La Belgique résista crânement aux assauts turcs en début de partie, mais l'échappa quand même belle au quart d'heure lorsque Tuncay, en position idéale pour conclure après un centre d'Arda, croisa trop sa reprise de la tête. Les Diables Rouges n'étaient nullement débordés, et forcèrent même un corner qui allait débloquer le marquoir à la 28-ème minute. Bien botté par Alderweireld, il permit en effet à Van Buyten de devancer la sortie de Kivrak, et de marquer imparablement de la tête. La Belgique conserva cet avantage jusqu'à la 48-ème, Hamit Altintop fusillant Bailly en deux temps après un débordement de Köybasi qui avait échappé à Alderweireld (1-1). Réduite à 10 après l'exclusion de Kompany à la 64-ème, la Belgique se retrouva menée 2 minutes plus tard, Sentürk convertissant un centre d'Hamit Altintop qui avait surpris Vertonghen et Van Buyten. Mais ce dernier marqua une 2-ème fois de la tête à la 68-ème, après un service en or de Lukaku à la réception d'une transversale parfaite de Mirallas. Arda Turan signa le but de la victoire turque à la 78-ème. Autriche - Kazakhstan (20h30) et Allemagne - Azerbaïdjan (20h45) ont débuté plus tard. 3-ème journée le 8 octobre: Kazakhstan - Belgique, Autriche - Azerbaïdjan et Allemagne - Turquie.
lundi, 11 octobre 2010
France _ Roumanie
14:07 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : equipe de france | del.icio.us | Facebook | | |
mardi, 05 octobre 2010
Bolivie: quand le président se prend pour Zidane
Evo Morales, le président de la Bolivie, est un homme au sang chaud. Malgré la retenue que doit lui conférer sa fonction, Morales a parfois du mal à garder ses nerfs. Illustration sur un terrain de football où il s'est fait justice en portant un coup vraiment très bas à un adversaire...
En politique comme en sport, il faut savoir maîtriser ses nerfs malgré les coups bas. Zinedine Zidane en sait quelque chose, exclu en finale de Coupe du monde après avoir violemment réagi à une insulte de l'Italien Marco Materazzi. Plus de quatre ans après les faits, Zizou continue à faire des émules. Mais cette fois, c'est au plus haut sommet de l'état bolivien que cela s'est passé. Numéro 10 sur le dos, Evo Morales, le président de la Bolivie et grand amateur de football, a disputé lundi un match de football avec son équipe présidentielle contre la mairie de la Paz, d'un bord politique différent. Victime d'une semelle non sanctionnée par l'arbitre, Morales a donc décidé de sévir lui même en adressant un violent coup de genou dans l'entrejambe de son opposant politique... Un incident qui a provoqué une échauffourée, conclue par l'expulsion du défenseur fautif et d'un garde du corps présidentiel. "J'ai passé le ballon et j'ai reçu d'un coup une semelle, et ce n'est pas la première fois que cela se produit", a déclaré Morales à l'issue d'un match houleux (4 expulsions). Mais à l'inverse de Zidane, Morales n'a pas pris de carton rouge. Peut-être une nouvelle sorte d'immunité présidentielle.
En tout cas, en France, on préfère encore voir à l'oeuvre Valéry Giscard d'Estaing, transformant un penalty. En 1973, celui qui n'était pas encore président de la République mais seulement ministre des Finances avait montré l'étendue de son talent balle au pied dans un contexte beaucoup moins hostile...
14:35 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
Exclu: Ali Bedredine, suspendu 91 ans, témoigne
La rédaction de Chronofoot est allée à la rencontre d'Ali Bedredine. Suspendu 91 ans par la FFF pour avoir deux licences de futsal, il raconte le calvaire qu'il vit depuis plus d'un an.
"Tout cela part d'une erreur de la Fédé". Voici à quoi pourrait se résumer le calvaire d'Ali Bedredine. Suspendu 91 ans pour évoluer au sein de deux clubs (dont l'un se trouve à Champs-sur-Marne en région parisienne), Ali Bedredine, est privé de foot depuis plus d'un an. Problème, les deux clubs appartiennent à deux instances différentes. En effet, le Futsal est représenté en France par la FFF (Fédération Française de Football) et l'UNCFs (Union Nationale des Clubs de Futsal). Ali possède une licence dans chacune des deux associations. Depuis plus d'un an, sa vie est devenue un cauchemar. Pour Chronofoot, Ali détaille: "C'est du jamais vu. Quand je vois des joueurs comme Hadji qui a failli taper un arbitre, qui prend 6 mois de suspension, puis qui fait appel et qui s'en sort avec 6 matches... J'ai rien fait de mal. Je représente la France (il est international français de futsal, ndlr), et je suis sanctionné 91 ans".
"Suspendu jusqu'au 31 décembre 2099. C'est impensable"
Bien entendu, cette sanction n'est pas arrivée du jour au lendemain. Un véritable imbroglio juridique est la source du conflit qui oppose Ali à la FFF. Un règlement de compte entre deux instances qui prend en otage un licencié: "Ils ont envoyé un courrier au club me demandant de choisir entre mes deux licences. Sauf qu'au mois d'août (2009, ndlr) le club est fermé. Si j'avais su, j'aurais fait mon choix et puis ce se serait vite terminé". Finalement, c'est une lettre recommandée à son domicile qui a permis à Ali de découvrir son triste sort. Il est suspendu et ne peut jouer dans aucun des deux clubs: "J'avais 10 jours pour faire appel, mais c'était trop tard. J'ai vu que j'étais suspendu jusqu'au 31 décembre 2099. C'est impensable. Si on voulait me priver de football, il fallait le dire. Je suis amateur, j'ai 31 ans, je voulais encore jouer une ou deux années maximum, puis devenir éducateur. Je ne peux plus rien faire, je ne peux plus m'asseoir sur un banc ou participer à un entraînement". S'il avoue faire partie des entraînements de temps à autre, il sait que s'il lui arrivait quelque chose, il ne serait pas assuré. Mais la passion est trop forte.
La FFF a même poussé le bouchon jusqu'à réclamer 3 000 euros à Ali Bedredine. Cependant, ce que la Fédé n'avait pas prévu, c'est l'engouement médiatique que cette affaire prendrait. Après un an de procédure, et un verdict confirmé, Ali Bedredine, a fait appel à l'unique quotidien sportif de France pour conter son histoire. Les journalistes de L'Equipe ont passé quelques coups de fil et il semblerait que l'affaire soit en passe d'être réglée. L'instance française a accepté de revoir son jugement en échange d'une attestation sur l'honneur de monsieur Bedredine expliquant qu'il ne jouerait plus que pour une seule association. Cette lettre a été envoyée depuis déjà 10 jours sans aucune réponse: "Pour le moment on me dit d'attendre, que mon cas sera bientôt étudié... Je veux juste ma licence. Tout s'arrangera le jour où je l'aurai récupérée".
"Anelka et moi ce n'est pas comparable"
Cette affaire de sanction fait étrangement écho à celle des Bleus. La sanction de Nicolas Anelka, qui le prive de 18 matches en équipe de France
10:31 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fff | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 04 octobre 2010
Attentat sur Hatem Ben Arfa, qui sera absent 6 mois des terrains...
Décidément, à l'instar de Franck Ribéry, c'est une année noire pour le jeune talent du football français Hatem Ben Arfa. Lire la suite l'article
En effet, l'ancien Lyonnais, 23 ans, était parvenu à rejoindre l'équipe de Newcastle, en Angleterre, au terme d'un bras de fer estival avec l'Olympique de Marseille. Dès sa première titularisation avec les Magpies, le brillant joueur français marquait un but exceptionnel et donnait la victoire aux siens.
Dès lors, le public et la presse britannique l'avaient porté aux nues, voyant en lui un nouveau David Ginola - un autre joueur français qui avait fait les beaux jours de Saint James Park (le stade de Newcastle) à la fin des années 90.
Mais voilà, hier, sur la pelouse de Manchester, où les Magpies étaient venus affronter la redoutable armada de Manchester City, le joueur hollandais Nigel de Jong, portant les couleurs mancuniennes, s'est dit que les débuts d'Hatem était peut-être trop réussis.
Le joueur batave, alias "Le Boucher", avait déjà fracassé la poitrine de l'Espagnol Xavi Alonso lors de la finale de la Coupe du Monde en Afrique du Sud (voir la photo ci-dessus). Cette fois, il n'y est pas allé par quatre chemins et a réalisé un véritable attentat sur le joueur tricolore (voir la vidéo ci-dessus), dès la troisième minute de jeu.
Des images très dures et d'une violence rare sur un terrain de foot. Résultat : double fracture tibia-péroné de la jambe gauche, pour le talentueux gaucher. Hatem, après des débuts prometteurs, se retrouve donc indisponible pour au moins six mois.
Pour l'anecdote, Nigel de Jong n'a reçu aucun avertissement (même une fois que l'arbitre s'est rendu compte de la gravité de la blessure... Scandaleux !), et les Citizen ont fini par s'imposer 2 buts à 1, s'emparant de la deuxième place de la Premier League.
Souhaitons-lui le meilleur rétablissement possible.
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Le Standard étrille Anderlecht 5-1 !
Leye, Tchité (deux fois), Bokanga et Carcela ont humilié les champions de Belgique. Boussoufa a sauvé l'honneur pour Anderlecht où les choses vont mal puisque les supporteurs ont bloqué le car de leur équipe, le prenant pour cible. Ils réclament la démission d'Ariel Jacobs. Van Holsbeeck a même été blessé par un projectile. Cinq buts à un, un score quelque peu exagéré, sans doute, mais qui témoigne d'un festival offensif des Rouches, bien plus réalistes que leurs adversaires du soir.
Après un début de match en boulet de canon, sur un but de Leye pour sa centième en D1, le match s'est équilibré. Précisons d'ailleurs que ce but était hors-jeu. Il y avait donc des choses à redire à la pause, avec cet avantage léger mais pas forcément immérité au vu de la physionomie du match.
Anderlecht a eu du répondant dans cette première mi-temps, laissant filer l'une ou l'autre belle opportunité d'égaliser. Mais des occasions, le Standard en a eues également via Leye (une frappe sur la barre) ou Tchite, battu dans son duel par Proto. En deuxième période, les Liégeois n'allaient pas tarder à faire le break, par l'intermédiaire de Meme Tchite. Le premier but fut offert par un très bon Carcela, le second mystifiait Proto sur une frappe enroulée dans la lucarne.
Les mauves restaient toutefois dans la partie grâce à Boussoufa qui reprenait un bon ballon de Lukaku pour l'envoyer, de volée, dans la lucarne d'un excellent Bolat. Entre la 66e et la 85e, les choses se compliquaient pour le Standard qui subissait un peu mais continuait à se montrer dangereux dans les contres. Finalement, c'est Bokanga, à peine monté au jeu, qui mettait les siens définitivement à l'abri d'une frappe des 20 mètres. Dans les arrêts de jeu, Carcela fixait la marque à 5-1 d'un très beau tir croisé du droit.
De ce match, on retiendra le très beau jeu du Standard qui s'est réconcilié définitivement avec ses supporteurs. L'inefficacité d'Anderlecht devant le but est quant à elle assez inquiétante, tout comme les lacunes défensives de Mazuch et d'autres. Une chose est certaine, la place d'Ariel Jacobs est plus que jamais remise en question et le championnat plus relancé que jamais puisque le Standard, nouveau troisième, est revenu à un petit point d'Anderlecht.
Enfin, on notera que le jeu a pris le dessus sur la tension, malgré quelques mauvais gestes dus à la frustration des Anderlechtois. Conceiçao et Boussoufa auraient eu une altercation dans les vestiaires, à la mi-temps, mais malgré tout la rencontre est restée fair-play jusqu'au bout et le niveau de jeu proposé fut bien au dessus de la moyenne de notre championnat, ce qui n'est pas toujours le cas dans les matches à enjeu.
Violences : la démission de Jacobs demandée
Les supporteurs mauves sont furieux après la sévère défaite (5-1) des leurs à Sclessin, chez l'ennemi. ils sont des dizaines à avoir bloqué le car des joueurs à la sortie de Sclessin.
Ils clament tous la même chose : "Jacobs démission" et auraient même lancé des projectiles, blessant Herman Van Holsbeeck. Toutes les images de cette altercation sont dans notre galerie photos du match.
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mercredi, 29 septembre 2010
Khalid Askri: Auteur d'une bourde, il rentre au vestiaire
Après sa faute de main insolite sur un penalty, Khalid Askri a récidivé ce week-end en championnat. Sauf que cette fois-ci, il a décidé de se sanctionner lui-même.
Il y a quelques semaines, Khalid Askri était inconnu du grand public. Auteur d'une bourde monumentale lors d'une séance de tirs au but en Coupe du Trône, le gardien du FAR de Rabat s'est une nouvelle fois fait remarquer ce week-end. Lors d'un match de championnat face à Kénitra, il a encore fauté, en commettant une erreur permettant à l'équipe adverse de prendre l'avantage.
Furieux d'avoir commis cette nouvelle bévue, le gardien marocain a tout simplement décidé de retirer son maillot, ses gants, et de quitter le terrain en rentrant au vestiaire. Ses coéquipiers tenteront bien de l'en dissuader, en vain. Il sera finalement remplacé par le gardien numéro 2, Mustapha Chadil. Sûrement perturbé par cette sortie insolite, les joueurs du FAR de Rabat ne parviendront jamais à revenir au score (0-1).
Voir la vidéo de Khalid Askri qui quitte le terrain après sa bourde
10:54 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : football marocain | del.icio.us | Facebook | | |
mercredi, 15 septembre 2010
Togo - Bahreïn: Le scandale des faux joueurs
Incroyable mais vrai. De faux joueurs ont évolué durant la rencontre amicale entre le Togo et Bahreïn. La FIFA et la fédération togolaise ont ouvert une enquête pour statuer sur la supercherie.
Décidément le football réserve des surprises. Le match amical entre la République du Togo et le Royaume de Bahreïn restera dans les mémoires. A priori rien d'exceptionnel dans cette rencontre qui oppose deux formations très moyennes de la sphère footballistique, Bahreïn étant positionné à la 75e place du classement FIFA et le Togo à la 87e. Et pourtant, ce match a fait beaucoup de bruit. En effet, les joueurs bahreinis se sont étonnés de l'étrange facilité avec laquelle ils sont sortis vainqueur de la rencontre (3-0). L'explication? En face, il n'y avait pas la véritable équipe du Togo!
Ministredes Sports togolais: "Ces joueurs nous sont inconnus"
L'information parait aussi surréaliste qu'elle est sérieuse. Le président de la fédération togolaise, Seiyi Memene, a révélé à l'agence de presse américaine Associated Press, que l'équipe envoyée était "totalement fausse". "Nous ne pouvons pas envoyer de joueurs sans l'approbation de la FIFA. Les joueurs qui ont disputé ce match n'étaient pas de 'vrais joueurs'. Nous n'avons pas envoyé d'équipe au Bahreïn. Ces joueurs nous sont inconnus".
Du côté de l'état togolais on prend l'affaire très au sérieux. Le Ministre des Sports du pays, Christophe Tchao, a expliqué au site jeuneafrique.com vouloir faire la lumière au plus vite sur cette affaire: "Personne n'a jamais été informé d'un tel match. Nous allons mener les enquêtes pour démasquer tous ceux qui sont impliqués". Un autre membre du ministère des sports, Nabine Gnonh, explique au journal canadien La Presse que l'affaire reste encore très floue: "Nous n'avons pas de détails précis actuellement. Nous n'avons toujours pas reçu la liste des joueurs qui ont disputé cette rencontre et nous devons toujours vérifier s'ils sont membres de l'équipe nationale".
Un faux agent serait impliqué
Les premières informations qui ont filtrées font état d'un match arrangé par un agent de joueurs. Afin de récolter un petit pécule, l'organisateur de cette supercherie aurait trouvé des "faux-joueurs", qui pourraient ne pas être de nationalité togolaise
22:47 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : togo bahrein | del.icio.us | Facebook | | |
lundi, 13 septembre 2010
Tchité déjà à la fête à Sclessin
L’attaquant a fêté son retour par un but qui a réconcilié les joueurs et les supporters. Defour, touché au pied droit, se veut rassurant.Samedi soir, Bram Verbist n’a pas connu l’enfer, comme lors de ses dernières visites à Sclessin, mais le gardien du Cercle a encaissé très tôt dans le match. Le Brugeois regrettait aussi l’exclusion de Hans Cornelis.
"Il arrive avec le pied en avant mais ce n’est pas méchant. Pour moi, cela ne méritait pas la carte rouge."
A la suite de ce duel avec Cornelis, Steven Defour a été touché au pied droit, celui qui avait été fracturé il y a tout juste un an. Le capitaine s’est tordu de douleur, il a jeté sa chaussure au moment de sortir pour se faire soigner mais il a rapidement pu reprendre part au jeu. Après une heure, il a tout de même quitté la pelouse. "Je n’ai voulu prendre aucun risque", justifiait Dominique D’Onofrio à l’issue du match. "Il passera des examens lundi."
En quittant Sclessin, Steven Defour se voulait toutefois rassurant : "J’ai eu peur sur le moment même mais cela devrait aller d’ici quelques jours."
Contrairement à ses deux précédents matches à Sclessin contre le Cercle, Réginald Goreux n’a pas marqué.
"Mais ce n’est pas passé loin, sourit le médian droit. J’ai la confiance du staff, de mes coéquipiers, du public de tout le monde. Que demander de plus si ce n’est le titre. Cependant, ne parlons pas trop vite. Au niveau collectif, pensons à accrocher le Top 6 avant de voir plus loin. On a mal débuté le championnat mais on s’est bien repris. L’arrivée des attaquants a joué. Ils gardent bien le ballon et font énormément d’appels. Cela permet à la défense et à l’entrejeu de sortir."
Les Liégeois devront confirmer à Malines la victoire de samedi, facilitée par le fait d’avoir joué en supériorité numérique durant 53 minutes suite à l’exclusion de Hans Cornelis et par le but de Mémé Tchite après seulement quatre minutes et cinq secondes de jeu "Ce but, c’est une façon de dire bonjour ou plutôt rebonjour à Sclessin", confiait le buteur titularisé en pointe avant de jouer la deuxième mi-temps en soutien d’attaque. "Cela fait vraiment plaisir de marquer pour mon retour. Je suis en forme, j’ai fait toute la préparation avec Santander et j’ai disputé un match en Liga . Je me suis toute de suite senti à l’aise dans l’équipe et les automatismes sont bons. Félicitations à l’équipe, on a bien joué et notre victoire ne souffre aucune discussion. Il reste cependant beaucoup de travail à l’équipe."
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mercredi, 08 septembre 2010
La défense belge craque à Istanbul: 3-2 et 0 pt/6
Battue par l'Allemagne lors de la 1-ère journée des qualifications de l'Euro-2012, la Belgique était au pied du mur contre la Turquie, mardi dans l'enfer de Fenerbahce, dont elle est effectivement rentrée bredouille: 3-2 (mi-temps: 0-1), malgré un doublé de Van Buyten.
08:56 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | del.icio.us | Facebook | | |
jeudi, 26 août 2010
Qualifications Euro 2012 - Sans Toulalan, avec Gameiro
Jérémy Toulalan, suspendu pour un match, et Eric Abidal, épargné par les sanctions, ne font pas partie des 21 joueurs retenus par Laurent Blanc pour affronter la Biélorussie et la Bosnie-Herzégovine, les 3 et 7 septembre. En revanche, neuf Mondialistes seront là. Gameiro et Saha ont été appelés.Soucieux de tourner la page du de la Coupe du monde, Laurent Blanc a fait un premier pas en rappelant neuf joueurs présents en Afrique du Sud pour débuter les qualifications pour l'Euro 2012 face à la Biélorussie, le 3 septembre, et en Bosnie-Herzégovine, le 7. Alors que Franck Ribéry et Patrice Evra seront suspendus, Florent Malouda fera donc son retour en Bleu aux côtés de Lloris, Mandanda, Carrasso, Sagna, Clichy, Diaby, A. Diarra et Valbuena. Avec le rappel de Malouda (30 ans, 57 sélections), le sélectionneur, qui ne peut compter ni sur Gourcuff, suspendu deux matches après son exclusion lors de France-Afrique du Sud (1-2), ni sur Nasri, blessé, va disposer d'un homme en forme (3 buts en deux journées de championnat avec Chelsea).
En revanche, le patron des Bleus n'a rappelé ni Jérémy Toulalan, ni Eric Abidal. Le premier, suspendu un match, aurait pu participer au second match en Bosnie. Le second avait été épargné par la Commission de discipline de la FFF. Mais il s'agit en aucun cas d'une sanction. Laurent Blanc a été clair : ce choix a été dicté par des critères sportifs. Les deux joueurs évoluent désormais en défense centrale dans leurs clubs respectifs. Et, à ce poste, ils ne sont pas "incontournables" en équipe de France. "Lui-même et son entraîneur ont décidé de changer de poste. Ce n'est pas anodin et ça m'est arrivé. Si Jérémy revient, ce sera à son poste actuel, défenseur central. Pour le moment, il n'a pas l'expérience", a-t-il ainsi expliqué au sujet du Lyonnais.
Gameiro, "une solution intéressante"
Pour aborder ses premiers matches officiels, Laurent Blanc a également réservé quelques surprises en appelant Louis Saha ou Kevin Gameiro. Un retour pour le premier. Une première pour le second. L'attaquant de Lorient, absent en Norvège en raison d'une blessure, est enfin récompensé pour ses prestations remarquées sur les pelouses de Ligue 1 (17 buts la saison dernière). "Kévin Gameiro est un joueur intéressant, il est jeune. Il aurait eu sa chance contre la Norvège s’il n’avait pas été blessé, a d'ailleurs reconnu le sélectionneur. C’est un joueur qui prend les espaces. Il va découvrir le niveau international, c’est autre chose que la Ligue 1. Je me dis qu’il va falloir se procurer des occasions à domicile contre la Biélorussie, ça peut être une solution intéressante".
Pour le reste, Blanc a fait confiance aux joueurs en vue en Norvège comme Guillaume Hoarau, Yann Mvila et la paire défensive Mexès-Rami. Le jeune Parisien Mamadou Sakho fait lui aussi partie d'une liste dans laquelle Sébastien Squillaci avait une chance d'apparaître. Une exception notable : l'absence d'Hatem Ben Arfa qui ne s'entraîne plus avec l'OM et s'est "éliminé de lui-même" selon Blanc. Le mouvement de rajeunissement de l'équipe de France est donc en marche chez les Bleus. A ce titre, Karim Benzema fait figure de futur avant-centre titulaire en sélection. Remplaçant au Real Madrid et pas vraiment dans les petits papiers de Jose Mourinho, l'ancien Lyonnais garde la confiance du sélectionneur qui l'a notamment préféré à André-Pierre Gignac. "C'est plus facile d'être titulaire en club pour être appelé en équipe nationale", a toutefois laissé entendre ce dernier.
LA LISTE DES 21 :
Gardiens : Hugo Lloris (Lyon), Steve Mandanda (Marseille), Cédric Carasso (Bordeaux)
Défenseurs : Bakary Sagna (Arsenal), Adil Rami (Lille), Philippe Mexès (Roma), Mamadou Sakho (Paris SG), Gaël Clichy (Arsenal), Benoît Trémoulinas (Bordeaux)
Milieux de terrain : Abou Diaby (Arsenal), Alou Diarra (Bordeaux), Lassana Diarra (Real Madrid), Yann Mvila (Rennes), Florent Malouda (Chelsea), Jérémy Menez (Roma), Mathieu Valbuena (Marseille)
Attaquants : Kevin Gameiro (Lorient), Guillaume Hoarau (Paris SG), Karim Benzema (Real Madrid), Loïc Rémy (Marseille), Louis Saha (Everton)
13:46 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : équipe de france | del.icio.us | Facebook | | |
mercredi, 25 août 2010
Ligue 1 - Gourcuff : "Une page qui se tourne"
Arrivé ce mardi en fin d'après-midi à Lyon, Yoann Gourcuff passera sa visite médicale mercredi matin. Ses premières pensées en terre lyonnaise vont pour ses anciens partenaires girondins. Malgré le montant du transfert et l'attente que son arrivée suscite, le milieu offensif réfute toute pression.
YOANN GOURCUFF, quelles sont vos premières impressions en arrivant à Lyon ?
Y.G. : Il va falloir que je digère le départ de Bordeaux, car j'ai passé deux belles années là-bas, dans un bon groupe. Je leur ai dit au revoir il y a quelques heures. Maintenant, c'est une page qui se tourne et un nouveau challenge qui s'offre à moi. C'est toujours enrichissant et j'espère que je vais pouvoir poursuivre ma progression.
Vous sentez-vous attendu comme le messie à l'OL?
Y.G. : Non, pas du tout! Le foot, c'est un sport collectif. En plus, mes qualités sont faites pour jouer en équipe. Je m'inscris dans un collectif, avec un groupe, je vais d'abord essayer de bien m'intégrer. J'espère que ça va bien se passer.
Ressentez-vous tout de même une énorme attente autour de votre arrivée?
Y.G. : Non, ça va, je n'ai pas de pression particulière. Je suis content d'être là et je vais essayer de donner le meilleur de moi-même. J'ai 24 ans, j'espère progresser, il y a de belles choses à faire ici. Je ne triche pas sur le terrain, je donnerai le maximum. Mais je ne sens pas avoir plus d'importance que les autres car c'est un sport collectif et qu'il faut miser sur tout un groupe pour réussir à faire quelque chose de bien.
Pourquoi avoir choisi de rejoindre Lyon?
Y.G. : Car Lyon est un grand club, avec un effectif de qualité. Pour moi, c'est un nouveau challenge, une nouvelle expérience.
Quand avez-vous décidé de rejoindre Lyon?
Y.G. : C'est une décision qui s'est construite avec le temps. Quand j'ai repris l'entraînement à Bordeaux, je voulais d'abord retrouver un cadre et une atmosphère saine, ainsi que le plaisir de jouer au foot sans me projeter vers l'avenir. Plus le temps passait, plus j'ai commencé à prendre du recul et à me projeter vers l'avenir. Les deux clubs ont réussi à se mettre d'accord, c'est tant mieux.
On a évoqué l'intérêt de clubs étrangers…
Y.G. : (Hésitation) Il y avait d'autres pistes, mais Lyon était bien pour moi.
Plus d'un an après son départ, l'OL n'a pas retrouvé un chef d'orchestre comme Juninho. Pensez-vous pouvoir assumer ce rôle?
Y.G. : Je ne me considère pas comme un chef d'orchestre! Comme je l'ai dit, le foot est un sport collectif, il faut arriver à créer des relations sur le terrain entre les joueurs. J'espère prendre beaucoup de plaisir sur le terrain et gagner un maximum de matchs, et de titres.
Vous devriez débuter samedi contre Lorient, l'équipe entraînée par votre papa. Est-ce un sacré clin d'œil?
Y.G. : C'est sûr. Le destin est parfois fait bizarrement. Sur le plan émotionnel, jouer contre mon père n'est pas évident. Pour le moment, je n'y pense pas trop, je n'y suis pas encore. Il faut avancer petit à petit, d'abord prendre contact avec le staff et mes nouveaux coéquipiers.
Pour votre présentation, Jean-Michel Aulas a décidé de faire venir les supporters à Gerland. Comment l'appréhendez-vous?
Y.G. : Je suis quelqu'un de discret et réservé. Quand il y a beaucoup de monde, cela ne me rend pas très à l'aise. Mais si le public vient, cela me fera d'autant plus plaisir mais je suis déjà content d'être ici.
Les adieux à Bordeaux ont-ils été difficiles?
Y.G. : Oui. J'étais assez nostalgique lorsque j'ai dit au revoir à mes coéquipiers ainsi qu'à des personnes qui travaillent au château du Haillan, ce ne sont pas des moments évidents. J'ai vécu deux belles années à Bordeaux, j'ai été très content et très fier de pouvoir travailler avec Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset. Ils m'ont fait évoluer et on a réussi à gagner des titres et à faire une belle saison en Ligue des Champions. Même si la fin de la dernière saison a été difficile, je ne retiens que de belles choses de Bordeaux : un groupe sain, des super mecs, une très bonne ambiance… Ce n'était pas facile de leur dire au revoir mais c'est comme ça, c'est le football.
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Qualifications Euro 2012 - La résistance s'organise
Patrice Evra a décidé de faire appel de ses cinq matches de suspension en équipe de France. Si l'appel ne sera pas suspensif, le joueur affiche clairement son désaccord. Après la lettre ouverte d'Aimé Jacquet et Michel Hidalgo, un vent de contestation souffle sur la FFF et ses sanctions...
Laurent Blanc finira-t-il par avoir gain de cause ? Depuis l'annonce des sanctions contre les soi-disant meneurs de la grève de Knysna, le sélectionneur ne cache pas son incompréhension. "Ce n'est évidemment pas la situation idéale pour un football français qui aurait besoin de tous ses atouts au moment d'aborder les qualifications à l'Euro 2012", avait-il jugé dans un communiqué, tout en "prenant acte de ces décisions... en sachant qu'elles sont encore susceptibles d'appel". Patrice Evra a pris le conseil à la lettre puisqu'il a décidé de faire appel de ses cinq matches de suspension. "Mr Patrice Evra a décidé de faire appel d'autant qu'aucun grief ne peut lui être fait à titre individuel, la responsabilité des évènements dits 'du bus de Knysna' étant à l'évidence collective", explique son avocat, Me Jean-Yves Foucard.
Contraîrement à ce qu'annonçait le conseiller du joueur de Manchester United, cet appel ne sera pas suspensif. "La présente mise au point et cet appel (effectué avant même d'avoir pu prendre connaissance de la décision) permettront à Monsieur Laurent Blanc, sélectionneur national, s'il le désire, de sélectionner Mr Patrice Evra puisque l'appel est suspensif (article 10 du règlement disciplinaire) sauf décision motivée de l'organe disciplinaire", avançait-il. Ce à quoi la FFF a répondu par la biais de Jean Lapeyre, directeur des affaires juridiques : "Il a tout faux l'avocat. La décision est partie aujourd'hui et les motivations de la peine y seront et l'instance disciplinaire a décidé de lever l'effet suspensif: cet appel ne sera pas suspensif."
Ribéry va-t-il suivre ?
Par cet acte, Patrice Evra montre néanmoins son désaccord sur les faits qui lui sont reprochés. "Les prétendus 'manquements au devoir de sa fonction de capitaine' pour lesquels il a été convoqué, n'ont été précisés ni dans sa convocation, ni dans le rapport, ni même lors de la réunion de la Commission du 17 août 2010", assure pourtant l'avocat de l'ancien capitaine des Bleus, le plus lourdement sanctionné après Nicolas Anelka (18 matches de suspension). Dimanche, sur le plateau de Stade 2, Laurent Blanc s'était lui-même interrogé : "Ce n'est pas clair. Franchement. Si on m'apporte la preuve qu'ils ont joué un rôle plus important que les dix-sept autres, je comprendrais mieux, mais on ne me l'a pas expliqué."
Si Patrice Evra a pris la décision de marquer sa contestation en faisant appel, d'autres joueurs parmi les mutins sanctionnés vont-ils lui emboîter le pas ? "Si un joueur a fait appel, on sent qu'un deuxième pourrait suivre...", s'attend une source proche de la Fédération interrogée par l'AFP. On pense notamment à Franck Ribéry qui n'avait pas caché son incompréhension après l'annonce de sa sanction (3 matches). En revanche, cela ne devrait pas être le cas de Nicolas Anelka qui a clairement fait une croix sur l'équipe de France. Quant à Jérémy Toulalan, suspendu 1 match, il manquera le débuts des qualifications pour l'Euro 2012 face à la Biélorussie, le 3 septembre, mais pourra faire son retour en Bosnie-Herzégovine, le 7 septembre.
L'appel de Jacquet
Un véritable comité de soutien est en train de se former autour de Laurent Blanc. Hasard ou pas, cette annonce est survenue quelques minutes après la publication d'une lettre ouverte à la FFF émise par Aimé Jacquet et Michel Hidalgo. Les deux anciens sélectionneurs, épaulés par quatre autres co-signataires (Jean Djorkaeff, Sylvain Kastendeuch, Guy Roux et le co-président de l’UNFP Philippe Piat), demandent la levée des sanctions. "D’autres évènements nous forcent à demander que les dites sanctions soient levées ou transformées en travaux d’intérêts collectifs, d’ici à jeudi, date à laquelle Laurent Blanc donnera la liste des joueurs appelés à disputer les deux premières rencontres des éliminatoires de l’Euro 2012", réclament-ils, estimant que "la Commission de discipline de la FFF a entravé la marche en avant de la nouvelle équipe de France". Décidemment, l'épisode de Knysna n'a pas fini de faire parler de lui.
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mercredi, 18 août 2010
Anelka : "Les responsables du football français sont des clowns"
Nicolas Anelka a qualifié de "mascarade" les sanctions prises mardi par la commission de discipline de la Fédération française de football (FFF) et de "clowns" les responsables du football français, dans un entretien à France-Soir de mercredi. "Pour moi, toute cette histoire de commission de je-ne-sais-quoi est une aberration, une mascarade pour ne pas perdre la face", a déclaré l'avant-centre de Chelsea, qui a écopé d'une suspension ferme de l'équipe de France de dix-huit matches.
"Ils ont sanctionné dans le vide car Anelka Nicolas n'a jamais existé dans cette histoire pitoyable et grotesque", a-t-il ajouté. "Je le répète : la page des Bleus a été tournée le 19 juin lors de mon éviction de Knysna", a-t-il estimé, et "ils ont (...) amusé la galerie". Pour lui, "qu'ils tournent enfin la page, car Laurent Blanc a besoin de bosser sereinement". "Ce sont de vrais clowns, ces gens... Je suis mort de rire !" a affirmé le footballeur aux 69 sélections et 14 buts en équipe de France.
3 matchs de suspension pour Ribéry
Après la grève de Knysna et le fiasco de l'Afrique du Sud, la commission de discipline de la FFF a également suspendu Evra pour cinq matches et Ribéry pour trois, tandis que Toulalan s'en tire avec un match et qu'Abidal est blanchi. Pour Nicolas Anelka, cela représente plus de deux ans sans Bleus, les saisons 2010-11 et 2011-12 de l'équipe de France ne comportant que 14 matches! Anelka ne s'était pas présenté à l'audition mardi et n'était même pas représenté.
Le Bayern n'avait pas voulu libérer Franck Ribéry pour l'audition, mais le Boulonnais - considéré comme un meneur de la grève en soutien à Anelka exclu après ses insultes - s'était fait représenter. Sa suspension de trois matches - l'amical d'Oslo dont les Mondialistes étaient privés ne peut servir à purger les sanctions prononcées mardi - est peut-être la plus pénalisante pour Blanc : Ribéry manquera les trois premiers matches des qualifications de l'Euro-2012 contre la Biélorussie, la Bosnie et la Roumanie.
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lundi, 16 août 2010
Deschamps : "Récupérer Ben Arfa ? Difficile..."
Didier Deschamps ouvre clairement la porte à son milieu offensif, lundi matin, dans L’Equipe. Mais l’entraîneur phocéen répond sur le fond aux position de son attaquant : "Je n'ai jamais dit que je ne voulais plus de lui."L'histoire entre Ben Arfa et l'OM semble cette fois-ci bel et bien terminée. Le milieu offensif semble en position de gagner son bras de fer. Après les déclarations de Jean-Claude Dassier ce dimanche, selon lesquelles il faudrait renouer le fil cette semaine, Didier Deschamps semble lui dire que la partie est perdue, ce lundi, dans une interview accordée à l'Equipe : "Le récupérer me semble très difficile vu sa position très radicale, son attitude." La question du retour de Ben Arfa pliée, le coach de l'OM a travaillé sa défense pour répondre aux accusations émises par l'ancien Lyonnais la veille. "Je n'ai plus envie de travailler avec ce coach. C'est un problème de confiance. Je ne sens pas de sincérité avec lui. Quand il me parle, j'ai toujours l'impression qu'il a une idée derrière la tête", assénait Ben Arfa dimanche.
La riposte de DD : "J'estime que j'ai fait beaucoup pour lui. Il a du talent mais des insuffisances aussi. J'ai passé beaucoup, beaucoup de temps à parler avec Hatem. Je lui ai dit beaucoup de choses. Il en a retenu certaines, pas d'autres. Jeudi dernier, il a refusé de parler avec moi. C'est peut-être mieux vu son état de nervosité." Deschamps ne nie pas le coeur du problème ("Mon idée, à l'origine, c'était qu'Hatem, pour des raisons sportives, trouve une solution ailleurs. Mais Niang devait rester. Et les perspectives pour Hatem n'étaient plus les mêmes, car ils jouent dans la même position."), mais réfute l'idée selon laquelle il a cherché à se débarrasser de l'international français : "Je n'ai jamais dit que je ne voulais plus de lui."
"Les divergences de vue créent des tensions"
Finalement, ce que regrette principalement Deschamps, le noeud du conflit, reste le départ de son capitaine Mamadou Niang et le caractère soudain de son transfert : "Je peux comprendre la volonté de le vendre pour des raisons économiques. Mais il aurait fallu anticiper son départ. Le laisser partir à quelques jours de la reprise, c'est désastreux." Des déclarations qui soulignent un peu plus les lignes de fracture qui éloignent depuis quelques jours déjà la direction sportive et les décideurs financiers qui président aux destinées du champion de France : "C'est difficile. L'OM est un club à part dans son fonctionnement. On est pas obligés d'être amis pour penser ensemble à l'intérêt commun, l'OM. Les divergences de vue créent des tensions que les joueurs ressentent." Sur ce point là, le début de championnat ne peut que donner raison à Deschamps.
Les deux défaites consécutives de l’OM rendent plus urgent encore l’arrivée de renforts. Deschamps n’a pas changé son fusil d’épaule, il s’adapte simplement à la situation nouvelle qui s’offre à lui : "Si Hatem partait, il faudrait une solution de plus devant, soit deux attaquants, sans négliger pour autant l’apport d’un milieu défensif." L’Equipe précise qu’il se serait entretenu avec Benoît Cheyrou qui souhaiterait désormais rester. De quoi s’économiser le transfert d’un milieu défensif pour mieux investir sur le secteur désormais pauvre de l’OM, l’attaque ?
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lundi, 09 août 2010
Evra répond à Thuram
Après plus d'un mois de silence, Patrice Evra revient en détails sur le fiasco des Bleus en Afrique du Sud dans Le Figaro. L’ex-capitaine tricolore charge une nouvelle fois Raymond Domenech et égratigne au passage Lilian Thuram.
par Rédaction Sport24.com, le 09-08-2010
Après l’élimination catastrophique de l’équipe de France au premier tour de la Coupe du Monde, Patrice Evra avait promis qu’il laverait son linge sale en public. Mais son intervention le 25 juin dernier sur TF1 n’avait pas été très fournie en explications. Depuis, l’ex-capitaine des Bleus avait choisi le silence alors que les anciens de 98 comme Lilian Thuram ou Marcel Desailly lui tiraient dessus à boulets rouges. Au lendemain de la victoire, sans lui, de Manchester United dans le Community Shield, le défenseur des Red Devils se confie dans Le Figaro. «Surpris» de se voir déférer devant la commission de discipline de la FFF (avec Abidal, Ribéry, Toulalan et Anelka), - «Pourquoi nous sanctionner plus que d'autres ? On l'a déjà été. La sanction de ne pas sélectionner les 23 mondialistes pour le match en Norvège est cohérente» - Evra revient plus en détails sur le fiasco sud-africain. S’il charge Raymond Domenech, comme il l’avait fait la semaine dernière devant la Fédération, il en profite surtout pour régler ses comptes avec Lilian Thuram. Morceaux choisis.
L’exclusion d’Anelka
«Pendant dix minutes (ndlr, à la mi-temps de France-Mexique), le coach n'a pas parlé puis, d'un coup, il a dit à Anelka : «Putain, je te dis de rester en pointe mais tu décroches !» Nico lui a répondu. Il y a eu un échange de mots. Mais pas ceux retranscrits en une de L'Équipe. Je me suis alors levé pour calmer les esprits (…) Après la parution de L'Équipe, le président de la Fédération et le coach m'ont convoqué pour me dire qu'ils étaient dans l'obligation de l'exclure. Je leur ai répondu que ce n'étaient pas ses mots. Tous les joueurs le savaient. Boghossian (l'adjoint de Domenech) a suggéré qu'avec d'autres cadres - Ribéry, Toulalan, Gallas, Henry, Abidal, Govou - on lui demande de présenter des excuses publiques. Nico a accepté de le faire devant le staff et les joueurs mais pas dans les médias puisqu'il souhaitait porter plainte contre L'Équipe.»
Le boycott de l’entraînement
«Avant de partir, Anelka a fait un discours fataliste. Les joueurs l'ont applaudi et certains ont lancé l'idée de faire quelque chose pour montrer le mal-être du groupe. D'où l'idée du boycott de l'entraînement. Je leur ai demandé s'ils en étaient sûrs. Tout le monde a approuvé. Personne n'a réalisé l'impact que cela pouvait avoir… (…) Tout était prévu la veille. Le coach sentait que quelque chose se tramait. Un joueur venait de lui dire qu'il était dégoûté du football. L'attaché de presse devait transmettre le communiqué aux journalistes. Le coach a tenté de nous en dissuader. J'ai demandé alors plusieurs fois à mes coéquipiers s'ils voulaient descendre du bus. Personne n'a répondu. Domenech voulait qu'on lise le communiqué. Je me suis levé pour le faire. Je serais allé au feu pour mes partenaires. Mais Domenech a alors décidé de le lire lui-même…»
Domenech lâché
«Quand Claude Onesta et Stéphane Diagana sont venus à Tignes, certains joueurs m'ont dit : «Il fait venir des champions, mais lui n'a rien gagné... » Je recevais des plaintes après chaque entraînement. Les joueurs lui reprochaient son manque de travail tactique et le décalage avec les exercices auxquels ils sont habitués en club. J'ai essayé de faire passer le message à ses adjoints. Sans résultat. Le groupe l'a alors peu à peu lâché. Personne, ainsi, n'a compris qu'il décide de ne pas titulariser Florent Malouda contre l'Uruguay suite à un tacle appuyé à l'entraînement. Quant à Thierry Henry, il s'est aussi senti abandonné. «Titi» me disait : «Regarde, plus personne ne me calcule.» Il était en pleine forme à l'entraînement, mais on ne le faisait pas jouer. Il a fini par rendre les armes. Domenech a également décidé tout seul de couper la tête de Gourcuff avant le match contre le Mexique. Je n'ai cessé de répéter à mes partenaires qu'il fallait continuer de bosser. Mais, à un moment, ce discours ne passe plus (…) Il n'y avait plus de dialogue avec le coach. Il n'y avait aucune structure collective, ni de projet. Avant le match de préparation contre le Costa Rica, quelques joueurs lui ont demandé de s'impliquer plus, de nous donner plus de consignes. Il s'est senti agressé. Il a refusé l'échange. On a fait tous les matchs de préparation avec un système avant d'en changer pour celui d'ouverture du Mondial contre l'Uruguay. Ce n'était pas cohérent.»
Thuram, faux Malcolm X
«Il a sali mon nom sans chercher à savoir ce qui s'était passé. Lilian se prend à la fois pour le nouveau sélectionneur, le président de la Fédération et le président de la République. Il se comporte comme le leader du foot français en mettant son départ dans la balance s'il n'y a pas de sanction (…) Pourquoi remettre de l'huile sur le feu? Ce n'est pas le rôle d'un membre du conseil fédéral. Il est temps que Lilian arrête de jouer un rôle qui n'est pas le sien en disant que les Bleus contribuent à faire augmenter le racisme. Il ne suffit pas de se balader avec des livres sur l'esclavage, des lunettes et un chapeau pour devenir Malcolm X (…) En dépit de ses beaux discours sur l'absence d'états d'âme, Thuram avait refusé de s'échauffer avant le match décisif contre l'Italie lors de l'Euro 2008. Il venait d'apprendre qu'il n'était pas titulaire… À l'époque, il jouait aussi l'amnésique en interpellant certains joueurs uniquement par “oh ! jeune ”.»
Son rôle de capitaine et son avenir en Bleu
«Les joueurs et le staff connaissent la vérité. J'ai été honnête jusqu'au bout avec tout le monde. J'ai tout donné pour remplir mon rôle de capitaine. Certains m'ont chargé sans savoir ce qui s'était passé. J'ai mis tout mon cœur, voilà le résultat ! Domenech m'a même demandé pardon de m'avoir confié le brassard (…) Je ne vois pas mon avenir sans l'équipe de France. C'est mon pays et j'y tiens. La Marseillaise me fait vibrer. J'ai toujours envie de mouiller le maillot bleu. Je considérais chaque nouvelle sélection comme une chance à saisir. La seule façon de rebondir, ce sont les résultats.»
Retrouvez l'intégralité de l'entretien de Patrice Evra sur le Figaro.fr
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jeudi, 05 août 2010
Coupe du monde 2010 - Anelka se pose en victime
Nicolas Anelka a attribué, dans un entretien à France-Soir, la responsabilité du fiasco des Bleus au Mondial à Raymond Domenech et au journal l'Equipe qui avait rapporté des insultes contre l'entraîneur, qui lui avaient valu d'être exclu de l'équipe de France.Alors que Laurent Blanc doit communiquer ce jeudi (11h30) sa liste de joueurs convoqués pour le match amical France-Norvège, Nicolas Anelka a, pour sa part, remis les pieds dans le plat. L'attaquant de Chelsea est revenu sur ce qui s'est passé en Afrique du Sud. Encore. Dans un entretien à France-Soir, il a attribué la responsabilité de la débâcle tricolore à Raymond Domenech et au quotidien L'Equipe.
"Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting et je suis le premier à le reconnaître", a-t-il expliqué. Selon lui, Domenech ne l'a jamais utilisé comme il l'aurait dû : "Le coach savait parfaitement où et comment je voulais évoluer. Hélas, ça ne s'est jamais produit. Mon plus gros regret est là: ne pas avoir pu évoluer à mon poste" ajoute-t-il "j'étais condamné à jouer contre nature". Anelka en a profité également pour revenir sur l'incident qui l'a opposé à son sélectionneur le 17 juin, à la mi-temps du match contre le Mexique : "Quand le coach, dans les vestiaires, me dit de rester devant, c'est monté direct au cerveau. Je me suis dit qu'il le faisait exprès, qu'il cherchait un mec pour prendre les coups à sa place".
"Tout est faux !"
"Je marmonne dans mon coin des choses qui resteront dans le secret des vestiaires. Et qui auraient dû y rester. Mais en aucun cas ce ne sont les mots que j'ai pu lire dans L'Equipe", a-t-il rajouté. Aux yeux de l'ancien Parisien, le quotidien sportif a joué un rôle dans son exclusion immédiate de l'équipe de France et porte aussi une responsabilité dans l'élimination prématurée des Bleus. Selon le footballeur, le titre de l'Equipe "est non seulement diffamant mais également "assassin". En faisant ça le journal a détruit les chances de la France et plus accessoirement a cherché à me nuire. Ce titre a créé une guerre entre le coach et les joueurs, puis entre les joueurs et la Fédération. Cet acte est scandaleux". Et de répéter, refusant de s'excuser "pour des mots qui ne sont pas sortis de (sa) bouche" : "Le pire c'est que tout est faux !".
Nicolas Anelka est également revenu sur les supposés différends avec le Bordelais Yohann Gourcuff. "De la pure fiction", selon lui. Dans l'entretien accordé à France-Soir, il en profite également pour rendre hommage à Patrick Evra, "un capitaine exemplaire qui a défendu ses soldats". In fine, Anelka a tenu à réagir aux "propos racistes" d'une "minorité de Français" sur les joueurs de l'équipe de France : "Quand ça se passe mal, on redevient des immigrés noirs (même quand on ne l'est pas!) ou arabe, racaille, caïd banlieusard et musulman".
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lundi, 02 août 2010
Lutte Sénégalaise:Balla Gaye 2 défait Baboye
L’avant dernier grand combat de la saison de lutte a vécu ce dimanche 1er août 2010 avec la victoire sans bavure de Balla Gaye 2, 24 ans, 120 kgs, obtenue sur le désormais « vieux » lion de Pikine, Balla Bèye 2 dit Baboye, 38 ans et 98 kgs, au terme d’un combat qui aura duré moins d’une minute. Après deux rounds de face à face ponctués par des déplacements latéraux vers les sacs, les deux lutteurs se sont affrontés dans un corps à corps rapide qui s’est terminé à l’avantage du jeune lutteur de l’écurie Balla Gaye de Guédiawaye qui signe ainsi sa 16ème victoire.
Malgré toute la hargne et l’expérience de son adversaire qui a amorcé une belle prise avant de subir l’assaut victorieux du fils de l’ancien champion de lutte Double Less. Un évènement suivi par un public nombreux et visiblement acquis à la cause du vainqueur marqué aussi par la victoire de Super Etoile sur Garga Mbossé pour la finale du CLAF organisé par Gaston Mbengue.
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dimanche, 01 août 2010
Athlétisme: les Français confirment en relais 4x100 m
Les Français ont confirmé leur supériorité continentale dans les épreuves de sprint en remportant la médaille d'or du relais 4x100 mètres aux championnats d'Europe d'athlétisme.
Le relais composé de Jimmy Vicaut, Christophe Lemaitre, Pierre-Alexis Pessonneaux et Martial Mbandjock s'est imposé en 38"11 devant l'Italie (38"17) et l'Allemagne (38"44).
Après un départ prudent de Vicaut, Lemaitre, champion d'Europe du 100 et du 200 mètres, a redressé la situation et Mbandjock, double médaillé de bronze en sprint, a refait le retard concédé par Pessonneaux pour valider la meilleure performance européenne de l'année.
"Tout le monde a fait le boulot. Je savais que j'allais rattraper les Italiens," a dit Mbandjock au micro de France Télévisions.
"Cette troisième médaille d'or est la plus importante, c'est un travail collectif. Ca a été très dur, les Italiens ont aussi frappé un grand coup, on a tout donné et on a fait de très bons passages", a ajouté Lemaitre.
La victoire des Français, couplée à l'argent des Françaises sur 4x100 mètres quelques instants plus tard, porte à 14 le nombre de médailles tricolores à Barcelone et le total de titres à sept.
La France a remporté neuf des 18 médailles distribuées dans les épreuves de sprint au stade de Montjuich.
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vendredi, 23 juillet 2010
Ribéry : "Je redonnerai du bonheur aux gens"
Deux jours après sa mise en examen, Franck Ribéry raconte ses hauts et surtout ses bas dans les colonnes du Bild. Il ne nie pas ses difficultés à passer ce mauvais moment. Mais le Français vise une réhabilitation par le jeu, le plus vite possible.
"Il y a des moments déprimants et difficiles dans une vie. Ce que je vis actuellement, ça en fait partie. Je dois maintenant ressortir du trou. Ce n'est pas facile, mais je dois surmonter ça." Au moins, Franck Ribéry ne cherche pas à faire semblant. Mis en examen en France pour relation tarifée avec une prostituée mineure, la star du Bayern et de l'équipe de France porte le poids d'une image abîmée, d'une niveau sportif incertain, et maintenant de la menace théorique de trois ans de prison et de 45.000 euros d'amende. C'est lourd. "Je n'ai pas de crainte pour mon avenir, ni avec l'équipe nationale, ni avec le Bayern même après une journée au Palais de justice à Paris, déclare pourtant l'ex-Marseillais au journal allemand Bild, auquel il a accordé un entretien paru vendredi. Je n'ai rien fait de mal en conscience. Je suis certain de pouvoir retrouver du crédit auprès du public, certains doutent peut-être de moi aujourd'hui, mais je redonnerai du bonheur aux gens. Il y aura encore des dribbles, des buts, des émotions positives, comme dans le passé."
"Le plus important, c'est le football"
Ce passé glorieux, Ribéry s'y raccroche comme à une bouée. C'est pour redevenir ce joueur unique, décisif et insouciant qu'il se bagarre actuellement, aidé par "sa famille, particulièrement (sa) femme, et l'ensemble du club". "Dans les moments difficiles, dit Ribéry, quand vous avez un problème d'ordre privé, on sent un club qui vous soutient et qui a beaucoup de coeur. Au Bayern, je suis entouré par des gens bien, qui me retiennent dans ma chute." Le Français se dit par exemple très touché par le zèle avec lequel les dirigeants lui ont envoyé deux spécialistes pour se remettre de son opération à l'aine, pratiquée dans la foulée de la Coupe du monde. Il l'avait aussi beaucoup entouré au printemps dernier après son audition. Cela avait pesé dans sa décision de prolonger son contrat jusqu'en 2015.
"Le plus important pour moi, c'est le football, assène Ribéry. Je veux juste me concentrer là-dessus. Ma rééducation m'y aide. Avoir Thomas et Gerry à mes côtés (NDLR : les deux praticiens mis à disposition par le club), cela m'aide à retrouver le sourire. Une chose est sûre, quand je serai à nouveau entouré par toute l'équipe, je serai à nouveau très heureux". Et performant ? Bild fait observer que Louis Van Gaal s'est plaint, récemment, de ne pas encore avoir vu le grand Ribéry. "J'ai envie de faire une très, très bonne saison. Gagner la Ligue des champions est mon grand objectif. Je suis encore triste qu'on ait perdu la dernière finale, avec moi suspendu. Je suis très motivé, j'apporterai du bonheur à tous les fans à travers l'Allemagne."
"Aucune relation entre le privé et les blessures"
"Il n'y a strictement aucune relation entre mes problèmes privés et mes multiples blessures, cherche encore à rassurer Ribéry, conscient d'affronter désormais une montagne de scepticisme. Dire que je vais rendre au Bayern tout ce qu'il me donne n'est pas le mot adapté, car j'ai toujours donné mon meilleur. Je veux mouiller le maillot à chaque match. J'espère jouer le premier match de la saison contre Wolfsburg. C'est bien parti. Je veux être dans une forme impeccable ce jour-là." Pas un mot sur l'équipe de France, qui jouera le 3 septembre contre la Biélorussie son premier match de qualifications pour l'Euro 2012, et pour lequel il risque d'être écarté jusqu'à nouvel ordre en raison de sa mise en examen.
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