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vendredi, 17 décembre 2010

Pas de poids-lourds sur les routes de Liège, Luxembourg et Namur

L'interdiction de circulation des poids-lourds de plus de 7,5 tonnes sur les autoroutes et routes nationales sur le territoire des provinces de Liège, Luxembourg et Namur est maintenue vendredi matin. Les frontières luxembourgeoise et française restent quant à elles fermées jusqu'à 08h00, a indiqué le Centre Perex.

Les services d'épandage sont en action notamment sur le tronçon A4/E411 de Neufchâteau à Arlon où la chaussée est complètement verglacée ainsi que sur la A27/E42 Battice-Prüm où la chaussée est enneigée. De nouvelles chutes de neige sont enregistrées dans la province de Liège et la situation est particulièrement délicate sur la E411 en direction du Luxembourg. Malgré l'interdiction de circulation, de nombreux poids-lourds reprennent tout de même la route, ce qui risque d'entraîner une "situation chaotique dans la matinée", d'après le Centre Perex. Les automobilistes sont invités à la prudence, le verglas étant généralisé sur l'ensemble des routes.

mercredi, 15 décembre 2010

Rama Yade rallie Jean-Louis Borloo, un mois après le remaniement

pict_279867.jpg"Je rejoins le Parti radical de Jean-Louis Borloo", a déclaré à l'AFP l'ex-benjamine du gouvernement, qui reste adhérente du parti présidentiel, le Parti radical (PR) étant lié à l'UMP par un contrat d'association en tant que parti co-fondateur.

Rama Yade a annoncé mercredi, un mois après son départ du gouvernement, son ralliement à Jean-Louis Borloo, après avoir proposé sans succès une mission au nouveau patron de l'UMP, Jean-François Copé, un geste qui illustre les turbulences provoquées par le remaniement dans la majorité.

"Je rejoins le Parti radical de Jean-Louis Borloo", a déclaré à l'AFP l'ex-benjamine du gouvernement, qui reste adhérente du parti présidentiel, le Parti radical (PR) étant lié à l'UMP par un contrat d'association en tant que parti co-fondateur.

"Les Radicaux sont très heureux de l'accueillir, c'est une femme de très grande qualité", a déclaré à l'AFP Jean-Louis Borloo, qui avait choisi de quitter le gouvernement après son échec face à François Fillon pour remporter Matignon.

"Rama, c'est une enfant du dîner de la République", a ajouté M. Borloo qui avait eu l'initiative de cet événement pour célébrer les valeurs républicaines, à l'occasion de l'anniversaire de la loi de 1905 sur la laïcité, le 9 décembre.

"Elle m'a appelé le lendemain (de ce dîner) pour me dire qu'elle se retrouvait dans ces valeurs", a précisé le président du Parti radical.

Rama Yade a de nouveau appelé l'ex numéro deux du gouvernement pendant "dix secondes" mercredi pour lui annoncer sa décision de le rejoindre, a-t-il dit. "Elle m'a dit qu'elle avait beaucoup réfléchi avant de prendre sa décision".

Le vice-président du PR, Yves Jégo, lui-même victime d'un précédent remaniement, a qualifié le ralliement de l'ex secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme puis aux Sports de "très bonne nouvelle".

La décision de "celle qui figure sans discontinuer dans les classements parmi les femmes politiques préférées des Français témoigne de la nouvelle attractivité du Parti radical, plus vieux parti de France", a commenté le député de Seine-et-Marne dans un communiqué.

L'élue francilienne avait affirmé vouloir travailler sur le thème de "la cohésion sociale" au sein de la nouvelle direction de l'UMP, souhaitant incarner "ce sujet important", "en bonne place dans l'organigramme".

Dans la foulée du remaniement, elle avait affirmé avoir eu "une discussion politique" avec Nicolas Sarkozy qui avait souhaité qu'elle s'"investisse à l'UMP".

"J'ai donc proposé une mission à l'UMP sur la cohésion sociale", a-t-elle précisé mercredi, et "le président était d'accord". Mais n'ayant pu trouver un accord avec la nouvelle direction du parti sur les conditions de cette mission, elle a décidé de rejoindre les radicaux, a-t-on souligné dans son entourage.

Interrogé récemment sur cette offre de services, M. Copé, qui présentera la nouvelle équipe dirigeante de l'UMP au complet mi-janvier, était resté évasif: "Je vois beaucoup de monde en ce moment et je parle à beaucoup de gens".

Contacté par l'AFP, il n'a pas réagi mercredi soir à la décision de Rama Yade.Mme Yade a par ailleurs fait savoir qu'elle travaillait à la constitution d'un club pour défendre ses idées, avec l'objectif d'en faire un "mouvement avec des hommes et des femmes, des Français, qui se reconnaissent" dans les valeurs qu'elle défend.

Mme Yade a expliqué récemment "les vraies raisons" de son éviction du gouvernement, évoquant un "nouveau dispositif, avec une ligne politique spécifique" à laquelle, avait-elle dit, "je ne correspond pas forcément".

La jeune élue d'origine sénégalaise a publié à la rentrée un ouvrage "Lettre à la Jeunesse", un sujet sur lequel M. Borloo souhaiterait la voir s'investir au Parti radical , a-t-il dit à l'AFP.

lundi, 13 décembre 2010

Fillon rappelle Hortefeux à l'ordre sur les policiers

François Fillon a rappelé lundi à l'ordre lundi le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux après les critiques de ce dernier contre un jugement condamnant des policiers reconnus coupables de fausses accusations.Sept policiers ont été condamnés vendredi par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à des peines de six mois à un an de prison ferme pour des faits de violences et de fausses accusations de tentative d'homicide

Ce jugement a suscité la colère des syndicats de policiers qui ont organisé, fait exceptionnel, une manifestation devant le tribunal. Brice Hortefeux avait aussitôt qualifié le jugement de "disproportionné" et a répété cette appréciation ce week-end.

S'exprimant devant des préfets lundi, au ministère de l'Intérieur, le Premier ministre François Fillon, qualifiant les faits imputés aux policiers d'"injustifiables", a implicitement rappelé le ministre à ses obligations.

"L'honneur de la police exige un comportement exemplaire (...) Le respect dû à la justice est un des fondements de l'Etat", a-t-il dit, emboîtant le pas au ministre de la Justice, qui avait défendu les magistrats dans Le Parisien de dimanche.

Il a pondéré ses critiques en reprenant certains des griefs adressés par les policiers aux magistrats : "Le travail des policiers et des gendarmes doit être suivi de jugements, et les peines prononcées doivent être exécutées".

Mais le chef du gouvernement a conclu en appelant "chacun à la raison, à la modération et au sens des responsabilités".

LE PRÉSIDENT DE LA COUR D'APPEL INTERVIENT

Plus tôt dans la journée, Brice Hortefeux avait déjà été visé par un communiqué de Jacques Degrandi, président de la cour d'appel de Paris, qui jugera les policiers en appel.

"Certains commentaires sur le jugement des faits reprochés à des agents de police devant le tribunal de grande instance de Bobigny sont de nature à troubler la sérénité des débats qui auront lieu en cause d'appel", écrit le magistrat.

"Les décisions de justice ne peuvent être remises en cause que par l'exercice des voies de recours. L'indépendance juridictionnelle des juges est une condition essentielle de la démocratie", souligne-t-il.

Cette affaire intervient après plusieurs passes d'armes ces derniers mois entre certains syndicats de police et les organisations de magistrats.

Les premiers critiquent des décisions de remise en liberté jugées laxistes alors que les seconds répondent que leur travail consiste à apprécier les charges et non à emprisonner systématiquement toute personne arrêtée par la police.

Le tout se déroule dans un climat tendu de montée des violences dans les banlieues pauvres, que les juridictions et les policiers peinent à traiter faute de moyens.

Le principal syndicat de magistrats français a demandé lundi au ministre de la Justice d'intervenir.

"La stigmatisation des magistrats, la recherche d'un bouc émissaire, peut-être pour faire oublier les résultats en demi-teinte de la politique de sécurité des gouvernements successifs, conduisent inexorablement à une décrédibilisation de la justice dans l'opinion publique", écrit au ministre le président de l'USM, Christophe Régnard.

Il suggère donc, soit une table ronde policiers-magistrats sous l'égide du Premier ministre, soit des poursuites contre Brice Hortefeux car le code pénal, rappelle-t-il, sanctionne le fait de jeter le discrédit sur une décision de justice.

En réponse, le cabinet de Michel Mercier a annoncé qu'il recevrait les syndicats de magistrats mercredi.

Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse

Interview De Wever: attaque frontale contre le pays, l'économie, les Wallons, le roi

Le cdH s'est dit "affligé" par les propos tenus lundi dans la presse allemande par le président de la N-VA, Bart De Wever. Selon le cdH, M. De Wever "attaque frontalement, dans un moment politique plus que délicat, et sans aucune nuances (...) à la fois son propre pays, l'économie belge (flamande comme francophone), le roi et les Wallons". Il appelle la N-VA à "clarifier" ses intentions.

Interview De Wever: attaque frontale contre le pays, l'économie, les Wallons, le roi

Le cdH a fustigé lundi "l'irresponsabilité des propos excessifs" tenus par Bart De Wever selon lesquels la "Belgique est devenue le malade de l'Europe", alors que, selon les centristes, "tous nos fondamentaux économiques démentent" cette prise de position. En faisant ce genre de déclarations dans le contexte actuel, le président de la N-VA "joue avec le feu et prend le risque de mettre clairement l'économie belge, et donc aussi l'économie flamande et la situation de ses entreprises, en danger alors qu'elles ont besoin de stabilité et de confiance", estime le cdH. Le parti dirigé par Joëlle Milquet reproche à la N-VA de paralyser la mise sur pied d'un nouveau gouvernement, une attitude qu'il juge paradoxale eu égard au discours des nationalistes qui insiste sur la nécessité de changement. "Dire d'un côté qu'un pays est malade et ne pas vouloir former un gouvernement" ne correspond pas à "la logique de 'bonne gouvernance' la plus élémentaire", fait observer le cdH. Pour le reste, les propos "insultants à l'égard des Wallons" et "le manque de respect à l'égard du Roi" ne sont hélas pas les premiers tenus, constatent les démocrates-humanistes. M. De Wever a comparé les transferts financiers vers la Wallonie à une injection pour "junkies" et reproché au roi d'être pro-francophones. Ces propos "démontrent une fois encore la pensée de la N-VA, qui n'est plus un mystère pour nous, notamment dans sa visée séparatiste confirmée dans l'interview", analysent les centristes. Le cdH ajoute que cette sortie médiatique de Bart De Wever ne l'écartera pas de son ambition d'aboutir à une solution institutionnelle. "Ce n'est pas une interview de plus, aussi affligeante soit elle, qui va détourner le cdH de son volontarisme lucide d'arriver à un accord équilibré sur la réforme de l'Etat", dit-on rue des deux Eglises.

lundi, 06 décembre 2010

POUR DEMENTIR LE DR MARIE FAYE : La RTS montre le président Wade courir au «safa et marwa»

Le Président de la République Me Abdoulaye Wade est rentré de la Mecque hier. A sa descente d’avion, il a tenu une déclaration. Me Abdoulaye Wade s’est prononcé sur ses relations avec l’Iran. Le Chef de l’Etat a également déclaré que ceux qui ont été arrêtés avec des armes en provenance de l’Iran, au Nigéria seront jugés.

Juste après cette déclaration, la RTS a montré des images sur lesquelles, le président Wade fait le «safa et marwa ». «Il courait comme un jeune de 30 ans. Ceci explique l’extraordinaire belle santé physique de Me Abdoulaye Wade. Ces images contredisent les propos du Dr Mame Marie Faye » confie un Ministre. Selon une source, une page spéciale sera consacrée à cette visite du président à la Mecque ce soir sur la RTS. 

vendredi, 03 décembre 2010

Le symbole du judaïsme sur Téhéran

Depuis plus de trente ans, les avions qui se posent à l'aéroport international de Téhéran survolent un des symboles du judaïsme. Ce week-end, des médias iraniens ont découvert qu'une étoile de David figure sur le toit du quartier général de la compagnie nationale Iran Air. Sur les photos aériennes de Google Maps , l'étoile d'une dizaine de mètres apparaît clairement au centre de ce bâtiment, situé en plein cur de l'aéroport Mehrabad.

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Ce vestige architectural prend aujourd'hui une toute autre signification. «Il est intéressant de remarquer que trente-deux ans après le succès de la révolution [islamique], cette étoile symbole du sionisme n'a pas encore été retirée de cet immeuble», a réagi un site iranien d'information local cité par Yedioth Ahronoth , le quotidien le plus lu d'Israël. Des appels ont été lancés pour faire retirer l'étoile, rapporte encore le journal.

Dans le monde, les images de Google Maps ont conduit à d'autres découvertes polémiques et à des imbroglios diplomatiques. Il y a peu, une frontière mal tracée a causé un incident entre le Costa-Rica et le Nicaragua. En Iran, des croix gammées avaient déjà été repérées dans le jardin d'une université de Bandar Abbas . Le cas le plus fameux reste celui d'un immeuble de la Navy qui, vu de haut, a aussi la forme d'une croix gammée.

Côte d'Ivoire : la Commission électorale annonce la victoire d'Alassane Ouattara

wattara.jpgLe président de la Commission électorale ivoirienne a annoncé, jeudi 2 décembre, la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de dimanche avec 54,1 % des voix. Son adversaire, le président sortant Laurent Gbagbo, a recueilli 45,9 % des suffrages lors de ce second tour.

Ces résultats doivent toutefois être confirmés par le Conseil constitutionnel ivoirien. Toute l'élection pourrait ainsi être annulée si les plaintes déposées par le camp Gbagbo sont retenues. Les adversaires de l'actuel chef d'Etat ivoirien estiment que la plus haute cour du pays n'est pas neutre car elle est dirigée par Paul Yao N'Dré, un proche allié politique de Gbagbo.

Repoussé depuis 2005, ce scrutin présidentiel doit permettre à la Côte d'Ivoire de tourner la page d'une décennie de troubles et de divisions, due à une tentative de coup d'Etat contre Laurent Gbagbo en 2002.

Présidentielle ivoirienne : la CEI annonce la victoire d'Alassane Ouattara, le Conseil constitutionnel consteste

dof.jpgYoussouf Bakayoko, président de la Commission électorale indépendante ivoirienne (CIE), a annoncé ce jeudi 2 décembre 2010 la victoire d'Alassane Ouattara avec 54,1% des voix au second tour de l'élection présidentielle. Il s'agit de résultats provisoires dont le Conseil constitutionnel et le camp du président Gbagbo contestent déjà la validité.

Tout s’est accéléré dans la deuxième partie d’après-midi quand le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, arrive à l’Hôtel du Golfe d’Abidjan. Peu de journalistes l’attendent car rares sont ceux qui sont au courant de sa venue. L’Hôtel du Golfe, c’est là où réside le Premier ministre, mais c’est surtout un établissement fortement sécurisé par les éléments militaires de l’ONU.
Youssouf Bakayoko s’approche du micro, les flashs crépitent, il proclame les résultats de l’élection : Alassane Ouattara 54,1% des voix et Laurent Gbagbo 45,9% des suffrages exprimés. Dans la salle, des cris de joie retentissent.
 
Il s’agit de résultats provisoires qui doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel. Et justement, une heure plus tôt, le Conseil constitutionnel avait tenu une conférence de presse pour dire tout autre chose. Autre son de cloche, autre ambiance, et contrairement à l'Hôtel du Golfe, il y avait là une équipe de la télévision publique ivoirienne.
 
Au cours de cette intervention, au siège de l'institution, son président a annoncé qu’il venait d’envoyer une lettre au président de la Commission électorale lui demandant de lui transmettre les documents relatifs au deuxième tour du scrutin. Il a précisé qu'il serait statué sur les contestations dans un délai de 7 jours. « Il faut vider le contentieux », a-t-il expliqué, ajoutant que c’est dans ce délai que seront proclamés les résultats.
Le président du Conseil constitutionnel a rappelé que la Commission électorale indépendante n’a pas été en mesure de proclamer les résultats dans les 72 heures après le scrutin et que donc, en substance, elle a failli. Enfin, le président du Conseil constitutionnel a précisé qu’il n’y a pas de vide juridique et donc que tout cela est totalement légal.
 
Ces résultats provisoires  n'ont pas de « validité juridique », estime, pour sa part, le directeur de  campagne de Laurent Gbagbo. « On attend la décision du Conseil constitutionnel, donc cette proclamation n'a pas d'intérêt pour nous », a confié Pascal Affi N'Guessan à l'agence Reuters.  La commission avait jusqu'à mercredi minuit pour publier les résultats du scrutin mais le blocage était manifeste. « La CEI (est) forclose depuis minuit, donc il n'y a aucune validité juridique à cette proclamation » a-t-il dit.
C'est donc une bataille politique et juridique qui commence. 
 

mardi, 30 novembre 2010

Anelka : "Le vrai visage de la France"

annel.jpgNicolas Anelka déclare qu'il aurait arrêté sa carrière en équipe de France quoiqu'il arrive après le Mondial, dans un entretien à paraître mercredi dans les Inrocks. Dans un dialogue avec le rappeur Booba, Nico parle crûment du "vrai visage" du pays et affirme son refus de chanter la Marseillaise.

Nicolas Anelka n'est pas un habitué des longs entretiens. En tout cas, quand il s'agit de parler football, un rayon dans lequel il aura fait une très belle carrière tout en se comportant le plus souvent comme un taiseux. Mais l'ex-attaquant des Bleus a accepté le principe d'une interview croisée avec le rappeur Booba, qui fera la Une des Inrocks, mercredi, et ce n'était pas pour manier la langue de bois des conférences de presse de Clairefontaine. Il y est question de foot, un peu, de la Coupe du monde dont l'enfant de Trappes a été un héros malgré lui, et surtout de la France, dans son ensemble.

Entre autres, l'attaquant de Chelsea révèle qu'il avait prévu d'arrêter sa carrière internationale après la Coupe du monde 2010, et reproche à Raymond Domenech de ne pas avoir communiqué à ce sujet. "Mais comment ça se fait qu'on parle encore de moi pour l’équipe de France ? demande celui qui est suspendu jusqu'en mai 2012. La vérité, c’est que j’avais dit à Domenech, avant la Coupe du monde, que j’arrêterai la sélection après la compétition, quoi qu’il arrive là-bas. Je lui ai dit clairement. La fédération le sait aussi. Mais ils ne l’ont jamais dit. Ils veulent sortir grandis de cette histoire, comme s’ils avaient rétabli l’ordre. Moi, si Evra ou Abidal avaient été virés, je serais parti avec eux. Chacun sa façon de fonctionner."

Nicolas Anelka déclare qu'il aurait arrêté sa carrière en équipe de France quoiqu'il arrive après la Coupe du monde. - 2 Interrogé sur l'existence de clans en sélection lors de l'aventure sud-africaine, l'attaquant de Chelsea nie. Il explique la circulation de ces informations par les stéréotypes de l'opinion publique. "On a vu le vrai visage de la France. Dans les moments difficiles, on voit ce que les gens pensent vraiment. On disait “Ribéry a frappé Gourcuff. Gourcuff, le bon Français, Ribéry, le musulman”. C’est parti trop loin. Quand on ne gagne pas, en France, on parle tout de suite des religions, des couleurs…"

"La Marseillaise ? J'aurais quitté l'équipe"

Absent des différents débats qui ont secoué le pays sur La Marseillaise au fil des années, Anelka rebondit sur une réflexion de son interlocuteur sur les paroles de l'hymne national. "En équipe de France, je n’ai jamais voulu chanter La Marseillaise, ça ne m’est jamais venu à l’idée. Et si on m’avait demandé de le faire, j’aurais refusé, j’aurais quitté l’équipe."

Dans cet entretien qui sera publié en intégralité mercredi, l'attaquant de Chelsea constate que la France a, à ses yeux, un problème avec la réussite des personnes issues de l'immigration ou des territoires d'Outre-Mer. "C’est surtout le fait d’être le premier joueur à venir de la cité et à avoir une Ferrari qui donne mal à la tête aux gens, se souvient-il quant à son début de carrière. Je n’ai jamais compris pourquoi. Quand j’étais à Madrid, j’avais 20 ans, j’avais l’argent, j’ai acheté une Ferrari. Et les gens me l’ont reproché..." Dans l'entretien, Nicolas Anelka assure aussi qu'il n'a pas prononcé les mots qui lui ont été attribués par L'Equipe et qui ont justifié son exclusion des Bleus.

Eurosport

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lundi, 29 novembre 2010

Belgique:La RTBF se penche sur l’avenir du pays

Après la VRT, la RTBF propose une opération de décryptage politique.

Aujourd’hui, La une, Vivacité ("C’est vous qui le dites" de Benjamin Maréchal dès 9 h) et le site Internet de la RTBF proposent une journée d’information pour répondre à la question : Belgique où vas-tu ? Si le site publie déjà un mini-sondage, La une proposera dès ce soir une grande émission spéciale en direct, après le JT de 19h30.

François de Brigode réunira des personnalités politiques, économiques ainsi que des membres de la société civile pour un débat. Contrairement à l’émission "Plan B" de la VRT, les deux principales parties linguistiques du pays seront cette fois représentées.

Olivier Willockx de la Chambre de commerce et union des entreprises de Bruxelles (BECI) s’étant désisté, il sera remplacé par le président de BECI, Jean-Claude Daoust. Les invités répondront aux questions des téléspectateurs et internautes, et réagiront également aux six reportages réalisés sous la supervision d’Hervé de Ghellinck. Le plan B, les négociations, le dossier Bruxelles, l’exemple du Land de Berlin, les enjeux du pouvoir et l’exemple du divorce tchécoslovaque seront mis en, perspective. "L’actualité politique, les menaces de nouvelles élections, le rapport de Vande Lanotte ainsi que les tensions de cette semaine entre ce dernier et la N-VA seront évidemment évoqués", ajoute Hervé de Ghellinck.

 

Si, au départ, l’identité des invités politiques était ambiguë, aujourd’hui, "les présidents de partis ne seront clairement pas présents". Ils enverront leurs "ambassadeurs". Côté francophone : Philippe Moureaux (PS), Melchior Wathelet (CDH), Armand De Decker (MR) et Marcel Cheron (Ecolo). Côté néerlandophone : Servais Verherstraeten (CD&V), Stefaan Van Hecke (Groen !) et Patrick Dewael (Open VLD), le SP.A et la N-VA se faisant toujours désirer.

Quoi qu’il arrive, Bart de Wever a décliné l’invitation et Vande Lanotte sera absent du débat. "Nous, on pose les vraies questions. D’où, je ne vous cache pas que ça ne bouscule pas au portillon", réagit François de Brigode, taclant au passage la dernière émission politique avec Elio Di Rupo sur RTL-TVI.

 

Elections en Haïti: l'ONU préoccupée par les "nombreux incidents"

pict_274580.jpgL'ONU et la communauté internationale "exhortent" la population et les acteurs politiques" à rester calmes.

L'ONU et la communauté internationale ont exprimé dimanche "leur vive préoccupation suite aux nombreux incidents" qui ont émaillé les élections présidentielle et législatives en Haïti, ont indiqué les Nations unies dans un communiqué.

"Les Nations unies et la communauté internationale expriment leur vive préoccupation suite aux nombreux incidents qui ont émaillé le déroulement du scrutin ce dimanche 28 novembre 2010", est-il écrit dans un communiqué signé de la mission de l'ONU en Haïti (Minustah).

L'ONU et la communauté internationale "exhortent" la population et les acteurs politiques" à rester calmes, rappelant qu'une éventuelle détérioration de l'état de la sécurité dans le pays aura des conséquences dramatiques immédiates sur le nombre des victimes de l'épidémie de choléra", est-il ajouté.

Le scrutin s'est déroulé dans un climat tendu qui a amené au moins 12 des 18 candidats en lice à demander l'annulation des élections. Les élections ont néanmoins été validées dimanche soir dans la grande partie du pays par le commission électorale haïtienne.

Des bureaux de vote ont été saccagés. L'opposition a accusé le pouvoir d'organiser des fraudes au profit de son candidat, Jude Célestin. De nombreux électeurs n'ont pas pu voter faute de trouver leur bureau de vote. Et des heurts ont fait au moins deux morts.

La Minustah a participé dimanche à la sécurité des opérations de vote en collaboration avec la police haïtienne.

Economie:Les marchés saluent le plan irlandais, mais la prudence demeure

Les marchés européens ont bien réagi lundi à l'ouverture après l'accord final annoncé la veille sur le plan de sauvetage de 85 milliards d'euros pour l'Irlande, mais des inquiétudes demeuraient sur le risque de contagion à la zone euro.

Dimanche, les ministres des Finances de la zone euro ont validé l'aide à l'Irlande, destinée à juguler son déficit public et à renflouer son secteur bancaire, et ont aussi défini les contours d'un mécanisme de crise.

Toutefois, les cours de l'euro reflètent des doutes persistants, qui se portent désormais sur la solidité du Portugal et au-delà, de l'Espagne.

"Je ne pense pas que (le plan d'aide à l'Irlande) sera un remède miracle. Les interrogations concernant le Portugal et l'Espagne vont persister", commente Peter Westaway, économiste en chef chez Nomura.

Le gouverneur de la banque de France Christian Noyer, ainsi que les ministres de l'Economie Christine Lagarde et du Budget François Baroin, se sont efforcés lundi matin de rassurer les marchés.

Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble est allé dans le même sens. "Nous espérons un retour au calme et au réalisme dans les marchés financiers", a-t-il dit, jugeant "bien peu rationnelle" la spéculation contre les pays de la zone euro.

A l'ouverture de lundi, les Bourses européennes étaient nettement orientées à la hausse et les valeurs bancaires, mises à mal ces derniers jours, comptaient parmi les meilleures performances.

L'euro a en revanche touché un plus bas de deux mois de 1,3182 dollar sur les marchés asiatiques, avant de revenir en partie sur ses pertes, tout en restant nettement sous le plus haut de 1,3345 dollars atteint juste après l'annonce du plan irlandais.

LES BANCAIRES EN FORME

Sur les marchés d'actions, vers 09h20 GMT, le CAC 40 progressait de 0,75%, le Dax de 0,38% et le Footsie de 0,73%. L'indice paneuropéen Eurofirst 300 gagnait 0,68%.

Les Bourses irlandaise, espagnole, portugaise et italienne, qui avaient ouvert en hausse elles aussi, suivaient par contre des tendances divergentes en cours de matinée.

L'Irlande et l'Italie étaient en hausse mais le Portugal et l'Espagne reculaient, attestant des risques de contagion de la crise irlandaise que redoutent toujours les marchés.

Sectoriellement, l'indice européen des valeurs bancaires avançait de 1,57%. BNP Paribas, Barclays et Deutsche Bank gagnaient entre 0,7% et 2,0%.

La hausse est particulièrement marquée sur les valeurs bancaires irlandaises, qui s'étaient effondrées dans les derniers jours avant l'annonce de l'octroi de l'aide internationale. Allied Irish Banks gagnait 8,2% et Bank of Ireland 19,7%.

La réaction de soulagement s'observe également sur les marchés obligataires. L'écart de rendement (spread) entre les obligations irlandaises et les Bunds allemands diminuait de 8 points de base (pdb) à 672 pdb.

Il s'agit de sa première baisse en sept séances, même si l'écart actuel reste proche de son plus haut historique de 687 pdb.

Selon le directeur adjoint du département Europe du Fonds monétaire international Ajai Chopra, l'Irlande devrait pouvoir recommencer à se financer sur les marchés obligataires dès que leurs taux seront légèrement plus favorables que ceux mentionnés dans l'accord conclu dimanche.

"Dès que l'organisme de gestion de la dette du Trésor constatera un avantage, ne serait-ce que d'un point de base, il arrêtera sans doute d'emprunter à partir du programme pour revenir sur le marché", a-t-il dit à la radio publique irlandaise.

L'écart de rendement a reculé de 6 pdb à 438 pour la dette portugaise à dix ans, de 3 pdb à 250 pour celle de l'Espagne, et de 20 pdb à 907 pour la Grèce.

Le Bund allemand à 10 ans, valeur de référence du marché obligataire en Europe, a par ailleurs reculé de 33 "ticks" à 127,02.

Les swaps de défaut de crédit à cinq ans de l'Irlande ont reculé de 10 pdb à 590, ceux du Portugal de 1 pdb à 503, et ceux de la Grèce de 20 pdb à 945.

Les cours du pétrole ont quant à eux atteint un plus haut de deux semaines au-dessus des 85 dollars.

Bureaux de Londres, Dublin, Paris, Tokyo et Berlin, Gregory Schwartz pour le service français

Sarkozy vu par les USA

"Autoritaire", "susceptible", "roi nu"... S'il ne s'en doutait pas le président de la République a pu vérifier ce que les responsables américains pensent de lui. La divulgation ce dimanche de 250 000 câbles de la diplomatie américaine par Wikileaks, outre des révélations internationales, ont aussi apporté leur lot de qualificatifs acides qui devraient créer un certain malaise entre les grands dirigeants ces prochains jours.

Sur la France, quelques petites phrases du conseiller diplomatique de l'Elysée ont également fuité. Jean-David Lévitte a notamment qualifié l'Iran d'"Etat fasciste". Il a également estimé que Hugo Chavez était fou et allait transformer le Venezuela, dont il est le président, en "autre Zimbabwe".

Autre cible: la chancelière allemande Angela Merkel, qualifiée de dirigeante qui évite de prendre de risques et manque souvent d'imagination. Quant aue président du Conseil italien Silvio Berlusconi de dirigeant incapable et inefficace.

Les documents révèlent également que Berlusconi et Poutine entretiennent des liens étroits, évoquant "de généreux cadeaux" entre les deux hommes.

Les Américains qualifieraint d'ailleurs le président russe Dmitri Medvedev de "pâle" et "hésitant" avant de dépeindre le Premier ministre Vladimir Poutine comme un "mâle dominant".

samedi, 20 novembre 2010

DÉTOURNEMENT : Les 6 millions du Président Wade divise le Pds de Belgique

abdoulayewade.jpgLe meeting organisé le 05 novembre dernier par un mouvement de soutien dénommé «Dental Diappalé Wade 2012 »  avec le Pds défraie, au plus haut point, la chronique au sein de la diaspora sénégalaise établie au Benelux. Pour cause, des collaborateurs de l’initiateur du meeting, l’artiste Issa Mbaye Sow parlent de détournement de l’enveloppe d’un montant de 10 000 euros mise à leur disposition par le président de la république Me Abdoulaye Wade pour les besoins de la manifestation.

Pour cause, tout l’argent se serait évaporé dans la nature au point de devoir 3300 euros à des artistes. Serait ce le partage de Bouki ? Le meeting de soutien pour la réélection du Pape du Sopi à l’élection présidentielle de 2012 par un mouvement soutenu par une partie des militants du Pds en Belgique n’a véritablement pas révélé tous ses secrets. En effet, depuis la semaine dernière, des militants de Bruxelles et de la ville d’Anvers ayant participé à l’organisation accusent le principal initiateur de ce meeting en l’occurrence Issa Mbaye Sow d’avoir délibérément détourné une partie des sous destinés à l’organisation de cette rencontre, le taxant au passage d’activiste à la solde de ses propres intérêts. Ces derniers ne comprennent toujours pas qu’au terme de la manifestation politique qui a vu la présence du ministre conseiller, Amadou Kane Diallo, des Députés Doudou Wade, Amadou Ciré sall, Kalidou Niasse, Fatou Sow, Aissata Kane et Thialal Sabara du Conseil économique et social …… qu’on tente de leur servir, sur le plat, un bilan déficitaire, disent-ils. En réalité, sur les 10 000 euros envoyés par le président Abdoulaye Wade, il n’en reste qu’un déficit. En effet, des artistes (musiciens et batteurs) qui ont presté lors de ce meeting pour l’animation n’ont toujours pas été payés, révèle notre source qui, au passage, parle de « partage de magot ». Joint au téléphone, le mis en cause confirme devoir 3300 euros aux artistes notamment au musicien Malick Pathé Sow et à la troupe de batteurs venue d’Anvers et de la Hollande conduite par El Hadji Ndiaye, fils de Doudou Ndiaye Rose. S’agissant de l’accusation de détournement dont il est accusé, le sieur Sow a soutenu le contraire. Mais, reconnait avoir loué, dans le cadre du meeting, la salle pour une demi-journée à 2800 euros soit prés de 2 millions fcfa sur la rue Birmingham à Anderlecht. A l’en croire, tout le reste de l’argent a presque servi nourrir les invités. Dans le même sillage, il révèle : « dans ce genre de meeting politique, les gens demandent au Pds  20  à 40 000 euros ».  Rappelons que c’est lors de ce meeting que Doudou Wade, président du groupe parlementaire libéral s’en était vivement pris au leader de l’Apr. En tout de cause, certains libéraux ulcérés ont du mal à digérer la pilule et affirment que ce n’est pas de cette manière que le Pds, en convalescence prolongée dans le Benelux, pourrait reconquérir l’électorat  de la diaspora de l’axe Belgique-Pays Bas-Luxembourg qui semble aujourd’hui se reconnaitre plus dans le programme charrié par l’ex Pm Macky Sall en perspective de l’élection présidentielle de 2012. Entre la bataille des sous et celle de la vérité des urnes, que choisiriez-vous ? Demandez à Abdou Diouf, l’ex homme fort de ce Sénégal de nos jours très décomplexé.
BITIMREW

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DISCOURS ETHNICISTES : Et si les Tribunaux internationaux interpelaient Doudou Wade, neveu du Président sénégalais .

doudou_WAD_.jpgOn savait l'homme mesquin; cynique, sournois, froid, monstrueux, à l'image de son visage luciférien,  son regard perçant, sadique.  Mais nous ne pouvions imaginer un seul instant que ce triste personnage, Doudou WADE pour le nommer, et non moins  neveu  du Président de la République du Sénégal Abdoulaye WADE,  de par ses hautes charges  de député, vice président de l'Assemblée Nationale pouvait pousser l’excès  jusqu'à franchir le rubicond,  par une campagne d’acharnement sur les origines ethniques de son  adversaire politique,  le Président Macky SALL.
 
Il est vrai que le leader de l'APR de par sa côte de popularité sans cesse croissante dans le cœur des sénégalais, et son efficace travail sur le terrain crée bien des psychoses, des insomnies, des cauchemars aux libéraux et leurs alliés du camp présidentiel.  Ceux qui ont connu notre "Pinocchio",  à commencer par son oncle le Président WADE et ses vieux compagnons d'alors à Biscuiterie, feu Mass DIA, le doyen vieux Moustapha SARR,  ne peuvent être guère surpris par cet homme sans foi ni loi. Durant les années de braise, pendant que de braves patriotes  combattaient à côté de son père Abdoulaye WADE le régime socialiste, il s’était rangé du côté du régime d'alors.  Les  populations de Bene Tally gardent toujours en mémoire les propos incendiaires, offensants qu'il tenait à l'endroit de  son père  Abdoulaye WADE. Lorsqu’ il se rendait à son lieu de travail au port à la SNCDS, il n'épargnait guère sur son chemin les partisans de son oncle, jeunes et vieux qu'il traitait d'irresponsables. Car, disait il, pendant que Abdoulaye WADE est bien au chaud en France avec sa femme, et ses enfants  qui y poursuivent leurs études, les  enfants des pauvres sont dans la rue compromettant leur avenir et leur vie même.  Abdoulaye WADE ne sera jamais Président du Sénégal! disait- il.  Le Président WADE ne lui avait jamais pardonné du reste une telle lâcheté,  qu'il considérait comme un parricide.  Les vieux compagnons de son père se souviennent encore de la rage d’ Abdoulaye WADE lorsqu'ils ramenèrent Doudou WADE chez  lui pour qu’il lui  accorde son  pardon, juste après le décès de son père Adama WADE, frère et fidèle compagnon du Président WADE.  Ce dernier avait bien des raisons d'en vouloir à son neveu, qui non content de ne lui avoir jamais rendu visite quand il était en prison, tenait en son endroit des propos que la décence interdit de répéter. Ce rappel historique de l’itinéraire de cet homme qui par ses actes et comportements a beaucoup joué sur le rejet  et le dégoût du PDS par les sénégalais était nécessaire pour rafraichir la mémoire des gens.  En envoyant Doudou WADE et Amadou KANE, l’ex garçon de course de Tanor DIENG, qui avait été épinglé lors des audits de la poste en 2000, et qui ne dut son salut que par la transhumance et tout récemment au COSEC, présider le   Samedi 06 novembre  2010 un  meeting à Bruxelles, le PDS une fois de plus vient de labourer les terres fertiles de l’Alliance pour la République (APR). Doudou WADE a tenté de mettre au pilori le leader de l’APR, de le mettre en mal avec ses compatriotes en  utilisant par force de mensonges des arguments ethnicités : « Macky SALL a dit à ses parents Al Poular, que Abdoulaye WADE ne lui aurait pas pardonné ses origines cause de sa disgrâce. ».  Mais en vain,  car sans le vouloir, il venait par des agissements aussi graves et dangereux  assurer à  Macky  Sall une promotion de taille en créant un effet contraire. Car le Coordinateur de l’APR dans le Benelux Alioune DIOP a enregistré un fort taux de nouvelles adhésions des sénégalais du Benelux  au sein de l’APR .
 

Les déclarations de Doudou Wade, dignes de  la radio des milles collines, cause du génocide rwandais  appellent à la haine, au tribalisme et au déchirement des peuples. Il ne faudrait pas oublier qu’il fût l’artisan de la scélérate et inique loi Sada NDIAYE, du nom de son tristement célèbre auteur, parent de Macky SALL, à l’origine de la destitution de ce dernier à son poste de Président de l’Assemblée,  qui a failli mettre le feu au Fouta. Nous allons saisir dès à présent la Commission des droits de l’homme de l’ONU et le Tribunal Pénal International, la Cour de Justice de la CEDEAO, l’ONDH.

Ce meeting  était en fait une soirée dansante organisée par le violoniste mauritanien Issa Mbaye Diarry Sow , nouveau patron du PDS en Belgique soutenu par la  dame Absa Guissé qui se prévaut burundaise . Il est bon de préciser que Doudou WADE était venu discrètement à cette cérémonie. Le plus amusant c’est que pendant que ces deux larrons  s’empoignaient à la fin de la manifestation,

lors du partage du butin  des dix mille euros   qui leur avaient été remis par les envoyés du régime libéral, la Convergence des Cadres de l’APR à Paris refusait du monde dans une salle de plus de 300 places au prix de 40 euro pour l’entrée, par militant ou sympathisant. C’est ce qu’on appelle du militantisme de conviction. Et cerise sur le gâteau,  au même moment, l’APR étendait ses tentacules au CANADA où la communauté  sénégalaise  tenait sa première Assemblée générale constitutive de la Section APR.

Tout le contraire des partisans alimentaires de Abdoulaye WADE et de son fils Karim Wade qui dansent, insultent, mangent et boivent  sur le dos et à la sueur des malheureux contribuables sénégalais, asphyxiés par la cherté de la vie, devant le désarroi  d’une jeunesse désemparée  et sans avenir.

Quelle cruauté !

Ousmane WAR, Responsable de la Propagande, de l’Animation de l’APR au Bénélux

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jeudi, 11 novembre 2010

ULTIME ASSAUT CONTRE LE BUNKER DE MACKY SALL

macky4-80x60.jpgDepuis que Macky Sall a boude la famille liberale,cette derniere ne cesse de chercher des poux et des cancrelats dans ses bagages.Les bleux ont essaye toutes sortes de combines,y compris le blanchiment d'argent,et meme des menaces de mort pour intimider Macky Sall.En vain,ils ne savent pas qu'ils sont entrain de travailler pour Macky et qu'ils vont tout droit vers le ravin.A cela vient s'ajouter ce qui les empechent de dormir:les sondages au niveau national et international qui creditent Macky d'une montee fulgurante vers le titre le plus convoite de la Nation:President de la republique.Un vrai cauchemar pour les Wades,Macky Sall est devenu une equation a trois inconnues dont la formule mort-nee "Wade formula" ne resoudra jamais.

 Ce qui s'est passe la semaine derniere a Bruxelles illustre a quel point les liberaux sont determines a barrer la route de Macky vers le sommet du pouvoir supreme.En effet, Doudou Wade et ses "Mbidou" Kalidou Diallo,Amadou Cire Sall et d'autres plus petits qui n'honnorent pas la republique ont concocter un plan mesquin pour diaboliser Macky Sall.Selon Doudou Wade Macky AURAIT dit que sa brouille avec Wade est due a son appartenance a l'ethnie Haal pulaar.Macky,tel que je le connais en homme intelligent,ne tiendrai jamais de tels propos.Quand j'etais tres jeune j'entendait souvent les gens dirent que le "wolof" n'existe pas.Alors j'ai demande pourquoi? On me dit que l'ancetre des wolofs est Ndiadiane Ndiaye et que son pere etait un Maure et sa mere une Haal pulaar du nom SALL (comme Macky).Il y a de cela a peu pres 40 ans que j'ai entendu cela.Le 31 Octobre 2010,j'ai entendu a la radio d'Alain Djiguel son invite du jour, un historien tradtionel nomme Oumar Seck,dire la meme chose de Ndiadiane Ndiaye,et il va plus loin en ajoutant que Cheikhna Ahmadou Bamba et El hadj Malick sont des descendants de Ndiadiane Ndiaye.Toute cette histoire prouve que le Senegal est une veritable famille unie seculairement.Ce n'est pas la frontiere qui nous unit mais de veritables liens de sang.Et celui qui veut le nier est un demon.Et pourtant c'est dans la seule bouche des wolofs qu'on entend des expressions comme "Sama naar bi","Sama toucouleur bi","Sama niack bi","Sama peulh bi"...Pourquoi? Un complexe.

 A Doudou Wade:Tout le monde sait que tu es le SHERIFF de la ville pour le MOMENT.Dans le passe tu avais intimider l'opposition par des assassinats politiques,pourtant personne ne t'a arrete et maintenant tu encourages l'arrestation de Macky Sall parce que tu as mis des mots dans sa bouche.Par la Grace de Dieu ressaisis toi,"lou euppou tourrou".Ils ne faut pas pousser les senegalais a la radicalisation,sinon nous n'hesiteront pas a des assassinats politiques.A bon entendeur salut.

 Aux "Mbidou" Sada Ndiaye,Kalidou Diallo,Amadou Cire Sall et d'autres qui n'honnorent pas la langue puular,cessez d'etre les marionettes de Wade,cessez d'etre des machins entre ses mains,"Ko ta66iowo en ndam",Wade est un PLUS GRAND DIVISEUR COMMUN (pgdc).IL vous monte contre votre famille pour le bonheur de son fils,il vous divise pour perpetuer son regne.Que Dieu ait pitie de vous.

 Au peuple senegalais et a la jeunesse senegalaise:formez des cellules APR dans vos quartiers,dans vos villages,multipliez ces cellules partout ou besoin sera jusqu'a ce que l'APR devienne le CANCER qui emportera le pds dans sa tombe.Amen.

 Daha Ngaido

 

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jeudi, 04 novembre 2010

L’ AGONIE DU PDS AU BENELUX ET DANS TOUTE LA DIASPORA

ousmane.jpgL’heureuse réalité pour tout patriote soucieux de l’avenir du Sénégal est que le PDS ne mobilise plus au Sénégal, et surtout dans la Diaspora. Ce déclin du PDS, parti au pouvoir constitue la période de grâce des vautours, c'est-à-dire de ces hommes in crédibles, dépourvus de toute dignité, de civisme, de patriotisme, irresponsables. Ces derniers profitent de l'impopularité, le rejet du parti au pouvoir par les sénégalais, pour demander beaucoup d'argent, sous prétexte d’organiser des meetings soit disant, pour remobiliser des militants fantômes. Il est triste de constater que ces honteuses et ignobles pratiques qui n’honorent pas un Etat républicain, se font au détriment des populations sénégalaises en proie à des souffrances et misères quotidiennes : cherté de la vie, pénurie des denrées de première nécessité, maisons inondées par les eaux usées , désarroi des paysans qui peinent à écouler leurs récoltes en bonne partie détruites par les pluies, surpeuplement des salles de classes qui menacent de s’écrouler sur les élèves, coupures fréquentes d’électricité jusque dans les hôpitaux, entraînant la mort des patients , des femmes en accouchement dans les salles d’opération, des nouveaux nés admis en crèche, morts qui pourrissent dans les morgues.

La Réalité des faits au Benelux

Durant le mois de mai 2010, le ministre des Affaires Etrangères venu au Benelux a voulu rencontrer les sénégalais de Belgique à l'hôtel Shératon. Il n'y avait que 8 (huit) sénégalais en plus de son neveu (casé actuellement à l'ambassade du Sénégal en Belgique) et du personnel de l'ambassade.

Ce 20 octobre 2010, le jeune Mamadou Massaly du PDS, faisait un rappel des troupes libérales à Anvers mais il n'avait enregistré que la présence deux personnes. Il a voulu profiter d'une rencontre organisée par Youssou Ndour à l’intention du public le surlendemain pour faire de la récupération politicienne. Cet expert en intoxication et manipulation est allé jusqu'à se payer la vidéo de la rencontre de Youssou Ndour avec la communauté sénégalaise. Il est certain qu'il détournera ces images à son profit exclusif et aura en retour des sucettes pour « bons et loyaux services » de la part son bienfaiteur le Président Abdoulaye WADE.
Les sénégalais de Belgique sont abasourdis d’apprendre par la presse que Massaly a tenu un meeting où il a tenu des propos déplacés en l’endroit des responsables de l’opposition, notamment Macky SALL.
 
Toujours en Belgique, les responsables du PDS et leurs acolytes ont proposé des terrains aux sénégalais du Benelux mais la rencontre fut un fiasco.
La cynique et monstrueuse stratégie du PDS: affamer, assoiffer, affaiblir pour s’imposer

Cette machiavélique stratégie du PDS a eu raison de la dignité de certains de la trempe de Issa Mbaye Sow et ses acolytes. Ce dernier proclame tout haut à Bruxelles qu'il est un militant de condition et non de conviction. Si le PDS, lui donne des millions, il fait du show pour eux et il sera prêt à faire un show pour un autre parti si les millions arrivent.
Cette attitude infâme de Issa Mbaye Sow de nationalité mauritanienne sur les papiers et qui vit des conditions très difficiles en Belgique ne nous surprend pas. Mais ce qui nous émeut surtout c’est qu’il vit de rentes politiques sur le dos des contribuables sénégalais.
Si le Président Abdoulaye Wade écoutait des personnes comme son chef de cabinet Pape Samba Mboup qui connaît tous ces opportunistes qui ne voteront d’ailleurs pas pour lui en 2012, il se garderait de jeter par la fenêtre l’argent des sénégalais en pure perte, car son projet de dévolution monarchique du pouvoir à son fils qui l’obsède tant ne passera jamais.

Ousmane War
Chargé de la Propagande et de l’Animation APR Benelux/émail : waralioune@yahoo.it
Leral.net



mercredi, 03 novembre 2010

RALLIEMENT AU PDS : Les jeunes de l’Apr de Belgique démentent

Depuis la dernière visite du ministre des affaires étrangères, Madické Niang, au mois de mai, la vie politique dans cette partie de l’Europe s’avére plus qu’agiter. En effet, on note une querelle entre militants du Pds et ceux de l’Apr. Si les responsables du mouvement de soutien dénommé « Dental Diappalé Wade en 2012 » basé à Bruxelles, soutiennent qu’il y a eu ralliement de plusieurs militants de l’Apr au Pds, dans un communiqué, Ousmane War, responsable des jeunes et chargé de la propagande au Benelux et ses amis ont affirmé le contraire et parlent de tentative de manipulations de la part de politiciens en quête de légitimité. macky.jpg

Après la France et l’Italie, l’axe Benelux (Belgique-Pays Bas-Luxembourg) demeure de plus en plus un enjeu électoral pour certains partis politiques. Ainsi, en quelques mois, plusieurs responsables y sont passés pour tenter de renforcer leurs bases en vue de l’élection présidentielle prochaine. Ousmane Tanor Dieng du parti socialiste, Cheikh Bamba Diéye du Fsd/Bj, le ministre des affaires étrangères, Madické Niang y compris plusieurs responsables du Pds. Si, lors d’un meeting tenu au mois de septembre dernier, le président du mouvement de soutien « Dental Diappalé Wade en 2012 », en l’occurrence Issa Mbaye Sow avait annoncé le ralliement au Pds de plusieurs militants du parti de Macky Sall en Belgique, réunis le week end passé, ses responsables établis dans la ville d’Anvers ont sorti un communiqué pour fustiger ce qu’ils appellent de la « manipulation » de la part de souteneurs en perte de vitesse, mus par des intérêts personnels.

A en croire, Ousmane War, responsable des jeunes par ailleurs chargé de la propagande : « l’évidence est que le Pds ne mobilise plus dans la diaspora, et c'est le temps des hommes inconséquents dépourvus de civisme qui profitent de l'impopularité du parti au pouvoir pour demander de l’argent pour faire des meetings afin de tenter une remobilisation des masses au détriment des populations sénégalaises qui croupissent actuellement dans les eaux pour des quotidiens d'enfer » laisse entendre l’ancien libéral. Dans leur communiqué, ils ont aussi dénoncé la « tentative de récupération » du secrétaire général des jeunesses Wadistes, Mamadou Massaly de passage en Belgique le 20 octobre dernier. A les en croire, ce dernier aurait tenté d’utiliser les images de la rencontre de Youssou Ndour à des fins de propagande. Ainsi, avec le meeting du 05 prochain pour soutenir la réélection du Président de la République Abdoulaye Wade à Bruxelles qui sera présidé par le député Doudou Wade, président du groupe parlementaire Libéral et Démocratique, c’est le syndrome « Sada Ndiaye » qui planerait sur la manifestation, selon les jeunes de l’Apr.

Bitimrew.net



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Pas d'exécution de l'Iranienne Sakineh ce mercredi

"pict_267795.jpgSakineh Mohammadi-Ashtiani n'a pas été exécutée aujourd'hui. L'heure des exécutions est maintenant passée, ce n'est donc pas pour aujourd'hui. Mais le danger perdure et cela peut arriver à tout moment".

Une Iranienne condamnée à mort par lapidation et que la communauté internationale tente de sauver est toujours en vie et ne devrait pas être exécutée ce mercredi en Iran, contrairement à ce que craignaient ses soutiens, a affirmé l'un d'eux à l'AFP.

"Sakineh Mohammadi-Ashtiani n'a pas été exécutée aujourd'hui. L'heure des exécutions est maintenant passée, ce n'est donc pas pour aujourd'hui. Mais le danger perdure et cela peut arriver à tout moment", a déclaré à l'AFP Mina Ahadi, porte-parole du Comité international contre la lapidation, basé en Allemagne, en citant des sources propres du Comité en Iran.

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