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samedi, 08 novembre 2014

Manifestation nationale à Bruxelles

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jeudi, 06 novembre 2014

Sarkozy: «Hollande est mal fagoté, il mange des frites...»

Dans un livre qui paraît mercredi, il apparaît que l'ancien président est aussi cruel pour son successeur que pour certains membres de son camp.

 

Nicolas Sarkozy n’épargne pas son vainqueur de 2012 François Hollande, mais guère davantage ses camarades de l’UMP, à lire les confidences distillées pendant deux ans et demi à deux journalistes du Parisien-Aujourd’hui en France. Dans un livre de 271 pages publié mercredi et intitulé Ça reste entre nous, hein ? (Flammarion), Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel livrent ce qu’ils présentent comme le contenu de conversations régulières. Elles ont eu lieu principalement au «77» (rue de Miromesnil, à Paris, dans les bureaux de l’ex-président) «à plusieurs reprises, jamais moins de deux heures, le plus souvent en tête-à-tête». Florilège.

Sur François Hollande

En 2017, «ce sera Hollande. Ceux qui pensent qu’un autre a sa chance n’ont rien compris au fonctionnement des institutions» (avril 2014)

Relations franco-allemandes ? «Hollande n’est qu’un amateur»

Photos estivales au Fort de Brégançon : «C’est les Bidochon en vacances»

«La seule chose que Hollande sait faire, c’est prendre les ministres dans sa main et les tuer» (janvier 2014)

«Il est mal fagoté, il mange des frites, quand on fait un métier public, il faut faire attention» (avril 2014)

Après les photos en casque : «Hollande, c’est le président ridicule»

Sur Valérie Trierweiler

«Je l’ai toujours trouvée sotte et prétentieuse» (janvier 2014)

«Ce n’était pas une très bonne journaliste politique et pas une très bonne journaliste culturelle non plus» (janvier 2014)

Sur Manuel Valls

«Valls candidat ? N’importe quoi… A la limite, Taubira aurait plus de chances que lui à gauche» (janvier 2014)

«Il devrait porter des lunettes, il a le regard fuyant», «il fait un peu illuminé» (avril 2014)

Comme ministre de l’Intérieur, «il y a une différence fondamentale entre lui et moi: il n’a aucun résultat»

Sur son parti

«A l’UMP, tous des cons»

Sur François Fillon

«Un loser»

«Il paraît qu’il a (...)

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mercredi, 05 novembre 2014

Obama perd la majorité au Congrès après la victoire des républicains au Sénat

La fin de mandat de Barack Obama s'annonce compliquée. Les républicains se sont emparés, mardi 4 novembre, de la majorité au Sénat américain lors des élections de mi-mandat, annoncent les médias américains. Il s'agit d'un sérieux revers pour les démocrates, car le camp républicain détient désormais au moins 51 des 100 sièges du Sénat et conserve, par ailleurs, le contrôle de la Chambre des représentants, scellant sa mainmise sur le Congrès des Etats-Unis.

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mardi, 04 novembre 2014

Burkina Faso : la France reconnaît avoir aidé à la fuite du président Compaoré

François Hollande a affirmé, lundi, que l'Etat avait permis "sans y participer" l'évacuation "sans drame" du président démissionnaire.burkina faso

Blaise Compaoré, l'ancien président du Burkina Faso, contraint à la démission et à la fuite face à un mouvement de contestation populaire, a été évacué « sans drame » avec l'aide de la France. En déplacement au Canada, François Hollande a reconnu que la France, très discrète depuis le début de la crise politique dans ce pays, a contribué « sans y participer » à son transfert vers la Côte d'Ivoire, où il est réfugié depuis vendredi.

Le président français est ainsi sorti de la discrétion caractérisant l'attitude française depuis le début de la crise au Burkina. « Dès le début de cette crise, la France a joué son rôle et mis en garde » M. Compaoré, a affirmé le chef de l'Etat, en soulignant lui avoir conseillé par écrit de « ne pas engager la révision de la Constitution » pour se maintenir au pouvoir après vingt-sept ans, qui lui a finalement coûté son poste.

Quinze jours pour rendre le pouvoir aux civils

Dès vendredi soir, des militaires, menés par le lieutenant-colonel Isaac Zida avaient pris le pouvoir et s'étaient installés dans le palais présidentiel de Ouagadougou. Adoubé par les militaires mais contesté par une partie de la rue, il a assuré qu'il voulait mener une transition démocratique « dans un cadre constitutionnel », laissant entrevoir qu'un civil – et non plus un militaire – pourrait prendre la tête de la transition. Mais il s'est bien gardé de communiquer un calendrier.

Lundi soir, l'Union africaine – réunie pour un conseil de paix et de sécurité en Ethiopie – s'est, elle, chargée de fixer une date butoir, donnant quinze jours aux forces armées pour rendre le pouvoir aux civils, faute de quoi elle imposerait des sanctions.

François Hollande, lui, a mis en garde le nouveau pouvoir militaire, estimant que « c'est au pouvoir civil » d'organiser les élections. « La France appelle tous les acteurs à poursuivre leurs consultations afin de mettre en place dans les meilleurs délais une solution qui s'inscrive dans le cadre constitutionnel du Burkina Faso », a ajouté, dans un communiqué, le Quai d'Orsay.

Quelque 3 500 Français résidents au Burkina Faso – la plus importante communauté étrangère dans ce pays –, une quarantaine de filiales d'entreprises françaises y sont présentes dans la plupart des secteurs de l'économie, et Paris est son principal bailleur de fonds. En outre, le Burkina est une pièce importante dans le dispositif militaire de lutte antiterroriste au Sahel Barkhane.

Diplomatie économique en France : Le Consulat Général à Lyon reçoit le monde des affaires sénégalais et du Rhône-Alpes

Le Consulat Général du Sénégal à Lyon en collaboration avec l’Ambassade du Sénégal à Paris organise ce vendredi 31 octobre une importante rencontre économique intitulée « Journée Sénégalaise ». Elle sera présidée par Monsieur Abdoulaye Diouf Sarr, Ministre du Tourisme et des Transports aériens. Consulat général du Sénégal à Lyon
En effet, cette « Journée Sénégalaise » réunira les autorités sénégalaises accompagnées de chefs d’entreprises venus de Dakar et des investisseurs Lyonnais. Des retombées probantes sont attendues au terme de cette journée d’échanges économiques si l’on sait qu’à en croire le Consul Général Son Excellence Monsieur Alioune Diop, organisateur de cette initiative, que Lyon demeure la première ville industrielle de France.
Conscient de l’enjeu, le Consulat Général du Sénégal à Lyon, pendant près d’une année, a travaillé en parfaite synergie avec le Bureau Economique de l'Ambassade  du Sénégal à Paris dirigée par Son Excellence Monsieur Paul Badji y compris avec  la Chambre de Commerce Internationale du Rhône- Alpes et les Réseau des Entreprises ERAI de la même région pour aboutir à cette journée sénégalaise qui va être décisive dans le cadre de la coopération économique entre la France et le Sénégal. Rappelons qu’au cours de ces deux dernières années, cette diplomatie économique pointue menée par l’Ambassade du Sénégal à Paris et le Consulat Général du Sénégal à Lyon a  permis l’arrivée au Sénégal de plusieurs investisseurs privés de qualité dans divers secteurs de l’économie. Ce qui vient naturellement appuyer les grandes initiatives du Président de la République Macky Sall dans son ambition de hisser le Sénégal au sommet de l’émergence. C’est pourquoi, 
dans le même sillage, cette journée cruciale sera accompagnée par les membres de la communauté sénégalaise  de Lyon soucieux des opportunités à tirer d’une telle rencontre pour leur pays d’origine.

Jamil Thiam 

lundi, 03 novembre 2014

"On ne peut pas laisser le MR seul dans les mains des néerlandophones"

L'ancienne vice-Première ministre Joëlle Milquet (cdH) estime lundi, dans La Libre Belgique et La Dernière Heure, que le MR doit accepter de s'ouvrir à l'opposition francophone à la Chambre sous peine d'être broyé par la N-VA. "On ne peut pas laisser le MR seul dans les mains des néerlandophones qui font des réunions entre eux avant chaque réunion", affirme-t-elle ainsi.1395495.jpg

Pour la vice-Présidente de la Fédération Wallonie-Bruxelles, les francophones ne sont "absolument" pas respectés dans la coalition fédérale actuelle. "On a donné les clefs de la maison Belgique à la N-VA dans des postes dangereux tels que l'Intérieur. Comme ancienne ministre de l'Intérieur, je suis bien placée pour savoir tout ce qu'on peut y faire de dangereux... Mais il y a aussi la Migration, l'Armée, les Finances... Oui, la N-VA contrôle l'armée et la police! Toute la politique sociale et toute la politique économique sont aussi dans les mains néerlandophones. Les francophones ont les miettes, avec un Premier ministre qui n'a pas de compétences. Dans ce gouvernement, il y a donc une minorisation grave et dangereuse des représentants des francophones, c'est-à-dire le MR pour le moment."

Vendredi déjà, le président du cdH Benoît Lutgen avait appelé à une réconciliation des libéraux avec les autres partis afin de pouvoir défendre l'intérêt des francophones au gouvernement fédéral.

Un appel que rejoint Mme Milquet. "Le MR est obligé d'accepter cette solidarité collective. Sinon, ce serait de la part des libéraux bien pire qu'une trahison des francophones. La relance de cette discussion entre partis est inévitable, tout le monde le sait."

Et l'ancienne présidente des humanistes de lister le menu de ce front francophone avec les libéraux: création d'une communauté métropolitaine autour de Bruxelles, emploi des langues en matière administrative ou encore financement des institutions culturelles fédérales qui sont sur le territoire bruxellois.

vendredi, 26 septembre 2014

A la mémoire des 52 Tirailleurs sénégalais qui ont libéré la ville de Romans par la bataille du Vercors, morts pour la France le 22 août 1944. Paix à leurs âmes et bon vendredi.

Le Consul Général de la République du Sénégal à Lyon Son Excellence Alioune DIOP accompagné par les autorités civiles et militaires à Romans.

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mercredi, 09 juillet 2014

Juppé et Debré donnent une leçon d’Etat à Sarkozy

L’ancien Premier ministre et le président du Conseil constitutionnel reprochent à l’ex-locataire de l’Elysée de s’en prendre à la justice.660207-politique-cour-des-comptes.jpg

Tous deux sont gaullistes et chiraquiens. Et, tels des gardiens du temple d’une Ve République vacillante, ont la notion «d’homme d’Etat» chevillé au corps. Coup sur coup, jeudi et vendredi, Alain Juppé et Jean-Louis Debré, respectivement dirigeant de l’UMP et président du Conseil constitutionnel, ont fait savoir sans ambages à quel point Nicolas Sarkozy était à leurs yeux dépourvu de cette qualité. Leur «leçon» a démarré dès le lendemain de la contre-attaque télévisuelle de l’ex-chef de l’Etat, avec ces propos ciselés du maire de Bordeaux : «Vilipender une institution de la République, à savoir l’institution judiciaire, comme le font certains responsables politiques, ne me paraît pas de bonne méthode.» En d’autres termes, dit l’ex-Premier ministre dont la carrière a été cisaillée par les affaires d’emplois fictifs au RPR et d’une peine d’inéligibilité, un responsable politique digne de ce nom ne doit pas jeter le discrédit sur un des piliers de la démocratie, pour se sortir de la nasse en privilégiant ses petits intérêts.

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jeudi, 26 juin 2014

Conférence de Mr Alioune DIOP

jeudi, 22 mai 2014

Pour un Sénégal Emergent à Lyon le Samedi 31 Mai 2014 sous le haut patronage du Consul Général Alioune DIOP

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dimanche, 18 mai 2014

Le Consul Général de la République du Sénégal à Lyon Alioune DIOP et Clément Pernot Maire UMP de Champagnole

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mercredi, 14 mai 2014

RDC:Si j’étais Joseph Kabila par Bamba-di-Lelo

Après le passage fort remarqué du secrétaire d’Etat américain, John F. Kerry, à Kinshasa et après sa mise en garde, à peine voilée, demandant à Joseph Kabila de respecter la Constitution et de ne pas la modifier pour ses propres intérêts, rien ne sera plus comment avant au Congo démocratique. 

Il revient donc à Kabila d’en tirer les conséquences qui s’imposent car l’Amérique a de la suite dans les idées. Le président sortant congolais est désormais sous surveillance de l’Oncle Sam. Il lui sera difficile voire impossible de réaliser un nouvel hold-up institutionnel en briguant un troisième mandat. Il est prévenu en mondovision : le 16 décembre 2016, il doit passer la main.

L’opinion publique congolaise a tiré suite aux propos de l’émissaire américain, la leçon suivante tirée du discours prononcé, en juillet 2009, par le président Barack Obama à Accra, au Ghana : « L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts. Elle a besoin d’institutions fortes.» En clair, le continent noir n’a que faire d’hommes providentiels autoproclamés. Le peuple congolais lui est fatigué d’être dirigé par un despote non-éclairé et sanguinaire.

A Kinshasa, le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, le même, sans oublier quelques oligarques de la mouvance kabiliste tentent maladroitement de minimiser la portée des propos du 
chef

de la diplomatie américaine. Or, ces propos ont été prononcés dans un contexte très compréhensible pour le commun des mortels. Malheureusement, tous ces oligarques s’obstinent à ne pas regarder la réalité en face. Ils évitent, consciemment ou inconsciemment, de reconnaître les signes du temps. Les kabilistes estiment n’avoir pas d’autres choix que de recourir à la corruption, à l’achat des consciences pourvu que le verrou constitutionnel saute! Ainsi, cela pourrait permettre à cet OVNI politique - c’est-à-dire l’actuel locataire du palais de la Nation - de garder son fauteuil.

Si j’étais Joseph Kabila, je prendrais la mesure de la gravité de la situation. Je commencerais, sans trop me poser des questions, à préparer mes valises. Sans oublier celles de ma fratrie. 

Pourquoi ?

Primo, l’accueil enthousiaste réservé à la position du gouvernement américain a mis à nu le fossé qui sépare les citoyens congolais et les oligarques du régime en place. 

Secundo, les représentants des forces politiques et sociales, quant à eux, restent déterminés et appellent, de tous leurs vœux, l’alternance démocratique. Ils veulent donc, un autre avenir pour le Congo et les Congolais.

Pour cela, ces représentants ont déjà annoncé la couleur, par le passé, et sont prêts, aujourd’hui, à bloquer toute nouvelle tentative de modification des articles 70 et 220 de la Constitution, empêchant ainsi, à quiconque, toute ambition de se pérenniser au pouvoir par défi et par mépris de la loi. Oui, ces acteurs socio-politiques sont prêts à se livrer au sacrifice suprême, même si Joseph Kabila devait enjamber leurs cadavres. Joseph Kabila doit d’ailleurs, savoir que son régime est dans son lit de mort. Il ne pourra pas en être autrement ! C’est la loi de la nature : tout a une fin! 

Tertio, on n’a pas besoin d’un sondage d’opinion, à caractère scientifique, pour mesurer le record d’impopularité battu par Joseph Kabila. En cause, outre des promesses non-tenues, il y a un bilan humain sanglant et absolument calamiteux au plan social et économique. L’homme est vomi et méprisé aux quatre coins du pays. Il est devenu, ipso facto, l’ennemi public n°1 des 70 millions de Congolais. 

La mission première de l’Etat est d’assurer sa survie, de défendre le territoire national contre les invasions extérieures, et de protéger la population à l’intérieure des frontières ou en dehors comme c’est le cas au Congo Brazzaville et en Angola !

Joseph Kabila s’est montré, depuis 13 ans de règne, incapable, et peut-être, complice des bandes armées qui tuent et pillent dans le Nord et Sud-Kivu, la Province Orientale, et le Katanga. Plus de 8 millions des Congolais sont morts dans ces régions sinistrées, et le gouvernement central peine à fournir les raisons de ces tueries à grande échelle. De même, Joseph Kabila demeure bizarrement aphone face aux expulsions sauvages et sans sommation opérées par Brazzaville, contre nos concitoyens qui s’y étaient déjà installés, pour fuir la misère atroce que vit le Congo-Kinshasa, par absence d’une politique sociale cohérente, qui prend en son compte, la satisfaction des besoins primaires de la population.

Et pourtant, en 2006, lors de la campagne présidentielle, Joseph Kabila s’est autoproclamé artisan de la paix. Alors que cette paix, on la cherche désespérément !

En 2007, Joseph Kabila a lancé le programme des 5 chantiers. A savoir : la santé, l’eau et l’électricité, l’éducation, les infrastructures, l’emploi et l’habitat. Rien n’a été fait sauf quelques routes goudronnées. Pire, en 13 ans de pouvoir, sans partage, l’homme n’a pas été capable d’octroyer aux citoyens une authentique carte d’identité. Depuis 2006, c’est la carte d’électeur qui en tient lieu. Quelle infamie!

On se rappellera qu’en décembre 2011, Joseph Kabila a dit, au cours d’un point de presse, sa volonté de faire du Congo un pays émergent, et ce, grâce à la révolution de la modernité. A deux ans de la fin de son mandat, acquis par défi, où se trouve dès lors la modernité ?et où se manifeste donc l’émergence ? On ne voit toujours rien, sauf, l’enrichissement éhonté de Joseph Kabila lui-même, et de sa famille biologique et politique, qui frise le scandale. Le bradage des minerais et la privatisation de l’Etat, n’en demeurent pas moins des piliers qui alimentent ses caisses et éventuellement son entourage. Les Forces de Sécurité sont transformées en milice du pouvoir pour faire taire les contestations et régler leur compte aux récalcitrants. De même, la Justice a perdu son rôle, et ne dit le droit qu’en faveur des puissants, particulièrement à la meilleure tête du client. Appendice de la présidence de la République, la Justice congolaise en est devenue la parfaite auxiliaire.

Depuis l’avènement inattendu de Joseph Kabila au sommet de l’Etat, la R.D.C. a perdu son visage, ses marques et son destin, car réduit à une sous-colonie du Rwanda et de l’Ouganda, le Congo a été mis au pas par un pouvoir étranger qui lui impose la marche à suivre. Et les Congolais ont courbé l’échine sans trop broncher, du fait que quelques leaders et héros congolais, eux, ont osé lever la tête, on les a décapités et réduits ainsi au silence, et le peuple regardait sans réaction qui eût été digne de lui !

Toutes les rébellions qui secouent la partie orientale du pays, proviennent de ces deux pays, le Rwanda de Kagame et l’Uganda de Museveni. La rébellion de l’AFDL qui a chassé Joseph-Désiré Mobutu du pouvoir, un certain 17 mai 1997, est venue, me semble-t-il, de ces deux pays. De ce fait, le Congo a perdu son indépendance, voire sa souveraineté face à un t el cheminement qui s’égare certainement de la maîtrise et du bon sens. Parce que, tout simplement, Joseph est un personnage sans envergure, et incapable d’imprimer la grandeur du Congo à travers la Sous Région et dans le monde.

Aujourd’hui, ce n’est plus Léopold II seul qui a du sang sur les mains. Ce sont aussi des Congolais, égarés par ignorance ou par corruption, qui ont perpétrés le double massacre des adeptes de Bundu-dia-Kongo au Bas-Congo (2007-2008). De même pour les Enyele qui furent massacrés sauvagement à l’Equateur.

Et les assassinats, de Steve Nyembo Mutamba (Directeur des ressources humaines de la DGI), de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, des journalistes Franck Kangundu (Ngycke), de Serge Maheshe, de Didace Namujimbo, de Louis Mwamba Bapuwa, de militant des droits de l’homme, Pascal Kabungulu, de Armand Tungulu. La liste n’est pas exhaustive, loin s’en faut.

Du fait de ce sombre et macabre bilan, si j’étais Joseph Kabila, je prendrais mes cliques et mes claques, pour une destination inconnue, et tirer de la sorte ma révérence ! Oui, je prendrais la poudre d’escampette, incognito, bien avant 2016 !

Ennemi numéro un des 70 millions des Congolais, je prendrais le large sans hésiter, avant que les tribunaux populaires, ceux de la rue, réputés pour le caractère expéditif de leur procès, statue sur mon cas de manière désespérée !

Si j’étais Joseph Kabila, je partirais sans provoquer de bain de sang dans la capitale ainsi qu’à tout autre coin de la République. C’est un "conseil d’ami". A défaut, la vindicte populaire le poursuivra partout. Même en enfer!

Bamba-di-Lelo

Docteur en Sciences politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
jbadil@hotmail.be

 

 
 

lundi, 12 mai 2014

Elections 2014 à Bruxelles, et voilà Aminata Sambou

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lundi, 28 avril 2014

Wade ça suffit!

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jeudi, 24 avril 2014

Sénégal:Abdoulaye Wade remet le plan diabolique Takal

Le "Vieux" Abdoulaye Wade manipule par Jean Claude M.

Je rappelle que les sénégalais doivent être très vigilants sur les manipulations de wade. En effet de sources sûres, depuis l'interdiction de la marche et du meeting, wade, sachant que la foule ne sera pas au rendez-vous, à fait un détours à Casablanca, histoire d'y rester un moment pour voir les choses évoluer à Dakar, avant de te décoller pour Dakar. Alors, comme il suit en direct les événements à Dakar et qu'il s'est rendu compte de l'absence de foule comme en 1999, il cherche des subterfuges en tentant un autre coup, celui de mettre en mal le régime actuel au pouvoir au Sénégal en faisait distiller des rumeurs sellons lesquels le maroc ou le Sénégal ne veulent lui donner une autorisation de décoller du maroc ou de d'atterrir à Dakar. Tout ceci est un montage minutieux qui n'a aucun but que de semer la confusion, inciter les populations à la réaction, la violence, et semer le discrédit sur Macky sall.
Je tins à rappeler que tout ceci n'est que cirque et théâtre de sa part car ni le royaume chérifien encore moins le gouvernement sénégalais ne lui ont refusé quoi que ce soit.je parle en connaissance de cause car je suis au cœur des dispositifs de cet événement.
Abdoulaye wade ne voulant plus aller à Dakar faute de trouver sur place une vraie mobilisation, serait tenté de trouver des raisons sur le dos des gens qui ignorent totalement son voyage. Je reviendrai tout à l'heure sur d'autres éléments pour vous éclairer.
Prudence, prudence,...

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mardi, 22 avril 2014

Lettre ouverte à monsieur Idrissa SECK

Nous ne sommes pas surpris, et personne ne l’est d’ailleurs quant à votre dernière mise en scène. Et même si nous l’étions monsieur SECK, vous avez révélé encore une fois votre aptitude à vociférer des méchancetés à l’endroit du président Macky Sall que le peuple sénégalais a choisi en vous disqualifiant dès le premier tour des élections de 2012.

Vous avez révélé en plus votre nature pitoyable à accepter difficilement la volonté divine et celle émise par le peuple sénégalais le 25 Mars 2012.

Idrissa le tortueux, Idrissa le populiste ; que ne feriez-vous pas pour être un jour président de tous les sénégalais ? Ce rêve que vous avez toujours nourri : « Born to be a president », « IDY 4 President » tarde à se réaliser.

Votre aigreur et votre mélancolie ont fait de vous un haineux au point de prendre les dignes fils de ce pays pour des demeurés sous l’emprise d’une amnésie totale.

Comment confier la tête de notre cher Sénégal à quelqu’un qui n’est même pas capable de gérer lui-même une mairie ?

Quelqu’un qui s’est comporté en criminel économique avec nos deniers publics et qui de surcroit nous nargue depuis des années.

Acteur habile est inégalable dans ce grand théâtre de la politique pour les nuls, monsieur SECK assimile et excelle dans son rôle de tartuffe dans la scène politique sénégalaise.

Jamais vous ne ratez l’occasion de nous faire oublier le préjudice financier que vous nous avez fait subir. Ce butin digne d’Ali Baba et les quarante voleurs vous permet aujourd’hui de voyager tout frais payer par l’argent du contribuable, de dignes fils de ce pays.

Votre conscience n’est pas tranquille et ne saurait l’être, je le sais et vous le savez, même si vous faites abstraction de votre état d’esprit : les faits sont têtus.

Non Monsieur Seck, votre seule et unique maladie n’est pas le quotidien des Sénégalais mais le vôtre. Votre état psychologique hanté partout et tout le temps par cet acte ignoble, cette forfaiture qui vous a valu un séjour carcéral et que votre non-lieu ne peut effacer dans la conscience des Sénégalais.

Oui votre retour est souhaité par vous-même et vos acolytes et répond à une stratégie d’être au pays avant Maître WADE pour ne pas se faire oublier. Bien vu mais les Sénégalais vous voient tous les deux comme les marionnettes d’un cirque qui a connu son épilogue le 25 Mars 2012.

Retrouvaille pour retrouvaille, ce sera du déjà vécu avec vous deux mais la vérité triomphe toujours. Le simulacre de vérité auquel vous voulez nous faire adhérez sera vain.

Nous vous invitons au travail pour vous faire pardonnez par ce vaillant peuple sénégalais à qui vous devez votre existence actuelle inespérée.

 

IBRAHIMA MBODJI

Le monde des Affaires en Rhone-Alpes

lundi, 21 avril 2014

Vote des femmes françaises:Après les Américaines, les Britanniques ou les Turques

Ce droit, conquis de haute lutte par les Françaises, des décennies après les Américaines, les Britanniques ou les Turques, n'est plus contesté. Seuls quelques organes de presse anticléricaux publient encore des caricatures d'électrices confondant l'urne avec un bénitier, raillant la prétendue soumission des femmes aux ordres du clergé.

Si le droit de vote "est un honneur pour la femme, ses souffrances de guerre, ses mérites dans la lutte pour le pain familial, pour la concorde humaine, la liberté, la libération de la France", font qu'"elle l'a bien mérité", écrit, à l'époque, "La Voix des communes".

Ce 29 avril, les Françaises se sont déplacées en masse. On enregistre dans plusieurs villes de France, des taux de participation féminine identiques à ceux des hommes. Ce ne sera plus le cas par la suite, les femmes étant plus tentées par l'abstention que les hommes jusqu'aux années 1960. Des politologues expliquent le pic de 1945 en faisant valoir que nombre d'hommes n'étant pas revenus des camps de prisonniers, la participation masculine était réduite d'autant.

Dès cette première consultation, plusieurs femmes sont élues. Certaines sont très jeunes. Beaucoup sont issues de la Résistance ainsi que du Parti communiste. Odette Roux, 28 ans, est élue maire des Sables d'Olonne en Vendée, Pierrette Petitot à Villetaneuse en région parisienne et exercera sa fonction jusqu'en 1977. Dans la petite commune d'Echigey (Côte-d'Or), la maire et tous les membres du conseil municipal sont des femmes. Mais ces cas restent anecdotiques. On estime à 3% le nombre de femmes conseillères municipales en 1945. Neuf font leur entrée au Conseil de Paris... sur 90 élus.

En 1993, elles ne sont ainsi que 5,7% à siéger au Parlement, à peine plus qu'au sortir de la deuxième Guerre mondiale. "On a assisté entre 1945 et les années 1990 à une baisse permanente du nombre de femmes élues à l'Assemblée nationale", relève aussi Françoise Picq, spécialiste de l'histoire du féminisme.

"La persistance de la sous-représentation des femmes en politique a alors été interprétée comme le signe que des blocages structurels perduraient", souligne Réjane Sénac.

Pour contrer cette tendance, la France est le premier pays à adopter une législation se fondant sur le principe de parité. La Constitution est révisée et une première loi, en 2000, contraint les partis politiques à présenter un nombre égal de femmes et d'hommes lors des scrutins de liste. Depuis, de nombreuses législations, de plus en plus contraignantes, sont venues réformer les scrutins.

Il faudra attendre 70 ans avant que la capitale ne soit dirigée par une femme.