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jeudi, 21 février 2008

Sectes : une proche de Sarkozy sème le trouble

7b0298c8706509045e4ea0a3b5c32c1b.jpgRoyal dénonce les propos d'Emmanuelle Mignon sur les sectes
PARIS (Reuters) - La République française est laïque et le gouvernement doit mettre un terme aux "dérapages", a déclaré jeudi Ségolène Royal après la publication des propos de la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy sur les sectes.


"Je pense que ce sont des propos totalement irresponsables (...) La République française qui est une République laïque doit impérativement lutter contre les sectes", a souligné la présidente de Poitou-Charentes sur France 2.

"Il faut que le gouvernement redevienne sérieux. On voit aujourd'hui des dérapages sur tous les sujets. On peut se demander d'ailleurs quelle est la légitimité de l'auteur de ces propos", a-t-elle poursuivi.

Dans un entretien publié par VSD, Emmanuelle Mignon, l'une des principales conseillères du chef de l'Etat, déclare que les sectes sont "un non-problème en France", évoquant notamment la scientologie. Elle a par la suite démenti avoir tenu ces propos.

"On ne sait plus qui gouverne", a estimé Ségolène Royal. "Est-ce que ce sont les conseillers, est-ce que ce sont les ministres (...) A tous les niveaux de l'Etat, il est temps que l'ordre républicain revienne".

L'ancienne candidate socialiste à l'Elysée juge également très sévèrement les propos de Rama Yade qui a déclaré lors d'un meeting pour les municipales que la gauche l'attaquait "parce que je suis noire".

Il s'agit d'un "dérapage totalement déplacé, diffamatoire" qui suppose "carrément qu'il y ait des suites judiciaires", a expliqué Ségolène Royal. "Les campagnes électorales n'autorisent pas tout".

Laure Bretton

Sexualité:Le mystère du "point G" enfin levé ?

La légende serait-elle sur le point de devenir réalité ? Des scientifiques italiens ont fait une avancée significative dans la résolution du mystère du "point G", cette zone dans l'appareil génital féminin qui serait à l'origine de puissants orgasmes vaginaux.

Selon le magazine britannique New Scientist, citant le Journal of sexual medicine, l'équipe menée par Emmanuele Jannini, de l'université de L'Aquila (Italie), a mené une expérience sur neuf femmes disant qu'elles avaient des orgasmes vaginaux - donc sans stimulation du clitoris - et onze qui affirmaient ne pas en ressentir. Les chercheurs ont utilisé des ultra-sons pour scruter l'espace, dans la partie antérieure du vagin, entre urètre et vagin.

Une zone où l'on pense que loge le point G ou "point de Gräfenberg", du nom du sexologue allemand Ernest Gräfenberg qui en a étudié le concept pour la première fois, il y a plus de 50 ans. Ils ont de fait constaté une épaisseur dans cette zone chez les femmes ayant des orgasmes. La conclusion de Jannini est sans appel : "les femmes qui n'ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d'orgasme vaginal".

Entraînement

Cependant, comme le note la revue britannique, nombre de spécialistes restent dubitatifs. Certains pensent que cette épaisseur relative dans la partie antérieure du vagin est simplement à mettre en relation avec la taille du clitoris. D'autres estiment que le point G pourrait bien exister même chez les femmes qui n'éprouvent pas d'orgasme vaginal.

D'autres enfin imaginent que les femmes qui éprouvent cet orgasme ont pu simplement l'acquérir par entraînement, ce qui, comme pour les sportifs dont l'entraînement gonfle les muscles, aurait augmenté l'épaisseur des tissus concernés. Le mystère reste entier.

D'après agence

mercredi, 20 février 2008

Le tribunal d'Ajaccio mitraillé, un policier miraculé

AJACCIO (Reuters) - La façade du palais de justice d'Ajaccio a été mitraillée mardi soir par des inconnus se déplaçant en voiture et une de leurs balles s'est fichée dans le portefeuille d'un des policiers postés devant le bâtiment.

La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a qualifié cette action de "tentative d'assassinat".

Lors du mitraillage, des CRS en faction près de leur fourgon n'ont échappé à un tir à hauteur d'homme qu'en se plaquant au sol.

Un projectile a atteint un policier, "heureusement sans le blesser, la balle se fichant dans son portefeuille", a précisé mercredi le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.

"Il s'agit là d'une tentative d'assassinat, on ne peut pas parler d'autre chose", a pour sa part dit Michèle Alliot-Marie à la presse à l'issue du conseil des ministres. "C'est absolument scandaleux, c'est révoltant et c'est stupide en plus."

Les mitraillages commis par des groupes clandestins sont monnaie courante en Corse, au contraire des tirs visant des membres des forces de l'ordre.

Selon le procureur d'Ajaccio José Thorel, "une dizaine d'impacts de balles de gros calibre ont été relevés sur la façade (du palais de justice) et un projectile s'est logé à l'intérieur d'un appartement situé dans l'angle de tir".

Le magistrat estime que le fait que les impacts soient relevés à hauteur d'homme montre que les policiers étaient visés.

Le véhicule des tireurs a été rapidement retrouvé en flammes, à quelques centaines de mètres des lieux. La PJ d'Ajaccio enquête en liaison avec la section antiterroriste du parquet de Paris.

Ce même palais de justice d'Ajaccio avait déjà été mitraillé le 15 novembre, en plein procès d'Yvan Colonna à Paris et la veille d'un déplacement du ministre de la Justice Rachida Dati en Corse. Les locaux étaient alors vides. L'action avait été revendiquée par la mouvance nationaliste.

Rachida Dati dit dans un communiqué mercredi "condamner avec la plus grande fermeté" cette nouvelle action. "Elle fait part de sa détermination à ce que les auteurs de cet acte soient rapidement identifiés et interpellés", dit sa déclaration.

REGAIN DE VIOLENCE

Michèle Alliot-Marie a exprimé aussi "son indignation la plus totale devant cet acte criminel, irresponsable et révoltant dont les conséquences auraient pu être dramatiques". L'Unsa-police, majoritaire, demande de mettre en oeuvre "tous les moyens" pour résoudre l'affaire.

Cette action confirme un regain de la violence en Corse, notable depuis la condamnation à perpétuité en décembre à Paris d'Yvan Colonna pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998, une décision présentée comme infondée et politique par les indépendantistes.

A la suite de cette condamnation, les partis et associations nationalistes ont notamment organisé une manifestation et une occupation de l'Assemblée territoriale de l'île le 12 janvier, qui s'est terminée par un début d'incendie.

Les audiences qui se sont ensuite déroulées au palais de justice d'Ajaccio concernant les auteurs présumés de ces violences ont donné lieu à de nouveaux incidents, notamment le 23 janvier dernier.

Le climat est par ailleurs toujours délétère sur l'île en raison d'une procédure visant des malversations financières impliquant la chambre de commerce d'Ajaccio et une société de sécurité.

Ce dossier a occasionné le placement en détention pendant près de deux mois de Raymond Ceccaldi, président de la chambre de commerce et d'un élu nationaliste "modéré", Jean-Christophe Angelini. Antoine Nivaggioni, principal suspect de l'affaire et ex-gérant de la société de sécurité SMS, a pris le maquis, ce qui met les services de police sous tension

Thierry Lévêque

mardi, 19 février 2008

Dakar:INTERVENTION DES FORCES DE L'ORDRE POUR DISPERSER LA MARCHE CONTRE LES HOMOSEXUELS :

L’argument du respect des droits de l’homme ne tient pas la route s’agissant d’individus qui se sont déshumanisés par leur acte en s’abaissant au rang de bêtes. Nous espérons que le peuple des croyants sénégalais (musulmans et chrétiens) ne baissera pas les bras et qu’il poursuivra la lutte pour la sauvegarde de nos valeurs sociales et religieuses les plus sacrées". , C'est ainsi que s'est exprimé l'ancien président du Conseil, Mamadou Dia à travers une déclaration pour manifester sa vive condamnation de cette répression. À propos de l’intervention des forces de l’ordre, à l’occasion de la marche du 15 février qui devait condamner le scandaleux mariage des homosexuels de Mbao, le premier Mawdo n' a pas mis de gants pour protester vivement contre les autorités.
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À l'endroit de ceux-ci dira-t-il : "Nous élevons la plus vive protestation contre l’intervention, par trop musclée, des forces de l’ordre qui ont empêché la marche à laquelle avait appelé l’imam Mbaye Niang pour condamner au nom de la société sénégalaise tout entière le mariage ostentatoire des homosexuels de Mbao." Dans le même ordre d'idées souligne le premier Mawdo : "Les autorités officielles qui, jusqu’ici, ont manifesté un zèle intempestif , dévoilent leurs vrais visages en prenant faits et causes pour des individus qui ont gravement porté atteinte à la Charia et à la moralité publique". En conclusion, note-t-il : "Elles fournissent une fois de plus la preuve éclatante qu’elles ne méritent ni d’être à la tête de notre pays, ni d’accueillir le prochain sommet de l’Oci et de la présider".

Auteur: M. R. DIA

Israël dénonce la partialité du sous-secrétaire général de l'Onu

JERUSALEM (Reuters) - Israël a accusé lundi le sous-secrétaire général de l'Onu aux Affaires humanitaires John Holmes de mettre sur un pied d'égalité les tirs de roquettes contre l'Etat juif et les opérations de Tsahal contre les activistes palestiniens de Gaza qui en sont les auteurs.

Le ministère israélien des Affaires étrangères a reproché à Holmes des propos qu'il a tenus lors d'une visite dimanche à Sderot, la ville israélienne en lisière de la bande de Gaza fréquemment visée par les activistes palestiniens.

"J'ai vu des choses terribles de leur côté à Gaza et la souffrance de leurs civils. Et ici, à Sderot, je peux voir la souffrance des civils du côté israélien. Il faut que nous brisions ce cycle de violence", a dit Holmes.

"Le recours à des expressions comme cela crée une analogie entre les terroristes et ceux qui se défendent contre la terreur", a fait valoir à Holmes Aaron Abramovitch, directeur général du ministère des Affaires étrangères, selon le compte rendu que celui-ci a fourni de leur entrevue.

"Les propos de Holmes ne servent pas les intérêts de la paix, car ils peuvent involontairement encourager les terroristes à croire que la communauté internationale exercera une pression sur Israël au lieu de traiter les racines de la violence", ajoute le communiqué du ministère.

Cet accrochage diplomatique illustre les tensions qui caractérisent depuis longtemps les relations entre Israël et l'Onu, qui a qualifié le blocus de Gaza par l'Etat juif de "punition collective" contraire au droit international.

Abramovitch aurait dit de plus à Holmes qu'"Israël attend des Nations unies qu'elles le soutiennent dans sa lutte contre le terrorisme et les organisations qui lui dénient le droit d'exister".

"Je pense qu'il est très difficile de tirer de ce que j'ai dit quelque élément que ce soit qui pourrait être vu comme incitant au terrorisme", a répliqué Holmes.

Adam Entous, version française Marc Delteil

lundi, 18 février 2008

DAKAR VOMIT SES « GOORDJIGUEN» ou HOMO : Pape Mbaye tabassé, Serigne Mbaye non grata chez les Kama

Pape Mbaye va-t-il se rendre à l’évidence ? C’est-à-dire qu’il n’est plus en sécurité à Dakar, où des religieux ont 7f745f2e0f8476fed7f71f9877eae711.jpgmême affronté la police, pour fustiger les homosexuels? Après l’avoir échappé de peu, lors du mariage d’une de ses amies M.Sané à Gibraltar, Pape Mbaye a failli y passer, encore une fois. C’était à Centenaire, vendredi dernier, près de l’agence de la Sgbs. Il n’a dû son salut qu’à l’intervention de quelques âmes sensibles, qui ont appelé la foule, qui avait commencé à le cogner, sans retenue. Descendu d’un taxi avec un boubou d’un modèle efféminé et muni de ses deux portables pour participer à une cérémonie, qui avait lieu dans le coin, le plus jeune des homosexuels arrêtés puis libérés par la Division des investigations criminelles (Dic) a été pris à partie par la foule. Il a fallu le «cacher» dans une maison, pour, ensuite, lui trouver un taxi, qui le fera discrètement quitter les lieux. Des sources renseignent, qu’après cet incident, Pape Mbaye a informé qu’il quittera incessamment le Sénégal. Certains annoncent son départ imminent pour la Gambie, où l’accueillera, sans doute, et à bras ouvert, sa «maman», Néné Diallo.

Outre Pape Mbaye, Serigne Mbaye, qui se tapait des liasses dans les cérémonies de toutes sortes, en a, aussi, eu pour son grade. C’était samedi dernier, à Nord Foire, où la fille de Sophie Kama, sœur de Mansour Kama, baptisait son fils. Une source renseigne, en effet, que Serigne Mbaye, qui était, jusque-là, la vedette dans les cérémonies, n’est pas resté plus de vingt minutes au baptême. «Lorsqu’il est venu, tout le monde était dépassé par son culot, lui, qui devait se cacher. On le dévisageait et au finish, il a compris qu’il n’était pas le bienvenu. C’est, donc, tête basse, qu’il a quitté les lieux, d’autant que certains avaient commencé à le menacer», confie une source présente à ce baptême. Autant dire, donc, que fini les temps, où les «goordjiguen» jouaient les Mc (maîtres de cérémonie) dans les mariages, baptêmes, manifestations politiques ou sociales. Déjà, parmi la bande qui avait été épinglée ou recherchée par la Dic, certains ont quitté le Sénégal, à l’instar de Ousmane Cissé et de son «épouse» Jonas.

Dakar:CONTACT AVEC LES AMBASSADES DES PAYS MEMBRES DE L’OCI : L’Imam Mbaye Niang va guerre contre l’homosexualité et l’Etat du Sénégal

C’est un Imam Mbaye Niang très amer qui a fait face à la presse samedi 16 février au siège du Mouvement de la réforme et pour le développement social (Mrds) sis à la Scat-urbam. Il rumine encore la marche qui, selon lui, avait été autorisée avant d’être interdite, a été réprimée durement vendredi dernier. Le député du Mrds ne désarme pas et compte dénoncer davantage l’homosexualité au Sénégal.

Imam Mbaye Niang veut aller se plaindre auprès des représentations diplomatiques des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique. « Après la sensibilisation des guides religieux et des populations. Dès lundi, nous allons élaborer et commencer à dérouler un autre plan d’actions dont les points saillants sont des contacts avec les ambassades des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique (Oci) établies au Sénégal », a lancé le secrétaire général du Mrds. Les responsables de ce parti ont estimé qu’on ne peut pas comprendre qu’un gouvernement qui va organiser d’ici trois à quatre semaines un sommet, qui doit regrouper presque tous les musulmans du monde et qui se permet d’offenser la religion pour laquelle cette rencontre est organisée. « On ne peut pas non plus comprendre que le gouvernement profane des lieux de cultes. Les forces de l’ordre étaient bel et bien dans l’enceinte de la mosquée », s’est offusqué Imam Mbaye Niang. Il a ajouté qu’il y a eu des échanges de pierres et de gaz lacrymogène, c’est ce qui a, selon lui, peut être poussé les policiers à défoncer les barrières pour entrer dans la cour de la mosquée et à frapper les gens. « C’est la deuxième fois que cela se produit. La première fois, c’était à la cathédrale de Dakar avec l’affaire Jean Paul Dias qui allait être arrêté à l’intérieur même du lieu de culte et cette fois à la grande mosquée de Dakar. Les Sénégalais l’avaient à l’unanimité condamnés », a-t-il rappelé.

Le député en veut aux homosexuels. Il a pensé que les peines prévues par le droit pénal sénégalais contre l’homosexualité, ne sont pas suffisamment répressives. C’est pour cette raison qu’il a prévu de déposer une proposition de loi à l’Assemblée nationale pour corser davantage ces peines. Pour rappel, le droit pénal sénégalais prévoit des sanctions contre l’homosexualité allant de 5 ans d’emprisonnement et de 10 000 à 1 500 000 FCfa d’amende. Le leader du Mrds est revenu largement sur les conditions d’organisation de la marche et la manifestation en tant que telle. « La marche du vendredi a été belle et bien autorisée par le préfet de Dakar. Je persiste et je signe. Nous avons obtenu de lui un consentement verbal ce que nous pouvions attendre de lui. Nous lui avons demandé : est ce que nous pouvons continuer nos activités, notre préparation de la marche ? Il a répondu oui », a-t-il expliqué. Et de déplorer que « dans notre pays, la démocratie et l’Etat de droit dont on parle tant sont toujours violés par les pouvoirs publics ».

Imam Mbaye Niang a expliqué qu’il avait été décidé en réunion de coordination que si la marche n’était pas autorisée, elle allait être annulée et en lieu et place : une conférence de presse allait être organisée. « Il faut toutefois que reconnaître que cette interdiction que nous avons apprise aux alentours de 11heures, nous a vraiment prise au dépourvu et c’est pour cette raison qu’on a été débordé. Au moment de notre rassemblement à l’intérieur de la grande mosquée, il y a des gens qui sortaient parce qu’ils n’étaient pas au courant de l’interdiction de la marche. Arrivés vers la Rts, les éléments de la police ont commencé à charger. J’ai suivi la foule jusqu’à ce niveau et j’ai aussi reçu une grenade lacrymogène », a-t-il indiqué.

Le secrétaire général du Mrds a affirmé que « les pouvoirs publics sont en train d’agresser les musulmans dans leur foi, dans leur croyance. C’est un manque de respect vis-à-vis de la religion musulmane parce que l’homosexualité est dénoncée, condamnée par l’Islam. Quelque soit les fait les pressions, qu’ils peuvent recevoir de l’extérieur, il n’y a absolument rien qui peut primer sur la volonté populaire. Libérer les homosexuels c’est les protéger. Les Sénégalais sont déterminés à combattre l’homosexualité et toutes les dépravations. Il faut que les pouvoir publics le sachent ».

Rappelons que c’est suite à la libération des homosexuels du pseudo mariage gay à Petit Mbao dans la banlieue de la capitale que le député Imam Mbaye Niang avait entrepris de dénoncer l’homosexualité au Sénégal soutenu en cela des dignitaires religieux du pays.

Auteur: Ibrahima Lissa FAYE

Pédophilie:L’avocat de Julie et Melissa inculpé

L'avocat liégeois Me Victor Hissel a été inculpé de détention de matériel photo et vidéo à caractère pédo-pornographique, annoncent lundi matin Vivacité et la Première. Me Victor Hissel avait défendu les familles Russo et Lejeune ainsi que les Comités blancs lors de l'éclatement de l'affaire Dutroux en 1996. Son inculpation intervient dans la foulée de l'opération internationale Koala qui prend sa source en Australie et qui a conduit chez nous à l'arrestation d'un père de famille brugeois. Ce dernier mettait sur la toile la mise en scène des relations sexuelles qu'il imposait à ses propres filles de 6, 8 et 10 ans. L'opération a permis d'identifier une liste d'adresses informatiques qui ont été passées au crible. L'avocat liégeois se trouvait derrière l'une d'elles.

France:Villiers-le-Bel: plus d'un millier de policiers mobilisés pour identifier les tireurs des émeutes de novembre

VILLIERS-LE-BEL - Plus d'un millier de policiers ont investi lundi matin différentes cités de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) et des communes environnantes dans le cadre de l'enquête sur les émeutes qui avaient eu lieu les 25 et 26 novembre dernier, a-t-on appris de source policière.
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Des CRS mais également des enquêteurs de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles, de la Sécurité publique du Val-d'Oise et de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) devaient interpeller une quarantaine de suspects, déjà connus pour la plupart des services de police.

Certains sont soupçonnés d'avoir tiré sur des policiers lors des affrontements qui avaient suivi la mort de deux adolescents percutés par un véhicule de police. Dix fonctionnaires avaient été blessés par des plombs tirés par des fusils de chasse ou fusils à pompe notamment lors de la seconde nuit d'émeutes.

Deux chefs de bandes âgés d'une trentaine d'années sont particulièrement visés. "Ils ont organisé les émeutes et indiqué aux jeunes comment se placer, comment tirer sur les forces de l'ordre qui étaient attirés dans des endroits ou très éclairés ou très sombres", indique-t-on de source policière. "C'était une organisation quasi-militaire. Ils voulaient clairement se faire du flic".

Agissant dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "tentative d'homicide volontaire", les enquêteurs ont interrogé près de 145 CRS mobilisés pour les opérations de maintien de l'ordre afin d'identifier des suspects. Des "tuyaux" ont également été donnés par les Renseignements Généraux. Un appel à témoins assorti d'une récompense avait été lancé par la Brigade criminelle de la DRPJ de Versailles qui promettait une récompense pour toute information permettant d'identifier les responsables de ces exactions. "Cela a été fructueux et a permis de confirmer des doutes au sujet de certaines personnes", précise t-on de source policière.

Des écoutes téléphoniques ont également permis de cibler plusieurs personnes soupçonnées d'avoir commis d'autres délits. Ce qui pourrait amener le parquet à ouvrir des procédures incidentes pour différentes infractions dont "escroquerie, infractions à la législation sur les stupéfiants, trafic de faux documents administratifs, etc".

Cent-trente policiers avaient été blessés durant les émeutes urbaines survenues dans cette ville du Val-d'Oise. Nicolas Sarkozy avait ensuite dénoncé les actes commis par la "voyoucratie" et promis les assises aux responsables de ces "tentatives d'assassinat".

Après l'accident qui avait coûté la vie à deux jeunes de Villiers-le-Bel qui circulaient sans casque sur une moto non autorisée à circuler sur la voie publique, une information judiciaire pour "homicide involontaire" avait été ouverte peu après. Les policiers à bord du véhicule accidenté avaient été rapidement mis hors de cause par l'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

Le procureur de la République de Pontoise devait tenir une conférence de presse lundi à 9h30 pour donner les grandes lignes de cette vaste opération policière. AP

xveg/ma

dimanche, 17 février 2008

LEGISLATION ANTIHOMOSEXUALITE AU SENEGAL: L'Imam Mbaye Niang veut durcir la loi

Le député et secrétaire général du Mouvement de la réforme pour le développement social (Mrds), Imam Mbaye Niang n'entend baisser les bras après l'interdiction de la marche qu'il avait initiée pour ce vendredi à Dakar contre l'homosexualité et la libération des gays arrêtés il y a quelques jours.


LEGISLATION ANTIHOMOSEXUALITE: L'Imam Mbaye Niang veut durcir la loi
M. Niang revient à la charge dans sa croisade anti-gay en annonçant qu'il va déposer une proposition de loi à l'assemblée nationale pour durcir les peines contre l'homosexualité, rapporte ce samedi la radio futurs médias (Rfm). Le Droit pénal sénégalais prévoit des sanctions contre l'homosexualité passible de 5 ans d'emprisonnement et de 10 000 à 1 500 000 fcfa d'amende. Par ailleurs, les personnes interpellées le vendredi à la suite d'une marche improvisée et des manifestations anti-gay ont été libérées. Après la prière musulmane de 14 heures du vendredi à la grande mosquée de Dakar, des gens ont voulu passer outre la mesure d'interdiction par le préfet de la capitale de la marche. Les manifestants ser sont heurtés à la police qui a usé de lacrymogène pour les disperser.

Rappelons que c'est suite à la libération des homosexuels du fameux "mariage" gay à Petit Mbao (environ 20 km de Dakar) que le député Imam Mbaye Niang avait entrepris des démarches pour dénoncer l'homosexualité au Sénégal soutenu en cela des dignitaires religieux du pays.

Source: Nettali

Yves Leterme quitte les soins intensifs

Yves Leterme, toujours hospitalisé à l’hôpital universitaire de Louvain, a quitté les soins intensifs ce matin, a annoncé son porte-parole. Il n’y a encore aucune précision sur le moment où le vice-premier ministre pourra quitter l’hôpital.

Le vice-premier ministre CD&V Yves Leterme, toujours hospitalisé à l’hôpital universitaire Gasthuisberg de Louvain, a quitté les soins intensifs dimanche matin, a annoncé son porte-parole. Il y a été admis jeudi matin, à la suite d’une hémorragie interne du système gastro-intestinal

L’équipe médicale qui suit Yves Leterme a décidé ce dimanche qu’il n’était plus nécessaire de le maintenir aux soins intensifs. Le vice-premier ministre a été transféré dans une chambre normale. Toutefois, pour lui garantir un repos indispensable, les visites restent limitées, précise le porte-parole dans un communiqué.

Il n’y a pas encore de précisions sur le moment où M. Leterme pourra quitter l’hôpital.

(D’après Belga)

Affrontements dans la Bande de Gaza: quatre morts et huit blessés

GAZA, Bande de Gaza - Des affrontements entre des soldats israéliens, appuyés par des avions et des chars, et des Palestiniens armés ont fait quatre morts et huit blessés dimanche dans le sud de la Bande de Gaza, selon un représentant des services sanitaires.

Par ailleurs, un activiste du Hamas, touché lors d'un raid aérien de Tsahal la semaine dernière, est décédé des suites de ses blessures.

L'armée israélienne a précisé que l'opération de dimanche visait des militants qui procèdent régulièrement à des tirs de roquettes et d'obus de mortier en direction du sud d'Israël. Elle a confirmé que des raids aériens avaient été menés mais n'a pas fourni plus de détails.

Selon le Hamas, les affrontements ont éclaté vers 1h locales après l'entrée d'unités israéliennes dans des maisons à l'est de la ville de Rafah. Des chars et des bulldozers ont apporté un soutien aux militaires, et des avions israéliens ont mené deux raids, d'après le Mouvement de la résistance islamique qui a fait état d'au moins 25 arrestations.

Le Dr. Moaiya Hassanain du ministère de la Santé de la Bande de Gaza a expliqué qu'un militant du Jihad islamique avait été tué et que huit autres activistes armés de ce groupe et du Hamas avaient été blessés dans les tirs et les raids aériens de Tsahal. Trois militants du Mouvement de la résistance islamique sont également morts. AP

samedi, 16 février 2008

Répression contre la marche des anti GUY à Dakar

vendredi, 15 février 2008

Tuerie dans une université près de Chicago

Un jeune homme a ouvert le feu jeudi après-midi sur un campus près de Chicago, tuant cinq personnes et en blessant 16 autres avant de retourner l'une de ses armes contre lui, un nouveau chapitre d'une série macabre déjà longue aux Etats-Unis.

jeudi, 14 février 2008

Echauffourées au tribunal après l'arrestation de 105 étrangers

PARIS (Reuters) - Des échauffourées ont éclaté au palais de justice de Paris entre les forces de l'ordre et les proches de certains des 105 étrangers en situation irrégulière arrêtés mardi lors d'une opération de police d'une rare ampleur dans un foyer du XIIIe arrondissement de Paris.

Ces 105 étrangers sont détenus dans des centres de rétention administrative, notamment à Vincennes, et certains d'entre eux demandent leur élargissement à un juge des libertés parisien, qui devait trancher dans la journée.

Plusieurs dizaines de gendarmes sont intervenus pour contenir une foule de sympathisants qui scandaient "libérez nos camarades" près de la salle d'audience. Les sans-papiers, qui seraient essentiellement des Maliens et des Sénégalais, ne seront pas poursuivis en justice mais risquent une expulsion.

Dans le volet judiciaire de l'affaire, les trois dernières personnes en garde à vue, soupçonnées d'avoir favorisé le séjour irrégulier de ces personnes et leur hébergement "dans des conditions incompatibles avec la dignité humaine", ont été remises en liberté sans mise en examen.

Le fondement judiciaire de l'opération, mis en avant par la préfecture de police de Paris, n'a donc débouché sur rien.

Organisations de défense des sans-papiers et partis de gauche dénoncent une "rafle" et voient dans l'objet judiciaire affiché, un dossier d'hébergement indigne et dangereux, un prétexte pour une opération de police administrative.

Ces associations dénoncent en outre le déroulement de l'opération, qui a mobilisé environ 400 policiers. Une trentaine de portes ont été brisées et les étrangers ont été emmenés dans des cars sans pouvoir prendre leurs affaires.

Thierry Lévêque

Transexualité:B. Ndiaye se «Transforme» en femme et se marie avec un comte: L'histoire sécrète de comtesse Lady Diana Ndiaye

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Maniang Kassé a évoqué l'histoire d'un homme, originaire de Saint-Louis, qui a subi une opération pour devenir une femme et changer de nom. Une révélation qui laisse certains dubi­tatifs. Pourtant, le célèbre travesti ne parle pas à la légère. L'As révèle comment B.Ndiaye, fils de O.Ndiaye. T et de Dieyna F. est devenu... Diana Ndiaye dite Lady D ou «Comtesse»...
Dans une interview exclusive publiée hier dans nos colonnes, le célèbre travesti Maniang Kassé déclarait : « la seule personne que je connaisse dans l'histoire du Sénégal qui a osé changer de sexe et qui est allée jusqu'à modi­fier son état-civil est d'origine Saint-Louisienne. Elle vit actuel­lement en France et a pris de l'âge». A la lecture de l'entretien, certains ne croyaient pas un mot des confidences de celui où celle qui défraya la chronique, il y a trois ans. Pourtant, l'histoire, dont a fait cas Maniang Kassé, est bel et bien réelle, comme l'a appris L'As après des investiga­tions poussées. Celle, (il est maintenant devenu une femme) dont Maniang Kassé fait allusion, s'appelait, avant sa «transforma­tion», Ba.Ndiaye, fils de O. Ndiaye T. et de Diena F Son père, aujourd'hui décédé, tout comme sa maman d'ailleurs, était très connu, pour avoir été un grand homme politique, mais aussi pour avoir eu à occuper de hau­tes fonctions dans le pays.

Originaire de Saint-Louis, il a quitté l'ancienne capitale pour Dakar, en même temps que sa famille qui est toujours installée à la Patte D'oie. Il a fait ses huma­nités au Lycée Van Vollenhoven, aujourd'hui Lamine Guèye. Un camarade de classe confie : « il a été exclu, en même temps que M.S, un célèbre homosexuel. Une histoire de moeurs avait cho­qué la direction de l'époque». Exclu de l'école, donc, en même temps que M. S, qui vit aujourd'hui entre Almadies et Gorée, il s'inscrira dans le privé. véritable crack, l'ex-brillant élève a obtenu son bac haut la main, avant de rallier l'Université de Dakar, plus précisément la Faculté des Sciences économi­ques. « A cette époque, il était très efféminé, mais il ne portait jamais des habits de femme. Il était élancé, teint clair, mince, le beau gosse idéal quoi !», témoi­gne ce proche. La maîtrise en poche, il va en France pour pour­suivre ses études et c'est là que le changement va intervenir, après sa rencontre avec un comte d'origine italienne. «Aux frais de ce dernier, il effectue une opéra­tion au Maroc. Puis, une fois à Dakar, il introduit une requête auprès du Tribunal, pour chan­ger de nom. Je ne sais pas si le Tribunal l'avait suivi, mais, en tout cas, il s'est choisi, par la suite, un nom : Diana Ndiaye. Il a pris le nom de sa maman décé­dée».

Aujourd'hui, Diana Ndiaye vit avec son mari en Suisse, dans le Logano, et se fait appeler «Comtesse». La dernière fois qu'il était venu à Dakar, c'était lors du décès de sa maman, qui lui était très proche, malgré sa transmu­tation. «Quand il est arrivé dans le domicile familial de la Patte d'Oie, même ses deux soeurs ne l'ont pas reconnu. Il était devenu une femme, à part entière ! Aujourd'hui, comme l'a laissé entendre Maniang, elle a pris de l'âge. Elle a plus de 50 ans et vit, toujours, avec son mari», confie ce proche, qui dit n'avoir pas eu de ses nouvelles, depuis son der­nier séjour à Dakar, pour assister aux funérailles de sa mère. Pour tout simplement dire que Maniang Kassé sait bel et bien ce qu'il dit...

Cheikh Mbacké GUISSE

Source: L'as

Incroyable-inhumain- Difficile à voir et à accepter

Accord d'aide entre Unicef & MSN

Svp avant de jeter la nouriture qui vous reste dans votre assiette penser au personne qui meurt de faim!!!!

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En Afrique et en Asie et peut être ailleurs il y a des enfants qui meurt de faim, d'après l'accord passé entre Unicef et Msn,

pour les enfants décédés et les autres enfants une aide vient de commencer.

Autant de fois que tu enverras ce mail à des personnes, 5 euros seront attribués au compte d'Unicef.

Pour nos enfants d'Afrique et ceux victime du tsunamie, veuillez svp participer à cette 'appel d'amitié'

Le faite d'avoir reçu ce mail et de l'avoir envoyer fait déjà gagner 10 Euros à Unicef.


SVP faisant vivre ces enfants qui sont entrain de mourir.N'oublions pas que toutes les secondes un enfant est entrain de mourir de faim.


Envoyer ce mail à toutes les personnes que vous connaissez...

mardi, 12 février 2008

Bruxelles: Interdiction de vente d'alcool aux mineurs ?

Le ministre bruxellois Benoît Cerexhe veut interdire la vente aux moins de 16 ans dans les commerces. Entre autres mesures déjà avancées précédemment.

Sans aucun doute pétrie de bonnes intentions, l'idée du ministre bruxellois en charge de la Santé, Benoît Cerexhe (CDH) de s'attaquer à la problématique de la surconsommation d'alcool chez les jeunes, n'est pas neuve.

On se souviendra notamment du "Rapport Alcopops" ainsi que d'une proposition de résolution relative à "La consommation d'alcool par les mineurs" introduite le 25 février 2005 à la Chambre des Représentants par Mesdames Tilmans et Lejeune (MR) et adoptée en séance plénière le 3 mars 2005.

En résumé, il y était question d'établir des dispositions légales contre la publicité en faveur des boissons contenant de l'alcool en attirant l'attention des jeunes consommateurs essentiellement sur les dangers de la consommation d'alcool sous toutes ses formes; de renforcer les dispositions existantes en ce qui concerne le contrôle et le respect des législations concernant l'interdiction de vendre de l'alcool aux jeunes et de leur servir de l'alcool sous quelque forme que ce soit; d'interdire la mise à disposition de toute boisson alcoolisée destinée à la vente en dehors du rayon, ou partie de celui-ci, réservé aux boissons alcoolisées; et de mener, en collaboration avec les communautés, une campagne médiatique bien argumentée, qui attire l'attention des jeunes sur les dangers de la consommation d'alcool.

" Le Plan d'action européen contre l'alcoolisme, lancé par l'Organisation mondiale de la santé, doit être transformé en un Plan d'action national contre l'alcoolisme ", peut-on encore lire dans cette proposition de résolution. À ce propos, précisément, on se souviendra que la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Laurette Onkelinx (PS), avait annoncé, lors du lancement de la campagne de sensibilisation "Alcool et autres drogues" (LLB 30 janvier 2008), la concrétisation prochaine d'un "Plan national alcool", à discuter avec les communautés lors de la prochaine réunion interministérielle en mars.

Cinq recommandations

Pour ce qui concerne le ministre bruxellois Benoît Cerexhe, qui se dit " interpellé depuis plusieurs années par la problématique de la surconsommation d'alcool auprès des jeunes ", il s'agirait de " développer en matière de prévention, mais aussi en matière législative, des mesures générales à prendre pour la plupart au niveau fédéral ". Quelles sont-elles ? Cinq recommandations ont été formulées.

1. Interdictions de vente renforcées : reprochant à la législation belge de figurer parmi les plus laxistes d'Europe en la matière, puisque bière, vin et alcopops y sont en vente libre, le ministre propose d'aligner notre pays sur les voisins et, en l'occurrence, d'introduire la limite d'âge pour l'achat de bière et de vin à 16 ans. Si elle est déjà d'application dans les débits, elle ne l'est, en effet, pas dans les commerces.

2. Séparation physique des boissons : pour éviter toute banalisation ou confusion des genres, il serait à l'avenir judicieux de proposer à la vente les produits alcoolisés et non alcoolisés dans des frigos différents.

3. Message sur le support : à l'instar des paquets de cigarettes, les boissons alcoolisées devraient porter un message de sensibilisation attirant l'attention sur la nocivité d'une consommation excessive d'alcool et invitant à la modération.

4. Campagne d'information : selon le ministre, pouvoirs publics et acteurs de la santé devraient non seulement encourager les comportements positifs des vendeurs responsables, mais, en outre, renforcer les amendes en cas de non-respect de la législation.

5. Clarification sur les alcopops : face au flou qui règne sur de nombreux alcopops, considérés comme alcools forts au regard de la législation belge sur les accises quand ils contiennent des spiritueux et échappant la plupart du temps à l'interdiction de vente aux moins de 18 ans, sans doute serait-il utile de légiférer, estime encore Benoît Cerexhe.

Soit autant de propositions qui figuraient à peu de choses près dans la proposition de résolution adoptée en 2005... A croire que CDH et MR sont sur la même longueur d'ondes !

Ayaan Ali Hirsi jouit en France

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