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mardi, 22 avril 2014

Lettre ouverte à monsieur Idrissa SECK

Nous ne sommes pas surpris, et personne ne l’est d’ailleurs quant à votre dernière mise en scène. Et même si nous l’étions monsieur SECK, vous avez révélé encore une fois votre aptitude à vociférer des méchancetés à l’endroit du président Macky Sall que le peuple sénégalais a choisi en vous disqualifiant dès le premier tour des élections de 2012.

Vous avez révélé en plus votre nature pitoyable à accepter difficilement la volonté divine et celle émise par le peuple sénégalais le 25 Mars 2012.

Idrissa le tortueux, Idrissa le populiste ; que ne feriez-vous pas pour être un jour président de tous les sénégalais ? Ce rêve que vous avez toujours nourri : « Born to be a president », « IDY 4 President » tarde à se réaliser.

Votre aigreur et votre mélancolie ont fait de vous un haineux au point de prendre les dignes fils de ce pays pour des demeurés sous l’emprise d’une amnésie totale.

Comment confier la tête de notre cher Sénégal à quelqu’un qui n’est même pas capable de gérer lui-même une mairie ?

Quelqu’un qui s’est comporté en criminel économique avec nos deniers publics et qui de surcroit nous nargue depuis des années.

Acteur habile est inégalable dans ce grand théâtre de la politique pour les nuls, monsieur SECK assimile et excelle dans son rôle de tartuffe dans la scène politique sénégalaise.

Jamais vous ne ratez l’occasion de nous faire oublier le préjudice financier que vous nous avez fait subir. Ce butin digne d’Ali Baba et les quarante voleurs vous permet aujourd’hui de voyager tout frais payer par l’argent du contribuable, de dignes fils de ce pays.

Votre conscience n’est pas tranquille et ne saurait l’être, je le sais et vous le savez, même si vous faites abstraction de votre état d’esprit : les faits sont têtus.

Non Monsieur Seck, votre seule et unique maladie n’est pas le quotidien des Sénégalais mais le vôtre. Votre état psychologique hanté partout et tout le temps par cet acte ignoble, cette forfaiture qui vous a valu un séjour carcéral et que votre non-lieu ne peut effacer dans la conscience des Sénégalais.

Oui votre retour est souhaité par vous-même et vos acolytes et répond à une stratégie d’être au pays avant Maître WADE pour ne pas se faire oublier. Bien vu mais les Sénégalais vous voient tous les deux comme les marionnettes d’un cirque qui a connu son épilogue le 25 Mars 2012.

Retrouvaille pour retrouvaille, ce sera du déjà vécu avec vous deux mais la vérité triomphe toujours. Le simulacre de vérité auquel vous voulez nous faire adhérez sera vain.

Nous vous invitons au travail pour vous faire pardonnez par ce vaillant peuple sénégalais à qui vous devez votre existence actuelle inespérée.

 

IBRAHIMA MBODJI

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