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vendredi, 24 septembre 2010

Ahmadinejad provoque un tollé à l'ONU en évoquant un complot américain dans les attentats du 11-septembre

Bis repetita. Comme lors de la précédente Assemblée générale de l'ONU, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a réussi à provoquer le départ des délégations des Etats-Unis et de l'Union européenne de la salle, jeudi, pendant son discours.

Evoquant les attentats du 11-Septembre qui ont fait quelque 3.000 morts en 2001, il a lâché: «Quelques éléments à l'intérieur du gouvernement américain ont orchestré l'attentat pour inverser le déclin de l'économie américaine et son emprise sur le Moyen-Orient de manière à sauver le régime sioniste. La majorité du peuple américain de même que d'autres nations et des politiciens sont d'accord avec ce point de vue».

Parlant d'une autre théorie sur l'attentat, le président iranien a ajouté qu'il avait «été mené par un groupe terroriste mais le gouvernement américain l'a soutenu et a pris avantage de cette situation».

Il a cité une troisième théorie: «Un groupe terroriste très puissant et complexe, capable de passer au travers avec succès de toutes les couches de systèmes de renseignement et de sécurité américains, ont perpétré l'attentat. C'est le principal point de vue mis en avant par les dirigeants américains».

«Propos détestables»

«Plutôt que de représenter les aspirations et la bonne volonté du peuple iranien, M. Ahmadinejad a de nouveau choisi de dégoiser sur des théories viles de complot et des propos antisémites qui sont détestables et délirants», a souligné Mark Kornblau, porte-parole de la mission américaine à l'ONU.

Un diplomate européen a expliqué que les délégations européennes avaient quitté la salle en signe de solidarité avec les Etats-Unis. Les propos de M. Ahmadinejad constituent «un affront à l'Assemblée générale et à la vérité», a indiqué un diplomate français à l'AFP.

Le chef de la diplomatie canadienne Lawrence Cannon a estimé pour sa part que les propos du président iranien étaient «inacceptables» et qu'ils «représent une menace déstabilisatrice pour la région et pour le monde». La délégation canadienne a aussi quitté la salle au moment du discours du président Ahmadinejad.

«Il a été dit que quelque 3.000 personnes ont été tuées le 11-Septembre et nous en sommes tous très peinés. Cependant, jusqu'à maintenant, en Afghanistan et en Irak des centaines de milliers de personnes ont été tuées, des millions blessées et déplacées et le conflit est encore en train de s'étendre», a encore ajouté le leader iranien.

Reprises des négociations sur le nucléaire?

Ironie de l'affaire, ces propos interviennent alors que Barack Obama avait tendu à l'Iran, et que les diplomates notaient «des progrès» en vue de la réouverture des négociations entre Téhéran et l'Occident sur le dossier du nucléaire, après les sanctions de l'été.

Le dirigeant iranien a affirmé un peu plus tôt à la chaîne japonaise TBS que les discussions sur le nucléaire «sont en préparation» et qu'elles «se tiendront probablement en octobre» avec les Six, les grandes puissances qui soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de la bombe nucléaire sous couvert d'un programme

mercredi, 22 septembre 2010

Le Président Barack Obama

16:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obama |  del.icio.us |  Facebook | | |

mardi, 21 septembre 2010

La version d'Ingrid Betancourt

betan14.jpgDeux ans après sa libération, l'ex-otage des Farc raconte sa détention qu'elle a enduré de 2002 à 2008. Un récit qui paraît alors que son image est bien ternie.

"Peur d'être seule. Peur d'avoir peur. Peur de mourir". C'est ainsi qu'Ingrid Betancourt résume ses six ans et demi de captivité dans Même le silence a une fin (Gallimard). Le livre, dont le titre est emprunté à un vers de Pablo Neruda, paraît ce mardi en France et dans une dizaine de pays, dont la Colombie et les Etats-Unis.

Dix-huit mois, c'est le temps qu'il aura fallu à l'ancienne candidate à la présidence colombienne pour rédiger un récit intime de 700 pages. La Franco-colombienne a choisi d'écrire son histoire en français afin de "garder une distance", tout en faisant remonter à la surface des émotions de l'époque.

Un long délai qui a laissé le temps aux compagnons de détention d'Ingrid Betancourt de ternir son image par leurs témoignages. Et à son ex-mari de raconter sa version des faits. En janvier Juan Carlos Lecompte, publiait Ingrid et moi, une liberté douce-amère, dans lequel il livrait un portrait très contrasté de son ex-épouse.

Demande d'indemnisation

Pourtant dans ce récit, l'ex-candidate à la présidentielle colombienne ne semble pas régler ses comptes. Ingrid Betancourt tente surtout d'apporter un nouvel éclairage sur l'organisation des Farc et sur les conséquences de la détention sur chaque individu.

Et livre les détails les plus durs de sa détention. Enchaînée, violentée et abusée sexuellement, Ingrid Betancourt écrit: "Je me sentais prise d'assaut, partant en convulsions (...) Mon corps et mon coeur restèrent gelés pendant le court espace d'une éternité." "Mais je survivais", dit-elle.

Mais Ingrid Betancourt ne s'épargne pas non plus les sujets de controverse. A propos de sa demande d'indemnisation, elle explique tout simplement que c'est un droit, qu'une loi existe en Colombie et en France qui permet aux victimes du terrorisme de demander ré... Lire la suite sur LEXPRESS.fr

lundi, 20 septembre 2010

La rencontre Di Rupo-De Wever prévue à 14 heures

pict_258320.jpgDimanche, sur le plateau des débats télévisés, le PS a évoqué, par la voix de Paul Magnette, le problème de confiance qui se posait avec la N-VA, encline à ne pas respecter la parole donnée dès qu'un accord était en vue.Les médiateurs royaux André Flahaut et Danny Pieters rencontrent ce lundi après-midi les présidents du PS Elio Di Rupo et de la N-VA Bart De Wever pour voir "s'il est possible de passer à une nouvelle phase de négociation", selon les termes du communiqué diffusé par les médiateurs mercredi soir. La rencontre devrait débuter à 14 heures.

Dimanche, sur le plateau des débats télévisés, le PS a évoqué, par la voix de Paul Magnette, le problème de confiance qui se posait avec la N-VA, encline à ne pas respecter la parole donnée dès qu'un accord était en vue. Selon lui, la N-VA doit dire maintenant si elle est prête ou non à avancer, les partis francophones s'étant montrés à chaque fois conciliants jusqu'à présent.

Quant au secrétaire d'Etat cdH Melchior Wathelet, il a souligné lundi à la radio publique flamande Radio 1 que son parti est ouvert à la responsabilisation des entités et même demandeur sur ce plan. Il attend lui aussi un "signe de confiance" de la part des nationalistes flamands.

Les choses sont claires: la N-VA est-elle prête à négocier ou va-t-elle trouver un énième argument pour freiner le processus de négociation? a demandé le chef de groupe Ecolo-Groen! à la Chambre Olivier Deleuze sur les antennes de Bel-RTL. "Franchement, il faut un plan A maintenant, point final", a-t-il ajouté.

10:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ps nva |  del.icio.us |  Facebook | | |

Picqué: "Les nationalistes peuvent devenir des ennemis politiques"

D'adversaires politiques, les nationalistes peuvent devenir des ennemis politiques, a commenté lundi matin sur les antennes de La Première radio de la RTBF le ministre-président bruxellois Charles Picqué à propos de la N-VA.

A quelques heures de la rencontre entre l'ex-préformateur PS Elio Di Rupo et le président de la N-VA, il a confirmé la nécessité d'étudier un "plan B" au cas où la survie de la Belgique ne serait plus possible que grâce à la soumission des Francophones.

Pour M. Picqué, le président de la N-VA ne peut pas exiger une reddition en rase campagne de la part des Francophones et il doit à son tour faire des concessions, alors que les propositions de M. Di Rupo sont en mesure de satisfaire la N-VA sur nombre de chapitres.

Il doit cesser d'être toujours en campagne électorale et de vouloir "faire du shopping dans un magasin Belgique qu'on va fermer", a-t-il averti.

Les nationalistes peuvent être des adversaires politiques lorsqu'on joue dans un périmètre où existent des règles mais s'ils recherchent la supériorité d'un groupe voire même la destruction de l'autre, ils se transforment en ennemis politiques, a-t-il affirmé.

Plusieurs éléments ont fait que les choses s'accélèrent: on veut paralyser Bruxelles faute de financement, on veut diviser les Bruxellois et on met sur la table la loi de financement, a encore dit le ministre-président socialiste. Il fait toutefois négocier jusqu'au bout, même si les Francophones ne peuvent plus faire de concessions qu'à la marge, estime-t-il.

La guerre PS - NV-A

A la guerre comme à la guerre. Au jeu du Stratego, c’est l’éclaireur Magnette qui s’est coltiné, ce dimanche, la dure besogne du Parti socialiste : mettre les troupes nationalistes flamandes sous pression maximale avant la réunion cruciale de ce lundi après-midi entre Bart De Wever et Elio Di Rupo.

Rappel : lors de cette réunion placée sous l’égide du duo Flahaut/Pieters, les deux présidents de parti devront indiquer si des négociations à sept (PS, N-VA, CD&V, SP.A, Groen !, Ecolo et CDH) peuvent être relancées - 100 jours, ou presque, après le scrutin du 13 juin. Paul Magnette est ainsi descendu sur le plateau de la chaîne publique flamande, au "Zevende Dag", pour dérouler son message : à la N-VA de montrer qu’elle peut, qu’elle veut faire un accord. "Bart De Wever n’a encore rien montré, à part qu’il peut aller déjeuner dans des restaurants très chics", a pointé l’éclaireur socialiste. Et de pousser le curseur : "la N-VA a plusieurs fois renié ses engagements et sa parole". Rien n’avait été laissé au hasard; la sortie de Magnette avait reçu le blanc-seing du président Di Rupo, et elle s’est prolongée sur le plateau de la RTBF quelques minutes plus tard.

En filigrane, il est clair que le PS balaye d’un revers de la main les conditions que les nationalistes flamands posent pour une reprise des pourparlers. Primo, le Parti socialiste n’acceptera pas de définir ce lundi la marge de l’autonomie fiscale qui sera - peut-être - laissée aux entités fédérées au bout de la négociation. "Faut quand même pas nous prendre pour des cinglés !, se fâche-t-on même au PS. On ne va pas aller offrir un symbole à De Wever avant d’avoir commencé à discuter". Secundo, Elio Di Rupo l’a répété samedi à Namur, les négociations se dérouleront à 7 et non à 2, comme le souhaite la N-VA. Tertio, fait valoir le Parti socialiste, 6 partis sur 7 ont marqué leur accord avec la méthodologie proposée (6 à 8 semaines de négociation, budget et loi de financement négociés en parallèle, ) puisque le CD&V a marqué son accord sur cette marche à suivre.

Côté nationaliste flamand, dimanche, on a vécu le raid de l’éclaireur Magnette comme un uppercut. Mais on s’est bien gardé de réagir officiellement : "On prend acte des insultes et du fait que l’on nous traite tous les jours de menteurs pour nous mettre sous pression, indique-t-on à la N-VA. Si on pense que c’est de cette manière qu’on va relancer des négociations, c’est de la débilité".

C’est une guerre de tranchées, donc, dans laquelle s’enferrent les deux partis mammouths. Alors, où est la porte de sortie (EXIT) ?

 

Personne ne veut endosser la responsabilité de l’échec, personne ne veut prendre la responsabilité de débrancher la prise de cette négociation moribonde. Et abréger cette agonie politique. Eric Defoort, un proche de Bart De Wever, a pronostiqué dimanche que la négociation ne reprendrait pas. Mais, au vrai, aucune décision n’a encore été arrêtée par la N-VA. Stop ou encore ? Une réunion capitale des hauts gradés du parti doit avoir lieu ce lundi matin, quelques heures avant que la rencontre De Wever/Di Rupo ait lieu. Le suspense devrait, donc, demeurer entier jusqu’à la dernière minute. Dans la foulée de cette rencontre au sommet, les deux médiateurs royaux, André Flahaut et Danny Pieters, en selle depuis 16 jours, devraient remettre leur rapport définitif au souverain.

 Si les deux protagonistes principaux de cette mauvaise pièce politique, Di Rupo et De Wever, n’ont qu’une envie, ne plus jamais se revoir, l’absence d’alternative pourrait les pousser à prolonger cette aventure. C’est que "celui qui dit "stop" en premier, il est mort : il risque de perdre les éventuelles élections", place un observateur de premier plan. Une drôle de guerre. Qui n’amuse plus grand-monde.

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mardi, 14 septembre 2010

La Folle Laurette Onkelinx: "Il faut se préparer à la fin de la Belgique"

"Il faut se préparer à la fin de la Belgique", déclare Laurette Onkelinx dans un entretien au journal La Dernière Heure paru dimanche. La socialiste wallonne se demande également si la N-VA est capable d'un accord.

Selon Laurette Onkelinx, il faut envisager la scission. "On ne peut plus ignorer que parmi une grande partie de la population flamande, c'est un voeu. Donc, oui, il faut se préparer à la fin de la Belgique. Sans quoi on risque d'être les dindons de la farce. Quand je vois les courriers que je reçois... Enormément de personnes imaginent que cela est possible. Les politiques doivent donc s'y préparer. Ne pas l'espérer. Mais s'y préparer", explique-t-elle. La représentante du PS se demande également si le parti nationaliste flamand est capable d'un accord. "Je me pose une question: la N-VA est-elle en mesure d'accepter un compromis? Elle se réfugie derrière le refinancement de Bruxelles. Mais je crois que c'est beaucoup plus fondamental que ça", souligne-t-elle. "Les thèmes de désaccord étaient plus nombreux. Bart de Wever a peut-être eu peur, réellement, d'aller dans un compromis. Qui dit compromis, dit mécontenter certains. Négocier, c'est toujours un risque", poursuit Laurette Onkelinx. Le CD&V serait l'une des clés pour sortir de l'impasse, selon la vice-première ministre. "Ce n'est pas pour rien que le Roi a d'abord vu, dès vendredi, le CD&V qui n'est pourtant pas le plus grand parti. Oui, l'une des clés réside là", conclut-elle.

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Belgique: Un Etat Wallonie-Bruxelles serait viable

Le quotidien L'Echo a testé auprès d'universitaires le scénario d'un Etat Wallonie-Bruxelles né de la fin de la Belgique et il en ressort que "la plupart des indicateurs socio-économiques s'inscrivent en vert". En fait, une Belgique sans la Flandre "aurait le chômage comme principal handicap économique".

Par rapport aux régions de tradition industrielle, la Wallonie affiche "un niveau de productivité supérieur tout en étant plus innovante". Au niveau des pensions, Bruxelles et la Wallonie ont l'avantage de disposer d'une population plus jeune, tandis qu'en matière de soins de santé, "les transferts Nord-Sud sont presqu'inexistants". Il resterait dans un tel scénario à évoquer la dette. Sa répartition dépendrait des rapports de force présidant aux négociations. L'Echo a interrogé le professeur Michel Mignolet des Facultés Notre-Dame de la Paix de Namur et Michel Quévit de l'UCL. Même s'ils souhaitent le maintien d'une Belgique modernisée, les partis francophones préparent le scénario de la scission du pays si d'aventure celui-ci devait s'imposer comme le seul possible. Ils ont formé le groupe 4P3U (quatre présidents, trois universitaires), qui a déjà eu l'occasion de tester divers modèles.

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Médiateurs: plus de contacts entre Bart De Wever et Elio Di Rupo

Aucun contact n'est intervenu entre Bart De Wever et Elio Di Rupo depuis le jour où ce dernier a rendu sa démission en tant que préformateur, rapportent mardi les journaux du groupe Concentra (Het Belang Van Limburg et Gazet Van Antwerpen). La N-VA s'interroge quant à l'attitude du Parti socialiste.

Médiateurs: plus de contacts entre Bart De Wever et Elio Di Rupo

Selon les journaux flamands, la mission des médiateurs royaux André Flahaut et Danny Pieters ne masque aucune négociation secrète. MM. De Wever et Di Rupo ne se seraient pas vus depuis dix jours. "Hallucinant", juge-t-on du côté de la N-VA. Dans les rangs du parti nationaliste, on ne voit pas l'intérêt de poursuivre la mission de médiation si le PS refuse de négocier.

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lundi, 13 septembre 2010

La N-VA dément préparer une "offre finale"

pict_256783.jpgLa N-VA a démenti lundi matin une information de presse affirmant qu'elle préparait une "Best and Final Offer" (meilleure offre définitive) dans la perspective d'une rencontre entre son président Bart De Wever et celui du PS Elio Di Rupo.

Le groupe chargé d'élaborer la stratégie de la N-VA s'est réuni vendredi soir avant un bureau de parti samedi.

Lundi matin, De Standaard indiquait, sur base d'information provenant de la direction du parti, que la N-VA s'apprêtait à présenter une "meilleure offre définitive" au président du PS Elio Di Rupo.

Le parti nationaliste flamand, contacté par l'agence Belga, a démenti cette information."Nous ne mettrons pas sur la table de proposition à prendre ou à laisser", a indiqué le porte-parole du parti.

"Une telle stratégie a déjà été utilisée par le passé sans jamais porter ses fruits. Nous allons simplement faire part de notre vision des choses aux médiateurs André Flahaut et Danny Pieters, en espérant qu'ils trouvent un moyen de débloquer la situation", a-t-il ajouté.

Rien n'était encore décidé concernant une éventuelle nouvelle rencontre entre les deux vainqueurs des élections, le président de la N-VA Bart De Wever et celui du PS Elio Di Rupo.

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jeudi, 09 septembre 2010

Roms: le Parlement européen demande à Paris de "suspendre" les expulsions

getafpmedia.jpgLe Parlement européen a adopté jeudi une résolution demandant à la France et aux autres Etats de l'UE de "suspendre immédiatement" les expulsions de Roms, qui ont suscité une vive controverse ces dernières semaines.
Cette résolution présentée par les socialistes, les libéraux, les Verts et les communistes a obtenu 337 voix contre 245.
Le Parlement se déclare "vivement préoccupé par les mesures prises par les autorités françaises ainsi que par les autorités d'autres Etats membres à l'encontre des Roms et des gens du voyage prévoyant leur expulsion".

La résolution adoptée demande à Paris et aux autres autorités "de suspendre immédiatement toutes les expulsions de Roms".
Une autre résolution présentée par la droite du Parti populaire européen, principal groupe politique dans l'institution, et les élus eurosceptiques de l'ECR, qui ne condamnait pas la politique française à l'égard des Roms, a été rejetée par le Parlement.
Le texte adopté critique également la récente réunion sur l'immigration et la libre circulation organisée à Paris à l'initiative du gouvernement français. La résolution relève notamment que ces sujets relèvent, selon elle, "de la compétence de l'UE".
"Cette attitude est allée de pair avec une vague de stigmatisation des Roms et de dénigrement général des Tziganes dans le discours politique", déplore le texte. "Le droit de tous les citoyens de l'Union et des membres de leurs familles de circuler et de séjourner librement dans toute l'Union constitue un pilier de la citoyenneté de l'Union telle qu'elle est définie par les traités", souligne la résolution.
La France soutient pour sa part que tous les démantèlements de camps et les reconduites se déroulent dans le cadre des lois de la République et des règles européennes.
La Commission s'est dite mardi globalement satisfaite des garanties apportées par la France, même si elle entend surveiller de près la situation.

 

Affaire Bettencourt: le siège du parti de Sarkozy perquisitionné

pict_256049.jpgUne source policière a confirmé que la brigade financière de la police judiciaire avait bien effectué cette perquisition à la demande du procureur de Nanterre, Philippe Courroye.

Le siège parisien du parti UMP du président français Nicolas Sarkozy a été perquisitionné mercredi par la police dans le cadre de l'affaire Bettencourt/Woerth, a-t-on appris jeudi auprès du numéro un du parti, Xavier Bertrand.Cette perquisition a été ordonnée par le parquet de Nanterre (banlieue de Paris) dans le cadre d'une série d'enquêtes ouvertes après la divulgation d'écoutes clandestines réalisées au domicile de Liliane Bettencourt, l'héritière du groupe de cosmétiques L'Oréal.

Ces écoutes se sont révélées extrêmement embarrassantes pour le ministre du Travail Eric Woerth, débouchant sur une affaire politico-fiscale mêlant soupçons de conflits d'intérêts, de trafic d'influence et de financement politique.Eric Woerth, ancien ministre du Budget, était aussi en 2007 le trésorier de l'UMP et de la campagne de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle.

Liliane Bettencourt, donatrice régulière de l'UMP et suspectée de fraude fiscale, a employé l'épouse de M. Woerth. L'ancienne comptable de la milliardaire a en outre accusé l'ex-trésorier de l'UMP d'avoir collecté illégalement des fonds auprès de Mme Bettencourt pour financer la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.Tout en niant avoir commis la moindre faute, Eric Woerth a reconnu début septembre être intervenu auprès de Nicolas Sarkozy (alors ministre de l'Intérieur) en mars 2007, pour plaider pour l'attribution de la Légion d'honneur à Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt.

Le directeur général de l'UMP, Eric Cesari, a expliqué jeudi à l'AFP que les policiers, restés durant une heure et demie au siège du parti, cherchaient "la correspondance entre Eric Woerth et Patrice de Maistre".Ils ont consulté "toutes les archives" et "n'ont rien pris", a affirmé M. Cesari, qui a signé un "procès-verbal" en ce sens.

"C'était une demande de renseignements. Ils voulaient vérifier des documents", a insisté M. Cesari, réfutant le terme de "perquisition" au motif que les policiers de la brigade financière avaient "prévenu auparavant" de leur venue.

mercredi, 08 septembre 2010

Macky Sall à Francfort

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Olivier Maingain: "Je ne puis l’admettre "

pict_255661.jpgLe président du FDF estime qu’il n’a fait que rappeler la position des francophones : scission = élargissement. Il maintient sa confiance en Didier Reynders.

Lors du dernier bureau du MR, lundi matin, Olivier Maingain a subi les foudres de plusieurs leaders libéraux, dont Louis Michel. En cause : le rappel de positions tranchées sur l’élargissement de Bruxelles. Nous avons recueilli la réaction du président du FDF.

Vous sentez-vous désormais isolé au MR ?

Ce qui s’est passé, je ne puis ni l’admettre, ni le comprendre davantage. Je crois tout simplement que c’est une précipitation un peu hasardeuse de la part de certains. Car entre-temps, j’ai reçu beaucoup de soutien de la part de membres du MR. Le MR a tout intérêt, et pour l’ensemble des francophones et pour lui-même, à ne pas faire preuve d’impatience. Il est préférable de laisser venir les événements si les choses devaient se décanter au cas où la négociation entre les 7 ne devait pas aboutir. La patience est préférable au piaffement.

Que vous reprochent les libéraux traditionnels ?

C’est à eux qu’il faut poser la question. Moi, je considère que rappeler un enjeu aussi essentiel que celui de l’élargissement de Bruxelles, émis de tout temps par les partis francophones, rappeler l’indispensable lien territorial avec la Wallonie, rappeler en ces heures graves, au moment où se joue l’avenir du pays et l’avenir de Bruxelles comme Région à part entière ce n’est pas déplacé ou provocateur, c’est juste rappeler des positions constantes de tous les francophones. Si on ne veut pas le séparatisme, la meilleure façon de l’écarter, c’est de protéger la région centrale du pays dans son espace vital. C’est en enfermant Bruxelles dans la Flandre qu’on donne des arguments aux séparatistes. Au contraire, quand on accorde le lien territorial entre Bruxelles et la Wallonie, on tue l’espoir qu’ont les séparatistes d’emmener Bruxelles dans leurs bagages.

Vous avez le sentiment que le MR cherche à se rendre plus “fréquentable” aux yeux des Flamands les plus radicaux en vous éloignant d’éventuelles négociations ?

J’ai eu l’explication suivante. Puisqu’il y a un refus des francophones de se concerter, le MR a contacté l’ensemble des partis flamands pour leur dire que le MR n’avait pas fait le choix délibéré de l’opposition. Le MR est un parti capable d’assumer, en parti responsable, une négociation institutionnelle. Il ne s’agissait pas d’entamer une négociation avec la N-VA. Et moi, je rappelle juste que nous avons fait campagne sur l’élargissement de Bruxelles. Ce n’est pas pour être désagréable à l’égard de qui que ce soit : c’est une exigence pour l’équilibre institutionnel de la Belgique. Rappeler cela en toute sérénité me semble opportun d’autant que je lis dans les sondages de "La Libre" que l’élargissement de Bruxelles n’est pas tabou pour un quart des Flamands.

Vous vous imaginez négocier l’avenir de la Belgique avec Bart De Wever… ?

Il était déjà à la table des négociations de Val-Duchesse en 2007. Ce n’est pas nouveau. Il ne faut pas entrer dans la logique confédéraliste et séparatiste qu’il souhaite. Il faut avoir le sens de la perspective : quand les partis flamands négocient une réforme de l’Etat, ils cherchent à avoir en mains les leviers pour préparer la suivante. Méfions-nous de leur en donner puisqu’on sait que leur but avéré, c’est aller vers le séparatisme.

Vous estimez que les francophones ont déjà lâché. En même temps, vous regrettez de ne pas être tenu informé du contenu des négociations. C’est contradictoire… !

Dans son interview de rentrée, Didier Reynders précisait que ce qui filtre des négociations montrait que certaines exigences flamandes progressaient et qu’il n’en allait pas de même pour les demandes francophones. M. De Wever avait initialement accepté de ne pas parler de la loi de financement. Il a obtenu des francophones que le sujet soit sur la table. C’est un fait que l’on ne peut nier. En revanche, je n’ai pas entendu un seul parti francophone rappeler que toute évolution institutionnelle de BHV devait s’accompagner d’une extension de Bruxelles. Je sais, j’insiste, mais c’est capital. En 2005, nous avions proposé une extension des compétences de la Communauté française : c’était déjà une manière de briser le carcan de Bruxelles en Flandre.

Ne faut-il pas attendre la fin pour juger ?

Bien entendu, nous ferons un jugement définitif lorsque nous connaîtrions le détail de l’accord ou de ce qui a été mis sur la table, faute d’accord. Mais pourquoi ne pas rappeler les engagements passés et pris par tous les francophones ? D’autant que j’ai entendu cette petite phrase de Mme Onkelinx qui indiquait qu’il n’y avait pas que le refinancement de Bruxelles qui posait problème

Les libéraux qui se sont opposés à vous demandaient que chacun respecte une certaine discrétion plutôt que le rappel incessant de positions radicales.

Je veux bien que l’on retienne son souffle lorsque nous sommes associés à une négociation car je constate que tout est mis en œuvre, avec une sorte d’acharnement pour que les négociations à 7 aboutissent. Les chances d’y être ne semblent donc pas encore établies à ce jour.

Si le trouble interne au MR persiste, cela pourrait-il déboucher sur un divorce plus fondamental ?

Je suis très attaché à ce qui a été la volonté commune de créer la fédération PRL-FDF : Jean Gol avait une vision d’avenir pour l’ensemble des francophones. Il savait que l’on allait vers une évolution chaotique de l’Etat belge et qu’il fallait fortifier l’unité de la Wallonie et de Bruxelles. C’est fondamental. Je souhaite que le MR réincarne pleinement ce qu’avait été l’appel de Jean Gol.

Les liens sont-ils rompus avec certains libéraux ?

Je parlerai très franchement de ce qui s’est passé avec ceux qui ont eu, lundi, une attitude agressive à mon égard et de manière injustifiée à mes yeux. Le non-dit n’a pas lieu d’être. Il faut clarifier cette situation sereinement, positivement pour éviter de vivre dans l’ambiguïté. Il faut trouver avec sagesse et mesure la bonne manière de poursuivre une action commune.

Etes-vous déçu par Didier Reynders, lui que vous avez toujours soutenu…

La politique m’a blindé pour ne pas être déçu. Je suis fidèle en amitié. C’est peut-être un de mes défauts parce qu’en politique ce n’est peut-être pas de mise. Mais j’ai une amitié sincère pour Didier Reynders. Je continue à penser qu’il a un rôle essentiel à jouer au sein du MR en raison de sa capacité de travail, de son intelligence. Je crois que malheureusement, ces soubresauts répétés au MR sont la conséquence d’un mauvais débat interne amené par certains. Bien sûr, on peut toujours améliorer le fonctionnement interne d’un parti, mais je regrette vivement ce climat. On ne peut pas nier que le FDF est un parti organisé, cohérent et soudé. Je voudrais que tout le MR soit à son image.

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samedi, 04 septembre 2010

Di Rupo : « Il faut envisager toutes les solutions »

Le président intérimaire du CD&V est reçu par le Roi. Elio Di Rupo a mis un terme à sa mission de préformation et repris sa casquette de président du PS. « Je ne souhaite pas la fin de la Belgique » a-t-il affirmé Olivier Mouton répond à vos questions

RUPO.jpg

Lors de sa conférence de presse, Elio Di Rupo a commencé par dire qu'il avait insisté auprès au Roi pour être réellement déchargé de sa mission de préformation à l'issue de la période de consultations. Après avoir constaté l'échec de la négociation, M. Di Rupo s'est rendu chez le roi pour lui faire ce qu'il a appelé "un dernier rapport" de sa mission. "C'est avec tristesse que j'ai constaté que deux partis n'ont pas pu accepter les dernières propositions", a constaté M. Di Rupo pour qui un accord équilibré était pourtant possible. Le préformateur a énuméré les avancées qu'il avait engrangées et qui devaient permettre de déplacer le centre de gravité vers les entités fédérées.

"Malheureusement, sur BHV et Bruxelles, les discussions n'ont pas pu aboutir", a dit M. Di Rupo. Il a insisté sur le fait qu'un accord devait être évalué dans son ensemble et a ajouté que les francophones s'étaient montrés ouverts et constructifs pour faire évoluer la Belgique, "mais pas à n'importe quel prix". "Il est temps de repartir sur d'autres bases", a encore dit M. Di Rupo.

Quand il sera déchargé définitivement de sa mission, il redeviendra président du PS. Son parti continuera à se montrer constructif, a-t-il ajouté. "Je ne souhaite pas la fin de la Belgique", a encore dit M. Di Rupo, qui a plaidé pour le dialogue et pour que "les Wallons et les Bruxellois soient respectés au même titre que les Flamands"

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Olivier Maingain reproche à Elio Di Rupo d’avoir « exclu une force démocratique importante comme le MR ». La manière d’agir du préformateur n’est « pas digne d’un homme d’état », a-t-il rappelé.

Selon Olivier Maingain, la manière dont Elio Di Rupo a imposé au Palais royal et au chef de l’Etat les consultations organisées ces deux derniers jours en « excluant une force démocratique importante comme le MR » (puisque le MR ne sera pas consulté par le Roi) n’est pas « digne d’un homme d’Etat », a-t-il exprimé vendredi à 7h50 dans l’Invité de Bel-RTL.

« A un moment crucial de l’histoire de ce pays, à un moment où on sent que tout peut basculer dans un vide institutionnel préoccupant, ne pas permettre au chef de l’Etat d’entendre la voix du premier parti de Bruxelles et du deuxième de la Communauté française, c’est tout à fait atypique et totalement injustifié », a déclaré le président du FDF. « Il est tout à fait normal dans un moment aussi grave que les forces démocratiques les plus représentatives soient consultées par le chef de l’Etat », a-t-il poursuivi.

Olivier Maingain est également revenu sur les précédentes négociations. « En 2005 comme en 2007, à chaque fois que nous nous sommes retrouvés à la table des négociations institutionnelles, nous avons fait rapport à l’ensemble des partis francophones sur l’évolution institutionnelle et les décisions. Et en 2007, lorsque nous avons dit ‘non’ ensemble à un certain nombre de demandes, c’était l’ensemble des partis francophones que nous représentions. Je constate qu’aujourd’hui, il y a ceux qui s’engagent sur une voie périlleuse sans avoir notre aval à coup sûr », a-t-il ajouté.

« Ne pas accepter la logique de dépeçage de l’Etat fédéral de la N-VA »

Le président du FDF a poursuivi : « Il n’y a malheureusement plus d’unité francophone. Or, il ne faut pas subir la loi de la fatalité qu’impose la N-VA. Si l’ensemble des partis francophones définissaient clairement le périmètre dans lequel nous voulons voir l’Etat fédéral évoluer et rester dans un système fédéral avec une région bruxelloise à part entière, la N-VA devrait soit s’exclure du jeu politique, soit en tenir compte », a-t-il expliqué.

Concernant la conférence de presse d’Elio Di Rupo mercredi lors de laquelle le préformateur a annoncé que 49 % des moyens de l’Etat fédéral pourraient être transférés vers les régions ou les communautés, Olivier Maingain a déploré la « longue liste des exigences des partis flamands » sur les transferts de compétences. « La logique qui est du dépeçage systématique de l’Etat fédéral n’est pas la nôtre. Aujourd’hui on a le sentiment que le plateau des exigences flamandes est de plus en plus rempli. »

« Sur le plateau des exigences francophones, on n’entend rien. Or, quand on va vers une telle réforme de l’Etat, il faut rappeler l’exigence d’une région à part entière, d’un élargissement territorial de la région bruxelloise, qui représente la seule voie de la pacification communautaire. Pourquoi accepter sa logique (de la N-VA) et ne pas exiger notre logique du renforcement de Bruxelles ? «, s’est-il exclamé.

(Belga)

mardi, 31 août 2010

La DSE de l'APR apprécie le spectacle au Festival de Francfort à Hessen

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Jean-François Copé réaffirme son soutien à Nicolas Sarkozy

2d04b0a0aea7adad0f121409bf68091e.pngPour sa rentrée politique, le chef de file des députés UMP, Jean-François Copé, a critiqué François Fillon, qui "marque sa différence" sur la sécurité, et volé au secours de Nicolas Sarkozy, accusé par la gauche - mais aussi au sein de la droite - de faire le jeu du FN sur ces questions. "Je peux comprendre qu'à gauche, où on est gêné sur la sécurité, on préfère taper sur le président de la République. Je le comprends moins de la part de certains de nos amis...", dit-il dans son interview de rentrée parue mardi 31 août dans Le Parisien/Aujourd'hui en France. A la question "Vous pensez notamment à François Fillon ?", il répond : "dans le cas du premier ministre, oui, j'ai été un peu étonné par les mots qu'il a choisis, la façon dont il a marqué sa différence. Mais chacun a sa liberté d'expression". Sur Europe 1 également, le député-maire de Meaux (Seine-et-Marne) s'est dit lundi davantage en phase avec le chef de l'Etat qu'avec M. Fillon sur ces questions qui divisent la droite. "J'ai suffisamment de points de désaccord depuis trois ans avec Nicolas Sarkozy sur certains sujets pour pouvoir, de la même manière, dire sans états d'âme que, lorsqu'il s'agit de nos fondamentaux, j'adhère totalement", a lancé M. Copé, qui sera reçu mardi matin à l'Elysée par le président. CÔTÉ SARKOZY OU CÔTÉ FILLON ? A la question : "dans cette querelle qui divise la droite, vous êtes plutôt du côté de Nicolas Sarkozy que du côté de François Fillon", il acquiesce sans hésiter : "ma réponse est oui. Je le dis d'autant plus que je ne laisserai pas faire croire que notre pays n'est pas un pays généreux". Les relations entre M. Fillon et M. Copé, qui n'ont jamais été vraiment chaleureuses, se sont dégradées ces derniers mois. Les récents articles de presse prêtant au locataire de Matignon des ambitions élyséennes à l'horizon 2017 n'ont pas arrangé les choses, M. Copé ayant cette échéance en ligne de mire. Si "la lutte contre la délinquance est une priorité absolue", en revanche, sur les questions...

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vendredi, 27 août 2010

Francfort au sénégalais;

Le public avait compris que Souleymane Jules DIOP voulait  arrondir les angles pour tendre la main à Macky Sall qu’il avait critiqué jadis en lançant cette phrase ‘’ je ne critique que les personnes je j’aime’’. De cette assertion découle une question que beaucoup se sont posée à savoir si le tonitruant journaliste aime Karim Wade, Abdoulaye Wade et leurs acolytes qu’il ne cesse de critiquer. Néanmoins Jules reste et demeure un talentueux communicateur et a satisfait  le public venu nombreux dans le cadre du traditionnel festival de la culture sénégalaise organisé par  l’association des sénégalais d’Hessen en Allemagne du 20-23.

 

Mention exceptionnelle à Macky  Sall Président de l’Alliance Pour la République APR YAAKAAR, accompagné des responsables de la Délégation des Sénégalais de l’Extérieur DSE APR venant de la France et du Benelux, a tenu une conférence de haute facture orientée sur une analyse économique et politique des 50 ans d’indépendance de l’Afrique et des perspectives d’avenir.

Le surlendemain le Président de l’APR Macky Sall a tenu une rencontre avec tous les sénégalais pour un débat question réponse sans tabou. Le public était satisfait.

Le Président de l’APR et les membres de la DSE ont visité le sénégalais stand par stand dans une brocante qui est un grand marché ouvert à toutes les imaginations. Les businessmen sénégalais étaient agréablement surpris du passage du leader de l’APR.