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jeudi, 06 mars 2008

Une atmosphère qui suffoque au continent des FARC, comme au Tchad voyons si Sarkozy y sera

BOGOTA (Reuters) - La Colombie a rejeté des accusations selon lesquelles elle aurait entravé des efforts déployés par le gouvernement équatorien pour obtenir la libération d'otages aux mains des Forces armées révolutionnaires de Colombie.

La mort, samedi, du numéro deux des Farc, Raul Reyes, tué lors d'un raid des forces colombiennes en territoire équatorien, a provoqué une crise diplomatique entre les deux pays.

L'Equateur a reproché à la Colombie d'avoir violé sa souveraineté et d'avoir compromis ses efforts en vue d'obtenir la libération d'otages, parmi lesquels la franco-colombienne Ingrid Betancourt, enlevée par les Farc en 2002.

"L'Equateur n'a jamais consulté ni informé le gouvernement de Colombie qu'il maintenait des contacts avec les Farc afin de libérer des otages", dit un communiqué du gouvernement colombien.

L'Equateur assure que la Colombie était au courant des négociations sur les otages.

Hugh Bronstein, version française Nicole Dupon

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