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mardi, 08 novembre 2011

Mort de Michael Jackson: Conrad Murray reconnu coupable d'homicide involontaire

doc.jpgGuilty. Le docteur Conrad Murray a été reconnu coupable d'homicide involontaire ce lundi par les douze jurés de la cour où il était jugé pour son implication dans la mort de Michael Jackson. Le médecin de la star est sorti menotté du tribunal et a été placé en détention dans l'attente de l'annonce de sa peine, qui sera révélée le 29 novembre.

A l'annonce du verdict, une clameur s'est élevée en dehors du tribunal, où étaient massés les fans du King of the Pop, armés de pancartes «anything for money» et «guilty». Kim, fondatrice du site Justice4MJ.com, s'est dit soulagée, même si elle juge la peine qu'encourt Murray trop faible: «Justice a été rendue, mais quatre ans maximum, c'est trop court pour avoir privé le monde de son plus grand chanteur.»

Le Propofol au coeur des débats

Le médecin était accusé d'avoir causé la mort de Michael Jackson par une série de «graves négligences». Lors des six semaines du procès, la défense a affirmé que la pop star s'était elle-même injecté la surdose fatale de Propofol. Le procureur, lui, a tenté de convaincre le jury qu'un tel scénario était peu probable. Surtout, David Walgren a répété, témoignages d'experts à l'appui, que Conrad Murray avait commis des négligences «criminelles» en administrant, au domicile du chanteur, un puissant anesthésiant habituellement réservé au milieu hospitalier et en ayant quitté son chevet quelques minutes le 25 juin 2009 au matin.

Comme l'y autorise le droit américain, Conrad Murray a refusé de témoigner. Il n'a donc pas directement expliqué pourquoi il avait mis plus de 20 minutes avant d'appeler les secours, ni pourquoi il ne leur avait pas signalé qu'il traitait le chanteur avec du Propofol.

.../... Plus d'informations à venir sur 20minutes.fr

Ligue 1 - La Panenka de Rémy fait débat

Marquée en fin de match face à Nice, la Panenka de Loïc Rémyfait parler. En transformant ce penalty face à son ancienne équipe d’une petite balle piquée, le buteur marseillais a déclenché une polémique. Les Azuréens n’ont pas apprécié ce geste. Les Marseillais, eux, ne s’offusquent pas…

remy4.jpg

Eric Roy a déclenché la polémique. Le coach niçois n’a que très peu goûté le geste de Loïc Rémy. Dans les arrêts de jeu de la rencontre, l’attaquant marseillais a tenté et réussi une Panenka. La réalisation de ce penalty a fortement déplu à l’entraîneur azuréen. "Je ne sais pas si c'est bien d'avoir fait ça à un gardien avec qui Rémy a travaillé pendant trois ans," a expliqué Roy passablement énervé... La réaction du coach de l’OGCN traduit une certaine amertume de la part de tous les Niçois. Ceux-ci ne comprennent pas qu’un ancien de la maison noire et rouge puisse tenter un penalty aussi audacieux.

 

Ospina et Rémy se connaissent bien. Très proches à Nice, les deux hommes sont restés en contact après le départ de l’international tricolore à Marseille. Une fois le but marqué, Ospina est resté prostré de longues minutes dans sa surface de réparation. Les bras sur les hanches, il ne comprenait pas un tel geste de son ancien pote niçois. Après la joie du but, Rémy est venu voir sa victime d’un soir. Il l’a enlacé avant de s’entretenir quelques secondes avec lui. S’est-il justifié de son geste ? Interrogé à l’issue de la rencontre, Rémy n'a pas compris la polémique. "Ce n’est vraiment pas un manque de respect de ma part, se défend-il. C’est mon ancien club, je lui dois beaucoup de choses. Et puis il y a aussi David. Je le connais très bien."

 

"Le premier qui me fait ça..."

 

Encaisser un penalty façon Panenka n’est jamais facile à vivre pour un gardien de but. Steve Mandanda le reconnaît volontiers. "Le premier qui me fait ça, je le tue, dit-il en plaisantant à peine. Pour un gardien, c’est rageant de prendre un but comme ça. Mais je pense que Loïc fait le geste qu’il faut." Car Rémy tente cette petite balle piquée… sur sa deuxième tentative. La première, M. Castro, l’arbitre de la rencontre, ne l’avait pas validée. André Ayew était entré trop rapidement dans la surface de réparation. "C’est délicat de marquer un penalty quand il faut le retirer, commente Deschamps. "Sur le premier, Ospina part du bon côté, note Mandanda. Les deux hommes se connaissant bien, Loïc a plus de pression quand il tire la seconde fois. Il frappe alors au milieu avec une Panenka. Je pense que c’était le geste à faire."

 

Marquer un penalty de cette manière prouve aussi que Rémy est en pleine confiance. "Le doute, c’est l’ennemi de l’attaquant, avance le buteur marseillais. Je ne me suis pas posé de question en retirant le penalty. Un penalty, peu importe la manière dont il est tiré, pourvu que ça soit au fond. C’est un geste comme un autre. Sur un penalty, on doit oser et tenter des choses. Mais c’est vrai que si je l’avais raté, je serais passé pour le dindon de la farce." Son entraîneur ne lui tient d’ailleurs pas rigueur de son audace. "J’en ai vu d’autres, relativise DD. Tant qu’il marque ça va. Mais on gagnait déjà 1-0. Et Loïc savait que l’arbitre allait siffler la fin de la rencontre juste après." Mandanda fait la même analyse que son coach. "C’est la 95e, il peut donc se permettre de faire ce geste. Car derrière, la rencontre est terminée. Tant mieux pour lui et bravo." L’OM savoure cette victoire et le panache de Rémy. C’est beaucoup plus difficile à avaler pour Nice…

De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT / Eurospo

samedi, 05 novembre 2011

La religion absente de la Constitution tunisienne, dit Ennahda

aa.jpgTUNIS (Reuters) - La religion sera absente de la nouvelle Constitution tunisienne qui accordera en revanche une place importante aux questions des droits de l'homme, de la démocratie et de l'économie de marché, assure le parti islamiste Ennahda qui a remporté les premières élections libres du pays.

Le gouvernement, dont la composition devrait être dévoilée la semaine prochaine, n'introduira pas le principe de la charia ni d'autres principes islamiques susceptibles de rogner sur le caractère laïque de la Constitution en vigueur lorsque l'ancien président Zine ben Ali a été chassé du pouvoir par la rue en janvier.

"Nous ne voulons pas imposer un style de vie particulier", déclare à Reuters le responsable d'Ennahda, Rachid Ghannouchi, exilé à Londres pendant plus de vingt ans.

Depuis la large victoire de son parti réputé modéré aux élections constituantes du 23 octobre, certains soupçonnent Ennahda de vouloir imposer une application stricte des principes religieux à une société tunisienne habituée depuis la décolonisation à un mode de vie libéral.

La première tâche de l'Assemblée nouvellement élue, chargée de rédiger la Constitution, sera donc avant tout de rassurer les Tunisiens et les investisseurs étrangers, indispensables à la relance de l'économie, estiment analystes et observateurs.

Avant même le début des discussions sur la Constitution, tous les partis politiques du pays sont convenus de conserver le premier article de l'actuelle loi fondamentale, qui déclare que l'islam est la religion et l'arabe la langue officielle du pays.

"Il s'agit juste de la description de la réalité", explique Ghannouchi. "Cela n'a aucune implication légale."

"Il n'y aura pas d'autres références à la religion dans la Constitution. Nous voulons accorder la liberté à l'ensemble du pays", poursuit le chef de file d'Ennahda, qui ne jouera aucun rôle dans le nouveau gouvernement. La nouvelle Constitution devrait entrer en vigueur d'ici un an.

AUCUNE PROMOTION DE LA RELIGION

Publiés dans les années 1980-1990, les écrits de Ghannouchi ont inspiré le Parti de la Justice et du Développement (AKP) au pouvoir en Turquie, qui applique un subtil mélange entre démocratie et islam.

Ghannouchi affirme également que les 22 années passées en exil lui ont permis de constater l'importance de la société civile.

Comme la Turquie, la Tunisie a connu des décennies de dictature laïque avant d'évoluer vers un régime démocratique dans lequel les islamistes modérés se sont imposés dans le paysage politique.

"La loi par elle-même ne change pas la réalité", lance Ghannouchi, interrogé au siège de son parti.

"Il ne devrait pas y avoir de loi qui tente de rendre les gens plus religieux", estime-t-il. Dans la foulée de sa victoire aux élections constituantes, son parti s'est engagé à ne pas interdire l'alcool et les vêtements occidentaux et à poursuivre les politiques économiques en faveur du tourisme, de l'investissement étranger et de l'emploi.

La charia et les lois de l'islam sont un ensemble de valeurs morales individuelles et sociétales et non un code de conduite strict à appliquer au niveau national, dit-il.

"L'Egypte dit que la charia est le principal fondement de sa loi mais cela n'a pas empêché (l'ancien président déchu Hosni) Moubarak de devenir un dictateur."

PROBABLE ACCORD DES LAÏCS

Pour Samir Ben Amor, chef de file du Congrès pour la République (CPR) qui devrait participer au gouvernement de coalition aux côtés d'Ennahda et d'un autre parti laïque, il y a un consensus autour de la référence à l'islam dans le premier article de la constitution.

Ces partis politiques s'accordent également pour renforcer la démocratie en introduisant notamment des références aux conventions internationales des droits de l'homme.

"Nous voulons un régime libéral"", dit Ben Amor.

Alors que les partis s'accordent pour défendre les droits des femmes, parmi les plus avancés du monde arabe, Ben Amor se dit toutefois opposé à l'inscription du Code du statut personnel dans la Constitution.

"Aucune constitution au monde n'a ça", note-t-il. Ces droits seront protégés par la législation, argue-t-il.

Le principal point d'achoppement porte sur le type de régime politique. Ghannouchi a une préférence pour le système parlementaire quand les autres partis politiques soutiennent un système à la française, avec un pouvoir partagé entre un président élu au suffrage universel direct et un parlement.

"Le système parlementaire peut entraîner une instabilité politique, et sortant tout juste d'une dictature, nous pensons que nous ne pouvons pas courir ce risque", explique Ben Amor.

Pour Radouan Mamoudi, directeur du Centre pour l'étude de l'islam et de la démocratie basé à Washington, les élections d'octobre ont montré que le pays avait opté pour une "révolution évolutionnaire" sans changements radicaux.

"Les Tunisiens sont d'accord sur presque tout", note-t-il. "Ils veulent garder leur identité arabe et musulmane sans vivre dans une théocratie. Je pense que la Tunisie peut ouvrir la voie dans le monde arabe en construisant une véritable démocratie pleinement compatible avec l'islam."

Marine Pennetier pour le service français

Il est grand temps qu’Abdoulaye Wilane arrête sa prostitution politique

Nonobstant le recadrage d’Ousmane Tanor Dieng envers son porte –parole adjoint, je fais partie de ceux qui attendent un coup de théâtre émanant  d’Abdoulaye Wilane pour ses attaques mal orientées envers Macky Sall. C’est un récidiviste. Oui, à vouloir chasser le naturel, il revient au galop.

Nous avons constaté depuis longtemps qu’Abdoulaye Wilane roule pour le PDS et se propose constamment d’être un valet bon marché pour Abdoulaye Wade. C’est son triste choix, mais nous ne pouvons pas le respecter.

logoAPR-BENELUX.PNGCe politichien sorti de nulle part a un comportement aux antipodes des sensibilités politiques des jeunes socialistes de la classe de Malick Noêl Seck actuellement emprisonné à tord et du courageux Barthélémy Diaz.

Ces deux derniers, comme les jeunes de l’APR ne se trompent guère de cible ou d’objectif pour entrainer le peuple sénégalais à distraction.

Aboulaye Wilane mène une politique de caméléon qui alterne d’une couleur de socialisme délavée au wadisme profond. Cela nous désole.

Nous savons deux choses, primo qu’il est subventionné et secundo qu’on ne mort pas la main qui te nourrit. Son comportement malsain doit cesser ou qu’il démissionne pour rejoindre son père nourricier, faire comme le natif de Khombole, qui, après avoir goûté au délice du pouvoir, à dit non à Abdourahime Agne pour rentrer dans un ultra Wadisme. Au moins là, c’est clair.

 

Sarko aime ça

Lors d'une interview conjointe vendredi soir à la télévision, les présidents français et américain ont affiché une totale convergence de vue et une solidarité nouvelle.

L'affiche était exceptionnelle, une première au journal télévisé : à l'issue du sommet du G20 , Nicolas Sarkozy et Barack Obama ont répondu ensemble aux questions de Laurence Ferrari et de David Pujadas, dans une interview diffusée vendredi soir sur TF1 et France 2.

sarko589.jpg

«J'ai une confiance totale dans les dirigeants européens Nicolas Sarkozy et Angela Merkel» pour affronter la crise, a dit vendredi Barack Obama. Il a loué le «leadership impressionnant» du président de la République et de la chancelière allemande.

«Cela fait bien longtemps que nous n'avons pas eu une Amérique aussi attentive aux problèmes des autres. Avec une telle volonté de travailler en équipe», a souligné pour sa part le chef de l'État. Pour lui, «c'est ensemble qu'il faut trouver les solutions». On ne peut pas avoir «un côté de l'Atlantique malheureux et un autre dans le bonheur», a-t-il ajouté.

«Beau geste» Interrogé sur ses relations personnelles avec Nicolas Sarkozy, Barack Obama a répondu qu'elles étaient «excellentes». «Nous partageons les mêmes responsabilités et nous menons les mêmes combats», a-t-il dit en vantant l'«énergie et l'esprit d'ouverture» du président français. Il a affirmé le considérer comme «un partenaire essentiel», dont il a souligné le rôle en Libye et en Afghanistan.

Il est rare pour un président, a fortiori pour un chef de la Maison-Blanche, de partager ainsi un temps d'antenne à la télévision. Un beau geste de Barack Obama, qui a ainsi permis à Nicolas Sarkozy d'achever en beauté «son» G20 bouleversé par le psychodrame grec.

Une demande d'interview des chaînes télévisées françaises était pendante depuis longtemps à Washington. Le projet a été formalisé il y a une dizaine de jours. La Maison-Blanche a choisi alors de renoncer à toute autre demande d'entretiens avec la (...) Lire la suite sur Figaro.fr

Chine : les forçats du high-tech

mercredi, 02 novembre 2011

Marine Le Pen peine à rencontrer des responsables américains

Marine Le Pen est partie se construire une stature internationale aux Etats-Unis. La présidente du Front National qui s'est souvent illustrée par son discours anti-américain devait rencontrer des responsables politiques de premier plan. Mais le seul nom annoncé, le membre du Tea Party (mouvement populiste situé à la droite du Parti républicain) Ron Paul, l'un des candidats à l'investiture pour la présidentielle américaine de 2012, s'est décommandé. Officiellement, pour une question d'agenda. Marine Le Pen a relativisé cette annulation, affirmant qu'elle allait " rencontrer d'autres personnalités importantes pour l'avenir ". Mais aucun autre nom n'a été dévoilé pour ce déplacement Outre-Atlantique de cinq jours.

Selon ses proches, la candidate à la présidentielle doit rencontrer " un représentant de la communauté noire " puis " un représentant de la communauté juive " avant de s'entretenir avec " des élus démocrates et républicains ". Elle devrait également prononcer un discours sur l'économie mondiale devant le siège du Fonds monétaire international (FMI). Jeudi, elle devrait se rendre à l'ONU. Mais là encore, ses rendez-vous officiels semblent compliqués à caler. Selon le site Frenchmorning.com, destiné aux francophones vivant aux Etats-Unis, l'ambassadeur de France aux Nations Unies a en effet fait savoir qu'il ne la verrait pas, tout comme d'autres diplomates approchés par son équipe de campagne.

Le bébé du couple de SDF était mort à sa naissance dans la rue

«J'ai accouché ma femme, j'ai vu mon bébé, elle était morte.» Le père de la petite fille née mardi sous une tente, dans la rue de l'Observatoire du 14e arrondissement de Paris, mais qui n'a pas survécu s'est livré au micro de RTL. L'homme confirme que sa petite Dolorès-Christina était morte quand il a aidé sa femme à la mettre au monde.

«J'ai fait dix minutes de bouche à bouche»

«Quand les contractions sont venues, j'ai vu ma femme se plier en deux dans la tente», raconte-t-il. Cette dernière, «réticente à aller à l'hôpital», a donc accouché sous la tente dans laquelle vivait le couple. Vivait, car le père indique qu'il a obtenu ce mercredi une place dans un hôtel. «J'aurais pu avoir ma fille avec moi», se désole-t-il.

Mais l'accouchement s'est mal passé. «Dès que la tête et les épaules étaient passées, tout est sorti mais elle était inerte», se souvient le père. «J'ai fait dix minutes de bouche à bouche, tout, tout, tout», poursuit-il, indiquant avoir prévenu les pompiers «mais trop tard, ils ne sont pas arrivés assez vite, c'est pas de leur faute».

Autopsie dans les prochains jours

Selon des témoignages, la mère, âgée de 38 ans, aurait été vue appelant au secours dans la rue, son bébé dans les bras, mardi vers 13h30. Le Samu, arrivé sur place, n'a pas pu réanimer le nouveau-né. «Aucune trace de violences n'a été constatée sur le corps de la petite victime. Une autopsie sera effectuée dans les prochains jours. La mère et son compagnon, âgé de 39 ans, seront prochainement entendus par les policiers», a déclaré au Parisien une source proche de l'affaire.

La brigade des mineurs, chargée de l'enquête, cherche désormais à comprendre les circonstances exactes dans lesquelles la mort du bébé est survenue. Selon Le Parisien, le couple de SDF était en effet connu des services de police. La garde de (...) Lire la suite sur 20minutes.fr

Et voilà Obama sur une place symbolique et significative

lundi, 24 octobre 2011

Séisme en Turquie : plus de 200 morts

turc.jpgUn séisme de magnitude 7,2 a frappé la Turquie. Une centaine de personnes sont mortes dans la province de Van, proche de l’Iran, et 117 dans le district d’Ercis. Ce bilan est provisoire.

Le séisme de magnitude 7,2, selon l’institut américain de géophysique USGS, qui a secoué dimanche la province orientale turque de Van, a fait 217 morts et 1.090 blessés, selon un nouveau bilan présenté lundi par le ministre turc de l’Intérieur Idris Naim Sahin.

100 personnes sont mortes dans la province de Van, proche de l’Iran, et 117 dans le district d’Ercis, a précisé le ministre. Un précédent bilan faisait état de 138 morts.

L’USGS avait d’abord mesuré le séisme à 7,3 avant de le réduire à 7,2. C’est le plus puissant survenu en Turquie depuis des années.

En 1999, deux puissants tremblements de terre dans le nord-ouest du pays, fortement peuplé, avaient fait quelque 20.000 morts.

Un séisme survenu dans la ville de Caldiran, dans la province de Van, avait fait 3.840 morts en 1976. La ville de Van est peuplée principalement de Kurdes.

Coupe du monde : la France n'a pas démérité

A l'issue de la finale perdue par les Bleus (7-8), la question de l'arbitrage est au centre des discussions. Pour les supporters français, M. Joubert aurait dû donner une pénalité au XV de France pendant sa période de domination en deuxième mi-temps. Qu'en pensent les Bleus ? Beaucoup de choses...

En conférence de presse, Marc Lièvremont et Thierry Dusautoir n'ont pas voulu polémiquer. "J'ai rencontré Craig Joubert il y a deux jours et je lui ai dit que je pensais qu'il était le meilleur arbitre monde, que la pression sur ses épaules devait être extrêmement forte. Mais je lui ai aussi dit que chaque homme peut se tromper et je me suis engagé à ne pas critiquer son arbitrage, quoi qu'il arrive", a assuré le sélectionneur quelques minutes après le coup de sifflet final.

Ses joueurs, eux, ne s'étaient engagés à rien. Et ils ne se sont pas gênés pour dire ce qu'ils pensaient à la sortie des vestiaires: "On n'a pas eu cette pénalité qu'on attendait. L'arbitre n'a pas voulu nous la donner, alors qu'il y a quand même deux ou trois rucks où il aurait pu siffler", déplorait Dimitri Yachvili. Maxime Mermoz allait plus loin : "Je me suis pris un coup de poing de Weepu en plein dans l’oreille. Je n’entendais plus rien, et maintenant je n’entends toujours pas bien. Et l'arbitre n’a pas sifflé..." Comme le résumait Pascal Papé, les Bleus ont vraiment eu l'impression d'un arbitrage "à deux vitesses" à l'Eden Park ce dimanche.

Szarzewski: "M. Joubert n'a pas été courageux"

L'un d'eux était particulièrement indigné. Il s'agit de Dimitri Szarzewski. En colère, le talonneur du Stade français a osé dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas : "Kaino a fait un tas de fautes, McCaw faisait ce qu'il voulait et ils n'ont pas été pénalisés. A moins que la faute soit vraiment grossière, ils n'ont pas été sanctionnés. M. Joubert n'a pas été courageux. Il s'agissait d'une finale de Coupe du monde. J'aurais voulu que les choses soient équitables. Et ça n'a pas été le cas."

Pour le joueur tricolore, la pression populaire qui entourait cette rencontre a coûté la victoire aux Français: "Ça m'énerve parce que tout le monde voulait que la Nouvelle-Zélande gagne alors les gens vont trouver ça normal. Toute la planète rugby était contre nous et il était logique que l'on perde. De grands joueurs pour qui j'ai beaucoup de respect comme Pienaar, Tindall ou Cueto, nous ont critiqués ouvertement. La Nouvelle-Zélande est la meilleure équipe du monde depuis huit ans et c'est bien qu'elle soit championne du monde mais ce soir, elle ne méritait pas de gagner."

Toutefois, ce ne sont pas toujours les plus méritants qui l'emportent. Les Bleus en savent quelque chose... "Même si on le sentiment de s'être fait voler, ça fait partie du jeu", concluait, fataliste, Fabien Barcella. Face à la meilleure équipe de la planète, les joueurs du XV de France ont prouvé qu'ils méritaient leur place de finalistes de la Coupe du monde. Ça ne les consolera pas de la défaite mais ça la rendra, peut-être, un peu moins amère.

Emilie DUDON, envoyée spéciale Midi Olympique-Rugbyrama / Ru

jeudi, 20 octobre 2011

JoeyStarr : 10 choses que vous ne savez pas sur lui

1. JoeyStarr, Didier Morville de son vrai nom, a raconté son enfance difficile dans son autobigoraphie Mauvaise Réputation. Son père violent le battait et s'est débarrassé de sa mère, qu'il n'a pas revu avant sa majorité.

2. A 12 ans, il commencer à voler et quitte rapidement l'école. Après son service militaire, il vit un moment dans les rues et plonge dans les drogues dures. Il touche le fond, puis découvre la musique.

3. JoeyStarr participe au phénomène de danse "smurf" dans les années 80. Il apparaît dans une publicité indienne incroyable pour une marque de soda, "thums up". Maquillé en blanc, il est méconnaissable.

4. NTM naît en 1988. A la sortie de leur premier disque, JoeyStarr n'a ni domicile fixe ni banque, et ne peut encaisser son chèque. Ils se séparent violemment après une dizaine d'années, mais se reforment en 2008. Il créé alors son label, B.O.S.S. alias Boss Of Scandalz Strategyz.

5. Entre 1998 et 2004, il anime une émission de radio sur Skyrock. SKYB.O.S.S. fait la part belle aux jeunes rappeurs français, et aux nouveautés d'outra-Atlantique. L'émission est un succès phénoménal.

6. JoeyStarr s'est attribué plusieurs pseudonymes dans ses chansons : " Jaguarr Gorgone ", " Double R ", " L'Expert de la Maison Mère ", " le BOSS " ou " La grosse caisse ".

7. Il a vécu en couple avec Béatrice Dalle pendant une dizaine d'années. Il dit aujourd'hui que "Ca a été un honneur de la rencontrer. Ensemble on a fait les 400 coups".

8. La première fois que Maïwenn lui parle du rôle de Polisse, c'est au parloir d'une prison où il est enfermé. La réalisatrice, avec qui il a vécu une histoire d'amour, en parle comme du "meilleur acteur français."

9. Sa carrière d'acteur est bien lancée, mais JoeyStarr déclarait dans Le Journal du Dimanche : "Je reste plus addict à la musique. La scène, je ne vis (...) Lire la suite sur purepeople.com

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mercredi, 19 octobre 2011

L'APR exige la libération sans condition de Malick Noël Seck

13:13 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : apr |  del.icio.us |  Facebook | | |

jeudi, 13 octobre 2011

Union Europénne: Mise en place d'une plateforme d'organisations, d'experts et d'acteurs de développement de la diaspora africaine dans l'Europe des 27

EADPD.JPGIl est sans conteste que l’influence des diasporas s’accroît de plus en plus dans les différents pays d’accueil dans
lesquels s’installent les migrants. En ce qui concerne les 27 pays de l’UnionEuropéenne, certaines communautés immigrées contribuent de manièresignificative au développement socioéconomique des pays hôtes. Ceci est
attribuable, entre autres, à leur rôleen matière d’intégration linguistique, d’adaptation des services variés, de
rapprochement et de communication interculturelle, de recherche et de placementde la main-d’œuvre etc.

Cependant l’importance des diasporas se mesure également à l’aune de leur rayonnement économique et du potentiel
qu’elles représentent pour le développement de leurs pays d’origine. Ainsi donc, autant les individus et les groupes issus des diasporas sont mobilisés autour d’impératifs d’intégration dans les sociétés d’accueil, autant ils sont perçus
comme ressources et acteurs dans les politiques de coopération internationalepour le développement.

C’est la raison pour laquelle, le cycle d’ateliers participatifs auxquels la CGMD convie les Associations et les
diverses catégories de migrants africains en Belgique se veut un lieu deréflexion et de discussion autour des enjeux auxquels sont confrontées les diasporas africaines établies en Belgique à la lumière de cette double
interpellation du local et du transnational.

Il s’agira de faire un bilan de l’action, des limites et des résultats du travail des acteurs migrants sur le terrain et, en même temps, de tirer des enseignements éclairants en vue de la mise en réseau dans le cadredu Projet de Plateforme européenne de la diaspora africaine pour leDéveloppement (EADPD). Car, un problème critique auquel les Associations de ladiaspora africaine doivent faire face est le manque de contacts et departicipation dans des réseaux intra-nationaux et transnationaux qui pourraientaider à consolider leurs efforts et à mettre en commun leurs ressources, de
manière à coordonner leurs activités pour plus d’impact et de visibilité sur le terrain.

L’approche globale est ici privilégiée car certaines contraintes peuvent être abordées dans le contexte du pays où sont situées lesdiasporas tandis que d’autres ne peuvent être résolues que par une approcheinterétatique, au sein de l’espace de l’Union Européenne.

Concrètement la CGMD a œuvré dans ce projet EADPD depuis sa phase de pré-projet, le plaidoyer et actuellement le projet entant que tel.

En définitive si vous remplissez le fichier  en pièce jointe vous entant qu’organisation ou entant qu’acteur au développement ou expert dans un domaine, vous seriez répertorié dans la base de données de l’Union Européenne et vous participez activement à l’évaluation de nos capacités, de nos besoins afin de parer à tout manquement pour la réalisation de nos projets individuels ou collectifs dans les financements prochains de l’Union Européenne.

Ainsi vous trouverez le fichier à l’adresse suivante : http://infos.cgmd.be/#post246

 

badara.jpg

ir Alioune DIOP

Directeur Technique de la CGMD

EADPD Project Officer

Email: a.diop@cgmd.be

 

mercredi, 12 octobre 2011

SENEGAL 2012:le Choix Macky Sall

lundi, 10 octobre 2011

Sénégal:comportement des enfants de ceux qui nous gouvernent

DAKARACTU.COM: On commençait à trouver les scandales de l’alternance d’une navrante banalité, mais on frise à présent la nausée quand de plus en plus se répandent de façon obscène à la une de nos quotidiens les frasques des enfants pourris et gâtés des pontes qui nous gouvernent. Pas un jour sans qu’un des fils à ces papas ne défraie la chronique ou plutôt n’effraie la chronique en se manifestant dans de troubles et sordides histoires qu’on a coutume de lire dans la rubrique des faits divers, et encore, frappées du sceau du grand banditisme. Ino et sa bande , et même le légendaire Yadikone, à côté des fils de nos grands hommes politiques censés nous faire exemple, constituent une joyeuse bande de scouts.
En haut du podium de l’insouciance désinvolte de cette jeunesse argentée, il y a d’abord les fils des deux personnalités les plus essentielles de notre système politique, le chef de l’Etat et le ministre de la justice. Karim Wade et Thierno Ousmane Sy sont respectivement cités dans les mécomptes de l’Anoci et les commissions de la licence Sudatel. Le premier est épinglé par un magazine français qui l’a «logé» dans un insolent appartement de l’avenue Foch, à Paris, tandis que le second roule en Bentley en parcourant les artères de la capitale française. Nous ne sommes que dans la mise en bouche.

La récapitulation des forfaits donne le tournis certes, mais nous interroge aussi sur la nature des gens qui nous gouvernent. D’Idrissa Seck à Madiké Niang, en passant par Cheikh Tidiane Sy et Abdoulaye Wade lui-même, leurs progénitures tiennent le haut du pavé des faits divers et autres affaires troubles qui ont pour termes de références communs l’argent, la prévarication, le vol et l’agression. Tout ceci sous-tendu par une mauvaise éducation dont ces faits découlent et une impunité garantie « grand silence ».
L’affaire du cambriolage de la maison de Pape Diop, deuxième personnalité de l’Etat, une des personnes les mieux gardées du pays, a rendu les gens incrédules sur les dénégations de ses propres fils tentant de mouiller un de leurs potes. L’évidence saute aux yeux. Des millions disparus, de l’or volé durant le voyage du président du Sénat, ont plongé la République dans l’émoi et les populations dans la consternation. La police doit faire son job et arrêter ces gosses qui n’honorent pas le pays qui a été confié à leurs parents en gestion. Sauf que ces faits n’ont pas l’air d’émouvoir plus que d’ordinaire des parents, peut-être dépassés par les évènements ou incapables d’abord d’éduquer des gosses sortis de nulle part, et incapables ensuite de porter plainte et de réprimer des faits dont il serait dangereux pour eux-mêmes de leur demander tous les tenants et les aboutissements. Qui peut justifier, même s’appelant Pape Diop, Madické Niang, Idrissa Seck…, dans un pays normé, de détenir en liquide chez soi, dans un tiroir, des centaines de millions, qui se sont fait volés par leurs propres fils ? Et parfois sans même s’en être rendus compte eux-mêmes souvent alertés des forfaits de leurs terribles rejetons par les policiers. C’est à la police qu’Idrissa Seck a découvert que les 110 millions qui avaient disparu de sa cagnotte avaient été subtilisés par son propre fils, Abdoulaye Seck. Millions qui ont servi à faire la bamboula avec des gosses ahuris de bêtise et de vulgarité dans les endroits courus de la Jet SET dakaroise, elle-même pas dupe de l’arrogance de ces petits voyous payant par liasses entières des additions salées et souvent alcoolisées, avant de repartir en trombe au volant de puissantes bolides souvent louées des centaines de milliers de francs un week-end. Le fils d’Idy est cité par le malheureux Hubert DaCosta, qui précise ce que beaucoup savaient déjà. Idrissa Seck, est-il en mesure de vouloir gérer ce pays lui qui ne peut même pas tenir son fils en cage ? Est-il même habilité à juger le comportement de Wade-père par rapport à son fils Karim ?

Ces comportements de voyous des gosses des alternoceurs ont en commun que les plaintes ne sont jamais déposées contre ceux qui commettent ces forfaits. Madické Niang a vécu pareille mésaventure avec son fils Massamba, lequel avait prélevé sur la cassette personnelle de son papa la somme de 400 millions et était allé faire bombance et ripailles avec ses amies et copains dans un hôtel huppé de la corniche ouest. C’est informé par les flics que le ministre des Affaires étrangères a découvert le pot-vide-aux-roses. Croyez vous qu’il eut porté plainte ? Non !! L’argent dilapidé ? Une paille !!! D’ailleurs pourquoi voudriez-vous que ce môme arrête ses actes puisque, quelques mois avant son hold-up paternel, il avait testé ses capacités sur un courtier de change qu’il avait agressé à main armée, lui dérobant des dizaines de millions, tout ceci au volant d’un véhicule immatriculé…au ministère de son papa ? Pourquoi se gêner n’est-ce pas ? La suite on la connaît, pas une seule nuit de garde à vue, pas une plainte même du courtier largement « dédommagé », et conseillé de prendre son dû sans en demander plus et de débarrasser le plancher.
Le point commun avec toutes ces histoires de vol en famille, c’est qu’on finit par s’interroger sur la licité et la propreté d’un tel argent, et surtout par se demander si ces gosses ne se sentent pas tout simplement intouchables sachant l’origine frauduleuse de ces magots, en déduisant que leurs parents n’auront ni latitude, ni cran d’aller porter l’affaire en police et justice.
Reste l’éducation qu’on donne à ses enfants. Le fils de Cheikh Tidiane Sy, alors ministre de l’intérieur, s’en alla louer un véhicule un week-end, sans avoir l’âge de conduire, et entreprit une virée nocturne arrosée lors des piscines-parties auxquelles s’adonnent ses copains fils de personnalités alternoceuses du côté des Almadies Il en revint, sans doute un peu grisé par l’ivresse ( ?) et le sentiment de puissance donné par la position parentale, sur la voie du Méridien, et au bout de quelques tonneaux, percuta un poteau devant lequel dormait un gardien, détruisit le véhicule qui prit feu, et grâce à Dieu, s’en sortit avec quelques contusions. Que fit monsieur le ministre de l’intérieur qui lui servait de père ? Croyez-vous qu’il le laissa aux mains de « ses » policiers pour subir constat et alcootest, avant de l’emmener en cellule de dégrisement, et éventuellement le déférer pour conduite sans permis, en état d’ivresse (?), destruction de matériel urbain public ? Non pensez-vous, cela aurait été trop responsable pour ces gens que la bienséance n’étouffe pas. Il le mena tranquillement en clinique voir si il n’avait pas de bobos. Cheikh Tidiane Sy aurait été grandi de le laisser, ne serait-ce que pour l’exemple de l’éducation, quelques heures au violon. Mais c’est trop leur demander, sentiment quasi-divin d’impunité oblige. On a vu aussi le manque de gêne du même père ministre de la Justice à gérer l’affaire citant son autre fils, lors du dossier Sudatel qui opposait Thierno Ousmane Sy au magazine La Gazette, dans une sombre histoire encore de gros sous et de délit d’initiés.
Ces sales petits garnements profitent d’une faiblesse de nos lois. En effet, un vol d’un enfant au préjudice de ses parents n’a de suite judiciaire que sur plainte des parents. La police n’y peut rien. La société non plus. Ils le savent pertinemment.
Et quand en plus de tout cela, on a grandi dans la misère et la précarité, et que d’un coup on est projeté sous les lampions et les sunlights de la Jet SET dakaroise, et qu’on passe du Ndiaga Ndiaye à la Cayenne, on a toutes les chances de péter les plombs.
La vie, c’est comme un lustre avec des milliers d’ampoules à allumer une par une. Avec délicatesse. Ces gens-là sont sortis de la plus noire des obscurités, ont voulu précipitamment faire scintiller toutes les ampoules de la vie dans le même instant. Qu’est-ce qui se passe quand vous branchez toutes les sources de lumière en même temps chez vous ? Les plombs sautent. Ces sales gosses ont juste pété les plombs. Désespérément logique.

 

vendredi, 30 septembre 2011

Maroc: Sarkozy dégage

«Sarkozy dégage! Le Maroc n'est pas à vendre!» Alors que le président français entreprend une visite éclair jeudi 29 septembre à Tanger pour inaugurer aux côtés du roi du Maroc le chantier du TGV marocain, c'est par une volée de bois vert qu'il est reçu sur les réseaux sociaux.

Il faut dire que contrairement à Jacques Chirac, son prédécesseur, Nicolas Sarkozy n'a jamais eu la cote au Maroc, comme c'est probablement le cas ailleurs dans le monde arabe, à l'exception bien sûr de la Libye, où les révolutionnaires l'ont reçu comme un libérateur.

Pourquoi une telle antipathie pour celui qui semble jouer des coudes à chaque fois que l'occasion se présente pour défendre les intérêts du Maroc à l'international?

Une image «bling-bling» que les Marocains n'apprécient pas

De la soirée du Fouquet's à ses voyages personnels dans les palais de Mohammed VI à Marrakech, Sarkozy renvoie une image contradictoire avec une certaine idée de la République. Cette critique n'est certes pas l'apanage des Marocains, mais de Rabat, la grandeur de la France en est écornée.

Une attitude que les Marocains n'ont pas forcément vis-à-vis de leur roi, amateur lui aussi de luxe et ami des stars du showbiz... D'ailleurs, à ce sujet, les séjours habituels mais discrets de Jacques Chirac et son épouse Bernadette à Taroudant, dans le sud du Maroc, sont presque pris pour exemple.

Une diplomatie cynique et un tropisme arabe jugé peu sincère

L'engagement de Sarkozy aux côtés des anti-kadhafistes laisse perplexe. On y voit plus un rattrapage calculé et bien tardif d'une diplomatie jugée «à côté de la plaque» durant les révolutions arabes. L'épisode MAM en Tunisie, le soutien sans failles aux régimes en place ne laissent pas de place au doute. Au Maroc, on retient l'invitation faite au Guide de la Jamahiriya en 2007 et le côté dégradant pour l'image de la France de le voir imposer ses caprices, comme celui d'avoir planté sa (...) Lire la suite sur Slate.fr

mardi, 27 septembre 2011

Election RDC: des Cris depuis Bruxelles

09:59 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rdc, bruxelles |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 26 septembre 2011

Bruxelles:Wade dégage

 

 

Déclaration du 24 Septembre 2011

 

 

 

La date du 23 juin 2011 restera à jamais gravée dans la mémoire du peuple Sénégalais surtout de sa jeunesse qui a dit non à l'arbitraire, au népotisme, à la gabegie, au vol, à la succession monarchique. Ce jour là toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais se sont levés comme un seul Homme pour défendre la République, les valeurs démocratiques, l'Etat de droit. Le citoyen a montré au président Wade qu'il ne pouvait pas tout faire et n'importe quoi et quand bon lui semble.

Nous, Sénégalaises et Sénégalais de la diaspora  suivions devant nos écrans, nos ordinateurs, heure par heure, minute par minute l'évolution de la situation avec un pincement au cœur, un regret de ne pas être de la partie. Ce jour là nos cœurs battaient au rythme du Sénégal. Nous ne sommes pas en reste et nous ne devons pas l'être, c'est pourquoi de manière spontanée des Sénégalaises et des Sénégalais du Benelux toutes sensibilités confondues ont pris l'initiative de porter ce combat au cœur de l'Europe à Bruxelles ce samedi 24 septembre 2011 devant la Bourse pour dénoncer la dévolution monarchique du pouvoir, la mauvaise gestion du pays (coupures d’électricité intempestives, inondations, taxes sur les appels entrants,...) mais et surtout la candidature du Président Abdoulaye Wade pour un troisième mandat anticonstitutionnel en février 2012.

 

 

 

Un sursaut national s’impose, une prise de conscience commune des obstacles au développement et l’élaboration du cadre idoine pour promouvoir l’intérêt commun et mettre les jalons nécessaires pour l’émergence d’une société démocratique, juste et prospère.

 

Il faut une véritable rupture dans la façon dont le Sénégal est géré.  Nous pensons que sans cette rupture, il sera très difficile d’emprunter le chemin du développement, de renforcer la démocratie et d’améliorer ainsi le vécu quotidien auquel le peuple aspire.

 

 

 

Ce combat est citoyen et appelle chaque Sénégalaise et chaque Sénégalais à se mobiliser pour sauver ce pays qui nous est si cher.

 

 

 

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Vive la République, vive le Sénégal.

 

 

 

Le comité d’organisation

 

 

 

samedi, 24 septembre 2011

La femme d'un directeur de prison s'enfuit avec un détenu

Bobbi Parker disparaît un beau jour avec Randolph Franklin Dial, un meurtrier qui purge une peine à perpétuité.

Est-ce par amour ou sous la menace que Bobbi Parker s'est enfuie avec un prisonnier ? Cela fait 17 ans que l'on attend la réponse. En 1994, Randy Parker est directeur adjoint d'un établissement pénitentiaire de l'Oklahoma lorsque sa femme Bobbi, 32 ans, disparaît un beau jour avec Randolph Franklin Dial, un meurtrier qui purge une peine à perpétuité pour l'assassinat d'un instructeur de karaté. Les Parker vivent dans l'enceinte de la prison, et Bobbi a rencontré Dial à un cours de poterie qu'elle organisait dans son garage.

Le 30 août 1994, on les a vus quitter la prison dans la voiture rouge de Bobbi. Cette dernière a ensuite appelé quelques jours plus tard pour dire qu'elle allait revenir, et puis son mari et ses deux fillettes de huit et dix ans n'ont plus jamais entendu parler d'elle. Il a fallu onze ans pour retrouver sa trace. En 2005, la police reçoit un tuyau d'un voisin qui a vu un reportage sur Parker et Dial dans l'émission America's Most Wanted. Les deux fugitifs qui se faisaient appeler Samantha et Richard Dealh habitent au Texas. Selon les inspecteurs, ils se présentaient comme un couple marié et vivaient discrètement dans un mobile home sur une ferme d'élevage de poulets.

Dial est renvoyé en prison et Parker rentre chez elle auprès de son mari et de ses deux enfants. Comme si l'affaire n'était pas déjà assez bizarre, ce n'est que trois ans plus tard que le procureur décide d'intenter une action en justice ! Le procès qui a pris beaucoup de retard, notamment en raison de la mort de plusieurs témoins, dont Dial lui-même en 2007 d'un cancer du poumon, s'est achevé cette semaine.

Syndrome de Stockholm

Le procureur a décrit Bobbi Parker comme une femme au foyer qui s'ennuyait. Selon lui, elle est devenue la maîtresse de Randolph Dial, un beau parleur, et (...) Lire la suite sur LePoint.fr

Benoît XVI rencontre des victimes des pédophiles apr