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mardi, 27 avril 2010

un pays, un régime à scandales (….)- Karim Wade présidentiable : une impunité en propension. Affaire Taïwan : Macky Sall est-il donc l’homme qui en sait trop ?

Sans vouloir ressusciter un quelconque passé nostalgique, tant s’en faut, la plupart des dictateurs Africains, de facto, des francs-maçons dans l’âme, au premier desquels, le patriarche, Me Abdoulaye Wade, ont non seulement une ascendance insignifiante dans l’histoire respective de leur pays, mais aussi minoritaire, c’est le cas de le dire. Une politique savamment orchestrée par l’ancien maître parti, pour mieux rebondir, lorsqu’on analyse les faits. Des hommes d’honneur comme Cheikh Anta Diop, kwame Nkrumah, Patrice Lumumba, tué sauvagement par un noir, armé d’une main tapie dans l’ombre, afin d’endiguer ce qu’ils appelaient, à l’époque, la peste du communisme etc., ne se sont jamais laissés engloutir dans la voie de la trahison, car au moment où les uns et les autres dansaient la négritude, servile, codifiant ainsi le fascisme, dans les faits, le tombeur des falsificateurs historiques, prit le contre pied, ce qui scella son sort, que l’ont sait, malgré un bagage intellectuel de premier plan, à la différence du chantre de la négritude, nanti , simplement, du bonnet d’âne, après des services bien rendus.
Aussi paradoxale que cela puisse paraître, on ne parle de cheikh Anta Diop, qu’à des moments exceptionnels, alors que ses propres enfants si diplômés, soient ils, sont rangés dans les méandres de l’histoire, pendant ce temps, on nous tympanise les oreilles à longueur de journée un minable ne valant que ce qu’il vaut. C’est ça l’Afrique du déshonneur, qui recule, car on met en avant, des gens d’une médiocrité hallucinante. Sur ce plan, nos journalistes et nos historiens, se réclamant comme tels, ont failli à leur mission, parce que jouant exactement le jeu du culte de la personnalité et du complexe historique.
En vérité, contrairement aux idées bien distillées, les bourgeois capitalistes au nom d’Allah, sont les premiers à trahir, par nature et par intérêts mercantilistes, les pensées de cheikh Anta Diop et de Mamadou Dia. Ils ont presque tous capitulé, aux ordres du pouvoir politique depuis le colonialisme jusqu’à nos jours. Donc, rien n’a véritablement changé. Voilà la réalité.
Un régime crédible, éthique, ne se mesure nullement en termes d’années. Ce régime avait déjà annoncé la couleur dés les premiers jours, puisque des criminels de renom, ont non seulement bénéficié de promotions, mais ils empruntent tranquillement, aujourd’hui, les couloirs dorés du palais de Viviane Vert, la maîtresse des lieux. La mémoire de Me Babacar Sèye a été souillée par ceux qui continuent des pèlerinages à la Mecque, qui n’auront aucun effet, si ce n’est que pour se donner une conscience de façade.
Des gens aussi pauvres, très pauvres, hier, à la poche limitée, se sont bien enrichis en un quart de tour, en l’espace de quelques mois. Qui disait que nos ennuis financiers sont finis ?
Que dire d’un maître riche des égouts politiques, au nom d’Allah ?
Que dire de la ribambelle de la Racaille tonitruante, cette ripaille de la bamboula et des retrouvailles honteuses du siècle, qui constituent le menu indigeste d’une magistrature aux couleurs nauséabondes ?

Que dire donc des mensonges à répétions, commençant par la rénovation de la pointe de sangomar, sans fin, car un scandale qui finit, en chasse un autre qui prend le relais aussitôt ? L’impunité en propension ne se compte plus, jusqu’à l’extinction du soleil pour paraphraser le maître des égouts politiques.
Et ce régime aux scandales à répétions. Un scandale qui finit en cache toujours un autre.
Alors, Karim est bien la copie certifiée conforme à l’original.
Alors, et les 7 mds de Taïwan offerts à l’Etat du Sénégal curieusement déposés sur le compte du fils de Pierre Aim, sous la bénédiction d’un fiston peu irréprochable ?
Wade père et fils ne prendront jamais de risque inutile sur ce dossier particulièrement compromettant au plus haut niveau de l’Etat. Allez savoir !
Macky Sall est-il donc l’homme qui en sait trop ? Une esquille au sommet de l’Etat.
Que dire de la gestion du maître de l’anoci ? Comment une lampe peut- elle coûter la bagatelle de 10 millions ?
Comment Karim wade et Sindjéli, les fils du président, contre modèle, deviennent-ils propriétaires au dixième étage de l’immeuble Tamaro ?
Que dire des 26 mds décaissés pour la construction des villas présidentielles, jamais sorties de terre ?
Et l’affaire Ségura ? Et le scandale de la Sudatel dans lequel karim wade et Thierno Ousmane sy, fils de Cheikh Tidiane Sy, ex ministre de la justice des wade et conseiller de Mobutu, ex maître du Zaïre, dont le moins qu’on puisse dire, n’est pas un démocrate, sont directement impliqués, alors que le même fils, attribuant ces licences, à la même époque, n’était qu’un simple directeur de l’anoci ?
Et l’affaire Millicom exploitant la licence Tigo en juin 2008 ?
Et Mbackyou Faye, ce bandit notoire, représentant du mouridisme à Dakar, avec la bénédiction du premier magistrat, finance une mosquée d’une valeur de 15 mds, devenu magicien, milliardaire de la dernière heure, parrainé par l’entregent maître des céans, de surcroit, un franc-maçon patent ?

Que dire d’un garnement, lamentablement battu, lors des élections municipales de mars de 2009, gravissant tous les échelons, sans discontinuité, alors que sa nullité et sa médiocrité sont aussi effrayantes ?
Que dire d’une ignoble justice aux ordres, à géométrie variable, pire que des carpes, cette chambre d’enregistrements, vassalisée, exécutant, pitoyablement et lâchement les appétits boulimiques d’un fasciste, bien connu ?

La Renaissance Africaine n’est salutaire que lorsqu’elle est la soupape des consciences historiques, pour resurgir un passé aussi glorieux, et non pas un crétinisme outrancier représenté par un culte de personnalité taillé sur mesure, au nom d’un complexe historique [….].
L’idée saugrenue de « Karim présidentiable » est sciemment distillée par des propagandistes orduriers de la dernière espèce, tendant à mesurer par la ruse, une wadométrie politique exécrable ? Moralement, politiquement, juridiquement, une telle candidature est irrecevable, constitutionnellement. Pour prétendre être Président de la République du Sénégal, il faut être exclusivement de nationalité Sénégalaise. Non seulement, un tel poste requiert des compétences et des expériences avérées, mais aussi la connaissance des rouages de l’administration est salutaire. Dans le cas en espèce, le prétentieux aux mœurs douteuses n’en a aucun, si ce n’est qu’il est le fils pitoyable, opportuniste, un colonialiste, né et grandit en France avec toute la culture et le paradigme ambiant, venu au bon moment et au bon endroit. On est Sénégalais dans les faits, et non par le pétard.
Premièrement, Karim a une double nationalité. Deuxièmement, à part la langue française, sa langue maternelle, déjà approximative, il ne parle ni le wolof ni aucune autre langue du pays.
En France, un candidat aux élections présidentielles a l’obligation de parler un bon français, alors, pourquoi, nous, accepterions-nous ce que les autres n’accepteraient pas. Nous disons que sa candidature éventuelle ne repose sur aucun critère légal. Il est candidat parce que son père est aux manettes. Si son père n’était pas président de la République, on ne parlerait pas de lui. Sa candidature est une forfaiture. Un point c’est tout. Grisé par la dictature de l’inauguration de cette sculpture, ses souteneurs francs-maçons le poussent à franchir de nouveau le rubicond, mais il se trompe lourdement, car nous ne sommes ni le Togo, encore moins le Gabon conquis.
Puisqu’il est français, puisqu’il a des sous à la pelle, pourquoi ne se présente-t-il pas aux prochaines élections présidentielles dans son pays de naissance ?
Pour cette candidature peu crédible, nous émettons plusieurs hypothèses.
Le paresseux fils compte-t-il sur l’apport du même sorcier, outre Manche, pro de la fantasmagorie, lequel avait déjà rendu bien des services peu glorieux, suite de la parution des bonnes feuilles des Contes et Mécomptes de l’anoci du journaliste de renom, ALC ? Certainement, Amadou Laye, l’homme à la sémantique plus que douteuse, le ndougourou et fidèle captif, s’en était inspiré, pour couvrir, intentionnellement, des contrevérités fumantes sur la gestion du cancre de l’anoci.
Les nullards encensant le despote poussent comme des champignons dans les étalages tenus en laisse, alors que ceux des vrais combattants de la liberté, au service d’une Afrique sortie des entrailles de l’obscurantisme, pour aller vers la lumière, sont dans les faits, censurés au nom du fascisme déclaré.

Depuis mars 2000, le purgatoire collectif, une horde de chiens galeux joue honteusement les gardes-chiourmes d’un régime qu’on ne saurait plus qualifier, tant les impunités en propension ne se comptent plus.
Monsieur Faye, le piètre godillot de la prairie infecte, qui défend maladroitement le géniteur s’octroyant allègrement les recettes d’un monument de la Renaissance à l’effigie de sa propre famille, géré par sa propre fille, Sindjéli wade avec l’argent du contribuable Sénégalais, nous explique que le Monument de la renaissance est une idée très noble mais mal comprise, que nous n’avons rien dans la cervelle. Une telle incongruité est à la mesure de sa pensée domptée, ne dépassant pas le bout de son nez. Il sait qu’il n’a aucune crédibilité, mais il préfère dire des âneries, pour plaire. Il est indigne. Ce type fait partie des falsificateurs déclarés, par delà, des souteneurs du fascisme dans les faits, des rhéteurs inscrits au baroud du déshonneur.
Alors, dans l’hypothèse d’une magie fantasmagorique, Wade et fils seraient comptables de tout ce qui pourrait en découler. Cin bou narey nekh boubakhe khegne- la bonne marmite se sent par son odeur, dit un adage de chez nous. Wade et son clan mafieux préparent bien un hold up électoral. Il n’y a aucun doute.

Souvenons-nous, le même faussaire, n’est pas à son coup d’essai, puisque lors de la rénovation de l’avion présidentiel, la pointe de Sangomar, disait à l’époque des faits, à qui voulait l’entendre, que le moindre centime n’était sorti de la poche du contribuable, résultat des courses, une enquête minutieuse du même journaliste démonta pièce par pièce les paroles du sénile.

Ou bien cette candidature farfelue obéit à un bourrage des urnes, le moment venu, ce qui est impossible ?
Ou bien, c’est de l’intox ?
Ou bien, seul le garnement est candidat à la place de son père, mais cela ne change rien aux résultats, car ni l’un ni l’autre, ne pourront, en aucun cas, remporter la mise, dans les échéances futures.
« Karim Présidentiable». Mais quel présidentiable ? Un présidentiable qu’aucune moralité ne couvre, ni de près ou de loin.
La mal gouvernance comme système de valeurs s’arrête et se termine chez les wade et ses collaborateurs immédiats.
Peut-on comparer le magistère de la corruption débridée et décomplexée du géniteur, adepte des manières fortes, avec celui du parti socialiste, sans verser dans une litanie d’imbécilités sans nom, excellant dans les mensonges les plus grotesques. C’est manquer d’imagination et faire preuve d’incapacité congénitale à résoudre les problèmes ponctuels, qui se posent avec acuité.
Arrêtez vos plaisanteries ! Nous ne sommes pas membres du parti socialiste, mais nous préférons à la place, ce parti, plutôt que le même Me des galéjades, dont la respectabilité est de façade, et qui dit le contraire de ce qu’il fait, un repenti de la repentance versatile.
Normalement, avec de tels faits avérés, si criants, dans une démocratie à plein régime, wade père et fils n’auraient pas certainement le temps d’enfiler leurs culottes, moins encore de prétendre à une présidentiabilité.
Alors, la campagne de caniveau à laquelle se livrent certains pitres, révèlent au grand jour l’incapacité notoire de ceux qui se servent gloutonnement, plutôt de servir et dans la transparence.
Alors, peut-on se défausser indéfiniment sur un parti socialiste qui n’est plus aux commandes ?
Alors, Censeurs d’opinions, mercenaires décrottés, rhéteurs, bouffons indécrottables, fourbissez donc vos armes bénies !
Mais rien n’arrêtera la détermination des justes contre le mal absolu !
Nous ne serions les otages d’une chapelle de nullards au service d’une politique de misérabilisme.
L’omerta des bailleurs de la mal gouvernance ne passera pas !
Un peu de retenue et d’humilité, messieurs les bouffons de la prairie bleue. ! Un tel régime devrait faire profil bas, plutôt que de s’offrir vulgairement en spectacle affligeant, aux yeux du monde civilisé.
Au-delà d’une candidature juridiquement absconse, karim wade est par naissance, un paresseux, tendant à assurer ses propres arriérés et ceux de son père, mouillé jusqu’au cou.

Le combat continue !
Honneur
Honneur1@yahoo.fr

13:57 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sénégal |  del.icio.us |  Facebook | | |

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