jeudi, 17 janvier 2008
Français tués en Mauritanie: arrestation d'un nouveau suspect à Nouakchott
NOUAKCHOTT (AFP) - La police mauritanienne a arrêté dans la nuit de lundi à mardi un nouveau suspect à Nouakchott, portant à quatorze les arrestations dans l'enquête sur l'assassinat de quatre touristes français le 24 décembre en Mauritanie, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
"Mohamed Salem Ould Mohamed Lemine dit + Al Majlissi + a été arrêté dans la nuit de lundi à mardi à Nouakchott par la police mauritanienne. Il aurait été en contact avec les trois (assassins) présumés des touristes français avant l'attaque d'Aleg (sud de la Mauritanie) le 24 décembre", a précisé la même source judiciaire.
"Il est soupçonné de lien avec ces gens", a-t-elle ajouté.
Deux des trois assassins présumés de ces touristes, tués à Aleg le 24 décembre, ont été arrêtés le 11 janvier à Bissau par la police bissau-guinéenne, en coopération avec les services de renseignement français.
Les deux hommes, proches de la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb (Baqmi), ont été extradés le 12 janvier vers la Mauritanie, en compagnie de trois autres Mauritaniens soupçonnés de leur avoir "porté assistance".
"Al Majlissi" fait partie d'un groupe de salafistes jihadistes accusés de lien avec l'ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien devenu la Baqmi.
Arrêté en 2006, il fut jugé et acquitté en juillet 2007 par la justice mauritanienne.
Huit autres personnes soupçonnées d'avoir porté assistance aux trois auteurs de l'attaque ont également été arrêtées dans les premiers jours de l'enquête à Aleg.
L'arrestation de Mohamed Salem Ould Mohamed Lemine porte à quatorze le nombre de personnes arrêtées dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat des touristes français.
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mercredi, 16 janvier 2008
Sri Lanka: l'explosion d'une bombe tue 23 passagers d'un bus et en blesse une vingtaine d'autres dans le sud-est du pays
COLOMBO, Sri Lanka - Une bombe a explosé mercredi au passage d'un bus bondé dans le sud-est du Sri-Lanka, tuant 23 personnes et faisant près de 70 blessés, a annoncé l'armée.
Le bus a essuyé des tirs peu après l'explosion de la bombe, a rapporté un responsable de la police locale, Daya Samaraweera.
L'attentat a eu lieu dans la ville de Butalla, à 240 kilomètres au sud-est de la capitale Colombo et intervient après le retrait officiel du gouvernement d'un accord de cessez-le-feu avec les rebelles séparatistes du nord du pays. AP
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lundi, 14 janvier 2008
Prison requise en France pour les six de L'Arche de Zoé
CRETEIL, Val-de-Marne (Reuters) - Le procureur de Créteil a requis la conversion en peines de prison de la même durée les huit ans de travaux forcés prononcés au Tchad le mois dernier contre six Français de l'organisation humanitaire Arche de Zoé, pour tentative d'enlèvement d'enfants.
Le tribunal de Créteil a mis son jugement en délibéré au 28 janvier. S'il suivait le parquet, les condamnés n'auraient comme seul espoir qu'une grâce du président tchadien Idriss Déby. La libération conditionnelle n'est possible qu'après plusieurs années de détention.
Arrêtées le 27 octobre dans l'est du Tchad alors qu'elles s'apprêtaient à embarquer pour la France avec 103 enfants, les six personnes ont été condamnées le 26 décembre à N'Djamena.
Renvoyés en France le 28 décembre, en vertu d'un accord bilatéral de 1976, elles sont depuis emprisonnées à Fresnes.
Cette audience dite "d'adaptation" est imposée par le fait que les travaux forcés n'existent pas en droit français. La marge d'action des juges de Créteil est a priori très faible.
"Il ne s'agit pas ici de tenir un nouveau procès. Vous ne pouvez porter une nouvelle appréciation sur les faits, réviser le quantum des peines. S'engager dans cette voie serait porter atteinte à un principe international", a dit à l'audience le procureur Jean-Jacques Bosc.
Si les détenus n'exécutaient pas leur peine, la France serait mise en position délicate à l'avenir pour tout dossier similaire, a-t-il souligné. Il a reproché aux condamnés d'avoir mis par leur projet la France en danger diplomatique.
La défense a soutenu que la peine n'était pas valable car prononcée dans un Etat selon elle non démocratique et au terme d'une procédure qui n'aurait pas été équitable.
Les sept avocats suggèrent au tribunal d'exécuter la peine, en s'appuyant sur la Convention européenne des droits de l'homme, dont la force juridique serait supérieure selon eux à l'accord franco-tchadien.
"DESOLES D'AVOIR FOIRE"
Cinq des condamnés étaient présents, mais pas Nadia Merimi, une infirmière de 31 ans trop faible et hospitalisée en prison. Ses co-détenus ont assuré devant le tribunal avoir mené de bonne foi un projet d'aide aux orphelins victimes du conflit dans la province soudanaise du Darfour.
Le président de L'Arche de Zoé, Eric Breteau, 37 ans, en grève de la faim et venu au tribunal assisté d'infirmiers, n'a parlé que pour ses amis. "Ce sont tous des gens au grand coeur, ils ne méritaient pas ces injustices, s'il vous plait, rendez-leur justice, rendez-leur leur liberté", a-t-il dit.
"On est vraiment désolés d'avoir foiré", a dit, s'adressant aux familles des détenus, sa compagne Emilie Lelouch, 31 ans. Elle a expliqué "penser aux enfants" et assuré qu'elle ne regrettait rien, même si elle devait rester en prison.
"Les enfants sont les otages de cette mascarade", a dit le logisticien de l'ONG Alain Péligat, 56 ans.
L'autre logisticien Dominique Aubry, 50 ans, arrivé au Tchad quelques semaines avant les faits, et le médecin Philippe Van Winkelberg, 48 ans, se sont démarqués de l'ONG en soulignant qu'ils n'avaient fait qu'apporter leurs compétences techniques, ignorant tout du reste.
"Je ne sais pas si ma vie est finie, je m'en remets à vous. Je n'ai toujours travaillé que pour mon prochain", a dit Dominique Aubry, qui n'est pas membre de l'ONG. "Je préfère faire des travaux forcés dans mon village pour mes patients", a dit Philippe Van Winkelberg, qui s'estime victime d'une "prise d'otages politique".
Les 103 enfants qui semblent, selon une étude de l'Onu, n'être ni orphelins ni soudanais, avaient été recueillis dans l'est du Tchad auprès de leurs parents, via des intermédiaires, après qu'il ait été proposé non une évacuation vers la France mais un séjour dans un centre au Tchad pour des soins médicaux et un enseignement.
Emilie Lelouch, Philippe Van Winkelberg et Alain Péligat, ont été mis en examen la semaine dernière dans un dossier distinct ouvert à Paris pour "aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers, escroqueries et exercice illégal de la profession d'intermédiaire en vue de l'adoption".
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Clara Rojas retrouve son fils Emmanuel
Un enfant qu'elle n'avait pas vu depuis 3 ans. Emmanuel avait été séparé de sa mère quand il avait 8 mois et a été retrouvé tout récemment dans un orphelinat de Bogota. Aujourd'hui il a presque 4 ans.
L'assistance publique qui s'occupe de lui l'a remis hier soir à sa mère "de manière temporaire". Il lui faudra faire preuve de patience avant de garder définitivement son fils. Elle savoure son bonheur.
"C'était la sensation la plus merveilleuse que je n'aurais jamais pu imaginée. Nous sommes tous les deux heureux."
Clara Rojas est rentrée hier de Caracas après être restée presque 6 ans entre les mains des Farcs, les Forces armées révolutionnaires de Colombie. L'autre otage libérée, l'ex-parlementaire Consuelo Gonzalez doit retourner aujourd'hui en Colombie.
Beaucoup espèrent que ce happy end sera de bonne augure pour les 750 autres otages et notamment la franco-colombienne Ingrid Betancourt, capturée avec son amie Clara Rojas en février 2002.
08:36 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
dimanche, 13 janvier 2008
Arrestation de trois tueurs présumés des Français en Mauritanie
BISSAU (Reuters) - La police de Guinée-Bissau a annoncé l'arrestation de trois nouveaux suspects, présentés comme des membres présumés d'Al Qaïda, dans l'enquête sur le meurtre de quatre touristes français abattus à la veille de Noël en Mauritanie.
Les trois hommes, de nationalité mauritanienne, ont été interpellés vendredi soir quelques heures après l'arrestation de deux autres Mauritaniens décrits par les autorités comme des "terroristes présumés d'Al Qaïda".
"Les deux premiers suspects ont avoué qu'ils sont des combattants d'Al Qaïda, qu'ils ont des motivations d'ordre politique, et qu'ils sont hostiles à l'Occident", a déclaré le directeur adjoint de la police judiciaire de l'ancienne colonie portugaise, Edmundo Mendes.
La Guinée-Bissau a indiqué que ces interpellations avaient été effectuées en collaboration avec des enquêteurs français.
"Les trois nouveaux suspects ont été interpellés par la police alors qu'ils tentaient de photographier les policiers français à bord d'un véhicule 4x4 Toyota Landcruiser", a ajouté Edmundo Mendes.
"Nous avons des renseignements selon lesquels l'un des trois interpellés hier est impliqué dans l'assassinat des quatre Français", a-t-il précisé.
Les quatre touristes faisaient partie d'un groupe de cinq Français se rendant en voiture au Mali voisin lorsqu'ils ont été attaqués par trois individus circulant aux environs de la ville d'Aleg, à 250 km au sud-est de Nouakchott.
Coiffés de chèches, les assaillants ont ouvert le feu au fusil-mitrailleur, tuant trois membres d'une même famille et un ami. Le père de la famille, âgé de 73 ans, a quant à lui été blessé à la jambe et rapatrié.
Alberto Dabo, version française Jean-Stéphane Brosse
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mardi, 08 janvier 2008
Cinq Belges bloqués par la neige à Téhéran
Cinq voyageurs belges sont également bloqués à l’aéroport de Téhéran à cause des fortes chutes de neige, a-t-on auprès du porte-parole du SPF Affaires étrangères. Il s’agit d’hommes d’affaires qui ont participé à une conférence et qui sont bloqués depuis deux jours. « Comme ils n’ont pas pris contact avec notre ambassade, nous supposons qu’ils n’ont pas besoin de notre aide », a expliqué M. Michielsen. Selon lui, les hommes d’affaires disposent de suffisamment de moyens pour se loger dans un hôtel international à Téhéran. Auparavant l’Agence néerlandaise de presse avait annoncé qu’une cinquantaine de voyageurs néerlandais étaient coincés au « Khomeini International Airport ».
12:37 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Tempête dans l'ouest des Etats-Unis: deux morts et deux disparus
CONEJOS, Colorado - Deux femmes ont trouvé la mort dans une tornade qui s'est abattue sur le Missouri alors que deux skieurs étaient toujours recherchés dans les montagnes du Colorado. Six personnes qui faisaient du motoneige portées disparues pendant deux jours et demi ont été retrouvées lundi.
Dans le Midwest, au moins deux femmes ont été tuées dans des tornades, exceptionnelles en janvier, et six personnes ont été conduites à l'hôpital, a indiqué Michael Taylor, chef des pompiers de Marshfield, dans le sud-ouest de l'état.
Dans l'Illinois, près de 500 personnes ont quitté leur maison pour fuir une tornade.
Dans le Colorado, deux skieurs étaient recherchés depuis samedi à Wolf Creek Pass dans le sud de l'état. Les secours étaient ralentis par les risques d'avalanche.
Parallèlement, six personnes qui étaient portées disparues après avoir étés surprises par d'importantes chutes de neige à Cumbres Pass, ont été retrouvées saines et sauves. Le groupe constituée de deux couples et de deux adolescents avait trouvé refuge dans une cabane, où étaient stockées des vivres. Partis pour une journée de motoneige, ils se sont perdus et sont tombés en panne d'essence.
Les avalanches ont provoqué la coupure de deux portions de l'autoroute 70, qui mène aux principales stations de ski du Colorado.
Dans le reste du pays, près de 300 foyers étaient submergés par les eaux dans le Nevada après la rupture des digues d'un canal provoquée par de fortes précipitations amenées par une violente tempête hivernale qui frappe la côte ouest des Etats-Unis depuis plusieurs jours.
Des milliers de foyers étaient encore privés d'électricité lundi en Californie. AP
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Un ministre tué dans un attentat à Colombo
COLOMBO - Le ministre touché dans un attentat mardi près de la capitale sri-lankaise a succombé à ses blessures, a annoncé l'armée.
Le ministre de la Construction nationale D.M Dassanayake est mort à l'hôpital après avoir été visé par une bombe contre sa voiture dans le quartier de Ja-Ela, à une vingtaine de kilomètres au nord de Colombo, a précisé le porte-parole de l'armée Udaya Nanayakkara. AP
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mardi, 01 janvier 2008
Une française tuée au Burundi
PARIS (Reuters) - Une employée française de l'organisation humanitaire Action contre la faim (ACF) a été tuée par balle au Burundi et une collègue grièvement blessée, rapporte l'ONG mardi.
Le véhicule à bord duquel elles circulaient, qui portait les logos d'ACF, a été mitraillé lundi soir à Ruyigi, à environ 170 km à l'est de la capitale, Bujumbura.
Cinq personnes étaient dans la voiture, trois expatriées françaises et deux jeunes femmes burundaises qui, de même qu'une Française, sont sorties indemnes de cette fusillade.
On ignore les raisons de cette attaque.
"On n'avait aucune indication de problèmes de sécurité dans cette région", a déclaré à LCI le directeur général d'ACF, François Danel, qui a souligné qu'il ne s'agissait apparemment pas d'un crime crapuleux.
"Les tirs ont eu lieu en ville alors que la nuit tombait à peine (...), jamais nous n'avions reçu de menace. Nos équipes sont présentes sur place depuis plusieurs années, on ne comprend absolument pas ce qui a pu se passer", a-t-il expliqué par la suite dans un communiqué publié par ACF.
Il a rendu hommage à la jeune femme décédée, une psychologue d'une trentaine d'années qui travaillait pour ACF au Burundi depuis plusieurs mois. L'organisation a suspendu ses programmes dans le pays, où elle est présente depuis 1994, le temps d'en savoir plus sur les causes de ce crime.
Le président Nicolas Sarkozy a demandé aux autorités burundaises de faire toute la lumière sur ce crime.
Dans un communiqué diffusé par l'Elysée, il salue "l'engagement courageux et généreux des volontaires français qui interviennent en faveur des populations défavorisées dans des conditions souvent difficiles".
Gilles Trequesser
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dimanche, 30 décembre 2007
Un photographe de l'AFP blessé par la police égyptienne en couvrant un jogging de Sarkozy
CHARM EL-CHEIKH (AFP) - Un photographe de l'AFP, Thomas Coex, a eu le coude gauche cassé par un policier égyptien alors qu'il prenait des photos de Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner en train de faire un jogging à Charm el-Cheikh samedi.
Alors que le président français et son ministre des Affaires étrangères faisaient vers 18H00 (16H00 GMT) un jogging sur une artère très fréquentée de la station balnéaire égyptienne où ils passent leur congés, ils ont été vus par des journalistes.
"On se baladait, il faisait déjà noir. Le temps de sortir un appareil et de courir un peu vers eux, j'étais vraiment derrière, je suis arrivé à peut-être 10 mètres du président", a témoigné le photographe de l'AFP.
Un policier égyptien en civil, qui courait derrière les responsables français et leurs gardes du corps, s'est dirigé vers le photographe de l'AFP alors que le reste du groupe continuait à courir.
"Il m'a fait une sorte de croche-pied et m'a poussé. J'ai fait un vol plané. Je suis tombé sur le bras, mon appareil a volé et s'est fracassé", a témoigné Thomas Coex.
Le policier l'a alors plaqué et maintenu au sol en lui faisant une clé de bras et en pointant son arme de service sur sa tête, selon le témoignage du photographe et d'un autre journaliste de l'AFP arrivé alors sur les lieux.
Un autre homme en civil a aidé le premier policier à maintenir au sol le photographe pendant plus de cinq minutes, au milieu d'un groupe de badauds, avant que n'arrive un gradé en uniforme.
Le photographe de l'AFP a alors été conduit au poste de police et retenu une vingtaine de minutes, avant d'être autorisé à se rendre à l'hôpital, accompagné d'une collègue française et d'un policier égyptien.
Au cours de l'incident, le photographe a appelé à l'aide un garde du corps français qui suivait Nicolas Sarkozy. Ce garde du corps s'est retourné avant de continuer sa route derrière le président et M. Kouchner, dont le photographe blessé ne pouvait dire s'ils avaient eux-mêmes remarqué l'incident.
Le photographe a été admis à l'hôpital de la station balnéaire d'où il est ressorti dans la soirée avec le bras gauche dans le plâtre.
Vendredi, les forces de sécurité égyptiennes avaient tiré en l'air pour empêcher des photographes de s'approcher du bateau où se trouvaient le président et sa compagne Carla Bruni au large de Charm el-Cheikh.
"C'est un chef d'Etat, il est normal que les mesures de sécurité soient draconiennes", avait expliqué à l'AFP une source au sein des services de sécurité.
A Louxor (sud), où ils avaient entamé mardi leurs vacances égyptiennes, M. Sarkozy et Carla Bruni s'étaient prêtés facilement au jeu des photos avec les touristes.
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Colombie: six personnes portées disparues après des explosions dans une base militaire
BOGOTA - Six personnes étaient portées disparues et huit autres blessées après une série d'explosions samedi dans une base militaire de Medellín, la seconde ville de Colombie, selon des responsables de l'armée. La possibilité d'une attaque contre la base a été exclue par les autorités.
La première d'au moins six déflagrations semblait avoir été provoquée par une grenade qui a explosé à l'intérieur d'une armurerie, selon des témoins cités par les médias locaux.
Le général Luis Roberto Pico a déclaré que les personnes portées disparues pourraient se trouver à l'intérieur de l'arsenal, qui a été ravagé par les flammes. Il n'a pas précisé si ces personnes étaient présumées décédées.
Il a exclu la piste d'une attaque, mais a déclaré que l'origine des explosions restait à déterminer. AP
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samedi, 29 décembre 2007
Bruxelles:Une usine de bonbons détruite à Neder-over-Heembeek
Une usine de bonbons a été complètement détruite dans la nuit de vendredi à samedi à Neder-over-Heembeek. Deux pompiers ont été légèrement blessés, ont indiqué samedi les pompiers bruxellois. Ceux-ci suspectent un incendie volontaire en raison de la présence de plusieurs traces d'effraction et l'existence de différents foyers d'incendie. Les pompiers ont été d'abord appelés pour un incendie dans les bureaux de l'usine de bonbons. L'incendie était limité et a pu être rapidement contrôlé mais il s'est avéré que de la fumée continuait à se dégager dans un entrepôt. Le pompiers ont par la suite découvert un second foyer d'incendie, qui s'est rapidement étendu. Une grande partie de l'usine a été la proie des flammes.
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Un rêve d'enfant réalisé, c'est fou....plusque de la racaille
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Sarkozy ignore la polémique et poursuit sa noce sous protection en Egypte
CHARM EL-CHEIKH (AFP) - Faisant fi de la polémique née en France, Nicolas Sarkozy a poursuivi ses vacances en Egypte avec Carla Bruni, à Charm-el-Cheikh, placé sous haute sécurité, qu'il avait rejoint jeudi en utilisant le jet de l'homme d'affaires Vincent Bolloré.
Entre deux bains de soleil, le président français a rencontré vendredi matin son homologue Hosni Moubarak, un habitué de la station balnéaire des bords de la mer Rouge, pour évoquer notamment la situation au Pakistan après le décès à la suite d'un attentat de Benazir Bhutto, selon l'Elysée.
Les deux chefs d'Etat se retrouveront dimanche matin au Caire pour une visite officielle et express --24 heures-- de M. Sarkozy, qui sera accompagné de son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
Après Louxor (sud), les mesures de sécurité ont été renforcées à Charm el-Cheikh, dernière étape de la visite privée de M. Sarkozy, afin notamment de tenir à distance journalistes et photographes, jusque-là peu gênés dans leur travail.
Les forces de l'ordre ont ainsi procédé vendredi à des tirs en l'air en pleine mer pour éloigner des paparazzi qui tentaient de s'approcher du bateau où se trouvait le président français.
Un journaliste de France 24 a été interpellé jeudi et sa carte mémoire effacée après avoir pris en photo la villa de vacances de M. Sarkozy, dont les abords ont été bouclés. Des photographes se sont aussi vu confisquer leur matériel.
Le durcissement du dispositif a été voulu par les autorités égyptiennes, indique-t-on dans l'entourage du chef de l'Etat français, dans une ville frappée par un attentat en 2005 qui avait fait une soixantaine de morts.
Depuis leur arrivée dans la ville côtière, M. Sarkozy et son amie n'ont pas été vus ensemble en public, contrairement à Louxor où ils ne sont jamais cachés des médias, et ce dès l'aéroport.
L'utilisation par le chef de l'Etat d'un avion prêté par M. Bolloré a déclenché une avalanche de protestations de l'opposition, qui s'est notamment interrogée sur les "contreparties" que pourrait en attendre le milliardaire.
Jeudi, M. Sarkozy n'a pas souhaité répondre à la presse qui voulait notamment le solliciter sur ce thème.
Les commentaires désapprobateurs portent aussi sur le choix par le président et ses proches de loger dans une suite d'un 5 étoiles à Louxor, le Old Winter Palace, à 850 euros la nuit pour l'option "présidentielle", jusqu'à 1.250 euros pour la version "royale".
A Charm el-Cheikh, la "Baie des princes", Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se sont isolés dans une villa, sur la baie de Naama. La résidence somptueuse, en lisière d'un immense complexe hôtelier de 20 hectares du groupe Accor, dispose d'un accès direct à la mer.
Au lendemain d'un dîner privé sous une tente dressée spécialement face au temple de Louxor illuminé, le couple avait profité jeudi de sa dernière matinée pour visiter la Vallée des Reines, site des sépultures des épouses de pharaons.
M. Sarkozy et Carla Bruni, toujours main dans la main ou se tenant par la taille, ont exploré deux tombes. Celle de Néfertari, l'épouse préférée de Ramsès II qui a régné 67 ans et dont le couple avait visité la veille un temple érigé à sa gloire, a été exceptionnellement ouverte.
Nicolas Sarkozy, en chemise kaki, s'est une fois de plus prêté facilement au jeu des photos-souvenir, acceptant même de poser une fois avec Carla Bruni, chemisette noire et jean moulants.
Alors que, jusque-là, la visite "glamour" du président n'avait pas fait de vagues en Egypte, un député indépendant a protesté, estimant que "le pays qui abrite al-Azhar" (la plus haute instance de l'islam sunnite) aurait dû refuser des comportements "libertins".
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Les membres de l'Arche de Zoé transférés en France
PARIS (Reuters) - Les six membres de l'ONG l'Arche de Zoé condamnés mercredi au Tchad à huit ans de travaux forcés pour tentative d'enlèvement d'enfants ont été transférés vendredi de N'Djamena en France pour y purger leur peine.
Leur avion, où avait pris place une escorte de l'administration pénitentiaire française, a atterri au Bourget (Seine-Saint-Denis) peu après 21h20, a constaté un correspondant de Reuters.
"Le président de la République avait pris l'engagement, devant les familles de ces six ressortissants français, qu'il ne ménagerait aucun effort pour assurer leur retour en France aussi rapidement que possible", a déclaré David Martinon, porte-parole de Nicolas Sarkozy, dans un communiqué.
Le procureur de Bobigny, François Molins, a procédé sur place aux vérifications formelles d'identité et à la notification de la procédure.
Les condamnés se sont vu signifier leur placement en détention, légalement inévitable, dans un établissement pénitentiaire, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse.
François Molins n'a pas précisé de quel établissement il s'agissait, ni s'il s'agissait d'un service médicalisé.
Les condamnés ont observé une grève de la faim au Tchad.
Des familles des détenus et des membres du comité de soutien ont attendu aux abords du Bourget l'arrivée de l'avion aux cris de "liberté", scandant le prénom de chacun des humanitaires.
Beaucoup ont regretté de ne pas avoir pu voir leurs proches sur le tarmac.
"On a demandé à les voir, c'est refusé. Je ne me sens pas soulagée, c'est le côté médical qui me préoccupe", a déclaré Christine Péligat, épouse du logisticien Alain Péligat.
INSTRUCTION EN FRANCE
"Ce n'est pas la fin du calvaire. Je reste révoltée parce que Philippe est innocent. J'attends que Philippe soit libre, j'attends qu'il reprenne sa vie, j'attends la vérité, j'attends son innocence, j'attends qu'il me revienne à la maison", a déclaré pour sa part sur RTL Antonia Van Winkelberg, épouse du médecin membre de l'Arche de Zoé.
Paris avait demandé officiellement jeudi le transfert des travailleurs humanitaires français détenus au Tchad depuis deux mois. Les six membres de L'Arche de Zoé ont donné leur accord à cette procédure qui s'appuie sur un accord bilatéral passé en 1976 entre le Tchad et la France.
La conversion de leur peine de travaux forcés en emprisonnement sera soumise au tribunal correctionnel de Bobigny dans les prochains jours ou les prochaines semaines.
Ils auront accès au régime d'exécution des peines français, qui prévoit qu'un condamné dans une affaire criminelle peut formuler une demande de libération conditionnelle à mi-peine, soit après quatre ans de détention dans leur cas.
La définition des modalités d'exécution de la peine devra faire l'objet d'autres procédures.
Les avocats des condamnés ont déclaré avant même le procès qu'ils escomptaient une grâce du président tchadien Idriss Déby, en contact constant avec Nicolas Sarkozy depuis le début de l'affaire. Les deux hommes se sont encore parlés au téléphone vendredi, a fait savoir l'Élysée.
Une grâce, immédiate ou après une certaine période de détention, effacerait la peine et rendrait leur liberté aux condamnés. L'Élysée n'a pas le pouvoir de la prononcer.
Les six membres de l'ONG ont été reconnus coupables de tentative d'enlèvement vers la France de 103 enfants africains âgés de un à dix ans. Ils disaient y voir des orphelins du Darfour, mais ils semblent être presque tous Tchadiens et n'être pas orphelins.
Une instruction distincte pour "exercice illégal de la profession d'intermédiaire en vue de l'adoption et escroquerie" reste ouverte à leur encontre à Paris. Ils encourent une mise en examen, voire une mise en détention et un nouveau procès dans ce dossier, qui regroupe plusieurs dizaines de plaintes déposées par les familles approchées en France par l'association et qui ont versé des sommes d'argent.
Les juges d'instruction parisiens devront examiner si les faits ne sont pas les mêmes que ceux visés dans la condamnation tchadienne, auquel cas un non-lieu devrait être rendu. Le parquet de Paris considère que tel n'est pas le cas, dit-on au bureau du procureur.
Reste aussi à régler le problème des 6,3 millions d'euros que la justice tchadienne leur a imposé de payer aux parents des victimes.
Elizabeth Pineau, Laure Bretton et Thierry Lévêque à Paris avec Pascal Fletcher à N'Djamena
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vendredi, 28 décembre 2007
Sarko dans la rupture loin des problèmes du pays de la racaille
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Nicolas Sarkozy et Carla Bruni la noce continue sur les bords de la mer Rouge
CHARM EL-CHEIKH, Egypte (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy, accompagné de son amie Carla Bruni, a poursuivi à Charm el-Cheikh, cité balnéaire du bord de la mer Rouge, des vacances égyptiennes qui suscitent la polémique.
Il est arrivé en début de soirée de Louxor à bord du jet privé du milliardaire français Vincent Bolloré, qui l'avait déjà amené de France en Egypte mardi, a rapporté un photographe de Reuters.
Si les reporters présents ont été informés de son arrivée, des mesures de sécurité suffisantes ont cette fois été déployées pour empêcher toute prise de vue. Les images du début de semaine ont suscité une vague d'articles interloqués dans la presse européenne.
Le chef de l'Etat français devait s'installer en compagnie de sa suite dans une villa située sur la baie de Naama, avec un accès direct à la mer, qui appartiendrait cette fois au cheikh d'Abou Dhabi, émirat pétrolier du Golfe persique, croit savoir Le Canard enchaîné.
Le magazine satirique affirme aussi que le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner serait parmi les convives de la résidence de luxe. A Paris, l'Elysée se refuse à tout commentaire.
Au début de ce séjour privé, Nicolas Sarkozy et la chanteuse et ancien mannequin s'étaient prêtés avec décontraction au jeu des paparazzi, souvent main dans la main, au fil de visites de sites archéologiques ou de promenades encadrées de gardes du corps.
Le fait qu'une partie du voyage soit financée par Vincent Bolloré a suscité la réprobation de l'opposition de gauche.
JEGO VANTE LA "RUPTURE"
La polémique fait écho à celle déclenchée en mai dernier lorsque l'homme d'affaires, qui dirige un très important groupe international de transports, d'énergie et de communication, avait prêté son yacht au chef de l'Etat pour une croisière au large de Malte avec Cécilia Sarkozy.
L'ex-candidate PS à l'élection présidentielle Ségolène Royal a accusé le chef de l'Etat de "mettre en cause l'indépendance et la dignité de la fonction présidentielle", lui demandant de cesser de "provoquer par son comportement ostentatoire."
D'autres critiques portent sur le style "people" de la présidence française, le quotidien le Monde citant des remarques peu amènes de la presse européenne.
Le porte-parole de l'UMP, Yves Jégo, a répliqué jeudi que le style des vacances de Nicolas Sarkozy était, comme dans d'autres domaines, la marque de la rupture, de la transparence et de la modernité.
"Le président de la République a voulu là aussi jouer la rupture et ne rien cacher. Ce qui ne se disait pas, ce qui ne se montrait pas, aujourd'hui fait l'objet d'une volonté de transparence", a-t-il dit sur Europe 1.
Ses vacances achevées, Nicolas Sarkozy entamera le 30 décembre au matin une visite officielle au Caire, où il sera reçu par le président Hosni Moubarak.
Il regagnera ensuite Paris le 31 décembre pour présenter ses premiers voeux de Nouvel an aux Français.
Par ailleurs, l'ex-épouse de Nicolas Sarkozy, Cécilia, prépare deux mois après son divorce un livre d'entretiens avec une journaliste, avance jeudi Le Figaro littéraire.
"Le secret est aussi bien gardé que les clés du code nucléaire", écrit le quotidien, précisant que l'ouvrage sortirait début janvier.
Gérard Bon, à Paris
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jeudi, 27 décembre 2007
Arche de Zoé: la justice tchadienne n'a pas encore reçu de "demande" de transfèrement de la part de la France
PARIS - Le ministre tchadien de la Justice a affirmé jeudi que les autorités de son pays n'étaient pas au courant d'une "demande" officielle de Paris en vue du transfèrement en France des condammés de l'affaire de l'Arche de Zoé, estimant par ailleurs que "la justice tchadienne a été très efficace".
"A notre niveau nous n'avons pas encore reçu une quelconque demande. Nous attendons, étant entendu que c'est quelque chose de prescrit dans les accords de coopération et d'entraide judiciaire entre le Tchad et la France, ce sera étudié techniquement par les services concernés", a ajouté Pahimi Padacké interrogé sur RTL depuis N'Djamena.
M. Padacké a souligné que "le peuple tchadien au nom de qui ce verdict a été rendu (...) doit être fier de sa justice, et même le peuple africain." Il n'a pas exclu que les condammés souhaitent purger leur peine au Tchad, expliquant détenir un courrier d'Eric Breteau "disant que les conditions de détention au Tchad sont meilleures qu'en France".
Les six Français de l'Arche de Zoé ont tous été condamnés mercredi à la même peine, huit ans de travaux forcés, par la Cour criminelle de N'Djamena qui les a jugés coupables d'avoir tenté d'enlever 103 enfants au Tchad afin de les emmener en France il y a deux mois. AP
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mercredi, 26 décembre 2007
Tentative d’évasion de Trabelsi
La police fédérale a déjoué, dans le cadre d’une enquête menée par un juge d’instruction bruxellois, une tentative d’évasion de Nizar Trabelsi, condamné en juin 2004 à 10 ans de prison pour la préparation d’un attentat contre la base militaire de Kleine-Brogel.
Quinze perquisitions ont été menées vendredi matin dans différents arrondissements judiciaires et 14 personnes ont été interpellées, a-t-on appris vendredi à l’occasion d’un point presse au centre de crise du ministère de l’Intérieur.
La section terrorisme de la police fédérale et le parquet fédéral craignent des actes à caractère terroriste dans les prochains jours, ont-ils indiqué vendredi lors d’une conférence de presse. Des mesures de sécurité renforcées, visibles et moins visibles, seront d’application jusqu’au 2 janvier, principalement dans des lieux stratégiques de Bruxelles.
Les autorités demandent à la population belge de rester vigilante mais de ne pas céder à la panique.
Quinze mandats de perquisitions ont été exécutés vendredi matin sur différents arrondissements judiciaires et principalement sur celui de Bruxelles. Ces perquisitions ont été menées dans le cadre d’un dossier d’un juge d’instruction bruxellois spécialisé dans la lutte contre le terrorisme relatif à un projet d’évasion de Nizar Trabelsi, dont avait été informé la police fédérale.
Les perquisitions de vendredi matin visaient un groupe d’islamistes présumés qui aurait eu pour projet de faire évader Nizar Trabelsi au moyen d’explosifs et d’armes. Quatorze suspects ont été interpellés vendredi matin dans le cadre de ces perquisitions. On ignore si des armes ou des explosifs ont été saisis vendredi matin par la police.
Le parquet fédéral a estimé que si ce groupe pouvait utiliser des explosifs et des armes pour assurer l’évasion d’un détenu d’une prison belge, il n’était pas exclu que ces moyens soient utilisés à d’autres fins.
Une évaluation des menaces terroristes en Belgique a été menée par l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM) qui estime que des mesures doivent être prises pour renforcer la sécurité de certains lieux fort fréquentés par la population, particulièrement à Bruxelles, comme sur les marchés de Noël, dans des rues commerçantes, Grand-Place, à Brussels Airport ou les stations de métro.
Des mesures visibles, comparables à celles adoptées lors des sommets européens à Bruxelles, avec une présence policière plus importante, et d’autres plus discrètes seront prises jusqu’au 2 janvier prochain. Les autorités judiciaires réexamineront la situation en fonction notamment d’une nouvelle analyse de l’OCAM, pour décider ou non de prolonger ces mesures. Il est demandé à la population d’être vigilante sans céder à la panique.
Le centre de crise du ministère de l’Intérieur a indiqué vendredi que le phénomène du terrorisme faisait partie de l’actualité quotidienne dans le monde et que le risque s’avère désormais réel en Belgique depuis le projet d’évasion de Nizar Trabelsi.
(D’après Belga)
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