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vendredi, 11 juillet 2008

Une jeune ex-Yougoslave impliquée dans le premier cambriolage de Ségolène Royal

PARIS - Une jeune femme originaire de l'ex-Yougoslavie est impliquée dans le premier cambriolage dont Ségolène Royal a été victime le 17 août 2006, a-t-on appris vendredi de source policière. Identifiée grâce à ses empreintes digitales prélevées dans l'appartement de la dirigeante socialiste à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), cette suspecte est mise en cause dans d'autres affaires de vols.

Lors de ce premier fric-frac, l'appartement avait été fouillé mais aucun bien de valeur n'avait été dérobé. Vu la personnalité de la victime, le Service départemental de police judiciaire (SDPJ) des Hauts-de-Seine avait été saisi. Les traces papillaires relevées avaient alors été comparées sans succès à celles contenues dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) et l'affaire avait été classée sans suites en mars 2007.

L'ancienne candidate socialiste à l'élection présidentielle a ensuite été victime d'un second cambriolage durant l'été 2007 puis d'un troisième le 27 juin 2008 où deux empreintes digitales suspectes, différentes de la première prélevée en août 2006, ont alors été identifiées. A cette occasion, une nouvelle recherche a été menée dans le FAED. Celui-ci a alors mis en concordance la première trace papillaire avec celle d'une femme de 23 ans née dans l'ex-Yougoslavie et qui serait impliquée dans une série de plusieurs cambriolages commis au début de l'année 2008. AP

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