dimanche, 30 décembre 2012
Bruxelles: Ben Aziz répond à Yakham Mbaye payé pour insulter Alioune DIOP dans le journal "Libération" à Dakar.
J’ai toujours cru que le journaliste est un pilier voir un garant d’une démocratie saine et apaisée dans une république.
Comme un messager, il a l’impérieux devoir d’informer juste et bien. Cette déontologie, force nourricière du journalisme, s’appuie fondamentalement sur une liberté d’expression constitutionnalisée par les pouvoirs publics dont l’ultime finalité reste et demeure, la cohabitation harmonieuse, féconde d’une pluralité d’expressions et d’opinions souvent conflictuelle et ambigüe.
En résumant ce noble métier, devenu pouvoir en une conjonction-addition de dénigrements successifs et erronés, nous assurons indubitablement à sa dégénérescence progressive et fatale.
La corporation journalistique se doit d’extirper en son sein cette partie tuméfiée et nauséabonde que constitue ce sous groupe de journalistes alimentaires et gorge profonde qui s’abreuvent à cette source maléfique de la corruption.
Quotidiennement, nous assistons pour être meurtris à ce défilé infernal, macabre et contre productif d’articles orduriers imbibés de haine à la limite de l’injure et de la diffamation qui au nom d’une prétendue liberté d’expressions nous torture les méninges.
Le journalisme perdrait son âme en se métamorphosant en une ruse qui dérive d’une caduque politique politicienne faite de mensonge, de coups bas, de coups de poignards dans le dos, de crocs en jambes combinés dans une galaxie de complots multiformes.
L’empilement de contre-vérités habillement maquillé par une phraséologie nébuleuse, discourtoise ne devrait prospérer dans un pays de droit.
Comme le disait si bien Vladimir Illich Oulianov dit LENINE : Il faut s’informer, se former pour pouvoir transformer une société.
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