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lundi, 21 janvier 2013

Olivier Maingain a été réélu à la présidence des FDF avec 76,2% des voix

 

Olivier Maingain a été réélu à la présidence des FDF avec 76,2% des voix
(Belga) Les membres du FDF ont réélu dimanche leur président sortant, Olivier Maingain, pour un nouveau mandat d'un peu plus de deux ans à la tête de la formation amarante en lui accordant 76,2% des voix. Son challenger, le député bruxellois Emmanuel De Bock, a été crédité de 23,8% des suffrages.
Intitialement programmé de 9h à 11h, le scrutin a été prolongé d'une demi heure pour permettre au membres du parti parfois retardés sur les routes par les conditions hivernales de rejoindre le centre culturel d'Auderghem. Agé de 54 ans, Olivier Maingain occupe la présidence de la formation amarante depuis 1995. Dimanche, il avait pour unique challenger le jeune député bruxellois, Emmanuel De Bock, 36 ans. Le congrès électoral a également permis de désigner les trois vice-présidents et le secrétaire-général. Il n'y avait qu'un(e) seul(e) candidat(e) pour chacun de ces mandats. Moniques Felix a été élue vice-présidente pour la Wallonie avec 79% des voix. Valérie Valérie Geeurickx (périphérie) a été créditée de 78 pc des voix, tandis que Joëlle Maison (Bruxelles) a obtenu un score beaucoup plus confortable de 92,9pc des suffrages. Enfin, le secrétaire général sortant, Michel Colson a lui été réélu avec un très confortable 93,6%. (PVO)
 

 

vendredi, 17 août 2012

Maingain rappelle que le débat sur la présidence du FDF se tiendra après les communales

manguin.pngBelga) Le président des FDF, Olivier Maingain, est d'avis que sa principale priorité pour le moment doit être d'apporter tout le soutien des instances dirigeantes du parti aux candidates et candidats FDF aux élections communales et provinciales en Wallonie, à Bruxelles et en périphérie. Le débat sur la présidence du parti devra se tenir après les élections d'octobre et ce n'est qu'alors qu'il dira s'il est candidat à sa succession. Il réagit ainsi au député Bernard Clerfayt qui a déclaré à l'hebdomadaire "Le Vif-L'Express" qu'il fallait du renouveau à la tête du FDF. M. Maingain rappelle dans un communiqué qu'il se conforme ainsi à une décision du bureau du FDF qui a décidé que le débat sur la présidence devait avoir lieu après les élections du 14 octobre. Le FDF renouvellera ses instances le 16 décembre. Ce jour-là, les amarantes éliront un président, des vice-présidents et un secrétaire-général. Olivier Maingain préside le parti depuis 1995, ce qui en fait le doyen des présidents de parti. Son mandat expirait en mars dernier mais il a été prolongé jusqu'à la fin de l'année afin d'éviter toute interférence entre ce scrutin interne et les élections communales. (MUA)

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jeudi, 29 décembre 2011

Politique belge:Olivier Maingain tire à vue sur Charles Michel

Olivier Maingain juge très sévèrement le président du MR, qu'il accuse d'avoir sacrifié le FDF à des fins partisanes.

Olivier Maingain tire à vue sur Charles Michel

© Thierry Du Bois

Olivier Maingain (FDF) se montre très sévère vis-à-vis du président du MR dans un entretien au Soir. Pour le président des FDF, Charles Michel (MR) n'a pas hésité à « s'acoquiner avec des séparatistes».

Le président du MR a renié l'histoire de son parti, affirme-t-il. « Charles Michel a réussi à enterrer l'héritage de Jean Gol », a-t-il déclaré. « Gol avait un double objectif en créant la fédération PRL-FDF : construire la nation francophone et (…) une force politique qui soit une réelle chance d'alternance à la toute puissance socialiste au sud du pays. Aujourd'hui, les libéraux, sous la présidence de Charles Michel, ont abandonné ces deux objectifs.»

Pour Olivier Maingain, le MR avait l'intention de se séparer des FDF avant les négociations institutionnelles. « Il y avait une volonté de nous mettre dans le coin. Sur BHV, je n'ai jamais été associé à la négociation. C'était délibéré. Armand De Decker, alors encore président du Sénat, est allé dès le lendemain des législatives, voir Bart De Wever. Il a dit : si on doit se passer des FDF pour avoir une réforme de l'Etat… On n'avait encore rien fait !»

Le président des FDF joue aussi son rôle dans l'opposition. « Jusqu'à l'avant-veille de l'accord gouvernemental, on ne peut pas dire qu'il régnait beaucoup d'amabilité entre les partenaires. A peine formé, le ministre du Budget déclarait que le budget était construit sur une norme de croissance erronée. »

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