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jeudi, 27 décembre 2007

Nicolas Sarkozy et Carla Bruni s'affichent à Louxor

Nicolas Sarkozy et l'ex-mannequin et chanteuse Carla Bruni sont arrivés mardi, en début d'après-midi, main dans la main au Old Winter Palace, un hôtel de luxe de Louxor. Tous deux débutaient ainsi leur séjour privé en Egypte. Avant de s'engouffrer dans l'hôtel, le président, costume sombre et chemise blanche, a salué des touristes d'un signe de la main.
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Auparavant, c'est à bord d'un Falcon 900 immatriculé F-HBOL, propriété de son ami l'homme d'affaires Vincent Bolloré, qui lui avait déjà prêté un avion et un yacht pour une escapade sur l'île de Malte juste après son élection en mai, que le chef de l'Etat était arrivé sur le sol égyptien.

Un convoi de 16 voitures quitte l'aéroport

Outre Nicolas Sarkozy, accompagné de Carla Bruni, neuf autres personnes se trouvaient à bord - probablement un de ses fils et sa fiancée ainsi, sans doute, que la mère de Nicolas Sarkozy. Pour éviter une sortie publique, un convoi attendait le président et ses accompagnateurs sur le tarmac de l'aéroport de Louxor. Le convoi, composé de 16 voitures, dont une Mercedes noire aux vitres teintées, a ensuite emprunté une sortie annexe de l'aéroport, placé sous haute surveillance. Direction : le Old Winter Palace. Tout était déjà prévu pour les accueillir dans cet hôtel de légende en bordure de la rive-est du Nil - un palace de la fin du XIXe siècle de style victorien, au superbe jardin exotique, aujourd'hui géré par le groupe français Accor.

Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont été photographiés ensemble pour la première fois le 15 décembre au parc d'attractions Disneyland Paris, certains y voyant un moyen opportun de faire oublier une visite très controversée à Paris du leader libyen Mouammar Kadhafi. Jusqu'ici classée à gauche, Carla Bruni Tedeschi, de nationalité italienne, avait affirmé lors de la dernière campagne présidentielle sa préférence pour Ségolène Royal.

mercredi, 19 décembre 2007

Le Prince du Tam Tam à Bruxelles le 22 Décembre au 7 rue des Hirondelles

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dimanche, 16 décembre 2007

Alizée couronnée Miss Belgique 2008

Alizée Poulicek, 20 ans et originaire de Huy, a été couronnée, samedi soir, Miss Belgique 2008. Sa première dauphine est Fabienne Kabeya (18 ans) de Bruxelles et la seconde dauphine est Jade Van De Walle, une jeune Flamande de 19 ans originaire d’Aalter.
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Alizée est une jeune Wallonne ayant des origines tchèques et provenant de Huy en province de Liège. Elle étudie les langues romanes. Elle succède à Annelien Coorevits, Miss Belgique 2007.

La nouvelle miss qui devrait être normalement bilingue a eu quelques difficultés à répondre aux questions lors de l’interview personnalisée.

Interrogée en néerlandais par Ann Van Elsen, elle a demandé qu’on lui reformule la question en français ce qui lui a valu quelques huées du public du Lotto Arena d’Anvers.

Cette année, six jeunes femmes d’origine africaine participaient au concours. La jeune Fabienne Kabey était l’une des favorites du jury mais a dû s’incliner face à la blonde Alizée.

Le spectacle était animé par de nombreuses chorégraphies et par les représentations musicales de Kelly Clarkson et du Colombien Juanes.

(d’après Belga)

dimanche, 09 décembre 2007

Valérie Begue, Miss Réunion, élue Miss France, le 8 décembre 2007 à Dunkerque

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Valérie Begue, Miss Réunion, âgée de 22 ans, a été élue Miss France 2008 samedi soir par les téléspectateurs et un jury de personnalités présidé par le chanteur Patrick Bruel, au Palais des congrès Le Kursaal à Dunkerque (Nord).

mardi, 04 décembre 2007

Sarkozy en Algérie: une deuxième journée riche en contrats

ALGER (AFP) - L'Algérie et la France ont paraphé mardi à Alger d'importants accords dans le nucléaire civil, la pétrochime et le gaz naturel au cours de la deuxième journée de la visite du président Nicolas Sarkozy.

Ces contrats, conclus après une première journée lundi de Nicolas Sarkozy dominée par la politique, portent sur un montant total d'environ 5 milliards de dollars.

L'accord paraphé sur "l'utilisation et le développement de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques", et qui couvre tous les champs de la coopération en matière d'énergie nucléaire civile, est le premier de ce type conclu par Paris avec un pays arabo-musulman, a-t-on indiqué de source française.

Il concerne la recherche fondamentale, les transferts de technologie, la formation, la production d'électricité, ainsi que la prospection et l'exploitation de l'uranium.

Le groupe pétrolier français Total a, lui, annoncé avoir conclu un contrat avec le groupe algérien Sonatrach pour le lancement d'un complexe pétrochimique à Arzew (ouest de l'Algérie), pour un montant "de l'ordre de trois milliards de dollars". La part de Total sera d'environ 1,5 milliard de dollars dans ce contrat.

Le groupe français Gaz de France a conclu un accord avec le groupe algérien Sonatrach pour prolonger ses contrats d'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) jusqu'en 2019, a annoncé GDF.

Dans les conditions actuelles de marché, ces contrats représentent un montant annuel d'environ 2,5 milliards d'euros, a précisé GD.

Enfin, le groupe français Alstom, à la tête d'un consortium avec l'égyptien Orascom, a finalisé un contrat pour une centrale à gaz à cycle combiné de 1200 MW d'un "montant total qui dépasse 1,3 milliard d'euros" dont 800 millions pour Alstom. Cette centrale, construite dans l'ouest, sera la première de ce type en Algérie.

Auparavant, M. Sarkozy avait fait une escapade touristique à Tipaza , à 70 km à l'ouest d'Alger, vestiges d'un ancien mouillage protégé des vents par le Mont Chenoua, et qui fut un comptoir phénicien, puis une colonie romaine au 1er siècle après JC.

Lundi, le chef de l'Etat s'était employé à détendre l'atmosphère entre les deux pays, en condamnant fermement le système colonial.

Le président s'était toutefois abstenu de prononcer les excuses exigées par les Algériens s'agissant des crimes imputés à la colonisation (1830 - 1962) et déclaré qu'il voulait "honorer toutes les victimes des deux côtés" tombées durant la guerre d'indépendance d'Algérie (1954-62).

"Oui, le système colonial a été profondément injuste, contraire aux trois mots fondateurs de notre République: liberté, égalité, fraternité", avait-il déclaré.

"Mais il est aussi juste de dire qu'à l'intérieur de ce système, il y avait beaucoup d'hommes et de femmes qui ont aimé l'Algérie, avant de devoir la quitter. Oui, des crimes terribles ont été commis tout au long de la guerre d'indépendance, qui a fait d'innombrables victimes des deux côtés... C'est toutes les victimes que je veux honorer".

"Ça va dans le bon sens, mais ce n'est pas assez quand nous plaçons ces paroles dans leur contexte. C'est un progrès", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Yazid Zerhouni, dans la première réaction officielle algérienne.

Il a estimé toutefois que le refus de s'excuser de M. Sarkozy "n'empêchera pas d'avoir une vision nouvelle de nos relations. En France comme en Algérie, nous sommes condamnés à croire à une amitié possible".

Le refus de Paris de se repentir sur les "crimes" qui auraient été commis par le colonialisme en Algérie (1830-1962) a empêché la signature d'un traité d'amitié voulu par les présidents Jacques Chirac et Abdelaziz Bouteflika et auquel M. Sarkozy a renoncé.

Enfin, Nicolas Sarkozy a réaffirmé mardi qu'il souhaitait faire du renouveau des relations entre la France et l'Algérie une "priorité" de son action.

mardi, 25 septembre 2007

DES INTELLECTUELS AFRICAINS ET DE LA DIAPORA RÉPONDENT AU DISCOURS DU PRÉSIDENT FRANÇAIS : Un livre pour “ descendre ” Sarkozy

Les intellectuels africains et de la diaspora n’ont pu avaler la pillule. Le discours prononcé le 26 juillet dernier à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar leur est resté en travers de la gorge. Mais loin des réactions épidermiques, ces sommités ont décidé d’apporter la réplique, à travers un livre-réponse, au Président Français. Un discours qu’ils vont dé-construire pour amener son “géniteur” à prendre conscience de ses “erreurs” qui sonnent comme des clichés concoctés au terme de lectures, parfois mal dirigées, sur le vieux continent. Pourquoi Sarkozy n’a pas raison ? C’est à cette question que répondront ces grands intellectuels africains et de la diaspora, chacun dans son domaine. Le projet est lancé depuis le 29 août dernier et piloté par l’écrivain et ancien ministre Sénégalais, Makhily Gassama. Ils ont voulu alors donner du temps au temps, parce que conscients que l’oiseau de Minerve ne prend son envol qu’à la tombée de la nuit. La sortie du livre est prévu en début d’année 2008.

Un groupe d’intellectuels, de hauts cadres africains et de la diaspora a décidé, sur initiative de l’écrivain Sénégalais et ancien ministre, Makhily Gassama, d’apporter la contradiction au discours prononcé à Dakar par le Président Français, Nicolas Sarkozy, le 26 juillet 2007 à l’Ucad II de Dakar. Il s’agit de grandes sommités dont la réputation a traversé les frontières du continent noir qui ont répondu spontannément à l’appel de l’écrivain et ancien ministre sous le régime socialiste, Makhily Gassama. Ce dernier a envoyé une correspondance à toutes ces personnalités (une trentaine) depuis le 29 août dernier.

Il s’agira, comme l’initiateur l’a écrit dans sa correspondance, de publier un “volume de réactions de haut niveau scientifique aux propos du Chef de l’Etat français”. Ainsi, l’introduction de l’ouvrage portera la signature de Makhily Gassama qui a décidé “de le faire préfacer par un de nos aînés comme, par exemple, Aimé Césaire, Amadou Mactar Mbow, ancien Directeur Général de l’UNESCO, ou Wole Soyinka… Dommage que notre aîné et ami Joseph Ki-Zerbo ne soit plus parmi nous !”

L’ouvrage sera publié en début d’année, au mois de février au plus tard. Certaines sommités ont déjà fini d’envoyer le résumé de leurs réactions, renseigne notre source.

Pourquoi un livre-réponse à Sarkozy ?

En effet, pourquoi tout un volume en réponse à un simple discours ? Makhily Gassama, l’initiateur du projet, apporte six réponses à cette interrogation. La première est que “Certes, nous sommes loin d’être innocents dans les souffrances intolérables qu’endurent nos populations : génocides, guerres fratricides, dictatures, gaspillages et pillages de nos ressources, malgouvernance, détérioration des termes de l’échange, persistance du pacte colonial, etc., etc”, dit-il, avant d’ajouter : “Nous ne sommes pas innocents même si ces maux sont souvent suscités, provoqués ou entretenus par des forces extérieures, par des individus et des groupes d’intérêt, prêts à toutes les injustices et à toutes les atrocités pour sauver les privilèges que nous leur avons accordés au détriment du développement de nos pays”. Cependant, fait-il remarquer : “il est difficile de tolérer des accusations, des propos comme ceux que le Chef de l’Etat français a tenus devant la jeunesse africaine à Dakar (texte de son allocution en pièce jointe). Sans conteste, l’événement est historique pour de multiples raisons”. Et que les “réactions de l’intelligentsia africaine, qui a immédiatement perçu la dimension historique de l’événement, sont déjà nombreuses et souvent de qualité. Certaines de ces réactions méritent d’être rassemblées, matérialisées à travers un ouvrage destiné à notre jeunesse et aux générations futures”. La deuxième réponse, est liée au fait que “M. Sarkozy a osé reprendre, avec vigueur, les grands arguments et clichés des théoriciens du racisme, développés et sans cesse réactualisés tout au long de l’histoire de la rencontre des races, des peuples et puis des Etats. Ces clichés sont têtus”. C’est pourquoi l’écrivain Sénégalais estime que le moment est venu de “les combattre énergiquement à l’heure de la mondialisation, à celle du « grand marché », dans toutes les acceptions des termes. A ce « rendez-vous du donner et du recevoir », l’image n’est pas insignifiante ; elle constitue un support précieux à toute négociation”.

Le troisième argument qui justifie ce projet réside dans les propos incriminés qui “sont d’autant plus graves que M. Sarkozy n’est pas n’importe qui. Non seulement c’est le Chef de l’Etat d’une grande puissance moderne, mais aussi le Chef de l’Etat d’un pays colonisateur ; c’est aussi l’homme politique qui suscite présentement le plus de curiosités et le plus d’intérêts et d’interrogations dans tous les milieux, dans tous les continents”. En plus, il s’agit selon Makhily Gassama, “d’ Arguments et clichés séculaires cautionnés par une si haute autorité politique de l’Occident, en plein XXIème siècle ! Cela me paraît très préjudiciable à l’image de l’Afrique et aux relations entre notre Continent et l’Occident, voire le reste du monde”.

Le quatrième motif, est que “Ces propos sont également d’autant plus graves qu’ils ne sont pas prononcés en France, dans le cadre d’une campagne électorale, mais au cœur de l’Afrique, dans un pays colonisé, dominé pendant trois siècles par cette France, dans l’enceinte d’une Université qui porte le nom d’un des plus grands intellectuels africains, qui a sacrifié sa vie à la lutte contre la domination coloniale, à la défense et à l’illustration des valeurs négro-africaines, à la lutte pour l’unité du continent”.

La cinquième raison qui fonde le choix de l’initiateur de ce projet est à chercher dans “les arguments de M. Sarkozy risquent d’influer négativement sur l’esprit, donc sur l’éducation de nos enfants, eux qui semblent tout ignorer du passé colonial, et cela par notre faute (notre ridicule tendance à l’auto flagellation)”.

Enfin, comme sixième raison avancée, “Il est donc important de reprendre les arguments de M. Sarkozy pour les combattre avec vigueur, mais aussi avec rigueur, avec une rigueur scientifique”.

En effet, depuis que Sarkozy a prononcé son discours, Makhily Gassama a tout suspendu, dit-il, pour assurer la coordination de ce projet. “Je lis tout ce qui est écrit sur le discours, sur Internet, dans les journaux etc. Je donne des coups de fil, j’envoie des mail ou autres correspondances. Et j’étais vraiment frappé par la spontanéité de ces personnalités et sommités. J’avais tablé autour d’une vingtaine, j’en suis à une trentaine de réactions de grands intellectuels connus à travers le monde entier. Tous ont adhéré au projet. D’autres continuent à se manifester, mais vous comprenez qu’on ne peut pas prendre tout le monde à cause des problèmes d’édition et c’est dommage, car il s’agit d’intellectuels très brillants”, souligne l’écrivain qui ajoute : “Mon souhait était de brasser tout le continent (lusophone, arabophone, anglophone, francophone etc) mais je me suis heurté à un problème d’actualité”.

Les textes qui vont composer la trame de l’ouvrage concernent tous les thèmes évoqués par le Président Sarkozy dans son discours comme la méditerranée, l’esclavage, la francafrique, l’économie, la réception de la littérature négro africaine en France etc. Pour l’heure, les noms de ceux ou celles qui participent à la rédaction de l’ouvrage sont tenus secrets.

Konaré est informé du projet, il y a une semaine…

Makhily Gassama avait décidé de tenir, dans le plus grand secret, ce projet jusqu’à la publication de l’ouvrage. Mais il a été convaicu par certaines personnalitéés d’informer le Président de l’Ua, Alpha Omar Konaré qui avait lui-même, à l’époque, réagi au discours de Sarkozy. Après hésitation, il finira par lui envoyer toute la documentation relative au projet, il y a, à peu près, une semaine.

….et son épouse lance un appel aux historiens

Rappelons que l’épouse de Alpha Konaré, Adama Bâ a lancé, il y a tout juste deux jours, précisément dimanche 24 septembre, un projet presque similaire, sauf que celui-ci ne vise que les historiens. L’ancienne première dame du Mali a invité dimanche, comme le précise l’agence Reteurs, les historiens africains à participer à la rédaction d’un manuel d’histoire sur leur continent destiné à mettre à niveau les connaissances de Nicolas Sarkozy sur l’Afrique.



Auteur: Bacary Domingo Mane

vendredi, 07 septembre 2007

L'aventurier américain Steve Fossett reste introuvable

RENO, Nevada (Reuters) - Au cinquième jour de sa disparition au-dessus du Nevada, les secours restent sans nouvelles de l'aventurier américain Steve Fossett.

Deux avions équipés d'équipements à technologie infrarouge ont survolé toute la nuit la zone désertique à la recherche du millionnaire âgé de 63 ans, dont l'avion a disparu lundi.

Le périmètre des recherches a été élargi, passant de 1.600 km² à 26.000 km², et couvre désormais une partie du désert californien.

Fossett survolait le Nevada pour rechercher des sites susceptibles de lui permettre de battre le record de vitesse terrestre.

Plus de dix avions participent aux recherches. Des bateaux vont également parcourir le lac Walker, au Nevada.

Mais pour le commandant Cynthia Ryan, de l'Aviation civile du Nevada, la tâche, qui revient à chercher une aiguille dans une meule de foin, pourrait se prolonger des semaines durant.

dimanche, 04 mars 2007

USA: un foie et une partie de crâne humains livrés par erreur à un particulier

CASCADE TOWNSHIP, Michigan (AP) - Deux colis contenant des organes humains, dont un foie et la partie d'un crâne, destinés à un laboratoire médical, ont été livrés par erreur au domicile d'un particulier, ont déclaré samedi les autorités américaines, qui ont précisé que plusieurs colis semblables pourraient être dispersés de part et d'autre des Etats-Unis.

Les organes en provenance de Chine ont été déposés jeudi au domicile de Franck et Ludivine Larmande, dans le Michigan, par un livreur de la compagnie DHL qui pensait avoir affaire à des pièces détachées d'une table.

"Mon mari a commencé à déballer un (des paquets) et a dit: 'c'est bizarre, cela ressemble à un foie'", a déclaré Ludivine Larmande au "Grande Rapids Press". "Il a commencé (à déballer) le second, mais a arrêté dès que nous avons vu l'oreille".

"Quelque chose n'allait pas. C'était effrayant, et je suis contente de ne pas les avoir ouvert", a-t-elle poursuivi.

Les organes humains, qui sont en bon état, étaient destinés à la recherche médicale, a déclaré le lieutenant de police Roger Parent.

"Les gens subiront certainement un choc s'ils voient ces choses, mais il n'y a aucun risque de santé", a-t-il précisé.

Les services du shérif ont déclaré samedi ne pas disposer d'informations supplémentaires sur cette affaire.

Par ailleurs, deux autres colis destinés au laboratoire se sont ouverts, déversant leur contenu.

La compagnie de livraison collaborait avec les enquêteurs, a assuré le porte-parole de DHL Robert Mints, précisant qu'elle tentait de déterminer si ces colis auraient dû être livrés et comment ils ont été dispersés.

"Nous manions certainement des spécimens médicaux, et nous tentons de déterminer si les objets livrés étaient permis", a-t-il déclaré. "Nous ignorons pour l'instant ce qui s'est passé". AP