Fairytale, active dans les emballages de dragées et cadeaux d'artisanat équitable, a décroché le 'Be Fair Award' de la meilleure entreprise belge de commerce équitable. ACP, active dans les vêtements de travail et promotionnels en chanvre, bambou et coton bio, s'est vue attribuer le 'Be Sustainable Award' de la meilleure entreprise de commerce durable. Fair Trade South Africa, la coupole du commerce équitable en Afrique du Sud, a reçu le 'Be Fair Award' de la meilleure organisation de commerce équitable Sud-Sud. L'UGPPK/S-Z, l'Union des Groupements de Productrices de produits de karité au Burkina Faso, s'est vue décerner le 'Be Fair Award' de la meilleure organisation équitable de producteurs composée majoritairement de femmes. Les quatre meilleures initiatives ont reçu chacune un prix de 5.000 euros et peuvent désormais utiliser le logo représentant l'Award dans leur communication. La cérémonie de remise des 'Be Fair & Sustainable Awards' était organisée par le Trade for Development Centre de la CTB (Agence belge de développement).
mercredi, 03 novembre 2010
L'ancien vice-recteur de l'UCL appelle André Léonard à la démission
Le prêtre et ancien vice-recteur de l'UCL Gabriel Ringlet a appelé mercredi sur les ondes de La Première (RTBF) l'archevêque André Léonard à présenter sa démission, en raison de son "isolement" actuel consécutif à ses prises de position polémiques depuis son entrée en fonction. "Qu'il reste archevêque ou qu'il soit amené lui-même (...) à donner sa démission (...), rien ne sera plus comme avant", a estimé Gabriel Ringlet.
Il concède toutefois qu'il y aurait peu de chance qu'une démission d'André Léonard soit acceptée à Rome, "mais il devrait poser ce geste, ce serait un grand geste de sa part, ça l'élargirait...".Pour Gabriel Ringlet, le mouvement de fond qui isole actuellement l'archevêque de Malines-Bruxelles appelle un grand débat dans l'Eglise catholique belge.
"Il n'est plus possible aujourd'hui, avec ou sans Mgr Léonard, que les grandes questions éthiques et d'organisation de l'Eglise ne soient pas débattues au grand jour", estime-t-il. Et de citer le cas des divorcés-remariés exclus de communion, du discours "insupportable" qui a été prononcé sur le sida, de la bioéthique, etc.
L'archevêque de Malines-Bruxelles André Léonard a suscité ces derniers mois de nombreuses réactions des mondes politique et catholique après des déclarations polémiques sur la justice et le sida ainsi que sur la justice et les prêtres pédophiles, avant d'être désavoué mardi par son propre porte-parole.
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Abdou Diouf parle de Senghor
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vendredi, 29 octobre 2010
Mgr Léonard se dit incompris
Les propos de Mgr Léonard sur un éventuel traitement de faveur pour des clercs abuseurs plus âgés, mercredi soir, dans l’émission "Question à la Une" (RTBF) ont, on s’en doute, suscité de nombreuses réactions négatives, jusque dans les partis politiques qui ont finalisé en plénière à la Chambre la proposition d’instituer une commission spéciale autour du drame de la pédophilie en milieu ecclésial et au-delà s’il sied - lire ci-dessous.
Les réactions les plus virulentes sont venues du côté des groupes qui encadrent les victimes. C’est ainsi que Lieve Halsberghe, qui représente aujourd’hui le "Survivors Network of those Abused by Priests" (Réseau international de personnes abusées par des clercs) en Belgique a fait savoir par un communiqué que "les déclarations de Mgr Léonard sont ridicules, violentes et une preuve que l’archevêque ne sait pas ce dont il parle" Et Snap Belgique de demander dès lors que désormais seule la justice soit en contact avec les victimes.
De son côté, Ingrid Opdebeeck, au nom du Groupe pour les droits de l’homme dans l’Eglise, dit avoir "appris avec dégoût les paroles de Mgr Léonard qui dit que les abuseurs retraités qui ont commis la violence sexuelle contre les enfants, ne seront pas poursuivis. Au lieu de défendre les abuseurs, Léonard ferait mieux de comprendre la peine éternelle des victimes et survivants. En effet, ce n’est pas à l’Eglise de décider ici, mais à la justice de ce pays."
Et de conclure que "l’Eglise ne veut pas faire face à son propre rôle ni à sa propre culpabilité. Nous trouvons les mots de Léonard très blessants. L’Eglise parle toujours de compréhension et d’écoute, mais elle fait tout pour empêcher la justice pour les victimes."
Dans le monde politique, "le MR dit refuser toute impunité judiciaire envers les prêtres pédophiles qui ne sont plus en fonction, tout comme aucune impunité n’est permise en termes de crimes sexuels dans un Etat de droit" a affirmé le député Denis Ducarme (MR). Pour le MR, il ne peut être question d’un "grand pardon".
L’Open VLD, qui a déposé une proposition de loi pour relever à 30 ans le délai de prescription des abus sexuels, s’est également joint à la protestation, tout comme Karine Lalieux (PS) et Raf Terwingen (CD&V), qui l’ont dit très clairement à la Chambre.
Et Mgr Léonard ? Il n’a pas répliqué lui-même et relancé le débat - il ne s’exprimera d’ailleurs plus dans les médias jusqu’à Noël, "Un silence médiatique nécessaire pour que nous puissions nous concentrer pleinement sur la crise"-, selon son porte-parole Jürgen Mettepenningen. Ce dernier a expliqué sur diverses antennes que l’archevêque a, une fois encore, été mal compris et donc qu’il n’a pas voulu donner l’impression que certains auteurs ne devaient plus être poursuivis. "Le bien-fondé de la plainte et les conséquences des faits demeurent d’abord et avant tout l’affaire du pouvoir judiciaire. En tant qu’Eglise, nous avons toutefois une responsabilité pastorale spécifique. En premier lieu, vis-à-vis des victimes. Elles seront entendues au niveau de chaque diocèse ou du supérieur majeur concerné. Et leurs attentes seront prises en considération dans toute la mesure du possible. Il nous faut aussi prendre nos responsabilités vis-à-vis des auteurs conformément au droit canonique. Nous prenons actuellement des mesures disciplinaires et chaque dossier sera aussi transmis à Rome en attendant une mesure disciplinaire définitive."
Evacuée, donc, la nouvelle querelle ? Pour l’archevêché sans doute, mais pas pour le monde politique où d’aucuns y voient une raison supplémentaire de revoir le financement des cultes.
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Gardé à vue pour une 'petite inflation'
Un plaisantin, amusé par le lapsus de l'ex-garde des sceaux sur Canal + fin septembre, qui avait parlé de 'fellation' au lieu d''inflation', s'est retrouvé 48 heures en garde à vue la semaine dernière appartement perquisitionné, ordinateur saisi pour avoir envoyé à Rachida Dati au Parlement européen un courriel lui proposant une petite 'inflation'.
A l'issue de sa garde vue, l'homme, âgé d'une quarantaine d'années et habitant Bourg-de-Péage (Drôme), a été déféré devant le parquet puis présenté au juge des libertés et de la détention qui l'a placé sous contrôle judiciaire. 'Il a notamment interdiction d'entrer en contact avec la victime et comparaîtra le 3 décembre pour outrage à personne chargée d'une fonction publique', stipule le Dauphiné libéré, qui a dévoilé l'affaire jeudi.
Son avocat plaidera la relaxe en décembre, estimant que l'infraction n'est pas caractérisée. 'Il lui a écrit sur ce mail car c'était le seul moyen de la joindre. Il ne s'adressait qu'à Rachida Dati en tant que personne', explique-t-il, et non pas en tant que députée européenne. Affaire à suivre
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lundi, 25 octobre 2010
Youssou Ndour à Anvers:« Le Sénégal appartient au peuple, pas à une minorité »
Profitant d’une longue tournée européenne qui l’amènera dans plusieurs pays, Youssou Ndour, le roi du Mbalax a rencontré, mercredi dernier, les sénégalais de la diaspora vivant dans la ville d’Anvers en Belgique. Au cours, de cette rencontre, le leader du Super Etoile a tenu à réitérer son engagement aux côtés du peuple sénégalais avec son mouvement citoyen « Fekke ma ci boolé ». Faisant preuve d’une ferme détermination, devant des dizaines d’émigrés, il a affirmé qu’il sera toujours du côté du peuple et s’opposera à tous ceux (les politiques et autres..) qui seraient tenté d’anéantir de la confiance du peuple « le Sénégal appartient au peuple, pas à une minorité » a lancé l’artiste.
Nombreux observateurs qui tentaient de soutenir que le lead vocal du Super Etoile avait crée un mouvement citoyen de « circonstance », pour la reconnaissance et le démarrage de sa nouvelle télévision (Tfm), devront vite déchanter. En effet, Youssou Ndour semble sorti plus que renforcer de ce bras de fer avec certains dirigeants politiques. Ainsi, après l’autorisation de diffuser accordée par les autorités étatiques à sa télévision, son mouvement « Fekke ma ci boole » remporte un combat. Ainsi, dans le cadre d’une tournée européenne de deux mois qui le conduira en France, au Luxembourg, en Lettonie, en Allemagne etc, le roi du mbalax a tenu à remercier tous les émigrés sénégalais vivant au pays du Roi Albert II, en particulier ceux de la ville diamantifère d’Anvers qui s’étaient mobilisés derrière lui pour réclamer l’autorisation d’émettre de sa télévision. A ce propos, dira t-il : « Tfm appartient à tout le monde. Aujourd’hui, nous œuvrons pour que tous les compatriotes, y compris ceux de la diaspora, se reconnaissent dans les programmes de la télévision». Dans cette lancée, Youssou Ndour a laissé entendre que « Fekke ma ci boole », son mouvement citoyen restera toujours du côté du peuple. Comme pour dire chaque chose a son temps, le chanteur attend le moment venu pour se déployer. « On ne peut pas laisser le pays entre les mains d’une minorité. Le Sénégal appartient au peuple. Je n’ai aucune ambition politique, j’ai mon métier. Cependant, je serais toujours aux côtés du peuple. Notre mouvement compte s’impliquer, à l’avenir, dans la gestion des destinées du pays » a soutenu Youssou Ndour devant la diaspora anversoise venue en masse le rencontrer. Par ailleurs, l’artiste, accompagné de l’entrepreneur Momar Dieng de Liège et de Alioune Diop, président de l’association des Sénégalais de Bruxelles et environs, a réitéré son engagement à œuvrer, à long terme, pour la mise en place de projets sociaux avec les sénégalais de la diaspora.
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samedi, 23 octobre 2010
Francophonie : Abdou Diouf réélu
Le Sénégalais Abdou Diouf, 75 ans, a été réélu aujourd'hui à l'unanimité secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie, par les chefs d'Etat et de gouvernement réunis en sommet à Montreux, en Suisse, a-t-on appris auprès de l'OIF.
L'ancien président sénégalais, qui occupe ce poste depuis huit ans et seul candidat en lice, a été élu à l'unanimité pour un nouveau mandat de quatre ans, selon cette source.
En lui réaffirmant son soutien samedi, le président français Nicolas Sarkozy a salué "son autorité sur la scène mondiale".
23:26 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abdou diouf francophonie | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 11 octobre 2010
F.Van De Woestyne : « je ne crois pas que la mission de De Wever va aboutir »
Le président du PS entend revenir à la manœuvre et l’a dit sur les plateaux de télé. Il rejette les ultimatums de la N-VA et invite le MR pour… le séparer de la N-VA ! Chattez dès 12h avec Francis Van de Woestyne à propos de la situation politique. Elio le retour En acceptant les interviews individuelles des plateaux dominicaux de la RTBF et de RTL-TVi et encore, en sandwich entre elles, une intervention bien calibrée sur la VRT après un très long silence médiatique où il avait fait monter en ligne Laurette Onkelinx, Paul Magnette ou Jean-Claude Marcourt, le président du Parti socialiste entend clairement revenir à la manœuvre.
Et, sans qu’il y ait là un lien direct ou indirect, la mission de clarification confiée vendredi soir à Bart De Weber par Albert II lui offrait l’opportunité d’une belle contre-attaque sur tous les fronts, le flamand comme le francophone
Elio Di Rupo a commencé par se réjouir de la plus récente "démarche royale" car "il faut stabiliser le pays", certainement à la veille de la reprise possible du débat sur B-H-V mais le président du PS y a néanmoins mis des conditions : "on ne travaille pas avec des ultimatums; cessons donc les ukases !; par ailleurs, pas question d’appauvrir de la sorte les régions wallonne et bruxelloise qui sont prêtes à assumer davantage de responsabilités; et donc, les francophones de ce pays méritent le respect".
Mais Di Rupo d’ajouter qu’"il existe un risque que la N-VA ne soit jamais capable d’approuver un compromis. D’abord parce que l’objectif prioritaire des statuts de ce parti est de créer une république indépendante de Flandre qui deviendrait membre de l’Union européenne. Ensuite parce que ses statuts prévoient encore que la N-VA n’entrera dans un gouvernement que si deux tiers de ses membres l’ac cep tent; enfin, parce qu’aux yeux de tous les partis nationalistes, un compromis est toujours un échec. Les conditions ne sont donc pas très favorables mais l’intérêt de la Flandre et de la Belgique est d’arriver à un compromis !"
Interrogé sur le fait que Bart De Wever a annoncé qu’il était libre de consulter aussi d’autres interlocuteurs que les sept partis engagés dans la préformation, le président du PS a rétorqué qu’"il était libre de parler à qui il voulait" mais cela n’arrangerait pas les négociations.
D’autant plus, a-t-il ajouté qu’il était "sincèrement très déçu par l’attitude des réformateurs. Nous avons négocié dans un très bon climat jusqu’au repas entre le MR et la N-VA (NldR : fin août chez Bruneau). Là, il y a eu une véritable cassure, la N-VA a voulu repartir de rien et l’on a voulu nous dire qu’il fallait repartir de négociations entre les régions et passer par-dessus la tête du fédéral".
Pour Elio Di Rupo, c’est d’autant plus inacceptable que le PS, le CDH et Ecolo représentent 70 % des élus francophones et que le MR lui est apparu plus proche de la N-VA que des autres formations francophones.
Et pourtant, la perspective du retour de B-H-V va l’amener à programmer une rencontre des quatre partis francophones pour "une discussion à cœur ouvert". En vue aussi d’un possible soutien extérieur du MR; c’est du moins ainsi qu’il agirait s’il dirigeait ce parti
Cela dit, Elio Di Rupo est "prêt à retravailler jour et nuit" et continuera "à faire le maximum maximorum" pour arriver à une réforme équilibrée de l’Etat "en n’ayant pas peur et en ne se mettant pas à genoux dans la position d’un quémandeur".
Toutefois si un ou des partis flamands devaient opter pour l’indépendance, Elio Di Rupo exigerait que l’on consulte la population flamande sur ce point.
Et en cas de soutien à cette solution ? "Dès lors, nous garderions la Belgique avec Bruxelles et la Wallonie et les habitants des six communes à facilités de la périphérie pour autant qu’ils le souhaitent ! Car "la Belgique nous appartient". On n’en est certes pas là "mais les francophones ne vont pas se laisser humilier. Nous traitons de fait Bart De Wever comme le vainqueur des élections en Flandre mais il n’a pas gagné les élections en Wallonie".
Si Elio Di Rupo a (ré) occupé le terrain médiatique, Bart De Wever s’est par contre abstenu de toute déclaration.
Il est vrai qu’il était sorti très vite de son costume fraîchement étrenné de "clarificateur" en déclarant dès vendredi soir qu’il entendait consulter qui il souhaitait.
Et puis, ce week-end, dans une interview à la "Gazet van Antwerpen" donnée avant sa rencontre avec le Roi, vendredi soir, le président de la N-VA avait expliqué qu’"on était à des années-lumière d’un accord contrairement à ce que les francophones tentent de faire croire". Qui plus est, avait encore dit Bart De Wever "ces 25 derniers jours, il ne s’est rien passé".
Et maintenant ? La situation est loin d’être claire et force est de reconnaître que le pessimisme est assez généralisé au nord comme au sud du pays.
Dans ce climat particulièrement tendu, Siegfried Bracke, un des bras droits du président de la N-VA n’a même pas rallié les rieurs de son côté en expliquant sur RTL-TVi que Bart De Wever pourrait très bien consulter Didier Reynders comme ministre des finances "pour clarifier les choses au niveau financier" .
13:57 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
COMMUNIQUE DE LA SECTION :FEDERALE DE AJ/PADS DE NEW YORK
Suite a la situation politique catastrophique due a une mal gouvernance du parti
liberal de me ABDOULAYE WADE au pouvior depuis seulement une dizaine d'annees et
qui est en train de tourner notre pays vers une revolte nationale imminente, la
section federale AJ/PADS de NEW-YORK condamne avec la derniere energie les actes
poses par ce Gouvernement d'incapables et mediocres serviteurs de notre nation.
Par un manque de franchise dans leur declaration et une incompetence
notoire de ses cadres, notre SENEGAL tout entier est plonge dans le noir et
verse au soulevement populaire de ses masses, du fait des coupures imtempestives
d'electricite, des inondations, des scandales financiers impunis jamais egale
dans les annales de nos institutions.
Maintenant leur seule voie de solution n'est autre que de demettre le
ministre de l'energie SAMUEL SARR de ses fonctions et de rajouter les
prerogatives de ce departement au pouvior du fils du chef de l'etat, dont les
desseins et combines de devolution monarchique du SENEGAL continuent de prendre
forme.
Nous ne pouvons accepter cet acte qui constituerait un affront de
taille et une inconsideration des soucis du peuple senegalais dans ses peines et
souffrances de tous les jours dues a la cherete de la vie, a ces delestages
quotidiens deteriorant tout le materiel domestique et contribuant a pourrir
toutes les reserves alimentaires du pauvre "GORGORLU".
Il est temps que tous, senegalais de tout bord (opposition, societe
civile et mouvements citoyens) nous nous levions pour contrecarrer cet
irreparable qui est en train d'etre mene par MR W.W.W.W
(WADE-WAKH-WEDDY-WROUTHE) lequel si l'on n'y prend garde est meme capable de
brader l'honneur et la dignite des senegalais.
Folli ABDOULAYE WADE
le bureau de la section
Federal de AJ/PADS NEW YORK
Babacar Diouf
Porte- Parole
13:53 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ajpads | del.icio.us | Facebook | | |
vendredi, 08 octobre 2010
Obama
13:38 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
mardi, 05 octobre 2010
La Belgique « cliniquement morte »
La situation politique apparaît plus confuse que jamais au lendemain de la décision de la N-VA de décréter la fin des négociations à sept nées du résultat des élections du 13 juin. Pour le député flamand Eric Van Rompuy, frère du président du Conseil européen Herman Van Rompuy, la Belgique est cliniquement morte. Laurette Onkelinx ranime l’idée d’un plan B. Les médiateurs sont attendus chez le Roi à 17 heures.
Le président de la N-VA, Bart De Wever, a lancé lundi un appel à « tous les partis » pour repartir de zéro dans une discussion devant mener à une réforme de l’État et à la formation d’un gouvernement.
Cet appel a relancé les spéculations sur un éventuel retour des libéraux, écartés jusqu’ici des discussions. Mais l’enthousiasme n’y est pas dans le camp des trois partis francophones engagés jusqu’ici dans les discussions institutionnelles, le PS, le CDH et Ecolo. C’est un euphémisme. Les présidents des trois partis ont rappelé dès lundi que « l’offre de service » faite, dans le vif des discussions institutionnelles, par le MR à la N-VA lors d’un déjeuner dans un restaurant de la capitale avait rendu la situation plus compliquée encore.
« Emmener Bart De Wever au restaurant pour calmer son appétit institutionnel n’était pas la meilleure des idées », a commenté Jean-Michel Javaux (Ecolo) sur RTL-TVI.
Dimanche encore, le président du MR, Didier Reynders, indiquait que les négociateurs s’étaient trompés de méthode à propos de la loi de financement. Selon lui, il fallait d’abord se demander ce qu’on veut encore faire ensemble et comment le financer. Après, il n’y a plus aucun problème à parler d’autonomie fiscale, faisait-il valoir.
Ce mardi sur La Première (RTBF), la présidente du CDH Joëlle Milquet a confirmé que le MR et les autres partis francophones n’étaient pas sur la même longueur d’onde à cet égard. « Ce n’est pas le choix que nous avons fait », a-t-elle fait observer. Selon elle, l’échec des négociations n’est pas dû à un problème de méthode mais à l’absence de volonté d’un partenaire d’évoluer vers un compromis. Ecolo est du même avis. Pour Joëlle Milquet, « il reste des alternatives, des capacités, prenons-les. » Le PS ne voit pas comment l’arrivée des libéraux pourrait améliorer la situation. Mais à ce stade, c’est surtout l’attitude de la N-VA qui le fait sortir de ses gonds. Le président des nationalistes flamands, Bart De Wever, a suggéré lundi que les francophones étaient revenus sur certains acquis relatifs au transfert de compétences. « Si monsieur De Wever dit cela, alors il ment », a asséné lundi soir le ministre Paul Magnette (PS) sur Terzake (VRT). « Et ce n’est pas un mot que j’ai l’habitude de prononcer », a-t-il précisé.
La situation apparaît plus paralysée que jamais, la vice-première ministre Laurette Onkelinx (PS) réévoquant la nécessité, « plus que jamais », de réfléchir à un plan B pour les francophones.
Au CD&V, le pessimisme semble également l’emporter. « La Belgique est dans le coma. Le patient est en (état de) mort clinique », a constaté le député flamand Eric Van Rompuy (CD&V). S’exprimant mardi sur Bel-RTL, ce dernier a regretté l’échange de petites phrases émanant tantôt de la N-VA, tantôt du PS et l’absence de discrétion de la nouvelle génération politique qui rendent le climat détestable. Il a également critiqué l’unilatéralisme de la N-VA qui a débranché la prise sans concertation préalable. L’élu CD&V a estimé qu’il revenait maintenant « à Bart De Wever à prendre ses responsabilités. » Les deux médiateurs, André Flahaut (PS) et Danny Pieters (N-VA), respectivement présidents de la Chambre et du Sénat, se rendront mardi à 17 heures chez le roi. Ils demanderont au chef de l’État d’être déchargés de leur mission.
(D’après Belga)
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Vieux Bin [Mossi] Aux Gueulards MENDE & Cie: Animalité du MOBUTisme dans les assassinats de 5000000 des Zairois...
Mon cher Mosssi,
Je te demande de bien vouloir informer certains cyberpoliticiens congolais, que la real politique et la cyberpolitique ne se font pas avec de médisances et de calomnies, surtout que la tolérance et le respect des positions des autres est une règle de convenance sociale universelle.
Axel L. n'a pas pu contrôler sa plume (ce qui est souvent un exercice difficile), compte tenu de ce que certains cyberpoliticiens, certains cyberanalystes politiques congolais affichent sur le Net. Axel a confondu LAMBERT MENDE et RENE MENDE, alors qu'il n'y a qu'une simple homonymie du seul nom. Je porte aussi le nom de Shungu, nom porté par les femmes au Zimbabwe. Le nom Ngandu se trouve au cameroun, au kasaïet au Maniema.
Pour lever l'équivoque:
René Mende est un ancien Lovaniard (Université Lovanium), un ancien milicien enrôlé de force dans l'armée, informaticien formé en Roumanie et à Louvain-la-Neuve (Belgique).
René Mende vit en Europe, sans interruption depuis 1973/74 et père des filles et fils, diplômés universitaires. René Mende avait quitté le Zaïre par la grande salle de l'aéroport international de Ndjili, avec un passeport officiel, en tant que boursier: c'était l'époque où même les foetus, les maccabés et les morts étaient membres du MPR. Tout Congolais jusqu'au 17 mai 1997 était membre du MPR.
René Mende a le droit d'avoir ses opnions et de les exprimer sur le Net. Mais on a le droit de combattre ses idées avec des autres idées, mais le droit de s'en prendre à sa personalité, à son intégrité morale (et physique).
Ses préférences politiques sont une affaire privée.
Tundanonga
10:43 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : congo | del.icio.us | Facebook | | |
COMMUNIQUE DE PRESSE N°046/RDC/VSV/CD/2010
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) est vivement choquée par l’exécution sommaire et extrajudiciaire dont a fait l’objet, monsieur Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, dans la nuit du vendredi 01 au samedi 02 octobre 2010.
M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, ressortissant RDCongolais vivant en Europe, a été appréhendé, mercredi 29 septembre 2010, par les militaires de la Garde Républicaine (GR) suite au jet de pierres sur le cortège présidentiel, particulièrement sur le véhicule conduit par monsieur Joseph KABILA, Président de la RDCongo, sur l’avenue de la Libération, à la hauteur de la Maison Schengen, Kinshasa/Lingwala.
M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU, a été immédiatement maîtrisé par des militaires de la GR qui l’ont soumis à une violence sans précédent avant de l’embarquer à bord d’un des véhicules du cortège présidentiel pour une destination inconnue.
Des informations parvenues à la VSV font état de la poursuite de la torture, traitements cruels, inhumains et dégradants dont a fait l’objet la victime jusqu’à son décès.
Dans tous les lieux de détention où M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU est passé, des traitements atroces et sévices corporels lui y auraient été infligés pendant des interrogatoires.
Contrairement au communiqué du Procureur Général de la République rendu public sur la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), samedi 02 octobre 2010, faisant état du décès par « suicide » à l’aide d’un fil d’oreiller, le décès de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU serait consécutif à la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants auxquels la victime a été soumise.
Nul n’est besoin de rappeler les conditions généralement infrahumaines dans les lieux de détention en RDCongo.
…/… Disposer d’un oreiller relève d’un luxe non accessible à tout détenu surtout lorsqu’on s’en tient à la nature des actes répréhensibles commis par le précité.
L’exécution sommaire et extrajudiciaire de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU vient allonger la liste macabre après l’assassinat de monsieur Floribert CHEBEYA BAHIZIRE et la disparition forcée de monsieur Fidèle BAZANA EDADI par les services de l’ordre public et de sécurité et constitue une preuve de plus que le gouvernement RDCongolais ne garantit pas à la population RDCongolaise la jouissance des droits humains notamment le droit à la vie, le droit à ne pas être soumis à la torture ou autres traitements cruels, inhumains et dégradants…
Tout en exprimant sa vive désapprobation contre le jet de pierres sur le cortège présidentiel, la VSV estime en principe que M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU devait être déféré devant une juridiction compétente garantissant son droit à la défense pour répondre de ses actes devant la loi.
La VSV constate malheureusement la persistance de la culture de la mort et la banalisation de la vie humaine par le pouvoir en place qui s’arroge le droit de vie et/ou de mort sur des individus en lieu et place de les protéger conformément à la Constitution de la RDCongo et aux instruments juridiques internationaux ratifiés par la RDCongo.
Somme toute, la VSV exige :
- Une autopsie objective susceptible de déterminer la cause exacte de la mort de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU ;
- Une enquête indépendante pour faire toute la lumière sur la mort de M. Armand TUNGULU MUDIANDAMBU en vue de poursuites et sanctions contre les coupables, à l’issue d’un procès juste et équitable ;
- L’indemnisation et le dédommagement de la famille biologique de la victime.
Fait à Kinshasa, le 04 octobre 2010.
10:40 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : manif rdc à paris | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 04 octobre 2010
Silvio Berlusconi : "On veut me renvoyer à la maison, mais où ? J'en ai vingt"
Le chef de gouvernement italien Silvio Berlusconi, très critiqué ces derniers jours pour le goût parfois douteux de ses plaisanteries, a ironisé dimanche à Milan sur la gauche qui veut le renvoyer à la maison, affirmant ne savoir où aller, vu qu'il en a une vingtaine. Lire la suite l'article
"La gauche ne cesse de me dire que je dois rentrer à la maison, mais elle me met ainsi dans l'embarras, parce que, moi, j'ai vingt maisons et je ne saurais pas laquelle choisir", a plaisanté Silvio Berlusconi, qui s'exprimait à la clôture de la fête de son parti, le Peuple de la liberté (PDL). Cette nouvelle blague a déclenché les rires et les applaudissements de ses supporters. Silvio Berlusconi s'était attiré samedi les foudres du Vatican et de la communauté juive après avoir raconté une blague d'un goût douteux sur les juifs et une autre où il utilisait un terme blasphématoire insultant le nom de Dieu. Il avait notamment raconté l'histoire d'une famille juive qui cache un autre juif en lui faisant payer une énorme mensualité, sans lui dire que la guerre est finie.
L'Osservatore romano, quotidien du Vatican, avait qualifié de "déplorables" "les plaisanteries du chef du gouvernement, qui offensent indistinctement les sentiments des croyants et la mémoire des six millions de victimes de la Shoah". Le principal dirigeant de l'opposition, le secrétaire du Parti démocrate (PD, gauche), Pier Luigi Bersani, s'est lui aussi emporté dimanche contre le chef du gouvernement : "Ça suffit les plaisanteries, ce qu'il faut, ce sont des règles, de l'honnêteté et de la légalité", a-t-il déclaré lors d'une réunion à Cortone (centre).
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Le président de Groen! critique l'attitude de la N-VA
Le président de Groen! Wouter Van Besien s'interroge à propos de l'attitude de la N-VA. Le parti de Bart De Wever a adressé dimanche un ultimatum aux francophones, une initiative pas très heureuse, selon le patron des Verts flamands. Ce dernier était l'invité lundi de Radio 1 (VRT). Groen! est sur la même longueur d'onde que les autres partis flamands pour considérer qu'il y a lieu d'offrir aux Régions la possibilité de prélever une partie de l'impôt sur les personnes physiques. Les Verts estiment cependant que l'idée d'un ultimatum n'est pas bonne. "La N-VA refuse de faire des concessions aux francophones par la voie des médias mais elle attend d'eux qu'ils en fassent. Avec cet ultimatum, elle leur intime d'"aller se déshabiller préalablement faute de quoi elle leur refusera un ticket d'entrée à la table des négociations'". Le type de questions que pose la N-VA relève de la table des négociations pas de la scène médiatique, a-t-il expliqué. Wouter Van Besien a par ailleurs insisté sur la nécessité d'assurer la viabilité de l'Etat fédéral. Enfin, les Verts jettent au rayon des mauvaises idées la régionalisation de l'impôt des sociétés qui créerait une "concurrence entre Régions" ce qui ne serait pas bon économiquement. En dépit du "soap" post-électoral qui se joue depuis une centaine de jours, Wouter Van Besien n'ose imaginer un retour aux urnes. Ce serait "se moquer de l'électeur", a-t-il dit.
(VIM)
© BELGA
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La N-VA pourrait (finalement) débrancher la prise
C’est l’hallali. La phase finale de la chasse à courre a été lancée dans ce qu’il convient désormais d’appeler une non-formation gouvernementale. Reste encore à déterminer qui - de la N-VA ou des trois partis francophones - est la proie et qui est le chasseur. L’état-major de la N-VA se réunit aujourd’hui. Il doit répondre à la question stop ou encore ? Mais la réponse ne fait plus guère de doute. Ce sera stop. La N-VA attend un seul chiffre : quel pourcentage de l’impôt des personnes physiques les francophones sont-ils prêts à accorder aux Régions ?
Les nationalistes flamands sont arc-boutés autour de leur position : 40 à 50 % de l’IPP tombant dans l’escarcelle des entités fédérées afin d’enregistrer un changement "systémique" du mode de fonctionnement de la Belgique Mais, au vrai, la N-VA ne croit plus guère à un accord avec les francophones. Et l’analyse a été faite par l’état-major du parti : c’est maintenant qu’il s’agit de mettre un terme à, disent-ils, "cette mascarade politique". Après 25 jours de blocage total quasiment sans contact entre le PS et la N-VA, après 15 jours de "High Level Group" qui n’ont abouti qu’à un catalogue de principes sans conclusion unanime, les nationalistes flamands apparaissent prêts à débrancher la prise de cette non-formation gouvernementale moribonde. Mieux : ils sont convaincus qu’ils pourront expliquer cette décision devant l’opinion publique flamande sans trop de problème. Et engranger des points supplémentaires. Attendre davantage écornerait leur image
Ajoutez à cela que du côté des sociaux- chrétiens flamands du CD&V, la décision a été prise de ne pas lâcher d’une semelle la N-VA si celle-ci quitte la table de négociation, et vous aurez compris que les chances de reprise d’une négociation sont proches de zéro. "Nous savons pertinemment bien que, sur le contenu, la N-VA a raison : il nous faut 50 % de l’IPP pour les Régions", dit-on au CD&V.
Au vrai, on a assisté à un passionnant jeu de ping-pong dimanche après midi. L’ultimatum de la N-VA faisait suite aux déclarations des partis francophones engagés dans les négociations, sur les plateaux des traditionnels débats dominicaux. A l’émission "Mise au point" (RTBF), Jean-Marc Nollet, le membre Ecolo du high level group chargé de négocier une modification de la loi de financement, a dit que "la balle est clairement dans le camp de la N-VA". Cette dernière l’a donc rapidement renvoyée dans le jardin des francophones. Lesquels à leur tour l’ont reprise de volée pour la rejeter de l’autre côté du mur.
Dans un communiqué commun (c’est plutôt rare), PS, CDH et Ecolo ont répliqué à la mise en demeure flamande. A mots feutrés, ils avertissent la N-VA qu’ils n’iront pas plus loin. "Les éléments sont sur la table pour conclure un compromis équilibré dans tous les sujets évoqués", peut-on lire dans leur communiqué, "en ce compris, sur la base des conclusions du rapport du groupe de haut niveau, sur la loi de financement." Ils répètent leur optimisme. "Un accord équilibré est possible et indispensable pour les citoyens belges qui attendent une stabilisation du pays", professent PS, CDH et Ecolo. Qui pointent un doigt menaçant en direction de la N-VA : "Chaque parti et chaque communauté doivent pouvoir intégrer les demandes des autres. Aucun parti ne peut obtenir 100 de son programme. Il est aussi urgent de s’attaquer aux problèmes budgétaires et socio-économiques". Une façon de redire avec diplomatie ce que le secrétaire d’Etat au Budget Melchior Wathelet (CDH) déclarait le midi: "On n’arrivera pas à un accord si tout le monde dit : je veux un accord mais pour cela il faut être d’accord avec ce que je propose."
Les francophones exigent une réunion des présidents des 7 partis pour faire le point "à l’issue des consultations menées par les 2 médiateurs et des premiers travaux du groupe de haut niveau en ce qui concerne la réforme de la loi de financement". Sans doute veulent-ils aussi entendre les voix fluettes du CD&V et du SP.A. Pas sûr que ces deux-là soient tout à fait sur la même longueur d’onde que la N-VA. Le social-chrétien flamand Ludwig Caluwé n’a-t-il pas affirmé sur les ondes de la RTBF qu’un accord restait à portée de main avec ce qui était sur la table ? SP.A et CD&V ne sont-ils pas chacun venus avec des propositions d’une régionalisation de l’IPP nettement plus raisonnable que celles de la N-VA ? A vérifier.
Quoi qu’il en soit, le but du communiqué est de remettre la pression sur la N-VA. Et si les nationalistes flamands ne se laissaient pas impressionner ? Si, malgré l’enjeu, ils décidaient quand même d’arrêter les frais ? "Je ne sais pas ce qui se passera dans un tel cas de figure, commente un négociateur francophone. Mais ce qui est sûr, c’est que la N-VA pourra dire adieu à la plus grande réforme de l’Etat jamais imaginée. Et gare à la réaction des marchés. Un échec pourrait coûter aux finances publiques."
Note : la N-VA a indiqué qu’elle ne prendrait pas part à que réunion des sept partis si elle n’était pas certaine d’en ressortir avec un accord sous le bras. Autant dire.
Sur le fond en tout cas, rien n’a changé. La Flandre juge que les Régions ne doivent pas seulement être compétentes pour leurs dépenses; elles doivent aussi l’être pour leurs recettes. Les francophones se disent ouverts pour une régionalisation de l’impôt des personnes physiques. Mais jusqu’à un certain point (entre 10 et 20 % de l’impôt aux Régions). Ils refusent notamment que l’on touche à la progressivité de l’impôt - ils craignent que la Flandre utilise sa force budgétaire pour alléger l’impôt sur les hauts revenus, provoquant une évasion fiscale en leur défaveur. Ils veulent aussi que l’Etat fédéral garde une marge de manœuvre importante pour financer le vieillissement de la population. "Or, commente un francophone, si on va jusqu’ à régionaliser 50 % de l’IPP, on touchera forcément à la progressivité de l’impôt et l’on prive l’Etat fédéral d’une bonne partie de ses recettes."
V.R. et M.Bu.
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Elections présidentielles: Dilma Rouseff contrainte à un second tour
Dilma Rousseff, la candidate du président Luiz Inacio Lula da Silva, était bien placée à l'issue du premier tour pour remporter l'élection présidentielle au Brésil fin octobre, dont l'arbitre sera l'inattendue candidate écologiste.
L'ancienne chef de gouvernement de Lula, 62 ans, a remporté le premier tour avec 46,9% des voix, devant l'ex-gouverneur de Sao Paulo, José Serra, 68 ans, qui a recueilli 32,6% des suffrages, selon les résultats officiels portant sur 99,8% des votes transmis par le Tribunal électoral supérieur (TSE).
Cet écart confortable --il lui manque à peine plus de trois points pour atteindre la barre des 50% des voix-- devrait suffire à lui donner la victoire le 31 octobre pour devenir la première femme à diriger le Brésil.
"Je fais face à ce second tour avec beaucoup de courage et d'énergie car j'aurai l'occasion de mieux détailler mes propositions et mes projets", a dit Dilma Rousseff dimanche soir au siège de son comité de campagne à Brasilia, alors que les sondages la donnaient gagnante dès le premier tour."Nous sommes habitués aux défis.
Traditionnellement nous avons un bon résultat au second tour des élections", a ajouté Dilma Rousseff, une ex-guérillera qui a lutté contre la dictature militaire (1964-1985).
Lula, qui quittera le pouvoir le 1er janvier, avait dû lui aussi faire face à un deuxième tour en 2002 et en 2006 pour sa réélection.
Dans la nuit, José Serra a lancé un appel à la mobilisation des électeurs. "J'en appelle aux partis, aux hommes politiques et aux Brésiliens de bonne volonté: nous allons construire un pays meilleur, parce que le Brésil pourrait être bien meilleur qu'il n'est", a-t-il dit."En route pour la victoire à la présidence", a-t-il lancé à ses partisans réunis à Sao Paulo.Mais plus que José Serra, un ancien ministre de la Santé connu pour sa lutte en faveur des médicaments génériques, celle qui apparait comme la vraie surprise du premier tour est la chef de file des Verts et défenseur de l'Amazonie Marina Silva, 52 ans. Avec 19,35% des voix, elle s'est imposée comme une troisième force dans le paysage politique brésilien.
En dépit d'une apparence fragile, séquelle de diverses maladies tropicales, cette ancienne ministre de l'Environnement de Lula est une habituée des combats difficiles. Issue d'une famille pauvre, elle a toute une histoire de luttes, notamment aux côtés du défenseur et martyr de l'Amazonie, Chico Mendes, assassiné en 1988.
"Nous avons défendu une idée victorieuse et le Brésil a entendu notre appel", a dit Marina Silva d'une voie éraillée au siège du Parti Vert à Sao Paulo.
"Ce n'est pas le point final. C'est le début d'un processus qui ouvre une nouvelle politique avec les idées que nous défendons", a-t-elle ajouté.Les analystes tentaient d'expliquer dimanche soir ce que les sondages n'avaient pas prévu. "Je pense qu'il s'agit d'un vote de protestation d'une partie de l'électorat qui n'était convaincue ni par Dilma (Rousseff) ni par (José) Serra", a expliqué à l'AFP le politologue Carlos Alberto de Melo.
Pour l'analyste André Pereira César, du consultant CAC, les voix de Marina "valent de l'or" et elle "a les cartes en main pour les trois prochaines semaines de campagne".La chef de file des Verts n'a donné aucune indication sur sa position au second tour mais a laissé entendre que, quel que soit le candidat qu'elle soutiendra, il devra adopter certaines de ses propositions.
Quelque 136 millions de Brésiliens étaient appelés aux urnes pour élire non seulement le président mais aussi les gouverneurs et députés des 27 Etats fédérés, renouveler l'Assemblée nationale et les deux-tiers du Sénat
10:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dilma, bresil | del.icio.us | Facebook | | |
vendredi, 01 octobre 2010
Oscar va suivre les étrangers à la trace
Une empreinte digitale comme caution. Ce matin commence officiellement le fichage biométrique des étrangers voulant toucher l'aide au retour volontaire dans leur pays d'origine.
Remise au goût du jour cet été par les démantèlements de campements illicites, l'aide au retour de la France (entre 300 et 2.000 ) a bénéficié à plus de 15.000 personnes l'an dernier. Un chiffre qui aurait été multiplié par quatre en trois ans. Aujourd'hui, il aurait profité pour les deux tiers à des ressortissants roumains et bulgares.
Lille et Cergy déjà équipées de capteurs
Ce sont justement ceux-là que les autorités soupçonnent d'effectuer des allers-retours vers la France pour bénéficier plusieurs fois de l'aide. «Ils donnent un nouveau nom ou présentent le passeport d'un copain», raconte une source proche de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii), qui a consacré 9 millions d'euros l'an dernier à ce dispositif. «Mais on ne peut pas verser de l'argent comme ça indéfiniment.»
Ce ne sera plus le cas. A partir de ce matin, tout étranger qui voudra bénéficier de l'aide au retour devra laisser son identité, sa photo et ses empreintes digitales en guise de souvenir aux autorités françaises.
L'ensemble sera consigné dans le fichier Oscar (outil simplifié de contrôle des aides au retour). Selon nos informations, les directions de l'Ofii de Lille et Cergy-Pontoise ont même déjà reçu le capteur permettant de scanner les empreintes.
«Un déni de citoyenneté» pour la Ligue des droits de l'homme
Si Oscar débute à peine son travail, il est vivement critiqué depuis plus d'un mois maintenant. Trois associations, parmi lesquelles la Ligue des droits de l'homme (LDH), ont en effet déposé un recours devant le Conseil d'Etat pour en contester la validité.
«Le fichage biométrique des Roms, qui prend un relief particulier dans le contexte actuel, constitue un déni inacceptable de leur citoyenneté européenne», lâche ainsi la LDH.
14:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : empreinte digitale | del.icio.us | Facebook | | |
Quatre lauréats pour les Awards du commerce équitable
Fairytale, ACP, Fair Trade South et UGPPK/S-Z ont remporté jeudi les quatre 'Be Fair & Sustainable Awards', d'une valeur totale de 20.000 euros, récompensant les meilleures initiatives de commerce équitable et durable avec les pays en voie de développement, et organisés dans le cadre de la semaine équitable qui se tient jusqu'au 9 octobre.
14:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : acp | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 27 septembre 2010
Belgique/Peeters: le français et le néerlandais doivent rester les langues principales à l'école
Le parti chrétien-démocrate a aussi déploré la sortie médiatique de M. Smet, qui ne s'intègre pas selon lui dans une vision cohérente Le néerlandais et le français doivent rester les langues principales à l'école, a affirmé lundi le ministre-président flamand, Kris Peeters, en réaction à la proposition controversée de son ministre de l'Enseignement, Pascal Smet, de faire de l'anglais la seconde langue enseignée dans le secondaire.
"L'anglais devient de plus en plus la langue véhiculaire, c'est clair, mais il ne doit pas remplacer le français. Nous devons examiner comment il peut trouver sa place à côté du néerlandais et du français dans notre enseignement", a-t-il dit.
M. Peeters a précisé que la proposition de Pascal Smet ne faisait pas l'objet d'un accord au gouvernement flamand. Le ministre n'a fait qu'ouvrir le débat, a recadré Kris Peeters.
Du côté des partis, la Lijst Dedecker (LDD) a exprimé son soutien à l'idée de M. Smet. Pour les députés flamands Lode Vereeck et Boudewijn Bouckaert, "ce n'est plus la Belgique, mais le monde qui est désormais le cadre de référence en ce qui concerne les opportunités d'emploi des jeunes". L'importance accordée au français ne constitue dès lors qu'un "reliquat du cadre belge dépassé".
Le CD&V est plus critique. Pour la spécialiste de l'enseignement Kathleen Helsen, le multilinguisme est une richesse, mais "l'objectif ne peut pas être de moins investir dans l'apprentissage de notre deuxième langue nationale".
Le parti chrétien-démocrate a aussi déploré la sortie médiatique de M. Smet, qui ne s'intègre pas selon lui dans une vision cohérente
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