vendredi, 16 juillet 2010
Le régime Biya, principal bénéficiaire de la mort de Njawé
Tous les articles que Njawé promettait d’écrire sur la Convention de Washington n’apparaîtront jamais. Parce qu’aucun autre journaliste ne pourra jamais mettre ensemble ses notes écrites et surtout celles dans son esprit pour écrire l’article qu’il voulait. L’écho qu’il voulait faire au Cameroun de cette Convention ne sera pas entendu. Biya et son régime sont débarrassés du trouble fête à l’approche de sa rencontre avec Barack Obama et des élections de 2011. La panne ayant conduit à l’accident de la voiture transportant Njawé n’était elle pas un sabotage, et pourquoi pas un attentat ? L’hôtel dans lequel logeait Njawé, Guérandi et d’autres, comprenait tout aussi des agents de renseignements au service du pouvoir de Yaoundé. Que dire d’une attaque mystique en provenance du centre de satanisme qu’est Etoudi ?
Ndzana Seme
BALTIMORE 07/13/2010 - La nouvelle nous est tombée dessus comme un couperet hier vers 15 heures ET. Un coup de fil d’un Camerounais, Moïse Ngomsu Foki, pour vérifier si c’est vrai que Pius a eu un accident en Virginie. Deux coups de fils quelques minutes plus tard confirment que tel est le cas… et qu’il est MORT.
Suivent d’autres appels où la plupart des interlocuteurs ne parviennent pas à masquer leurs pleurs. Telle cette jeune femme, Mireille Dieupe, qui nous avait accostés tous les deux, Njawe et moi, à la pause de la Convention, pour nous inviter à travailler ensemble avec toute la presse camerounaise pour la cause du Changement.
« J’espère que toi et moi, nous nous entendrons seulement après nous être cassés les pommes. Et tiens toi bien, c’est toi qui seras par terre ».
C’était l’une des dernières blagues qu’il m’a lancées dans la nuit du 10 juillet quand nous travaillions ensemble à l’hôtel. C’était toujours ainsi toutes les fois que nous nous rencontrions. Nous simulions toujours des bagarres afin de bien rire ensemble de nos divergences d’opinions, quelles que profondes soient elles. Car Njawe était très bon pour désamorcer les conflits.
Notre dernier semblant de conflit portait sur mon interview qu’il n’avait pas publiée. Car Njawe, malgré sa position de président d’un groupe de presse, restait à chaque instant de sa vie le reporter ordinaire qui n’hésitait jamais à tendre le micro… même à son confrère journaliste.
Mais quel homme généreux, Njawe ! J’ai par exemple consommé pendant plus d’un mois les colas et le café camerounais qu’il m’avait offerts à Genève l’an dernier, après les avoir trimballés depuis le Cameroun dans sa mallette.
Au moment où ce combattant de la liberté de la presse est fauché aussi violemment, il avait sur lui une multitude d’interviews qu’il avait accumulées depuis quatre jours qu’il était dans la région du DC, logé dans l’hôtel Crowne de Siver Spring au Maryland. Il avait aussi sur lui une multitude de notes.
Car, comme il le disait dans son intervention lors de la Convention, il était venu pour regarder et écouter, afin d’aller en faire écho et rendre compte au Cameroun. Et il avait déclaré la veille de sa mort, lors d’une réunion, qu’avec tout ce qu’il a accumulé, la Convention de Washington sera sur les colonnes de toutes les éditions du Messager pendant le prochain un mois ou plus.
C’est certain que tous les articles qu’il devait écrire n’apparaîtront jamais, parce qu’aucun autre journaliste ne pourra jamais mettre ensemble ses notes écrites et surtout pas celles dans son esprit pour écrire l’article qu’il voulait.
A qui profite le crime ?
Quand on retient que Barrack Obama aurait invité Paul Biya à DC en Août prochain, et qu’une mauvaise publicité contre lui par les Camerounais n’est pas parmi ses souhaits. Quand on sait que les intervenants camerounais de cette convention ont tous dénoncé le caractère dictatorial, anti-démocratique et terroriste du régime de Paul Biya, et demandé unanimement que ce gouvernement ennemi du Peuple Camerounais tombe. Quand on sait que la dictature de Biya ne souhaite pas que le Peuple camerounais connaisse les critiques acerbes formulées par la Convention de Washington.
L’on comprend clairement que le plus grand bénéficiaire de la mort subite de Pius Njawé est le régime de Paul Biya. Sinon comment comprendre que certains agents au service du régime intervenant sur les sites Internet et au pays n’aient pas fait l’économie de la célébration de leur victoire. C’est ainsi qu’ils n’ont pas hésité d’accuser la Camdiac et Jean Bosco Tagne d’avoir tué Njawé afin de bien semer la confusion ?
Une analyse de l’accident qui a coûté la vie de Njawé amène des constats troublants, auxquelles l’on espère, même timidement, que la police de Virginie trouvera des réponses satisfaisantes.
Quand on sait qu’aux Etats-Unis vivent des centaines de milliers de Camerounais et que c’est rarement, souvent annuellement sinon après plusieurs mois seulement, que l’on apprend qu’un Camerounais est mort d’accident de route. L’on comprend très difficilement que ce soit seulement Pius Njawé, venu du Cameroun quatre jours auparavant, qui vienne fausser cette faible « malchance » de mort des Camerounais par accident de route aux USA.
Qu’est-ce qui a provoqué la perte aussi rapide de vitesse de la voiture transportant Njawé, roulant semble-t-il sur le troisième couloir de gauche, pour que le camion assassin n’ait pas pu ralentir pour éviter de la cogner ?
Pour avoir une telle perte rapide de vitesse, une voiture doit avoir une panne, soit de crevaison, soit d’un moteur qui s’est éteint et qui exerce le frein à moteur. Si c’était la crevaison, le pneu a-t-il éclaté tout seul ou quelqu’un l’a-t-il fait éclater à partir d’un autre véhicule ?
Si c’est le moteur qui s’est éteint, la voiture était-elle sabotée ? Surtout quand on sait que cette voiture de 1994 était vieille et pouvait donc servir de meilleur prétexte pour couvrir un montage d’accident.
Un constat personnel m’a fait constater que l’hôtel dans lequel logeait Njawé, Guérandi et d’autres, comprenait tout aussi des agents de renseignements au service du pouvoir de Yaoundé.
Tel cet individu qui le 10 juillet, depuis la salle de la Convention à la fin des travaux, s’était présenté à moi comme un « frère » qui ne cessait de me parler Ewondo, tout en se passant pourtant pour un Eton Essélé. Il m’avait acheté un jus au bar de l’hôtel après avoir longuement insisté, et proposait que je sorte manger avec lui. J’avais décliné et lui avais confié quelqu’un d’autre. Curieusement, il s’était aussitôt éclipsé. L’individu répondait à toutes les apparences d’un agent de renseignements du pouvoir de Yaoundé.
C’est dire que la voiture de Njawe pouvait bien avoir été sabotée et pouvait être suivie, parce que des agents de Biya surveillaient ses mouvements à partir de cet hôtel. Nous disposons par ailleurs de l’information selon laquelle au moins quinze éléments de la Dgre du pouvoir Biya sont arrivés dans la région du DC avant et pendant cette Convention.
La piste de l’attaque mystique
Le Cameroun est de nos jours secoué par la multiplication des attaques d’une sorcellerie de plus en plus grandissante. De sorte que dans toutes les églises, catholiques comme protestantes, les pasteurs et prêtres se spécialisent de plus en plus dans l’exorcisme et les guérisons des affections spirituelles.
Par ailleurs, il est documenté et de notoriété publique que Paul Biya et son entourage sont versés profondément dans les pratiques magiques et recourent systématiquement à la sorcellerie pour conserver le pouvoir. Paul Biya puise dans les caisses du trésor public et dans celles de la société nationale des hydrocarbures pour payer les services sataniques à travers le monde, dont l’affaire des 15 milliards de francs Cfa payés à une secte occulte française n’en est que le bout de l’iceberg.
Les sorciers sont organisés en réseaux. Que ce soit dans un village au fin fond de Nguélémendouga ou à Washington, des réseaux de sorcellerie existent et communiquent sans difficulté.
Quand un sorcier, disons Beti, veut tuer une victime qui est un bamiléké, il doit passer par la famille dans laquelle se trouvent les racines de la vie de la victime. Des fois il peut aussi passer par un intime de la victime, comme une épouse. Le réseau de sorcellerie de la famille de la victime est seul capable de la « donner » à l’ennemi, parce que ses sorciers portent le même sang qu’elle. Ils peuvent la « donner », parce qu’en le faisant c’est comme s’ils se donnaient eux-mêmes.
C’est une fois « donné » par les siens que l’ennemi a tous les pouvoirs sur la victime, qu’il peut dès lors frapper comme il désire. Soit en bloquant son destin, en le maudissant, ou alors en le tuant.
La protection la plus efficace contre la sorcellerie est celle de Dieu. Parce que suivant la dualité universelle, il n’y a que Dieu qui puisse vaincre Satan. Utiliser un autre pouvoir de Satan pour vaincre une attaque satanique est souvent une vaine solution.
Hors, je sais personnellement que Pius Njawé était un fervent Chrétien qui fait sa prière au moins une fois par jour. Pius a dû faire sa prière le matin du ce 12 juillet fatal. Même comme les prières ne contrent et ne démantèlent pas toutes avec la même efficacité les forces de sorcellerie. Toujours est-il qu’il priait beaucoup. Il ne devait par conséquent pas se faire frapper aussi violemment par l’esprit de la mort subite. Mais ceci serait sous-estimer la puissance des forces magiques au pouvoir au Cameroun.
Ndzana Seme
BALTIMORE 07/13/2010 - La nouvelle nous est tombée dessus comme un couperet hier vers 15 heures ET. Un coup de fil d’un Camerounais, Moïse Ngomsu Foki, pour vérifier si c’est vrai que Pius a eu un accident en Virginie. Deux coups de fils quelques minutes plus tard confirment que tel est le cas… et qu’il est MORT.
Suivent d’autres appels où la plupart des interlocuteurs ne parviennent pas à masquer leurs pleurs. Telle cette jeune femme, Mireille Dieupe, qui nous avait accostés tous les deux, Njawe et moi, à la pause de la Convention, pour nous inviter à travailler ensemble avec toute la presse camerounaise pour la cause du Changement.
« J’espère que toi et moi, nous nous entendrons seulement après nous être cassés les pommes. Et tiens toi bien, c’est toi qui seras par terre ».
C’était l’une des dernières blagues qu’il m’a lancées dans la nuit du 10 juillet quand nous travaillions ensemble à l’hôtel. C’était toujours ainsi toutes les fois que nous nous rencontrions. Nous simulions toujours des bagarres afin de bien rire ensemble de nos divergences d’opinions, quelles que profondes soient elles. Car Njawe était très bon pour désamorcer les conflits.
Notre dernier semblant de conflit portait sur mon interview qu’il n’avait pas publiée. Car Njawe, malgré sa position de président d’un groupe de presse, restait à chaque instant de sa vie le reporter ordinaire qui n’hésitait jamais à tendre le micro… même à son confrère journaliste.
Mais quel homme généreux, Njawe ! J’ai par exemple consommé pendant plus d’un mois les colas et le café camerounais qu’il m’avait offerts à Genève l’an dernier, après les avoir trimballés depuis le Cameroun dans sa mallette.
Au moment où ce combattant de la liberté de la presse est fauché aussi violemment, il avait sur lui une multitude d’interviews qu’il avait accumulées depuis quatre jours qu’il était dans la région du DC, logé dans l’hôtel Crowne de Siver Spring au Maryland. Il avait aussi sur lui une multitude de notes.
Car, comme il le disait dans son intervention lors de la Convention, il était venu pour regarder et écouter, afin d’aller en faire écho et rendre compte au Cameroun. Et il avait déclaré la veille de sa mort, lors d’une réunion, qu’avec tout ce qu’il a accumulé, la Convention de Washington sera sur les colonnes de toutes les éditions du Messager pendant le prochain un mois ou plus.
C’est certain que tous les articles qu’il devait écrire n’apparaîtront jamais, parce qu’aucun autre journaliste ne pourra jamais mettre ensemble ses notes écrites et surtout pas celles dans son esprit pour écrire l’article qu’il voulait.
A qui profite le crime ?
Quand on retient que Barrack Obama aurait invité Paul Biya à DC en Août prochain, et qu’une mauvaise publicité contre lui par les Camerounais n’est pas parmi ses souhaits. Quand on sait que les intervenants camerounais de cette convention ont tous dénoncé le caractère dictatorial, anti-démocratique et terroriste du régime de Paul Biya, et demandé unanimement que ce gouvernement ennemi du Peuple Camerounais tombe. Quand on sait que la dictature de Biya ne souhaite pas que le Peuple camerounais connaisse les critiques acerbes formulées par la Convention de Washington.
L’on comprend clairement que le plus grand bénéficiaire de la mort subite de Pius Njawé est le régime de Paul Biya. Sinon comment comprendre que certains agents au service du régime intervenant sur les sites Internet et au pays n’aient pas fait l’économie de la célébration de leur victoire. C’est ainsi qu’ils n’ont pas hésité d’accuser la Camdiac et Jean Bosco Tagne d’avoir tué Njawé afin de bien semer la confusion ?
Une analyse de l’accident qui a coûté la vie de Njawé amène des constats troublants, auxquelles l’on espère, même timidement, que la police de Virginie trouvera des réponses satisfaisantes.
Quand on sait qu’aux Etats-Unis vivent des centaines de milliers de Camerounais et que c’est rarement, souvent annuellement sinon après plusieurs mois seulement, que l’on apprend qu’un Camerounais est mort d’accident de route. L’on comprend très difficilement que ce soit seulement Pius Njawé, venu du Cameroun quatre jours auparavant, qui vienne fausser cette faible « malchance » de mort des Camerounais par accident de route aux USA.
Qu’est-ce qui a provoqué la perte aussi rapide de vitesse de la voiture transportant Njawé, roulant semble-t-il sur le troisième couloir de gauche, pour que le camion assassin n’ait pas pu ralentir pour éviter de la cogner ?
Pour avoir une telle perte rapide de vitesse, une voiture doit avoir une panne, soit de crevaison, soit d’un moteur qui s’est éteint et qui exerce le frein à moteur. Si c’était la crevaison, le pneu a-t-il éclaté tout seul ou quelqu’un l’a-t-il fait éclater à partir d’un autre véhicule ?
Si c’est le moteur qui s’est éteint, la voiture était-elle sabotée ? Surtout quand on sait que cette voiture de 1994 était vieille et pouvait donc servir de meilleur prétexte pour couvrir un montage d’accident.
Un constat personnel m’a fait constater que l’hôtel dans lequel logeait Njawé, Guérandi et d’autres, comprenait tout aussi des agents de renseignements au service du pouvoir de Yaoundé.
Tel cet individu qui le 10 juillet, depuis la salle de la Convention à la fin des travaux, s’était présenté à moi comme un « frère » qui ne cessait de me parler Ewondo, tout en se passant pourtant pour un Eton Essélé. Il m’avait acheté un jus au bar de l’hôtel après avoir longuement insisté, et proposait que je sorte manger avec lui. J’avais décliné et lui avais confié quelqu’un d’autre. Curieusement, il s’était aussitôt éclipsé. L’individu répondait à toutes les apparences d’un agent de renseignements du pouvoir de Yaoundé.
C’est dire que la voiture de Njawe pouvait bien avoir été sabotée et pouvait être suivie, parce que des agents de Biya surveillaient ses mouvements à partir de cet hôtel. Nous disposons par ailleurs de l’information selon laquelle au moins quinze éléments de la Dgre du pouvoir Biya sont arrivés dans la région du DC avant et pendant cette Convention.
La piste de l’attaque mystique
Le Cameroun est de nos jours secoué par la multiplication des attaques d’une sorcellerie de plus en plus grandissante. De sorte que dans toutes les églises, catholiques comme protestantes, les pasteurs et prêtres se spécialisent de plus en plus dans l’exorcisme et les guérisons des affections spirituelles.
Par ailleurs, il est documenté et de notoriété publique que Paul Biya et son entourage sont versés profondément dans les pratiques magiques et recourent systématiquement à la sorcellerie pour conserver le pouvoir. Paul Biya puise dans les caisses du trésor public et dans celles de la société nationale des hydrocarbures pour payer les services sataniques à travers le monde, dont l’affaire des 15 milliards de francs Cfa payés à une secte occulte française n’en est que le bout de l’iceberg.
Les sorciers sont organisés en réseaux. Que ce soit dans un village au fin fond de Nguélémendouga ou à Washington, des réseaux de sorcellerie existent et communiquent sans difficulté.
Quand un sorcier, disons Beti, veut tuer une victime qui est un bamiléké, il doit passer par la famille dans laquelle se trouvent les racines de la vie de la victime. Des fois il peut aussi passer par un intime de la victime, comme une épouse. Le réseau de sorcellerie de la famille de la victime est seul capable de la « donner » à l’ennemi, parce que ses sorciers portent le même sang qu’elle. Ils peuvent la « donner », parce qu’en le faisant c’est comme s’ils se donnaient eux-mêmes.
C’est une fois « donné » par les siens que l’ennemi a tous les pouvoirs sur la victime, qu’il peut dès lors frapper comme il désire. Soit en bloquant son destin, en le maudissant, ou alors en le tuant.
La protection la plus efficace contre la sorcellerie est celle de Dieu. Parce que suivant la dualité universelle, il n’y a que Dieu qui puisse vaincre Satan. Utiliser un autre pouvoir de Satan pour vaincre une attaque satanique est souvent une vaine solution.
Hors, je sais personnellement que Pius Njawé était un fervent Chrétien qui fait sa prière au moins une fois par jour. Pius a dû faire sa prière le matin du ce 12 juillet fatal. Même comme les prières ne contrent et ne démantèlent pas toutes avec la même efficacité les forces de sorcellerie. Toujours est-il qu’il priait beaucoup. Il ne devait par conséquent pas se faire frapper aussi violemment par l’esprit de la mort subite. Mais ceci serait sous-estimer la puissance des forces magiques au pouvoir au Cameroun.
13:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cameroun | del.icio.us | Facebook | | |
Commentaires
C’est quoi cette histoire !!! Ne poussez pas les gens épris de vérité à parler mal d’un mort !!! Ne poussez pas le bouchon en parlant de njawé comme d’un messie… quels articles Njawé promettait-il d’écrire sur la Convention de Washington qu’il n’en avait écrit par le passé pour que Biya en fasse un homme à abattre ? Quel écho voulait faire au Cameroun de cette Convention ne sera pas entendu, et qu’il n’ait jamais fait auparavant. Biya n’a jamais trouvé en njawé un trouble fête pour avoir besoin de s’en débarrasser à la veille des élections de 2011. Pourquoi le régime n’a-t-il pas bombardé via un attentat tout l’hôtel dans lequel logeaient les Njawé, Guérandi, mboua Massock, Ndam njoya et d’autres… pour se débarrasser une fois pour toute des opposants réunis à Waschington DC ? ne faites pas des plaisantins des héros parce que il ya eu mort d’homme.
Écrit par : Kamga François | mardi, 20 juillet 2010
Il y a beaucoup à dire sur ce sujet. Merci.
Écrit par : Mutuelle | lundi, 08 novembre 2010
Les commentaires sont fermés.