne nuit pas, contrairement a ce qu’affirme l’adage? On sait déjà que, partout dans le monde, la presse, surtout écrite, se trouve sur la défensive, incapable de tenir le coup financièrement. Les lecteurs désertent les journaux. Et se jettent sur les sites Internet ou l’information n’est plus tamisée par des professionnels de l’information aguerris qui étaient naguère les rédacteurs en chef scrupuleux et soucieux de s’assurer que les medias jouent leur vrai rôle de dissémination massive de l’information mais non, comme c’est souvent le cas désormais, de lieux de règlements de comptes. La révolution de l’information, par les progrès de la technologie, qui se traduit aussi par l’avènement de radios et télévisions privées, un peu partout, surtout en Afrique, débouche aussi négativement sur la pipolisation a l’extrême de l’information au point que les enjeux de développement sont mis de cote pendant que sont portées au pinacle les activités ludiques de la lutte, de la danse ou de la musique.

En somme face a ces orientations négatives qui portent la presse et les medias en général, n’est-il pas grand temps de tirer la sonnette d’alarme? Cette question est spécialement digne d’être examinée dans un pays comme le notre….

Ce jour, 3 mai, qui est celui universellement consacre a la célébration de la presse-on devrait dire Journée des Medias plutôt- mérite d’être retenu non pas comme un moment de fête mais de réflexion.

La crise des sociétés contemporaines est largement due a l’utilisation malhonnête voire a la mauvaise utilisation de cette arme de destruction massive, parfois ciblée, non plus de dissémination positive pour le progrès, que les medias sont entrain de devenir. Qui pour engager la réflexion? La question est trop large pour être confinée a un seul corps. Elle concerne les syndicats de journalistes. Les journalistes qui sont dans les rédactions. Les associations regroupant des avocats -certains avocats sont devenus des adeptes des pamphlets dans leurs quêtes de promotions. Les gouvernements qui doivent mettre les garde-fous, de concert avec les professionnels des medias. Les Chefs religieux. Ou encore les tribunaux qui doivent sanctionner. Et bien sur les victimes de ce qui n’est plus une liberté d’expression mais une licence pour abuser de cette liberté fondamentale.

Pour avoir été victime, avec d’autres, du détournement de la liberté d’expression, je prends le pari de ne plus laisser une quelconque diffamation contre ma personne sans que la justice et les instances journalistiques ne soient saisies afin que les dérives qui guettent nos sociétés soient ici et maintenant mises au pilori. Je m’engage surtout a me mettre aux cotes de ceux qui mèneront ce combat, notamment en évitant de tomber dans ce piège béant qui guette tous ceux qui s’expriment par la plume, le verbe ou a travers les divers canaux des moyens de communication de masse.
L’Unesco, qui a été bien inspirée en créant cette journée de la presse, ne devrait pas se contenter de la célébrer. Elle doit pousser tous les acteurs concernes a comprendre que liberté et responsabilité vont de pair -et que les moyens de la responsabilité, y compris les sanctions pénales, demeurent pour que ne prospère plus cette tendance fâcheuse qui rend la liberté d’information si suspecte, surtout dans des pays comme les nôtres ou tout semble être permis aux violeurs des règles de la bienséance et des normes de la vraie liberté -qui se fonde sur l’honnetete et la probité intellectuelles !

Nous sommes tous concernés.
Adama GAYE,
Journaliste Sénégalais est ancien Redacteur en Chef, Directeur du Journal West Africa Magazine qui était publié à Londres
adamagaye@hotmail.com

La plante qui combat le cancer et dont personne ne parle

COROSSOL-1.jpgUne étude menée à l’Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l’arbre Graviola tuer les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu’à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l’Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l’arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

Une importante société pharmaceutique américaine a alors investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer Graviola. Mais il n’a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L’original tout simplement n’a pas pu être reproduit. Il n’y avait aucune façon dont la société pharmaceutique en question avait été en mesure de protéger leurs propres intérêts, et récupérer l’argent investi dans la recherche. Cette société pharmaceutique a abandonnée le projet et a alors décidée de ne pas publier les résultats de ses recherches.

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

Source : http://voceuniversale.myblog.it/archive/2013/07/27/la-pia...

jeudi, 01 mai 2014

Abdoulaye Wade au peuple sénégalais

Au plaisir avec le Thalys

mercredi, 30 avril 2014

Belgique/Reynders: «Le MR ne veut pas gouverner avec la N-VA»

Les adversaires de Didier Reynders l’ont souvent accusé de jouer un double jeu vis-à-vis de la N-VA. A moins d’un mois des élections, le ténor libéral a tenu à mettre les choses au point. Son parti ne veut pas gouverner avec les nationalistes flamands. Il s’affirme très clairement favorable à « une majorité sans la N-VA. Il n’est pas question de prendre dans la coalition un parti qui a un projet totalement destructeur pour la Région bruxelloise. Et pour moi, c’est la même démarche au fédéral : la N-VA a aussi un côté destructeur pour l’avenir de l’Etat (…) Si on est autour de la table, nous demanderons de privilégier une majorité sans la N-VA. Cela nécessite que l’un ou l’autre parti change d’attitude entre la campagne et le lendemain du scrutin. »

Didier Reynders vise clairement le PS : « Pendant cette campagne, la meilleure agence de communication de la N-VA, c’est le Boulevard de l’Empereur ! (…) Et les seuls débats que le PS organise, c’est contre la N-VA. » Et de rajouter : « Le PS fait ça par pur calcul électoral. Mais il ferait mieux de discuter avec ses vrais interlocuteurs : le MR, les autres partis francophones, le PTB. »

Jusqu’ici, seul le FDF avait mis une exclusive contre le parti de Bart De Wever.

 

Belgique: Le Député Bernard Wesphael reste en prison.

wesphael.jpgLa Cour de cassation a rejeté mardi après-midi le pourvoi introduit par la défense de Bernard Wesphael à la suite de la décision de la chambre des mises en accusation de Gand de prolonger la détention du député wallon de trois mois.

Bernard Wesphael et sa femme séjournaient dans un hôtel à Ostende le 31 octobre 2013 lorsque, selon le Liégeois, ils se sont disputés et en sont brièvement venus aux mains. Le député se serait ensuite couché et aurait trouvé à son réveil sa femme morte dans la salle de bains. D'après le parquet, la version des faits du député selon laquelle sa femme s'est suicidée ne tient pas la route. Bernard Wespahel se trouve depuis le 1er novembre 2013 en prison et est soupçonné de l'assassinat de sa compagne. La chambre des mises en accusation de Gand avait prolongé le 15 avril dernier de trois mois la détention de Bernard Wesphael, une décision injustifiée selon la défense qui avaient introduit un pourvoi en cassation contre cette décision. La Cour n'a toutefois pas suivi leur raisonnement

La Belgique incarcère deux fois plus d’étrangers que ses voisins

Alors que le pourcentage moyen d’étrangers dans la population carcérale était de 21 % dans les prisons européennes en 2012, il atteignait 43 % dans les établissements pénitentiaires belges, selon un rapport présentant les statistiques pénales de l’année 2012, publié par le Conseil de l’Europe.

Surpopulation carcérale : des chiffres dépassés selon Turtelboom

Les prisons belges figurent toujours parmi les plus surpeuplées d’Europe. Au 1er septembre 2012, la Belgique était le 5e plus mauvais élève européen en matière de surpopulation, avec un taux de surpopulation de 132 détenus pour 100 places, derrière la Serbie (159/100), l’Italie (145/100), Chypre (140/100) et la Hongrie (139/100). Un taux de surpopulation qui a chuté de dix points en deux ans. Au 1er mars 2014, le pays comptabilisait en effet 11.769 détenus, pour 9.592 places disponibles, soit une surpopulation de 22 %. La ministre de la Justice Annemie Turtleboom a qualifié les chiffres du Conseil de l’Europe de « dépassés », parce que datant de 2012. «  En deux ans, la Belgique a énormément avancé sur le plan de l’application des peines. Grâce aux améliorations du bracelet électronique, les peines courtes sont mieux gérées. »

Pour résorber la surpopulation carcérale, le Conseil de l’Europe appelle les gouvernements à utiliser davantage les peines alternatives (probation, surveillance électronique, peine de travail). En 2013, 5.061 bracelets électroniques ont été placés, contre 3.561 en 2012. Chaque année, près de 10.000 personnes sont condamnées à un nombre d’heures de peine de travail en Belgique.

Taux d’évasion trois fois plus élevés que la moyenne européenne

Le rapport relève également que le taux d’évasion des prisons belges reste élevé. En 2012, il atteignait 23,7 pour 10.000 détenus, soit près de trois fois la moyenne européenne. La Belgique détient, par ailleurs, l’un des plus grands pourcentages de détenus (6,4 %) purgeant une peine de 20 ans ou plus, soit, ici aussi, trois fois plus que la moyenne européenne.

En 2012, l’âge moyen des détenus en Belgique était de 34 ans et les femmes ne représentaient que près de 5 % du total de la population carcérale, comme dans la plupart des pays européens.

Les infractions les plus courantes pour lesquelles des personnes étaient détenues étaient le vol (44 %), le vol avec violence (40 %) et les stupéfiants (36 %). Les condamnés pour homicide (y compris les tentatives) représentaient 11 %.

Pourquoi la Belgique a-t-elle tant de détenus ? Participez au chat sur mobile ou tablette

lundi, 28 avril 2014

Assassinat de Me Kahasha : sa veuve et ses orphelins veulent voir clair

La veuve Clara Bashibirira ainsi que les orphelins de maître Guillaume Kahasha-Ka-Nashi Bahala, assassiné devant la parcelle de son père, dans la commune de Ngaliema, dans la nuit du 7 au 8 septembre 2013, par des hommes à main armée, veulent voir clair au sujet de cette mort. Ils se sont constitués parties civiles au procès qui oppose le ministère public aux présumés assassins du défunt, au Tribunal Militaire de Garnison de Ngaliema. En clair, la famille de l’illustre disparu est devant la justice pour obtenir la condamnation de toute personne qui a participé de près ou de loin, à la mort de Me Guillaume Kahasha. Parmi les prévenus, il y a,  Amisa Kiza, Raphael Kibuka, Grâce Kahasha et consorts. Association des malfaiteurs, meurtre, non assistance à  personne en danger : telles sont les infractions retenues par le ministère public dans le chef des prévenus.

            Selon Me Ngonji, avocat de la veuve, sa cliente et ses enfants poursuivent l’ensemble des prévenus, à l’exception de  Patrick et de Jean Kahasha.  Pour éclairer sa religion concernant l’assassinant de feu Kahasha, le tribunal  militaire a appelé aussi certains témoins de ce drame à venir  témoigner en qualité de renseignants. C’était au cours de l’audience foraine du vendredi 25 avril 2014, à la Prison Militaire de Ndolo. Cette cause inscrite sous le RP 873/013 a été renvoyée au 9 mai 2014, afin d’examiner les mémoires uniques lui adressés par les parties au procès.
            En effet, il était question à cette audience du 25 avril 2014 que le tribunal des céans puisse se prononcer par un jugement avant dire droit concernant la mise en liberté définitive d’un des prévenus mais ce devoir n’a pas été respecté au motif qu’il s’agit de nouveaux mémoires uniques déposés au greffe par certains avocats des parties au procès. Et comme le tribunal doit procéder à leur lecture pour un procès équitable, la cause est remise à deux semaines. Le deuxième motif de la remise de cette cause est que l’avocat de la veuve Clara Bashibirira devrait s’imprégner du dossier pour mieux asseoir son argumentaire.
            Il y a lieu de rappeler que c’est le procureur militaire qui avait mis la main sur un certain nombre des présumés assassins de Me Kahasha l’année passée, ainsi que leurs complices. C’est sur base d’une décision de renvoi que le tribunal militaire de garnison de Ngaliema est saisit du dossier.
 
Qui fut Me Kahasha ?
 
            L’illustre disparu était deuxième d’une famille nombreuse. Il a laissé six orphelins. Il avait obtenu son diplôme en droit à l’Université de Kinshasa. Au plan professionnel, il fut cadre dans plusieurs entreprises, etc.                      
Muriel Kadima   
 

Air Portugal pour vos vacances

Wade ça suffit!

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dimanche, 27 avril 2014

Encore Demba Bâ pour Chelsea vs Liverpool

17:47 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bemba ba but |  del.icio.us |  Facebook | | |

Au nom du père, du fils et du saint - rêve

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Le 25 avril 2014, le peuple sénégalais a redécouvert le visage de celui à qui il avait infligé, un soir du   25 MARS 2012 la plus grande défaite enregistrée par un Président de la République, dans notre pays. Saisissantes et affligeantes auront été ces images montrant un vieillard centenaire appelé au prix d’une médiatisation hors normes, par une horde de hors – la – loi qui ont joué avec nos ressources et avec la vie de plusieurs de nos enfants. Des mains encore  ensanglantées  portent à tout jamais, les stigmates de la forfaiture.
 Non Maitre Wade, les Sénégalais n’ont pas oublié et n’oublieront jamais, le FESMAN, l’ANOCI, la LONASE, les scandales de tous ordres, les détournements des deniers publics portés à un niveau jamais égalé dans l’Histoire de notre pays.
Non Maitre Wade, les Jeunes du Sénégal n’ont pas oublié le gouffre profond dans lequel vous les aviez plongés et qu’immortalise « l’alternative de la honte » que constitue « BARSA OU BARSAX ». Non Maitre Wade, les Imams du Sénégal n’oublieront jamais que pour vous, ils n’étaient que des « ignorants », tout comme l’Eglise du Sénégal ne saurait oublier l’injure blasphématoire portée par vous sur elle et sur toute une Communauté que vous avez royalement ignorée dans vos salutations.
Non Maitre Wade, votre âge vous autorise des trous de mémoire, mais de grâce ne cherchez pas à nous imposer l’amnésie collective. Vous êtes un homme du passé qui est entré un moment de sa vie, dans la grande Histoire de notre pays. Hélas, le rêve dynastique, la gestion clanique, l’arrogance d’arrivistes repus en quête permanente de prébendes, Vous ont poussé à nous laisser un Sénégal des petites histoires.
Non Maitre Wade, vous n’êtes plus le Président de la République du Sénégal. Vous êtes un ancien Président ayant rompu les nobles traditions et l’élégance républicaine érigées en dogme normatif par tous vos prédécesseurs. Vous êtes demeuré Chef de Parti, préoccupé par le sort d’un fils qui a fait mal, trop de mal à nos Compatriotes. Vous avez renoué avec le délire, le discours manipulatoire, les élans de divisions des composantes de notre nation, notamment de notre modèle social socle de la vitalité de nos Communautés.
Oui, Maitre Wade, vous avez défié l’Etat, vous avez testé les capacités de combat des forces de sécurité et assumé ouvertement votre volonté de déstabiliser le pays.
Alors, sachez une chose : ceux qui vous ont vaincu sont là, toujours là et surtout, qu’ils acceptent le défi, dans la certitude que la REBELOTE sera plus tonique que le coup de massue historique du 25 mars 2012.
Sachez surtout, que la Traque des Biens mal acquis sera poursuivie jusqu’à son terme et que le Droit sera dit. Elle engloutira tous les félons et voleurs de la République, fussent – ils des Marquis d’un autre âge ou un Prince d’avant – Royauté !

Mor Ngom
Membre du Secrétariat Exécutif National de l’APR
Responsable Départemental de Bambey

Jean XXIII et Jean Paul II faits saints par le pape François

«Nous déclarons et définissons saints les bienheureux Jean XXIII et Jean Paul II, et nous les inscrivons dans le catalogue des saints et établissons que dans toute l’Eglise ils soient dévotement honorés parmi les saints», a dit solennellement le pape argentin, sous les portraits d’Angelo Roncalli et Karol Wojtyla, déroulés sur la façade de la basilique.

La formule, prononcée en latin, après trois demandes adressées par le cardinal Angelo Amato, préfet de la cause des saints, a été acclamée par la foule tandis que les cloches résonnaient dans les églises de Rome. Maria Cardoza une Péruvienne sanglote d’émotion: «Jean Paul II a protégé mes enfants».

Première absolue dans les 2000 ans d’histoire de l’Eglise catholique, cette double canonisation a lieu en présence de deux papes, François et son prédécesseur Benoît XVI. Le pape à la retraite, tout de blanc vêtu et coiffé d’une mitre, a pris place à gauche de l’autel, même s’il participe à la célébration de la messe, afin de ne pas créer de confusion avec le pape régnant. Ce proche de Wojtyla a été longuement applaudi à son arrivée, notamment par les nombreux fidèles polonais. Le pape François lui a fait une accolade en souriant.

«Deux papes saints au ciel, deux papes sur la place Saint-Pierre», peut-on lire sur une banderole brandie par un fidèle sur la place.

98 délégations d’Etats ou d’organisations internationales, dont 24 chefs d’Etat et têtes couronnées — du roi d’Espagne au président zimbabwéen Robert Mugabe — assistent à l’événement.

La via della Conciliazione qui mène à la basilique et peut contenir quelque 300.000 personnes étaient déjà archi pleine bien avant le début de la cérémonie. Des fidèles ont dû se replier sur les endroits mythiques de Rome (Colisée, Forum romain, place Farnese) où la messe est retransmise sur écrans géants. Entre 800.000 à un million de participants étaient attendus pour «le dimanche des quatre papes», «la journée des saints papes», comme titrait la presse italienne.

Beaucoup de drapeaux polonais

Une foule énorme s’est pressée toute la nuit pour assister à cette double canonisation sur la place Saint-Pierre. « On voit beaucoup de drapeaux polonais. Ils sont venus pour Jean-Paul II. Ils le considèrent comme le héros national, celui qui a changé leur pays », rapporte Élodie Blogie, notre envoyée spéciale. « Il y a aussi pas mal de drapeaux français, mais peu de Belges ».

Si l’on parle d’une double canonisation, Jean-Paul II vole la vedette à son prédécesseur. « Les jeunes connaissent Jean XXIII par l’histoire : il leur est évidemment plus lointain. Beaucoup d’entre eux viennent pour l’événement. Ils ont fait les JMJ et ils veulent vivre ce moment important de l’Église ».

Accéder à la place Saint-Pierre relève du parcours du combattant. Trois rues seulement ont été ouvertes. Très tôt dans la nuit, le public s’y est installé.

« Il m’a fallu une heure pour avancer de seulement 70 mètres », témoigne Élodie Blogie. « La foule est vraiment dense. Heureusement, des mesures de sécurité ont été prises : le milieu de la rue a été réservé aux services de secours et des bouteilles d’eau sont distribuées ».

Une cérémonie en mondovision

Après la cérémonie de canonisation, retransmise en mondovision et des centaines de cinéma dans le monde en 3D, et suivie par plus de 2.000 journalistes accrédités, a débuté une messe assez dépouillée. Des centaines de prêtres et diacres devaient donner la communion.

La canonisation de Jean XXIII, initiateur du Concile Vatican II (1962-1965) qui marqua l’ouverture de l’Eglise catholique au monde moderne, ne semble critiquée par personne, à part les traditionalistes.

Jean Paul II reste le pape le plus populaire de tous les temps. Mais, même si nul ne conteste sa stature internationale et le rôle qu’il a joué dans la chute du communisme, il a ses détracteurs qui lui reprochent notamment un aveuglement face aux crimes pédophiles et sa sévérité avec les théologiens dissidents.

«Ces deux figures signifient que Dieu a donné à chaque époque le visage dont elle avait besoin pour conduire l’Eglise», analyse pour l’AFP Mgr Georges Pontier, président de la Conférence épiscopale française, archevêque de Marseille. En 1958, un «vieillard» qui «a rétabli une sorte de confiance entre Eglise et société». Et en 1978, un pape venu des pays de l’Est qui «allait réveiller les chrétiens par son +n’ayez pas peur+ et ébranler le mur» de Berlin.

Après l’élection historique du pape argentin, depuis 13 mois à la tête d’une Eglise d’1,2 milliard de catholiques baptisés, cette double canonisation est perçue comme un événement pouvant contribuer à dissiper le souvenir d’années marquées par des scandales, notamment la pédophilie, et réconcilier deux sensibilités différentes de l’Eglise incarnées par ces deux papes.

Accapareme​nts de terres en série au Sri Lanka : soutenons les victimes

Plus de trois cent cinquante familles de pêcheurs et de paysan-ne-s privées de cinq cents hectares de terres ancestrales, des maisons brûlées : depuis 2010 les forces de sécurité s'attaquent à des villages du district d’Ampara, sur la côte Est du Sri Lanka et privent arbitrairement ses habitant-e-s de leurs maisons et de leur unique moyen de subsistance.

La raison : Un projet d'établissement d’un camp militaire et la construction d’un complexe touristique hôtelier.
 

En 2013, ils-elles ont déposé un recours devant la Cour suprême pour attaque physique, incendie de maisons et de biens, expulsion forcée, accaparement de terres, destruction des moyens de subsistance, menace et intimidation.
Mais, les juges ne sont toujours pas saisis de cette affaire.

L’armée semble bénéficier d’une complète impunité.

samedi, 26 avril 2014

La déclaration de Bruxelles contre Wade

jeudi, 24 avril 2014

Sénégal:Abdoulaye Wade remet le plan diabolique Takal