Agée de 43 ans, l'ex-top model et ex-chanteuse a déjà un fils âgé d'une dizaine d'années, dont le père est le professeur de philosophie RaphaëlEnthoven. De son côté, Nicolas Sarkozy, 56 ans, a trois fils, qu'il a eu avec ses deux épouses précédentes
jeudi, 30 juin 2011
Le président d’honneur du PIT a déclaré que de l’argent aurait été distribué hier à l’Assemblée nationale à certains membres du PDS (pouvoir) pour aller s’attaquer aux leaders de l’opposition et de la Société civile. Il s’est ensuite attaqué au président
Le président d’honneur du PIT a déclaré que de l’argent aurait été distribué hier à l’Assemblée nationale à certains membres du PDS (pouvoir) pour aller s’attaquer aux leaders de l’opposition et de la Société civile. Il s’est ensuite attaqué au président de la République qu’il met, par ailleurs en garde. «On vient de m’appeler pour me dire que dans une salle de commission de l’Assemblée nationale, il y a un défilé de gens venus pour recevoir de l’argent en vue de la constitution de milices ou de commandos chargés d’attaquer des maisons des leaders de l’opposition», a révélé Amath Dansokho au micro de sud fm (privée). Selon lui, ces pratiques sont une tradition au PDS qui veut mettre le pays en sang. «A l’heure actuelle, ils veulent ensanglanter le pays parce qu’Abdoulaye Wade ne peut pas démontrer que les violences qui sont en cours sont commanditées par la coalition de l’opposition Bennoo», a développé Amath Dansokh qui met en garde Me Wade. «Je le mets en garde. Le Bennoo le tient pour responsable de ce qui lui arrivera parce que c’est lui-même qui, en conclave au Palais, a déclaré «du dent pour dent et œil pour œil contre l’opposition». Ces déclarations d’Amath Dansokho ont été vite balayées du revers de la main par le Président du groupe parlementaire et démocratique. Selon Doudou Wade, «par cette déclaration, le président d’honneur du PIT reconnaît sa responsabilité dans les attaques contre certains membres du Pouvoir». En plus il accuse l’opposition de vouloir faire basculer le pays dans la violence.
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Karim Wade accuse gravement l'opposition sénégalaise.
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Comme Macky Sall, Gadio contre la monarchisation du Sénégal
Limogé après neuf ans à la tête du ministère des Affaires étrangères pour avoir contesté le scénario d'une succession orchestrée par Abdoulaye Wade au profit de son fils Karim, Cheikh Tidiane Gadio, 54 ans, va défier son ancien mentor lors de l'élection présidentielle de 2012.
Que vous inspire la virulence de la réaction de Karim Wade à l'annonce de votre candidature ?
J'ai accepté d'être le candidat du mouvement politique citoyen Luy Jot Jotna (1), car je m'oppose farouchement au projet dedévolution dynastique du pouvoir. En se représentant - illégalement - pour un troisième mandat en 2012, à près de 86 ans, Abdoulaye Wade réclame un plébiscite afin de placer ensuite son fils à la tête de l'Etat. Evidemment, ma candidature dérange ce projet.
Karim vous accuse d'avoir reçu de l'argent du leader libyen Mouammar Kadhafi. Que lui répondez-vous ?
A lui, rien. Il ne sait pas dire autre chose que: "Je vais te casser." Pour moi, Karim Wade n'existe pas car notre Constitution ne reconnaît pas le statut de "fils du président de la République". Le chef de l'Etat s'est d'ailleurs bien gardé d'entériner les affirmations mensongères de son rejeton. Pour autant, je suis préoccupé par le projet de coup d'Etat constitutionnel qu'Abdoulaye Wade prépare, comme l'atteste sa décision unilatérale d'instaurer un ticket président/vice-président et la possible suppression du second tour dès le scrutin de 2012. Pour ma part, j'ai lancé un appel à d'anciens responsables du Parti démocratique sénégalais, mouvance présidentielle (PDS), comme Macky Sall ou Idrissa Seck, mais aussi à d'autres leaders de l'opposition, tel Moustapha Niasse, afin que le premier tour soit une sorte de "primaires" à l'américaine.
Quelles sont vos chances réelles de remporter un éventuel ballottage ?
Il y a une désaffection envers les partis traditionnels au Sénégal comme dans toute l'Afrique. Je constate que Macky Sall ratisse sur le terrain tandis que je rallie chaque jour les suffrages des cadres et des bataillons de jeunes et de femmes, qui en ont assez que l'on manipule les institutions du pays à des fins personnelles. En cela, l'élection de 2012 marquera une vraie rupture générationnelle.
Vous promettez une paix définitive en Casamance. Comment y parvenir ?
Le président Wade avait promis, après son élection de 2000, de faire la paix "en cent jours" en Casamance; il a lamentablement échoué. Moi, j'ai l'intention de travailler avec tous les Sénégalais. Au lieu d'un "M. Casamance" que l'on dépêche avec des valises de billets, je propose la réconciliation de toutes les parties au conflit, l'amnistie et la réinsertion des combattants ainsi qu'un programme prioritaire de reconstruction économique de cette région, si prometteuse malgré le conflit qui la mine depuis près de trente ans.
Pourquoi réussiriez-vous là où vos prédécesseurs ont échoué ?
C'est là où mon expérience aux Affaires étrangères peut faire la différence. Jamais, dans aucune des médiations où j'ai été impliqué - Côte d'Ivoire, Madagascar, Mauritanie, Tchad-Soudan -, je n'ai lâché avant d'avoir obtenu gain de cause. Je veux mettre cette ténacité au service de mon pays.
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mercredi, 29 juin 2011
Abdoulaye wade Je ne serai pas candidat à l'élection en 2012 la constitution ne me le permet pas
22:14 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : wade, présidentielles 2012, sénégal | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 27 juin 2011
Wade: « Je ne marcherai pas sur des cadavres pour sortir du palais »
(AfriSCOOP Dakar) — Le président Wade a évoqué pour la première fois sa sortie. Il la souhaite pacifique. Il est dans l’inconfort après la dure journée qu’il a vécu jeudi passé marquée par une révolte des populations qui l’a contraint à retirer son projet de loi qui devait instaurer une vice présidence et supprimer le minimum bloquant à l’élection présidentielle.
Par Macoumba BEYE, La Rédaction AfriSCOOP à Dakar ©
« Je ne marcherai pas sur des cadavres pour sortir du palais. » C’est la principale réaction du président sénégalais selon le journal l’Observateur sur les manifestations de jeudi dernier dans presque toutes les grandes villes du pays. Avant son élection il disait qu’il ne marcherait jamais sur des cadavres pour entrer au palais. Au-delà de sa disposition à privilégier le dialogue et les solutions pacifiques, la phrase trahit une certaine confiance affichée par le président Wade. Il a récemment dit qu’il ne parlait plus de 2012 mais de 2019, considérant que la prochaine présidentielle était pliée. Pour la première fois le président Wade évoque son départ.
Les manifestations de jeudi, qui ont dicté le retrait du projet de loi, ont plongé le président et son camp dans un grand embarras. Il a demandé à son Premier ministre ce qu’il pensait de la démission du gouvernement réclamée par certains dont des membres de la majorité. Le Premier ministre lui aurait dit qu’ « une démission nous affaiblirait » selon la presse. Cet après midi, il a consulté plusieurs membres de son parti et va poursuivre les réunions avec ses alliés ce dimanche. Il avait déjà dit qu’il ne subirait pas seul une telle déconvenue.
Plusieurs personnalités de son camp ont dénoncé son attitude sur le projet de loi qu’il leur a caché jusqu’à la dernière minute pour le leur envoyer en procédure d’urgence. Le président de la commission des lois de l’assemblée nationale dont le domicile et le véhicule ont été incendiés a dit que désormais « les députés ne vont plus voter les yeux fermés. » Il a déploré le manque de respect du président qui ne les consulte pas assez. Il a indiqué que Wade a depuis jeudi une « majorité éclatée et frustrée. »
L’opposition a exploité le contexte pour faire de la lutte du peuple un « mouvement du 23 juin 2011 » dès le lendemain du retrait du projet de loi controversé. L’opposition et la société civile qui se retrouvent dans le mouvement met la pression sur Wade pour qu’il retire sa candidature.
Les responsables du mouvement exigent aussi le départ des ministres de la Justice, de l’Intérieur et des infrastructures, de la coopération internationale, des transports aériens et de l’énergie, qui est le fils du chef de l’état Karim Wade. Un membre de l’opposition et ancien collaborateur de Wade lui a demandé de ne plus engager la nation dans une décision importante et se borner à gérer les affaires courantes du pays pour les huit mois avant la présidentielle. Il demande que cela soit notifié par l’opposition aux bailleurs et partenaires du Sénégal.
Depuis son élection, Abdoulaye Wade n’a jamais été dans une aussi inconfortable position. Beaucoup dans son parti réfléchissent déjà sur ce qui va se passer après lui. Dans leurs interventions on sent des libertés et critiques qui n’ont jamais été exprimées pendant qu’il avait le choix sur toutes les décisions. Beaucoup de sénégalais qui souhaitent qu’il s’exprime devant la nation ne se doutent plus que son crépuscule est arrivé mais se demandent seulement comment le vieux lion va poser genou sur terre.
10:38 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : wade, sénégal, mouvement du 23 juin | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 23 juin 2011
Contre le ticket présidentiel : Les Sénégalais décrètent le mercredi rouge avant le jeudi noir
10:51 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abdoulaye wade, manifestations, ticket presidentiel, dakar, senegal | del.icio.us | Facebook | | |
mercredi, 22 juin 2011
Présidentielle sur ticket : "Bennoo" boude le comité de veille du fichier électoral
La principale coalition de l’opposition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) a décidé mardi de suspendre ses activités dans le comité de veille du fichier électoral, pour protester contre un projet de réforme du scrutin présidentiel, a constaté un reporter de l’APS.
Jeudi dernier, le gouvernement sénégalais a adopté un projet de loi instituant une élection sur ticket du président et d’un vice-président de la République. Le texte est à l’examen à l’Assemblée nationale et son vote devait intervenir incessamment.
‘’Ce projet de loi peut avoir des incidences sur le système électoral’’, a déclaré le socialiste Serigne Mbaye Thiam qui, avec Ousmane Badiane, sont les plénipotentiaires de "Bennoo" dans le Comité de veille et de suivi des recommandations de la mission d’audit du fichier électoral.
De son côté, le président dudit comité, Abdou El Mazide Ndiaye, a estimé que ce projet de réforme du scrutin présidentiel est porteur de ‘’conséquences graves sur le comité de veille dès lors que la suspension par Bennoo de ses activités peut saper le consensus au sein du comité de veille’’.
Les membres du Comité de veille et de suivi des recommandations de la mission d’audit du fichier électoral organisaient une conférence de presse mardi.
En dehors de l’opposition, plusieurs segments de la société civile sénégalaise s’opposent au projet de loi instituant une élection sur ticket du président et d’un vice-président de la République. La prochaine présidentielle est prévue dans huit mois, le 26 février 2012.
Mardi, le député Cheikh Bamba Dièye a boudé une séance parlementaire d’examen du projet du gouvernement soumis aux députés, pour aller s’enchaîner aux grilles du siège du Parlement du Sénégal, en signe de protestation.
Lundi après-midi, la police a procédé à des interpellations de manifestants à Dakar, dont M. Dias, suite à la marche de protestation improvisée au centre-ville de Dakar par des jeunes opposés au projet gouvernemental de réforme institutionnelle.
Adopté en conseil des ministres, jeudi dernier, le texte est à l’examen à l’Assemblée nationale pour son vote qui doit intervenir incessamment, ont indiqué divers partisans du régime du président Abdoulaye Wade
10:32 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sénégal | del.icio.us | Facebook | | |
Sénégal: le tripatouillage de la constitution continue
10:28 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sénégal, wade, contitution | del.icio.us | Facebook | | |
dimanche, 12 juin 2011
Macky Sall en Belgique et au Luxembourg les 25,26 et 27 juin 2011
01:03 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : macky sall | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 02 juin 2011
Sénégal: la police tire sur la population à Sangalkam, Malick Bâ est tué gratuitement
12:01 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : banditisme politique | del.icio.us | Facebook | | |
Les représentants du gouvernement sénégalais chahutés au consulat de Paris
11:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, sénégal, diaspora | del.icio.us | Facebook | | |
mardi, 24 mai 2011
BELGIQUE : Les proches d’Aminata Lô et de Pape Saer Guèye se déchirent
(BITIMREW.NET) : La crise couve au sein des libéraux de Belgique. La section dirigée par Mayacine Diouf et de Sékouba Faty, proche du ministre Aminata Lo Dieng, ont fait une sortie au vitriol ce dimanche pour dénoncer la désignation par l’ambassadeur Pape Saer Guèye de Pape Mbodji comme représentant du parti libéral dans le Benelux. A cet effet, les membres de la section d’Anvers parlent de manipulations exercées à l’insu du secrétaire général national et du bureau politique du Pds. A en croire, Sékouba Faty, si le bureau politique ne met pas un terme à ces agissements, les libéraux d’Anvers voteront le Pds à l’élection présidentielle de 2012. Toutefois, interrogé Papis Kane, secrétaire général de la section Pds de Bruxelles, apporte une autre version. En marge du passage, la semaine dernière, de la commission itinérante pour l’inscription sur les listes électorales pour les sénégalais de la diaspora, la section Pds d’Anvers a fait face à la presse pour dénoncer une cabale montée par l’ambassadeur Pape Saer Guèye ayant conduit à déstabiliser le Pds dans le Benelux qui se retrouve aujourd’hui avec trois tendances. A en croire Sekouba Faty, vice coordonnateur de la section Pds d’Anvers : « Pape Saer Guèye, qui n’a jamais mis les pieds sur le sol belge pour les sénégalais, a nommé, à l’insu des autorités du parti Pape Mbobji comme représentant dans le Benelux. Avec ces agissements, ils sont en train de créer des divisions profondes au sein du Pds. Car, il est connu de tous que Pape Mboji n’est pas représentatif. Et la section Pds d’Anvers réclame plus que jamais son autonomie et conteste ce choix dangereux pour l’avenir du parti » laisse t-il entendre. Pour lui, la section locale du Pds dirigée par Mayacine Diouf et Massata Diallo a déployé les moyens pour prendre en charge tous les aspects liés au bon déroulement des inscriptions sur les listes électorales à Anvers (location de salle, hébergement, assistance technique, sensibilisation et mobilisation). Selon Faty : « nous avons fait cela en tant qu’organisation du Pds visant à soutenir la réélection du candidat Abdoulaye Wade en 2012. Cependant, il y a eu des couacs parce que l’ambassadeur Pape Saer Guèye tente de combattre Aminata Lo en passant par les militants de Belgique ». En réalité, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase est la lettre signée par Pape Saer Guèye et arrivée par valise diplomatique à l’ambassade du Sénégal à Bruxelles et qui attribue la représentation libérale dans le Benelux à Pape Mboji. Pour le sieur Faty, les membres de la section Pds d’Anvers ne reconnaissent pas le représentant désigné par Pape Saer Guèye qui, selon eux, n’est jamais venu s’enquérir de la situation des sénégalais voire du parti en Belgique. Donc, pour eux « il est en train de porter un grand préjudice au Pds car Pape Mbodji doit s’occuper de sa base à Bruxelles. Il ne peut pas venir nous diriger à Anvers qui regroupe 50% des électeurs du Benelux » affirme l’autre responsable de la section Massata Diallo. Toutefois, selon eux, si la situation persiste avec le choix de Pape Mbodji qui ne serait pas légitime, tous les libéraux d’Anvers menacent de voter en 2012 contre le Pds qui perdra l’élection présidentielle dans le Benelux. C’est pourquoi : « nous interpellons le secrétaire général national sur cette situation grave qui fait que le Pds est aujourd’hui divisé en trois sections en Belgique » fait remarquer le sieur Faty. Mais, joint au téléphone, le sieur Papis Kane, proche de Pape Mbodji, secrétaire général de la section Pds de Bruxelles accuse les libéraux d’Anvers à qui il reproche une passivité. « Ces derniers ne sont motivés que par l’argent. Ils ne s’occupent pas des anversois. Depuis 2007, ils n’ont mené aucune activité pour le parti. Pape Saer Guèye ne peut pas signer une lettre à l’insu de Maitre Wade. Donc, Pape Mbodji est légitime » laisse t-il entendre.
Avec Jamil THIAM en Belgique
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Sénégal:Le corrupteur contre le corrompu
Le premier ministre et directeur de campagne du président Wade Souleymane Ndéné Ndiaye a déclaré récemment que pendant tout le temps que Landing Savané était allié de la majorité présidentielle, «il recevait 30 millions de FCFA qu’il n’a jamais partagé avec son parti».
Ces accusations dirigées contre Landing Savané remettent au grand jour la vulnérabilité de nos hommes politiques et surtout l’attitude insolente de nos autorités étatiques face à l’utilisation des deniers publics. Il est vrai que le financement des partis alliés de Wade à travers leurs leaders est un secret de polichinelle. Mais ce que Souleymane Ndéné Ndiaye a oublié, c’est qu’en accusant Landing Savané d’avoir été financé par Wade, il est en train de révéler sans vergogne les méthodes peu orthodoxes de l’Etat qui utilisent les biens de la communauté pour entretenir sa cour. Dans ce genre d’histoire le corrupteur n’est t-il pas pire que le corrompu ? La réponse coule de source ! Ndéné, son chef et ses amis ont violé les règles de la transparence et de la bonne gouvernance en soutirant de l’argent des caisses de l’Etat pour « arroser » des leaders sans idéal politique. Pire, au moment où les sénégalais n’ont plus le minimum vital pour survivre, cette histoire est de trop dans la coupe trop pleine de colère du pauvre contribuable. En voulant mouiller Landing Savané, l’Etat a mis à nu son manque de respect et de considération pour le peuple qui trinque face aux errements du gouvernement, causés en grande partie par la mal gouvernance. L’enjeu dans cette affaire c’est n’est pas l’information sur l’argent qu’aurait perçu Landing Savané mais c’est avant tout la banalisation de pratiques mafieuses de l’Etat qui n’honorent pas notre République. Comment nos autorités peuvent indignement se targuer d’être des champions corrupteurs en voulant jeter l’opprobre sur l’autre ? Et comment on en arrive à une situation où une certaine presse semble s’attarder plus sur la victime que sur le bourreau? Dans cette affaire c’est l’Etat qui est mis en cause et le fait de mettre en exergue le contraire montre à quel point les pratiques malsaines de nos autorités sont finalement devenues banalisées à cause de leurs persistances. Les cas de dérives du régime de Wade qui se sont multipliés ont malheureusement provoqués la perte de notre capacité d’indignation et notre vigilance pour situer les enjeux et les vraies responsabilités. Que nul ne se trompe de cible, c’est sans nul doute le gouvernement qui est au banc des accusés dans cette sombre affaire. Et Landing Savané qui ne serait qu’un complice est déjà sanctionné par l’histoire. Dans cette affaire le vrai coupable court toujours ...
analyste.com
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jeudi, 19 mai 2011
D'un rêve de Président de France au réel Prisonier
JUSTICE - Dans une lettre au conseil d'administration du Fonds monétaire international...
Dominique Strauss-Kahn a démissionné ce jeudi de ses fonctions de directeur général du Fonds monétaire international (FMI), et a affirmé dans une lettre au conseil d'administration être innocent des faits pour lesquels il est incarcéré. «Dominique Strauss-Kahn a informé aujourd'hui (jeudi) le conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI) de son intention de démissionner de son poste de directeur général avec effet immédiat», a indiqué l'institution de Washington dans un communiqué publié peu après minuit (6h, heure de Paris).
Le FMI a joint une lettre dans laquelle DSK explique ses raisons. «C'est avec une infinie tristesse que je me sens contraint de présenter au conseil d'administration ma démission de mon poste de directeur général du FMI», a-t-il écrit dans ce courrier. «Je tiens à dire que je nie avec la plus grande fermeté possible toutes les allégations qui ont été faites contre moi. Je veux protéger cette institution que j'ai servie avec honneur et dévouement, et en particulier, je veux consacrer toute ma force, tout mon temps, et toute énergie à prouver mon innocence», a-t-il ajouté.
L'intérim assuré par Lipski
Le FMI précise qu'il communiquera prochainement sur le processus de sélection d'un nouveau directeur général. L'intérim sera assuré par le numéro deux de l'institution, John Lipsky. La succession de DSK a été, ces derniers jours, au coeur des préoccupations de beaucoup de dirigeants, qui jugeaient sa situation incompatible avec l'exercice de sa fonction.
Dominique Strauss-Kahn avait pris ses fonctions en novembre 2007 pour un mandat de cinq ans. Samedi, il a été interpellé dans un avion à l'aéroport de New York pour une affaire de crime sexuel, une femme de chambre d'un hôtel où il avait passé la nuit l'accusant de l'avoir agressée sexuellement et d'avoir tenté de la violer. Ses avocats ont déposé mercredi une demande de mise
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mercredi, 18 mai 2011
Nicolas Sarkozy attend un bébé
Agée de 43 ans, l'ex-top model et ex-chanteuse a déjà un fils âgé d'une dizaine d'années, dont le père est le professeur de philosophie RaphaëlEnthoven. De son côté, Nicolas Sarkozy, 56 ans, a trois fils, qu'il a eu avec ses deux épouses précédentes
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lundi, 16 mai 2011
ANNE SINCLAIR femme de DSK : "JE NE CROIS PAS UNE SEULE SECONDE AUX ACCUSATIONS"
Sa femme, Anne Sinclair, a réagi par le biais d'un communiqué à l'AFP dimanche après-midi : "Je ne crois pas une seule seconde aux accusations qui sont portées contre mon mari. Je ne doute pas que son innocence soit établie", écrit-elle dans un bref communiqué, avant d'appeler "chacun à la décence et à la retenue".
La classe politique française, notamment les responsables socialistes, s'est montrée extrêmement prudente quant à la situation et à l'avenir politique de Dominique Strauss-Kahn. Une forme de sidération s'est ainsi emparé des responsables de droite et de gauche. "J'en appelle à chacun à attendre la réalité des faits et à respecter la présomption d'innocence, à tous à garder la décence nécessaire", a déclaré Martine Aubry. La première secrétaire du PS demande aux socialistes "de rester unis et responsables." Ségolène Royal est d'accord : "tout reste à vérifier" estime la présidente de la région Poitou-Charentes. François Hollande appelle lui aussi à "la retenue". A droite, si certains se réjouissent en privé de ce cataclysme dans le ciel socialiste, la plupart des responsables ont également fait preuve d'une grande prudence. Une attitude encouragée par l'Elysée et son porte-parole François Baroin. Seules quelques voix se sont élevées publiquement comme Jacques Attali ou Christine Boutin pour évoquer une manipulation.
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DSK: Que c'est pas beau
- Dominique Strauss-Kahn, inculpé "d'agression sexuelle, de séquestration de personne et de tentative de viol", a quitté en menottes le commissariat de Harlem où il était en garde à vue depuis près de 30 heures. Il comparaîtra, lundi matin, en audience préliminaire, selon ses avocats. Il a accepté de se soumettre à "un examen médical corporel", notamment des recherches d'ADN sur ses vêtements. Ses avocats affirment qu'il plaidera "non-coupable" et se défendra "vigoureusement" contre les accusations.
- Toutes la journée, les réactions se sont succédées au sein de la classe politique française, oscillant entre choc (Martine Aubry ayant parlé de "coup de tonnerre"), appels au respect de la présomption d'innoncence (notamment au PS mais aussi au sein du gouvernement sur ordre de Nicolas Sarkozy) et dénonciations d'un acte entâchant l'image de la France sur la scène internationale.
- Le FMI a d'ores-et-déjà annoncé que son numéro 2, John Lipsky, allait prendre la tête du Fonds le temps de l'absence de DSK. Une réunion extraordinaire à ce propos, prévue dimanche, a été reportée à lundi.
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mercredi, 04 mai 2011
Ben Laden n'était pas armé pendant l'assaut d'Abbottabad
WASHINGTON (Reuters) - Oussama ben Laden n'était pas armé lorsque les commandos américains ont fait irruption dans sa cache du Pakistan, a révélé mardi la Maison blanche, mais le chef d'Al Qaïda a opposé une résistance avant d'être abattu.
Au lendemain d'informations contradictoires, voire fausses dans certains cas, fournies par des responsables américains sur les circonstances de la mort de Ben Laden dans la nuit de dimanche à lundi au Pakistan, le porte-parole de la Maison blanche Jay Carney est venu donner à la presse une version plus officielle et détaillée de l'opération.
Il a repris une expression employée par un journaliste, "le brouillard de la guerre", pour justifier le caractère confus de la communication sur le sujet dans les premières heures qui ont suivi l'événement.
"Sur ordre du président, une petite équipe américaine a pris d'assaut un complexe sécurisé dans un faubourg aisé d'Islamabad afin de capturer ou tuer Oussama ben Laden", a-t-il déclaré, lisant un texte préparé par le département de la Défense.
Les commandos ont découvert trois familles, dont celle de Ben Laden, dans deux bâtiments distincts du complexe. Certains ont évacué le premier bâtiment où vivait une des trois familles, d'autres sont entrés par le rez-de-chaussée de la maison de Ben Laden, où vivait une autre famille.
Les forces spéciales américaines y ont tué deux "courriers" de Ben Laden ainsi qu'une femme, "tuée dans les échanges de feu", a déclaré Carney, corrigeant une précédente affirmation de Washington selon laquelle cette femme avait été utilisée comme bouclier humain.
Dianne Feinstein, présidente de la commission sénatoriale du Renseignement, a indiqué que cette femme était peut-être l'épouse d'un des messagers du chef d'Al Qaïda.
UNE "RÉSISTANCE TRÈS VIVE"
Les commandos ont découvert Ben Laden et ses proches aux premier et deuxième étages du bâtiment.
Selon le porte-parole de la présidence américaine, l'épouse d'Oussama ben Laden "s'est précipitée au-devant des membres du commando" et a été blessée à la jambe. Elle n'a pas été tuée, contrairement à ce qu'avait affirmé lundi un responsable de la Maison blanche.
Le porte-parole de la présidence a refusé de fournir des précisions supplémentaires sur le comportement d'Oussama ben Laden pendant l'assaut. Résister ne requiert pas nécessairement une arme à feu, a-t-il pris soin de préciser. "Des détails supplémentaires seront fournis dès qu'ils seront disponibles."
Interrogé dans l'émission "NewsHour" de la chaîne publique PBS, le directeur de la CIA Leon Panetta a déclaré qu'il n'y avait eu aucune communication verbale entre Ben Laden et les commandos.
"Pour être honnête, je ne pense pas qu'il a eu beaucoup de temps pour dire quoi que ce soit", a-t-il dit.
"Il y a eu des gestes menaçants qui ont clairement représenté une vraie menace pour nos hommes et c'est pour cette raison qu'ils ont tiré", a-t-il ajouté.
Durant le raid, qui a duré 40 minutes, les commandos des "Navy Seals" (l'élite de l'élite des forces américaines) ont été confrontés à des tirs.
"Nous nous attendions à une résistance très vive et c'est ce qui s'est passé. Il y avait beaucoup de gens armés dans le complexe", a dit Jay Carney.
Il a ajouté que la disparition de l'"ennemi public n°1" des Etats-Unis depuis les attentats du 11 septembre 2001 ne modifierait en rien le calendrier de retrait des forces américaines d'Afghanistan, qui doit débuter en juillet.
Jay Carney a expliqué les changements de versions des responsables américains sur le déroulement de l'opération par la "grande hâte" avec laquelle Washington a fourni des informations dans le but d'informer le public américain.
"A l'évidence, certaines informations sont parvenues par petits bouts et elles ont été réexaminées et mises à jour", a-t-il déclaré.
Les membres de la famille Ben Laden ont été pris en charge par les autorités pakistanaises, et c'est au Pakistan de déterminer leur sort, a encore précisé Jay Carney.
Avec Caren Bohan; Jean-Loup Fiévet et Jean-Stéphane Brosse pour le service français
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mardi, 03 mai 2011
Carla Bruni: "Je ne réponds pas aux questions de famille"
La semaine passée, le magazine Closer annonçait la grossesse de Carla Bruni, faisant témoigner une « source très proche du couple ». Malgré un démenti de la maman de l’ancien mannequin, la directrice Laurence Pieau n’en a pas démordu, expliquant au Parisien :
« Nous ne l’aurions pas divulgué sans en avoir la certitude totale. (…) Nous n’avons pas appelé l’Élysée pour vérifier parce que, de toute façon, on ne nous aurait pas répondu. Nous étions certains de nos informations. Elles étaient recoupées par différentes sources », ajoutant même qu’elle en était à « son troisième mois de grossesse ».
La semaine passée, le magazine Closer annonçait la grossesse de Carla Bruni, faisant témoigner une « source très proche du couple ». Malgré un démenti de la maman de l’ancien mannequin, la directrice Laurence Pieau n’en a pas démordu, expliquant au Parisien :
« Nous ne l’aurions pas divulgué sans en avoir la certitude totale. (…) Nous n’avons pas appelé l’Élysée pour vérifier parce que, de toute façon, on ne nous aurait pas répondu. Nous étions certains de nos informations. Elles étaient recoupées par différentes sources », ajoutant même qu’elle en était à « son troisième mois de grossesse ».
Interviewée par des lecteurs du Parisien, la femme de Nicolas Sarkozy en a profité pour mettre les choses au clair… ou plutôt nous embrouiller. Ainsi, lorsqu’on lui a demandé très simplement si elle attendait un bébé, elle a répondu :
« C’est gentiment demandé. Si vous me le permettez, je ne répondrai pas à toutes ces questions de famille. J’ai un petit garçon aussi : je ne réponds pas sur mon petit garçon. Si on était au café toutes les deux, je vous le dirais franchement ». La raison de ce silence ? Sa position de Première Dame de France. En effet, Carla ne voudrait pas voler la vedette à son mari dont les actions méritent bien plus d’attention que sa vie privée :
« A peu près 180 % du temps de mon mari est pris par son pays. Il ne parle que de ça. Il ne fait que ça. Il est obsédé par ça. Malheureusement pour moi, bien heureusement pour tout le monde (rires) ! Lorsque moi, je parle d’autre chose, ça prend le pas sur tout ce qu’il fait. (…) Je suis bouche cousue pour protéger quelque chose et pour protéger tout le travail qu’il fait. Parce qu’il y a les journaux qui ne s’intéressent qu’à ça, ce qui est normal. Moi aussi, quand je lis des choses sur la vie des autres, ça m’intéresse (rires). (…) J’aimerais bien être plus tranquille avec ces questions-là. Mais c’est la fonction de mon mari qui multiplie les choses par 100 000 et qui fait d’une espèce de petit poisson une baleine », a-t-elle expliqué. On doute que ces arguments soient suffisants pour faire taire les rumeurs….
AP - Starlounge
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