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dimanche, 29 avril 2012

Financement de sa campagne de 2007 par Kadhafi : une diversion, pour Sarkozy

Nicolas Sarkozy qualifie de 'tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn', la publication d'un document selon lequel le régime de Mouammar Kadhafi aurait accepté de financer sa campagne présidentielle de 2007. 'Vous voyez bien que c'est une tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn, qui est tout, sauf à l'avantage des socialistes qui n'ont guère envie qu'on rappelle qu'ils avaient l'intention d'en faire le prochain président de la République française', déclare le président-candidat dans un entretien au Parisien Dimanche.

Le journal en ligne Mediapart a publié, samedi 28 avril, un document qui prouverait que le colonel Kadhafi aurait donné son 'accord de principe' pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Dans ce document, une note issue des services secrets libyens signée par son chef de l'époque, Moussa Koussa, et traduite de l'arabe par Mediapart, on peut lire que, dès 2006, le gouvernement libyen aurait décidé 'd'appuyer la campagne électorale' de Nicolas Sarkozy pour un 'montant de 50 millions d'euros'. La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu.

Moussa Koussa ajoute que cet accord est consécutif au 'procès-verbal de la réunion tenue le 6/10/2006, à laquelle ont participé de notre côté le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine'. L'ex-ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a déclaré n'avoir 'jamais rencontré Moussa Koussa et Bachir Saleh', ancien homme clef du régime libyen et actuellement recherché par Interpol. Mediapart explique avoir obtenu cette note de la part 'd'anciens hauts responsables du pays, aujourd'hui dans la clandestinité', qui (...) Lire la suite sur lemonde.fr

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Financement de sa campagne de 2007 par Kadhafi : une diversion, pour Sarkozy

Nicolas Sarkozy qualifie de 'tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn', la publication d'un document selon lequel le régime de Mouammar Kadhafi aurait accepté de financer sa campagne présidentielle de 2007. 'Vous voyez bien que c'est une tentative pour faire diversion après le retour en scène de M. Strauss-Kahn, qui est tout, sauf à l'avantage des socialistes qui n'ont guère envie qu'on rappelle qu'ils avaient l'intention d'en faire le prochain président de la République française', déclare le président-candidat dans un entretien au Parisien Dimanche.

Le journal en ligne Mediapart a publié, samedi 28 avril, un document qui prouverait que le colonel Kadhafi aurait donné son 'accord de principe' pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Dans ce document, une note issue des services secrets libyens signée par son chef de l'époque, Moussa Koussa, et traduite de l'arabe par Mediapart, on peut lire que, dès 2006, le gouvernement libyen aurait décidé 'd'appuyer la campagne électorale' de Nicolas Sarkozy pour un 'montant de 50 millions d'euros'. La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu.

Moussa Koussa ajoute que cet accord est consécutif au 'procès-verbal de la réunion tenue le 6/10/2006, à laquelle ont participé de notre côté le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine'. L'ex-ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a déclaré n'avoir 'jamais rencontré Moussa Koussa et Bachir Saleh', ancien homme clef du régime libyen et actuellement recherché par Interpol. Mediapart explique avoir obtenu cette note de la part 'd'anciens hauts responsables du pays, aujourd'hui dans la clandestinité', qui (...) Lire la suite sur lemonde.fr

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vendredi, 27 avril 2012

Marine Le Pen est "autorisée" dans la République, dit Hollande

PARIS (Reuters) - François Hollande a déclaré vendredi qu'il appellerait à voter pour l'UMP en cas de duels entre le parti de Nicolas Sarkozy et le Front national aux élections législatives de juin prochain, soulignant que la dirigeante du FN Marine Le Pen était "autorisée" dans la République française.

Le président sortant, qui sera opposé le 6 mai au candidat socialiste pour le second tour de l'élection présidentielle, a annoncé jeudi soir sur France 2 qu'il inviterait à voter blanc ou à s'abstenir en cas de duels entre le FN et le Parti socialiste aux législatives.

Pour François Hollande, pas d'alternative.

"Je l'ai déjà fait, c'était en 2002. Ce n'est pas facile", a-t-il expliqué sur RTL, rappelant l'élimination surprise de l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin pour le second tour de la présidentielle, qui avait opposé le président sortant Jacques Chirac au dirigeant d'alors du FN, Jean-Marie Le Pen.

"Premier secrétaire du Parti socialiste -Lionel Jospin n'est pas qualifié pour le second tour, annonce son retrait de la vie politique-, je dois prendre mes responsabilités, appeler à voter pour Jacques Chirac que j'ai toujours combattu".

"Je ferai, si je suis dans ce cas de figure, pareil", a précisé François Hollande.

"Moi, je ne fais pas de distinction entre les républicains. Je fais une distinction entre les républicains et ceux qui combattent les valeurs de la République", a-t-il poursuivi.

Prié de dire s'il considérait que Marine Le Pen n'était pas républicaine, François Hollande a répondu: "Elle est autorisée dans la République, elle s'est présentée au suffrage, elle n'a pas la même conception, c'est le moins qui puisse dire, que moi, des valeurs de la République".

"Elle se considère républicaine. Ce n'est pas que je ne lui accorde pas ce brevet, je dis que je n'ai pas les mêmes valeurs que Mme Le Pen", a-t-il dit.

Nicolas Sarkozy, invité de RTL avant François Hollande, a estimé que "la candidature" de Marine Le Pen était "compatible" avec la République. "Il y a un distinguo entre sa candidature et ce qu'elle dit".

Sophie Louet

jeudi, 01 mars 2012

Pour Yade, Sarkozy apporte des «réponses justes» en matière d'éducation

yade.jpgL'ancienne secrétaire d'Etat Rama Yade a estimé jeudi que le président-candidat Nicolas Sarkozy avait apporté des «réponses crédibles et justes» sur la question de l'éducation face à un François Hollande qui a, selon elle, l'«obsession de dépenser plus sans réformer».

«L'arrêt du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux dans les écoles est une proposition juste qui replace le primaire au coeur du système éducatif», écrit Rama Yade dans un communiqué.

La première vice-présidente du Parti radical de Jean-Louis Borloo salue également la proposition de Nicolas Sarkozy «d'augmenter la rémunération des enseignants».

«Cette mesure permet de reconnaître l'engagement, l'investissement et le travail des professeurs à sa juste valeur», dit-elle.

«Nicolas Sarkozy a apporté des réponses crédibles et justes en matière d'éducation face l'obsession de François Hollande de dépenser plus sans réformer», estime-t-elle.

Un discours au meeting de Villepinte?

«Je propose de nous mettre en adéquation avec la moyenne annuelle européenne des salaires des enseignants : en effet, il est impératif de remédier à cette injustice qui veut que le salaire des personnels enseignants ait augmenté moins vite que celui des personnels non enseignants de l'Education nationale et surtout qu'il soit inférieur à la moyenne des pays de l'OCDE», a-t-elle ajouté.

Après une entrée fracassante en politique dans le sillage de l'élection en 2007 de Nicolas Sarkozy qui l'a propulsée au gouvernement, Rama Yade avait pris ses distances avec le chef de l'Etat et rejoint Jean-Louis Borloo dont elle soutenait la candidature avant qu'il se retire.

L'enfant chérie des sondages aurait été récemment approchée par des membres de l'entourage du président candidat qui souhaitait obtenir son ralliement, après avoir renoué des liens avec l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati.

Rama Yade a été sollicitée pour (...) Lire la suite sur Liberation.fr

mardi, 24 janvier 2012

Nicolas Sarkozy évoque l'hypothèse de sa défaite

Dans son esprit, il n'y a plus de place pour le doute : "En cas d'échec, j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude." C'est ce que Nicolas Sarkozy déclare, depuis quelques jours, quand on l'interroge sur l'hypothèse de sa défaite à l'élection présidentielle. C'est donc bien qu'il l'envisage comme possible en dépit des manifestations d'enthousiasme et des protestations de confiance qu'il multiplie devant ses visiteurs. "De toute façon, je suis au bout, ajoute le chef de l’État. Dans tous les cas, pour la première fois de ma vie, je suis confronté à la fin de ma carrière." Celle-ci, ajoute-t-il, peut intervenir dans quelques mois ou dans cinq ans. M. Sarkozy veut montrer qu'il n'est pas accroché à son fauteuil élyséen. "Je ne suis pas un dictateur", aime-t-il à répéter en réponse à ceux qui, estime-t-il, le caricaturent en monarque républicain. Bien sûr, s'il devait arrêter la politique, il appréhende le changement de rythme et le manque des montées d'adrénaline que procure le pouvoir. Citant Pascal (1623-1662), il constate, devant ses interlocuteurs, que "l'homme est ainsi fait que tout est organisé pour qu'il oublie qu'il va mourir". Mais Nicolas Sarkozy a changé ; il s'arrangerait d'une autre vie, veut-il croire. La politique lui aura tout donné : maire, conseiller général, président de conseil général, ministre de premier plan, président de la République enfin. Il aura tout connu : la jubilation qu'apportent les victoires, les meurtrissures des défaites, la sagesse qui découle des épreuves. Alors qu'attendre de plus de cette passion qui l'aura comblé ? Avant d'être élu président, M. Sarkozy méditait déjà sur l'usure du pouvoir. En 2005, le futur candidat fait son retour au ministère de l'intérieur, flanqué de Brice Hortefeux, ministre délégué aux collectivités territoriales. Membre d'un gouvernement pour la première fois, M. Hortefeux, l'ami de toujours, joue les Rastignac. Sarkozy lui glisse : "Profites-en(...) Lire la suite sur LeMonde.fr

14:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sarko |  del.icio.us |  Facebook | | |

vendredi, 30 septembre 2011

Maroc: Sarkozy dégage

«Sarkozy dégage! Le Maroc n'est pas à vendre!» Alors que le président français entreprend une visite éclair jeudi 29 septembre à Tanger pour inaugurer aux côtés du roi du Maroc le chantier du TGV marocain, c'est par une volée de bois vert qu'il est reçu sur les réseaux sociaux.

Il faut dire que contrairement à Jacques Chirac, son prédécesseur, Nicolas Sarkozy n'a jamais eu la cote au Maroc, comme c'est probablement le cas ailleurs dans le monde arabe, à l'exception bien sûr de la Libye, où les révolutionnaires l'ont reçu comme un libérateur.

Pourquoi une telle antipathie pour celui qui semble jouer des coudes à chaque fois que l'occasion se présente pour défendre les intérêts du Maroc à l'international?

Une image «bling-bling» que les Marocains n'apprécient pas

De la soirée du Fouquet's à ses voyages personnels dans les palais de Mohammed VI à Marrakech, Sarkozy renvoie une image contradictoire avec une certaine idée de la République. Cette critique n'est certes pas l'apanage des Marocains, mais de Rabat, la grandeur de la France en est écornée.

Une attitude que les Marocains n'ont pas forcément vis-à-vis de leur roi, amateur lui aussi de luxe et ami des stars du showbiz... D'ailleurs, à ce sujet, les séjours habituels mais discrets de Jacques Chirac et son épouse Bernadette à Taroudant, dans le sud du Maroc, sont presque pris pour exemple.

Une diplomatie cynique et un tropisme arabe jugé peu sincère

L'engagement de Sarkozy aux côtés des anti-kadhafistes laisse perplexe. On y voit plus un rattrapage calculé et bien tardif d'une diplomatie jugée «à côté de la plaque» durant les révolutions arabes. L'épisode MAM en Tunisie, le soutien sans failles aux régimes en place ne laissent pas de place au doute. Au Maroc, on retient l'invitation faite au Guide de la Jamahiriya en 2007 et le côté dégradant pour l'image de la France de le voir imposer ses caprices, comme celui d'avoir planté sa (...) Lire la suite sur Slate.fr

mercredi, 18 mai 2011

Nicolas Sarkozy attend un bébé

Carla Bruni enceinte de Nicolas Sarkozy ? La rumeur, lancée le 22 avril dernier par le magazine Closer sur son fil Twitter, courait depuis plusieurs semaines. Si c'est d'abord le père du président, Pal Sarkozy, qui a confirmé le premier la nouvelle, les photos de la visite de Carla Bruni au centre Georges Pompidou pour le lancement de sa fondation contre l'illettrisme, ont coupé court à tous les doutes qui subsistaient quant à la grossesse de la première dame de France qui présente déjà un ventre bien arrondi...

Agée de 43 ans, l'ex-top model et ex-chanteuse a déjà un fils âgé d'une dizaine d'années, dont le père est le professeur de philosophie RaphaëlEnthoven. De son côté, Nicolas Sarkozy, 56 ans, a trois fils, qu'il a eu avec ses deux épouses précédentes

jeudi, 19 août 2010

Au volant de sa Clio, il se fait ouvrir les portes de l'Elysée

Il était aux environs de quatre heures du matin, lundi, quand le conducteur d’une Renault Clio, s’est présenté, devant l’entrée principale de l’Elysée, au 55, rue du Faubourg Saint-Honoré, à Paris, dans le VIIIème arrondissement.

Puis il a activé un gyrophare posé sur le tableau de bord du véhicule.

Le policier en faction devant le Palais de l’Elysée prend soin d’avertir les gendarmes.

Et comme personne ne vient vérifier l’identité de l’automobiliste, les grilles de l’Elysée s’ouvrent, et le conducteur vient garer sa Clio dans la cour d’honneur du palais présidentiel…

Un conducteur qui sera très rapidement interpellé et conduit au commissariat du VIIIème arrondissement.

En raison de son état psychologique, le conducteur a été hospitalisé d’office. Il était déjà connu des services de police, précise RTL.

Nicolas Sarkozy ne se trouve pas actuellement à l’Elysée.

Il est en vacances au Cap Nègre, dans la propriété de la famille de son épouse, Carla Bruni (et ce jeudi il a réu croissance avec Lagarde, Baroin et Fillon au Fort de Brégançon pas loin).

Note de la rédaction du Post: l'Elysée dément l'information. L'homme aurait été arrêté avant d'entrer dans la cour. En même temps, on les voit mal confirmer qu'on entre comme dans un moulin à l'Elysée.

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mercredi, 14 juillet 2010

Sarkozy sur France 2: convaincu mais pas convaincant

Il avait soigné le style, contrôlé le débit de parole, préparé l'émission avec un politologue et un sondeur, et pourtant sa prestation n'a pas franchement séduit.

Nicolas Sarkozy n'a convaincu que 32 % des Français lors de son passage sur France 2, lundi soir, rapporte Le Parisien. 57 % des Français l'ont jugé "pas convaincant".

"C'est son plus faible score depuis que nous mesurons l'impact de ses interventions télévisées", indique Jean-Daniel Lévy, le directeur de CSA Opinion. A titre de comparaison, lors de l'émission "Paroles de Français" en janvier dernier sur TF1, Nicolas Sarkozy avait convaincu 43 % des personnes interrogées.

Point particulièrement défavorable pour le chef de l'Etat, c'est sur le principal enjeu de l'émission, l'affaire Woerth-Bettencourt, que les sondés ont été le plus sceptiques: 62 % n'ont pas été convaincus par les explications.

10:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sarko |  del.icio.us |  Facebook | | |

lundi, 21 juin 2010

La FFF du Pays de la racaille en POV CON

0906eceb6f673766.jpgPARIS (AFP) - La presse française tire à boulets rouges lundi sur les footballeurs français, qui, en refusant de s'entrainer dimanche, ont offert une nouvelle fois un spectacle "pitoyable", "honteux", "scandaleux" qui fait qu'ils sont chaque jour un peu plus "la risée du monde".

"Avec eux, l'union fait la farce", écrit Fabrice Jouhaud de L'Equipe.

"Ils auraient pu se contenter d'être mauvais sur le terrain et arrogants en-dehors, comme ils le sont depuis déjà quelques années. Mais là, franchement, ils nous épatent!", écrit, dans Le Progrès de Lyon Francis Brochet qui ne doute pas qu'"ils peuvent faire encore pire."

Même ironie mordante chez Olivier Picard (Les Dernières Nouvelles d'Alsace) qui constate que "d?une certaine façon, la France a déjà réussi sa Coupe du monde 2010. L'histoire ne retiendra de ce Mondial que deux équipes: celle du pays vainqueur et peut-être plus encore (celle de) la France" car "les Bleus (ont montré) une maestria certaine dans le scandale planétaire. Un triomphe!"

Mais le naufrage des Bleus n'est pas du tout du goût de Gérard Noel de Vosges Matin: "trop, c'est trop! Le spectacle offert par cette équipe de multimillionnaires fait honte à l'ensemble des Français", écrit-il.

Dans La République du Centre, Jacques Camus pense qu'"on n'est plus en présence de sales gosses (...) mais de sportifs professionnels indignes de porter le maillot tricolore".

"Décidément, il n'y a rien à attendre de ces Bleus. Leur vrai bilan est honteux: la France est la risée du monde", se désole Christian de Villeneuve de France-Soir.

Ce qui pousse Michel Lepinay à soupirer dans Paris Normandie: "vivement, mardi soir, que le psychodrame prenne fin".

Paul Quinio désigne le responsable de ce gâchis, dans Libération: "Le sort de l?ambulancier ayant été scellé avant même le début de la Coupe du monde, ne craignons pas de tirer dessus : il est déjà à la casse. Son nom: Raymond Domenech".

Certes, approuve Xavier Panon (La montagne), mais il faut y ajouter "les dirigeants de la FFF, comme France Foot Fric, premiers responsables du fiasco annoncé". "Et son impayable président Escalettes", ajoute Dominique Garraud, dans La Charente Libre.

Jean-Claude Souléry de La Dépêche du Midi, pense qu'"il faut désormais s'accrocher à un nouvel avenir". Oui, "il faudra reconstruire, constate Jean-Claude Roussel (L'Union) et là, je souhaite bien du bonheur à ceux qui s'attelleront à ce chantier titanesque".

La Croix (Dominique Quinio) tente pourtant de calmer la tempête. "Il faut d'urgence remettre le football à sa juste place : c'est un jeu, c'est un sport, il arrive qu'on gagne, il arrive qu'on perde. Et que ce soit mérité", estime le quotidien catholique.

Et, pour oublier, Didier Pobel du Dauphiné Libéré a sa recette: "allez, fêtons la musique, malgré l'été qui ne vient pas! L'unique, la vraie, la pauvre. Celle qui, sans tribune et loin du cirque fou du foot, marque à chaque fois un but dans notre coeur."

 

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mardi, 01 juin 2010

Wade et Sarkozy éxigent la présence de l'Afrique au Conseil de sécurité de l'ONU

wade_sarkoz.jpgLe président sénégalais Abdoulaye Wade suggère que "le président en exercice de l'Union africaine représente toute l'Afrique au Conseil de sécurité ou dans d'autres institutions internationales". Il a fait cette proposition à Nice lors du sommet France-Afrique. Il a été soutenu dans ce sens par le président français, Nicolas Sarkozy. "Il n'est plus possible d'évoquer les grandes questions du monde sans la présence de l'Afrique", a estimé Nicolas Sarkozy. "Nos destins sont indissolublement liés. L'échec de l'Afrique serait le drame de l'Europe", a-t-il lancé, rappelant que le continent noir serait le principal réservoir de croissance du monde dans les décennies à venir.
Dans ces conditions, le président français a jugé "absolument anormal" que l'Afrique ne soit pas membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies.

 

Auteur:
El Malick Seck 

mardi, 13 avril 2010

Derrière le rideau des Sarkozy

Le président de la République, Nicolas Sarkozy, s'est de nouveau rendu aux Etats-Unis, après son voyage à New York et à la Maison-Blanche auprès de Barack Obama et sa rencontre avec Silvio Berlusconi, afin d'assister au sommet de Washington sur la prévention du terrorisme nucléaire. Le dirigeant a été interrogé par la chaîne américaine CBS pour les nouvelles du soir, le 12 avril.

Cet entretien s'est concentré sur la question nucléaire mais la journaliste Katie Couric a également abordé d'autres points qui ébranlent actuellement la vie politique française. Alors que l'affaire des rumeurs sur son couple a fait beaucoup de bruit, son épouse Carla Bruni a été obligée de jouer les pompiers de service en affirmant que ces propos étaient sans importance sur Europe 1 pour son mari et elle.

Nicolas Sarkozy a pourtant donné une nouvelle fois son avis, lui qui avait déclaré à Londres, il y a quelques semaines, ne pas vouloir perdre de temps avec ces élucubrations. Cette fois, il parle d'une voix particulièrement posée : "Tout ce petit clapotis n'a pas d'importance pour nous, [...] mon épouse et moi avons une vie très calme." Serein, il détaille son point de vue sur la situation : "Nous sommes très proches l'un de l'autre et tout ceci est très exagéré. Je dois dire que j'ai été très fier de la façon dont elle s'est exprimée à la radio, avec beaucoup de dignité, beaucoup de calme."

Le président hyperactif a manifesté un calme surprenant pour appuyer son discours : "Je suis toujours désolé quand, autour de nous, à côté de nous, en face de nous, ou à cause de nous, les gens s'excitent trop. En tout cas, nous, on traverse cela en se serrant bien les coudes et en essayant de nous protéger de tout ceci." Par ces mots, Nicolas Sarkozy fait référence à la grosse erreur de son entourage, notamment à Pierre Charon, son consultant en communication qui avait remis le feu aux rumeurs : "Nous faisons de cette ignominie un casus belli, nous voulons aller jusqu'au bout

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jeudi, 08 avril 2010

Sarko Tristement dans l'histoire

Le patron du contre-espionnage français Bernard Squarcini a confirmé qu'une enquête avait bien été menée pour déterminer l'origine de rumeurs d'infidélité dans le couple Sarkozy.1593139819-la-dcri-confirme-avoir-enquete-sur-les-rumeurs-visant-le.jpg

"J'ai été saisi courant mars par le directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, afin d'essayer de déterminer si les rumeurs visant le couple présidentiel ne cachaient pas une éventuelle tentative de déstabilisation", a dit au site Mediapart Bernard Squarcini, patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).

Dans la soirée, Carla Bruni, épouse du chef de l'Etat, avait nié l'existence d'une enquête "de police" lors d'un entretien sur Europe 1. "On ne fait pas une enquête sur des commérages (...) C'est inimaginable de dire une chose pareille", avait-elle dit.

Ces rumeurs, qui circulaient chez les journalistes, ont fait le tour de la presse internationale lorsque le site internet du Journal du dimanche a publié le 10 mars un article à ce sujet dans un blog. Ceci a été vu par les médias étrangers comme un élément crédibilisant les affirmations. La presse française n'a rien publié.

Bernard Squarcini précise qu'ont été menées "des investigations techniques, notamment informatiques", mais assure qu'il n'y a pas eu d'écoutes téléphoniques et dit que l'enquête n'a pas concerné l'ex-ministre Rachida Dati.

Au même moment, le 14 mars, cette dernière s'est vu retirer une escorte de quatre policiers et une voiture officielle, et plusieurs médias avaient écrit que cette mesure était une sanction pour son implication dans la diffusion de la rumeur.

La DCRI aurait, selon son patron, cessé toute investigation dès que la justice a été saisie d'une plainte du groupe Lagardère, propriétaire du JDD et qu'une enquête de police officielle a été ouverte, la semaine dernière.

CARLA BRUNI NE CROIT PAS AU COMPLOT

Prenant le contre-pied d'un conseiller et de l'avocat de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni a déclaré sur Europe 1 que les rumeurs d'infidélité visant son couple n'avaient pas d'importance et ne constituaient pas un complot.

"Je considère que nous ne sommes victimes d'aucun complot, les rumeurs ont toujours existé. Il n'y a pas de complot, il n'y a pas vengeance, ça ne nous concerne en rien et on a tourné la page depuis belle lurette", a-t-elle ajouté.

Elle a précisé que Rachida Dati gardait la confiance de l'Elysée.

"L'accusation qui dirait que Rachida Dati a propagé ces rumeurs est une rumeur. Je n'y crois donc pas. Elle reste tout à fait notre amie", a-t-elle dit.

Cet entretien vient contredire les propos de Pierre Charon, conseiller de Nicolas Sarkozy, et de Thierry Herzog, avocat du chef de l'Etat, qui ont évoqué publiquement ces derniers jours l'hypothèse d'une machination.

Rachida Dati s'est exprimée aussi dans plusieurs médias pour réfuter toute implication dans l'imbroglio.

"Face à "cette campagne de dénigration (sic) et de calomnies (...) aujourd'hui j'ai décidé de réagir, maintenant ça suffit, il faut que ça s'arrête", avait-t-elle dit.

L'ancienne ministre a engagé l'avocat Georges Kiejman pour menacer de poursuites ceux qui la désignent.

La police judiciaire de Paris a été saisie par le parquet de Paris d'une enquête préliminaire après la plainte du groupe Lagardère pour "introduction frauduleuse de données dans un système informatique".

Cette plainte suscite l'indignation de la société des journalistes du quotidien, qui estime que le chef de l'Etat a utilisé sa proximité avec Arnaud Lagardère, patron du groupe, pour susciter une enquête sans apparaître directement.

Le groupe a poussé à la démission un responsable de Newsweb, filiale chargée du site internet du JDD et un employé non journaliste qui semble être l'auteur de l'article sur la rumeur.

Se disant consterné, le député socialiste François Hollande a dénoncé "un climat de décomposition qu'on a rarement connu dans la République". "Mais où est-on, dans quel régime est-on, comment est-on tombé aussi bas ?", s'est-il demandé sur i>Télé.

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vendredi, 02 avril 2010

Sarkozy fait feu sur Hortefeux

Mercredi soir, lors de la réception des parlementaires UMP à l'Elysée, le chef de l'Etat leur a annoncé qu'il les recevra une fois par mois pour aborder les sujets d'actualité, selon Le Figaro. Jusqu'alors ils étaient reçus seulement quatre fois par an, précise le quotidien.

Nicolas Sarkozy a profité de cette rencontre pour distribuer des mauvais points à des personnalités de la majorité, selon le quotidien qui raconte en détail ce qu'il s'est dit.

Dans son collimateur: le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno et enfin l'ex-tête de liste UMP en région PACA, Thierry Mariani.

- Et pan pour Hortefeux! Même s'il est l'ami du chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy lui a lancé de manière ironique: "J'ai tué le métier de ministre de l'Intérieur". Nicolas Sarkozy laissant entendre, d'après Le Figaro, que "Brice" n'était pas aussi efficace que lui entre 2002 et 2007. Sympa...

- Une deuxième claque à Jouanno! La secrétaire d'Etat à l'Ecologie s'est déjà fait remonter les bretelles par le Président pour avoir dit qu'elle était "désespérée" par l'abandon de la  taxe carbone.

Selon le quotidien, Nicolas Sarkozy l'a une nouvelle fois critiqué, en déclarant devant les députés: "Ce n'est pas parce qu'on est mon ancienne collaboratrice qu'on doit s'affranchir de la solidarité gouvernementale, au contraire!"

- Un reproche à Mariani! Le député UMP, considéré jusqu'alors comme un sarkozyste historique, s'est lâché cette semaine, en estimant avoir été "pris pour un con" par Nicolas Sarkozy et en boycottant du coup, la rencontre à l'Elysée entre des élus UMP et le chef de l'Etat.

Il a eu droit, en privé, à une remarque du Président, qui lui a fait savoir qu'il n'a "pas du tout apprécié ses déclarations".

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mardi, 09 février 2010

Nicolas Président du Pays de la Racaille

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lundi, 19 octobre 2009

Sarko

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jeudi, 15 octobre 2009

Jean Sarkozy assure être un "dauphin" au milieu des "requins"

Le Point : Népotisme, héritier, dauphin... Que n'entend-on pas à votre sujet depuis l'annonce de votre candidature à la présidence de l'Epad...

Jean Sarkozy : Quand on parle de dauphin, je comprends mieux pourquoi : j'ai vu qu'il y avait un certain nombre de requins autour de moi et que c'était la seule façon de leur résister. Je ne découvre pas le bruit des canons. J'ai été attaqué sur tous les chapitres : mon âge, mon nom, mon activité, y compris sur les éléments les plus intimes de ma vie, comme la religion de ma femme. Ce n'est jamais agréable - et c'est un euphémisme -, mais, en même temps, il n'y a pas d'engagement en politique possible sans attaques. Je comprends certaines interrogations auxquelles je veux apporter une réponse sur le terrain des idées, sur le terrain du projet. Mon ambition est de les convaincre de la pertinence de ma vision pour La Défense. Après, il y a des attaques ad hominem qui sont proférées. Pour moi, le débat démocratique ne doit pas se placer sur ce terrain-là. Laissons parler les actes et qu'on en juge après.

Êtes-vous surpris par l'ampleur de la polémique, qui va au-delà de la gauche et qui dépasse les frontières ?

Est-ce proportionné par rapport à la réalité de ce qui est en jeu ? Non. Est-ce que cela me surprend ? Pas vraiment. Ceux qui critiquent sont un peu amnésiques. De mon élection au conseil général à mon mariage, en passant par mon autre élection à la présidence du groupe, on me fait les mêmes procès. Chaque élément de mon engagement est sujet à la plus grande attention. J'ai compris que, lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles.

Vous parlez de la classe médiaticopolitique, mais beaucoup de Français sont aussi pour le moins déconcertés par votre ascension...

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jeudi, 02 avril 2009

«Nicolas Sarkozy craint l'effet nain»,

«Nicolas Sarkozy craint l'effet nain», spécule le Daily Mail. Le quotidien se demande en ce 1er avril si l'absence de Carla Sarkozy à Londres aurait un lien avec la taille de Sarkozy, et une photo de groupe peu harmonieuse avec les autres présidents et leur femme. Selon le tabloïd britannique, le chef de l’Etat français serait «tellement désespéré et complexé par sa taille qu'il aurait préféré que son épouse et lui ne posent pas en compagnie du couple Obama qui culminent tous les deux, à plus de 1m80». Considérant que son épouse est une liane élancée, il ne se serait pas vu figurer sur un tel cliché en compagnie de «géants». Pour palier ce «désavantage optique» Sarko «aurait dû porter des chaussures à talonnettes aussi hautes qu'un ascenseur, pour leur arriver au moins à hauteur de poitrine», ironise le journal. Inconcevable!

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mercredi, 11 février 2009

Cambriolage chez les Sarkozy

Le domicile de François Sarkozy, frère cadet du président de la République, situé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), a été cambriolé, a-t-on appris mardi de source policière confirmant une information de RTL. nicol28.jpg

Le vol a été découvert lundi matin par une employée de maison qui pénétrait dans l'appartement situé au cinquième étage d'un immeuble. Le ou les voleurs se seraient introduits par une porte-fenêtre alors que le propriétaire des lieux se trouvait en déplacement à l'étranger. Le préjudice serait de plusieurs milliers d'euros.

L'enquête en flagrance a été confiée au Service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine, qui tente déjà d'élucider le cambriolage survenu en janvier au domicile de Richard Attias et de sa femme Cécilia Attias, l'ancienne épouse du président. Plusieurs milliers d'euros de bijoux et d'objets de valeur avaient alors été dérobés.

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