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vendredi, 09 mars 2012

Des vacances de luix à petits prix

Mort de Ben Laden: Il aurait été trahi par une de ses femmes jalouse

Une simple histoire de jalousie? Oussama Ben Laden, sénile et lâché par Al-Qaida, aurait été donné aux Américains par l'une de ses premières femmes, jalouse de la plus jeune dans le huis clos d'Abbottabad. Telle est la thèse avancée par un ancien général pakistanais au terme d'une longue enquête.

Dix mois après, les dessous du raid américain qui a tué le chef d'Al-Qaida dans son paisible refuge d'Abbottabad, dans le nord du Pakistan, restent mystérieux, nourrissant de multiples théories, dont celle de la trahison. Shaukat Qadir, un général de brigade à la retraite, a enquêté pendant huit mois. Fort de ses relations au plus haut niveau de l'armée, il a pu visiter la maison, avant qu'elle soit détruite en février, et parler aux agents qui ont interrogé les femmes de Ben Laden, arrêtées après l'opération américaine.

Ben Laden voulait «s'emparer d'une centrale nucléaire» au Pakistan

Il en a tiré une théorie iconoclaste: Ben Laden, marginalisé et amoindri, aurait été victime d'un complot d'Al-Qaida, qui a utilisé une de ses femmes pour mettre les Américains sur sa trace. Comme tout ce qui concerne la fin du chef d'Al-Qaida, elle souffre de l'absence de preuves. Et d'un doute sur son impartialité, l'ancien général disculpant quasiment l'armée pakistanaise, accusée d'avoir fermé les yeux pendant des années sur sa présence à Abbottabad.

Selon lui, Ben Laden «a commencé dès 2001 à souffrir de déficience mentale», qui a progressivement conduit son bras droit, l'Egyptien Ayman Al-Zawahiri, à vouloir l'éliminer. «Il en avait marre des lubies fantasmatiques de Ben Laden», qui voulait par exemple «s'emparer d'une centrale nucléaire» au Pakistan, explique-t-il à l'AFP.

27 personnes dans la résidence d'Abbottabad

Après plusieurs années de cavale dans le nord-ouest (...) Lire la suite sur 20minutes.fr

mercredi, 07 mars 2012

Immigration: Sarkozy jugé incohérent et humiliant à gauche

PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a "humilié" des "millions de personnes" en marquant sa volonté de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France et d'imposer des conditions à l'attribution de prestations sociales aux étrangers, a estimé mercredi Daniel Cohn-Bendit, qui juge ce discours "dangereux".

Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, a pour sa part estimé sur Europe 1 que le président sortant faisait montre d'"incohérence" lui qui, "hier souhaitait l'immigration économique" et "aujourd'hui veut la réduire".

Lors de l'émission "Des paroles et des actes", mardi soir sur France 2, Nicolas Sarkozy a marqué sa volonté de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France, "c'est-à-dire de passer de 180.000 (par an) aux alentours de 100.000".

Il propose de subordonner l'attribution du Revenu de solidarité active (RSA) et du minimum vieillesse à des étrangers à des conditions de présence sur le territoire et d'activité.

"J'ai mal dormi. Ce matin, je suis encore mal, parce qu'il m'a dit quelque chose en pleine figure : il m'a dit 'tu es un homme en trop', parce qu'il a dit qu'il y a trop d'étrangers sur le sol français", a commenté Daniel Cohn-Bendit sur Canal+.

"Quand en période de crise un homme dit une phrase comme ça, eh ben je souhaite que le plus rapidement possible il ne soit plus président de la République", a poursuivi l'eurodéputé de nationalité allemande.

"C'est dangereux. Dans une période de crise, les êtres humains sont anxieux, ils ont peur. Et ceux qui vont mal, ils cherchent des boucs-émissaires. Un président de la République responsable, un homme politique responsable, n'a pas le droit de dire 'il y a des personnes en trop'", a souligné l'élu d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

"CONTRE-VÉRITÉS"

"Ce qu'il a fait hier soir, c'était humiliant pour des millions de personnes", a ajouté Daniel Cohn-Bendit. "Il me fait froid dans le dos s'il gagne".

La première secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, a parlé sur France 2 des "vieilles rengaines habituelles de la droite" : "les étrangers, les assistés qui ne travaillent pas".

Le souhait de Nicolas Sarkozy de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France est "une promesse qui sera sans lendemain", a-t-elle jugé, invoquant les conventions internationales auxquelles la France est liée.

Le président-candidat a dit également vouloir étendre aux candidats au mariage avec une Française ou un Français les conditions de revenus et de logement pour l'attribution d'un titre de séjour - conditions déjà appliquées au regroupement familial, ce qui a permis de réduire de 25.000 à 15.000 personnes par an le nombre d'immigrés pouvant venir résider en France par cette procédure.

"Pour ceux qui se sont mariés avec un conjoint étranger, femme ou homme, et qui ne peuvent plus obtenir que leur conjoint vienne vivre en France, mais quelle est la situation, qu'est-ce qu'on va créer comme famille?", s'est inquiété François Hollande sur Europe 1, craignant une inflation de "recours".

Le candidat socialiste a souligné son intention, s'il est élu, de lutter "contre la fraude" et "les mariages de complaisance", qualifiant de "contre-vérités" les affirmations de l'UMP selon lesquelles il pratiquerait des régularisations massives.

"Aujourd'hui, il y a 30.000 régularisations par an (...). Nous serons sans doute dans le même ordre de grandeur", a-t-il précisait, ajoutant qu'il serait "stupide" de donner des objectifs chiffrés.

Sophie Louet

vendredi, 02 mars 2012

Youssou Ndour pour un Sénégal qui progresse.

Macky Sall CLARIFIE SES PROPOS PAR RAPPORT AUX CHEFS RELIGIEUX

mercredi, 29 février 2012

Votre fric est là

Elle se marie à lâge de 100 ans !

Aux États-Unis, une pensionnaire de maison de retraite a décidé de se marier le jour de ses 100 ans.

Dana Jackson vit dans une maison de retraite américaine de Bowling Street, Kentucky. Pour fêter ses 100 ans le 6 février dernier, elle a tout simplement décidé... de se marier avec un autre pensionnaire, Bill Strauss, âgé de 87 ans. "Je ne pensais pas que je me remarierai un jour, mais j'ai trouvé quelqu'un de si bien !" déclare Dana, citée par le site internet Au Féminin.

La cérémonie s'est déroulée sous les yeux des autres pensionnaires et du personnel médical de l'établissement. Les deux amoureux se rencontrés il y a deux ans dans un centre de soins selon The Huffington Post. Petit bémol, l'heureux nouvel époux Bill Strauss n'est pas très pimpant puisqu'il est aveugle. Cela n'empêche pas toutefois Dana de le trouver "très beau" selon la même source.


Elle se marie à 100 ans ! par Gentside

 

 

 

dimanche, 26 février 2012

AUTO SCOUT 24

samedi, 25 février 2012

Elections au Sénégal: Grave révélation de Macky Sall

Le leader de l’Alliance pour la République et candidat de la coalition «Macky2012» est convaincu de la volonté de fraude du président sortant, Abdoulaye Wade. En meeting de clôture au Stade Alassane Djigo de Pikine, Macky Sall a révélé que le régime a commandé et débarqué au port de Dakar des «Taser» et d’autres types d’armes pour réprimer le peuple après le hold-up électoral.


« Le gouvernement veut faire du hold-up. Et pour cela, il y a quelques jours, des «Taser» et d’autres types d’armes ont été démarqués au port de Dakar». La révélation est de Macky Sall, candidat de la Coalition « Macky 2012 ». Ce dernier tenait son meeting de clôture au stade Alassane Djiggo de Pikine. Il a, à cette occasion, mis en garde le gouvernement, qui selon lui est prêt à tout pour faire du « fokhati (hold-up)».


grave.jpgL’ancien Premier ministre de marteler : «le coup de force ne passera pas. Car nous ne l’accepterons pas. J’ai déjà dit que nous offrons au président Wade une sortie honorable. Il n’a pas retiré sa candidature, et il ne l’a pas fait. Mais ce n’est pas grave. Le peuple est souverain et décidera à travers les urnes pour lui montrer la porte de sortie». A l’en croire, il suffit qu’il respecte le verdict pour éviter le chaos au Sénégal.


S’agissant de son programme, Macky Sall indique que «la seule guerre à mener c’est celle du sous-développement, de la pauvreté, la paix définitive». Dans un autre chapitre, le candidat de la Coalition « Macky 2012 » est revenu sur les invectives dont il est victime, et proférées contre sa personne. Le maire de Fatick a fait savoir qu’il ne répondra pas aux provocations. «J’appelle tout le monde et les membres du M 23 à travailler pour sauver cette jeunesse, pour un avenir radieux».


Au courant du meeting, Youssou Ndour de « Fékké ma thi bolé » s’est présenté sur le présidium. Mais il n’a pas pris la parole.


Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)

jeudi, 23 février 2012

Moustapha Cissé Lô dénonce ’’les tentatives de fraude’’ électorale des FAL 2012

Moustapha Cissé Lô, coordonnateur de l’Alliance pour la république (APR) du candidat Macky Sall, dans le département de Mbacké (centre), a dénoncé ’’les tentatives de fraude’’ de la coalition des Forces alliées pour la victoire (FAL 2012) du président sortant et candidat à l’élection présidentielle du 26 février, Abdoulaye Wade.

Le camp du candidat Macky Sall a pris ’’les dispositions nécessaires’’ pour empêcher toute tentative de fraude au scrutin présidentiel.

’’Nous avons pris toutes les dispositions nécessaires pour barrer la route aux FAL 2012, qui n’ont d’autre issue que d’orchestrer des fraudes en emmenant des gens depuis Diourbel pour essayer de voler’’, a soutenu Lô.

’’Nous n’accepterons pas cela parce que nous serons présents dans tous les bureaux de vote et nous veillerons à la régularité et à la transparence du scrutin’’, a-t-il affirmé au terme d’une marche organisée vendredi soir par des partis de l’opposition réunis autour du Mouvement du 23-Juin (M-23).

Selon lui, l’administration a essayé de rapprocher les bureaux de vote des lieux d’habitation des électeurs. ’’Il fallait, au préalable, consulter les partis politiques’’, a-t-il dit.

’’Nous disons que tous les partis, qu’ils soient du M-23 ou des FAL 2012, sont des adversaires au premier tour. Et, nous ferons tout pour gagner’’, a–t-il soutenu, ajoutant que ’’Wade ne sera jamais notre allié, quel que soit le parti arrivé premier ou deuxième’’.

’’Nous nous opposerons par les moyens légaux pour qu’il (Wade) retire sa candidature’’, a-t-il dit d’Abdoulaye Wade.

Macky Sall est attendu dans le département de Mbacké le 21 février.

 

[ Soutien ] Blessé lors des manifestations : La France apporte sa ‘solidarité et ses vœux de rétablissement’ à Youssou Ndour

yuoi.jpgLa diplomatie française veut que ‘l’intégrité physique de tous les manifestants soit respectée’, et appelle le gouvernement du Sénégal ‘à tout faire pour garantir les libertés fondamentales, en particulier la liberté d’expression et de manifestation’.C’est en substance ce que l’on retient du point de presse du porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valéro, appréciant hier la situation au Sénégal.


(Correspondant permanent à Paris) - La blessure de Youssou Ndour lors des manifestations de mardi dernier a fait le tour des médias internationaux. Les médias français n'étaient pas en reste. Des télévisions de grande audience à la presse écrite de grande diffusion en passant les radios, tous ont évoqué cette blessure subie par l'un des artistes les plus célèbres du Sénégal. Maintenant c'est les autorités françaises qui en font cas. Lors de son point de presse, hier, le porte-parole du Quai d'Orsay en fait cas en souhaitant à tous les blessés un ‘rétablissement’. ‘(La France) exprime ses condoléances aux familles des victimes ainsi que sa solidarité et ses vœux de rétablissement à M. Youssou Ndour et à tous les blessés’, a fait savoir Bernard Valéro. Avant de regretter ‘vivement que l’action des forces de l’ordre ait fait des morts et de nombreux blessés parmi les manifestants’.
Le Quai d'Orsay en a profité pour réaffirmer son attachement à la liberté d’expression et de manifestation, comme le prévoit le code électoral sénégalais. La France demande également que ‘l’intégrité physique de tous les manifestants soit respectée’, appelant le gouvernement du Sénégal ‘à tout faire pour garantir les libertés fondamentales, en particulier la liberté d’expression et de manifestation’. Pour les autorités françaises, le Sénégal doit ‘préserver sa tradition démocratique et assurer son avenir dans le cadre d’une campagne faisant toute la part au pluralisme et dans le respect du calendrier électoral’. La France se dit ‘préoccupée par la dégradation de la situation au Sénégal à quelques jours du scrutin présidentiel’.


A trois jours de l'élection présidentielle, la tension reste toujours vive au Sénégal. Certains candidats ont appelé à manifester encore jusqu'au vendredi contre la candidature du président Wade. Une situation, si elle dégénère, pourrait avoir des conséquences sur la tenue du scrutin. D'ailleurs des candidats à cette élection demandent le report du scrutin, estimant que toutes les conditions ne sont pas réunies pour sa tenue. En revanche, d'autres militent en faveur de sa tenue. En tous les cas, Olegun Obasanjo est arrivé à Dakar hier, conduisant la délégation des observateurs de la Cedeao et de l'Union africaine (Ua) pour l'élection présidentielle du 26 février 2012. Il a rencontré des candidats de l'opposition, des dirigeants de la société civile et du Mouvement M23. Il devrait rencontrer hier, la Commission électorale nationale autonome (Cena). Même s'il refuse d'inscrire sans mission dans le cadre d'une médiation, il n'en exclut pas autant. En tous les cas, certains protagonistes le souhaitent vivement pour sortir de ce complexe bourbier sénégalais.

lundi, 13 février 2012

Belgique: Anvers dit "non" à Abdoulaye Wade

dimanche, 12 février 2012

Whitney Houston est décédée

whit2.jpgLa chanteuse et actrice américaine Whitney Houston, l'une des artistes pop ayant vendu le plus de disques avant de voir sa carrière sombrer dans la drogue et l'alcool, est morte samedi à 48 ans dans un hôtel de Beverly Hills, la veille de la cérémonie des Grammy Awards.

"A 15H55 (23H55 GMT), Whitney Houston a été déclarée morte au Beverly Hilton Hotel" où elle séjournait, a déclaré un porte-parole de la police de Beverly Hills, le lieutenant Mark Rosen.

Sa mort intervient à la veille des 54e Grammy Awards, les "Oscars" de la musique aux Etats-Unis, qui doivent se tenir dimanche soir à Los Angeles et qu'elle avait remportés à six reprises.

La chanteuse devait participer samedi à une soirée organisée au Beverly Hilton -- l'hôtel où elle a été retrouvée morte -- par le producteur Clive Davis, qui l'avait découverte, en marge des Grammys.

Les causes de la mort de la diva pop restaient indéterminées dans l'immédiat, selon le lieutenant Rosen, et des enquêteurs se trouvaient toujours dans la chambre de la chanteuse samedi soir pour tenter d'en préciser les circonstances.

M. Rosen a précisé que la police avait reçu à 15H43 un appel d'urgence de l'entourage de la chanteuse -- son compagnon, le chanteur de R&B Ray-J, selon CNN -- et qu'ils avaient trouvé son corps gisant par terre, dans sa chambre au quatrième étage.

A leur arrivée, des membres du personnel de sécurité de l'hôtel étaient déjà en train de tenter de la ranimer, sans succès.

De multiples véhicules de police et un laboratoire d'analyse criminelle mobile étaient stationnés devant l'hôtel, tandis que les clients regardaient les informations sur des télévisions installées dans le hall.

Une poignée de fans étaient également rassemblés dans le Beverly Hilton, où la soirée de Clive Davis se tenait malgré tout.

Sur les réseaux sociaux, notamment twitter, les hommages de célébrités et d'anonymes n'ont pas tardé. "J'ai le coeur brisé et suis en pleurs après la mort choquante de mon amie, l'incomparable Mme Whitney Houston", a écrit la chanteuse Mariah Carey.

"Nous avons perdu une autre légende. Mon amour et mes prières vont à la famille de Whitney", a déclaré pour sa part Christina Aguilera, tandis que Rihanna a simplement écrit: "Je n'ai pas de mots! Juste des pleurs".

Les organisateurs des Grammys ont précisé qu'ils allaient opérer des changements dans le programme de la soirée, qui se tient dimanche au Staples Center, et que Jennifer Hudson chanterait un hommage à la chanteuse.

Surnommée "La Voix", Whitney Houston a dominé la scène musicale américaine de pop et de soul dans les années 1980 et 1990, et vendu 170 millions de disques.

Parmi ses plus grands hits figurent "How Will I Know", "Saving all My Love for You" et "I Will Always Love You", chanson phare de l'année 1992 et du film "Bodyguard" où elle partageait l'affiche avec Kevin Costner.

Cousine de Dionne Warwick et fille d'une choriste Cissy Houston, elle était née le 9 août 1963 à Newark (New Jersey) et s'était lancée dans la musique après un peu de mannequinat et des participations à des sitcoms.

Depuis le début des années 2000, des problèmes de toxicomanie ont valu à Whitney Houston de faire souvent la Une de la presse populaire, tandis que son créneau musical a été occupé par des chanteuses plus jeunes comme Mariah Carey puis Beyoncé ou Rihanna.

En 2009, après des années d'absence artistique au cours de laquelle elle a fait parler d'elle autant pour ses démêlés avec la drogue que pour sa carrière, Whitney Houston a publié un nouvel album "I look to you", salué par la critique.

"Je peux résister à la douleur, mais ma vie ne se résume pas à cela", chante-t-elle dans la chanson "Nothin' but love", présente sur son dernier album.

En 2010, elle avait du annuler une partie de sa tournée européenne et être hospitalisée à Paris pour une infection respiratoire et était toujours confrontée à ses démons qui lui ont valu une nouvelle cure de désintoxication au printemps dernier.

Sa dernière apparition publique remonte à jeudi, où elle a été aperçue devant une discothèque d'Hollywood débraillée et désorientée, selon la chaîne ABC. Elle y avait également eu une altercation avec une célébrité de télé-réalité, selon le Hollywood Reporter.

lundi, 06 février 2012

Le Syndrome de Sangalkam plane sur les élections présidentielles sénégalaises 2012.

Un gouvernement qui tue, est un régime  abdiquant. Un gouvernement qui tire sur le peuple, croupit sur un système en agonie. Telle est la situation du gouvernement sénégalais sous l’ère Abdoulaye Wade – Karim Wade avec un premier ministre comme acteur secondaire.

Le combat actuel du peuple sénégalais est une lutte légitime et de plein droit. Il ne demande que le respect minimum de la constitution pour un pays qui a la tradition d’un Etat de droit et d’un Etat démocratique.

La constitution actuelle sénégalaise ne permet pas à Abdoulaye Wade d’être candidat à la présidentielle 2012. Cette vérité évidente a été prononcée publiquement et mondialement par Abdoulaye Wade lui-même entouré à l’époque par Macky  Sall et Bacar Dia  attestant qu’il a bloqué ses mandats à deux et qu’il n’était dès lors pas possible pour  lui de se présenter en 2012.

Nous avons à plusieurs reprises visionné les vidéos des manifestations à la Place de l’Obélisque pour  constater amèrement comment le mastodonte camion blindé des forces de ‘’l’ordre’’ a foncé sur la population pour catapulter, arracher, écraser, déchiqueter, propulser d’innocents sénégalais pour écourter leur vie. Le peuple est témoin, l’opinion internationale est témoin, Dieu est témoin.

C’est Abdoulaye Wade Jadis, quand il était dans des situations difficiles et d’inconfort lorsque le parti socialiste était au pouvoir, nous rappelait cet interrogation : ’’ Dieu n’  est –il pas le meilleur des juges’’.

Dans ce contexte, c’est le peuple qui les jugera avant le tout puissant et patient les juge. Ce que réclame le peuple sénégalais est un droit fondamental  et inaliénable pour la nation sénégalaise.

Le peuple est plus fort que le gouvernement. Un gouvernement fort est celui qui écoute et entend les doléances de ceux qui les ont portés au pouvoir. Un gouvernement faible est celui qui est sourd et aveugle  aux revendications des masses comme le gouvernement actuel du Sénégal  en abus de pouvoir.

Jusqu’à ce jour, nous n’avons pas encore entendu les condoléances d’Abdoulaye Wade ou de ses acolytes pour des jeunes injustement tués par un système mis en place par le présent régime.

Le peuple sénégalais, s’aura – t –il pardonné un jour ces tortueux qui nous dirigent ?

Alioune DIOP

 

mercredi, 01 février 2012

Abdoulaye Wade tue le sénégalais et marche sur le cadavre au plaisir de son fils Karim Wade

mort.jpg

Wade avait dit "qu'il ne marchera pas sur des cadavres pour aller au pouvoir". D...ésormais c'est clair qu'il est prêt à tuer tous les sénégalais pour conserver son pouvoir. Déjà 4 morts et le discours de son clan rappelle étrangement celui de Gbagbo. Il faut arrêter cette tragédie...Afficher la suite

dimanche, 29 janvier 2012

La tablette made in Africa

Le Congo est prêt à envahir l’Afrique puis l’Europe (qui sait ?) avec sa propre tablette bien de chez elle, la Way-C. Un produit de 7 pouces – comme la première Galaxy Tab de Samsung, soit 18 cm de diagonale d’écran – sous Android 2.3 Gingerbread conçu pour attaqué le marché de l’entrée de gamme sans pour autant sacrifier la qualité de l’appareil.
Verone Mankou, créateur de la société VMK, ne sort pas comme par magie d’un chapeau pour tenter de gratter un peu de business numérique. La révélation tactile, ce jeune entrepreneur de Brazzaville, fils d’un ingénieur et d’une institutrice, l’a lors de la présentation du premier iPhone par Steve Jobs, en 2007.

Cela fait déjà un an qu’il planche sur le meilleur moyen de démocratiser Internet, sans forcément passer par des moyens « logiques » (PC, notebook…) que la logistique traditionnelle rend difficile à mettre en place en Afrique. L’iPhone, Verone Mankou le voit déjà dans sa tête en version XL. Un produit plus grand qu’un smartphone, facile à connecté, tactile et bon marché.
L’idée germe vite, le concept se dessine précisément en quelques mois… mais le manque de moyens et d’investisseurs sur place laisse le rêve de tablette de Verone dans un tiroir, en 2009. Sa révolution tactile attendra.

Finalement, en 2011, le concept peut enfin se concrétiser. La réussite de l’iPad et surtout le manque de produits accessibles en Afrique – on trouve le haut de gamme, puis de l’entrée de gamme peu onéreuse mais de très mauvaise qualité – accélèrent la reprise du projet. « Le marché hi-tech en Afrique est en pleine croissance, je dirais même que c’est le seul marché au monde où une croissance à quatre chiffres est encore possible« , nous confie Verone Mankou. La Way-C prend vie, peu à peu, tout jours dans l’espoir de toucher le plus grand nombre.

« L’africain, n’ayant pas un grand pouvoir d’achat, souhaite un produit de même qualité que celui disponible en occident… pour un prix très bas, explique Vérone Mankou. Le marché se joue donc sur le rapport qualité-prix. C’est là que nous allons sortir notre épingle du jeu. Nous n’allons proposer que des produits de très bonne qualité à des prix très abordables.«

En bon industrie contemporaine, VMK s’acoquine avec une usine chinoise pour la production massive de l’appareil. Toutefois, la conception des circuits provient de l’esprit de l’entrepreneur. L’usine chinoise réalise la Way-C selon les plan fournis par VMK. Rien n’est acquis « clés-en-mains ». La tablette comprend l’Android Market, le catalogue officiel d’applications de Google, mais propose aussi un VMK Market qui « sélectionne le meilleur de l’Android Market, car il n’est pas simple de se retrouver avec des centaines de milliers d’applications. Le VMK Market met aussi en avant les applications développés par des développeurs africains, précise Vérone Mankou.

Equipée d’un processeur ARM Cortex A8 cadencé à 1,2 GHz (+ 512 Mo de RAM), d’une mémoire de stockage de 4 Go, d’un slot micro SD pour augmenter la mémoire, du WiFi et d’une définition d’écran de 800 x 480, la Way-C est commercialisée à 150 000 francs CFA, soit 228 euros.

Vérone Mankou est également attiré vers le smartphone. Logique. VMK travaille ainsi sur un modèle, en forme de réplique miniature de la tablette (photo du prototype ci-dessus). La tablette Way-C débarque en ce moment au Congo ainsi que dans 11 autres pays d’Afrique. Mais Vérone Mankou ne veut pas se cantonner au berceau de l’Humanité, il a des rêves d’Europe et cherche ainsi activement de nouveaux distributeurs afin que la Way-C – et son smartphone le cas échéant – trouvent asile sur des sites web marchands du Vieux Continent.

Et à voir les caractéristiques et le prix de la tablette signée VMK, elle n’aurait pas à rougir face à certains produits positionnés au même prix. Bientôt du VMK dans nos contrées ? C’est tout le malheur que l’on peut souhaiter à Vérone Mankou et VMK.

samedi, 28 janvier 2012

Elections présidentielles 2012 : Qui sont ces hommes et femmes qui veulent diriger le Sénégal

Certains candidats n’ont pas besoin d’être présentés aux Sénégalais. Ils sont connus pour avoir été plusieurs fois candidats à cette compétition ou pour s’être fait un autre dans un domaine autre que la politique. Walf Quotidien vous fait découvrir les candidats à la magistrature suprême. Le futur locataire du Palais de l’avenue Roume est parmi ces quinze personnalités classées ici par ordre alphabétique de leur (s) prénom(s).

 

Abdoulaye Wade

Le président sortant est né le 29 mai 1926 à Kébémer, mais déclaré à Saint-Louis pour bénéficier du statut de citoyen français. Candidat des Forces alliées 2012, le pape du Sopi, est l’un des grands favoris de cette compétition. Elu président de la République du Sénégal depuis le 1er avril 2000 puis réélu en 2007, ce dinosaure de la politique connaît bien la compétition pour y avoir participé au moins sept fois en 1978, en 1983, en 1988 en 1993 en 2000 en 2007 et en 2012. Cet avocat bardé de diplômes comme il se plait à le dire, a créé son parti le Pds en 1973. Marié et il est père de deux enfants.

 

Amsatou Sow Sidibé

 

Né en 1953, Amsatou Sow Sidibé est l’autre dame qui se présente à la présidentielle de 2012. Titulaire d'un doctorat d'État elle est la première Sénégalaise agrégée en droit. Elle a été nominée au projet ‘1 000 femmes’ au Prix Nobel de la Paix. Elle est secrétaire générale du mouvement Car Leneen.

 

Cheikh Bamba Dieye

 

De son vrai nom Cheikh Abiboulaye Dièye, l’actuel maire de la ville de Saint-Louis et député à l’Assemblée nationale du Sénégal est né le 12 novembre 1965 à Saint-Louis. Malgré son jeune âge, il n’est pas pour autant un novice. Il était sur la ligne de départ à la présidentielle de 2007 et avait obtenu 0,50 %. Le leader du (Fsd/Bj) est ingénieur de formation, marié et père de quatre filles. Membre fondateur du Fsd/Bj, il a été élu conseiller régional en 1996 suite aux élections locales auxquelles le Fsd/Bj prenait part pour la première fois. De 1996 à 2002, date du décès accidentel de son père, ancien secrétaire général, il a occupé le poste de porte-parole de cette formation politique. Ce n’est qu’après cet évènement tragique qu’il a été investi secrétaire général par le congrès du parti le 9 juin 2002. Il a été élu député aux législatives de 2007, puis maire de Saint-Louis aux locales de 2009.

 

Cheikh Tidiane Gadio

 

Né le 16 septembre 1956 à Saint-Louis, cet ancien membre de la société civile s’est véritablement lancé dans la politique en 2009 après son éviction du gouvernement. Ce docteur en communication était coordinateur pour l'Afrique occidentale francophone du programme WorLD (World Links for Development) domicilié à la Banque mondiale à Washington, lorsqu'il est nommé ministre des Affaires étrangères du Sénégal en avril 2000. Il restera à ce poste pendant neuf ans et demi avant d’être limogé le 1er octobre 2009. Depuis lors, Gadio se bat pour mettre fin au régime libéral sous la bannière du mouvement ‘Luy Jot jotna’.

 

Diouma Dieng Diakhaté

 

On s’attendait à toutes les candidatures sauf celle de cette styliste sénégalaise. Connue et reconnue au Sénégal et en Afrique pour son talent et ses modèles de vêtements très perfectionnés, Diouma Dieng Diakhaté a toujours évolué loin du terrain politique. La patronne du célèbre salon Shalimar Couture a parmi ses clients de nombreux chefs d’État africains et leurs épouses. Cette seule dame en lice qui s’est lancée dans la course, il y a moins de 10 jours, part sous la bannière de l'Initiative démocratique Jubel (Idj).

 

Djibril Ngom

 

Voilà une autre candidature surprise. Mais cet économiste né le 31 mars 1952 à Dakar, n’est pas inconnu des Sénégalais pour avoir été ministre du Budget dans les années 90, puis Directeur Général du Port autonome de Dakar avant d’atterrir en 1997 à la tête des Industries chimiques du Sénégal comme Directeur Général Adjoint. Trois ans plus tard, en l’an 2000 il fut nommé Président directeur Général des ICS (poste créé exclusivement pour lui) et Senchim. Il s’aligne pour la première fois à la course.

 

Doudou Ndoye

 

Juriste de formation, Doudou Ndoye est né à Dakar le 4 août 1944. Un des membres fondateurs du Pds, il quittera ce parti pour rejoindre le Parti socialiste et devient ministre de la Justice sous la présidence d'Abdou Diouf, du 8 avril 1983 au 2 janvier 1986. Après une période d’hibernation, il crée l'Union pour la République (Upr) en 2000 et se présente à la présidentielle de 2007 à l’issue de laquelle il n’obtient que 0,29 % des voix, se classant 12e sur les 15 candidats en lice.


Ibrahima Fall

 

Le candidat du mouvement ‘Taxaw temb’ est né en 1942 à Tivaouane. Ce juriste de formation nommé plusieurs fois ministre sous le régime socialiste est un grand universitaire qui a été doyen de la faculté de droit de l’université de Dakar de 1975 à 1981. Ministre de l’Éducation supérieure de 1983 à 1984, puis aux Affaires étrangères de 1984 à 1990, Ibrahima Fall embrasse ensuite une carrière internationale comme Sous-secrétaire général chargé des Droits de l’homme et Directeur du Centre pour les Droits de l’homme à Genève de 1992 à 1997. Avant d’être nommé Représentant spécial pour la région des Grands Lacs 1 et Sous-secrétaire général aux affaires politiques en juillet 2002. Ibrahima Fall est marié et père de cinq enfants.

 

Idrissa Seck

 

Il fait aussi figure de favori dans cette élection. L’ancien Premier ministre de Wade est né le 9 août 1959 à Thiès. Ancien membre du Pds, Idrissa Seck n’est pas sur un terrain inconnu pour avoir été d’abord directeur de campagne d'Abdoulaye Wade en 2000, puis candidat à la présidentielle de 2007 à l’issue de laquelle il se retrouve à la seconde place avec 14,86 % des suffrages. Malgré, son jeune âge, le candidat de la coalition ‘Idy4president’ connaît bien la chose politique. Ancien militant du Pds il sera exclu officiellement de ce parti en avril 2011. Un parti où il n’était plus d’ailleurs membre actif depuis sa fameuse brouille avec son mentor Me Wade en 2004. Depuis cette date, Idrissa Seck tisse sa toile sous la bannière de Rewmi.

 

Macky Sall

 

Le candidat de la coalition ’Macky 2012’ est né le 11 décembre 1961 à Fatick, une commune dont il est le maire depuis 2009. Ingénieur géologue, géophysicien, Macky Sall a milité d’abord à And-jef avant d’adhérer au Pds en 1989. Entré au gouvernement en 2001, il y restera jusqu’en 2007 et occupera différents postes ministériels. Nommé Premier ministre le 21 avril 2004 il y restera pendant 3 ans. Il devient Président de l’Assemblée nationale au lendemain des législatives de 2007 pour une courte durée puisqu’il est évincé en septembre 2008. Le 1er décembre 2008, il crée son parti politique Alliance pour la République (Apr-Yakaar). Macky Sall est marié et père de trois enfants dont deux filles et un garçon.

 

Mor Dieng

 

Il est né le 06 septembre 1958 à Mbacké Sénégal. Ancien responsable des cadres de l’Afp, il démissionnera du parti de Moustapha Niasse en octobre 2007 pour créer sa propre formation politique Yakaar. Cet Expert comptable s’aligne pour la première sur la ligne de départ d’une élection présidentielle.

 

Moustapha Niasse

 

Il se présente sous les couleurs de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. Moustapha Niasse, un autre favori de la compétition est né le 4 novembre 1939 à Keur Madiabel. Cet ancien socialiste a blanchi sous le harnais. Après une carrière dans la haute fonction publique où il aura été directeur de cabinet du président Senghor, Moustapha Niasse est nommé ministre de l'Urbanisme, de l'Habitat et de l'Environnement le 15 mars 1979 et ministre des Affaires étrangères le 19 septembre 1979. Puis Premier ministre en avril 1983 pour un mois. En juin 1993, il redevient ministre des Affaires étrangères jusqu’en juillet 1998 où il est nommé représentant du Secrétaire général des Nations unies dans les pays des Grands lacs. En 2000, il est candidat de l’Alliance des forces du progrès (Afp) à l’élection présidentielle. Il arrive en troisième position au premier tour organisé le 27 février 2000 avec 16,8 %. Suite à la victoire d'Abdoulaye Wade, il est nommé Premier ministre. Il revient à la course en 2007 et se classe quatrième avec un score de 5,93 %.

 

Oumar Khassisou Dia

 

Le et leader du parti humaniste ‘Niax jarignu’ est né en 1964 à Sokone, Ingénieur informaticien et titulaire d'un mastère en management aéroportuaire il fut militant du parti socialiste avant de se démarquer en 2000 pour créer sa propre formation politique.Le Mouvement pour la démocratie et le socialisme- Mds/Ñaxx Jariñu (vivre de sa sueur) qui porte sa candidature prône l'alternance générationnelle. Il fait également partie des novices.


Ousmane Tanor Dieng

 

Le candidat de la coalition ’Bennoo Ak Tanor’ est né le 2 janvier 1947 à Nguéniène. Le Secrétaire général du Parti socialiste ne va pas en terrain inconnu. Il a été le directeur de campagne du président Abdou Diouf en 2000 avant de se présenter à l'élection présidentielle du 25 février 2007, pour laquelle il était présenté, durant la campagne électorale, comme l'un des seuls candidats, avec l'ancien Premier ministre Idrissa Seck, à pouvoir réellement ‘menacer’ la réélection de Wade. Il sortira troisième à l’issue du scrutin avec un score de 13,56 %. Ce diplômé de l’Enam fut un ancien directeur de cabinet de Diouf avant d’être propulsé ministre d’Etat des services présidentiels. Elu député en 2001 puis participe au boycott des législatives de 2007.

 

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