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mercredi, 12 août 2009

GALLAS Capitaine de l'équipe de France

Promu capitaine de l'équipe de France en l'absence de Thierry Henry, William Gallas est fier de porter le brassard pour le match aux Iles Féroé mercredi, lors des éliminatoires du Mondial 2010. Une rencontre qui marquera le retour à la compétition du défenseur d'Arsenal après sa blessure à un genou.538988-4647161-317-238.jpg

WILLIAM GALLAS, comment s'est passé le voyage jusqu'aux Iles Féroé?

W.G. : Tout s'est bien passé. Il y avait une bonne ambiance pendant le voyage, certains regardaient des films, d'autres écoutaient de la musique, ça chambrait comme d'habitude.

Ce n'est pas bizarre de disputer votre premier match officiel de la saison aux Iles Féroé?

W.G. : Ce n'est pas évident mais les trois points sont pour nous primordiaux. Physiquement, je suis à 100%. J'ai fait la préparation avec mon club et mon genou tient.

Avez-vous de l'appréhension?

W.G. : A la reprise de l'entraînement oui mais j'ai fait cinq-six matches de préparation depuis et tout va bien.

Le match aux Iles Féroé est-il un piège?

W.G. : On le vit bien parce que c'est un match très important. Tous les petits problèmes doivent être mis de côté et on doit être présent dès demain. C'est toujours difficile de venir jouer ici, vu l'état du terrain, le climat. On sait que cela ne va pas être facile mais c'est à nous de rendre le match facile. Il faut que l'on joue ensemble, que l'on prenne du plaisir. Ce match peut être un piège, mais le coach nous a préparés à cela. Il va falloir faire attention.

Pensez-vous déjà aux matches contre la Roumanie ou à la Serbie?

W.G. : Non. On joue ce match sans se dire qu'il y a d'autres matches importants. Ce n'est jamais facile de venir gagner ici donc il faut être concentré sur ce match.

Allez-vous être capitaine contre les Féroé?

W.G. : Si je suis là (à la conférence de presse d'avant-match traditionnellement tenue par le capitaine, ndlr), je pense que oui.

Comment le vivez-vous?

W.G. : Je le vis bien. C'est toujours une fierté d'être capitaine de la France. Cela fait plaisir.

Comment avez-vous accueilli le forfait de Thierry Henry?

W.G. : On aurait voulu qu'il soit là. Malheureusement, il est blessé. C'est un joueur qui va nous manquer.

Pensez-vous que Franck Ribéry soit apte pour disputer le match?

W.G. : Hier, il était bien, comme d'habitude, chambreur, déconneur.

Que pensez-vous de votre association avec Squillaci dans l'axe de la défense?

W.G. : Cela c'est toujours bien passé. Le dernier match, c'était face à la Lituanie. Chaque fois qu'il joue, il est présent.

Quelles sont ses qualités?

W.G. : Il est dur sur l'homme, très bon dans le jeu aérien. Il lit bien le jeu. Il a progressé en Espagne, il peut aller encore plus loin.

Vous êtes-vous fixé un objectif personnel en équipe de France pour votre retour?

W.G. : C'est bien de pouvoir enchaîner les matches sans blessure et de retrouver le niveau que j'avais en 2006 pour être présent dans les matches de qualifications.

Cinq victoires lors des cinq derniers matches de qualifications, est-ce possible?

W.G. : Tout est possible.

AFP

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