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dimanche, 23 mai 2010

Résumé Inter de Milan - Bayern

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jeudi, 22 avril 2010

Ligue des Champions - Lyon, le chemin est encore long

En demi-finale aller de la Ligue des Champions, l'OL s'est incliné 1-0 sur la pelouse du Bayern Munich. Les Rhodaniens, qui ont terminé à dix comme les Bavarois suite aux expulsions de Toulalan et de Ribéry, devront obligatoirement gagner à Gerland pour disputer la finale à Madrid.

BAYERN MUNICH - LYON : 1-0lloris.jpg

But : Robben (69e)

Dans six jours, on aura le fin mot de l'histoire. On saura si Lyon est en finale de la Ligue des Champions et a eu raison de ce Bayern Munich qui, comme le papier le laissait présager, est un adversaire certes redoutable mais nullement insurmontable. Cette impression s'est vérifiée mercredi soir sur la pelouse de l'Allianz Arena. Pourtant, ce sont les Allemands qui virent en tête à la mi-temps de cette double confrontation face à un Olympique Lyonnais trop timoré (1-0). Tout ça grâce à Arjen Robben, soliste de génie qui a donné un nouvel aperçu de son talent et de sa forme actuelle. Pour l'avoir laissé agir une fois de trop et ne pas avoir été disciplinés jusqu'au bout, les septuples champions de France ont payé le prix fort et repartent du côté de Lyon - en avion cette fois - avec une courte mais embarrassante défaite (1-0). Embarrassante car les Rhodaniens n'ont pas trouvé la faille face aux Allemands et qu'il faudra l'emporter par deux buts d'écart mardi prochain.

Embarrassante également tant il ressort de cette première manche comme une impression d'inachevé, voire de gâchis. Longtemps, les Lyonnais ont semblé en mesure de repartir de l'Allianz Arena avec mieux qu'une défaite. Peut-être pas une victoire, n'exagérons rien, mais un bon 0-0 des familles. Durant toute la première période, l'OL de Claude Puel, qui avait décidé de titulariser Ederson sur le côté droit, a tenu la dragée haute à un Bayern légèrement dominateur mais très peu inspiré au moment de conclure. Seuls deux corners de Ribéry et de Robben, le premier claqué par Lloris (12e), le second repris par Schweinsteiger après une sortie loupée du portier rhodanien (13e), avaient fait passer un demi-frisson dans l'échine de Jean-Michel Aulas. L'affaire sentait d'autant plus bon que Ribéry, sans doute perturbé pour les raisons que l'on sait, allait s'essuyer les crampons sur la cheville de Lisandro et était renvoyé aux vestiaires manu militari par monsieur Rosetti (37e).

De l'audace au retour

Cette supériorité numérique, l'OL n'en a rien fait. Malheureusement. Mis à part un pétard de Kallström bien sorti par Butt (43e), RAS. Pire, au retour des vestiaires, Jérémy Toulalan a eu la drôle d'idée de prendre deux avertissements en trois minutes chrono (54e). Sa sortie prématurée, un brin stupide il faut l'avouer, a remis le Bayern dans le match et perturbé le dispositif lyonnais. Louis van Gaal n'a pas tardé à lancer Gomez et l'associer à un Muller orphelin depuis la reprise (Ndlr : Olic était sorti à la pause). Ses joueurs ont fini par user un OL qui avait beaucoup couru jusque-là et n'a pas eu les jambes pour s'opposer à Robben à la 69e minute. Le Néerlandais, parti de la droite, a repiqué dans l'axe et, nullement pressé, a pris son temps pour armer du gauche une frappe légèrement déviée par Muller (1-0). L'ancien du Real a remis ça à la 85e minute mais cette fois Lloris s'est montré impérial. Le gardien de l'équipe de France a sauvé les meubles et offert aux siens une deuxième manche qui reste tout de même jouable. A condition d'y croire et de se montrer plus entreprenant. Et si possible audacieux. Espérons que ce n'est pas trop demander.

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lundi, 31 août 2009

Anderlecht - Standard: y'avait pas football

Dans un duel au sommet très viril, les deux ténors se sont neutralisés. Réduits à dix, les Standardmen sont passés tout près de l'exploit.
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Après avoir vu cela, c’est difficile de parler de football, de vrai football. Ce qui devait être une affiche (et son résultat) a été éclipsé par un geste scandaleux. Un geste qui vaudra à Witsel une lourde suspension mais qui a surtout envoyé Martin Wasilewski à l’hôpital avec une double fracture de la jambe. L’incident est survenu après 20 minutes devant le banc anderlechtois.

 

Wasilewski s’élance pour un tacle tout à fait correct vers Witsel, qui commet alors un geste inexcusable. Il écrase la jambe du Polonais avec sa semelle.

Voyant la gravité de la blessure, les Anderlechtois s’énervent. La tension monte. Sans hésiter, Jérôme Nzolo s’élance vers le Soulier d’Or pour brandir une carte rouge. Les Liégeois comprennent aussi à quel point la faute de Witsel est sérieuse. Jovanovic s’entretient avec Proto et Juhasz, leur expliquant qu’il voudrait du jeu plutôt que des fautes. Le Serbe a même demandé à pouvoir être remplacé.

Nicaise, lui, est allé calmer le kop du Standard qui chantait avec ironie le nom du Polonais. Pendant ce temps, sur le brancard, les secouristes et les médecins s’affairent pour soigner le Polonais. Mais, les images font peur. Les quelques joueurs qui ont jeté un coup d’œil au blessé détournent vite le regard

 

Mais, les acteurs veulent bien reprendre la pièce, même si celle-ci était complètement gâchée.

Les Mauves avaient largement dominé le match jusque-là, mais ils semblaient avoir du mal à se remettre du choc. Mbokani en profita pour s’infiltrer au cœur de la défense mauve et battre calmement Proto, son ex-équipier. Anderlecht reprit sa domination de plus belle et égalisa très logiquement juste avant la pause. Après une jolie combinaison entre Chatelle et Boussoufa. Gillet retrouvait ses meilleures sensations pour égaliser.

 

Le forcing du Sporting en seconde période ne fut jamais payant. Bolat dut se montrer intraitable, notamment devant Boussoufa. Van Damme croyait avoir délivré le Parc Astrid, mais il avait marqué de la main ce qui n’avait pas échappé à Nzolo.

Sur cette même phase, il avait toutefois été ceinturé par De Camargo.

 

Acculé, le Standard, s’offrit quand même les plus belles occasions en fin de match. Ainsi, si Silvio Proto n’avait pas eu les réflexes d’un gardien de handball à trois reprises dans le dernier quart d’heure, les Rouches signaient dans l’antre d’Anderlecht le hold-up parfait.

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