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lundi, 15 août 2011

Youssou Ndour sur "l'objectif du millénaire" à Gand

samedi, 13 août 2011

Marc Dutroux:Voici quinze ans, la Belgique découvrait un monstre

dtr.jpgLe 13 août 1996, voici très exactement quinze ans, la police et la gendarmerie interpellent à Sars-la-Buissière un certain Marc Dutroux. Inconnu du grand public à l'époque, son parcours judiciaire inquiète les forces de l'ordre.

Ce jour-là, Marc Dutroux et deux de ses proches, Michèle Martin et Michel Lelièvre, sont interpellés et interrogés. Quatre jours plus tôt, un témoin a relevé le numéro d'une plaque d'immatriculation appartenant à Dutroux sur les lieux de l'enlèvement de la jeune Laetitia Delhez.

Le lendemain, après un long interrogatoire, Marc Dutroux accepte de conduire les forces de l'ordre à son domicile de Marcinelle. Dans une cache aménagée dans sa cave sont retrouvées Laetitia Delhez et la petite Sabine Dardenne, kidnappée près de trois mois auparavant.

Personne, à ce moment là, n'imaginait encore que Marc Dutroux était aussi le ravisseur de Julie, Mélissa, Ann et Efje.

RTBF

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vendredi, 12 août 2011

Youssou Ndour vers le stade d'Ixelles à Bruxelles.

mardi, 09 août 2011

Secret Story 3 - François-Xavier, dit FX, est mort

franc.jpgAlors que le site ouestfrance.fr sortait il y a quelques minutes une information relatant qu'un jeune homme avait été fauché par une voiture à Bouée (Loire-Atlantique), voilà que le site de Presse Océan indique qu'il s'agit de FX...

Révélé dans Secret Story 3 aux côtés de Léo, Emilie et les autres, François-Xavier alias FX avait ensuite fait parler de lui en intégrant le Carré Viiip de TF1, avant que celui-ci ne soit déprogrammé après seulement treize jours de diffusion.

Un terrible drame est arrivé dans la nuit d'hier à aujourd'hui, mardi 9 août, dans les abords du lieu-dit La Croix-Morsel, commune de Bouée. Une collision entre une voiture et un piéton s'est produite cette nuit vers 0h50 à l'intersection des départementales 49 et 17. Le véhicule n'a pu éviter FX, qui marchait sur le bord de la route. Ce dernier est décédé sur le coup. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.

Âgé seulement de 22 ans, FX nous a quittés. Domicilié à Bouée, il s'appelait François-Xavier Leuridan. Triste fin pour ce jeune homme qui affichait un regard terriblement perdu lors de ses dernières apparitions médiatiques...

Toutes nos condoléances à ses proches et sa famille.

lundi, 08 août 2011

Belgique: Le Merci de Youssou Ndour aux sénégalais d'Anvers


jeudi, 04 août 2011

Amadou Toumani Touré, président du Mali : «Il faut savoir partir»

toumani.jpgLe président malien Amadou Toumani Touré a, dans un entretien exclusif accordé au journal «Le Quotidien», indiqué qu'un chef d'Etat doit savoir partir, s'exprimant sur son propre cas. «Moi je sais partir. Je suis déjà parti une fois, donc je ne fais que repartir. C’est pourquoi un troisième mandat ne s’est jamais posé dans ma tête. Si je ne partais pas, je ne sais pas comment je vais regarder mes compatriotes».

 Le président malien s'engage à respecter sa parole. « En tant que soldat, si je donne ma parole, je dois la tenir…Il y a une éthique au Mali dans laquelle nous sommes nés et avons grandi ».Att pense qu’après le pouvoir, il doit y avoir une vie. «Je voudrais demain passer avec mon petit-fils et voir le pont de Bamako, qui est l’un des plus grands d’Afrique, et lui dire j’étais là lorsqu’on construisait ce pont ; et que c’est moi qui étais parti le négocier chez nos amis chinois », déclare le malien.Sur ses rapports avec le guide de la révolution libyenne, Amadou Toumani Touré se montre catégorique : «Je ne renierai jamais mon amitié avec Kadhafi. Même si on doit mourir de faim, il y a des repas qu’il ne faut jamais manger. Je ne dirais jamais que je n’ai pas été un ami de Kadhafi». Une autre leçon qu'il fait au président Abdoulaye Wade, qui s'est désolidarisé de son ami libyen au moment où son pouvoir vacillait.

 

mardi, 02 août 2011

N’en déplaise à Laurent blanc, ses acolytes et ceux qui pensent comme lui.

 

Nous considérons que la communauté sénégalaise de l’extérieur comme une région à part entière du Sénégal, cette considération est d’autant plus réelles que les sénégalais de l’extérieur participent activement à la vie politique, économique, socio-culturelle et sportive du Sénégal.

Il est tout à fait normal et naturel que nos jeunes talents aillent porter les couleurs du Sénégal s’ils le désirent et que le Sénégal les appelle.

Laurent Blanc sort sa pile par ce qu’il coach une équipe aux talents modestes. Ce n’est plus la grande France des Henry, Trézéguet, Anelka, Wiltord,Turam, Marcel Desailly , ces jeunes extrêmement doués aux football qui jouaient  pour la France et qui avaient sans rancune la bénédiction des africains pour avoir choisi l’équipe de France.

Je ne vois pas aujourd’hui parmi ces grands noms du football celui qui a été honoré par la fédération française de football.

Si l’équipe de France est composée actuellement de footballeurs aux talents modestes, le Sénégal regorge d’excellents footballeurs  qui cartonnent partout où ils sont en Europe. Ces jeunes ont choisi le Sénégal, ils en ont le droit et nul n’a le droit de critiquer leur choix.

Le complot que voulait officialiser Laurent Blanc existait déjà dans beaucoup de domaines au-delà du football mais force est de noter que si un jeune porte le maillot de France c’est par ce qu’il ne s’est pas fait de cadeau pour le mériter.

Le signal est donné. C’est a nous de la diaspora de redoubler d’effort dans la formation des jeunes, de créer des structures additionnelles pour faire émerger nos jeunes . Que nos coachs se forment partout, en Espagne, Portugal, Belgique et même au Brésil.

jeudi, 28 juillet 2011

Thierry Ardisson s'invite dans l'affaire DSK

Nommé indirectement plusieurs fois dans

l'affaire Tristane Banon, Thierry Ardisson prend enfin la parole. Il était l'un des seuls à ne pas s'être exprimé sur ce dîner dont tout le monde parle, au cours duquel la journaliste et romancière avait raconté la tentative de viol dont elle dit avoir été la victime. L'homme en noir est pourtant un témoin privilégié de cette soirée puisque c'est chez lui qu'elle s'est déroulée, en 2007, pour les besoins dl'émission 93 Faubourg Saint-Honoré qu'il animait à l'époque.

Cette semaine, Thierry Ardisson est l'invité de Rendez-moi mon portable, sur RTL, une émission diffusée samedi prochain. Au cours de l'interview, Daniela Lumbroso évoque le sujet Banon/DSK et demande à l'animateur s'il savait qu'elle allait évoquer le sujet: «Pas du tout, répond-il, c'est venu complètement par hasard, on parlait du harcèlement sexuel, elle a dit: "moi il m'est arrivé une histoire", elle a raconté son histoire».La décision de biper le nom de Dominique Strauss-Kahn au montage s'est imposée d'elle-même. «On n'est pas là pour faire de la délation. Elle n'avait pas porté plainte, il n'y avait pas de raison d'en faire une histoire. Moi on m'a appelé, on m'a dit "qui c'est qui c'est?", mais je n'ai jamais dit qui c'était».

Peu adepte de la langue de bois ni de l'évitement, Thierry Ardisson apporte son petit commentaire sur la réputation de DSK: «enfin je dirais simplement que tout le monde était évidemment au courant de l'attitude qu'avait Dominique Strauss-Kahn avec les femmes. Et ceux qui disent qu'ils n'étaient pas au courant sont des menteurs».

Thierry Ardisson peut s'attendre désormais à recevoir une convocation de la police qui

interroge toutes les personnes ayant eu vent de l'agression présumée de DSK sur Tristane Banon.

Jean-Christian Hay

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DSK ET NAFI DIALLO ça coule toujours

La femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn de crimes sexuels a été entendue mercredi pendant huit heures par le procureur de Manhattan, notamment sur une conversation téléphonique compromettante qu’elle a eue avec un détenu au lendemain des faits présumés.

Début juillet, le New York Times avait révélé que Nafissatou Diallo avait téléphoné, le lendemain de l’agression présumée, à un ami emprisonné en Arizona pour une affaire de drogue. Elle aurait affirmé en parlant de DSK: "Ce type a beaucoup d’argent, je sais ce que je fais", selon le New York Times.

Cette conversation est l’un des éléments clés qui a fait vaciller l’accusation, entraîné la libération sur parole de DSK, et jeté une ombre sur les motivations réelles de la femme de chambre guinéenne qui affirme avoir été violée le 14 mai dans une suite de l’hôtel Sofitel de New York.

D’après le journal, les enquêteurs ont mis plusieurs semaines avant de réussir à traduire cette échange téléphonique en peule, l’ethnie d’origine de Mme Diallo. D’autres médias avaient d’ailleurs indiqué que la traduction de ces propos, difficile, n’était pas limpide et soulevait des questions.

A la sortie mercredi du tribunal de Manhattan, l’avocat Me Kenneth Thompson a établi sa version des faits.

lundi, 25 juillet 2011

Et voilà Nafissatou Diallo

Elle a maintenant un visage et une voix. Nafissatou Diallo, la femme de ménage du Sofitel de Manhattan qui accuse Dominique Strauss-Khan de l'avoir agressée sexuellement, le 14 mai dernier, dans la suite 2806 de l'hôtel, a raconté son histoire au magazine «Newsweek», qui la publie en exclusivité dans ses éditions de lundi et sur son site internet.
 
La jeune femme doit aussi apparaître lundi dans l'émission «Good Morning America» de la chaîne de télévision ABC.
L'hebdo d'information américain décrit tout d'abord, sous la plume de deux journalistes, Christopher Dickey et John Solomon, la rencontre avec le témoin clef de ce qui est devenu «l'affaire DSK». Peau claire légèrement grêlée de cicatrices d'acné, chevelure lissée et teintée au henné, silhouette sculpturale, «Nafi» Diallo affiche souvent une expression de profonde mélancolie, notent-ils. La femme de chambre guinéenne, âgée de 32 ans, ne sait ni lire, ni écrire. Elle a peu d'amis proches et convient que certains des hommes qu'elle connaît ont abusé de sa confiance. L'un d'eux, détenu dans une prison fédérale d'Arizona, a eu accès à ses comptes bancaires en échange de cadeaux de mauvaise qualité.
 
«Newsweek» précise qu'elle a pleuré plusieurs fois durant l'interview, des larmes qui semblaient parfois forcées. Aux questions sur son passé, l'Afrique, son père, son défunt mari, elle a parfois opposé des réponses vagues. Avant de s'animer au moment d'évoquer l'agression. Nafissatou est alors formelle : elle n'entre dans la suite 2806 pour la nettoyer que lorsque l'employé chargé du room-service en ressort avec un plateau, lui assurant qu'elle est vide. Elle s'annonce à voix haute depuis l'entrée, en regardant dans la chambre : «Hello ? housekeeping». Elle se trouve soudain face à un homme aux cheveux blancs, entièrement nu. 
 
«Je suis désolée», «Vous n'avez pas à l'être»
 
«Mon Dieu, je suis désolée», dit-elle. «Vous n'avez pas à l'être», répond-il. Il m'avait l'air fou, dit-elle aujourd'hui, expliquant qu'il lui a empoigné les seins, en claquant la porte. «Vous êtes belle», dit-il, luttant avec elle à travers la pièce. «Monsieur, arrêtez tout de suite, je n'ai pas envie de perdre mon travail», aurait-elle répondu. Elle explique à Newsweek avoir été entrainée sur le lit, s'être détournée au moment où il tentait de la forcer une première fois à une fellation. Elle le repousse, se relève, fait croire que son chef arrive. Elle se réfugie vers la salle de bains, sa jupe d'uniforme déboutonnée. 
 
L'homme qu'elle décrira plus tard comme Dominique Strauss-Kahn lui baisse la jupe, la blesse à l'entrejambe en déchirant ses collants, laissant une marque qui sera encore visible quelques heures plus tard à l'hôpital. Il l'oblige à s'agenouiller, dos au mur, lui empoigne violemment la tête à deux mains et la force à nouveau à une fellation. Elle le décrit gémissant, explique qu'elle a recraché son sperme sur le sol avant de s'enfuir en courant, effrayée, sans se retourner. Elle se cache dans le couloir, tente de retrouver ses esprits et voit l'homme du 2806 sortir vers l'ascenseur. Le tout a duré moins de quinze minutes.
 
Une version corroborée par les cartes d'accès et le dossier médical
 
Elle reconnaît être retournée dans la suite 2806, expliquant qu'elle était désemparée. Croisant ensuite son supérieur dans le couloir, elle lui raconte l'agression. Il se fâche. «Je m'en fiche que ce client soit un VIP», lui aurait-elle dit. Un autre de ses supérieur arrive, puis les responsables de la sécurité, qui décident d'appeler la police. «Newsweek» note que la chronologie de son récit correspond avec les enregistrements laissés par sa carte d'accès, et que les détails physiques sont corroborés par les dossiers médicaux de l'hôpital où elle a été examinée. Excepté lorsqu'elle affirme que DSK lui a parlé durant l'agression.  
 
Après l'hôpital, elle est ramenée à l'hôtel pour détailler aux policiers les circonstances de l'agression. Elle n'est raccompagnée chez elle qu'à 3 heures du matin. Le matin, en voyant les bulletins d'information, elle dit avoir pris peur en réalisant qui est DSK. Sa fille la rassure. L'après-midi, elle est appelée au commissariat pour la séance d'identification et désigne le «numéro 3». Elle passe les semaines suivantes dans un hôtel, avec sa fille, sans communiquer avec l'extérieur.
 
«Son but est d'enflammer l'opinion publique»
 
Entretemps, au lendemain de l'incident, elle a reçu un appel d'Amara Tarawally, un Sierra Leonais, neveu d'un de ses anciens employeurs, qui a eu la mauvaise idée d'acheter pour 40 000 dollars de marijuana à... des policiers infiltrés. Il est en prison en Arizona lorsque lui et Nafissatou se parlent au téléphone. Ils s'expriment dans son dialecte à elle. Une phrase en particulier entamera la crédibilité de la femme de ménage aux yeux du procureur. Un doute existe, selon Newsweek, sur la transcription de leurs propos versée dans un premier temps au dossier. 
 
Nafissatou Diallo déclare avoir accordé cette interview pour corriger le portrait tendancieux fait d'elle dans les médias. Elle assure n'avoir jamais changé de version quant à ce que cet homme lui a fait subir. «A cause de lui on me traite de prostituée, déclare-t-elle aux journalistes de l'hebdomadaire. Je veux qu'il aille en prison. Je veux qu'il sache qu'il y a des endroits où on ne peut pas utiliser son pouvoir, où on ne peut pas utiliser son argent». Elle se dit prête à reprendre le travail à l'hôtel, mais pas au contact des clients, plutôt dans un service tel que la lingerie. 
 
Les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont aussitôt réagi à la publication de cette interview en s'en prenant aux défenseurs de l'accusatrice. «Ce comportement de la part d'avocats est non-professionnel et viole les règles fondamentales du comportement professionnel des avocats, ont-ils affirmé dans un communiqué. Le but évident de ce comportement est d'enflammer l'opinion publique contre un accusé dans une affaire criminelle en cours». Dans une semaine exactement, le 1er août, DSK, inculpé de sept chefs d'accusation, doit de nouveau comparaître devant le tribunal de New York.
LeParisien.fr

 
Nafissatou Diallo à gauche et Robin Roberts à droite 


Tanor DIENG de Benno

samedi, 23 juillet 2011

Oslo : plusieurs morts dans un attentat à la bombe

Une puissante explosion, due à une bombe selon la police, s'est produite ce vendredi près du siège du gouvernement norvégien, à Oslo. La police, alertée à 15h26, a par ailleurs fait état de «morts et blessés» dans la déflagration. «Plusieurs dizaines» de personnes ont été hospitalisées pour des blessures plus ou moins graves, a précisé un porte-parole.

Selon les télévisions norvégiennes, deux personnes ont été tuées.

Cet attentat pourrait être le premier de l'Histoire de la Norvège.

«C'est une situation grave»

La déflagration s'est produite dans le quartier officiel de la capitale norvégienne, où se trouve le siège du Premier ministre, plusieurs ministères, et aussi la rédaction de «Verdens Gang» (VG), le plus grand tabloïd du pays. La police a entièrement bouclé le quartier et des chiens renifleurs passaient l'endroit au peigne fin, à la recherche d'éventuels autres explosifs.

Très central, ce quartier est d'ordinaire très fréquenté, mais l'explosion s'est produite à un moment où de nombreux habitants de la capitale sont en vacances en dehors de la ville. Le Premier ministre Jens Stoltenberg n'était d'ailleurs pas dans son bureau au moment de l'attentat, qu'il a qualifié de «situation grave».

«C'est le chaos total»

«Il y a du verre partout. C'est le chaos total. Les fenêtres de tous les immeubles environnants ont été soufflées.» Lors de l'explosion, Ingunn Andersen, journaliste de la radio NRK, a cru tout d'abord à «un tremblement de terre». Selon elle, des personnes «gisaient en sang dans la rue». Les premières photos postées sur le site de NRK, mais aussi sur Youtube, montraient des immeubles totalement défigurés, des trottoirs jonchés de bris de verre, de la fumée s'élevant du quartier, des ambulances et des pompiers luttant contre les flammes dans un paysage de désolation urbaine.



lundi, 18 juillet 2011

Alioune DIOP: Merci aux jeunes de Bruxelles

 

DSCN0249.JPGJ’ai été particulièrement sensible par la distinction qui m’a été offerte par les jeunes de Bruxelles pour ‘’service rendu à la communauté sénégalaise de Belgique’’ lors de la finale des Nawétanes des sénégalais de Bruxelles  édition 2011 devant une forte présence de concitoyens renforcée par la participation active de Son Excellence Monsieur Paul Badji Ambassadeur du Sénégal dans le Benelux et au près de la Commission Européenne accompagné d’une importante délégation de diplomates sénégalais et du personnel administratif et technique de notre ambassade.

 

J’en profite pour saluer  et remercier pour le travail dans l’ombre pour la cohésion et le rayonnement de notre communauté par des acteurs comme Ken Ndiaye, Grand Laye Diop, Mamadou Faye, Sidy Fall, Samba Dia, Keyssi et Moussa Badji, Malal, Awa Sène Sarr, Ndongo DIOP sans pouvoir citer tout le monde.

 

A ces jeunes et à tout compatriote ou sympathisant  qui pense comme eux, je leur témoigne  ma profonde gratitude.

 

Merci au comité d’organisation des Nawetanes, Abouna Mbaye, Emile Turpin, El Hadji Sène Prési sans oublier Ibou Niang Vice Président de SENEBEL.

 

Je vous promets dans peu de jours de revivre en images et en vidéos   les rencontres des jeunes de Bruxelles contre jeunes de Paris et  celles des Nawetanes édition 2011.

 

Solidairement

 

jeudi, 30 juin 2011

Le président d’honneur du PIT a déclaré que de l’argent aurait été distribué hier à l’Assemblée nationale à certains membres du PDS (pouvoir) pour aller s’attaquer aux leaders de l’opposition et de la Société civile. Il s’est ensuite attaqué au président

amath.jpgLe président d’honneur du PIT a déclaré que de l’argent aurait été distribué hier à l’Assemblée nationale à certains membres du PDS (pouvoir) pour aller s’attaquer aux leaders de l’opposition et de la Société civile. Il s’est ensuite attaqué au président de la République qu’il met, par ailleurs en garde. «On vient de m’appeler pour me dire que dans une salle de commission de l’Assemblée nationale, il y a un défilé de gens venus pour recevoir de l’argent en vue de la constitution de milices ou de commandos chargés d’attaquer des maisons des leaders de l’opposition», a révélé Amath Dansokho au micro de sud fm (privée). Selon lui, ces pratiques sont une tradition au PDS qui veut mettre le pays en sang. «A l’heure actuelle, ils veulent ensanglanter le pays parce qu’Abdoulaye Wade ne peut pas démontrer que les violences qui sont en cours sont commanditées par la coalition de l’opposition Bennoo», a développé Amath Dansokh qui met en garde Me Wade. «Je le mets en garde. Le Bennoo le tient pour responsable de ce qui lui arrivera parce que c’est lui-même qui, en conclave au Palais, a déclaré «du dent pour dent et œil pour œil contre l’opposition». Ces déclarations d’Amath Dansokho ont été vite balayées du revers de la main par le Président du groupe parlementaire et démocratique. Selon Doudou Wade, «par cette déclaration, le président d’honneur du PIT reconnaît sa responsabilité dans les attaques contre certains membres du Pouvoir». En plus il accuse l’opposition de vouloir faire basculer le pays dans la violence.

Karim Wade accuse gravement l'opposition sénégalaise.

Comme Macky Sall, Gadio contre la monarchisation du Sénégal

gadio.jpgLimogé après neuf ans à la tête du ministère des Affaires étrangères pour avoir contesté le scénario d'une succession orchestrée par Abdoulaye Wade au profit de son fils Karim, Cheikh Tidiane Gadio, 54 ans, va défier son ancien mentor lors de l'élection présidentielle de 2012.

Que vous inspire la virulence de la réaction de Karim Wade à l'annonce de votre candidature ?

J'ai accepté d'être le candidat du mouvement politique citoyen Luy Jot Jotna (1), car je m'oppose farouchement au projet dedévolution dynastique du pouvoir. En se représentant - illégalement - pour un troisième mandat en 2012, à près de 86 ans, Abdoulaye Wade réclame un plébiscite afin de placer ensuite son fils à la tête de l'Etat. Evidemment, ma candidature dérange ce projet.

Karim vous accuse d'avoir reçu de l'argent du leader libyen Mouammar Kadhafi. Que lui répondez-vous ?

A lui, rien. Il ne sait pas dire autre chose que: "Je vais te casser." Pour moi, Karim Wade n'existe pas car notre Constitution ne reconnaît pas le statut de "fils du président de la République". Le chef de l'Etat s'est d'ailleurs bien gardé d'entériner les affirmations mensongères de son rejeton. Pour autant, je suis préoccupé par le projet de coup d'Etat constitutionnel qu'Abdoulaye Wade prépare, comme l'atteste sa décision unilatérale d'instaurer un ticket président/vice-président et la possible suppression du second tour dès le scrutin de 2012. Pour ma part, j'ai lancé un appel à d'anciens responsables du Parti démocratique sénégalais, mouvance présidentielle (PDS), comme Macky Sall ou Idrissa Seck, mais aussi à d'autres leaders de l'opposition, tel Moustapha Niasse, afin que le premier tour soit une sorte de "primaires" à l'américaine.

Quelles sont vos chances réelles de remporter un éventuel ballottage ?

Il y a une désaffection envers les partis traditionnels au Sénégal comme dans toute l'Afrique. Je constate que Macky Sall ratisse sur le terrain tandis que je rallie chaque jour les suffrages des cadres et des bataillons de jeunes et de femmes, qui en ont assez que l'on manipule les institutions du pays à des fins personnelles. En cela, l'élection de 2012 marquera une vraie rupture générationnelle.

Vous promettez une paix définitive en Casamance. Comment y parvenir ?

Le président Wade avait promis, après son élection de 2000, de faire la paix "en cent jours" en Casamance; il a lamentablement échoué. Moi, j'ai l'intention de travailler avec tous les Sénégalais. Au lieu d'un "M. Casamance" que l'on dépêche avec des valises de billets, je propose la réconciliation de toutes les parties au conflit, l'amnistie et la réinsertion des combattants ainsi qu'un programme prioritaire de reconstruction économique de cette région, si prometteuse malgré le conflit qui la mine depuis près de trente ans.

Pourquoi réussiriez-vous là où vos prédécesseurs ont échoué ?

C'est là où mon expérience aux Affaires étrangères peut faire la différence. Jamais, dans aucune des médiations où j'ai été impliqué - Côte d'Ivoire, Madagascar, Mauritanie, Tchad-Soudan -, je n'ai lâché avant d'avoir obtenu gain de cause. Je veux mettre cette ténacité au service de mon pays.

mercredi, 29 juin 2011

Abdoulaye wade Je ne serai pas candidat à l'élection en 2012 la constitution ne me le permet pas

lundi, 27 juin 2011

Wade: « Je ne marcherai pas sur des cadavres pour sortir du palais »

wa.jpg(AfriSCOOP Dakar) — Le président Wade a évoqué pour la première fois sa sortie. Il la souhaite pacifique. Il est dans l’inconfort après la dure journée qu’il a vécu jeudi passé marquée par une révolte des populations qui l’a contraint à retirer son projet de loi qui devait instaurer une vice présidence et supprimer le minimum bloquant à l’élection présidentielle.

 

Par Macoumba BEYE, La Rédaction AfriSCOOP à Dakar ©


« Je ne marcherai pas sur des cadavres pour sortir du palais. » C’est la principale réaction du président sénégalais selon le journal l’Observateur sur les manifestations de jeudi dernier dans presque toutes les grandes villes du pays. Avant son élection il disait qu’il ne marcherait jamais sur des cadavres pour entrer au palais. Au-delà de sa disposition à privilégier le dialogue et les solutions pacifiques, la phrase trahit une certaine confiance affichée par le président Wade. Il a récemment dit qu’il ne parlait plus de 2012 mais de 2019, considérant que la prochaine présidentielle était pliée. Pour la première fois le président Wade évoque son départ.

Les manifestations de jeudi, qui ont dicté le retrait du projet de loi, ont plongé le président et son camp dans un grand embarras. Il a demandé à son Premier ministre ce qu’il pensait de la démission du gouvernement réclamée par certains dont des membres de la majorité. Le Premier ministre lui aurait dit qu’ « une démission nous affaiblirait » selon la presse. Cet après midi, il a consulté plusieurs membres de son parti et va poursuivre les réunions avec ses alliés ce dimanche. Il avait déjà dit qu’il ne subirait pas seul une telle déconvenue.

Plusieurs personnalités de son camp ont dénoncé son attitude sur le projet de loi qu’il leur a caché jusqu’à la dernière minute pour le leur envoyer en procédure d’urgence. Le président de la commission des lois de l’assemblée nationale dont le domicile et le véhicule ont été incendiés a dit que désormais « les députés ne vont plus voter les yeux fermés. » Il a déploré le manque de respect du président qui ne les consulte pas assez. Il a indiqué que Wade a depuis jeudi une « majorité éclatée et frustrée. »

L’opposition a exploité le contexte pour faire de la lutte du peuple un « mouvement du 23 juin 2011 » dès le lendemain du retrait du projet de loi controversé. L’opposition et la société civile qui se retrouvent dans le mouvement met la pression sur Wade pour qu’il retire sa candidature.

Les responsables du mouvement exigent aussi le départ des ministres de la Justice, de l’Intérieur et des infrastructures, de la coopération internationale, des transports aériens et de l’énergie, qui est le fils du chef de l’état Karim Wade. Un membre de l’opposition et ancien collaborateur de Wade lui a demandé de ne plus engager la nation dans une décision importante et se borner à gérer les affaires courantes du pays pour les huit mois avant la présidentielle. Il demande que cela soit notifié par l’opposition aux bailleurs et partenaires du Sénégal.

Depuis son élection, Abdoulaye Wade n’a jamais été dans une aussi inconfortable position. Beaucoup dans son parti réfléchissent déjà sur ce qui va se passer après lui. Dans leurs interventions on sent des libertés et critiques qui n’ont jamais été exprimées pendant qu’il avait le choix sur toutes les décisions. Beaucoup de sénégalais qui souhaitent qu’il s’exprime devant la nation ne se doutent plus que son crépuscule est arrivé mais se demandent seulement comment le vieux lion va poser genou sur terre.

 

jeudi, 23 juin 2011

Contre le ticket présidentiel : Les Sénégalais décrètent le mercredi rouge avant le jeudi noir

wa.jpgLes Sénégalais semblent décidés à barrer la route au projet de loi sur le ticket Président-Vice-Président de la République qui devra être voté demain, jeudi. A la veille de cette date historique du Sénégal, des manifestations contre ce projet de loi commencent sur l’ensemble du pays et même hors de nos frontières, en Amérique et en France notamment. C’est dire que c’est le mercredi rouge avant le jeudi noir.
 
C’est apparemment la capitale du Bassin arachidier ouvre le bal à 15 heures 30 minutes. Les leaders de Bennoo Siggil Senegaal (Bss), soutenus par des femmes et des jeunes manifestent dans la rue et brandissent le rouge à Wade. Le face-à-face entre forces de l’ordre et manifestants fait trois blessés dont un professeur et trésorier du conseil municipal de Kaolack, évacué à l’hôpital régional, et trois arrestations.
 
Du coup, la mairie de Kaolack s’est transformée en un QG : des manifestants venus des autres localités de la région s’y sont retrouvés. Ils promettent une veillée d’arme dans la capitale du bassin arachidier.
 
Mais des jeunes manifestants kaolackois continuent d’occuper la rue et exigent le départ de Me Wade. La route est barrée. La circulation est bloquée.
 
Au même moment, les membres de la Jeunesse pour la démocratie et le socialisme (Jds) se signalent à Ouakam à la rencontre de l’Armée de Terre pour lui demander de prendre sa responsabilité.
 
Dans la banlieue dakaroise, plus précisément à Pikine, des jeunes de l’opposition manifestent depuis ce matin. Plusieurs jeunes ont été arrêtés par la police. A l’Ucad, les étudiants se frottent aux forces de l’ordre pour la même cause.