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jeudi, 03 décembre 2020

Belgique : 11.11.11 nous interpelle en Palestine et en Israël et se pose la question !

PEUT-ON PARLER D’UN APARTHEID EN PALESTINE ET EN ISRAËL ?

palestine, israël

Ces derniers mois, le débat sur la situation en Israël et en Palestine s’est de plus en plus focalisé sur la question de savoir si Israël est coupable du crime d’« apartheid ». Le CNCD-11.11.11 et son homologue flamand, 11.11.11, invitent trois experts à discuter de cette importante question et de la situation actuelle dans le territoire palestinien occupé et en Israël.

A suivre sur www.cncd.be

lundi, 11 août 2014

Belgique: Une manifestation

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mercredi, 09 juillet 2014

Israël frappe Gaza, le Hamas tire des roquettes longue portée: il faut UNE SOLUTION DEFINITIVE

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GAZA/JERUSALEM (Reuters) - Les bombardements israéliens ont fait au moins 20 morts mardi dans la bande de Gaza, rapportent les autorités palestiniennes tandis que l'Etat hébreu prépare l'opinion à une opération de longue haleine contre le Hamas.

Douze des 20 Palestiniens tués sont des civils, et l'on dénombre cinq enfants parmi eux, ont précisé des responsables.

Les sirènes d'alerte ont retenti mardi en début de soirée à Tel Aviv, où les gens ont couru se mettre à l'abri, et l'armée a déclaré que le dispositif antimissiles baptisé "Dôme de fer" avait permis d'intercepter en vol une roquette dans le ciel de la capitale économique d'Israël.

Un peu plus tard, les sirènes ont retenti à Jérusalem, où elles ont été suivies de bruits d'explosions, ont rapporté des correspondants de Reuters. Le Hamas a annoncé avoir tiré quatre roquettes sur Jérusalem, et en avoir tiré une également en direction de Haïfa, ville portuaire du nord d'Israël à 140 km de Gaza.

Si la chute d'une roquette à Haïfa n'a pas été confirmée, Israël a déclaré qu'une autre était tombée sur Hadera, ville à 100 km de Gaza, distance que ce type de projectile n'avait encore jamais atteinte depuis que les Palestiniens de Gaza en tirent sur le territoire israélien.

L'armée israélienne a dit n'avoir connaissance d'aucune victime dans la salve tirée mardi soir sur Tel Aviv et Jérusalem.

vendredi, 02 juillet 2010

Israël libérerait 1.000 Palestiniens en échange de Gilad Shalit

Israël remettrait mille prisonniers palestiniens en liberté si le mouvement islamiste Hamas relâchait le soldat Gilad Shalit, capturé il y a quatre ans à la frontière de Gaza, annonce le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Le Hamas a immédiatement réclamé des éclaircissements, notamment sur l'identité des Palestiniens susceptibles d'être concernés par cet élargissement. "Netanyahu tente de duper l'opinion publique israélienne et de tromper son peuple. Ce qui importe, ce n'est pas le nombre de détenus (qui seront libérés), c'est leur identité", a réagi Aymane Taha, porte-parole du Mouvement de la résistance islamique (Hamas).

Le Hamas insiste que sur le millier de libérations envisagées, 450 correspondent à des Palestiniens ayant commis des actes de violence contre Israël, a précisé Taha.

Dans un discours à la nation retransmis en direct, Netanyahu a dit que tous les Israéliens souhaitaient voir Shalit revenir sain et sauf mais que le pays ne pouvait pas "payer n'importe quel prix", l'expérience ayant montré que nombre de Palestiniens libérés s'étaient remis ensuite à attaquer des Israéliens.

"L'offre du médiateur allemand que nous avions décidé d'accepter prévoyait la libération de mille terroristes. C'est le prix que je suis prêt à payer pour ramener Gilad. J'ai dit oui à cet arrangement et il est applicable immédiatement", a-t-il déclaré.

Le dirigeant israélien se référait à des discussions au cours desquelles un échange de prisonniers a paru imminent en décembre dernier, mais sans se concrétiser par la suite. Des médias avaient évoqué un échange de mille détenus palestiniens contre Shalit, ce qui n'avait toutefois jamais été confirmé officiellement du côté israélien.

PRESSIONS SUR NETANYAHU

"Mais il y a des prix que je ne suis pas prêt à payer et qui ne sont pas inclus dans ce difficile arrangement", a dit Netanyahu.

"Je suis ferme sur deux principes fondamentaux. Le premier, c'est que des terroristes dangereux ne retourneront pas dans les régions de Judée et Samarie (Cisjordanie), d'où ils pourraient continuer de s'en prendre aux ressortissants d'Israël", a-t-il souligné en notant qu'ils pourraient se rendre en Tunisie, dans la bande de Gaza ou ailleurs.

Le second principe est que les "terroristes les plus importants" ne seront pas libérés, a ajouté Netanyahu.

Shalit, aujourd'hui âgé de 23 ans, a été enlevé en juin 2006 au cours d'un raid du Hamas à la limite du sud d'Israël et de la bande de Gaza. Il passe pour être détenu dans l'enclave côtière.

Dans le cadre d'une campagne visant à faire pression sur le gouvernement, la famille de Shalit et des sympathisants ont entamé dimanche une marche de douze jours vers Jérusalem, avec l'intention de camper devant les bureaux de Netanyahu pour qu'il négocie le retour du captif en Israël.

Noam Shalit, le père du sergent Gilad Shalit, a appelé Netanyahu à obtenir la libération prochaine de son fils. "J'invite le Premier ministre à écouter les voix des foules qui nous accompagnent (...) et prenne cette décision difficile avant qu'il ne soit trop tard".

Environ 7.000 Palestiniens sont emprisonnés en Israël.

Lors des négociations sous médiation allemande, le Hamas a accepté que certains des détenus arabes susceptibles d'être relâchés prennent le chemin de l'exil, mais en insistant pour que ce soit vers un pays de leur choix.

Version française Philippe Bas-Rabérin et Jean-Loup Fiévet

dimanche, 11 janvier 2009

FREDERICK KANOUTE sanctionné de 3000 Euros par l'Espagne pour avoir soutenu la palestine

STARAFRIC.COM - Le Comité de Compétition de la Fédération espagnole de Football a imposé une sanction de 3000 euros au joueur de Séville
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Frederick Kanouté, qui a exhibé un sous vetement avec l’inscription PALESTINE durant la rencontre en coupe du roi à Seville. Kanouté a annocé aux journalistes qu’il fera appel de cette décision pour n’avoir pas considéré Palestine comme un message mais une localité ou comme Espagne ou Mali.

13:36 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : palestine |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 05 janvier 2009

Crime contre l'humanité,Israel se transforme en véritable machine à tuer

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mercredi, 28 novembre 2007

Israéliens et Palestiniens s’engagent à négocier la paix

Le président américain, George Bush, a annoncé hier, à Annapolis (Maryland), à l’ouverture de la conférence de paix internationale sur le conflit israélo-palestinien, que les deux parties s’étaient mises d’accord in extremis sur une déclaration commune. Le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, et le président palestinien, Mahmoud Abbas, ont souligné, parfois avec émotion, le caractère historique de cette conférence.
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Litige. «Une telle occasion ne se représentera peut-être pas», a dit Abbas. Ehud Olmert, qui a pris plusieurs fois par l’épaule son homologue palestinien, s’est engagé à entamer des négociations «directes, bilatérales, continuelles et suivies» avec les Palestiniens jusqu’à la fin 2008. «L’heure est venue, et nous sommes prêts», a-t-il dit en ajoutant : «Je n’ai aucun doute que la situation créée dans notre région en 1967 [à l’issue de la guerre des Six Jours, ndlr] changera de manière significative. Ce sera un processus très difficile pour beaucoup d’entre nous, mais il est néanmoins inévitable. Je le sais. Beaucoup le savent.» «C’est le début d’un processus, ça n’en est pas l’aboutissement, et il reste beaucoup de travail à faire», a dit Bush, qui a pris clairement partie pour Israël en affirmant que cet Etat devait être «la patrie des Juifs».

Cette question est un sujet de litige majeur entre Israéliens et Palestiniens. Les Palestiniens redoutent que la reconnaissance formelle d’Israël comme «Etat juif» dans un règlement empêche de facto le retour des Palestiniens réfugiés, l’un des enjeux primordiaux des discussions. Les Israéliens craignent, eux, qu’un retour massif des Palestiniens ne modifie l’identité d’Israël et ne mette les Juifs en minorité. La déclaration commune israélo-palestinienne, qui a été lue par le président Bush, donne le coup d’envoi à un an de négociations qui s’achèveront fin 2008, quelques semaines avant l’expiration du mandat de George W. Bush, le 20 janvier 2009.

Elle exprime «la détermination de mettre fin aux effusions de sang et aux décades de conflit» entre les deux peuples. Elle promet «une nouvelle ère de paix, basée sur la liberté, la sécurité, la justice, la dignité, le respect et la reconnaissance mutuelle». Les deux parties s’engagent à «lutter contre le terrorisme et l’incitation au terrorisme, qu’il soit le fait des Palestiniens ou des Israéliens». La déclaration réaffirme le concept d’un Etat palestinien vivant «côte à côte» avec l’Etat israélien «en paix et dans la sécurité», en vue de conclure «un traité de paix» en «résolvant toutes les questions, y compris les questions fondamentales sans exception». Ces négociations seront «vigoureuses, continuelles et suivies» et les deux parties se rencontreront régulièrement, lit-on dans la déclaration.

Pourparlers. La date de la première session a été fixée au 12 décembre prochain. Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien, qui se sont rencontrés fréquemment au cours des derniers mois afin d’élaborer ce texte, continueront de se rencontrer «deux fois par semaine» afin de suivre le déroulement des pourparlers. La «feuille de route», un accord élaboré en 2003 qui implique parallèlement des engagements palestiniens en matière de sécurité et un arrêt de la colonisation israélienne, sert de base de travail aux deux parties. Les Etats-Unis dirigeront un «mécanisme» comprenant Israël et la partie palestinienne destiné à «suivre la mise en place» de la feuille de route. Les obligations liées à celle-ci doivent demeurer en vigueur «jusqu’à la conclusion d’un traité de paix».

mercredi, 13 septembre 2006

Mahmoud Abbas obtient le feu vert du Hamas pour négocier avec Israël

GAZA, Bande de Gaza (AP) - Des dirigeants du Hamas on donné mardi le feu vert au président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour reprendre des pourparlers avec Israël, au lendemain d'un accord pour former un gouvernement de coalition entre le Fatah et le Mouvement de la résistance islamique.
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Plus tôt mardi, le porte-parole du gouvernement palestinien sortant dirigé par le Hamas avait déclaré que la nouvelle coalition n'aurait "aucun problème" à avoir des pourparlers de paix avec Israël, ce qui semble être un revirement important dans la politique du Hamas, qui ne reconnaît pas officiellement Israël."Nous n'avons aucun problème sur le fait que ce gouvernement ait des pourparlers de paix avec Israël", avait dit Ghazi Hamad à la radio israélienne.

Mahmoud Abbas fait depuis longtemps pression pour une reprise des pourparlers de paix avec Israël, et s'est donc vu confier par le Hamas la pleine autorité pour mener ces négociations.

Le Premier ministre Ismaïl Haniyeh a toutefois précisé que le gouvernement lui-même ne serait pas impliqué directement des ces discussions qui doivent être menées par l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).

De son côté, le porte-parole adjoint du Département d'Etat américain Tom Casey a déclaré que le gouvernement de coalition palestinien ne pourrait participer au processus de paix, parce qu'il ne semblait pas prêt à renoncer au terrorisme et reconnaître le droit à l'existence d'Israël.

"Nous devons voir tous ces critères remplis avant de pouvoir vraiment parler d'un partenaire valable pour la paix dans la région", a déclaré Tom Casey.

Il a ajouté que les Etats-Unis ne reprendrait pas leur aide au gouvernement palestinien tant que ces conditions ne seraient pas remplies.

Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne ont fréquemment exigé que le Hamas renonce à la violence, reconnaisse Israël et accepte les accords de paix signés dans le passé. AP