samedi, 16 février 2008
Les obsèques d'Henri Salvador auront lieu ce matin
Les obsèques d’Henri Salvador se dérouleront ce matin à 11 heures à l’église de la Madeleine, à Paris. De nombreuses personnalités du monde de la musique et de la politique sont attendues pour la cérémonie religieuse. Le président Nicolas Sarkozy devrait être présent.
Henri Salvador, doyen des artistes français, est mort à son domicile parisien d'une rupture d'anévrisme le 13 février dernier. Né en 1917 en Guyane, il avait eu 90 ans le 18 juillet dernier. Henri Salvador était connu et apprécié des français pour ses chansons populaires qui restent fredonnées par des générations de Français (Syracuse, Le loup, la biche et le chevalier, Le Lion est mort …).
Nicolas Sarkozy, qui revenait justement de Guyane, la terre natale d'Henri Salvador, avait exprimé son « infinie tristesse ». Pour le chef de l’état, « il a incarné avec humour et élégance, pendant plus d'un demi-siècle, l'art de l
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Cécilia et Richard Attias : un diner en ville avec Rachida Dati
Jeudi soir, chez Dessirier, le restaurant de poissons du 17e arrondissement de Paris, les clients ont eu la surprise de voir prendre place autour d' une même table un trio étonnant. L'ex Cécilia Sarkozy était accompagnée de Richard Attias, son nouveau compagnon, et leur invitée n'était autre que Rachida Dati, rapporte Le Parisien.
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Cécilia ex Sarkozy et Richard Attias : la date et le lieu de leur mariage se précisent...
Ils vivent aujourd’hui leur amour au grand jour et s’apprêteraient même à convoler en justes noces…
On croise souvent Cécilia Ciganer-Albeniz, ex épouse de Nicolas Sarkozy, et Richard Attias en ce moment à Paris. Après leur dîner au Plaza Athénée et leur voyage à Fès (voir news), ils ont été vus à La grande armée et d' autres restaurants chics de la capitale. Leur emploi du temps ? Ils font leurs courses à Neuilly sur Seine, rue de Chartres, puis regagnent leur appartement du XVIIe en toute quiétude. Leur mariage serait programmé, en famille, à New York, début mars.
Cécilia avait déclaré au magazine Elle : " J'ai pris mes pinceaux pour peindre une nouvelle histoire..."
Elle ne va utiliser que des tons pastels.
Plus d'infos et voir les photos sur Purepeople.com
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vendredi, 15 février 2008
Burkinafaso chante le Premier Migrant français:Nicolas Sarkozy
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mercredi, 13 février 2008
Henry Salvador, LA VIE C'EST LA VIE
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Henri Salvador dort pour l'éternité et que son voyage vers les paradis soit bercé de mélodies
THIERRY COLJON
Le chanteur français Henri Salvador, considéré comme un monument de la chanson française et guitariste de jazz reconnu, est décédé ce mercredi matin à l'âge de 90 ans d'une rupture d'anévrisme
Il est parti « dans son île » avec son rire tonitruant, ses blagues foireuses, ses boules (de pétanque), son ballon de rouge et sa face hilare. On ne pensait pas que cela arriverait un jour, persuadé que l'homme, béni des dieux, avait une mission qu'il ne pourrait interrompre : amuser et attendrir.
Henri était un amuseur public doublé d'un grand musicien de jazz, d'un crooner et d'un mélodiste hors pair. Né le 18 juillet 1917 à Cayenne, en Guyane française, il avait hérité de son père Clovis, précepteur, et de sa mère, né Paterne, tous deux Guadeloupéens, d'un caractère solide et têtu placé sous le soleil de l'optimisme.
Il découvre Paris à 7 ans et le jazz de Duke Ellington à 11 ans. Il n'a pas 20 ans qu'il chasse déjà le cachet, guitare sous le bras, dans les cabarets de la capitale. En 1935, le Jimmy's Bar l'engage et connaît ses premiers succès publics. Un certain Django Reinhardt le remarque et l'engage avant qu'Eddy South, violoniste de jazz américain vivant à Paris n'en fasse de même. En 1938, Ray Ventura le prend dans son grand orchestre et l'emmène en Amérique du Sud.
Quatre ans plus tard - entre-temps, Henri est passé en zone libre et travaille dans l'orchestre de Bernard Hilda, à Cannes -, Ventura est à Rio de Janeiro, les concerts ne se passent pas trop bien. Pour dégeler le public carioca, Ray tente sa botte secrète : Henri Salvador qu'il pousse au-devant de la scène. Un amuseur crooner est né.
Durant la guerre, Salvador devient une star en Amérique latine. Quand il rentre à Paris à la libération, il peut fonder son propre orchestre et faire courir le Tout-Paris. Son premier disque, en 1947, est un tube, le premier d'une longue liste, c'est « Maladie d'amour » et « Clopin clopant». Il tâte même de l'opérette, Le chevalier Bayard, avec Ludmilla Tcherina et Yves Montand. La fin des années 1940, entre radio plénipotentiaire et temples du music-hall (A.B.C. puis Bobino, Alhambra, Pleyel...), suffit au succès de Salvador qui décroche deux prix Charles Cros : un prix fantaisie et un prix charme.
Déjà, Henri est partagé entre deux genres qu'il ne cessera jamais de fréquenter. Mais la France ne suffit pas à ce faux fainéant. L'Italie, avant les Etats-Unis, le réclame à grands cris. Ed Sullivan l'engage deux semaines de suite dans son célèbre show réalisé dans une suite du Waldorf Astoria de New York. Les Américains surnomment Henri Fireball. Des producteurs offrent un pont d'or au petit Frenchie des îles. Notre homme nous avait raconté en 1985 comment il avait réagi aux contrats mirifiques : « J'ai dit OK, mais à quel moment je prends mes vacances ? Ils me répondent : « Eh bien, dans deux ans. » J'ai dit : « Goodbye » et je suis rentré en France. Ils ont dû se dire que ce gars était cinglé... »
Et Henri de partir dans son rire devenu légendaire. Rentré en France en 1957, il rencontre Boris Vian. Les deux compères deviennent les meilleurs amis du monde. Musicien et fan de jazz, Vian monte une blague avec Salvador qui, sous le pseudo de Henri Cording (« recording »), se fout du rock'n'roll qu'il n'a jamais aimé. Vian lui écrit « Rock hoquet », « Le blues du dentiste » et « Rock and roll mops » (sur une musique de Michel Legrand)...
Les années 1950 se terminent plutôt bien pour Salvador. Il loue lui-même les salles qu'il remplit les doigts dans le nez grâce à des succès comme : « Ma jolie petite fleur », « Une île au soleil », « Le loup, la biche et le chevalier » (alias « Une chanson douce que me chantait ma maman »), «Dans mon île »... Les biguines et chansons ensoleillées ont toujours eu sa préférence. En 1961, invité en Italie pour une série de douze semaines à la télévision, Henri se rend compte du pouvoir énorme de la télévision par rapport au music-hall.
Avec sa femme Jacqueline qu'il a épousée en 1950, il fonde sa société et se lance à corps perdu dans la production de programmes télé qui lui permettent d'interpréter ses nouveaux succès : «Le lion est mort ce soir », « Syracuse », « Count Basie », etc.
En 1964, Henri fonde sa firme de disques Rigolo et adapte en français « Along came Jones » de Leiber et Stoller, qui devient «Zorro est arrivé ». « Le travail c'est la santé » suivra dans la foulée, popularisant définitivement son personnage de siesteur invétéré.
La télévision française lui ouvre grands les bras et n'est pas près de le regretter. Les Salves d'or suivies, en 1973, de Dimanche Salvador, rivent devant leur petit écran plus de six millions de Français (et de Belges). Salvador a la France a ses pieds, une France profonde qui se reconnaît dans ce blagueur qui n'a pas peur de se déguiser et de faire le pitre, tout en assimilant les règles du grand show à l'américaine, avec mise en scène, paillettes et grand orchestre. Henri amuse, Henri fait rêver.
Début des années 1970, les Américains de Walt Disney repèrent le bonhomme qui a l'art de parler aux enfants. Pour Les aristochats, Salvador réalise tout l'album à lui tout seul, se chargeant, dans sa chambre ou sa salle de bain, de l'enregistrement, des arrangements, de tous les instruments... Ce qui lui vaut un nouveau prix Charles Cros.
Jacqueline et Henri, dotés d'un solide sens des affaires, fondent leur propre réseau de distribution et c'est « Petit lapin » qui décroche la timbale, avant l'album Blanche-Neige et les sept nains (1973) et Pinocchio (1975).
Tout roule pour Henri jusqu'à ce jour de 1977, le plus noir de sa vie : Jacqueline décède d'un cancer. « Je me sentais perdu, j'ai tout plaqué, nous avouera-t-il. De toute façon, la télévision devenait de moins en moins intéressante financièrement. C'est là que je suis parti voir Adamo au Japon et Jacques Brel à Tahiti pendant quinze jours. »
Salvador se fait oublier, tente d'oublier et puis, avec le temps, se rapproche de la meilleure amie de sa défunte épouse. « C'est pour elle que je suis remonté sur scène en 1982 car elle ne m'avait jamais vu chanter ».
Pour son grand retour, Henri fait construire un théâtre de cinq mille places, porte de Pantin. Il y donnera soixante représentations avant de faire ses (premiers) adieux en 1985, au palais des Congrès et à Forest-National.
L'album Henri sort chez EMI mais le coeur n'y est plus. Il se dit qu'il a mérité de se reposer un peu, de jouer aux boules avec ses vieux copains de Saint-Trop'. Pour le plaisir, il fera encore une petite tournée en solo, qui passera deux soirs de 1991 par le Théâtre 140.
Ce concert, entre jazz et bossa (sans oublier les blagues qu'il ne peut s'empêcher de raconter entre chaque chanson), c'était déjà un Jardin d'hiver avant la lettre. Le public a répondu présent, mais pas l'industrie du disque qui ne croit plus que dans les jeunes artistes.
En 1994, Sony signera bien pour un nouvel album, Monsieur Henri, enregistré à New York par Mick Lanaro, mais en voulant adapter sa voix aux nouvelles sonorités, comme l'avait réussi Nougaro avec Nougayork, produit par le même Lanaro. Peine perdue. Henri préfère retourner à ses boules. Il faudra de nouvelles rencontres et l'enthousiasme de jeunes fans amoureux de ce personnage entre Sinatra et Nat King Cole pour convaincre Henri de remettre le couvert en l'an 2000.
L'industrie n'y croit toujours pas, à l'exception d'un petit label dance, Source. On donne enfin à Henri les moyens de faire ce qu'il veut. Des moyens qu'il se refusait lui-même depuis l'échec d'un disque réalisé avec Quincy Jones. Chambre avec vue sur le « Jardin d'hiver » est un triomphe. A 83 ans, Henri le crooner émeut à nouveau. La France a son « papy cubain », son « Amélie Poulain ».
Henri part en tournée, tout de blanc vêtu, comme au bon vieux temps. Cuivres et cordes l'emportent, entre son chapeau et son ballon de rouge. La voix de miel n'a rien perdu de son pouvoir. Cette « chanson douce » fait fondre toutes les générations qui perdent aujourd'hui leur père, celui qui avait tout réussi... en s'amusant.
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Chanteur et guitariste, voix douce et rire énorme patenté:Henri Salvador est mort...dans la jungle terrible jungle
PARIS (Reuters) - Henri Salvador est mort à l'âge de 90 ans, a annoncé sa maison de production, Polydor.
Le chanteur est décédé d'une rupture d'anévrisme à son domicile à 10h30, a précisé une porte-parole de la maison de disques.
Il venait de fêter ses 75 ans de carrière.
Chanteur et guitariste, voix douce et rire énorme patenté, amuseur sans mesure et crooner sachant phraser, Henri Salvador a cultivé sous des dehors goguenards un talent d'équilibriste du spectacle, dont portent témoignage les aspects contrastés de sa longue carrière.
L'heureux pourvoyeur de tubes et de chansons-gags comme "Faut rigoler" ou "Zorro est arrivé" n'a jamais oublié le jazz instrumental et vocal qui avait ébloui son adolescence de "titi parisien de couleur" parvenu à côtoyer Django Reinhardt. Ni l'élégance particulière que peut revêtir le français chanté.
"Je chante dans le souffle, je caresse l'oreille", confiait le coauteur de "Syracuse", admirateur de Nat King Cole et de Frank Sinatra, lors d'une interview à L'Express en 2001. "Il faut mettre en valeur les syllabes (...) Celui qui chante dans le souffle (...) donne des ailes aux mots."
L'ami et collaborateur de Boris Vian, avec lequel il produisit dans les 400 chansons, conjuguait sur scène et sur disque les morceaux fantaisistes et les "chansons douces" auxquelles l'avaient préparé sa mère d'origine indienne caraïbe en lui fredonnant de tendres "falbalas" créoles.
Si le public a longtemps plébiscité la gouaille du divertisseur au métier consommé, il a aussi durablement soutenu le chanteur de charme au swing léger qui s'est affirmé depuis la guerre ("Maladie d'amour", "Clopin-Clopant") et jusqu'à ses dernières années ("Chambre avec vue", "Jardin d'hiver").
"J'suis pas dentiste, je suis plombier..."
"L'important, c'est de ne pas ennuyer", rappelait Monsieur Henri, qui se produisait en pantalon blanc au XXIe siècle comme au temps des Collégiens de Ray Ventura, avec lesquels il avait quitté la France occupée pour l'Amérique du Sud et le Brésil.
CANULAR ET AUTOPRODUCTION
Parmi ses inspirateurs marginaux figure un clown, "Rhum", pour qui faire rire était "la plus noble des missions". Salvador appliquera spontanément sa leçon fin 1941 à Rio de Janeiro, en se livrant à une imitation du personnage de Popeye qui vaudra un triomphe au lieu d'un four à l'orchestre Ventura.
C'est là que débute la carrière personnelle de celui qui était le guitariste et le comique de la troupe. Bien des années après, Henri Salvador passera au Brésil pour avoir préfiguré la bossa nova avec un boléro jazzé, "Dans mon île", gravé en 1957.
Là où d'autres artistes de variétés ont été bousculés par l'avènement du rock, Salvador a contourné l'écueil en se prêtant dès 1956, avec Boris Vian et le compositeur Michel Legrand, à une parodie du genre sous l'hénaurme pseudonyme d'Henry Cording.
En résultèrent des titres comme "Va t'faire cuire un oeuf, man", "Rock and roll mops" et "Rock-Hoquet", que le chanteur classera parmi ses canulars sans ignorer qu'ils avaient aussi contribué à sa popularité. A peu près au même moment, Henri Salvador s'offrait le plaisir d'un disque de guitare jazz.
Un autre agent de sa popularité aura été sa femme Jacqueline (Garabedian), solide imprésario avec qui il deviendra notamment le premier artiste de variétés français "autoproduit".
Mécontent de la distribution des enregistrements du chanteur, le couple créera successivement deux maisons de disques. Après la mort de son épouse en 1976, Salvador renoncera à l'autoproduction et enregistrera pour différentes compagnies.
AMOUR DU JAZZ
Parallèlement à ses succès sur disque ("Le lion est mort ce soir", "Zorro", "Count Basie"), Henri Salvador a donné une forte impulsion à sa carrière par le biais de shows télévisés où défilaient ses chansons-sketches ("Minnie petite souris", "Le travail c'est la santé", "Juanita banana").
Au cinéma, ses tentatives en tête d'affiche - "Bonjour sourire" (1950), "Clair de lune à Maubeuge" (1962), "Et qu'ça saute" (1969) - n'ont pas abouti. Mais sa voix s'est imposée dans le doublage de films d'animation ("La petite sirène").
Henri Gabriel Salvador naît le 18 juillet 1917 à Cayenne (Guyane française). Son père percepteur et sa mère, natifs de Guadeloupe, s'installent avec leurs enfants à Paris en 1924, lorsqu'Henri a sept ans. Les rues de la ville seront son terrain d'apprentissage, à l'origine de beaucoup de ses sketches.
Un cousin lui révèle en 1933 la musique de Louis Armstrong et Duke Ellington, qui décide de son activité future. Après avoir essayé d'autres instruments, il apprend la guitare en autodidacte et joue bientôt en orchestre dans divers cabarets.
Il rencontre Django Reinhardt avant d'être mobilisé de 1937 à 1941, année où il retrouve le grand guitariste manouche en zone libre avant d'être engagé par Ray Ventura. Celui-ci l'emmène en Amérique du Sud d'où ils ne reviendront qu'en 1945. Dans les années qui suivent, Salvador engrange les succès.
Au fil d'une carrière soutenue, il répondra à l'attente du public sans renoncer à ses penchants. Son amour du jazz vocal, éclipsé par périodes, refait surface dans les années 1990 et le chanteur rencontre une large audience avec ses derniers albums.
Cet homme convivial, adepte des tournois de pétanque et du yoga, supporter du Paris St-Germain, a pris de l'âge en veillant à garder "de la tenue". Le 21 décembre 2007, au Palais des congrès de Paris où il "tirait sa révérence", sa voix l'avait trahi. C'était devenu sur-le-champ un gag d'adieu. Philippe Bas-Rabérin, Pascal Liétout
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lundi, 11 février 2008
Coumba Gawlo Seck
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vendredi, 08 février 2008
Carla Bruni
La secrétaire d'Etat aux Droits de l'homme, Rama Yade, a violemment condamné vendredi ce qu'elle qualifie d'"attaques personnelles" de la presse contre le président Nicolas Sarkozy, qui a porté plainte après la publication d'une information sur un supposé SMS envoyé à son ex-épouse Cécilia.
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MORT OU DISPARITION DE L’EX TOP MODEL : « On n’a pas retrouvé de corps », assure Djibril Tamsir Niane, père de Katoucha
NETTALI - Le corps du célèbre top model Kadiatou Niane, plus connue sous le pseudonyme de Katoucha n’a pas été retrouvé. Contrairement à ce qui avait annoncé dans les sites d’informations people en France hier soir, le corps retrouvé dans la Seine n’est pas celui du mannequin. Joint au téléphone, Djibril Tamsir Niane, le père de l’artiste, dément l’information mais reste inquiet sur le sort de sa fille.
« Je m’en remets à Dieu, a en effet, confié l’écrivain guinée, auteur de « Soundjata ou l’Epopée mandingue » et père du célèbre mannequin. Djibril Tamsir Niane qui révèle s’attendre à tout, ne confirme pas la mort de sa fille Katoucha Niane, contrairement aux informations livrées par une partie de la presse française et reprises par des journaux sénégalais. "On n’a pas retrouvé de corps", assure-t-il, en avançant des assurances données par la France.
D’ailleurs la police française a lancé un avis de recherche pour retrouver Katoucha. Dans l’intérêt d’une enquête diligentée par la BRDP (Brigade de la Répression de la Délinquance contre la Personne), une fiche reprenant la photo de Katoucha Niane Curtiss est diffusée depuis hier, révèle le site purepeople.com, spécialisé dans l’information people en France. Un avis de recherche qui dément qu’un corps ait pu être retrouvé à l’heure où nous publions ces informations.
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mercredi, 06 février 2008
Europehorizon présente ISMAEL Lô
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samedi, 02 février 2008
Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se seraient mariés à l'Elysée
PARIS (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se sont mariés samedi à l'Elysée, rapporte RTL.
"Carla Bruni est la nouvelle première dame de France. Nicolas Sarkozy et l'ancien mannequin se seraient mariés ce matin à l'Elysée, selon plusieurs témoins", indique la radio sur son site internet.
Cité par Europe 1, le maire du 8e arrondissement de Paris, François Lebel, a confirmé avoir célébré le mariage au premier étage du palais de l'Elysée, en précisant que "la mariée était en blanc, elle était ravissante".
Selon les radios, le couple avait pour témoins Nicolas Bazire, ancien collaborateur d'Edouard Balladur, haut responsable du groupe LVMH et proche du chef de l'Etat, pour Nicolas Sarkozy et Mathilde Agostinelli, responsable de la communication de Prada France, pour Carla Bruni.
Le service de presse de l'Elysée s'est refusé à tout commentaire.
Le président de la République, qui a divorcé en octobre de sa seconde femme, Cécilia, a officialisé en décembre sa relation avec la chanteuse et ancienne mannequin.
Véronique Tison
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vendredi, 18 janvier 2008
Le Chanteur Carlos a pris le train du Paradis
Carlos, le chanteur, c’était avant tout un bon vivant. Bien en chair, il inspirait à tous la sympathie. Les paroles de ses chansons n’étaient pas empreintes de discours moralisateur. Au contraire, tout en lui, respirait la gaieté.
Carlos s’est éteint à l’hôpital de Clichy ce matin. Sa soeur, Catherine Dolto-Tolitch, a annoncé que les obsèques pourraient avoir lieues mardi prochain. Carlos avait 64 ans et a succombé à un cancer foudroyant. Son cancer avait été diagnostiqué depuis seulement 2 mois.
On retiendra surtout de Carlos ses chansons festives comme « Tirelipimpon », « Big bisous » ou encore « Tout nu et tout bronzé ».
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jeudi, 17 janvier 2008
Un peu de chaleur avec le "Couper Décaller"
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mercredi, 16 janvier 2008
Ouel talent ! on rigole: Anne Roumanoff sur Sarko Bruni
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jeudi, 10 janvier 2008
La chanteuse Coumba Gawlo Seck
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mercredi, 09 janvier 2008
Nicolas Sarkozy, l'Afrique n'a pas besoin d'aide mais de partenaires serieux
PARIS - Le président Nicolas Sarkozy a reçu mardi en fin d'après-midi le chanteur du groupe U2 Bono, pour un entretien "assez tendu" au cours duquel le président a promis de respecter les promesses d'aide au développement apportée par la France à l'Afrique.
"Nous avons eu un échange assez tendu sur la question de l'aide actuellement accordée par la France, et des risques qu'il y avait pour l'Union européenne à ne pas tenir ses promesses vis-à-vis des plus pauvres", a déclaré à l'issue de la rencontre le musicien, qui milite à travers l'organisation DATA (Dette, SIDA, Commerce, Afrique) contre la pauvreté en Afrique.
Néanmoins, "le président a promis de revenir sur la réduction de 20 millions d'euros dans l'aide accordée au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme. Il a également dit qu'il allait engager un processus pour que les aides promises par la France soient relancées dans les semaines qui viennent", a précisé Bono.
"Le président a reconnu que ce serait très dur, mais il a assuré que la France tiendrait parole", a-t-il conclu.
Le porte-parole de l'Elysée David Martinon avait déclaré ma veille que le président de la République était "très sensible au plaidoyer de Bono pour le développement du continent et il entend bien continuer à être l'avocat de l'Afrique dans toutes les enceintes internationales, comme il l'a été depuis mai dernier".
Nicolas Sarkozy et Bono s'étaient déjà rencontrés dans le cadre du sommet du G8 à Heiligendamm (Allemagne), en juin 2007, avec également Bob Geldof et le chanteur Youssou N'Dour.
A l'occasion de cette rencontre, le président français leur avait confirmé qu'il souhaitait pérenniser l'engagement de la France en matière d'aide au développement en Afrique. La France devrait consacrer, selon lui, 0,7% de son PIB à l'aide publique au développement d'ici 2015, ce qui correspond à l'objectif européen.
Selon Oliver Buston, directeur pour l'Europe de l'organisation créée par Bono, DATA, "la France n'est pas sur la voie d'un respect de ses promesses sur l'aide au développement en Afrique". "Nous espérons que sous la direction énergique du président Sarkozy, les choses iront en s'améliorant, et non en s'aggravant", soulignait-t-il dans un communiqué la veille de l'entretien.
L'organisation de Bono affirme que la France a consacré 0,31% de son PIB à l'aide au développement en 2006. AP
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lundi, 07 janvier 2008
Le baiser lesbien des soeurs Cruz
BRUXELLES Chez les Cruz, on a le sens de la famille, c'est certain. Alors que Pénélope et Monica, toutes deux actrices de leur état, s'associent depuis quelque temps pour créer des fringues pour Mango, voilà que les frangines mettent leur notoriété au service de leur frère Eduardo, qui rêve lui aussi d'avoir une place dans le show-biz.
Mais lui, son truc, c'est la musique. Pénélope et Monica font donc une apparition remarquée dans le clip de son morceau, Cosas Que Contar. Lors de leur première apparition, les deux bombas, habillées en secrétaires sexy (chemise blanche très ouverte, lunettes sur le bout du nez), font le doublage d'un film érotique qui met deux lesbiennes en scène... et elles y mettent du coeur !
Et vas-y que je pousse un gémissement, et vas-y que je léchouille langoureusement la sucette... Les choses se calment une fois qu'Eduardo, qui est, précisons-le pour les demoiselles, aussi beau que ses soeurs, entre en piste. Pénélope et Monica se contentent de lui murmurer deux, trois bricoles à l'oreille, de dévoiler leurs décolletés affolants et de se trémousser à ses côtés. N'empêche, ça vaut le coup d'oeil, comme vous pouvez le constater sur ci dessous.
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jeudi, 27 décembre 2007
Sarko tire toute son énergie d'Afrique, après ce sera le Burkina!
Accompagné de Carla Bruni, Nicolas Sarkozy a visité mercredi la vallée des Rois, qui abrite les tombes de nombreux pharaons du Nouvel Empire.
Après Louxor, le président français devrait se rendre à Charm el-Cheikh, cité balnéaire du bord de la mer Rouge.
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