Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 29 juin 2008

Final Euro 2008 que cesera BEAU !

Dimanche à Vienne, l'Allemagne affronte l'Espagne en finale de l'Euro 2008 à 20h35

52e930c284fbdff0fc8fb33e3c7157d5.jpg

Dimanche à Vienne, l'Allemagne affronte l'Espagne en finale de l'Euro 2008. Les joueurs de la Nationalmannschaft visent un quatrième titre continental mais auront fort à faire face à une Furia Roja privée de lauriers depuis quarante-quatre ans.
Eurosport

LYON - OM sur le transfert de Ben Arfa

LYON (AFP) - La direction de l'Olympique lyonnais a affirmé samedi soir que l'éventualité du transfert d'Hatem Ben Arfa à Marseille n'a pu "finalement" se concrétiser, alors que le président de l'OM assure que le transfert est effectif.

"L'Olympique lyonnais informe que l'éventualité du transfert d'Hatem Ben Arfa à l'Olympique de Marseille n'a finalement pu se concrétiser, aucun élément conforme aux demandes de l'OL n'étant intervenu samedi, rendant impossible tout enregistrement postal à destination de la Ligue de football professionnel avant le 30 juin, date butoir signifiée lors des négociations", a indiqué le club rhodanien dans un communiqué.

"L'OL s'étonne de l'information voulant officialiser le transfert diffusée trop hâtivement cette semaine par l'OM alors qu'aucun document n'était signé par les trois parties et de l'envoi vendredi soir par le club marseillais à la LFP d'une lettre annonçant un contrat qui aurait été signé par Hatem Ben Arfa sans l'accord de l'Olympique lyonnais", ajoute le club champion de France.

Le président de l'OM, Pape Diouf, a assuré samedi soir que le transfert d'Hatem Ben Arfa à Marseille était effectif en dépit d'un démenti apporté par l'Olympique lyonnais, et qu'il appartenait désormais à la Ligue de trancher le litige entre les deux clubs.

"Le garçon est chez nous, point final", a déclaré M. Diouf à l'AFP en réaction au communiqué publié par l'Olympique lyonnais sur son site internet.

"Il revient maintenant à la Ligue, qui a entre les mains tous les documents attestant de notre bon droit, de trancher", a ajouté le président de l'OM qui dit avoir pris connaissance du communiqué de l'OL "avec stupeur et désolation".

Dans ce communiqué, le club lyonnais affirme que "l'éventualité du transfert" de Ben Arfa à l'OM "n'a pu finalement se concrétiser" et s'étonne que l'Olympique de Marseille ait pu affirmer le contraire mercredi.

"Aucun accord contractuel n'a été signé par les deux clubs" pour le transfert de Ben Arfa, souligne l'OL, ajoutant que l'OM "n'a pas pu fournir les garanties financières demandées dans le cadre de cet éventuel transfert".

"Nous avons respecté tous les engagements que nous avons contractés et nous avons en notre possession le document par lequel les deux clubs ont fixé toutes les modalités d'un accord", a rétorqué Pape Diouf.

Il estime que la seule erreur dans cette affaire a été commise par Lyon qui a "oublié" une clause d'intéressement du joueur à son transfert.

"Il suffit d'interroger à ce sujet Frédéric Thiriez (président de la Ligue de football professionnel) pour savoir où se trouve la vérité", a poursuivi le président de l'OM, voyant dans le communiqué de l'OL "un misérable catalogue d'omissions et de mensonges" qui révèle "la vraie nature" du président lyonnais Jean-Michel Aulas.

jeudi, 26 juin 2008

Rochus est éliminé

Olivier Rochus a été éliminé au deuxième tour. L'Auvelaisien n'a pu franchir l'obstacle de l'Espagnol Fernando Verdasco, 18e joueur du monde et 15-ème tête de série. L'Auvelaisien, 67e au classement mondial, a du s'incliner en quatre sets - 7-6 (7/4), 6-7 (5/7), 6-1 et 6-1 en 2 heures 23 minutes de jeu.

Olivier Rochus a pourtant bien résisté dans les deux premières manches forçant l'Espagnol au jeu décisif à deux reprises. S'il perdit le premier set 7-6 (5/7), le Belge faisait la course en tête dans le deuxième pour mener 5 jeux à 1. Verdasco forçait malgré tout le jeu décisif, mais Olivier Rochus le remportait 7 points à 5 pour égaliser à une manche partout. Fernando Verdasco passait ensuite la vitesse supérieure pour s'adjuger les deux manches suivantes 6-1 et se qualifier.

Au 3e tour, Verdasco sera opposé soit au Tchèque Tomas Berdych, 20e mondial et 11e tête de série, soit au Roumain Victor Hanescu, 81e au classement ATP.

FOOTBALL 2008 Euro 2008 : Allemagne plus turc que jamains

Un but de Lahm en toute fin de match a permis à l'Allemagne de battre la Turquie (3-2) et d'accéder à la finale de l'Euro 2008.

f23b7c33d7674cc1d87b32defcb68d33.jpg
Un but de Lahm à la dernière minute a permis à l'Allemagne de battre la Turquie (3-2), mercredi à Bâle, et d'accéder à la finale de l'Euro où elle affrontera la Russie ou l'Espagne. Les Turcs ont ouvert le score mais la Mannschaft a vite égalisé et mis en évidence son réalisme pour rejoindre Vienne.

ALLEMAGNE - TURQUIE : 3-2

Buts : Schweinsteiger (26e), Klose (79e), Lahm (90e) pour l'Allemagne - Boral (22e), Sentürk (86e) pour la Turquie

Pendant quatre minutes, la Turquie a cru aux prémices d'un nouveau miracle. D'un retournement de situation dont elle a le secret depuis le début de l'Euro. Mais secret qu'elle n'est pas la seule à détenir. L'Allemagne aussi, sait y faire. Avant cette demi-finale, Michael Ballack expliquait que l'équipe turque avait des points communs avec la sienne. Le capitaine de la Mannschaft et ses partenaires ont montré, mercredi soir à Bâle, que la réciproque était d'autant plus valable. Tout comme le dicton devenu célèbre de Gary Lineker, ancien attaquant anglais : "Le football est un jeu qui se joue à onze contre onze, et à la fin, ce sont toujours les Allemands qui gagnent". Effectivement, au jeu des détails qui font la différence, la Mannschaft est sortie gagnante. Ce, malgré des erreurs d'arbitrages assez nettes, qui se sont finalement équilibrées. Pas suffisant pour les justifier, malgré tout...

Vertu première des hommes de Joachim Löw : le réalisme. Ils ont moins frappé que leurs adversaires (9 tirs contre 20), mais ils ont aussi moins gâché. Seulement trois de leurs tirs ont été cadrés. Tous ont contraint Rustu à aller chercher le ballon dans ses filets. Le gardien turc, propulsé titulaire et décisif pour le quart de finale face à la Croatie (1-1, 3 t.a.b. à 1), n'a pas été excellent face à l'Allemagne. Peu sollicité, donc, il s'est loupé en voulant boxer un centre aérien et a ainsi permis à Klose, sur un centre de Lahm, de donner l'avantage aux siens pour la première fois du match, et à une douzaine de minutes de son terme (79e). Une situation dans laquelle la Turquie a aimé se retrouver, et qu'elle a encore su gérer, comme l'a montré le travail parfait de Sabri pour l'égalisation de Sentürk (2-2, 86e).

Lahm dans le vent, puis dans la lumière

Mais, mercredi soir, l'équipe de Fatih Terim n'avait pas les ressources pour faire davantage. Les ressources physiques, plus que morales. Avec un jour de récupération en moins, une prolongation en plus, et un groupe décimé (14 joueurs), la Turquie n'avait pas les jambes pour que la machine passe à la vitesse supérieure en fin de match. Trop passive, la formation ottomane a été touchée en plein coeur par une action de grande classe de Lahm, venu se racheter après s'être troué devant Sabri sur l'égalisation : le latéral du Bayern a remonté une grande partie du terrain, s'est appuyé sur Frings pour se hisser dans les seize mètres adverses, puis a trompé Rustu (3-2, 90e). Un but qui envoie l'Allemagne à Vienne, où elle disputera la sixième finale de Championnat d'Europe de son histoire. Un but qui a transformé en poussières les rêves turcs.

Des rêves qui n'étaient pas chimériques. Surtout au regard de la première période. La Turquie a dominé territorialement, mis le pied sur le ballon, et enchaîné les occasions de but. Un bon pressing de Lahm près de la surface allemande (8e), un tir de Kazim en guise d'ajustement (7e), pour une deuxième frappe du milieu turc, sur la transversale (13e). Sentürk a lui aussi touché du bois, mais cela a profité à Boral, plein de sang-froid devant Lehmann (1-0, 22e). C'est la première fois du tournoi que la Turquie a ouvert le score, et qu'elle a marqué en première période. Mais la joie a été de courte durée : quatre minutes plus tard, sur une accélération de Podolski, qui a profité du champ laissé libre par les montées de Sabri, Schweinsteiger a égalisé (1-1, 26e). La suite, comme la Turquie en avait pris l'habitude, s'est écrite à la fin. Mais ce n'est pas elle qui a signé la dernière ligne.

Jean TERZIAN / Eurosport

mercredi, 25 juin 2008

Football: Fenerbahçe annonce l'arrivée de Luis Aragone

ISTANBUL (Reuters) - L'actuel sélectionneur de l'Espagne, Luis Aragones, a trouvé un accord avec Fenerbahçe, où il devrait s'engager après l'Euro pour une durée de deux ans, annonce le club turc.

Aragones remplacera le Brésilien Zico à la tête du club quart de finaliste de la dernière Ligue des Champions.

Fenerbahçe précise sur son site internet que le technicien espagnol arrivera à la tête d'une équipe de quatre entraîneurs qu'il aura choisis.

"Notre club a élaboré un contrat préliminaire de deux ans avec Luis Aragones, qui est actuellement le directeur technique de l'équipe nationale espagnole, pour qu'il devienne notre entraîneur à partir de la saison prochaine", peut-on lire sur le site du club stambouliote.

Le contrat doit être signé à la fin de l'Euro. L'Espagne affronte la Russie, jeudi à Vienne, en demi-finale de la compétition.

Lundi, Aragones avait démenti les rumeurs selon lesquelles il pourrait rester à la tête de la sélection nationale en cas de victoire finale de l'Espagne.

Aragones, qui fêtera ses 70 ans en juillet prochain, est le premier sélectionneur espagnol à mener la Roja dans le dernier carré d'un tournoi majeur depuis 24 ans.

Daren Butler, version française Clément Dossin

17:01 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : football |  del.icio.us |  Facebook | | |

Transferts - foot:Le journal des transferts

Chaque jour, le journal des transferts révèle les dernières indiscrétions. Aujourd'hui, Eto'o a été proposé à l'OM qui attend Ben Arfa.

FOOTBALL 2007-2008 Barcelona - Eto'o - 0

En attendant la reprise, on s'agite en coulisses. Chaque jour, le journal des transferts révèle les dernières indiscrétions. Aujourd'hui, Samuel Eto'o a été proposé à l'OM qui attend Ben Arfa. Balmont s'est engagé avec Lille. Thuram n'a jamais été aussi proche de signer avec le PSG.

ETO'O PROPOSE A MARSEILLE

De source proche du dossier, Samuel Eto'o aurait été proposé à plusieurs clubs français. Si le PSG et Monaco ont d'ores et déjà opposé une fin de non-recevoir après avoir été contactés, Marseille n'aurait pas totalement fermé la porte. De son côté, Barcelone serait prêt à "brader" le Camerounais, plus vraiment en odeur de sainteté en Catalogne. Estimé à 30 millions d'euros l'an dernier, il pourrait aujourd'hui trouver preneur à 14 millions. Pour l'OM, cela impliquerait sans doute le départ de Djibril Cissé et un énorme montage financier. Pape Diouf étudie donc sérieusement le dossier, bien que très complexe. Le plus gros obstacle reste le salaire du joueur qui avoisine les 4.5 millions d'euros net par an. Ce qui serait du jamais vu en France...

OM : ACCORD POUR BEN ARFA

Hatem Ben Arfa ne sera plus à Lyon la saison prochaine. Le jeune milieu offensif avait émis son désir de quitter le Rhône malgré l'arrivée de Claude Puel. Restait à savoir sa destination. C'est finalement Marseille, qui était revenu à la charge en début de semaine, qui a décroché la timbale. Un accord a été trouvé entre l'OM et l'OM pour le transfert définitif du joueur. "(Hatem Ben Arfa) sera dans les prochaines heures à Marseille pour y passer la traditionnelle visite médicale préalable avant la signature du contrat", annonce le site du club phocéen.

BALMONT EST LILLOIS

Selon nos informations, le milieu de terrain, Florent Balmont, qui évoluait à Nice depuis 2004, a signé un contrat portant sur les trois prochaines années avec Lille. Le montant du transfert s'élève à 2,3 millions d'euros. Le LOSC, désormais drivé par Rudy Garcia, pourra s'appuyer sur un milieu défensif de grande qualité avec Rio Mavuba, Yohan Cabaye et donc Florent Balmont.

THURAM BIENTÔT PARISIEN ?

Selon L'Equipe, Lilian Thuram pourrait être la première recrue du PSG cet été. Libre de tout contrat depuis son départ du FC Barcelone, l'international tricolore a de fortes chances de faire son retour en France après l'avoir quittée en 1996 pour traverser les Alpes (Parme puis la Juventus Turin). Mardi soir, Thuram aurait rencontré, au Parc des Princes, le président du PSG, Charles Villeneuve, et l'actionnaire majoritaire, Sébastien Bazin. A 36 ans, celui qui n'a disputé que 18 matches avec le Barça la saison dernière pourrait signer un contrat d'un an, avec une option pour une année supplémentaire.

TREZEGUET, FIDELE A LA JUVENTUS

Selon son agent, David Trezeguet, bien que courtisé par le FC Barcelone, ne souhaite pas quitter Turin. Auteur de 20 buts cette saison avec la Juventus, l'attaquant international, arrivé en Italie il y a huit ans, possède encore trois ans de contrat avec la Vieille Dame. "Si le Barça insiste, la Juve ne prendra pas en considération d'offre à moins de 30 millions d'euros. Mais je le répète : le joueur ne veut pas s'en aller", a expliqué son manager. Une rencontre aurait tout de même eu lieu entre celui-ci et les dirigeants barcelonais. Alors ?

EN BREF >

Marseille aurait fait du milieu de terrain de Lens, Kader Mangane , une de ses priorités. Malgré une offre de 5 millions d'euros, le RCL a déclaré le joueur intransférable. Le Sénégalais est très convoité puisque Rennes (3 millions) et Everton (8 millions) ont également fait des propositions.

L'AC Ajaccio s'active sur le marché des transferts. L'attaquant de Brest, Julien Viale, a signé un an. Tandis que le milieu de terrain de Nancy, Ludovic Guerriero s'est engagé pour trois ans. Son homologue de Libourne Saint-Seurin, Elie Dohin, a lui signé pour deux ans en Corse. Prêté par Lorient la saison dernière, Carl Medjani va être définitivement transféré.

L'attaquant du Stade Malherbe de Caen, Stéphane Samson, a signé un contrat d'un an avec une option pour une année supplémentaire avec Reims.

Le défenseur central Benoît Haaby, qui évoluait la saison passée à Clermont, a signé un contrat de deux saisons avec Amiens.

L'attaquant franco-gabonais du Milan AC Pierre-Emerick Aubameyang a été prêté pour une saison au club de Ligue 2 de Dijon.
F-X.R. et A.P. / Eurosport

Euro 2008 - Que nous réserve la Turquie

La Turquie, qui déplore neuf blessés ou suspendus, abordera la demi-finale de l'Euro 2008 face à l'Allemagne dans une situation atypique.
La Turquie, qui déplore neuf joueurs blessés ou suspendus, abordera la demi-finale de l'Euro 2008 face à l'Allemagne dans une situation atypique. Les Turcs, avec seulement 14 joueurs disponibles, vont devoir innover. Mais ils y croient...

Ce n'est pas un coup dur, c'est une hécatombe ! Qualifiée à l'issue de la séance des tirs au but face à la Croatie, la Turquie se retrouve dans une situation bien étrange à l'heure de défier l'Allemagne en demi-finale : la sélection turque comptera pas moins de neuf joueurs indisponibles. Si le défenseur Emre Asik, les milieux de terrain Tuncay Sanli et Arda Turan et le gardien Volkan Demirel sont suspendus, cinq joueurs sont également blessés : deux défenseurs Emre Güngor et Servet Cetin; deux milieux, le capitaine Emre Belözöglu et Tümer Metin. Et pour couronner le tout, l'attaquant Nihat, touché à une cuisse, est retourné chez lui dimanche.

Ce n'est plus une sélection de football... Avec neuf blessés ou suspendus, Fatih Terim va avoir du pain sur le planche pour composer son équipe face à l'Allemagne. Ou plus exactement, le sélectionneur turc ne devrait pas réfléchir trop longtemps. L'Empereur comme on le surnomme dans son pays n'a plus beaucoup de choix. Il aura juste trois joueurs à laisser sur son banc. Avec un gardien. Au moins, il n'aura pas à se décarcasser pour les changements...

Pas un problème

Devant cette cascade d'indisponibilités, Fatih Terim va innover. S'il devrait renouveler son 4-1-4-1 mis en place contre la Croatie, il devra revoir sa défense centrale (Topal-Zan ?), changer son milieu et trouver une nouvelle pointe en attaque pour faire oublier la perle Nihat. Concernant ce dernier, c'est Senturk Semih, le héros du quart de finale, qui devrait s'y coller en toute logique. Devant le peu de solutions qui se présentent à lui, Terim envisage même de transformer son troisième gardien, Tolga Zengin, en joueur de champ. "Comme remplaçant, il pourrait intervenir à la fin de la partie soit comme gardien, soit comme avant-centre. Compte tenu de la situation, nous ne pouvons plus nous permettre le luxe de laisser chaque joueur décider du poste auquel il veut jouer". Voilà qui en dit long sur l'état de la situation...

Et pourtant malgré ces difficultés, les Turcs ne s'en font pas. Galvanisés par leurs exploits et leurs retournements de situation contre la Suisse, la République tchèque et donc la Croatie, ils sont sur un nuage. Et ce n'est pas ces "détails" qui entameront leur confiance... "Nous sommes arrivés en demi-finales mais nous ne nous en contentons pas, avoue Gökhan Zan. Nous visons plus haut, nous allons combattre une grosse équipe mais nous allons passer cet obstacle. Nous n'avons peur de personne, même si nous avons beaucoup de blessés et de suspendus", a expliqué le joueur. Et à Hamit Altintop de confirmer : "Tuncay Sanli et Arda Turan vont nous manquer, c'est sûr. Mais notre force, c'est le collectif. Et même si on a plein de joueurs blessés et suspendus, d'autres sont prêts et ils ont tous très envie de jouer".

L'Allemagne est prévenue : la Turquie, qui ne devrait "pas jouer offensif et plutôt attendre au moins en début de rencontre" selon Altintop, n'aura pas le même profil. Mais elle jouera avec le même désir de rester en vie et de continuer l'aventure. En clair, la Nationalmannschaft n'est pas en finale. Gökhan Zan, le défenseur turc, s'amuse même quant à la suite de l'aventure turque : "Nous aurons peut-être 13 ou 14 joueurs disponibles seulement contre l'Allemagne et, si on va plus loin dans le tournoi, on aura peut-être des difficultés à en trouver 11 pour l'équipe de départ (rires)".
Glenn CEILLIER / Eurosport

lundi, 23 juin 2008

Zidane ne veut pas venir au Standard

Yves Taildeman

a9213ba515b4e3d247dba750cc100b7d.jpg
Lors d'une conférence de presse, le Français a répondu à la rumeur qui a circulé à Sclessin. L'emblématique meneur de jeu ne pense pas à entraîner.

Le "Museumquartier" à Vienne, le magnifique camp de base d'Adidas, hier après-midi. Malgré le match au sommet du soir, des centaines de journalistes affluaient pour la conférence de presse du "Roi" , comme le qualifiait le journal organisateur, "Kronen Zeitung".

Zinedine Zidane, qui fête ses 36 ans ce 23 juin, était dans la capitale autrichienne pour jouer avec des enfants et pour répondre - pendant 30 minutes - à des questions de journalistes du monde entier. Le but était de parler de l'Euro, mais un sujet nous tenait particulièrement à coeur : qu'en était-il de la rumeur folle qui circulait à Liège au début de ce mois ? On parlait de Zidane comme entraîneur principal à Sclessin, avec Jean-Pierre Papin comme adjoint. Était-il le candidat numéro 1 de son ami Luciano D'Onofrio, avant que ce dernier ne désigne Laszlo Bölöni à la tête de son club ? On a dû jouer des coudes pour s'emparer du micro qui circulait dans la salle.

Zinedine Zidane, bonjour. Selon une rumeur, le Standard vous aurait voulu comme entraîneur. Est ce vrai ?

(Zidane sourit, il est clair qu'il était au courant de la rumeur) Je connais bien Luciano D'Onofrio. On se parle régulièrement. Mais je ne veux pas être entraîneur pour le moment. Même pas du Standard.

Et à l'avenir ?

Non plus. Être T1 ou T2 ne me dit pas grand-chose. Or je ne cache pas que je veux revenir dans le football, mais je ne sais pas en tant que quoi. J'ai pris plus d'une année sabbatique. J'aurais encore pu jouer au football, mais j'ai préféré me consacrer à la famille et savourer les choses dont je m'étais privé pendant ma carrière professionnelle. J'avais joué pendant 17 ans au plus haut niveau, et j'ai tout gagné.

Vous étiez présent lors de la rencontre opposant le Standard à Anderlecht pour remettre le Soulier d'Or à Steven Defour...

Mais entre-temps, le micro nous avait été confisqué. Dommage. On aurait voulu savoir si l'ambiance à Sclessin l'avait étonné, si un joueur particulier l'avait impressionné, et si les pralines belges que D'Onofrio lui avait offertes avaient plu à ses enfants. Toutefois, la question du prochain journaliste nous intéressait également : s'il jouait encore au football pendant ses loisirs. Je m'entraîne encore tous les jours. Mais individuellement et sans ballon.

samedi, 21 juin 2008

Euro 2008 : Impossible n'est pas turc

Voilà. On a eu ce soir tout ce qui fait la magie du foot. A l'issue d'un match d'un ennui mortel, qui aurait certainement été à classer parmi les plus inintéressants de cet Euro, Croates et Turcs nous ont offert un final à couper le souffle. Mais il aura quand même fallu attendre 119 minutes pour vibrer, avec trois dernières minutes de folie.
07e5cd188627d127555d6c1ad25715bd.jpg
Les Croates pensaient pourtant tenir la qualif' après l'ouverture du score de Klasnic. C'eut été la belle histoire de l'Euro que le revenant, ex du Werder (d'ailleurs contacté par Nantes) et deux fois transplanté du rein, offre une demi-finale à son pays. Mais le coup de théâtre avec cette lunette trouvée par Semih Sentürk tout au bout du temps additionnel a fait basculer le match.

On a donc eu droit à une séance de pénos qui n'a pas fait durer le suspense bien longtemps puisque les joueurs de Bilic ont craqué dès le départ avec ce tir-au-but raté par Modric, pourtant excellent pendant tout le match, ce qui accrédite une fois de plus la thèse selon laquelle les meilleurs joueurs d'un match - et les plus doués techniquement - ratent souvent leur péno dans les séances de tirs-au-but.

Et comme Ratikic a aussi mis le sien à côté - c'est d'ailleurs la première que je vois une équipe mettre deux tirs-au-but sur trois tentés en dehors du but -, ça a tourné court. Reste que ce dénouement inattendu était presque écrit. Après avoir déjà renversé le score devant la Suisse puis écoeuré les Tchèques en refaisant un retard de deux buts en un quart d'heure, l'égalisation turque de la dernière seconde ressemblait déjà à un chant du cygne pour les Croates.

Cette victoire des hommes de Fatih Terim doit être une joie immense pour le peuple turc, mais aussi pour... les Allemands ! Avec un jour de récupération de moins, une demi-heure de match et de stress en plus et une pléiade de blessés et de suspendus, on se demande bien comment les Turcs vont pouvoir résister à une Mannschaft revigorée. Mais la théorie du miracle permanent semble être devenue la norme côté turc, alors qui sait ?

Je vous laisse, à demain dans le Club C.

Pierrot

vendredi, 20 juin 2008

Hugo Chavez menace l'UE à propos de la "directive retour"

CARACAS (Reuters) - Le président vénézuélien Hugo Chavez a menacé jeudi de mettre fin aux livraisons de pétrole vers les pays européens, si ces derniers appliquent la "directive retour" aux étrangers en situation irrégulière.
a63c23e94ae1161bf65e1b6ba371a41a.jpg

Ce texte, adopté mercredi au Parlement européen, fixe à 18 mois la durée du placement en rétention des immigrés clandestins et prévoit à leur encontre une interdiction de séjour de cinq ans en Union européenne.

"Nous ne pouvons pas rester les bras croisés", a affirmé Chavez lors d'une rencontre au Venezuela avec le président-élu du Paraguay.

"Pour chaque pays européen qui appliquera cette directive, nous allons... enfin, nous n'allons pas suspendre les relations, mais c'est bien simple, à tout le moins, nous cesserons de leur envoyer notre pétrole", a-t-il déclaré.

Chavez a également menacé de mettre un terme aux investissements de ces pays au Venezuela et annoncé qu'il dresserait la liste de leurs intérêts dans son pays.

"Nous sommes prêts à le faire dès maintenant", a-t-il assuré. "Au moins, ici, au Venezuela, ils ne nous manqueront pas."

Le président vénézuélien menace fréquemment de suspendre les exportations de pétrole, mais ces propos n'ont encore jamais été suivis d'effet. Les Etats-Unis, principal client du pétrole vénézuélien, sont la cible la plus fréquente de Chavez.

Ce dernier a entrepris depuis quelques années de diversifier les exportations de pétrole de son pays, et vend depuis davantage de pétrole vers l'Europe et la Chine.

Frank Jack Daniel, version française Gregory Schwartz

Euro2008: l'Allemagne renfile son costume de favori

BÂLE (Reuters) - L'Allemagne a renfilé son costume de favori de l'Euro en se qualifiant pour les demi-finales avec une victoire 3-2 contre le Portugal à Bâle.
af98052be7323433fc5bbc376b2eef7a.jpg

Le Portugal pensait bien lui avoir chipé la tunique avec son début de tournoi convaincant et la présence dans ses rangs de la nouvelle vedette du football mondial, Cristiano Ronaldo.

Il a été une nouvelle fois victime de Bastian Schweinsteiger, auteur du premier but allemand et passeur décisif sur les deux autres de Miroslav Klose et Michael Ballack, deux ans après son doublé dans la "petite finale" de la Coupe du monde remportée 3-1 par les Allemands.

"Je suis très heureux d'avoir gagné ce match", a réagi "Schweini", le héros du soir. "Nous avons éliminé à mes yeux la meilleure équipe du tournoi."

"Maintenant, nous sommes dans le dernier carré et nous avons la meilleure équipe. Nous avons montré que nous savons jouer au football. Nous savons nous battre et les vertus allemandes sont toujours là", a-t-il ajouté.

L'Allemagne pourrait retrouver en demi-finale la Croatie, qui l'a battue au premier tour et affronte la Turquie en quarts vendredi.

Rapidement mené 2-0, le Portugal a constamment couru après le score. Nuno Gomes, en première mi-temps, puis Helder Postiga en fin de match n'auront fait qu'entretenir l'espoir sur une pelouse du parc Saint-Jacques parsemée de plaques brunes quelques jours après son changement dans l'urgence.

Epargnés lors du dernier match de poule sans enjeu face à la Suisse, les titulaires portugais ont bénéficié de cinq jours de récupération de plus que les joueurs allemands, contraints de batailler lundi face à l'Autriche pour arracher leur place en quarts de finale.

Sous les yeux de Joachim Löw, installé en tribunes en raison de sa suspension, l'Allemagne imposait pourtant son tempo en début de match.

Une action collective d'école et un coup de pied arrêté lui permettaient de concrétiser son emprise sur le match, après une reprise du genou de Joao Moutinho au-dessus du but de Jens Lehmann.

COURSE POURSUITE

Schweinsteiger surgissait d'abord au premier poteau pour expédier au fond des filets portugais un centre au cordeau de Lukas Podolski, décalé sur la gauche après un double "une-deux" avec Klose et Ballack (22e).

Buteur, Schweinsteiger devenait passeur décisif quatre minutes plus tard pour déposer un coup-franc sur la tête de Klose, auteur de son 40e but en 79 sélections.

"Nous avons fait preuve de beaucoup de courage aujourd'hui. Nous avons réalisé de bonnes combinaisons, nous avons bien bougé sans le ballon", a salué Löw, qui retrouvera sa place sur le banc pour la demi-finale.

Dominé et mené 2-0 en moins d'une demi-heure, le Portugal tentait de s'en remettre à Cristiano Ronaldo, plusieurs fois lancé en profondeur sans réussite.

L'une de ces passes permettait toutefois à la vedette portugaise de se présenter seul face à Lehmann à cinq minutes de la mi-temps. Il perdait son duel mais Nuno Gomes réussissait à propulser le ballon au fond du but allemand malgré le retour de Christoph Metzelder.

Juste avant la pause, Ronaldo manquait l'égalisation de peu sur une frappe excentrée dans la surface frôlant le but de Lehmann.

Le Portugal continuait sa course poursuite en début de seconde période mais après une tête de Pepe au-dessus sur corner, l'Allemagne reprenait deux longueurs d'avance à l'heure de jeu avec un troisième but conforme au deuxième, hormis l'identité du buteur.

Schweinsteiger tirait un coup-franc de la gauche et Ballack devançait la sortie de Ricardo.

L'Allemagne vivait pourtant une fin de match stressante et de longues séquences de pression portugaise sur son but après la réduction du score de Helder Postiga sur un centre de Nani à trois minutes de la fin du temps réglementaire.

Mais l'Allemagne refusait de se laisser dépouiller et tenait jusqu'au bout, au plus grand désespoir de Luiz Felipe Scolari, dont c'était le dernier match à la tête de la sélection portugaise avant de rejoindre le club anglais de Chelsea.

"Je quitte mon poste avec la conscience claire. J'ai toujours fait de mon mieux et il n'y a pas eu d'exception aujourd'hui. J'ai fait de mon mieux, en espérant que les joueurs feraient la même chose", a déclaré le technicien brésilien.

Bertrand Boucey, édité par Clément Dossin

11:06 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Euro2008 |  del.icio.us |  Facebook | | |

jeudi, 19 juin 2008

Euro 2008 : La Russie plus belle que la Suède

La Russie s'est qualifiée pour les quarts de finale de l'Euro 2008 grâce à sa victoire sur la Suède (2-0). Roman Pavlyuchenko et Andrei Arshavin ont inscrit des buts historiques pour les Russes, qui n'avaient jamais franchi le premier tour d'une compétition internationale. La Suède est éliminée.
23a109abd5ebe4131f62deea26bec1db.jpg
RUSSIE - SUEDE : 2-0

Buts : Pavlyuchenko (23e), Arshavin (49e).

Devant sa télévision, Marco van Basten a dû esquisser une petite grimace. En quarts de finale, c'est la Russie, vainqueur (2-0) de la Suède dans le match décisif du groupe D, qui affrontera les Pays-Bas samedi à Bâle (20h45). Certes, l'équipe batave a fini devant le champion du monde (l'Italie) et éliminé le vice-champion (la France), mais la perspective de retrouver son compatriote, Guus Hiddink, sur le banc russe, ne peut pas être une bonne nouvelle pour van Basten.

Car ce Hiddink, quel sorcier ! Le mage néerlandais a systématiquement conduit ses sélections au-delà des phases de poule depuis dix ans. S'il y en a un qui connaît le football oranje, c'est bien lui. Visiblement, le gaillard a aussi pris la mesure du football russe. Celui-ci n'avait jamais franchi les phases de poule depuis 1988 mais à l'époque, il s'agissait de l'URSS. C'est donc une première pour ce géant qui commence seulement à digérer, sportivement et économiquement l'après-chute du Mur de Berlin en 1989. Les succès du CSKA Moscou (2005) et du Zénith Saint-Pétersbourg (2008) en coupe de l'UEFA en attestent ; la sélection pourrait bien suivre très prochainement.

Artistes peintres face à peintres en bâtiments

La Suède a pu goûter la puissance de frappe de ce nouvel épouvantail continental. Pourtant, les Scandinaves nourrissaient eux aussi des ambitions de haut vol. En effet, en se qualifiant, la sélection scandinave aurait franchi les poules pour la quatrième fois de suite depuis 2002, ce qu'aucune nation européenne n'a réussi sur la période. Mais la formation de Lars Lagerbäck, dépendante du seul talent d'un Ibrahimovic claudiquant, n'a jamais vraiment fait illusion, rapidement dépassée par la supériorité collective considérable des joueurs de Hiddink. Artistes peintres face à peintres en bâtiments.

C'est d'ailleurs un des enseignements majeurs de cet Euro après la première phase : les équipes à fort coefficient technique (Pays-Bas, Espagne, Portugal, Croatie, Turquie voire Italie) ont de nouveau le vent en poupe. Quatre ans après le sacre de la Grèce, ce bilan n'a rien d'anodin. Mais pour valider son billet, la Russie a dû dépasser son seul savoir-faire en matière de circulation de balle type "futsal" (passes redoublées y compris dans la surface adverse). En effet, le retour de suspension d'Andrei Arshavin donne un pouvoir de perforation nettement supérieur aux avant-postes pour concrétiser une maîtrise parfois aussi absolue que celle... des Pays-Bas. Samedi, pour la Russie, il faudra faire encore mieux.
Dave APPADOO / Eurosport

10:00 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : euro 2008 |  del.icio.us |  Facebook | | |

mardi, 17 juin 2008

Euro 2008 - La France sans Vieira

Venu en conférence de presse, Patrick Vieira a révelé qu'il ne jouerait pas face à l'Italie. Blessé à une cuisse depuis le 30 mai dernier, le capitaine des Bleus a paru énervé. Il a relevé des "incohérences" sur sa blessure et sur les soins qui lui ont été administrés.

PATRICK VIEIRA, comment va votre cuisse à la veille de France-Italie ?
402fa00b1b88101268c95b60921f5b59.jpg
P.V. : Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de progression. J'arrive à m'entraîner mais j'ai toujours cette douleur qui m'empêche d'accélérer ou de frapper dans le ballon. Je suis un peu agacé par ça car il n'y a pas d'évolution. Je ne sais pas quand je pourrai jouer. Au début, je pensais que je louperais le premier ou le deuxième match mais j'étais confiant pour le troisième match. Je ne peux pas dire quand je pourrai rejouer.

Votre lésion est-elle consolidée ?

P.V. : J'ai plein de questions et je n'ai pas les réponses. Je ne sais pas où j'en suis honnêtement et ça me donne encore plus les boules. Mais je ne vais pas entrer dans ce débat, il est trop tôt. Il y a eu des incohérences sur ma blessure et sur les soins qui ont été faits.

Accusez-vous quelqu'un en particulier ?

P.V. : Je ne veux pas entrer dans le débat. Ma situation est moins préoccupante que celle de l'équipe. L'important est de battre les Italiens et de passer en quarts de finale.

Aujourd'hui, pensez-vous qu'il fallait tenter le pari et rester parmi les 23 ?

P.V. : Oui, il fallait tenter le pari car j'étais confiant. Je suis là car je pensais que je pourrais participer à ce dernier match mais la douleur est toujours là. Et il n'y a pas de grosse évolution. Je pensais que j'allais jouer. J'étais là pour cela. Avec mon expérience de la Coupe du monde, de l'Euro, je pensais pouvoir apporter quelque chose.

Comment vous rendez-vous utile au groupe depuis le début de la compétition ?

P.V. : A partir du moment où j'ai su que j'allais louper les matches, mon implication est devenue assez importante. Je connais pas mal de Roumains, Néerlandais ou Italiens, je peux parler d'eux.

Comment sentez-vous le groupe ?

P.V. : Sur le premier match, l'équipe a joué avec beaucoup de retenue. Elle s'est comportée avec beaucoup plus de liberté sur le deuxième match. On s'est créé beaucoup plus d'occasions. Là, je les sens relâchés et confiants. J'espère que les occasions, on pourra les mettre au fond cette fois.

Etes-vous tout de même heureux durant cet Euro ?

P.V. : La frustration est là mais il faut la mettre de côté quoi qu'il arrive. Il faut le faire pour que tout le monde se sente bien. Il faut essayer de motiver tout le monde.

Qu'allez-vous dire aux joueurs qui vont jouer face à l'Italie ?

P.V. : On connaît bien les Italiens. Ils sont en situation peu favorable mais ils sont toujours dangereux et plus encore dans des moments de doutes. A nous de rester vigilants.

Battre l'Italie, est-ce une question d'honneur ?

P.V. : Jouer contre les Italiens amène toujours une rivalité. Deux grandes nations comme ça, c'est toujours excitant. On connaît aussi les derniers résultats. On l'a encore en travers de la gorge (finale de la Coupe du monde, ndlr) mais il faut quand même tenter de faire abstraction de tout ça.
Propos recueillis par Maxime DUPUIS, au Letzigrund de Zurich

dimanche, 15 juin 2008

Football: le Malawi surprend l'Egypte 1-0 en éliminatoires du Mondial

BLANTYRE, Malawi - Un but du remplaçant Chiukepo Msowoya inscrit à la dernière minute du temps additionnel a permis au Malawi de signer une victoire surprise 1-0 contre l'Egypte samedi en éliminatoires de la Coupe du monde.

"Le Malawi a joué un meilleur match, c'est tout ce que je peux dire", a commenté l'entraîneur égyptien Hassan Shehata.

Le Malawi occupe la première place du groupe 12 à égalité avec l'Egypte et le Congo. AP

samedi, 14 juin 2008

La Hollande atomise la France

Voilà les oranges amères avalées par la France dans la souffrance. Il n'y avait pas football du côté français, il n'y avait pas d'automatisme, l'équipe manquait de génie ou de magicien...un un mot c'était terne contrairement au côté néerlandais où on voyait une vraie équipe, une balle qui circule, une vitesse dans le jeu, de l'art dans les actions pour des buts d'instinct.

C'est la qualité des Pays Bas excuser! des "Pays Hauts"...une équipe oui une équipe...une équipe qui gagne avec la manière...nous nous sommes régalés.

554eb4f093e2fb3407ecd743d860d602.jpg

12:49 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : euro2008 |  del.icio.us |  Facebook | | |

jeudi, 12 juin 2008

Football:CHELSEA ENGAGE SCOLARI

ce919532e82fc730990e48f8473f3899.jpg
Le site officiel de Chelsea annonce avoir nommé Luiz Felipe Scolari, actuellement sélectionneur du Portugal. Le Brésilien a été préféré à Didier Deschamps, Carlo Ancelotti, Frank Rijkaard et Roberto Mancini. Scolari succède à Avram Grant, limogé après avoir conduit le club londonien à la deuxième place de Premier League et à la finale de la Ligue des Champions, vaincu les deux fois par Manchester United. "Felipe a de grandes qualités. C'est l'un des meilleurs entraîneurs mondiaux, avec une suite de succès, il sait obtenir le meilleur des joueurs de talent et ses ambitions correspondent aux nôtres, c'est un choix exceptionnel", a déclaré le communiqué sur le site officiel. Le technicien a remporté la Coupe du monde avec le Brésil en 2002. Il a ensuite pris en charge la sélection du Portugal qu'il a emmenée en finale de l'Euro 2004 et en demi-finale du Mondial 2006.

09:10 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chelsea |  del.icio.us |  Facebook | | |

mercredi, 11 juin 2008

Euro 2008 - Le Portugal au rendez-vous

Vainqueur de la République tchèque (3-1), le Portugal est le premier pays qualifié pour les quarts de finale de l'Euro 2008. Accrochés à la pause (1-1), les Portugais ont fait la différence en seconde période grâce à des buts de Cristiano Ronaldo et Ricardo Quaresma.87ee8b7b1d33bda4151131c82830630c.jpgVainqueur de la République tchèque (3-1), le Portugal est le premier pays qualifié pour les quarts de finale de l'Euro 2008.

Vainqueur de la République tchèque (3-1), le Portugal est le premier pays qualifié pour les quarts de finale de l'Euro 2008. Accrochés à la pause (1-1), les Portugais ont fait la différence en seconde période grâce à des buts de Cristiano Ronaldo et Ricardo Quaresma.
Eurosport

Euro 2008 - Domenech répond à Gallas

Mardi, William Gallas avait parlé de "consignes" de prudence faites par Raymond Domenech avant le match face à la Roumanie (0-0). Interrogé mercredi en conférence de presse, Raymond Domenech a répondu à son défenseur et, mine de rien, remis les points sur les "i" avant le match face aux Pays-Bas.

d3eb161edca7264e2684cb3a348db69a.jpg
Mine de rien, William Gallas a réussi son coup. En venant mardi en conférence de presse et en répétant à plusieurs reprises que les Bleus avaient sans doute être trop frileux face à la Roumanie (0-0) en raisons des "consignes" de Raymond Domenech, le défenseur central d'Arsenal a créé un petit buzz et la bonne cinquantaine de journalistes réunie en début d'après-midi dans le grand chapiteau dressé sur un champ de Châtel-Saint-Denis attendait avec impatience la réponse du patron. Elle n'a pas tardé. Et Domenech a fait du Domenech.

Un peu étonné par les dires de son défenseur central, le sélectionneur de l'équipe de France a commencé par une pirouette pleine d'ironie quand on lui a dit que William Gallas avait assuré que les Bleus avaient "des choses à se dire." "William nous a convoqués pour une réunion, j'avais oublié.... (sourire) S'il fallait attendre William pour cela, il faudrait attendre qu'il se réveille. On ne pourrait le faire qu'en début d'après-midi" 1-1, balle au centre. Plus sérieusement, Raymond Domenech a enchaîné en dévoilant les us de l'équipe après chaque rencontre. "Il y a toujours un briefing et une discussion. Après la Roumanie, on a vu les images dans le train du retour. On a pu en discuter à ce moment-là. On fait des réunions en permanence."

"William me fait rire"

Des réunions lors desquelles Raymond Domenech ne prône jamais la prudence comme l'a pourtant laissé entendre William Gallas. "Le travail de base des défenseurs est avant tout de défendre. Ce sont les consignes stupides d'un entraîneur de base. Un défenseur ne joue pas comme un avant-centre et un avant-centre en se comporte pas comme un défenseur." Point final ? Pas encore. "Si un défenseur peut faire plus et en a l'opportunité, personne ne lui dit de ne pas passer la ligne médiane. Il n'y a pas de restriction individuelle. Je ne crois pas avoir utilisé le mot prudence depuis le début du stage."

Face la Roumanie (0-0), c'est plutôt les événements qui ont a incité les Tricolores à rester sur leurs gardes. "C'était le premier match, on était un peu tendus, crispés. Dans ce match, si les centraux étaient sortis, cela aurait été criminel. Après, il y a l'intelligence de jeu. Décréter que l'on va sabre au clair à l'abordage, ça peut se faire mais il faut s'organiser" , a-t-il conclu. Agacé Raymond ? Pas le moins du monde. "William a le don de me faire rire. Il dit des choses vraies mais il répète que ce l'on raconte. Cela prouve qu'il écoute." Le message est passé.
De notre envoyé spécial à Châtel-Saint-Denis, Maxime DUPUIS

mardi, 10 juin 2008

Euro2008, c'est parti et ça va chauffer après

bef418c1f552a940a534e65f1ca77bbc.jpg

f669c8e328c4853eb111fbb21f1b970d.jpg