Pas de poursuites donc pour ces religieuses qui ont abusé sexuellement de leurs pensionnaires entre 1959 et 1963. Les faits sont prescrits.

Par contre, les abus présumés commis par un père dans les années 90, eux, font faire l’objet d’une enquête.

Des religieuses entêtées

Deux sœurs vont de l’institution doivent, par ailleurs quitter l’institution. A l’époque des faits commis par le père libidineux, elles ne sont par intervenues alors qu’elles étaient au courant de ses agissements.

La destitution a dû passer par une nouvelle procédure au sein du Stella Maris. Sans vouloir faire de jeux de mots, le porte parole de l’institution a déclaré : « Nous souhaitons faire une croix définitive sur ce passé ».