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samedi, 15 décembre 2007

Conférence sur le climat: accord pour lancer de nouvelles négociations

BALI - Les participants de la conférence de l'ONU sur le climat sont convenus samedi à Bali de lancer les négociations en vue de conclure, d'ici 2009, un nouvel accord sur la lutte contre le réchauffement climatique, succèdant au Protocole de Kyoto de 1997.

Le compromis adopté samedi, qui intervient à l'issue de longues séances de discussions, ne fait aucune référence à des objectifs chiffrés de réduction des gaz à effet de serre. Il renvoie au rapport des experts du Groupe d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), qui suggèrent eux un niveau de réductions des émissions.

Peu auparavant, les Etats-Unis avaient levé leurs objections à un projet de compromis général, après avoir soulevé l'indignation générale en annonçant leur intention de le refuser.

Les Etats-Unis, le Japon et plusieurs gouvernements s'opposaient à ce que le document final contienne une proposition de baisse des émissions de GES des pays industrialisés de 25% à 40% en 2020. A leurs yeux, des objectifs spécifiques limiteraient la portée de discussions futures.

A l'inverse, l'UE et d'autres estimaient que les objectifs chiffrés reflètent les mesures jugées nécessaires par les scientifiques pour ralentir le réchauffement global et limiter l'élévation du niveau des océans, l'aggravation des inondations et des sécheresses, et l'extinction d'espèces animales et végétales. Finalement, l'UE a accepté que le compromis final ne fasse pas mention d'objectifs chiffrés.

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon avait mis toute son influence dans la balance, se déclarant "déçu" par le manque de progrès des discussions. Les participants de la conférence de Bali se sont mis d'accord en définitive -sous les applaudissements- pour lancer le processus de négociations en vue de donner suite au protocole de Kyoto, qui expire en 2012.

Le protocole de Kyoto, que les Etats-Unis n'ont pas ratifié, contraint 36 pays industrialisés à réduire d'ici 2012 leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) de 5% en moyenne par rapport aux niveaux de 1990. L'Australie a annoncé début décembre son intention de ratifier le traité. Les Etats-Unis vont ainsi devenir la seule grande puissance économique à s'y refuser.

Mais aujourd'hui, certains experts estiment que la Chine est désormais le premier pollueur de la planète et l'Inde suscite des préoccupations grandissantes. Ces circonstances devraient peser sur les négociations d'un nouveau traité, censé entré en vigueur en 2012. Les discussions porteront notamment sur l'aide aux pays en voie de développement, avec des transferts de technologie destinés à limiter les émissions de gaz à effet de serre.

Greenpeace France, le Réseau Action Climat-France et la Fondation Nicolas Hulot ont réagi en estimant dans un communiqué que le résultat de la conférence "n'est pas à la hauteur des attentes concrètes de l'opinion publique et de l'alerte lancée par les scientifiques".

Les ONG "dénoncent le sabotage mené par l'administration Bush" et déplorent la "disparition d'engagements chiffrés qui auraient fait la réussite de Bali", comme "l'objectif de maintenir l'augmentation globale des températures en dessous de 2°C d'ici la fin du siècle" et la "nécessité de diviser par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) d'ici à 2050". AP

vendredi, 14 décembre 2007

Un belge entretenait 17 épouses à Dakar

Cela n'existe nulle part ailleurs qu'au Sénégal, pays de Téranga et de tolérance, mais aussi de tourisme sexuel débridé. Car, comment expliquer le comportement de ce ressortissant belge bon teint qui a épousé 17 filles sénégalaises qu'il entretient régulièrement dans un même foyer ? Et ce n'est pas une histoire belge ! Eh bien, cette pratique n'est rien d'autre que celle d'un "saï-saï' toubab désirant cacher son industrie sexuelle sous une couverture de "polygamie" légale.

Encore que l'Islam, qui est la religion qui fait la faveur à ses fidèles de prendre plusieurs épouses, limite ce nombre à... quatre. Alertés, les éléments de la Brigade de recherches de la gendarmerie sont allés briser ce ménage polygame aux allures d'un réseau de prostitution et de proxénétisme. Arrêté et déféré, le sieur E. N, de nationalité belge, a pu échapper à la "charia" à la suite d'une levée de boucfters sans précédent. Si c'était un Sénégalais ou un Africain, on aurait pu tolérer puisque la polygamie fait partie de nos us et coutumes. Un célèbre commerçant sénégalais qui a fait faillite n'entretenait-il pas jusqu'à 57 épouses légitimes dans sa concession à Guédiawaye ? Sans oublier certains "marabouts" et autres chasseurs de sexe dont le toit conjugal abrite pas moins de 10 épouses légitimes, si elles ne sont pas des "nékkalés" (concubines). Mais...mais un toubab européen ou un blanc de souche qui convole en plusieurs noces avec dix-sept de nos jeunes filles devant Dieu et les hommes, cette polygamie ne peut-être considérée que comme de la prostitution et du proxénétisme. Ce qui est scandaleux et dramatique, c'est que monsieur E. N, le toubab, a emprunté la voie légale ou le chemin de la mosquée, histoire de se mettre à l'abri. Car, nous dit-on, la plupart de ces mariages d'intérêt sexuel et financier ont été scellés dans nos différentes mosquées. Et dès que l'imam prononçait le « Al Khayri » fatidique, l'heureuse élue rejoignait le domicile conjugal à Nord Foire. Dans le but de respecter la pure tradition sénégalaise, notre toubab polygame entretenait sexuellement et financièrement ses dix-sept femmes à tour de rôle. Il arrivait même parfois où, nous révèle-t-on, le drôle de mari offrait des parties de jambes en l'air à ses invités.

Inutile de vous dire les co-épouses s'en donnaient à cœur joie. C'est regrettable de le dire, mais cette histoire de Nord-Foire est un exemple qui montre la erte de valeur marchande de la belle femme sénégalaise. Même si la pauvreté peut pousser à certaines pratiques, rien ne peut justifier d'être une "niarel" ou "diouromél" sous le toit d'un toubab puisqu'un tel rang est synonyme de concubinage ou de prostitution déguisée. D'ailleurs, il y a de quoi faire rire les voisins lorsqu'on 'est la "niarel" d'un-toubab. En tout cas, le tourisme sexuel au Sénégal est en passe de devenir une nouvelle forme de domination d'impérialisme, d'exploitation des plus faibles par les plus forts. À preuve, sur la Petite Cote ou au Cap-Skiring, le constat est accablant : un véritable "marché" d'enfants, garçons et filles, très jeunes s'est développé pour répondre à la demande de cette clientèle pédophile au porte-monnaie bien garni et aux mœurs spéciales.

"Spéciales" puisque nombreux sont ces toubabs chassés, recherchés, acculés et surveillés par la police de leur propre pays et qui ont trouvé refuge dans ce Sénégal à la Téranga légendaire. En attendant, notre Belge, qui se dit vendeur de véhicules d'occasion, serait sous contrôlé judiciaire. Nous y reviendrons.

Source: Le Temoin

Les belges voyagent de plus en plus

2007 a été une année record pour les organisateurs belges de voyages. Sur l’année, le marché enregistre une croissance de 4,8 pc par rapport à l’année dernière, correspondant à plus de 3 millions de passagers, selon une enquête de l’Association of Belgian Tour Operators (ABDO) présentée vendredi matin lors du Brussels Travel Expo sur le site de Tours & Taxis à Bruxelles. La France, qui a connu une augmentation de 6,2 pc, reprend à l’Espagne le leadership du marché. La Turquie suit avec une augmentation de 19,7 pc. Les vacances d’été en 2007 ont progressé de 4 pc, à plus de 2,3 millions de vacances. L’Espagne reste la destination préférée des Belges pour l’été suivi de la France, de la Turquie et de la Grèce

jeudi, 13 décembre 2007

Le procès de l'Arche de Zoé débutera le 21 décembre à N'Djamena

N'DJAMENA (Reuters) - Le procès des six Français membres de l'ONG L'Arche de Zoé s'ouvrira le 21 décembre à N'Djamena, en conséquence d'une accélération de la procédure, a-t-on rapporté de sources judiciaires.
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Les six humanitaires, qui protestent de leur innocence, sont accusés d'avoir tenté d'évacuer vers l'Europe 103 enfants africains, qu'ils présentaient comme des orphelins du Darfour.

Détenus depuis fin octobre, ils sont notamment poursuivis pour tentative d'enlèvement et fraude, et sont passibles de peines de travaux forcés.

Ils ont entamé vendredi une grève de la faim à la prison centrale de N'Djamena, refusant de manger mais continuant à boire de l'eau. Ils se sont déclarés abandonnés par le gouvernement français.

Trois Tchadiens accusés de complicité comparaîtront également.

Les charges ont en revanche été abandonnées pour les onze autres personnes mêlées à cette affaire et qui ont été relâchées depuis, dont trois journalistes français qui couvraient l'opération et l'équipage espagnol de l'avion affrété pour évacuer les prétendus orphelins du Darfour.

Des avocats des accusés se sont dits surpris par la brièveté du délai dans lequel est prévu le procès, moins de deux mois après l'arrestation des six.

"C'est le comble de la rapidité. Tout est accéléré", a déclaré à Reuters l'avocat Jean-Bernard Padaré en notant que la défense avait d'autant moins de temps pour préparer son dossier.

Cette rapidité a fait penser dans les deux pays que les six ressortissants français pourraient être rapatriés dans le cadre d'un accord entre le président tchadien Idriss Déby et son homologue français Nicolas Sarkozy.

Les six ont été arrêtés le 25 octobre à Abéché, dans l'est du pays, alors qu'ils s'apprêtaient à acheminer par avion en Europe 103 enfants âgés de un à dix ans présentés comme des orphelins du Darfour.

L'affaire, qui a ouvert une crise dans les relations tchado-françaises, avait incité le président Sarkozy à effectuer un voyage éclair début novembre à N'Djamena pour obtenir la libération de l'équipage de l'avion espagnol ainsi que des trois reporters français.

Paris a condamné sans équivoque l'initiative de l'ONG, qui est intervenue quelques semaines avant le déploiement prévu dans l'est du Tchad d'une force européenne Eufor à forte composante française chargée de protéger les réfugiés et les humanitaires opérant au Darfour voisin.

version française Henri-Pierre André et Philippe Bas-Rabérin

mercredi, 12 décembre 2007

Seconde peine de prison ferme pour Pierre-Philippe Pasqua fils de l'ancien ministre

PARIS (Reuters) - Pierre-Philippe Pasqua, fils unique de l'ancien ministre de l'Intérieur Charles Pasqua, a été condamné à Paris à deux ans de prison dont 18 mois fermes et 300.000 euros d'amende pour avoir bénéficié de commissions frauduleuses sur des marchés d'armement entre 1993 et 1995.

Une peine de deux ans de prison dont un avec sursis et 300.000 euros d'amende est par ailleurs prononcée contre le courtier en armes Pierre Falcone, 53 ans, protagoniste principal de l'autre affaire des ventes d'armes à l'Angola, qui doit être jugée l'an prochain.

Aucun des prévenus n'ira en prison dans l'immédiat, car ils vont faire appel. Pierre-Philippe Pasqua, 59 ans, avait déjà été condamné à un an de prison ferme et 300.000 euros d'amende le 8 novembre dans une autre affaire de corruption, jugement dont il a déjà fait appel.

Le dossier jugé ce mardi concerne un présumé système de corruption qui aurait été mis en place, lors du passage de Charles Pasqua à l'Intérieur en 1993-1995, en marge de contrats passés par la Sofremi, société liée au ministère qui aidait les entreprises françaises à exporter leurs armements et matériels de sécurité.

Pierre-Philippe Pasqua aurait perçu sans jamais travailler 1,835 million de dollars. En fuite en Tunisie pendant plusieurs années, il est revenu le 28 septembre, expliquant à l'audience qu'il comptait sur le "changement de climat en France".

Dans cette affaire, l'une des huit où Charles Pasqua est mis en examen, c'est depuis octobre 2004 la Cour de justice de la république, seule juridiction compétente pour les ministres, qui instruit en parallèle contre lui. Il n'est donc pas concerné par le jugement de mardi et son procès pourrait attendre des années.

Trois autres prévenus sont condamnés dans cette affaire de la Sofremi, deux ex-dirigeants de cette société, l'ex-P-DG Bernard Dubois, 73 ans, (trois ans avec sursis, 100.000 euros d'amende) et l'ex-directeur général adjoint Bernard Poussier, 62 ans, (trois ans dont un avec sursis et 300.000 euros d'amende), ainsi que l'ex-conseiller de Charles Pasqua Bernard Guillet, 62 ans, (six mois avec sursis, 50.000 euros d'amende).

Les trois derniers prévenus, Jean-Charles Marchiani, 64 ans, ancien homme de confiance de Charles Pasqua à l'Intérieur, Iskandar Safa, un milliardaire libanais de 52 ans et son frère Akram, sont relaxés.

Double attentat d'Alger,Al Qaïda l'a revendiqué: 11 employés de l'ONU présumés morts

NATIONS UNIES - Au moins 11 employés des Nations unies ont apparemment été tués dans le double attentat de mardi à Alger, selon un bilan provisoire fourni par une porte-parole de l'ONU au siège de l'organisation à New York.

"Il y a toujours des personnes qui manquent à l'appel, un nombre de personnes coincées sous les décombres, et le dernier bilan que nous avons est de 11 morts", a déclaré Marie Okabe.

Au siège du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à Genève, le porte-parole en chef de cette agence, Ron Redmond, a déclaré que deux chauffeurs algériens du HCR avaient été tués et qu'un autre employé de l'agence était grièvement blessé.

Selon un dernier bilan provisoire du ministère algérien de l'Intérieur, le double attentat a fait 26 morts. Selon des médecins d'hôpitaux algérois, le bilan pourrait atteindre les 60 morts.

Après avoir condamné ce double-attentat, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a appelé à une réévaluation immédiate du dispositif de sécurité en place dans les bâtiments de l'ONU en Algérie et dans le reste du monde.

Le Conseil de sécurité des Nations unies a également condamné les attentats et présenté ses condoléances aux familles des employés de l'ONU tués. "Le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations constitue une des plus graves menaces pour la paix et la sécurité internationales", ont estimé ses pays membres dans une déclaration.

Environ 175 employés de l'ONU travaillent en Algérie, a indiqué Marie Okabe. Avant les attentats de mardi, plus de 250 employés civils de l'ONU avaient été tués dans des actes de violence ou des accidents dans le monde depuis janvier 1992, époque à laquelle les statistiques ont commencé à être tenues, selon des responsables onusiens. AP

Anniversaire du Canular de la RTBF, un jeu, un jeu dangereux

Europehorizon(Bruxelles): 12/12/06 à 12/12/07.Voilà un an jour pour jour du fameux canular signé RTBF que d'aucuns qualifient de ''Grand jeu des Nulards''.

Et jusqu'à ce jour la RTBF n'a pas encore présenté ses excuses à la Nation toute entière, c'est monstrueux.
D'ailleurs, on ne joue pas avec la Nation, sinon, penser un tel canular est dangeruex et de mauvais goût, le réaliser est une catastrophe et si c'est une chaine d'Etat ou communautaire c'est l'écatombe.

Par ailleurs, la RTBF écrit en première phrase de sa charte:''Nos émissions expriment notre identité et nos valeurs''

A bon lecteur, méditez!

Alain lenoir

dimanche, 09 décembre 2007

Les six prévenus de L'Arche de Zoé entament une grève de la faim

N'DJAMENA (Reuters) - Les six humanitaires français de l'ONG "L'Arche de Zoé" inculpés d'enlèvement de mineurs et d'escroquerie ont entamé vendredi soir une grève de la faim en se plaignant d'être oubliés, a-t-on appris de source juridique à N'Djamena.

Les six prévenus avaient été arrêtés le 25 octobre à Abéché alors qu'ils s'apprêtaient à acheminer par avion en Europe 103 enfants âgés de un à dix ans présentés comme des orphelins du Darfour.

"Ils observent une grève de la faim depuis hier soir", a confirmé à Reuters cette source sous le sceau de l'anonymat. Les six, écroués à la prison centrale de la capitale tchadienne, refusent de s'alimenter mais continuent à boire.

Nicolas Sarkozy a évoqué l'affaire avec son homologue tchadien Idriss Déby, lors d'une rencontre en marge du sommet Union européenne Afrique à Lisbonne.

"Les choses progressent dans le bon sens", a déclaré le président français lors d'une conférence de presse. "Nous faisons confiance à la justice tchadienne, dont je suis certain qu'elle va accueillir bientôt les juges français (...) Les liaisons entre les deux justices progressent."

"Mon but (...) c'est que la situation se débloque à bref délai", a ajouté Nicolas Sarkozy.

Les six expliquent pourtant leur geste par le sentiment d'avoir été oubliés par tous, notamment des autorités françaises, ainsi que par le fait qu'un ressortissant tchadien impliqué dans l'affaire n'a pas été arrêté.

Cette source a ajouté que la décision a été prise d'organiser le procès au Tchad, dans les semaines à venir, des six inculpés français, qui sont passibles d'une peine de travaux forcés en cas de culpabilité.

L'EUFOR ÉVOQUÉE À LISBONNE

Pour le moment, aucun responsable judiciaire tchadien ou avocat des Français n'a réagi à cette nouvelle.

L'affaire, qui a ouvert une crise dans les relations tchado-françaises, avait incité Nicolas Sarkozy à effectuer un voyage-éclair à N'Djamena pour obtenir la libération de l'équipage de l'avion espagnol affrété pour ramener les enfants en Europe, ainsi que trois reporters français.

Le gouvernement français a condamné sans équivoque l'initiative de "L'Arche de Zoé", qui est intervenue quelques semaines avant le déploiement prévu dans l'est du Tchad d'une force européenne Eufor à forte composante française chargée de protéger les réfugiés et les humanitaires opérant au Darfour voisin.

Selon David Martinon, Nicolas Sarkozy et Idriss Déby ont également évoqué ce dossier lors de leur entretien de samedi.

"Ils ont fait un point sur le déploiement de l'Eufor. Le président de la République a donné un certain nombre d'éléments d'information au président Déby sur les différents moyens qui devraient être apportés au profit de cette force", a dit le porte-parole de l'Elysée.

samedi, 08 décembre 2007

ROME - Une petite-fille de Me Wade se met le feu : Une vieille affaire d’argent se règle avec des flammes

Penda Kébé, la petite-fille de Me Wade qui a tenté de se suicider, avant-hier, devant la mairie de Rome en s’immolant, semble avoir prémédité son geste. Alors qu’elle tardait à rentrer en possession d’une somme d’argent que devrait lui remettre un proche collaborateur de son grand-père, elle avait prévenu des proches d’une telle initiative.
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L’incident a eu pour cadre la devanture de la mairie de Rome où une Sénégalaise du nom de Penda Kébé s’est aspergée d’un liquide inflammable avant de s’immolant. Cette native de Kébémer, par ailleurs petite-fille du chef de l’Etat, Abdoulaye Wade, a voulu accéder à la salle où son grand-père rencontrait, en sa qualité de président de la République et secrétaire général du Parti démocratique sénégalais (Pds), en privé, des ressortissants du Sénégal à Rome. Mais, les mesures sécuritaires prises par la police italienne sont telles qu’il était impossible de franchir le cordon policier. Ce dispositif tient du fait qu’il a été annoncé à Rome une manifestation contre Me Wade. Selon les confidences faites par des témoins, Penda Kébé a voulu, «malgré les consignes, s’introduire dans la salle au moment où le chef de l’Etat s’était déjà installé». Ce que les policiers italiens n’ont pas accepté.

Devant le refus qui lui avait été signifié, «la femme est soudainement apparue sous les fenêtres de la mairie, avec ses vêtements trempés, aspergés d’un produit inflammable, auxquels elle a mis le feu avec un briquet qu’elle avait à la main», rapportent nos confrères de l’Agence France presse (Afp) et repris par le journal Le Monde. Il a fallu l’intervention des carabiniers (gendarmes italiens) qui étaient sur la place pour mettre fin au feu à l’aide d’un extincteur. L’attitude rebelle de Penda Kébé avait commencé dans la matinée, alors qu’elle avait vainement demandé à être reçue par le chef de l’Etat en se rendant à son hôtel. Ainsi, «elle avait commencé à crier», si l’on en croit un conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Rome.

Si les motifs et les mobiles de cette action de Mme Kébé restent encore un mystère, il reste, selon des confidences de quelques-uns de ses amis, que la petite-fille de Me Wade avait juré de se suicider en se mettant le feu. Les raisons de cette décision sont liées à une affaire d’argent qui remonte à plus de deux ans. «Au moment où Momar Guèye était l’ambassadeur du Sénégal à Rome, un problème l’avait opposé à Penda Kébé. D’ailleurs, M. Guèye l’avait battue à ce moment jusqu’à ce que son épaule se déboîte. La fille décide alors de convoquer la presse italienne pour vilipender le diplomate. C’est à la suite d’une entreprise menée par ses proches que la dame s’est résolue à renoncer à faire des déclarations à la presse.» Cela, après que le diplomate a été relevé de ses fonctions. Malgré cet apaisement, le ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, avait été informé de cette situation et, d’après des personnes ayant été au cœur de cette affaire, «il a été décidé de dédommager la fille».

Ainsi, poursuivent nos interlocuteurs à qui Penda s’était confiée à l’époque, elle débarque à Dakar pour prendre l’argent qui lui avait été promis. Mais, un proche collaborateur de Me Wade qui était chargé de lui remettre l’enveloppe exige la présence de témoins. Cette condition posée par l’intermédiaire n’est pas gratuite car, dans le passé, «Penda Kébé avait fait main basse sur une somme de 10 millions de francs que Me Wade lui avait remis pour le compte des libéraux d’Italie», rappelle-t-on. Toujours selon nos interlocuteurs, Mme Kébé refuse d’accepter la présence de témoins pour recevoir l’argent qu’elle n’a pas, d’ailleurs, jusque-là, perçu. Et lors d’une discussion avec des amis sur ce sujet, elle a promis de se suicider. En effet, d’après les recoupements faits par quelques-uns de ses proches, on lie cette affaire à ce qui s’est produit jeudi dernier à Rome, parce que l’on estime que la volonté obsessionnelle de Penda Kébé à rencontrer son grand-père était l’unique moyen, pour elle, de rendre compte au Président Wade de la suite qui a été donnée à son affaire d’argent.

Actuellement, Penda Kébé souffre de «graves brûlures sur 70% de son corps», selon l’agence Ansa. Mais, une partie de la presse italienne avance un pourcentage de 40. Mme Kébé est internée dans un hôpital de Rome.

La mère de Sarkozy souhaite que son fils reste célibataire

(Belga) Andrée Sarkozy espère que son fils Nicolas Sarkozy, divorcé de son épouse Cécilia, ne se remariera pas. Elle a confié qu'elle en a "marre des mariées", dans un entretien au magazine Point De Vue.

"A son poste, il ne peut qu'avoir l'embarras du choix. Mais j'espère que personne ne se remariera! J'en ai marre des mariées! ". Voilà ce qu'a déclaré la mère de Nicolas Sarkozy. A propos de Cécilia Sarkozy, la mère du chef de l'Etat, qui a accompagné pour la première fois son fils lors de sa récente visite d'Etat en Chine, dit: "Moi, je m'entends bien avec elle, j'avais de bons rapports sans être proche". "Elle est froide mais ce n'est pas exprès et a toujours été gentille avec moi". (SAB)

Au moins sept morts dans un attentat-suicide à la périphérie de Beiji

BAGDAD - Un attentat-suicide à la voiture piégée a visé samedi matin un commissariat à la périphérie de Beiji, dans le nord de l'Irak, faisant au moins sept morts et 13 blessés, selon la police irakienne.

L'attentat survient au lendemain de l'explosion qui a visé un oléoduc stratégique juste à l'est de Beiji, l'un des principaux centres pétroliers du pays. Il s'est produit à 9h30 devant un commissariat situé à environ cinq kilomètres au nord du centre-ville, selon un responsable de la police. Il a précisé que cinq policiers et deux civils avaient été tués dans l'attentat.

Beiji, à 250km au nord de Bagdad, abrite la plus grande raffinerie pétrolière du nord de l'Irak et constitue une plate-forme clé pour le brut exporté par l'Irak. AP

vendredi, 07 décembre 2007

Colis piégé à Paris: un suspect en garde à vue

PARIS - Un homme a été placé en garde à vue dans la nuit de jeudi à vendredi dans le cadre de l'enquête sur l'explosion jeudi d'un colis piégé qui a fait un mort et un blessé grave à Paris, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Agé de 45 ans, l'homme est actuellement interrogé par la Brigade criminelle qui mène une perquisition au domicile de sa mère.

Le suspect, un architecte connu des services de police, avait été soupçonné il y a deux ans d'avoir harcelé une avocate du cabinet visé par le colis piégé. Ce dernier avait fait l'objet d'une plainte. "Cet homme un peu dérangé n'est pas un voyou", indiquait-on de source policière. "Il faut purger cette piste".

Par ailleurs, les enquêteurs cherchent à identifier la coursière casquée qui a livré jeudi en début d'après-midi le colis piégé. Brune, cette suspecte de petite taille est âgée d'une vingtaine d'années. Les policiers devraient également savoir aujourd'hui quel type d'explosif a été utilisé pour cet attentat. La piste terroriste n'est désormais plus privilégiée. AP

samedi, 01 décembre 2007

Sida les jeunes deviennent imprudents

700 personnes dans le monde. Alors, il ne faut pas baisser la garde : c'est le message de l'Onusida en cette journée mondiale de lutte contre la pandémie. L'agence des Nations unies vient de publier son dernier bilan. Plus de 33 millions d'habitants de notre planète sont actuellement séropositifs ou malades du sida.
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Ce qui inquiète le professeur Montagnier, découvreur du virus du sida, c'est l'imprudence des jeunes. "Les jeunes générations n'ont pas vécu la première phase de la maladie durant laquelle beaucoup de gens, si ce n'est pas tous, mourraient du sida, explique Luc Montagnier. La situation n'est pas satisfaisante maintenant car les campagnes de prévention ne sont pas assez écoutées".

Un récent sondage indique par exemple que 19% des jeunes de 15 à 24 ans n'utilisent pas systématiquement un préservatif avec un nouveau partenaire. Ce spot, destiné justement à encourager l'utilisation de préservatifs, a gagné le premier prix lors d'un concours organisé par la Commission européenne

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vendredi, 30 novembre 2007

8 ans de prison en France pour l'escroc belge aux 430 victimes

MARSEILLE (Reuters) - Un Belge de 52 ans, Alexandre Gabriel, a été condamné à huit ans de prison ferme pour une escroquerie financière internationale portant sur plus de 30 millions d'euros et qui a fait 430 victimes recensées.

Le tribunal correctionnel de Marseille l'a également condamné à une amende de 375.000 euros et à une interdiction définitive d'exercer une activité bancaire.

Il a ordonné la saisie des trois propriétés qu'il possédait dans le Vaucluse.

Alexandre Gabriel devra enfin verser, conjointement avec les 17 autres prévenus du procès, près de 32 millions d'euros de dommages et intérêts aux 430 victimes recensées entre 1997 et 2005.

Président de la société International Marketing Corporation (IMC), l'escroc promettait à ses victimes des retours sur investissements mirobolants qu'il n'a pas été en mesure d'honorer

Un avion turc s'écrase avec 56 personnes à bord, aucun survivant

Aucun des 56 passagers et membres d'équipage d'un avion de la compagnie turque Atlasjet, qui s'est écrasé vendredi dans le sud-ouest de la Turquie, n'a survécu, a indiqué Tuncay Doganer, directeur général de la société, sur une chaîne de télévision turque

mardi, 27 novembre 2007

Condamnation unanime des violences par les députés

PARIS (Reuters) - Les violences en banlieue parisienne provoquées par la mort de deux adolescents dimanche à Villiers-le-Bel (Val d'Oise) ont été unanimement condamnées lors des réunions des groupes politiques de l'Assemblée nationale.

Jean-François Copé, président du groupe UMP, a exprimé "l'émotion" et la "préoccupation" de ses députés.

Lors de son point de presse hebdomadaire, il a précisé que le Premier ministre, François Fillon, n'avait exceptionnellement pas assisté à la réunion du groupe UMP en raison de son déplacement dans la ville, située au nord de Paris.

"Il s'agit dans ce domaine d'être extrêmement vigilants sur le déroulement des heures à venir", a souligné Jean-François Copé, qui a précisé être au fait de ces questions, plusieurs "quartiers difficiles" existant à Meaux, la ville dont il est le maire en Seine-et-Marne.

"Ces violences sont inacceptables dans un Etat de droit", a pour sa part déclaré François Sauvadet, président du groupe Nouveau centre (NC), dans les couloirs du Palais-Bourbon.

"On a vu encore des images de traquenards dans lesquelles les forces de police, les pompiers, sont entraînés et je voudrais dire aussi notre solidarité à tous ceux qui exercent au nom de la République des missions difficiles", a-t-il poursuivi.

Le Nouveau centre veut "que toutes les garanties" soient apportées sur les circonstances de l'accident de dimanche soir et lance un appel "au calme et à la raison".

"Il faut aussi que l'Etat très vite réintervienne pour maintenir sa présence dans tous ces quartiers", a conclu le président du groupe NC.

Au Parti socialiste, "on condamne ces violences qui sont très graves et qui ont pris des proportions inégalées", a déclaré Aurélie Filippetti, porte-parole du groupe socialiste, radical et citoyen (SRC)

"On condamne fermement ces violences en même temps on veut que toute la lumière soit faite sur la mort de ces deux jeunes gens", a-t-elle poursuivi lors de son point de presse, réclamant un bilan de la politique de Nicolas Sarkozy", ancien ministre de l'Intérieur, "non seulement depuis les émeutes de 2005 mais depuis 2002". "Rien n'a été fait, rien n'a changé", a-t-elle asséné.

"C'est la démonstration que cette politique qui se prétend très dure n'a pas d'impacts positifs sur le terrain", a affirmé la député de Moselle. "Cela montre qu'on n'a pas les moyens nécessaires pour une vraie politique dans ces quartiers".

"Il faut qu'il y ait des événements dramatiques pour que le Nicolas Sarkozy et le gouvernement disent 'il faut faire quelque chose'", a-t-elle déploré.

jeudi, 22 novembre 2007

Selon un sondage, 47% des Français pensent qu'ils pourraient devenir un jour SDF. Quelles sont vos solutions ?

Il suffiarait d'augmenter le pouvoir d'achat en augmentant les salaires et en arrétant d'inventer chaque jour ne nouvelles taxes touchant les plus pauvres.

Ce n'est surement pas en faisant des cadeaux d'impots aux plus riches et en les répercutants sur les moins aisées que les choses vont s'arranger...

Augmentation du SMIC, taxe sur els grosses fortunes. Et arrétons de pleurer sur le sort des plus riches. Comme johnny qui vient pleurer car le pauvres payent des millions d'impots. En 2006 il a gagné 15 millions d'euros soit la paye annuelle de 1000 smicardS. Je ne pense pas que ce brave monsieur consomme 1000 fois plus et quil se demande comment manger à la fin du mois...

lundi, 19 novembre 2007

La galère des étudiants africains au Luxembourg : Des conditions difficiles

Peu nombreux, les étudiants africains au ,Luxembourg doivent se battre chaque jour contre le climat, le coût trop élevé de la vie et les dures conditions d’études.

Sélectionnés après le baccalauréat sur la base d’un test organisé dans leurs pays, ces étudiants ne bénéficient d’aucune bourse de leurs gouvernements et peuvent ne pas en recevoir du Grand Duché du Luxembourg. Se nourrir, de vêtir, se loger, s’instruire et se déplacer constitue pour eux une équation difficile à résoudre

D’un montant de 1.425 euros par trimestre, la bourse que certains d’entre eux obtiennent, après une sélection en début d’année, ne leur est pas garantie pour tout le reste de leur cursus. Il leur faut réunir 21 crédits à la fin d’un trimestre pour être sûr de bénéficier d’une autre bourse trimestrielle, ce qui n’est souvent pas évident surtout lorsqu’il s’agit de nouveaux venus.

« Nous comprenons que les autorités procèdent ainsi pour encourager l’excellence, mais il faut tout de même tenir compte de la réalité », a déclaré l’un d’eux. Selon ces étudiants, cette allocation ne leur permet pas de couvrir l’essentiel de leurs besoins. Pour se déplacer entre l’université et leurs résidences, les étudiants âgés de moins de 27 ans bénéficient d’une carte de transport qui n’est valable que pour ce trajet.

La résidence Lucilinburhuc abrite cinq étudiants africains, dont une femme, qui paient 200 euros de frais d’inscription à l’université. Selon les étudiants, ceux d’entre eux qui n’arrivent pas à payer le loyer sont parfois interdits de composition.

« Ce n’est pas juste qu’une université moderne comme celle du Luxembourg mélange les affaires sociales et académiques », a déploré le président de l’Association des étudiants noirs du Luxembourg, le Sénégalais Xavier Menga. "Nous sommes en pleine négociation avec les autorités et ferons tout pour que d’autres moyens de dissuasion soient trouvés sans pénaliser les fautifs sur le plan académique », a-t-il ajouté.

Pas de loyer, pas de diplôme
A titre d’exemple, les étudiants évoquent le cas d’un de leurs camarades camerounais qui a perdu une année d’études pour n’avoir pas payé ses frais de loyer.

A cause de coût des repas au restaurant universitaire, quatre euros le plat, les étudiants africains sont obligés de faire leur cuisine eux-mêmes.

Pour faciliter aux étudiants l’accès à Internet, l’université leur offre une connexion sans fil dans les résidences, mais charge à eux de se procurer d’un ordinateur.

"Survivre et étudier au Luxembourg n’est pas gagné d’avance", a déclaré M. Menga. "Un étudiant noir dépense en un an plus que toute une famille africaine en quatre ans. Le coût du loyer correspond au salaire d’un cadre moyen en Afrique", a ajouté le président de l’Association des étudiants africains du Luxembourg.

La vice- présidente de l’Association, une Camerounaise, dénonce, quant à elle, les textes de l’université, affirmant qu’ils ne permettent pas aux étudiants de travailler plus de deux mois par an. « Lorsque qu’un étudiant réussit à obtenir un contrat partiel selon les normes de l’université, il doit obtenir un permis de travailler sinon il va perdre le poste », a-t-elle ajouté.

« A la fin des études, aucune opportunité de travailler quelques temps ne vous est offerte si vous n’avez pas une nationalité européenne », a déploré une autre étudiante africaine résidant au campus de Kirchberg.

Les étudiants africains du Luxembourg, dont le nombre se chiffrait en 2006 à 132, proviennent de 13 pays.

Loin du continent, ces jeunes « ambassadeurs », ont tout mis en œuvre pour créer chacun dans son studio, une « mini-Afrique » et célèbrent ensemble les fêtes nationales de leurs pays.



Auteur: Afrik.com

ça marche sur Bruxelles et ça marche sur Paris pour que ça marche

Transports: une sortie de crise se dessine mais les perturbations demeurent
PARIS (AFP) - Une sortie de crise semblait se dessiner dimanche soir à la SNCF, au 5e jour de grève dans les transports, gouvernement et syndicats ayant tous deux fait des concessions pour faciliter l'ouverture de négociations, mais le trafic devait rester perturbé en début de semaine.
Six fédérations de cheminots (CGT, FO, CFTC, Unsa, CFE-CGC et Sud) ont accepté de participer aux négociations proposées par l'entreprise sur la réforme des régimes spéciaux de retraite, tout en appelant dimanche soir à reconduire pour 24 heures la grève à la SNCF.


Elles s'installeront toutefois autour de la table avec leur "plateforme revendicative", a déclaré Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-Cheminots, premier syndicat de l'entreprise, à l'issue d'une réunion interfédérale à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Même Sud-Rail, deuxième syndicat de l'entreprise qui tient les positions les plus dures dans ce conflit, a assuré à l'AFP qu'il serait "bien présent" aux négociations.

Quelques minutes avant la fin de la réunion syndicale, la SNCF, avec une impressionnante synchronisation, avait confirmé la tenue d'une première table ronde mercredi sur la réforme des régimes spéciaux, au siège de l'entreprise, où seront abordés le calendrier, la méthode de travail et les thèmes de la négociation.