dimanche, 29 avril 2012
Le PS demande à Sarkozy de "s'expliquer devant les Français"
Après la publication, par Mediapart, d'un document prouvant l'accord de la Libye pour financer la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, Bernard Cazeneuve, un des porte-parole de François Hollande, a demandé samedi au président-candidat de "s'expliquer devant les Français".
"A plusieurs reprises au cours des dernières semaines, des informations précises ont été communiquées par voie de presse, relatives aux relations qu'aurait pu entretenir la France avec le régime du colonel Muammar Kadhafi au cours des dernières années. (...) Ces informations ont tout d'abord concerné le projet du gouvernement français de vendre du nucléaire civil à la Libye du colonel Kadhafi, jusqu'à l'été de l'année 2010. Elles ont été à plusieurs reprises confirmées ces derniers jours par l'ancienne présidente du groupe Areva, Anne Lauvergeon (...) Si ces faits étaient définitivement établis, ils témoigneraient des relations coupables et hasardeuses entretenues par les dirigeants français actuels avec ceux d'une dictature, dont on savait depuis longtemps la monstruosité des pratiques".
"Si les faits révélés par Mediapart étaient définitivement confirmés par d'autres documents ou les instructions judiciaires en cours, il serait alors établi que le président sortant à menti aux Français, pour dissimuler la réalité d'une très grave affaire d'Etat", ajoute-t-il.
11:48 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique | del.icio.us | Facebook | | |
Financement de sa campagne de 2007 par Kadhafi : une diversion, pour Sarkozy
Nicolas Sarkozy qualifie de 'tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn', la publication d'un document selon lequel le régime de Mouammar Kadhafi aurait accepté de financer sa campagne présidentielle de 2007. 'Vous voyez bien que c'est une tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn, qui est tout, sauf à l'avantage des socialistes qui n'ont guère envie qu'on rappelle qu'ils avaient l'intention d'en faire le prochain président de la République française', déclare le président-candidat dans un entretien au Parisien Dimanche.
Le journal en ligne Mediapart a publié, samedi 28 avril, un document qui prouverait que le colonel Kadhafi aurait donné son 'accord de principe' pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Dans ce document, une note issue des services secrets libyens signée par son chef de l'époque, Moussa Koussa, et traduite de l'arabe par Mediapart, on peut lire que, dès 2006, le gouvernement libyen aurait décidé 'd'appuyer la campagne électorale' de Nicolas Sarkozy pour un 'montant de 50 millions d'euros'. La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu.
Moussa Koussa ajoute que cet accord est consécutif au 'procès-verbal de la réunion tenue le 6/10/2006, à laquelle ont participé de notre côté le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine'. L'ex-ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a déclaré n'avoir 'jamais rencontré Moussa Koussa et Bachir Saleh', ancien homme clef du régime libyen et actuellement recherché par Interpol. Mediapart explique avoir obtenu cette note de la part 'd'anciens hauts responsables du pays, aujourd'hui dans la clandestinité', qui (...) Lire la suite sur lemonde.fr
11:46 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sarko, khadafi | del.icio.us | Facebook | | |
Financement de sa campagne de 2007 par Kadhafi : une diversion, pour Sarkozy
Nicolas Sarkozy qualifie de 'tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn', la publication d'un document selon lequel le régime de Mouammar Kadhafi aurait accepté de financer sa campagne présidentielle de 2007. 'Vous voyez bien que c'est une tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn, qui est tout, sauf à l'avantage des socialistes qui n'ont guère envie qu'on rappelle qu'ils avaient l'intention d'en faire le prochain président de la République française', déclare le président-candidat dans un entretien au Parisien Dimanche.
Le journal en ligne Mediapart a publié, samedi 28 avril, un document qui prouverait que le colonel Kadhafi aurait donné son 'accord de principe' pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Dans ce document, une note issue des services secrets libyens signée par son chef de l'époque, Moussa Koussa, et traduite de l'arabe par Mediapart, on peut lire que, dès 2006, le gouvernement libyen aurait décidé 'd'appuyer la campagne électorale' de Nicolas Sarkozy pour un 'montant de 50 millions d'euros'. La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu.
Moussa Koussa ajoute que cet accord est consécutif au 'procès-verbal de la réunion tenue le 6/10/2006, à laquelle ont participé de notre côté le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine'. L'ex-ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a déclaré n'avoir 'jamais rencontré Moussa Koussa et Bachir Saleh', ancien homme clef du régime libyen et actuellement recherché par Interpol. Mediapart explique avoir obtenu cette note de la part 'd'anciens hauts responsables du pays, aujourd'hui dans la clandestinité', qui (...) Lire la suite sur lemonde.fr
11:46 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sarko, khadafi | del.icio.us | Facebook | | |
samedi, 28 avril 2012
Ligue 1 - Marseille jusqu'à la lie
Marseille s'est incliné à Lorient (2-1) et enchaine un treizième match sans victoire en Ligue 1. Les Merlus s'offrent un bol d'air.
Une lente agonie. La fin de saison de Marseille vire au cauchemar. En s'inclinant sur la pelouse de Lorient (2-0) ce vendredi, l'OM a subi sa treizième rencontre sans victoire en Ligue 1 soit 81 jours sans succès (!). Deux buts en fin de première période (Mvuemba sur pénalty, 41e) et en début de seconde (Monnet-Paquet, 53e) ont scellé le sort d'une rencontre au cours de laquelle les Phocéens auraient pu espérer mieux. La réduction du score de Valbuena sur une passe de Rémy n'a rien changé (77e).
Mais deux penalties oubliés conjugés à la réussite bretonne les ont condamnés. Marseille, bloqué à la dixième place avec 41 unités, n'a toujours pas assuré son maintien et voit Lorient revenir à trois points. Un vrai bol d'air pour des Merlus qui prennent leur distance avec la zone de relégation (+5 points). Un cruel sentiment d'impuissance parachève chaque sortie de l'OM désormais. Pourtant les Marseillais, à l'image d'un Gignac généreux et qui aurait pu offrir le nul à l'OM dans les derniers instants (90e), n'ont pas démérité. Mais l'OM, bien que privé de Diawara, André Ayew, Mbia et Cheyrou, n'a pas réussi à concrétiser sa domination, un manque de réalisme qui colle souvent aux équipes en plein doute.
Ni Brandao (8e), gêné au deuxième poteau, ni Fanni de la tête, seul au point de penalty (20e), n'ont ainsi réussi à mettre au fond les bons centres d'Azpilicueta, excellent à droite, et Jordan Ayew n'a pas eu plus de réussite sur un tir largement au-dessus (27e). Une erreur de Morel (41e), décidément hors du coup depuis plusieurs semaines, dans la surface de réparation a coûté cher aux Olympiens. Marseille reste embourbé dans un ventre mou qui pourrait bien se muer en sable mouvant. La zone rouge est encore à huit points mais, à force de ne pas gagner, le danger se fait plus concret chaque semaine. A force de sombrer, l'OM pourrait finir par couler.
11:13 Publié dans Loisirs, Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ligue 1, marseille - lorient | del.icio.us | Facebook | | |
Hollande s'offre une conférence de presse présidentielle
PARIS (Reuters) - Vote du Front national, construction européenne, exilés fiscaux, Afghanistan : François Hollande a tenu mercredi à Paris une longue conférence de presse aux allures de répétition générale au cas où les Français l'éliraient à leur tête le 6 mai.
A onze jours du second tour de l'élection présidentielle, le candidat socialiste a louvoyé pendant une heure et demie entre les différents sujets en réponse aux questions émanant pour une bonne part de la presse étrangère.
Volontiers séducteur, prompt à la plaisanterie et à l'aise sur tous les thèmes, y compris internationaux, le député de Corrèze a cherché à prendre le contre-pied de Nicolas Sarkozy, à une semaine du débat qui les opposera à la télévision.
S'il est élu président de la République, François Hollande souhaite rendre compte de sa politique devant la presse tous les six mois, pas forcément à l'Elysée, a-t-il précisé.
Selon son service de presse, environ 280 journalistes, dont 75 de la presse étrangère, se sont inscrits pour assister à la conférence de presse organisée dans une grande salle louée au pied de la Tour Eiffel, non loin du siège de campagne.
François Hollande s'est exprimé sur une estrade sur un fond bleu, sans slogan, avec à ses côtés les seuls drapeaux français et européen, comme le fait un président en exercice.
Dans son propos liminaire, François Hollande est revenu sur les leçons à tirer d'un premier tour où il est arrivé en tête avec 28,6% des voix, en bonne posture pour l'emporter le 6 mai.
Pour expliquer le haut niveau du Front national (17,9%), qui fait la "une" des médias depuis deux jours, il répond "crise financière, économique, sociale", "défiance à l'égard de l'Europe" et "peur du monde".
"L'accumulation des promesses non tenues y est pour beaucoup, la responsabilité du candidat sortant est grande", a-t-il aussi dit, pointant du doigt la quête des électeurs d'extrême droite menée par Nicolas Sarkozy.
"Je ne sais pas si elle sera payée en retour mais si elle l'était, elle serait payée cher", a-t-il prévenu.
"LE 6 MAI JE SERAI À TULLE"
Pour répondre aux "colères" et aux "frustrations", François Hollande compte sur la réorientation de l'Europe vers plus de croissance et moins d'austérité à travers une renégociation du traité de discipline budgétaire.
Il s'est à cet égard réjoui de voir la président de la Banque centrale européenne Mario Draghi se prononcer pour un "pacte de croissance", même s'il n'y met pas le même contenu que le candidat socialiste.
Quant aux relations avec l'Allemagne, où il effectuerait son premier voyage de président, François Hollande a indiqué qu'il aurait "par le suffrage à ouvrir cette discussion ferme et amicale avec (la chancelière) Mme Merkel".
Interrogé sur l'identité du prochain Premier ministre, François Hollande a répondu que la présidentielle n'était pas un "ticket" pour deux personnes, et que cette nomination viendrait en son temps.
Objet d'un intérêt croissant de la presse étrangère, François Hollande a répondu à un journaliste suisse qui l'interrogeait sur les exilés fiscaux en appelant à une "forme de patriotisme". "Je veux parler à ces contribuables : il n'y pas de spoliation à craindre mais un effort de justice à engager", a-t-il dit.
A une Chinoise qui lui demandait s'il souhaitait rencontrer le dalaï-lama, il a esquivé en répondant que, élu chef de l'Etat, il rencontrerait avant tout le président chinois. A un reporter africain, il a plaidé pour la fin de la "Françafrique" et des relations basées sur la confiance et la solidarité.
Attendu à Bourges et Limoges vendredi, où devraient le rejoindre les responsables d'Europe Ecologie-Les Verts Eva Joly et Cécile Duflot, François Hollande sera dimanche en meeting au palais omnisports de Paris-Bercy.
Comme François Mitterrand en 1981 sur ses terres de Château-Chinon, dans la Nièvre, il a confirmé mercredi qu'il attendrait l'annonce du résultat final dans son fief de Corrèze.
"Le soir du 6 mai et quel que soit le sort qui me serait réservé, je serai à Tulle", a-t-il dit.
édité par Yves Clarisse
09:32 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hollande | del.icio.us | Facebook | | |
Nicolas Sarkozy défend le droit de parler aux électeurs du FN
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois défendu vendredi sa stratégie de s'adresser aux électeurs du Front national, estimant qu'elle avait permis d'éviter que le premier tour de l'élection présidentielle de 2002 se reproduise.
Invité de RTL, le président candidat s'est défendu d'avoir déclaré que la présidente du Front national, Marine Le Pen, était compatible avec la République, indiquant qu'il avait seulement évoqué sa candidature.
"La République considère que Marine Le Pen est une candidate qui a le droit de se présenter (...) Il y a un distinguo entre sa candidature et ce qu'elle dit, je peux dire que sa candidature n'est pas choquante par rapport à l'histoire de la République sans être d'accord avec tout ce qu'elle dit", a-t-il déclaré.
Evoquant les près de 6,5 millions d'électeurs de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle, dimanche, Nicolas Sarkozy a estimé qu'il était "normal qu'on leur parle" et indiqué qu'il n'avait "jamais frayé" avec les dirigeants du parti d'extrême droite.
A la question de savoir s'il ne risquait pas d'effrayer des électeurs centristes et modérés en évoquant des thèmes sensibles comme l'immigration, il a répondu: "Quand on parle à 40 millions d'électeurs, à 65 millions de Français, il y a toujours un risque, mais le pire risque c'est de ne pas leur parler."
"Je conteste l'idée qu'entre les uns et les autres, il y aurait une barrière infranchissable", a-t-il ajouté.
Le président sortant estime encore être parvenu, depuis le début de sa campagne, à "détacher autant de gens du Front national que des centristes sans qu'il y ait la moindre contradiction".
Interrogé sur les réserves émanant de son propre camp sur les risques d'une trop forte droitisation de sa campagne, il a invoqué les scores du premier tour de la présidentielle 2002, où l'extrême droite a fait jeu égal avec le candidat de droite Jacques Chirac.
"Les chiffres sont violents: au premier tour de l'élection présidentielle de 2002, Le Pen plus (Bruno) Mégret, ça fait 19, Jacques Chirac 19. En 2012, Mme Le Pen fait 18, je fais 27. Y a-t-il une erreur de stratégie?"
Yann Le Guernigou, Emmanuel Jarry, édité par Sophie Louet
08:35 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : présidentielles françaises | del.icio.us | Facebook | | |
vendredi, 27 avril 2012
Sénégal:Arrestation: Cheikh Bethio Thioune inculpé pour complicité de meurtre va séjourner à la Mac de Thiés
11:59 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Elus Belges:La Wallonie « perdra » 24 échevins en 2013
Le gouvernement wallon a officiellement arrêté les chiffres de population de ses communes. Toutes les provinces sont touchées. La liste complète
©Bruno Dalimonte - Le Soir
Ce jeudi, le gouvernement wallon a officiellement arrêté les chiffres de population de ses communes. Il s'agit du nombre d'habitants inscrits au registre de population au 1er janvier dernier. Ce critère détermine le nombre d'élus à désigner lors du scrutin communal du 14 octobre prochain. Avec des pertes ou des gains de sièges par rapport à 2006, selon l'évolution de la démographie locale. Pour pimenter l'exercice, l'exécutif régional a appliqué un point du Code de la démocratie locale : la suppression d'un poste d'échevin pour les communes de plus de 20.000 habitants.
A ce jeu, la Wallonieperdra 24 postes d'échevins lors de l'installation des collèges communaux, en décembre prochain ; elle enregistrera par contre la prestation de serment de 92 conseillers supplémentaires. Des modifications qui concernent 90 municipalités.
La province de Luxembourg, où 16 communes enregistrent des changements, est celle qui s'en sort le mieux : elle gagne 6 échevins et 28 conseillers. En Brabant wallon, dix municipalités subissent des variations : 6 échevins de moins et 8 conseillers de plus. Vingt-cinq localités hainuyères sont concernées par la perte de 13 mandats scabinaux et la hausse de 10 sièges communaux. Leurs consoeurs liégeoises sont aussi nombreuses à enregistrer la disparition de 10 échevins et l'arrivée de 26 conseillers. Enfin, sur la province de Namur, le solde pour les 14 communes concernées est d'un échevin de moins et de 20 élus communaux de plus.
A l'échelle locale, les gagnants se nomment Attert, Chiny, Gouvy, Havelange, Honnelles, Nassogne, Somme-Leuze et Vaux-sur-Sure (un échevin et deux conseillers de plus). Boussu, par contre, fait grise mine : son collège perdra un membre ; son conseil, deux des siens.
Les provinces également au régime
Ce jeudi, le gouvernement wallon a aussi réparti les conseillers provinciaux dans chaque district électoral (avec un minimum de quatre élus par district). Pour rappel, la réforme approuvée l'année dernière prévoit la suppression d'un tiers d'élus provinciaux. Ainsi Liège et le Hainaut éliront 56 conseillers (au lieu de 84) et 5 députés (pour 6 actuellement). Namur, le Brabant wallon et le Luxembourgpasseront à 37 conseillers (56 à ce jour) et à 4 députés (5 en ce moment).
.
11:52 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Chelsea, l’ennemi du football belge
Si Chelsea gagne la finale de la Ligue des champions, le club vainqueur du championnat belge ne sera pas directement qualifié pour les poules de la C1.
Ramires (Chelsea), © AP
Après avoir renfloué les caisses d’Anderlecht (14 millions pour Lukaku) et de Genk (17 pour Courtois et De Bruyne) depuis un an, Chelsea a de nouveau entre les mains une bonne partie de l’avenir financier (au moins 12 millions) d’un club belge, sans doute Anderlecht. C’est bien simple et déjà mathématique : si le Real Madrid ou le Bayern Munich gagne la Ligue des champions, le champion de Belgique sera directement qualifié pour les poules de la C1 où il prendrait même place, au pire, dans le pot 3, ce qui peut lui ouvrir certaines perspectives sportives. Par contre, si ce sont les Blues qui remportent cette Ligue des champions, le champion de Belgique devra passer par les tours préliminaires (avec un statut protégé et un tirage abordable), sauf si Chelsea reprend la 3e place de la Premier League à Arsenal. Ce qui est peu probable. Cela s’explique par le fait que le vainqueur de la C1 rejoint directement les poules, contrairement au 4e club anglais qualifié, qui doit passer par les tours préliminaires et qui, si Chelsea gagne, serait reversé en Europa League (car un pays ne peut pas aligner cinq clubs en C1).
11:42 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : foot belge, chelsea | del.icio.us | Facebook | | |
Marine Le Pen est "autorisée" dans la République, dit Hollande
PARIS (Reuters) - François Hollande a déclaré vendredi qu'il appellerait à voter pour l'UMP en cas de duels entre le parti de Nicolas Sarkozy et le Front national aux élections législatives de juin prochain, soulignant que la dirigeante du FN Marine Le Pen était "autorisée" dans la République française.
Le président sortant, qui sera opposé le 6 mai au candidat socialiste pour le second tour de l'élection présidentielle, a annoncé jeudi soir sur France 2 qu'il inviterait à voter blanc ou à s'abstenir en cas de duels entre le FN et le Parti socialiste aux législatives.
Pour François Hollande, pas d'alternative.
"Je l'ai déjà fait, c'était en 2002. Ce n'est pas facile", a-t-il expliqué sur RTL, rappelant l'élimination surprise de l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin pour le second tour de la présidentielle, qui avait opposé le président sortant Jacques Chirac au dirigeant d'alors du FN, Jean-Marie Le Pen.
"Premier secrétaire du Parti socialiste -Lionel Jospin n'est pas qualifié pour le second tour, annonce son retrait de la vie politique-, je dois prendre mes responsabilités, appeler à voter pour Jacques Chirac que j'ai toujours combattu".
"Je ferai, si je suis dans ce cas de figure, pareil", a précisé François Hollande.
"Moi, je ne fais pas de distinction entre les républicains. Je fais une distinction entre les républicains et ceux qui combattent les valeurs de la République", a-t-il poursuivi.
Prié de dire s'il considérait que Marine Le Pen n'était pas républicaine, François Hollande a répondu: "Elle est autorisée dans la République, elle s'est présentée au suffrage, elle n'a pas la même conception, c'est le moins qui puisse dire, que moi, des valeurs de la République".
"Elle se considère républicaine. Ce n'est pas que je ne lui accorde pas ce brevet, je dis que je n'ai pas les mêmes valeurs que Mme Le Pen", a-t-il dit.
Nicolas Sarkozy, invité de RTL avant François Hollande, a estimé que "la candidature" de Marine Le Pen était "compatible" avec la République. "Il y a un distinguo entre sa candidature et ce qu'elle dit".
Sophie Louet
11:31 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hollande, france, lepen, sarko | del.icio.us | Facebook | | |
La famille Ben Laden expulsée du Pakistan vers l'Arabie saoudite
ISLAMABAD (Reuters) - Les veuves et les enfants d'Oussama ben Laden qui vivaient au Pakistan ont été expulsés dans la nuit de jeudi à vendredi vers l'Arabie saoudite, a déclaré à Reuters l'avocat de la famille.
Cette évolution de la situation met un terme à plusieurs mois de spéculations quant au sort des trois veuves et des 11 enfants, qui avaient été arrêtés par les forces de sécurité pakistanaises après le raid américain du 2 mai 2011 contre la résidence au Pakistan d'Oussama ben Laden, lequel avait alors été abattu.
La justice pakistanaise avait condamné récemment les veuves à un mois et demi de prison pour entrée illégale au Pakistan, et ordonné qu'elles soient expulsées au terme de leur peine, qu'elles avaient commencé à purger le 3 mars.
L'avion à bord duquel veuves et enfants avaient pris place a décollé vendredi à 01h30 locales (jeudi 20h30 GMT) à destination de l'Arabie saoudite, selon des chaînes de télévision pakistanaises qui n'ont pas précisé vers quelle ville l'appareil se dirigeait.
Le ministère de l'Intérieur, qui avait la responsabilité de la famille Ben Laden, a déclaré dans un communiqué avoir "donné des ordres pour l'expulsion des 14 membres de la famille d'Oussama ben Laden, dans le sillage des consignes de l'appareil judiciaire".
Initialement prévue mercredi, l'expulsion avait été retardée par des démarches administratives entre le Pakistan d'un côté, l'Arabie saoudite et le Yémen de l'autre, avait déclaré Zakariya al Sadeh, le frère de la plus jeune épouse.
L'expulsion des proches de Ben Laden est potentiellement dangereuse pour le Pakistan, car ils pourraient révéler les conditions ayant permis au numéro un d'Al Qaïda de vivre pendant des années à quelques dizaines de kilomètres d'Islamabad.
Qasim Nauman; Julien Dury et Eric Faye pour le service français
11:23 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ben laden | del.icio.us | Facebook | | |
mardi, 27 mars 2012
Regard sur le Sénégal aux premières heures de Macky Sall comme Président
10:41 Publié dans Loisirs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 26 mars 2012
SENEGAL 2012:le Choix Macky Sall dans le Benelux
12:51 Publié dans Loisirs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
SENEGAL 2012:Resultas du 2ieme tour dans le Benelux
12:46 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sénégal | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 22 mars 2012
Bruxelles: Benno Bokk Yakaar
La section de l'APR Bruxelles invite au Benno Bokk Yakaar
ce Samedi 23 Mars 2012 à 16h à l'Horloge du Sud,
141 rue du Trône à 1050 Bruxelles.
Theme:Wade est un danger pour le Sénégal votons massivement Macky.
15:23 Publié dans Politique, Science et Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Mali: l'UE condamne le coup d'Etat
Des militaires maliens ont pris jeudi le pouvoir à Bamako après plusieurs heures de combat
BRUXELLES L'Union européenne a condamné jeudi le coup d'Etat militaire au Mali et réclamé le retour "dès que possible" du pouvoir constitutionnel.
"Nous condamnons la prise de contrôle du pouvoir par les militaires et la suspension de la Constitution", a dit le porte-parole de la chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton, dans un communiqué. "Le pouvoir constitutionnel doit être rétabli dès que possible", a-t-il ajouté.
"La sécurité et la liberté du peuple malien doivent être préservées en toute circonstance", a ajouté le porte-parole, Michael Mann.
Des militaires maliens ont pris jeudi le pouvoir à Bamako après plusieurs heures de combat, dissous les institutions et décrété un couvre-feu pour, selon eux, en finir avec le manque de moyens dans la lutte contre la rébellion touareg et les groupes islamistes dans le nord du pays.
Le Mali est confronté depuis mi-janvier à des attaques du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et d'autres rebelles touareg, dont des hommes lourdement armés qui avaient combattu pour le régime de Mouammar Kadhafi, qui ont pris plusieurs villes du nord du pays.
Le gouvernement malien a accusé Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a des bases dans le nord du Mali d'où elle opère dans plusieurs pays du Sahel, de combattre avec le MNLA.
15:10 Publié dans Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
mercredi, 21 mars 2012
Ziguinchor : des prostituées battent campagne pour Wade auprès de leurs collègues
Une délégation de prostituées, venues de Dakar, squatte, depuis trois jours, les lieux touristiques de Ziguinchor, dans le cadre de la campagne électorale, informe le journal Le Populaire.
Ces professionnelles du sexe ont déjà choisi le candidat des Fal 2012 pour le compte de qui elles ont initié une mission de sensibilisation de leurs camarades péripatéciennes sur les enjeux électoraux. Selon leur porte-parole, Solange Ndiaye, elles ont accueilli avec bonheur les assurances de la coalition des Fal 2012, dont le candidat leur a proposé un ambitieux programme de réinsertion sociale, avec le financement de leurs projets.
« Comme toute personne ambitieuse, nous avons jugé vital de voter pour Wade mais aussi, de battre campagne pour sa réélection, avec des visites de proximité dans les lieux touristiques et autres lieux de fréquentation des prostituées », a-t-elle précisé. Révélation de taille, Solange Ndiaye informera que leur fonds leur a été octroyé par une autorité étatique qui les a mandatées à Ziguinchor.
« Nous avons reçu nos fonds via un ministre-conseiller de la Présidence qui nous a invitées à rallier le Vieux, le 28 février dernier. Cette somme nous permet de faire le tour du Sénégal », a-t-elle précisé.
19:10 Publié dans Loisirs, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : wade | del.icio.us | Facebook | | |
samedi, 17 mars 2012
A vos projets
13:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Présidentielle 2012 au Sénégal: Macky & Wade
09:55 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |